Manon et ses nouveaux voisins 4
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Manon et ses nouveaux voisins 4
Paul sourit et dit :
-Telle-mère, telle-fille, de bonnes jouisseuses toutes les deux !
Lise se redresse, délaisse Juliette pour elle, c'est mission accomplit. Elle rejoint Manon et Paul dans la salle d'observation. Juliette git sur la table, haletante, son corps et secoué de spasmes violents. Lentement, elle reprend ses esprits. Paul regarde Manon et lui dit en souriant :
-À nous ma petite dame !
Manon serre les poings, elle hésite, j'y vais, j'y vais pas. Paul l'encourage :
-Je sais que vous, vous posez beaucoup de questions, mais il faut vous laisser guider par vos sens, vos envies, ne luttez pas contre, ne gâchez pas ses moments de bonheur que je vous garantis !
Manon a les yeux qui brillent de mille feux, elle pousse un soupir et dit avec des trémolos dans la voix :
-je suis venue juste pour un massage, je ne veux rien de plus !
Paul, toujours en souriant, répond :
-Je me soumets à vos désirs, allons-y !
Une fois que Paul et Manon sont dans la salle de massage, Juliette descend difficilement de la table, elle a encore quelques frisons. Elle croise le regard de sa maman, qui semble stressée. Elle lui dit :
-Maman, c'est mortelle, ce que je viens de subir !
Manon ne répond pas, elle attend que sa fille sorte de la pièce, et retire fébrilement ses vêtements. Elle monte sur la table, elle sursaute lorsqu'un filet d'huile tombe sur son dos. Paul l'étale délicatement sur la peau claire de la femme qui ne cesse de soupirer. Ses mains font des cercles sur le dos en s'approchant des lobes fessiers, Paul frotte le bas des reins longuement, remonte le long de la colonne vertébrale, le corps de Manon se parcourt de frissons.
Il lui verse sur les fesses un fin filet d'huile, qui coule dans la raie. Manon se cabre au contact du liquide visqueux, il glisse doucement sur son anus en le faisant frétiller. Les mains de Paul commencent à malaxer en profondeur les demi-sphères bien rebondies. Ses doigts habiles s'enfoncent dans les chairs souples, en faisant geindre doucement Manon. La tranche de sa main glisse entre les lobes et passe plusieurs fois sur l'œillet brun. Manon se crispe en s'accrochant à la table de massage. Avec un doigt, il fait quelques petites pressions sur le muscle rectal, comme pour en éprouver la souplesse. Manon se cabre légèrement, Paul appuie plus fort, la première phalange disparait dans le rectum. Manon dit en se cabrant :
-Non, non, pas ça, seulement le massage, je vous en prie !
Paul retire son doigt du conduit sensible, et reprend le massage. Un moment plus tard, il demande à Manon de se mettre sur le dos. Il verse un peu d'huile et commence à masser doucement le ventre en progressant vers la poitrine. Les mains agiles tournent autour des seins, Paul a l'art de les faire durcir. Ses doigts passent plusieurs fois sur l'aréole en frôlant les mamelons. Petit à petit les tétons se dressent en durcissant, Paul empoigne les seins et les malaxent en enfonçant ses doigts dans la chair souple.
Manon, malgré-elle, geint doucement. Paul fait durer Le traitement un bon moment avant de saisir les mamelons et de les rouler entre ses doigts. Lorsqu'il les étire et les presse, Manon pousse des gémissements de plaisir. Bien que cela ne fasse pas partie du massage, Paul gobe à tour de rôle les mamelons et les suce comme un enfant qui s'allaite. Manon s'agrippe à la table en gémissant de plus en plus fort. De l'autre côté du miroir, sa fille et Lise regarde le couple, en espérant que Paul ira plus loin.
Enfin Paul éloigne sa bouche des seins, ses mains enduites de lubrifiant, s'éternisent sur le ventre plat de Manon. Habilement, il frotte le haut de la vulve en faisant quelques dérapages contrôlés. Ses doigts glissent volontairement sur les grandes lèvres, mais lorsqu'ils remontent, le coquin appuie sur le clito, cela provoque dans le corps de Manon comme de petites décharges électriques. Paul, réitère de nombreuses fois ce geste, Manon souffle comme un bœuf. Il lui dit :
-Accepte le bonheur que je vais t'offrir !
Manon ne répond pas. Le filet d'huile que Paul verse sur sa vulve et ses cuisses la fait cabrer. Il masse les mollets et les cuisses, en remontant vers le puits d'amour. Doucement, Manon ouvre les jambes. Paul masse l'intérieur des cuisses, en frôlant la chatte. Il coince les grandes lèvres avec ses deux mains et les presse l'une contre l'autre en appuyant. Manon ne le repousse pas, elle pousse un gémissement en se cabrant. Le coquin frotte l'une contre l'autre les grandes lèvres. L'effet presque immédiat, Manon pousse un grognement en se mordant la main, sa jouissance est fulgurante.
Paul sourit, et emprisonne entre ses deux pouces le clito, il le presse. Manon se cabre, sa chatte rejette son jus sans discontinuer. Avec professionnalisme, Paul saisit entre son pouce et son index la perle magique et la branle doucement. Son autre main descend, passe sous les fesses, elle approche de la petite porte de service. Il caresse avec deux doigts l'anus qui se met à frétiller. Paul accélère le branlage, soudain, il écrase le clito et au même moment, il enfonce les deux doigts dans le rectum de Manon qui pousse un râle. Il reprend le branlage du clito tout en ramonant le conduit étroit. Manon gémit, elle n'a pas le courage de repousser les intrus, elle agite inconsciemment son bassin.
Paul cesse de branler la boule de chair qui est devenue énorme, mais il maintient une pression sur le clito. Manon se cabre, Paul lui pilonne le rectum avec violence. Lise regarde Juliette et lui dit :
-Ta maman va Jouir du cul, regarde comme elle s'agite !
Juliette ne tient plus dans son siège. Soudain Paul presse fortement le clito de Manon, lui enfonce profondément ses doigts dans le rectum et agite fortement ses premières phalanges, Manon pour un cri terrible, la jouissance exceptionnelle la fait cabrer. Pour parfaire la jouissance, Paul branle quelques secondes le clito, avant de le lâcher et retirer ses doigts du rectum brûlant. Il se penche sur la jouisseuse, et lui murmure quelques mots. Manon bredouille, seul Paul comprend ce qu'elle répond.
Il sourit, et fait tomber la serviette qui recouvrait sa verge, elle est tendue comme un mât. Il la caresse doucement puis monte sur la table. Il présente son engin contre la vulve dégoulinante et l'enfonce doucement. Manon pousse un long râle pendant la pénétration, elle s'agrippe à son bienfaiteur, en gémissant comme une bête agonisante. Paul commence un va-et-vient bien dosé. Il ralentit lorsque c'est nécessaire, pour retarder la jouissance de Manon, pour reprendre ensuite une accélération terrible.
Juliette de son poste d'observation regarde le manche voyager dans le ventre sa maman, qui geint de bonheur. La queue gorgée de sang entre et ressort à un rythme bien calculé de la vulve en fusion, qui est délaissée depuis un bon bout de temps. Les râles de Manon deviennent plus bruyants, au bord de la jouissance, elle donne, elle aussi, des coups de reins. Paul retire entièrement sa queue du ventre brûlant. Il la frotte, un court instant contre le clito méconnaissable pour la replonger profondément sans le ventre de Manon en poussant un han de bucheron.
La queue coulisse dans la gaine lubrifiée naturellement pas l'abondante cyprine qu'elle secrète. Un bruit étrange se fait entendre tellement la chatte mouille. Manon se cambre comme un pont un jour de tempête et explose de jouissance. Depuis sa séparation avec son mari, elle ne savait plus ce que c'était jouir avec un membre dans le ventre.
Paul profite de la situation, il retire sa queue bien lubrifier, et la place contre l'anus. Manon se cabre en signe de protestation. Paul lui dit quelques mots, Manon se laisse retomber sur la table, elle prend une grande aspiration en s'accrochant à son amant. C'est le moment que choisit Paul pour enfoncer son pal dans le rectum de Manon qui pousse un cri. Paul pousse pousse jusqu'à ce que ses couilles viennent en contacte avec les fesses de la soumise.
Manon croit mourir tellement c'est douloureux, elle serre les dents, grimace en soufflant comme un bœuf. Paul, en bon amant, ne brusque pas le va-et-vient, il le fait très lentement, mais à chaque fois, il enfonce sa queue au maximum dans le fondement de Manon qui s'accroche à Paul comme une pieuvre à son rocher. Petit à petit la douleur s'estampe, Manon commence à geindre de plaisir. Paul accélère, Manon gémit plus fortement, un rictus déforme son visage, un filet de bave s'échappe la commissure de ses lèvres.
Paul augmente la vitesse de pénétration, ses coups de reins deviennent plus violents. Manon s'accroche à lui en haletant comme une bête malade. Soudain, elle se cabre en poussant un hurlement inhumain. Elle jouit du cul très, très fortement. Elle marmonne des mots inaudibles en tirant sur les hanches de Paul, qui se bloque et lui envoie dans le cul un flot de semence épaisse. Il donne encore quelques estocades puissantes, pour re-faire, jouir, Manon. Enfin, il retire du canal étroit sa queue, il regarde le corps de Manon trembler, il est secoué de spasmes violents. Paul caresse le trou encore ouvert pour en apaiser le feu qui le ronge. L'anus ne cesse de s'ouvrir et se refermer constamment, comme un appel.
Paul y enfonce trois doigts et le ramone jusqu'à ce que Manon jouisse une nouvelle fois. Lise, caresse Juliette qui regarde sa maman se faire ramoner par son amant, jusqu'à ce qu'elle jouisse à son tour.
Paul cesse, il regarde Manon qui comme un automate lui saisit la verge gluante et décalotte le gland. Sous les yeux émerveillés de sa fille, elle se met à sucer le gland volumineux, jusqu'à ce qui lui remplisse la bouche de sa liqueur épaisse. Manon, sans se formaliser, avale la décharge au goût suave. Enfin, il est temps de se séparer. Les deux femmes restent un long moment sans se dire un mot.
-Telle-mère, telle-fille, de bonnes jouisseuses toutes les deux !
Lise se redresse, délaisse Juliette pour elle, c'est mission accomplit. Elle rejoint Manon et Paul dans la salle d'observation. Juliette git sur la table, haletante, son corps et secoué de spasmes violents. Lentement, elle reprend ses esprits. Paul regarde Manon et lui dit en souriant :
-À nous ma petite dame !
Manon serre les poings, elle hésite, j'y vais, j'y vais pas. Paul l'encourage :
-Je sais que vous, vous posez beaucoup de questions, mais il faut vous laisser guider par vos sens, vos envies, ne luttez pas contre, ne gâchez pas ses moments de bonheur que je vous garantis !
Manon a les yeux qui brillent de mille feux, elle pousse un soupir et dit avec des trémolos dans la voix :
-je suis venue juste pour un massage, je ne veux rien de plus !
Paul, toujours en souriant, répond :
-Je me soumets à vos désirs, allons-y !
Une fois que Paul et Manon sont dans la salle de massage, Juliette descend difficilement de la table, elle a encore quelques frisons. Elle croise le regard de sa maman, qui semble stressée. Elle lui dit :
-Maman, c'est mortelle, ce que je viens de subir !
Manon ne répond pas, elle attend que sa fille sorte de la pièce, et retire fébrilement ses vêtements. Elle monte sur la table, elle sursaute lorsqu'un filet d'huile tombe sur son dos. Paul l'étale délicatement sur la peau claire de la femme qui ne cesse de soupirer. Ses mains font des cercles sur le dos en s'approchant des lobes fessiers, Paul frotte le bas des reins longuement, remonte le long de la colonne vertébrale, le corps de Manon se parcourt de frissons.
Il lui verse sur les fesses un fin filet d'huile, qui coule dans la raie. Manon se cabre au contact du liquide visqueux, il glisse doucement sur son anus en le faisant frétiller. Les mains de Paul commencent à malaxer en profondeur les demi-sphères bien rebondies. Ses doigts habiles s'enfoncent dans les chairs souples, en faisant geindre doucement Manon. La tranche de sa main glisse entre les lobes et passe plusieurs fois sur l'œillet brun. Manon se crispe en s'accrochant à la table de massage. Avec un doigt, il fait quelques petites pressions sur le muscle rectal, comme pour en éprouver la souplesse. Manon se cabre légèrement, Paul appuie plus fort, la première phalange disparait dans le rectum. Manon dit en se cabrant :
-Non, non, pas ça, seulement le massage, je vous en prie !
Paul retire son doigt du conduit sensible, et reprend le massage. Un moment plus tard, il demande à Manon de se mettre sur le dos. Il verse un peu d'huile et commence à masser doucement le ventre en progressant vers la poitrine. Les mains agiles tournent autour des seins, Paul a l'art de les faire durcir. Ses doigts passent plusieurs fois sur l'aréole en frôlant les mamelons. Petit à petit les tétons se dressent en durcissant, Paul empoigne les seins et les malaxent en enfonçant ses doigts dans la chair souple.
Manon, malgré-elle, geint doucement. Paul fait durer Le traitement un bon moment avant de saisir les mamelons et de les rouler entre ses doigts. Lorsqu'il les étire et les presse, Manon pousse des gémissements de plaisir. Bien que cela ne fasse pas partie du massage, Paul gobe à tour de rôle les mamelons et les suce comme un enfant qui s'allaite. Manon s'agrippe à la table en gémissant de plus en plus fort. De l'autre côté du miroir, sa fille et Lise regarde le couple, en espérant que Paul ira plus loin.
Enfin Paul éloigne sa bouche des seins, ses mains enduites de lubrifiant, s'éternisent sur le ventre plat de Manon. Habilement, il frotte le haut de la vulve en faisant quelques dérapages contrôlés. Ses doigts glissent volontairement sur les grandes lèvres, mais lorsqu'ils remontent, le coquin appuie sur le clito, cela provoque dans le corps de Manon comme de petites décharges électriques. Paul, réitère de nombreuses fois ce geste, Manon souffle comme un bœuf. Il lui dit :
-Accepte le bonheur que je vais t'offrir !
Manon ne répond pas. Le filet d'huile que Paul verse sur sa vulve et ses cuisses la fait cabrer. Il masse les mollets et les cuisses, en remontant vers le puits d'amour. Doucement, Manon ouvre les jambes. Paul masse l'intérieur des cuisses, en frôlant la chatte. Il coince les grandes lèvres avec ses deux mains et les presse l'une contre l'autre en appuyant. Manon ne le repousse pas, elle pousse un gémissement en se cabrant. Le coquin frotte l'une contre l'autre les grandes lèvres. L'effet presque immédiat, Manon pousse un grognement en se mordant la main, sa jouissance est fulgurante.
Paul sourit, et emprisonne entre ses deux pouces le clito, il le presse. Manon se cabre, sa chatte rejette son jus sans discontinuer. Avec professionnalisme, Paul saisit entre son pouce et son index la perle magique et la branle doucement. Son autre main descend, passe sous les fesses, elle approche de la petite porte de service. Il caresse avec deux doigts l'anus qui se met à frétiller. Paul accélère le branlage, soudain, il écrase le clito et au même moment, il enfonce les deux doigts dans le rectum de Manon qui pousse un râle. Il reprend le branlage du clito tout en ramonant le conduit étroit. Manon gémit, elle n'a pas le courage de repousser les intrus, elle agite inconsciemment son bassin.
Paul cesse de branler la boule de chair qui est devenue énorme, mais il maintient une pression sur le clito. Manon se cabre, Paul lui pilonne le rectum avec violence. Lise regarde Juliette et lui dit :
-Ta maman va Jouir du cul, regarde comme elle s'agite !
Juliette ne tient plus dans son siège. Soudain Paul presse fortement le clito de Manon, lui enfonce profondément ses doigts dans le rectum et agite fortement ses premières phalanges, Manon pour un cri terrible, la jouissance exceptionnelle la fait cabrer. Pour parfaire la jouissance, Paul branle quelques secondes le clito, avant de le lâcher et retirer ses doigts du rectum brûlant. Il se penche sur la jouisseuse, et lui murmure quelques mots. Manon bredouille, seul Paul comprend ce qu'elle répond.
Il sourit, et fait tomber la serviette qui recouvrait sa verge, elle est tendue comme un mât. Il la caresse doucement puis monte sur la table. Il présente son engin contre la vulve dégoulinante et l'enfonce doucement. Manon pousse un long râle pendant la pénétration, elle s'agrippe à son bienfaiteur, en gémissant comme une bête agonisante. Paul commence un va-et-vient bien dosé. Il ralentit lorsque c'est nécessaire, pour retarder la jouissance de Manon, pour reprendre ensuite une accélération terrible.
Juliette de son poste d'observation regarde le manche voyager dans le ventre sa maman, qui geint de bonheur. La queue gorgée de sang entre et ressort à un rythme bien calculé de la vulve en fusion, qui est délaissée depuis un bon bout de temps. Les râles de Manon deviennent plus bruyants, au bord de la jouissance, elle donne, elle aussi, des coups de reins. Paul retire entièrement sa queue du ventre brûlant. Il la frotte, un court instant contre le clito méconnaissable pour la replonger profondément sans le ventre de Manon en poussant un han de bucheron.
La queue coulisse dans la gaine lubrifiée naturellement pas l'abondante cyprine qu'elle secrète. Un bruit étrange se fait entendre tellement la chatte mouille. Manon se cambre comme un pont un jour de tempête et explose de jouissance. Depuis sa séparation avec son mari, elle ne savait plus ce que c'était jouir avec un membre dans le ventre.
Paul profite de la situation, il retire sa queue bien lubrifier, et la place contre l'anus. Manon se cabre en signe de protestation. Paul lui dit quelques mots, Manon se laisse retomber sur la table, elle prend une grande aspiration en s'accrochant à son amant. C'est le moment que choisit Paul pour enfoncer son pal dans le rectum de Manon qui pousse un cri. Paul pousse pousse jusqu'à ce que ses couilles viennent en contacte avec les fesses de la soumise.
Manon croit mourir tellement c'est douloureux, elle serre les dents, grimace en soufflant comme un bœuf. Paul, en bon amant, ne brusque pas le va-et-vient, il le fait très lentement, mais à chaque fois, il enfonce sa queue au maximum dans le fondement de Manon qui s'accroche à Paul comme une pieuvre à son rocher. Petit à petit la douleur s'estampe, Manon commence à geindre de plaisir. Paul accélère, Manon gémit plus fortement, un rictus déforme son visage, un filet de bave s'échappe la commissure de ses lèvres.
Paul augmente la vitesse de pénétration, ses coups de reins deviennent plus violents. Manon s'accroche à lui en haletant comme une bête malade. Soudain, elle se cabre en poussant un hurlement inhumain. Elle jouit du cul très, très fortement. Elle marmonne des mots inaudibles en tirant sur les hanches de Paul, qui se bloque et lui envoie dans le cul un flot de semence épaisse. Il donne encore quelques estocades puissantes, pour re-faire, jouir, Manon. Enfin, il retire du canal étroit sa queue, il regarde le corps de Manon trembler, il est secoué de spasmes violents. Paul caresse le trou encore ouvert pour en apaiser le feu qui le ronge. L'anus ne cesse de s'ouvrir et se refermer constamment, comme un appel.
Paul y enfonce trois doigts et le ramone jusqu'à ce que Manon jouisse une nouvelle fois. Lise, caresse Juliette qui regarde sa maman se faire ramoner par son amant, jusqu'à ce qu'elle jouisse à son tour.
Paul cesse, il regarde Manon qui comme un automate lui saisit la verge gluante et décalotte le gland. Sous les yeux émerveillés de sa fille, elle se met à sucer le gland volumineux, jusqu'à ce qui lui remplisse la bouche de sa liqueur épaisse. Manon, sans se formaliser, avale la décharge au goût suave. Enfin, il est temps de se séparer. Les deux femmes restent un long moment sans se dire un mot.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
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Continue ainsi,Linsee, c'est merveilleux 💖💖
Cyrille
Continue ainsi,Linsee, c'est merveilleux 💖💖
Cyrille
Que du bonheur.
Christian
Christian
Histoire excitante comme toujours !!!
Linsee, vos récits sont "vivants", j'ai l'impression d'être avec eux...
Linsee, votre imagination est débordante...
Lolo
Linsee, vos récits sont "vivants", j'ai l'impression d'être avec eux...
Linsee, votre imagination est débordante...
Lolo