Manon en enfer 6
Récit érotique écrit par Laure60 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Manon en enfer 6
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
DE SALOPE A PUTAIN 6
Cette fois-ci, au téléphone, Bernard le directeur commercial lui demande de se rendre à l'hôtel habituel à 10 heures et lui dit qu'elle sera au service d'un homme jusqu'au lendemain matin et qu'il est spécial.
Manon demande des précisions concernant le "il est spécial", la réponse est:<<je te laisse la surprise, tu vas adorer>>.
Bernard éclate de rire puis raccroche.
Comme d'habitude elle choisit des vêtements afin d'être remarquée sans peine, Bernard exige qu'avec sa tenue les gens doivent voir tout de suite qu'elle est une prostituée.
Donc c'est soutien-gorge seins nus, maillot blanc à bretelles ajusté, très mini jupe blanche, bas à résilles et bottines blanches.
Vêtue conformément à son statut de putain, car elle est bien consciente qu'elle en est définitivement devenue une, elle ne passe pas inaperçue pendant qu'elle attend devant l'hôtel.
Un homme arrive à pieds une valise à la main et s'approche d'elle.
<<pas besoin de chercher pour savoir que c'est toi la putain qui va me supporter pendant un bon moment>>.
<<oui monsieur c'est moi>>.
<<en temps qu'être inférieur tu devras m'appeler maître>>.
Elle le précède pour gagner la chambre 115 son lieu habituel de prostitution.
Elle ouvre la porte et le laisse entrer puis referme la porte.
<<ne perdons pas de temps, déshabilles toi tout de suite>>.
<<oui maître>>.
Manon obéit pendant que de sa valise il sort tout un attirail qu'il pose sur la table.
Il y a entre autres des cordelettes, un martinet, des menottes, un rouleau d'adhésif, un bâillon constitué d'une lanière en cuir et d'une boule, des godes et des pinces.
<<à genoux espèce de grosse putain>>.
Manon le regarde interloquée, elle est surprise par la violence du ton employé .
Elle vacille, une gifle vient d'atterrir sur une de ses joues.
<<quand ton maître te donne un ordre tu obéis tout de suite>>.
<<excusez moi maître>>.
Bien que craintive Manon obéit.
Il lui demande de présenter ses mains et la menotte.
Il se place face à elle, il passe ses jambes entre les bras de Manon et sort la queue de son pantalon.
<<suces et fais ça bien>>.
Manon embrasse le pénis déjà en érection puis le lèche un peu partout en se contorsionnant.
Après avoir léché et suçoté le gland elle enfonce la verge dans sa bouche et fait une fellation à l'homme.
Elle tressaille, des coups de martinet s'abattent sur ses fesses et son dos.
Supportant la douleur elle donne beaucoup d'amplitude aux mouvements de va-et-vient de sa bouche.
Parfois elle est au bord de la nausée quand elle enfonce le membre trop profondément dans sa cavité buccale.
Elle accélère la cadence se disant que plus vite il éjaculera moins longtemps il la frappera avec son martinet.
Heureusement, excité par la situation et le fait d'avoir trouvé une putain qui se soumet à ses demandes hors nature, il ne faut pas très longtemps avant que Manon ne l'amène à la jouissance.
Les mains de l'homme appuient sur sa nuque puis sa queue tressaille dans la bouche de Manon pendant que le sperme coule dans sa gorge en quantité importante.
Manon avale le liquide en essayant de ne pas s'étrangler car vu la quantité elle a du mal à déglutir.
Elle continue la fellation mais son bourreau se recule et se rajuste.
Après l'avoir menottée les mains dans le dos et entravé ses chevilles ensemble il la laisse dans cette position (à genoux) et s'affaire sans s'occuper d'elle.
Après un moment interminable, abandonnant les papiers qu'il est entrain de remplir il s'approche de Manon, il place ses mains sous les aisselles et la tire vers le lit.
Il prend le bâillon sur la table, enfonce sans douceur la boule dans la bouche de sa proie et attache la lanière côté nuque.
<<je ne sais pas toi mais moi j'ai faim, comme tu ne réponds pas je pense que tu n'as pas faim. Je vais te laisser seule, je ne crois pas que tu vas te sauver>>.
Il tourne les talons et sort de la chambre.
Pendant qu'il va déjeuner elle reste à genoux au pied du lit les mains attachées dans le dos, les chevilles entravées et bâillonnée.
Ne pouvant rien faire d'autre, se demandant dans quelle galère on la mise, elle attend patiemment.
Ses genoux commencent à être douloureux.
Enfin son tortionnaire revient du restaurant.
<<je vais m'occuper de toi maintenant>>.
Il libère ses chevilles et oblige Manon à écarter ses jambes au maximum puis en appuyant fortement sur sa nuque avec ses mains il la fait se courber jusqu'à ce que sa tête soit en appui sur le sol.
La queue à l'air il s'agenouille derrière elle.
Mal positionné le pénis butte plusieurs fois entre les fesses de Manon avant de se retrouver contre son anus.
Les mains agrippées aux hanches l'homme fait pénétrer sa queue sans douceur dans le cul de Manon.
c'est douloureux pendant tout le temps ou le membre s'enfonce, Manon mord dans la boule/bâillon.
Ce n'est pas mieux quand il commence à donner des coups de reins faisant aller-et-venir sa queue dans le cul de son souffre-douleur qui a hâte que ça finisse.
Pour couronner le tout, pendant qu'il la défonce, des claques s'abattent sur les cuisses de Manon la faisant sursauter.
Quand enfin l'anus s'est adapté et que la douleur a disparue l'homme éjacule dans les intestins de Manon puis se relève et va se laver.
Le bourreau retire les menottes et demande à Manon de se lever.
<<il faut que j'aille au rendez-vous avec ton souteneur, je vais t'installer confortablement, mets toi sur le lit>>.
Toujours bâillonnée Manon est allongée sur le ventre, elle doit plier ses jambes et tirer ses bras en arrière.
A l'aide de cordelettes il attache la cheville gauche au poignet gauche puis la cheville droite au poignet droit.
Il prend deux pinces et en la soulevant un peu lui en pose une sur chaque téton, c'est douloureux Manon crie mais le son est très atténué par le bâillon.
<< ce n'est pas la peine d'essayer de crier et soit sage pendant mon absence>>.
L'homme quitte la chambre la laissant en pleurs.
Elle reste des heures ainsi et même si elle s'habitue la douleur est difficilement supportable.
Son tortionnaire est de retour.
Il la détache mais la laisse bâillonnée puis il lui donne l'ordre de s'allonger sur le dos.
Il lui demande de replier ses jambes puis avec les cordelettes relie la cheville gauche au poignet gauche et en fait de même côté droit.
Il déboutonne son pantalon et en extrait sa queue qui est bien érigée.
Après les avoir écartées il se couche entre les jambes de Manon et la pénètre.
Il donne des coups de reins violents pendant un petit moment avant qu'elle ne ressente les tressauts du pénis dans sa chatte puis les giclées de sperme inonder son vagin.
Il reste pendant quelques minutes la verge plantée en elle avant de se relever.
<<tu ne peux pas savoir comme c'est bon une prostituée comme toi qui accepte tout, monsieur Bernard a tiré le bon numéro. Il a beaucoup rit quand je lui ai raconté tout ce que je te faisais>>.
Il va laver sa queue et remet de l'ordre dans sa tenue.
Son tortionnaire allume la télé et assis sur le lit regarde une émission pendant un bon moment.
Il détache Manon pour qu'elle puisse aller aux toilettes puis la rattache.
<<bon maintenant je vais dîner, soit patiente je ne serais pas absent trop longtemps. Je vais te laisser attachée comme-ça, j'ai bien compris que tu aimes être rudoyée>>.
Manon s'est déjà passée de déjeuner, maintenant de dîner donc elle ne mangera pas avant de sortir de l'hôtel.
Ses boyaux gargouillent et cette sensation de ventre vide c'est un supplice.
Que le temps semble long à Manon seule sans pouvoir bouger et sans repères.
La porte de la chambre s'ouvre, le réceptionniste entre et se dirige vers la caméra qui filme en permanence ce qui se passe dans la chambre. Il l'éteint et remplace la carte SD puis s'adresse à Manon.
<<avant de la remettre en marche est ce que je peux te sauter, je pense qu'étant une prostituée et vu ce que tu subis aujourd'hui cela ne devrait pas te poser de problèmes>>.
Manon qui n'est plus à ça près opine de la tête.
Le réceptionniste sort sa verge, il bande et mauvaise surprise il est monté comme un bourricot.
Manon se dit: "heureusement que mon bourreau a laissé son sperme dans ma chatte, sinon avec ce defonce-cul j'aurais beaucoup souffert".
L'homme s'allonge sur Manon et galère pour trouver l'orifice de sa chatte.
Enfin il y arrive.
L'homme pèse de tout son poids, son pénis monstrueux s'enfonce lentement dans la grotte de Manon se frayant difficilement un chemin, il finit par buter au fond du vagin.
Il commence à faire aller et venir son pénis dans la chatte de Manon qui ferme les yeux car les sensations ne sont pas agréables.
Manon ressent beaucoup les coulissements du pénis qui s'active dans son ventre.
Heureusement la queue du réceptionniste étant à l'étroit dans le fourreau il ne tient pas longtemps.
La verge gonfle encore et tressaute dans son ventre puis envoie des puissantes giclées de sperme qui frappent le fond de son vagin.
L'homme se relève et la remercie d'avoir accepté qu'il se soulage dans son intimité puis fait des commentaires<<je ne comprends pas qu'une belle femme comme toi accepte tout ce qu'ils te font subir, les vidéos de tes ébats sexuels que je regarde et copie avant de les envoyer à monsieur Bernard me font beaucoup bander et fantasmer, tu es douée pour l'amour>>..
Après avoir boutonné son pantalon il met la caméra en route et la replace puis quitte la chambre après avoir fixé son regard un court instant sur Manon et sur sa posture inconfortable et humiliante.
Elle attend encore un moment avant que Son tortionnaire ne soit de retour.
Il va dans la salle de bain se doucher puis en sort nu.
Manon est surprise de voir qu'il bande, apparemment il ne lui faut pas grand chose pour être en érection, ça doit lui arriver fréquemment n'importe ou même sans l'aide d'une présence féminine.
<<je me sens mieux après ce bon repas. Comme tu n'as pas voulu manger mais je suppose que toi aussi tu a besoin de prendre quelque chose, je vais nourrir ton cul>>.
Il passe ses bras sous Manon et le soulève comme si elle ne pesait rien puis la pose sur le lit et dispose des oreillers sous ses fesses pour les surélever.
<<en regardant ton sexe je suis étonné, je ne pensais pas avoir mis une telle quantité de sperme dans ta chatte>>.
Il ne peut pas savoir qu'une bonne partie de la semence provient du réceptionniste, quand il a éjaculé dans l'intimité de Manon.
Positionné contre elle il déplace sa queue dans la raie de ses fesses et finalement arrive à la positionner correctement puis il pèse avec son corpsSa verge s'enfonce rapidement et entièrement dans l'anus de Manon.
Sans se soucier de ce que ressent la femme qu'il est en train de prendre, il la défonce violemment tel un soudard pendant un bon moment.
En même temps il tord le tétons des seins, tire dessus ou les pince indifférent aux cris étouffés que Manon pousse.
Ne voulant pas se concentrer sur ce qu'elle subit Manon pense au moment où son calvaire va cesser et souhaite que ce soit le plus tôt possible car elle en a marre de ce type aux moeurs hors normes.
Cela la laisse indifférente quand enfin il arrose son cul de sperme.
Il se relève pendant que sa queue rétrécit et ramollit.
Il libère les chevilles et poignets de Manon qui étaient toujours entravés.
<<on s'est assez amusés, maintenant on va dormir>>.
<<j'ai besoin du lit pour moi seul, allonge toi là sur les sol et écarte les bras>>.
Elle se retrouve les poignets reliés par des cordelettes aux pieds du lit, les chevilles entravées ensemble après qu'il aie enfoncé un gode dans son cul et un autre dans sa chatte.
<<avec ça tu ne seras pas seule cette nuit>>.
Elle a compris qu'elle allait passer la nuit ainsi.
Elle ferme les yeux et essaie de dormir.
Au cours de la nuit son bourreau allume la lumière et se lève.
Manon dirige son regard vers lui, il est en érection.
Il libère les chevilles de Manon et retire les godes qui sont toujours dans sa chatte et son anus.
Il s'allonge sur elle et enfonce sa queue dans l'intimité de Manon puis il se met à donner des coups de reins pour faire aller et venir son membre en elle.
Il en profite encore pour martyriser les tétons ce qui est très douloureux.
Elle attend patiemment en essayant de penser à autre chose qu'il en finisse.
Enfin il se soulage dans le vagin de Manon puis se relève.
<<tu ne dois pas être bien comme ça allongée sur le sol, je vais te trouver une meilleure position pour que tu sois plus à l'aise>>.
Libérée des cordelettes reliées aux pieds du lit Manon se retrouve avec les poignets liés ensemble, son tortionnaire la traîne vers la salle de bain.
Après l'avoir ouverte il pose un crochet sur le dessus de la porte.
Il soulève Manon et passe le crochet entre les liens de ses poignets.
Ensuite il attache ensemble ses chevilles.
Le plus douloureux arrive, il pose des pinces sur les tétons ainsi que sur les lèvres de sa chatte.
Le corps de Manon tremble, le bâillon minimise ses cris car c'est très douloureux.
<<dans cette position tu seras mieux pour dormir>>.
Insensible aux larmes qui coulent sur les joues de sa souffre-douleur l'homme retourne tranquillement se coucher.
Le reste de la nuit est un cauchemar pour Manon entre la douleur permanente, la fatigue de devoir rester debout, les muscles ankylosés, les courts asoupissements.
Vers 8 heures du matin l'homme se lève va faire sa toilette.
En passant à côté d'elle il regarde Manon le sourire au lèvres sans se soucier de sa triste mine et tire sur les pinces posées sur les tétons la faisant sursauter.
<<la nuit a été bonne>>.
L'état de sa victime le fait bander, il enlève les pinces posées sur les lèvres de sa chatte et retire la cordelette qui entrave ses chevilles.
Il se colle contre elle après lui avoir demandé d'écarter les cuisses.
En pliant un peu les jambes et cherché la fente du sexe de Marion il enfonce sa verge dans la chatte.
Il donne des coups de reins sans se soucier que ses coups de reins font bouger le corps de Manon et que les douleurs dans ses bras augmentent.
Son torse frotte contre les seins de Manon faisant bouger les pinces fixées sur les tétons ce qui avive la douleur et amène des élancements qui lui font vivre un calvaire.
Pourtant il voit l'expression de son visage et les larmes qui coulent.
<<ne fais pas ta mijaurée, tu n'es pas en sucre monsieur Bernard m'a dit que tu adorais souffrir>>.
Elle comprend que cet homme n'a pas de coeur.
Manon trouve le temps très long pendant qu'il s'active et fait aller et venir sa queue dans son ventre.
c'est un soulagement quand arrive le moment ou il se soulage enfin dans son vagin.
Il se recule puis va se laver, le sperme s'échappe de la chatte de Manon et coule sur le sol.
L'homme s'habille puis sort de la chambre en disant:<<ça m'a ouvert l'appétit, je vais prendre un bon petit déjeuner>>.
Manon reste les bras en l'air prisonnière du crochet posé sur le dessus de la porte de la salle de bain.
Elle a besoin de soulager sa vessie et arrive le moment ou elle ne se retient plus et arrose ses jambes et le sol.
Son petit déjeuner pris le bourreau revient.
<<toi aussi tu vas pouvoir prendre ton petit déjeuner>>.
Il libère Manon et retire les pinces, les tétons sont violacés et boursouflés.
<<tu pues, l'hygiène et toi vous êtes fachées. A genoux sale pute>>.
Manon se presse d'obtempérer.
Il attache le poignet gauche de sa victime à la cheville gauche puis le poignet droit à la cheville droite.
Il se plante devant elle.
DE SALOPE A PUTAIN 6
Cette fois-ci, au téléphone, Bernard le directeur commercial lui demande de se rendre à l'hôtel habituel à 10 heures et lui dit qu'elle sera au service d'un homme jusqu'au lendemain matin et qu'il est spécial.
Manon demande des précisions concernant le "il est spécial", la réponse est:<<je te laisse la surprise, tu vas adorer>>.
Bernard éclate de rire puis raccroche.
Comme d'habitude elle choisit des vêtements afin d'être remarquée sans peine, Bernard exige qu'avec sa tenue les gens doivent voir tout de suite qu'elle est une prostituée.
Donc c'est soutien-gorge seins nus, maillot blanc à bretelles ajusté, très mini jupe blanche, bas à résilles et bottines blanches.
Vêtue conformément à son statut de putain, car elle est bien consciente qu'elle en est définitivement devenue une, elle ne passe pas inaperçue pendant qu'elle attend devant l'hôtel.
Un homme arrive à pieds une valise à la main et s'approche d'elle.
<<pas besoin de chercher pour savoir que c'est toi la putain qui va me supporter pendant un bon moment>>.
<<oui monsieur c'est moi>>.
<<en temps qu'être inférieur tu devras m'appeler maître>>.
Elle le précède pour gagner la chambre 115 son lieu habituel de prostitution.
Elle ouvre la porte et le laisse entrer puis referme la porte.
<<ne perdons pas de temps, déshabilles toi tout de suite>>.
<<oui maître>>.
Manon obéit pendant que de sa valise il sort tout un attirail qu'il pose sur la table.
Il y a entre autres des cordelettes, un martinet, des menottes, un rouleau d'adhésif, un bâillon constitué d'une lanière en cuir et d'une boule, des godes et des pinces.
<<à genoux espèce de grosse putain>>.
Manon le regarde interloquée, elle est surprise par la violence du ton employé .
Elle vacille, une gifle vient d'atterrir sur une de ses joues.
<<quand ton maître te donne un ordre tu obéis tout de suite>>.
<<excusez moi maître>>.
Bien que craintive Manon obéit.
Il lui demande de présenter ses mains et la menotte.
Il se place face à elle, il passe ses jambes entre les bras de Manon et sort la queue de son pantalon.
<<suces et fais ça bien>>.
Manon embrasse le pénis déjà en érection puis le lèche un peu partout en se contorsionnant.
Après avoir léché et suçoté le gland elle enfonce la verge dans sa bouche et fait une fellation à l'homme.
Elle tressaille, des coups de martinet s'abattent sur ses fesses et son dos.
Supportant la douleur elle donne beaucoup d'amplitude aux mouvements de va-et-vient de sa bouche.
Parfois elle est au bord de la nausée quand elle enfonce le membre trop profondément dans sa cavité buccale.
Elle accélère la cadence se disant que plus vite il éjaculera moins longtemps il la frappera avec son martinet.
Heureusement, excité par la situation et le fait d'avoir trouvé une putain qui se soumet à ses demandes hors nature, il ne faut pas très longtemps avant que Manon ne l'amène à la jouissance.
Les mains de l'homme appuient sur sa nuque puis sa queue tressaille dans la bouche de Manon pendant que le sperme coule dans sa gorge en quantité importante.
Manon avale le liquide en essayant de ne pas s'étrangler car vu la quantité elle a du mal à déglutir.
Elle continue la fellation mais son bourreau se recule et se rajuste.
Après l'avoir menottée les mains dans le dos et entravé ses chevilles ensemble il la laisse dans cette position (à genoux) et s'affaire sans s'occuper d'elle.
Après un moment interminable, abandonnant les papiers qu'il est entrain de remplir il s'approche de Manon, il place ses mains sous les aisselles et la tire vers le lit.
Il prend le bâillon sur la table, enfonce sans douceur la boule dans la bouche de sa proie et attache la lanière côté nuque.
<<je ne sais pas toi mais moi j'ai faim, comme tu ne réponds pas je pense que tu n'as pas faim. Je vais te laisser seule, je ne crois pas que tu vas te sauver>>.
Il tourne les talons et sort de la chambre.
Pendant qu'il va déjeuner elle reste à genoux au pied du lit les mains attachées dans le dos, les chevilles entravées et bâillonnée.
Ne pouvant rien faire d'autre, se demandant dans quelle galère on la mise, elle attend patiemment.
Ses genoux commencent à être douloureux.
Enfin son tortionnaire revient du restaurant.
<<je vais m'occuper de toi maintenant>>.
Il libère ses chevilles et oblige Manon à écarter ses jambes au maximum puis en appuyant fortement sur sa nuque avec ses mains il la fait se courber jusqu'à ce que sa tête soit en appui sur le sol.
La queue à l'air il s'agenouille derrière elle.
Mal positionné le pénis butte plusieurs fois entre les fesses de Manon avant de se retrouver contre son anus.
Les mains agrippées aux hanches l'homme fait pénétrer sa queue sans douceur dans le cul de Manon.
c'est douloureux pendant tout le temps ou le membre s'enfonce, Manon mord dans la boule/bâillon.
Ce n'est pas mieux quand il commence à donner des coups de reins faisant aller-et-venir sa queue dans le cul de son souffre-douleur qui a hâte que ça finisse.
Pour couronner le tout, pendant qu'il la défonce, des claques s'abattent sur les cuisses de Manon la faisant sursauter.
Quand enfin l'anus s'est adapté et que la douleur a disparue l'homme éjacule dans les intestins de Manon puis se relève et va se laver.
Le bourreau retire les menottes et demande à Manon de se lever.
<<il faut que j'aille au rendez-vous avec ton souteneur, je vais t'installer confortablement, mets toi sur le lit>>.
Toujours bâillonnée Manon est allongée sur le ventre, elle doit plier ses jambes et tirer ses bras en arrière.
A l'aide de cordelettes il attache la cheville gauche au poignet gauche puis la cheville droite au poignet droit.
Il prend deux pinces et en la soulevant un peu lui en pose une sur chaque téton, c'est douloureux Manon crie mais le son est très atténué par le bâillon.
<< ce n'est pas la peine d'essayer de crier et soit sage pendant mon absence>>.
L'homme quitte la chambre la laissant en pleurs.
Elle reste des heures ainsi et même si elle s'habitue la douleur est difficilement supportable.
Son tortionnaire est de retour.
Il la détache mais la laisse bâillonnée puis il lui donne l'ordre de s'allonger sur le dos.
Il lui demande de replier ses jambes puis avec les cordelettes relie la cheville gauche au poignet gauche et en fait de même côté droit.
Il déboutonne son pantalon et en extrait sa queue qui est bien érigée.
Après les avoir écartées il se couche entre les jambes de Manon et la pénètre.
Il donne des coups de reins violents pendant un petit moment avant qu'elle ne ressente les tressauts du pénis dans sa chatte puis les giclées de sperme inonder son vagin.
Il reste pendant quelques minutes la verge plantée en elle avant de se relever.
<<tu ne peux pas savoir comme c'est bon une prostituée comme toi qui accepte tout, monsieur Bernard a tiré le bon numéro. Il a beaucoup rit quand je lui ai raconté tout ce que je te faisais>>.
Il va laver sa queue et remet de l'ordre dans sa tenue.
Son tortionnaire allume la télé et assis sur le lit regarde une émission pendant un bon moment.
Il détache Manon pour qu'elle puisse aller aux toilettes puis la rattache.
<<bon maintenant je vais dîner, soit patiente je ne serais pas absent trop longtemps. Je vais te laisser attachée comme-ça, j'ai bien compris que tu aimes être rudoyée>>.
Manon s'est déjà passée de déjeuner, maintenant de dîner donc elle ne mangera pas avant de sortir de l'hôtel.
Ses boyaux gargouillent et cette sensation de ventre vide c'est un supplice.
Que le temps semble long à Manon seule sans pouvoir bouger et sans repères.
La porte de la chambre s'ouvre, le réceptionniste entre et se dirige vers la caméra qui filme en permanence ce qui se passe dans la chambre. Il l'éteint et remplace la carte SD puis s'adresse à Manon.
<<avant de la remettre en marche est ce que je peux te sauter, je pense qu'étant une prostituée et vu ce que tu subis aujourd'hui cela ne devrait pas te poser de problèmes>>.
Manon qui n'est plus à ça près opine de la tête.
Le réceptionniste sort sa verge, il bande et mauvaise surprise il est monté comme un bourricot.
Manon se dit: "heureusement que mon bourreau a laissé son sperme dans ma chatte, sinon avec ce defonce-cul j'aurais beaucoup souffert".
L'homme s'allonge sur Manon et galère pour trouver l'orifice de sa chatte.
Enfin il y arrive.
L'homme pèse de tout son poids, son pénis monstrueux s'enfonce lentement dans la grotte de Manon se frayant difficilement un chemin, il finit par buter au fond du vagin.
Il commence à faire aller et venir son pénis dans la chatte de Manon qui ferme les yeux car les sensations ne sont pas agréables.
Manon ressent beaucoup les coulissements du pénis qui s'active dans son ventre.
Heureusement la queue du réceptionniste étant à l'étroit dans le fourreau il ne tient pas longtemps.
La verge gonfle encore et tressaute dans son ventre puis envoie des puissantes giclées de sperme qui frappent le fond de son vagin.
L'homme se relève et la remercie d'avoir accepté qu'il se soulage dans son intimité puis fait des commentaires<<je ne comprends pas qu'une belle femme comme toi accepte tout ce qu'ils te font subir, les vidéos de tes ébats sexuels que je regarde et copie avant de les envoyer à monsieur Bernard me font beaucoup bander et fantasmer, tu es douée pour l'amour>>..
Après avoir boutonné son pantalon il met la caméra en route et la replace puis quitte la chambre après avoir fixé son regard un court instant sur Manon et sur sa posture inconfortable et humiliante.
Elle attend encore un moment avant que Son tortionnaire ne soit de retour.
Il va dans la salle de bain se doucher puis en sort nu.
Manon est surprise de voir qu'il bande, apparemment il ne lui faut pas grand chose pour être en érection, ça doit lui arriver fréquemment n'importe ou même sans l'aide d'une présence féminine.
<<je me sens mieux après ce bon repas. Comme tu n'as pas voulu manger mais je suppose que toi aussi tu a besoin de prendre quelque chose, je vais nourrir ton cul>>.
Il passe ses bras sous Manon et le soulève comme si elle ne pesait rien puis la pose sur le lit et dispose des oreillers sous ses fesses pour les surélever.
<<en regardant ton sexe je suis étonné, je ne pensais pas avoir mis une telle quantité de sperme dans ta chatte>>.
Il ne peut pas savoir qu'une bonne partie de la semence provient du réceptionniste, quand il a éjaculé dans l'intimité de Manon.
Positionné contre elle il déplace sa queue dans la raie de ses fesses et finalement arrive à la positionner correctement puis il pèse avec son corpsSa verge s'enfonce rapidement et entièrement dans l'anus de Manon.
Sans se soucier de ce que ressent la femme qu'il est en train de prendre, il la défonce violemment tel un soudard pendant un bon moment.
En même temps il tord le tétons des seins, tire dessus ou les pince indifférent aux cris étouffés que Manon pousse.
Ne voulant pas se concentrer sur ce qu'elle subit Manon pense au moment où son calvaire va cesser et souhaite que ce soit le plus tôt possible car elle en a marre de ce type aux moeurs hors normes.
Cela la laisse indifférente quand enfin il arrose son cul de sperme.
Il se relève pendant que sa queue rétrécit et ramollit.
Il libère les chevilles et poignets de Manon qui étaient toujours entravés.
<<on s'est assez amusés, maintenant on va dormir>>.
<<j'ai besoin du lit pour moi seul, allonge toi là sur les sol et écarte les bras>>.
Elle se retrouve les poignets reliés par des cordelettes aux pieds du lit, les chevilles entravées ensemble après qu'il aie enfoncé un gode dans son cul et un autre dans sa chatte.
<<avec ça tu ne seras pas seule cette nuit>>.
Elle a compris qu'elle allait passer la nuit ainsi.
Elle ferme les yeux et essaie de dormir.
Au cours de la nuit son bourreau allume la lumière et se lève.
Manon dirige son regard vers lui, il est en érection.
Il libère les chevilles de Manon et retire les godes qui sont toujours dans sa chatte et son anus.
Il s'allonge sur elle et enfonce sa queue dans l'intimité de Manon puis il se met à donner des coups de reins pour faire aller et venir son membre en elle.
Il en profite encore pour martyriser les tétons ce qui est très douloureux.
Elle attend patiemment en essayant de penser à autre chose qu'il en finisse.
Enfin il se soulage dans le vagin de Manon puis se relève.
<<tu ne dois pas être bien comme ça allongée sur le sol, je vais te trouver une meilleure position pour que tu sois plus à l'aise>>.
Libérée des cordelettes reliées aux pieds du lit Manon se retrouve avec les poignets liés ensemble, son tortionnaire la traîne vers la salle de bain.
Après l'avoir ouverte il pose un crochet sur le dessus de la porte.
Il soulève Manon et passe le crochet entre les liens de ses poignets.
Ensuite il attache ensemble ses chevilles.
Le plus douloureux arrive, il pose des pinces sur les tétons ainsi que sur les lèvres de sa chatte.
Le corps de Manon tremble, le bâillon minimise ses cris car c'est très douloureux.
<<dans cette position tu seras mieux pour dormir>>.
Insensible aux larmes qui coulent sur les joues de sa souffre-douleur l'homme retourne tranquillement se coucher.
Le reste de la nuit est un cauchemar pour Manon entre la douleur permanente, la fatigue de devoir rester debout, les muscles ankylosés, les courts asoupissements.
Vers 8 heures du matin l'homme se lève va faire sa toilette.
En passant à côté d'elle il regarde Manon le sourire au lèvres sans se soucier de sa triste mine et tire sur les pinces posées sur les tétons la faisant sursauter.
<<la nuit a été bonne>>.
L'état de sa victime le fait bander, il enlève les pinces posées sur les lèvres de sa chatte et retire la cordelette qui entrave ses chevilles.
Il se colle contre elle après lui avoir demandé d'écarter les cuisses.
En pliant un peu les jambes et cherché la fente du sexe de Marion il enfonce sa verge dans la chatte.
Il donne des coups de reins sans se soucier que ses coups de reins font bouger le corps de Manon et que les douleurs dans ses bras augmentent.
Son torse frotte contre les seins de Manon faisant bouger les pinces fixées sur les tétons ce qui avive la douleur et amène des élancements qui lui font vivre un calvaire.
Pourtant il voit l'expression de son visage et les larmes qui coulent.
<<ne fais pas ta mijaurée, tu n'es pas en sucre monsieur Bernard m'a dit que tu adorais souffrir>>.
Elle comprend que cet homme n'a pas de coeur.
Manon trouve le temps très long pendant qu'il s'active et fait aller et venir sa queue dans son ventre.
c'est un soulagement quand arrive le moment ou il se soulage enfin dans son vagin.
Il se recule puis va se laver, le sperme s'échappe de la chatte de Manon et coule sur le sol.
L'homme s'habille puis sort de la chambre en disant:<<ça m'a ouvert l'appétit, je vais prendre un bon petit déjeuner>>.
Manon reste les bras en l'air prisonnière du crochet posé sur le dessus de la porte de la salle de bain.
Elle a besoin de soulager sa vessie et arrive le moment ou elle ne se retient plus et arrose ses jambes et le sol.
Son petit déjeuner pris le bourreau revient.
<<toi aussi tu vas pouvoir prendre ton petit déjeuner>>.
Il libère Manon et retire les pinces, les tétons sont violacés et boursouflés.
<<tu pues, l'hygiène et toi vous êtes fachées. A genoux sale pute>>.
Manon se presse d'obtempérer.
Il attache le poignet gauche de sa victime à la cheville gauche puis le poignet droit à la cheville droite.
Il se plante devant elle.
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