Mandy
Récit érotique écrit par Laetitia sapho [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Mandy
Un vendredi en fin d’après-midi :
Nous nous trouvions dans le bureau de mon patron, nous venions de faire signer au client le contrat sur lequel je travaillais d’arrache-pied depuis deux semaines sans discontinuer. Lui et son conseiller avaient bien sûr ergoté sur deux ou trois clauses secondaires, fait changer une phrase par ci par là, mais c’était juste histoire de « dire ». Rien de fondamental, l’essentiel était préservé.
Notre client, un homme d’une soixantaine d’années, plutôt jovial, nous avait annoncé qu’il était de bon ton de déguster une bouteille de champagne après la signature d’un contrat de cette importance. Mais qu’il devait honorer un autre rendez-vous juste après, il nous proposait de nous inviter au cocktail qu’il organisait en début de soirée pour l’anniversaire de sa fille. Elle fête ses 25 ans, nous a-t-il dit.
Il nous avait glissé un carton d’invitation à chacun où il a indiqué nos identités, avec l’adresse où avait lieu cette sauterie. C’était un endroit que je connaissais de réputation, très chic et renommé où on louait des salles pour des réceptions dans une ville aisée de l’ouest parisien. Chic, renommé et surement très cher.
Une fois le client partit, mon patron me propose de m’emmener en voiture à la réception, puis de me déposer chez moi en rentrant.
Je déclinais l’offre :
- Non, Georges, je vais d’abord passer chez moi prendre une douche, me changer pour ce cocktail, je prendrais ma voiture, ne t’inquiète pas. En plus, je crois que je m’éclipserai tôt.
- Maelenn est rentrée du Canada ?
- Non, pas encore, la semaine prochaine seulement, mais sincèrement, je suis crevée. Ces derniers jours, j’ai bossé comme une enragée sur ce dossier, parfois, tard chez moi le soir. Je suis à plat.
- D’accord, pas de problème, d’ailleurs, reste chez toi lundi, prends une journée, repose toi ! Avec ce contrat, nos arrières sont assurés pour pas mal de temps !
- Oui, on verra …J’ai aussi pris du retard sur tous les autres dossiers.
Je rentrais donc chez moi, après une bonne douche, je choisis avec soins ma tenue pour cette invitation dans le beau monde : petite robe de cocktail noire, assez courte, mais pas trop, dessous des bas et un string noir, pas de soutien-gorge, vu le décolleté de la robe, ça n’aurait pas été esthétique. Et puis de toute façon, sans me vanter, mes seins, n’ont pas besoins de ce genre d’artifices. Enfin, si je me vante un peu là. Faites comme si je n’avais rien dit.
Mes clés de voiture, mon sac à main, un manteau et me voilà en route. J’avais entré l’adresse sur le GPS pour être certaine de trouver sans me perdre.
Et le GPS m’amena directement sur un portail monumental ouvert sur une allée en gravier et vers un petit parking où étaient alignées de grosses et sombres berlines allemandes, les unes à côté des autres. Je reconnus la voiture de Georges. Ma petite voiture, faisait toute riquiqui à côté.
Après avoir monté un perron d’une dizaine de marches en marbre, j’arrive devant l’entrée. Un pingouin en costume noir, me demande mon nom et mon prénom et après avoir vérifié sur un registre et être certain que je figurais sur la liste des personnes invitées, m’indiqua le chemin vers le vestiaire où déposer mes affaires, puis vers la salle où la réception se tenait.
Dans la pièce, un cinquantaine de personnes de tout âge bavardaient en petit groupes. Je repérais Georges en grande discussion avec notre client et deux autres types inconnus. Notre client me présenta, vanta mes talents (ça fait toujours plaisir ! Un petit peu de rouge aux joues quand même, ça ne se commande pas) et enchaina :
- Ah, voilà ma fille, la reine de la soirée, Mandy s’il te plaît, ma chérie, viens que je te présente ces personnes.
Je me retourne et me retrouve face à une immense fille. J’ai du lever la tête pour voir son visage. Elle devait mesurer plus d’un mètre quatre-vingt. Des talons aiguilles accentuaient encore l’impression d’être face à une géante.
Je me dis à moi-même : « Sa fille, d’accord, mais sa fille adoptive alors ».
Certes notre client n’était pas très grand, plutôt pâlichon et elle géante, mais elle avait surtout la peau noire ébène.
- Mandy, ma fille, nous fêtons aujourd’hui ses 25 ans. Je profite d’elle, ses séjours en France sont rares. Elle est aux States, elle étudie à Harvard.
J’écoutais à peine. J’avais levé la tête pour voir son visage, je la baissais maintenant sur le reste de son long et sculptural corps.
Comment vous dire ? Par où commencer surtout ?
Elle portait une robe fourreau très près du corps, très courte, très décolleté, devant et dans le dos, de couleur ivoire, ce qui tranchait parfaitement avec sa peau très noire et brillante. Une poitrine énorme !! J’étais persuadée sur le moment qu’avec mes deux mains, j’aurais du mal à couvrir un seul de ses seins. Ses jambes étaient démesurées, presque complètement dénudées, vue la taille de sa robe qui lui arrivait en haut des cuisses. Ses fesses, n’en parlons pas. Et puis si, parlons-en. Finalement, je ne sais pas quoi en dire. Aucun superlatif ne me vient à l’esprit pour qualifier cette paire de fesses. Seules les africaines peuvent être dotées de ce genre de cul ! Je vous laisse imaginer.
Ma tête remonta vers son visage, quand elle me tendit la main pour me saluer, quand vint mon tour de lui être présentée : Des lèvres pulpeuses, des cheveux mi- longs très raides avec une coupe au carré teintés de couleur miel, ce qui était assez harmonieux avec la couleur sombre de sa peau. Le menton légèrement levé ce qui lui donnait cet air un peu arrogant et accentuait encore plus cette impression d’être face à une géante.
Elle m’adressa juste un mot « enchantée » en serrant ma main. Par contre son regard noir n’avait pas lâché le mien. Elle était impressionnante ! C’est le mot !
J’eu l’impression que le temps qu’elle garda ma main dans la sienne ne cadrait pas avec son habitude froide et hautaine.
Après cette présentation minimale, elle tourna les talons avant de se diriger vers un autre petit groupe.
Je ne quittais pas son dos de vue, cette fille m’avait littéralement scotchée. Je me repris, en observant les autres membres de notre petit groupe. Ça devait se voit sur mon visage, je devais être transparente. Masi non, ils étaient repartit dans leur conversations. Je notais quand même que tous jetaient des regards en douce sur le postérieur de Mandy pendant qu’elle s’éloignait.
Je bus une coupe de champagne, puis une autre. Comme je m’ennuyais ferme dans cette réception, je ne lâchais pas du regard Mandy, et vu l’attitude de la plupart des autres invités, je n’étais pas la seule. Elle passait d’un groupe à l’autre. De nombreux hommes présents tentaient d’attirer son attention, en vain apparemment.
Après la troisième coupe, l’inévitable se produisit, j’ai eu envie de faire pipi.
Je me suis dirigée vers les toilettes. Même là c’était luxueux, du marbre, des miroirs immenses. Je me suis enfermée dans la cabine pour me soulager, suit ressortie, pour me laver les mains, quand j’ai entendu la porte s’ouvrir puis se refermer. Quand j’ai levé la tête, j’ai vu dans la glace Mandy derrière moi.
Sans un mot, elle m’a plaquée contre le meuble du lavabo.
Je voyais son visage dans la glace, il ne cillait pas du tout, inexpressif presque, juste son regard fixé au mien dans le miroir.
Toujours sans un mot, elle a baissé d’un geste sec la fermeture éclair de ma robe, a écarté les bretelles et l’a fait glisser vers le bas sur mon corps, avant de la laisser tomber au sol à mes pieds.
J’étais incapable de prononcer la moindre parole, pétrifiée, impressionnée par cette fille si froide qui me dominait par la taille, anxieuse également, nous étions dans les toilettes, j’étais quasi nue, en string et avec mes bas seulement, les seins à l’air, n’importe qui pouvait entrer à n’importe quel moment.
Mandy me retourne, me colle contre le mur et m’agrippe un sein. Je dis bien agripper, parce que ça n’avait rien d’une caresse. Elle le malaxait plutôt, à même tiré sur le téton, avant de descendre sa main sur mon ventre en appuyant bien, ce n’était toujours pas une caresse, je vous le promet. Elle posa sa main sur ma cuisse (elle du presque se baisser pour ça, vu notre différence de taille). Ses ongles longs m’ont griffé la cuisse en remontant (elle a filé mon bas sur 30 centimètres d’ailleurs).
Elle entreprit ensuite de me tripoter l’entre-jambe à travers mon string (je dis bien tripoter et non pas caresser). Enfin elle glissa sa main dedans. A ce moment-là, je mouillais comme jamais, je dois bien l’avouer, pourtant toujours anxieuse que quelqu’un entre et nous surprenne.
Imaginez la scène aussi ! J’étais là, presque complètement nue, les deux mains contre le mur, les jambes écartées, en train de me faire tripoter l’entre-jambes par cette fille ! J’étais quelque part entre anxiété, honte et excitation. Mais bon, soyons honnête, c’est l’excitation qui l’emportait.
Elle a pénétré un puis deux de ses doigts dans mon vagin (peut-être qu’il y en eu trois, finalement). Je sentais ses doigts bouger en moi, par que c’était tout, sauf doux.
Rapidement, elle les ressort, me repousse vers le lavabo, face à la glace, se colle derrière moi, elle glisse ses doigts dans ma bouche, les uns après les autre et me les fait lécher (je confirme, il y en avait trois). Elle colle son visage près de mon oreille et me glisse « tu es une grande mouilleuse toi ». Ça sera les seule paroles qu’elle prononcera. Elle me repousse avec un sourire narquois et s’en va en me plantant là.
Il me fallut au moins trente seconde pour réagir après son départ. Je ramasse ma robe sur le sol, m’enferme à nouveau dans la cabine pour me rhabiller, ressort me recoiffe, prend de l’eau dans la bouche au robinet, me gargarise, retouche mon maquillage et je sors des WC pour rejoindre la salle de réception, surement toute rouge, ayant honte de moi, un peu énervée aussi du traitement que je venais de subir. Cette fille, j’aurais dû la … Finalement c’était une situation excitante, mais quelle conne quand même, elle se prend pour qui ? Cette grande pétasse !!!!
Je reviens dans la salle de réception, bien décidée à aller la voir pour lui balancer une réflexion bien sentie, mon regard fait le tour. Mandy a disparu.
Bon, j’en ai ma claque, je me casse de là.
Je repère Georges, le prévient que je rentre, il insiste pour que je reste chez moi le lundi, je lui dis qu’on verra ….
Je récupère mon manteau et mon sac à main au vestiaire, salut le pingouin toujours à son poste et sort pour rejoindre ma voiture sur le parking peu éclairé à cette heure de la soirée.
Je la repère et commence à chercher mes clés de voiture dans mon sac à main. Impossible de remettre la main dessus. Je fouille le sac (bon d‘accord, ce n’est pas un sac à main, c’est une valise, mais quand même), rien, je refouille, je vide les poches de mon manteau, rien. Je m’apprête à faire demi-tour, pour retourner au vestiaire au cas où elle serait tombée d’une poche quand la portière côté conducteur s’ouvre. Ça a pour effet d’allumer la veilleuse de la voiture. Une forme humaine est sur le siège passager. Apeurée, je m’approche tout de même ne sachant pas à quoi m’attendre. Je reconnais … Mandy assise sur le siège. Elle me tend mes clés de voiture et me dit, toujours aussi froidement, « tu montes et tu conduis ».
Comme tout à l’heure dans les WC, je suis comme pétrifiée, et j’obéis sans plus discuter à cette voix qui m’hypnotise littéralement. L’énervement et le sentiment de révolte qui m’animaient encore cinq minutes avant se sont envolés.
De quelques ordres brefs, elle m’indique le chemin à suivre. Nous quittons l’agglomération puis la route principale, pour nous engager sur des routes secondaires. Bientôt nous traversons une forêt et nous retrouvons en pleine campagne.
Après une demi-heure de route, je n’avais pas eu doit à un mot de Mandy, hormis aux intersections, quelques « à gauche » ou « tout droit ». Après avoir traversé un village silencieux et désert à cette heure tardive, nous arrivons devant la grille d’un hôtel apparemment très étoilés.
- C’est là me dit-elle
Je prends une allée bordée de grands arbres et découvre un petit château. J’arrête le véhicule, un jeune homme en uniforme se précipite vers ma portière l’ouvre m’aide à descendre, se présente comme le voiturier et m’annonce qu’il va s’occuper de mon véhicule. Un portier a descendu le perron de l’hôtel et a ouvert la portière passager, Il a failli tomber à la renversa quand Mandy la géante s’est extirpée de ma petite voiture. Je suppose qu’il devait avoir une vue plongeante sur son décollette et sur ses cuisses que sa robe ultra courte masquait peu. Comme nous étions dans un hôtel de grande classe, il choisit de paraitre impassible, mais difficilement. Enfin, il avait l’air d’avoir chaud quand même.
Au désespoir du groom, l’étiquette lui imposait de passer devant nous pour grimper les marches qui menaient à l’hôtel. Il lui fut donc impossible de lorgner sur les fesses de Mandy (et accessoirement sur les miennes, j’espère que j’étais plutôt sexy aussi dans ma petite robe de cocktail, même si à côté de la créature, je passais au second plan forcément).
La jeune réceptionniste blondinette se souviendra longtemps de cette grande fille qui lui annonça « Une suite pour deux, pour la soirée, non pas de bagages et faites monter une bouteille de champagne, du Cristal de Roederer, bien sûr, frappé. Ah et du saumon, nous allons avoir faim après … ». Elle resta très professionnelle en nous tendant la carte qui permettait d’ouvrir la suite et en indiquant l’étage et le numéro. Ses yeux passaient sans arrêt de Mandy à moi. J’imagine sans peine, le genre de pensée qui habitait cette fille.
Dans l’ascendeur, le liftier, (eh oui, il y avait même un liftier, comme dans les films !) ne pouvait lui aussi détacher son regard de nous. D’autant plus que Mandy pour accentuer l’effet me flattait la croupe d’un geste indolent. Le pauvre garçon faisait semblant de regarder ailleurs, de s’intéresser au chiffres qui défilaient indiquant les étages.
Je crois qu’on parlera encore longtemps de notre arrivée dans cet hôtel.
Cinquième étage, porte 512, notre suite. C’est la première fois que j’entrais dans une suite. J’avais déjà fréquenté quelques hôtels luxueux, mais je m’étais contentée d’une chambre de base.
C’était magnifique, de la moquette où on s’enfonçait au moins jusqu’aux chevilles, du mobilier, certes pas à mon gout, mais de très belle facture, un coin salon (enfin, un immense coin), une salle de bain, grande comme dix fois la mienne, avec douche où on pouvait entrer au moins à cinq, baignoire balnéo pour cinq aussi, une suite de produits divers et variés alignée près des vasques, deux peignoirs blancs pliés sur une desserte, en tout une dizaine de serviettes les accompagnaient.
Et le lit? King size, mais king size de chez king size. A l’échelle du reste, pour cinq !
« Une suite prévue pour y faire des partouzes à cinq très certainement » me dis-je intérieurement
Mandy fait le tour, allume toutes les lampes de la pièce (et il y en avait un paquet !) s’approche de moi, se place en face à deux mètre environ, passe ses mains dans son dos, baisse la fermeture éclair de sa robe fourreau. Elle tombe à ses pieds. Mandy est nue en dessous. Elle ne porte même pas de mini string. Je peux enfin profiter de son corps. Ce ne sont plus des formes, que je pouvais deviner, espérer, mais bien du réel. Ses seins, sont superbes, mais ça j’en étais sure, ses jambes sont …
On frappe ! Room service annonce- t-on à travers la porte. Mandy va ouvrir dans le plus simple appareil au serveur. Celui-ci très professionnel, comme si de rien n’était « Champagne et toasts au saumon, comme vous avez indiqué, je pose le plateau où »
- Là, indique Mandy en montrant la table de salon, grande comme une table de pingpong. Elle récupère son sac à main, en sort un billet de 100 euros et le tend au serveur en guise de pourboire, qui s’éclipse, toujours aussi professionnel.
Mandy, toujours aussi silencieuse et hautaine, passe devant moi sans me regarder va s’allonger au milieu du lit.
Elle m’adresse enfin la parole : « Déshabille toi et essaye d’être sensuelle ! » me dit-elle.
Elle veut un striptease ? Ok, je me prends au jeu, elle veut jouer, elle va être servie. Je ne suis pas une grande spécialiste, mais je sais me déshabiller en ondulant des hanches et en me caressant les cuisses. J’ai même pris une chaise pour prendre une pause à la Marlene Dietrich dans l’ange bleu pour retirer mes bas. Me reste mon string uniquement, que je retire pour le lancer à Mandy sur le lit. Elle s’en empare pour le renifler. Je vois sa langue passer sur le tissu au niveau de l’entrejambe.
- Viens maintenant, dit-elle en jetant mon string au milieu de la pièce.
C’est quasiment un ordre et j’obéis.
Je me couche près d’elle, sa bouche s’approche de la mienne, sa langue sort et lèche le pourtour de mes lèvres avant de s’enfoncer dans ma bouche, elle est brusque, mais j’aime ça, moi qui apprécie plutôt la tendresse d’habitude.
Sa main flatte ma croupe, la mienne la sienne de croupe, Je touche enfin ce cul magnifique qui m’a fait baver toute la soirée.
Deux doigts fourragent mon vagin, elle les ressort :
- Lèche-moi maintenant
- Partout, précise-t-elle ensuite.
Je m’exécute, ses seins d’abord, énormes et dressés comme deux obus. Elle a deux tétons bien durs au milieu de deux grosses auréoles. Je m’en délecte. Son sexe que je lèche consciencieusement.
Son souffle commence à s’accélérer, elle gémît. « Oui oui oui vas-y encore»
Enfin, je la tiens, elle est à moi !
Je la retourne la mets à 4 pattes, j’ai son cul entre mes mains, son magnifique cul, il est à moi. Je le caresse, je secoue les fesses l’une contre l’autre une main de chaque côté, je lui mets quelques petites claques, ce qui provoque chez elle des « humm » et des « comme ça ouiii ».
Je me baisse, écarte ses fesses, découvre la raie, son anus rose entre cette peau noire apparait. C’est un divin spectacle. J’y glisse ma langue. Je déguste ce cul qui est mien maintenant.
Ma main est passée entre ses cuisses pour la caresser.
Maintenant je vais te faire jouir ma grande, c‘est moi qui gère, c’est moi qui décide.
Ça ne tarde pas, je la sens venir, lle gémit, puis pousse des petits cris, puis va pour se lâcher, sa tête posée sur l’oreiller, le mordillant. Hop, j’arrête tout. Tu y a cru ? Elle tourne doucement son visage et me jette un regard de petite bête apeurée.
Ma main, mes doigts sont tout humides de sa mouille. Je la retourne et la mets sur le dos à nouveau , je m’allonge le visage entre ses cuisses. Ma langue après avoir énervé son clito tout dressé, passe sur ses lèvres (les petites et les grandes), s’insère dans son vagin. Cette fois, je la laisse partir. Elle crie, dis-je elle explose. Ses mains ont agrippé les draps. Si ça continue, elle va les déchirer. Enfin, elle se relâche, les yeux fermés, elle reprend sa respiration.
Je n’en ai pas terminé avec elle.
Comme elle tout à l’heure dans les WC, je lui fais sucer mes doigts, j’appose même ma paume sur sa bouche, qu’elle lèche à grands coups de langue.
J’enlève ma main, pour y mettre à la place ma bouche. Je me suis allongée sur elle. Ma peau blanche de blonde tranche avec la sienne très foncée. Un bel ensemble, je dois dire.
Ma langue déguste la sienne, elle a encore le gout de sa cyprine récoltée sur mes doigts. Je me redresse, m’accroupie au-dessus de son visage, je pose mon sexe sur sa bouche. Je me frotte contre ses lèvres, son nez, ses lèvres, son menton, je reviens sur sa bouche. A chaque passage, sa langue sort de sa bouche et cherche à me lécher le sexe. Je me dérobe à chaque fois, avant de m’assoir quasiment sur sa bouche humide. Je sens sa langue fouiller mon entrée essayer de s’insinuer, j’écarte les cuisses au maximum, pour lui permettre d’aller le plus loin possible. Un de ses doigts, puis un autre se positionne sur mon anus. Elle enfonce, deux fois deux phalanges. Je pousse un cri, mais une fois, la douleur de la pénétration subite passée, le va et vient de ses doigts devient plutôt agréable. Je jouis rapidement, serrant ma lèvre inférieure entre mes dents. Je veux être le moins expressive possible, je lâche à peine quelques gémissements, je ne veux pas montrer a cette fille qui m’a coincée au WC tout à l’heure, qui qui m’a jetée, comme une culotte sale au panier à linge, l‘effet qu‘elle me fait. Par contre j’inonde carrément son visage du fruit de mon excitation, quand je me relève, sa bouche est luisante de mes secrétions intimes et de sa salive. Je me penche pour l’embrasser à nouveau, lui lécher le visage, et récupérer ainsi une partie de ce mélange.
Je m’écroule épuisée à côté d’elle sur le lit. Notre étreinte a été brève mais intense. Nous sommes vidées. Nous nous regardons et nous partons dans un fou rire. Nous nous sommes fait mutuellement notre cinéma, mais le résultat, c’est que nous avons baisé comme deux bêtes affamées.
Elle débouche la bouteille de Cristal, nous trinquons, et en effet, nous avons faim, elle avait raison, nous faisons un sort aux toasts au saumon.
Après quelques ablutions dans la salle de bain, nous nous rhabillons et nous quittons la chambre. Liftier, portier, voiturier nous regardent d’un drôle d’air. La réceptionniste à qui Mandy tend sa carte gold en disant, « nous en avons terminé, la chambre doit être un peu en désordre je suppose » est quant à elle abasourdie et je pense qu’elle ne s’en est pas encore remise depuis six semaines que cette aventure a eu lieu.
J’ai revu Mandy deux fois par la suite. Nos ébats furent tout aussi agités que ce soir-là.
Je crois qu’elle est repartie aux Etats Unis.
Nous nous trouvions dans le bureau de mon patron, nous venions de faire signer au client le contrat sur lequel je travaillais d’arrache-pied depuis deux semaines sans discontinuer. Lui et son conseiller avaient bien sûr ergoté sur deux ou trois clauses secondaires, fait changer une phrase par ci par là, mais c’était juste histoire de « dire ». Rien de fondamental, l’essentiel était préservé.
Notre client, un homme d’une soixantaine d’années, plutôt jovial, nous avait annoncé qu’il était de bon ton de déguster une bouteille de champagne après la signature d’un contrat de cette importance. Mais qu’il devait honorer un autre rendez-vous juste après, il nous proposait de nous inviter au cocktail qu’il organisait en début de soirée pour l’anniversaire de sa fille. Elle fête ses 25 ans, nous a-t-il dit.
Il nous avait glissé un carton d’invitation à chacun où il a indiqué nos identités, avec l’adresse où avait lieu cette sauterie. C’était un endroit que je connaissais de réputation, très chic et renommé où on louait des salles pour des réceptions dans une ville aisée de l’ouest parisien. Chic, renommé et surement très cher.
Une fois le client partit, mon patron me propose de m’emmener en voiture à la réception, puis de me déposer chez moi en rentrant.
Je déclinais l’offre :
- Non, Georges, je vais d’abord passer chez moi prendre une douche, me changer pour ce cocktail, je prendrais ma voiture, ne t’inquiète pas. En plus, je crois que je m’éclipserai tôt.
- Maelenn est rentrée du Canada ?
- Non, pas encore, la semaine prochaine seulement, mais sincèrement, je suis crevée. Ces derniers jours, j’ai bossé comme une enragée sur ce dossier, parfois, tard chez moi le soir. Je suis à plat.
- D’accord, pas de problème, d’ailleurs, reste chez toi lundi, prends une journée, repose toi ! Avec ce contrat, nos arrières sont assurés pour pas mal de temps !
- Oui, on verra …J’ai aussi pris du retard sur tous les autres dossiers.
Je rentrais donc chez moi, après une bonne douche, je choisis avec soins ma tenue pour cette invitation dans le beau monde : petite robe de cocktail noire, assez courte, mais pas trop, dessous des bas et un string noir, pas de soutien-gorge, vu le décolleté de la robe, ça n’aurait pas été esthétique. Et puis de toute façon, sans me vanter, mes seins, n’ont pas besoins de ce genre d’artifices. Enfin, si je me vante un peu là. Faites comme si je n’avais rien dit.
Mes clés de voiture, mon sac à main, un manteau et me voilà en route. J’avais entré l’adresse sur le GPS pour être certaine de trouver sans me perdre.
Et le GPS m’amena directement sur un portail monumental ouvert sur une allée en gravier et vers un petit parking où étaient alignées de grosses et sombres berlines allemandes, les unes à côté des autres. Je reconnus la voiture de Georges. Ma petite voiture, faisait toute riquiqui à côté.
Après avoir monté un perron d’une dizaine de marches en marbre, j’arrive devant l’entrée. Un pingouin en costume noir, me demande mon nom et mon prénom et après avoir vérifié sur un registre et être certain que je figurais sur la liste des personnes invitées, m’indiqua le chemin vers le vestiaire où déposer mes affaires, puis vers la salle où la réception se tenait.
Dans la pièce, un cinquantaine de personnes de tout âge bavardaient en petit groupes. Je repérais Georges en grande discussion avec notre client et deux autres types inconnus. Notre client me présenta, vanta mes talents (ça fait toujours plaisir ! Un petit peu de rouge aux joues quand même, ça ne se commande pas) et enchaina :
- Ah, voilà ma fille, la reine de la soirée, Mandy s’il te plaît, ma chérie, viens que je te présente ces personnes.
Je me retourne et me retrouve face à une immense fille. J’ai du lever la tête pour voir son visage. Elle devait mesurer plus d’un mètre quatre-vingt. Des talons aiguilles accentuaient encore l’impression d’être face à une géante.
Je me dis à moi-même : « Sa fille, d’accord, mais sa fille adoptive alors ».
Certes notre client n’était pas très grand, plutôt pâlichon et elle géante, mais elle avait surtout la peau noire ébène.
- Mandy, ma fille, nous fêtons aujourd’hui ses 25 ans. Je profite d’elle, ses séjours en France sont rares. Elle est aux States, elle étudie à Harvard.
J’écoutais à peine. J’avais levé la tête pour voir son visage, je la baissais maintenant sur le reste de son long et sculptural corps.
Comment vous dire ? Par où commencer surtout ?
Elle portait une robe fourreau très près du corps, très courte, très décolleté, devant et dans le dos, de couleur ivoire, ce qui tranchait parfaitement avec sa peau très noire et brillante. Une poitrine énorme !! J’étais persuadée sur le moment qu’avec mes deux mains, j’aurais du mal à couvrir un seul de ses seins. Ses jambes étaient démesurées, presque complètement dénudées, vue la taille de sa robe qui lui arrivait en haut des cuisses. Ses fesses, n’en parlons pas. Et puis si, parlons-en. Finalement, je ne sais pas quoi en dire. Aucun superlatif ne me vient à l’esprit pour qualifier cette paire de fesses. Seules les africaines peuvent être dotées de ce genre de cul ! Je vous laisse imaginer.
Ma tête remonta vers son visage, quand elle me tendit la main pour me saluer, quand vint mon tour de lui être présentée : Des lèvres pulpeuses, des cheveux mi- longs très raides avec une coupe au carré teintés de couleur miel, ce qui était assez harmonieux avec la couleur sombre de sa peau. Le menton légèrement levé ce qui lui donnait cet air un peu arrogant et accentuait encore plus cette impression d’être face à une géante.
Elle m’adressa juste un mot « enchantée » en serrant ma main. Par contre son regard noir n’avait pas lâché le mien. Elle était impressionnante ! C’est le mot !
J’eu l’impression que le temps qu’elle garda ma main dans la sienne ne cadrait pas avec son habitude froide et hautaine.
Après cette présentation minimale, elle tourna les talons avant de se diriger vers un autre petit groupe.
Je ne quittais pas son dos de vue, cette fille m’avait littéralement scotchée. Je me repris, en observant les autres membres de notre petit groupe. Ça devait se voit sur mon visage, je devais être transparente. Masi non, ils étaient repartit dans leur conversations. Je notais quand même que tous jetaient des regards en douce sur le postérieur de Mandy pendant qu’elle s’éloignait.
Je bus une coupe de champagne, puis une autre. Comme je m’ennuyais ferme dans cette réception, je ne lâchais pas du regard Mandy, et vu l’attitude de la plupart des autres invités, je n’étais pas la seule. Elle passait d’un groupe à l’autre. De nombreux hommes présents tentaient d’attirer son attention, en vain apparemment.
Après la troisième coupe, l’inévitable se produisit, j’ai eu envie de faire pipi.
Je me suis dirigée vers les toilettes. Même là c’était luxueux, du marbre, des miroirs immenses. Je me suis enfermée dans la cabine pour me soulager, suit ressortie, pour me laver les mains, quand j’ai entendu la porte s’ouvrir puis se refermer. Quand j’ai levé la tête, j’ai vu dans la glace Mandy derrière moi.
Sans un mot, elle m’a plaquée contre le meuble du lavabo.
Je voyais son visage dans la glace, il ne cillait pas du tout, inexpressif presque, juste son regard fixé au mien dans le miroir.
Toujours sans un mot, elle a baissé d’un geste sec la fermeture éclair de ma robe, a écarté les bretelles et l’a fait glisser vers le bas sur mon corps, avant de la laisser tomber au sol à mes pieds.
J’étais incapable de prononcer la moindre parole, pétrifiée, impressionnée par cette fille si froide qui me dominait par la taille, anxieuse également, nous étions dans les toilettes, j’étais quasi nue, en string et avec mes bas seulement, les seins à l’air, n’importe qui pouvait entrer à n’importe quel moment.
Mandy me retourne, me colle contre le mur et m’agrippe un sein. Je dis bien agripper, parce que ça n’avait rien d’une caresse. Elle le malaxait plutôt, à même tiré sur le téton, avant de descendre sa main sur mon ventre en appuyant bien, ce n’était toujours pas une caresse, je vous le promet. Elle posa sa main sur ma cuisse (elle du presque se baisser pour ça, vu notre différence de taille). Ses ongles longs m’ont griffé la cuisse en remontant (elle a filé mon bas sur 30 centimètres d’ailleurs).
Elle entreprit ensuite de me tripoter l’entre-jambe à travers mon string (je dis bien tripoter et non pas caresser). Enfin elle glissa sa main dedans. A ce moment-là, je mouillais comme jamais, je dois bien l’avouer, pourtant toujours anxieuse que quelqu’un entre et nous surprenne.
Imaginez la scène aussi ! J’étais là, presque complètement nue, les deux mains contre le mur, les jambes écartées, en train de me faire tripoter l’entre-jambes par cette fille ! J’étais quelque part entre anxiété, honte et excitation. Mais bon, soyons honnête, c’est l’excitation qui l’emportait.
Elle a pénétré un puis deux de ses doigts dans mon vagin (peut-être qu’il y en eu trois, finalement). Je sentais ses doigts bouger en moi, par que c’était tout, sauf doux.
Rapidement, elle les ressort, me repousse vers le lavabo, face à la glace, se colle derrière moi, elle glisse ses doigts dans ma bouche, les uns après les autre et me les fait lécher (je confirme, il y en avait trois). Elle colle son visage près de mon oreille et me glisse « tu es une grande mouilleuse toi ». Ça sera les seule paroles qu’elle prononcera. Elle me repousse avec un sourire narquois et s’en va en me plantant là.
Il me fallut au moins trente seconde pour réagir après son départ. Je ramasse ma robe sur le sol, m’enferme à nouveau dans la cabine pour me rhabiller, ressort me recoiffe, prend de l’eau dans la bouche au robinet, me gargarise, retouche mon maquillage et je sors des WC pour rejoindre la salle de réception, surement toute rouge, ayant honte de moi, un peu énervée aussi du traitement que je venais de subir. Cette fille, j’aurais dû la … Finalement c’était une situation excitante, mais quelle conne quand même, elle se prend pour qui ? Cette grande pétasse !!!!
Je reviens dans la salle de réception, bien décidée à aller la voir pour lui balancer une réflexion bien sentie, mon regard fait le tour. Mandy a disparu.
Bon, j’en ai ma claque, je me casse de là.
Je repère Georges, le prévient que je rentre, il insiste pour que je reste chez moi le lundi, je lui dis qu’on verra ….
Je récupère mon manteau et mon sac à main au vestiaire, salut le pingouin toujours à son poste et sort pour rejoindre ma voiture sur le parking peu éclairé à cette heure de la soirée.
Je la repère et commence à chercher mes clés de voiture dans mon sac à main. Impossible de remettre la main dessus. Je fouille le sac (bon d‘accord, ce n’est pas un sac à main, c’est une valise, mais quand même), rien, je refouille, je vide les poches de mon manteau, rien. Je m’apprête à faire demi-tour, pour retourner au vestiaire au cas où elle serait tombée d’une poche quand la portière côté conducteur s’ouvre. Ça a pour effet d’allumer la veilleuse de la voiture. Une forme humaine est sur le siège passager. Apeurée, je m’approche tout de même ne sachant pas à quoi m’attendre. Je reconnais … Mandy assise sur le siège. Elle me tend mes clés de voiture et me dit, toujours aussi froidement, « tu montes et tu conduis ».
Comme tout à l’heure dans les WC, je suis comme pétrifiée, et j’obéis sans plus discuter à cette voix qui m’hypnotise littéralement. L’énervement et le sentiment de révolte qui m’animaient encore cinq minutes avant se sont envolés.
De quelques ordres brefs, elle m’indique le chemin à suivre. Nous quittons l’agglomération puis la route principale, pour nous engager sur des routes secondaires. Bientôt nous traversons une forêt et nous retrouvons en pleine campagne.
Après une demi-heure de route, je n’avais pas eu doit à un mot de Mandy, hormis aux intersections, quelques « à gauche » ou « tout droit ». Après avoir traversé un village silencieux et désert à cette heure tardive, nous arrivons devant la grille d’un hôtel apparemment très étoilés.
- C’est là me dit-elle
Je prends une allée bordée de grands arbres et découvre un petit château. J’arrête le véhicule, un jeune homme en uniforme se précipite vers ma portière l’ouvre m’aide à descendre, se présente comme le voiturier et m’annonce qu’il va s’occuper de mon véhicule. Un portier a descendu le perron de l’hôtel et a ouvert la portière passager, Il a failli tomber à la renversa quand Mandy la géante s’est extirpée de ma petite voiture. Je suppose qu’il devait avoir une vue plongeante sur son décollette et sur ses cuisses que sa robe ultra courte masquait peu. Comme nous étions dans un hôtel de grande classe, il choisit de paraitre impassible, mais difficilement. Enfin, il avait l’air d’avoir chaud quand même.
Au désespoir du groom, l’étiquette lui imposait de passer devant nous pour grimper les marches qui menaient à l’hôtel. Il lui fut donc impossible de lorgner sur les fesses de Mandy (et accessoirement sur les miennes, j’espère que j’étais plutôt sexy aussi dans ma petite robe de cocktail, même si à côté de la créature, je passais au second plan forcément).
La jeune réceptionniste blondinette se souviendra longtemps de cette grande fille qui lui annonça « Une suite pour deux, pour la soirée, non pas de bagages et faites monter une bouteille de champagne, du Cristal de Roederer, bien sûr, frappé. Ah et du saumon, nous allons avoir faim après … ». Elle resta très professionnelle en nous tendant la carte qui permettait d’ouvrir la suite et en indiquant l’étage et le numéro. Ses yeux passaient sans arrêt de Mandy à moi. J’imagine sans peine, le genre de pensée qui habitait cette fille.
Dans l’ascendeur, le liftier, (eh oui, il y avait même un liftier, comme dans les films !) ne pouvait lui aussi détacher son regard de nous. D’autant plus que Mandy pour accentuer l’effet me flattait la croupe d’un geste indolent. Le pauvre garçon faisait semblant de regarder ailleurs, de s’intéresser au chiffres qui défilaient indiquant les étages.
Je crois qu’on parlera encore longtemps de notre arrivée dans cet hôtel.
Cinquième étage, porte 512, notre suite. C’est la première fois que j’entrais dans une suite. J’avais déjà fréquenté quelques hôtels luxueux, mais je m’étais contentée d’une chambre de base.
C’était magnifique, de la moquette où on s’enfonçait au moins jusqu’aux chevilles, du mobilier, certes pas à mon gout, mais de très belle facture, un coin salon (enfin, un immense coin), une salle de bain, grande comme dix fois la mienne, avec douche où on pouvait entrer au moins à cinq, baignoire balnéo pour cinq aussi, une suite de produits divers et variés alignée près des vasques, deux peignoirs blancs pliés sur une desserte, en tout une dizaine de serviettes les accompagnaient.
Et le lit? King size, mais king size de chez king size. A l’échelle du reste, pour cinq !
« Une suite prévue pour y faire des partouzes à cinq très certainement » me dis-je intérieurement
Mandy fait le tour, allume toutes les lampes de la pièce (et il y en avait un paquet !) s’approche de moi, se place en face à deux mètre environ, passe ses mains dans son dos, baisse la fermeture éclair de sa robe fourreau. Elle tombe à ses pieds. Mandy est nue en dessous. Elle ne porte même pas de mini string. Je peux enfin profiter de son corps. Ce ne sont plus des formes, que je pouvais deviner, espérer, mais bien du réel. Ses seins, sont superbes, mais ça j’en étais sure, ses jambes sont …
On frappe ! Room service annonce- t-on à travers la porte. Mandy va ouvrir dans le plus simple appareil au serveur. Celui-ci très professionnel, comme si de rien n’était « Champagne et toasts au saumon, comme vous avez indiqué, je pose le plateau où »
- Là, indique Mandy en montrant la table de salon, grande comme une table de pingpong. Elle récupère son sac à main, en sort un billet de 100 euros et le tend au serveur en guise de pourboire, qui s’éclipse, toujours aussi professionnel.
Mandy, toujours aussi silencieuse et hautaine, passe devant moi sans me regarder va s’allonger au milieu du lit.
Elle m’adresse enfin la parole : « Déshabille toi et essaye d’être sensuelle ! » me dit-elle.
Elle veut un striptease ? Ok, je me prends au jeu, elle veut jouer, elle va être servie. Je ne suis pas une grande spécialiste, mais je sais me déshabiller en ondulant des hanches et en me caressant les cuisses. J’ai même pris une chaise pour prendre une pause à la Marlene Dietrich dans l’ange bleu pour retirer mes bas. Me reste mon string uniquement, que je retire pour le lancer à Mandy sur le lit. Elle s’en empare pour le renifler. Je vois sa langue passer sur le tissu au niveau de l’entrejambe.
- Viens maintenant, dit-elle en jetant mon string au milieu de la pièce.
C’est quasiment un ordre et j’obéis.
Je me couche près d’elle, sa bouche s’approche de la mienne, sa langue sort et lèche le pourtour de mes lèvres avant de s’enfoncer dans ma bouche, elle est brusque, mais j’aime ça, moi qui apprécie plutôt la tendresse d’habitude.
Sa main flatte ma croupe, la mienne la sienne de croupe, Je touche enfin ce cul magnifique qui m’a fait baver toute la soirée.
Deux doigts fourragent mon vagin, elle les ressort :
- Lèche-moi maintenant
- Partout, précise-t-elle ensuite.
Je m’exécute, ses seins d’abord, énormes et dressés comme deux obus. Elle a deux tétons bien durs au milieu de deux grosses auréoles. Je m’en délecte. Son sexe que je lèche consciencieusement.
Son souffle commence à s’accélérer, elle gémît. « Oui oui oui vas-y encore»
Enfin, je la tiens, elle est à moi !
Je la retourne la mets à 4 pattes, j’ai son cul entre mes mains, son magnifique cul, il est à moi. Je le caresse, je secoue les fesses l’une contre l’autre une main de chaque côté, je lui mets quelques petites claques, ce qui provoque chez elle des « humm » et des « comme ça ouiii ».
Je me baisse, écarte ses fesses, découvre la raie, son anus rose entre cette peau noire apparait. C’est un divin spectacle. J’y glisse ma langue. Je déguste ce cul qui est mien maintenant.
Ma main est passée entre ses cuisses pour la caresser.
Maintenant je vais te faire jouir ma grande, c‘est moi qui gère, c’est moi qui décide.
Ça ne tarde pas, je la sens venir, lle gémit, puis pousse des petits cris, puis va pour se lâcher, sa tête posée sur l’oreiller, le mordillant. Hop, j’arrête tout. Tu y a cru ? Elle tourne doucement son visage et me jette un regard de petite bête apeurée.
Ma main, mes doigts sont tout humides de sa mouille. Je la retourne et la mets sur le dos à nouveau , je m’allonge le visage entre ses cuisses. Ma langue après avoir énervé son clito tout dressé, passe sur ses lèvres (les petites et les grandes), s’insère dans son vagin. Cette fois, je la laisse partir. Elle crie, dis-je elle explose. Ses mains ont agrippé les draps. Si ça continue, elle va les déchirer. Enfin, elle se relâche, les yeux fermés, elle reprend sa respiration.
Je n’en ai pas terminé avec elle.
Comme elle tout à l’heure dans les WC, je lui fais sucer mes doigts, j’appose même ma paume sur sa bouche, qu’elle lèche à grands coups de langue.
J’enlève ma main, pour y mettre à la place ma bouche. Je me suis allongée sur elle. Ma peau blanche de blonde tranche avec la sienne très foncée. Un bel ensemble, je dois dire.
Ma langue déguste la sienne, elle a encore le gout de sa cyprine récoltée sur mes doigts. Je me redresse, m’accroupie au-dessus de son visage, je pose mon sexe sur sa bouche. Je me frotte contre ses lèvres, son nez, ses lèvres, son menton, je reviens sur sa bouche. A chaque passage, sa langue sort de sa bouche et cherche à me lécher le sexe. Je me dérobe à chaque fois, avant de m’assoir quasiment sur sa bouche humide. Je sens sa langue fouiller mon entrée essayer de s’insinuer, j’écarte les cuisses au maximum, pour lui permettre d’aller le plus loin possible. Un de ses doigts, puis un autre se positionne sur mon anus. Elle enfonce, deux fois deux phalanges. Je pousse un cri, mais une fois, la douleur de la pénétration subite passée, le va et vient de ses doigts devient plutôt agréable. Je jouis rapidement, serrant ma lèvre inférieure entre mes dents. Je veux être le moins expressive possible, je lâche à peine quelques gémissements, je ne veux pas montrer a cette fille qui m’a coincée au WC tout à l’heure, qui qui m’a jetée, comme une culotte sale au panier à linge, l‘effet qu‘elle me fait. Par contre j’inonde carrément son visage du fruit de mon excitation, quand je me relève, sa bouche est luisante de mes secrétions intimes et de sa salive. Je me penche pour l’embrasser à nouveau, lui lécher le visage, et récupérer ainsi une partie de ce mélange.
Je m’écroule épuisée à côté d’elle sur le lit. Notre étreinte a été brève mais intense. Nous sommes vidées. Nous nous regardons et nous partons dans un fou rire. Nous nous sommes fait mutuellement notre cinéma, mais le résultat, c’est que nous avons baisé comme deux bêtes affamées.
Elle débouche la bouteille de Cristal, nous trinquons, et en effet, nous avons faim, elle avait raison, nous faisons un sort aux toasts au saumon.
Après quelques ablutions dans la salle de bain, nous nous rhabillons et nous quittons la chambre. Liftier, portier, voiturier nous regardent d’un drôle d’air. La réceptionniste à qui Mandy tend sa carte gold en disant, « nous en avons terminé, la chambre doit être un peu en désordre je suppose » est quant à elle abasourdie et je pense qu’elle ne s’en est pas encore remise depuis six semaines que cette aventure a eu lieu.
J’ai revu Mandy deux fois par la suite. Nos ébats furent tout aussi agités que ce soir-là.
Je crois qu’elle est repartie aux Etats Unis.
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