Manon, la jeune kinésithérapeute, découvre son professeur.

Récit érotique écrit par Osiris [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Manon, la jeune kinésithérapeute, découvre son professeur.
Avant l'heure prévue, Manon est la première à se présenter chez Martine.
Les deux femmes échangent un tendre baiser.
« Tu es en avance. » « Oui, j'ai vite pris une douche et je me suis habillée en toute vitesse, lui dit la jeune fille. »
« Cette robe te sublime, elle épouse tes formes à merveille. »« Je te remercie », répond Manon.
« Et les dessous sont-ils aussi séduisants ? »
La demoiselle retrousse sa robe, révélant un charmant slip brésilien noir.
« Mon soutien-gorge est coordonné. »
« C'est notre homme qui va être comblé », lui assure Martine.
« Puisque tu es en avance, tu vas m'aider à préparer l'apéritif dans le salon. »
« Je nous ai fait des toasts et j’ai deux grosses pizzas en réserve pour plus tard. »
Une heure après, on frappe à la porte. Reste ici, je vais lui ouvrir.
« Bonjour Martine, as-tu remarqué que cette fois-ci, je suis à l'heure ? » Il lui tend alors deux bouteilles de champagne.
« Place-les au réfrigérateur, elles ne sont pas très fraîches. »
« La demoiselle est arrivée ? » « Oui, elle se trouve dans le salon et attend avec anxiété. »
Manon écoute cette voix qu'elle reconnaît, mais elle ne parvient pas à l'associer à un nom.
Son cœur bat la chamade
Elle est tout effarouchée à l'idée de faire la rencontre d'un homme qu'elle connaît déjà et d'imaginer ce qui va se passer par la suite.
Valentin entre dans le living. « Bonsoir Manon. »
« Oh, ce n'est pas vrai. » « Il ne peut pas s'agir de vous, docteur. »
Son visage se teint d'une rougeur cramoisie, reflet de sa honte et de sa confusion.
« En effet, je suis le médecin de Martine, mais également son amant, et j'ai pour ambition de devenir le tien très prochainement. »
« Quel est ton avis sur cela ? »
« Cela ne me semble pas possible, nous collaborons presque en permanence », répondit la demoiselle.
« À toi de décider, agis selon ton désir, mais garde à l'esprit que si tu optes pour rester avec nous, aucune partie de ton corps ne sera plus un mystère pour moi, pas même les endroits les plus intimes et secrets. »
« Tu vois, je ne te cache rien du tout. »
En voyant la jeune fille anxieuse, Valentin explique à Manon ce qui est prévu, sans tarder et surtout pour empêcher qu'elle ait le temps de réfléchir.
« Voici ce qui va se produire maintenant. »
« Je vais me poser sur le canapé pendant que Martine me fera un plaisir que j’apprécie particulièrement devant tes yeux. »
Manon, ne réponds pas, elle est complètement perdue et dépitée.
Après ces belles paroles, la sexagénaire prend un coussin et se positionne à genoux entre les jambes du docteur, qu'elles écartent.
Elle abaisse la fermeture-éclair et fait descendre le pantalon.
Martine baisse le boxer et prend possession du sexe de Valentin, déjà à moitié en érection, tandis que Manon, tenant toujours une coupe dans sa main, reste figée, ébahie.
Martine se penche, ouvre la bouche et le gobe.
Manon apprécie de voir ce sexe d’homme, mais elle le trouve, disons, un peu trop démesuré.
Le pénis du docteur se développe et devient aussi dur qu'une tige d'acier.
Martine s'interrompt et interroge Manon pour savoir si elle souhaite lui succéder. Sans attendre de réponse, Martine se lève et prend la coupe de Manon qu'elle dépose sur la table de salon. Elle tend les mains vers la jeune fille et lui demande de venir.
« Lève-toi maintenant, n'ai aucune crainte, tu sais, cette grosse bête-là n’a jamais de mal à personne, bien au contraire. »
Une fois levée, Martine lui dit : « D'abord, il faut que tu exposes tes jolies dessous à ton futur amant. »
Martine dépose la robe de la kiné qui se soumet sans opposer de résistance.
Manon s'expose en slip brésilien avec son soutien-gorge assorti en dentelle de couleur noire.
« Qu’en penses-tu, Valentin ? »
« Je la trouve vraiment splendide et intensément séduisante. » « J'ai une véritable envie de la dévorer, de l'aimer jusqu'à ce qu'elle se laisse aller et pousse des cris de plaisir. »
Aidée par son amie, Manon prend la place de Martine entre les jambes du médecin.
Martine saisit le sexe du médecin et le guide vers la bouche de son ingénue. La cavité s'ouvre, se déforme et capture le membre viril qui glisse déjà à l'intérieur.
Entre-temps, Martine caresse doucement le dos, les fesses et la poitrine de la jeune fille. Elle dégrafe le soutien-gorge et le propulse dans l'espace.
C'est la première fois que Valentin découvre les deux petits seins et il est émerveillé par leurs fermetés, leurs formes idéales et enfin de leurs tétons qui se dressent audacieusement avec arrogance.
Constatant l'inexpérience de la jeune fille, Martine lui donne quelques conseils.
« N'oublie pas de tourner ta langue autour de son gland et de creuser tes joues comme pour l'aspirer, puis tu coulisses lentement tes lèvres en changeant régulièrement le rythme. »
Manon s'applique du mieux qu'elle peut. Elle trouve même cela agréable.
« Manon, serais-tu d'accord pour que je jouisse dans ta bouche ? » demande le docteur.
« Non, je ne préfère pas, il faut me laisser du temps, tout ceci est nouveau pour moi. »
« Et puis, j'ai peur de ne pas apprécier la saveur et ça risque de me dégoûter. »
« Je préfère vous faire jouir avec mes mains, si vous me permettez. »
« Je consens à ta suggestion cette fois-ci, mais sois consciente que tu es ici pour perfectionner ta formation en matière de sexualité », lui répond le docteur.
La jeune femme reprend sa fellation avec énergie et ardeur.
Elle papouille les testicules avec une de ses mains.
Valentin aime cette caresse et semble montrer des indices de vulnérabilité.
Notre médecin commence à pousser de petits soupirs et s’appuie avec ses deux mains crispées sur les cousins du divan.
« Il vaudrait mieux que tu cesses, » dit Martine. « Je crains que notre médecin n'en puisse plus, sinon tu cours le risque d'un incident. »
Manon comprend et arrête immédiatement les caresses avec sa bouche. Elle saisit le membre du médecin et le masturbe avec frénésie.
Elle ajuste la rapidité de sa main et la force appliquée en fonction des réactions du docteur.
Valentin perd vite le contrôle et se rend rapidement.
Le docteur se cabre et, dans un profond soupir, projette par saccades de grands jets de sperme dans les airs.
Manon est très fière d'elle, c'est la première fois qu'elle fait jouir un homme.
Sans attendre, Martine récupère sur un doigt du sperme étalé sur le ventre de l'homme.
« Ouvre la bouche, lui ordonne-t-elle à la jeune fille, suce et goûte ce nectar. »
Manon hésite un instant, puis ouvre la bouche et laisse sa langue recueillir la liqueur encore tiède.
« Alors, quel est ton avis ? » questionne Martine.
Ce n'est pas si mauvais, c'est légèrement salé et sucré à la fois.
« Eh bien, Manon, tu ne fais pas dans la dentelle ! » « Quelle efficacité, certes, un peu mode bourrin, mais le résultat est là », félicitation, s'exclame le médecin en rigolant.
Valentin s'essuie et se rajuste.
Pour me remettre de mes émotions, je reprendrai bien une petite coupe, dit-il aux deux femmes.
« Nous aussi », répliquent en chœur les deux autres.
Après une bonne demi-heure de ce repos consenti, c'est Valentin qui propose la suite des distractions.
« On va maintenant prendre soin de Martine, la pauvre reste sur sa faim, je pense. »
« J'attends cela avec une grande impatience », répond la femme.
« Manon, ôte-lui ses vêtements et ensuite, fait de même avec moi. »
Alors que la jeune fille ôte les vêtements de Martine, Valentin se glisse derrière Manon et retire le dernier obstacle à sa pudeur.
La petite est totalement dépourvue de vêtements. Avec précaution, Valentin la fait pivoter et découvre la petite touffe de poils brunâtre.
« Manon, tu es vraiment belle », lui dit-il.
Il commence une suite de doux baisers sur son cou et ses épaules tout en lui prodiguant des caresses sur les seins et sur les fesses.
Il lui chuchote à l'oreille : « À présent, Martine va s’installer sur le sofa et tu lui procureras du plaisir avec ta langue et tes lèvres. »
« Sois prête à bien cambrer tes reins et donne-toi autant que possible, car je vais pénétrer ton sexe pour atteindre mon second orgasme. »
« Avant tout, n'oublie pas de te concentrer sur le plaisir de Martine plutôt que sur le tien. »
« C'est sa satisfaction qui prime avant tout. »
« Si tu atteins ce but et seulement si, je te permettrais de jouir. »
Tu as bien compris ?
« Oui, docteur », répond la demoiselle humiliée.
« Par la suite, je vais aussi te préparer pour que tu puisses me donner ton petit cul sans souffrance. »
« Martine m'a confié que tu étais très réceptive à cet endroit, et c'est formidable, rares sont les femmes qui ont cette opportunité. »
Manon se positionne confortablement à genoux sur le coussin entre les cuisses grandes ouvertes de Martine.
Elle commence doucement à lui embrasser l'intérieur de ses cuisses qui réagissent déjà en se parant de petits frissons.
Sa bouche se dirige inéluctablement vers la source tellement désirée.
Pendant ce temps, Valentin vient aussi s'installer derrière les jolies fesses de la demoiselle.
Avec ses mains, il sépare les fesses pour finalement découvrir le petit cratère encore pur et tant désiré.
Il prend son sexe bandé en main et le fait coulisser de bas en haut dans le sillon déjà humide de la petite figue sans pour autant la pénétrer.
La bouche de Manon atteint son objectif, sa petite langue se pose sur le sillon et s'efforce d'aplanir tout le sexe de Martine.
C'est une révélation pour la jeune fille qui découvre le parfum et le goût d'un sexe féminin.
Elle s'efforce du mieux qu'elle peut en se basant sur les réactions de Martine et le résultat n'est pas long à venir.
Elle commence à accumuler dans sa bouche le distingué fluide onctueux qui commence à s'écouler généreusement.
Martine laisse échapper des gémissements.
Il devient de plus en plus ardu pour la jeune fille de garder sa concentration, parce que le médecin commence à la stimuler manuellement derrière elle.
« Reste immobile », lui commande Valentin, « je vais t'introduire une préparation dans ton adorable petit derrière qui, grâce à ce traitement, s'ouvrira de lui-même prochainement. »
Manon commence à ressentir une douce chaleur envahir l'intérieur de sa petite cavité.
Elle choisit alors de rendre sa langue plus ferme, puis elle écarte les grandes lèvres de sa complice à l'aide de deux doigts et stimule directement le clitoris qui se dévoile sans réserve à ces caresses.
Le ton se modifie et désormais, de longues plaintes résonnent dans la salle.
Martine saisit brusquement la tête de la jeune fille entre ses mains et la presse sur sa vulve.
Manon comprend que la sexagénaire s'abandonne et tout en faisant tourner l'extrémité dure et aiguisée de sa langue, elle creuse les joues et aspire le bouton jusqu'au déclenchement d'un orgasme fabuleux.
Martine a du mal à revenir sur terre.
Encore essoufflée. Elle attire Manon à elle et l'embrasse avec passion et intensité.
Les deux femmes persistent à ne pas se détacher, et le baiser semble interminable.
C'est Martine qui s'exprime en premier.
« Reste à la maison, je te ferai l'amour de toutes les manières possibles jusqu'à une bonne partie de la nuit. »
« Bien volontiers, j'en ai très envie. » Lui répond la petite.
« Valentin, n'hésite pas à lui attribuer sa récompense, elle l'a bien méritée. »
Il est temps pour Valentin d’enfiler un préservatif sur son membre bien enflé et dur.
Il prend Manon par les hanches, guide son pénis vers l'orifice et s'y introduit délicatement.
La vulve s'ouvre et enveloppe avec intensité l'intrus sur toute sa longueur.
Manon pose sa tête à plat sur le ventre de Martine qui lui caresse tendrement la tête.
Elle en profite pour lui imposer un doigt dans sa bouche et lui demande de le sucer comme un pénis. Manon le suce sans rechigner.
La petite geint à chaque aller et venu de son envahisseur et couine lorsque le sexe s'enfonce au fond de son vagin.
Valentin augmente la cadence et les bruits de son ventre frappant les fesses de la « gamine » commencent à se faire entendre.
Pratiquement en même temps et accompagné des gémissements prolongés et puissants des deux partenaires, Valentin perçoit sur son sexe des contractions rapides qui le compriment, signalant sans équivoque que Manon a atteint l'orgasme.
Le docteur ne peut plus se retenir, il se libère et jouit en plusieurs salves dans le fourreau protégé par le préservatif.
Peu après, il se retire et embrasse avec compassion les fesses de Manon qui apprécie ses petits bisous.
« Manon, Martine et moi sommes vraiment impressionnés par ton attitude », dit Valentin.
« Il est clair que tu es une très bonne élève. »
« Tout à l'heure, j'avais soif et maintenant, c'est la faim qui me tourmente. »
« Par ailleurs, j'ai véritablement un besoin urgent de récupérer. »
« Deux pizzas sont encore à manger. »
Les trois complices mettent leurs dessous sans leurs soutiens-gorge pour les femmes et se régalent des deux pizzas déjà réchauffées.
La seconde bouteille de champagne se verse dans les coupes.
C'est à ce point que Martine convie Manon à la rejoindre dans la salle de bain.
« Que faites-vous, mesdames ? » interroge le docteur.
« Reste ici », ordonne Martine, « ce n'est pas ton affaire. »
Quand elles sont dans la salle de bain, Martine dit à Manon :
« Sais-tu ce qui va prochainement se passer ? »
« Absolument », répondit Manon.
« Il va me prendre par-derrière. »
« C'est tout à fait vrai, acquiesça Martine, et c'est pourquoi il est impératif d'agir avec prudence. »
« Pour éviter tout incident et pour te tranquilliser, il faut que tu sois propre ».
« Voici une poire de lavement. »
« Tourne-toi, abaisse ta culotte et penche-toi un peu. » Avec précaution, Martine introduisit la canule et l'eau tiède jaillit dans le réceptacle.
« Quand tu en ressentiras le besoin, rends-toi aux toilettes pour te soulager. »
Manon revient après s'être rendu aux toilettes et Martine lui demande à nouveau de se pencher.
« Maintenant », dit la sexagénaire, « je vais t'introduire un liquide lubrifiant qui te permettra de faciliter l’évolution de son sexe. »
« Mais, rassure-toi, la préparation de Valentin t'a déjà bien apprêté. »
« Ton petit trou s'ouvre facilement. »
Les deux femmes retournent dans le salon et tombent sur un médecin légèrement assoupi.
Les deux femmes décident de ne pas le réveiller pour qu'il reprenne des forces.
Martine va chercher dans le réfrigérateur une troisième bouteille qu'elle avait mise de côté.
Elle se sert, puis offre une autre coupe à la jeune fille.
Manon, qui n'a pas l'habitude de boire, commence à être pompette.
Sous l’effet euphorisant de l’alcool, c'est elle qui, au bout d'un moment, décide de réveiller le médecin.
Elle se dirige vers lui et commence à téter le bout de ses mamelons. Valentin commence à sortir de son état d'engourdissement
Manon, de son côté, abaisse le boxer et prend la totalité de son sexe mollasson dans sa bouche.
Étonné par une telle audace, le docteur cède et admire l'impudence de cette jeune femme.
Manon le fixe du regard et prononce : « Vous pouvez vous libérer en moi. »
« Je me sens en mesure d’avaler votre sperme. »
Valentin se retire vraiment à contrecœur et lui signale qu'il doit rester en forme pour ce qui est prévu par la suite.
Sous l'emprise de l'alcool, Manon le regarde de nouveau intensément et lui murmure :
« Malgré mon inquiétude, je désire vous offrir ma cavité la plus cachée. »
« C'est quelque chose dont j'éprouve le besoin à cet instant. »
« Docteur, enculez-moi maintenant. »
« Eh bien, mademoiselle, quel propos ! »
« Sois assuré que c'est ce qui va se réaliser. »
« Je vais te baiser avec compassion et très longuement. »
« Ton petit cul sera soumis à une épreuve intense et tu vas ressentir une chaleur agréable se diffuser dans tout ton ventre et ta féminité. »
« Martine et moi allons te faire l'amour ensemble. »
« Je vais te prendre couchée sur le dos à la missionnaire, avec un petit coussin sous tes reins, sur le grand lit de Martine que tu connais déjà. »
« C'est toi, Manon, qui gérera la pénétration avec une de tes mains qui me repoussera au cas où. »
« Martine te caressera en même temps. »
« Elle s'occupera de tes seins, de ta bouche, ainsi que de ton sexe. »
« Allez, viens, on y va. »
Martine est la première à s'installer, suivie de près par Manon qui l'enlace et commence à l'embrasser.
La demoiselle se couche sur le dos, place ses fesses à la limite du lit, puis soulève et écarte les jambes.
Martine place un coussin sous le bas du dos afin de surélever le bassin et ainsi rendre l'accès à sa petite rondelle plus facile.
Pendant ce temps, son amant enfile un préservatif.
Valentin se positionne debout entre les jambes de Manon, appréciant le spectacle de la jeune fille qui s'offre sans aucune réserve.
Martine caresse le buste et le ventre, et saisit le membre en érection qui attend avec impatience juste devant, l'orientant vers l'intimité de la demoiselle.
Valentin s'insère progressivement dans le vagin qui n'attend que cela.
Les lèvres se séparent et la petite crevasse recommence à se mouiller, humidifiant la tige enveloppée d'une délicate et fine pellicule de plastique.
Après quelques mouvements de va-et-vient, le médecin lui demande :
« Tu es prête à m'offrir ton cul ? » « Manon ».
« Oui », répondit la jeune fille avec sa toute petite voix.
Valentin se retire, baisse légèrement son sexe et place son gland sur le petit œillet encore fermé.
La jeune fille se raidit et Martine commence alors des caresses sur tout son corps.
Sa main commence une douce masturbation, pendant que simultanément, la hampe s'engage graduellement dans l'orifice secret jusqu'à ce que le gland soit introduit, puis arrête sa progression.
La respiration de Manon s'accélère.
« Ça va, Manon ? » « Tu ne ressens pas de douleur », interroge le docteur.
« Non, absolument pas, tu peux poursuivre, lui dit la jeune fille. »
C'est la première fois que Manon se permet de tutoyer Valentin.
En obtenant l'accord de sa compagne d’un jour, Valentin poursuit son élan, surpris par la délicatesse et l'aisance de sa pénétration.
Il découvre un passage parfaitement lubrifié et c'est à cet instant qu'il saisit ce que les deux femmes ont entrepris quand elles se sont discrètement retirées plus tôt dans la salle de bain.
Bientôt, l'intégralité de son membre viril est engloutie par le fourreau brûlant.
Il choisit donc de s'engager dans des va-et-vient longs, lents et langoureux.
La demoiselle commence à réagir en produisant des sons inconcevables.
Elle commence à sentir une chaleur émanant de son anus qui se diffuse dans l'ensemble de son ventre interne ainsi que dans son sexe.
Le liquide qui s'épanche de sa fente contribue à la lubrification de la queue qui désormais la pénètre sans retenue dans sa cavité la plus étroite.
Tout à coup, Valentin demande à Martine de cesser ses caresses.
« Concentre-toi sur ses seins, suce-les et pince très légèrement les tétons à chaque pénétration. »
« Je suis convaincu que Manon peut éprouver du plaisir uniquement en se faisant sodomiser. »
Valentin intensifie ses assauts et augmente le rythme avec l'aide de Manon qui, au lieu de le repousser, l'attire en elle en utilisant ses mains placées sur les fesses du docteur.
À chaque incursion profonde, des sons étouffés s'échappent de la bouche, entrecoupés de rires hystériques.
Cela fait un bon moment, une vingtaine de minutes, que son fourreau subit le tumulte.
Valentin, en sueur et présentant des signes de faiblesse, décide alors de faire varier la profondeur et le rythme de ses allers et venues.
Il élève les jambes de Manon, les sépare pour pénétrer encore plus en profondeur.
Manon ne parvient plus à réguler l'intensité, son corps cède, se raidit et un orgasme intense la cloue au lit.
Ses jambes vibrent comme les dernières feuilles qui résistent en automne, son corps est parcouru de frissons.
Elle se rend compte que son anus se contracte outrageusement à maintes reprises, capturant l'organe de son partenaire qui capitule et se libère dans sa protection en latex.
Valentin, exténué, s'affaisse sur le torse de la jeune femme qui l'enveloppe de ses bras.
Après environ quinze minutes de pause, Manon se lève pour prendre une douche réparatrice, laissant Valentin et Martine seuls sur le lit.
« Eh bien, déclare le docteur, c'est une vraie petite diablesse, je suis estomaqué. »
« Elle m'a réellement épuisé, je ne désire qu'une chose, aller me coucher », a déclaré le médecin en riant.
Martine est tout à fait d'accord avec les propos de Valentin.
« Elle est pleine de bonnes volontés et elle aime le sexe, cela se voit », dit-elle.
« Je pense qu'elle n'a plus besoin de professeur. »
Manon arrive de la salle de bains, nue comme un ver et ravigotée.
Elle découvre Martine et le médecin enlacé, qui se reposent.
Sans lui laisser le temps de réfléchir.
Elle dit, « Maintenant, pour te récompenser, Valentin, je vais te sucer et tu te répandras dans ma bouche », avant de se précipiter sur le membre de Valentin.
« Arrête, diablesse, je n'en peux plus, ma source est tarie, j'étais sur le point de m'en aller. »
Martine se marre et trouve la situation comique et décide d'aider Manon.
Elle commence à ouvrir la bouche du médecin avec sa langue tout en lui touchant la poitrine.
Alors que la jeune femme stimule le membre, qui commence à reprendre une certaine consistance, la sexagénaire effleure avec délicatesse les fesses du médecin et le pénètre sans l'avertir en y insérant un doigt en crochet pour lui cajoler sa prostate.
Valentin, étonné par cette audace, laisse échapper un grognement de contentement et de plaisir.
L'impact de ce doigt est instantané.
Le sexe de Valentin se rigidifie et se renforce dans la bouche de la jeune femme.
La demoiselle en a conscience et accentue sa fellation.
Valentin se tend comme un arc et distribue dans la bouche de l'innocente, des petites salves de sa liqueur qu'elle avale sans regret et avec gourmandise.
Valentin se remet lentement de ses émotions et très rapidement, se sauve littéralement pour fuir ses deux diablesses et enfin prendre du repos.
Eh, oui, il arrive souvent que l'élève dépasse son maître et c'est précisément le cas de cette jeune kinésithérapeute.
À nouveau seule toutes les deux, Manon accepte la proposition de passer la nuit entre femmes.
FIN
Les deux femmes échangent un tendre baiser.
« Tu es en avance. » « Oui, j'ai vite pris une douche et je me suis habillée en toute vitesse, lui dit la jeune fille. »
« Cette robe te sublime, elle épouse tes formes à merveille. »« Je te remercie », répond Manon.
« Et les dessous sont-ils aussi séduisants ? »
La demoiselle retrousse sa robe, révélant un charmant slip brésilien noir.
« Mon soutien-gorge est coordonné. »
« C'est notre homme qui va être comblé », lui assure Martine.
« Puisque tu es en avance, tu vas m'aider à préparer l'apéritif dans le salon. »
« Je nous ai fait des toasts et j’ai deux grosses pizzas en réserve pour plus tard. »
Une heure après, on frappe à la porte. Reste ici, je vais lui ouvrir.
« Bonjour Martine, as-tu remarqué que cette fois-ci, je suis à l'heure ? » Il lui tend alors deux bouteilles de champagne.
« Place-les au réfrigérateur, elles ne sont pas très fraîches. »
« La demoiselle est arrivée ? » « Oui, elle se trouve dans le salon et attend avec anxiété. »
Manon écoute cette voix qu'elle reconnaît, mais elle ne parvient pas à l'associer à un nom.
Son cœur bat la chamade
Elle est tout effarouchée à l'idée de faire la rencontre d'un homme qu'elle connaît déjà et d'imaginer ce qui va se passer par la suite.
Valentin entre dans le living. « Bonsoir Manon. »
« Oh, ce n'est pas vrai. » « Il ne peut pas s'agir de vous, docteur. »
Son visage se teint d'une rougeur cramoisie, reflet de sa honte et de sa confusion.
« En effet, je suis le médecin de Martine, mais également son amant, et j'ai pour ambition de devenir le tien très prochainement. »
« Quel est ton avis sur cela ? »
« Cela ne me semble pas possible, nous collaborons presque en permanence », répondit la demoiselle.
« À toi de décider, agis selon ton désir, mais garde à l'esprit que si tu optes pour rester avec nous, aucune partie de ton corps ne sera plus un mystère pour moi, pas même les endroits les plus intimes et secrets. »
« Tu vois, je ne te cache rien du tout. »
En voyant la jeune fille anxieuse, Valentin explique à Manon ce qui est prévu, sans tarder et surtout pour empêcher qu'elle ait le temps de réfléchir.
« Voici ce qui va se produire maintenant. »
« Je vais me poser sur le canapé pendant que Martine me fera un plaisir que j’apprécie particulièrement devant tes yeux. »
Manon, ne réponds pas, elle est complètement perdue et dépitée.
Après ces belles paroles, la sexagénaire prend un coussin et se positionne à genoux entre les jambes du docteur, qu'elles écartent.
Elle abaisse la fermeture-éclair et fait descendre le pantalon.
Martine baisse le boxer et prend possession du sexe de Valentin, déjà à moitié en érection, tandis que Manon, tenant toujours une coupe dans sa main, reste figée, ébahie.
Martine se penche, ouvre la bouche et le gobe.
Manon apprécie de voir ce sexe d’homme, mais elle le trouve, disons, un peu trop démesuré.
Le pénis du docteur se développe et devient aussi dur qu'une tige d'acier.
Martine s'interrompt et interroge Manon pour savoir si elle souhaite lui succéder. Sans attendre de réponse, Martine se lève et prend la coupe de Manon qu'elle dépose sur la table de salon. Elle tend les mains vers la jeune fille et lui demande de venir.
« Lève-toi maintenant, n'ai aucune crainte, tu sais, cette grosse bête-là n’a jamais de mal à personne, bien au contraire. »
Une fois levée, Martine lui dit : « D'abord, il faut que tu exposes tes jolies dessous à ton futur amant. »
Martine dépose la robe de la kiné qui se soumet sans opposer de résistance.
Manon s'expose en slip brésilien avec son soutien-gorge assorti en dentelle de couleur noire.
« Qu’en penses-tu, Valentin ? »
« Je la trouve vraiment splendide et intensément séduisante. » « J'ai une véritable envie de la dévorer, de l'aimer jusqu'à ce qu'elle se laisse aller et pousse des cris de plaisir. »
Aidée par son amie, Manon prend la place de Martine entre les jambes du médecin.
Martine saisit le sexe du médecin et le guide vers la bouche de son ingénue. La cavité s'ouvre, se déforme et capture le membre viril qui glisse déjà à l'intérieur.
Entre-temps, Martine caresse doucement le dos, les fesses et la poitrine de la jeune fille. Elle dégrafe le soutien-gorge et le propulse dans l'espace.
C'est la première fois que Valentin découvre les deux petits seins et il est émerveillé par leurs fermetés, leurs formes idéales et enfin de leurs tétons qui se dressent audacieusement avec arrogance.
Constatant l'inexpérience de la jeune fille, Martine lui donne quelques conseils.
« N'oublie pas de tourner ta langue autour de son gland et de creuser tes joues comme pour l'aspirer, puis tu coulisses lentement tes lèvres en changeant régulièrement le rythme. »
Manon s'applique du mieux qu'elle peut. Elle trouve même cela agréable.
« Manon, serais-tu d'accord pour que je jouisse dans ta bouche ? » demande le docteur.
« Non, je ne préfère pas, il faut me laisser du temps, tout ceci est nouveau pour moi. »
« Et puis, j'ai peur de ne pas apprécier la saveur et ça risque de me dégoûter. »
« Je préfère vous faire jouir avec mes mains, si vous me permettez. »
« Je consens à ta suggestion cette fois-ci, mais sois consciente que tu es ici pour perfectionner ta formation en matière de sexualité », lui répond le docteur.
La jeune femme reprend sa fellation avec énergie et ardeur.
Elle papouille les testicules avec une de ses mains.
Valentin aime cette caresse et semble montrer des indices de vulnérabilité.
Notre médecin commence à pousser de petits soupirs et s’appuie avec ses deux mains crispées sur les cousins du divan.
« Il vaudrait mieux que tu cesses, » dit Martine. « Je crains que notre médecin n'en puisse plus, sinon tu cours le risque d'un incident. »
Manon comprend et arrête immédiatement les caresses avec sa bouche. Elle saisit le membre du médecin et le masturbe avec frénésie.
Elle ajuste la rapidité de sa main et la force appliquée en fonction des réactions du docteur.
Valentin perd vite le contrôle et se rend rapidement.
Le docteur se cabre et, dans un profond soupir, projette par saccades de grands jets de sperme dans les airs.
Manon est très fière d'elle, c'est la première fois qu'elle fait jouir un homme.
Sans attendre, Martine récupère sur un doigt du sperme étalé sur le ventre de l'homme.
« Ouvre la bouche, lui ordonne-t-elle à la jeune fille, suce et goûte ce nectar. »
Manon hésite un instant, puis ouvre la bouche et laisse sa langue recueillir la liqueur encore tiède.
« Alors, quel est ton avis ? » questionne Martine.
Ce n'est pas si mauvais, c'est légèrement salé et sucré à la fois.
« Eh bien, Manon, tu ne fais pas dans la dentelle ! » « Quelle efficacité, certes, un peu mode bourrin, mais le résultat est là », félicitation, s'exclame le médecin en rigolant.
Valentin s'essuie et se rajuste.
Pour me remettre de mes émotions, je reprendrai bien une petite coupe, dit-il aux deux femmes.
« Nous aussi », répliquent en chœur les deux autres.
Après une bonne demi-heure de ce repos consenti, c'est Valentin qui propose la suite des distractions.
« On va maintenant prendre soin de Martine, la pauvre reste sur sa faim, je pense. »
« J'attends cela avec une grande impatience », répond la femme.
« Manon, ôte-lui ses vêtements et ensuite, fait de même avec moi. »
Alors que la jeune fille ôte les vêtements de Martine, Valentin se glisse derrière Manon et retire le dernier obstacle à sa pudeur.
La petite est totalement dépourvue de vêtements. Avec précaution, Valentin la fait pivoter et découvre la petite touffe de poils brunâtre.
« Manon, tu es vraiment belle », lui dit-il.
Il commence une suite de doux baisers sur son cou et ses épaules tout en lui prodiguant des caresses sur les seins et sur les fesses.
Il lui chuchote à l'oreille : « À présent, Martine va s’installer sur le sofa et tu lui procureras du plaisir avec ta langue et tes lèvres. »
« Sois prête à bien cambrer tes reins et donne-toi autant que possible, car je vais pénétrer ton sexe pour atteindre mon second orgasme. »
« Avant tout, n'oublie pas de te concentrer sur le plaisir de Martine plutôt que sur le tien. »
« C'est sa satisfaction qui prime avant tout. »
« Si tu atteins ce but et seulement si, je te permettrais de jouir. »
Tu as bien compris ?
« Oui, docteur », répond la demoiselle humiliée.
« Par la suite, je vais aussi te préparer pour que tu puisses me donner ton petit cul sans souffrance. »
« Martine m'a confié que tu étais très réceptive à cet endroit, et c'est formidable, rares sont les femmes qui ont cette opportunité. »
Manon se positionne confortablement à genoux sur le coussin entre les cuisses grandes ouvertes de Martine.
Elle commence doucement à lui embrasser l'intérieur de ses cuisses qui réagissent déjà en se parant de petits frissons.
Sa bouche se dirige inéluctablement vers la source tellement désirée.
Pendant ce temps, Valentin vient aussi s'installer derrière les jolies fesses de la demoiselle.
Avec ses mains, il sépare les fesses pour finalement découvrir le petit cratère encore pur et tant désiré.
Il prend son sexe bandé en main et le fait coulisser de bas en haut dans le sillon déjà humide de la petite figue sans pour autant la pénétrer.
La bouche de Manon atteint son objectif, sa petite langue se pose sur le sillon et s'efforce d'aplanir tout le sexe de Martine.
C'est une révélation pour la jeune fille qui découvre le parfum et le goût d'un sexe féminin.
Elle s'efforce du mieux qu'elle peut en se basant sur les réactions de Martine et le résultat n'est pas long à venir.
Elle commence à accumuler dans sa bouche le distingué fluide onctueux qui commence à s'écouler généreusement.
Martine laisse échapper des gémissements.
Il devient de plus en plus ardu pour la jeune fille de garder sa concentration, parce que le médecin commence à la stimuler manuellement derrière elle.
« Reste immobile », lui commande Valentin, « je vais t'introduire une préparation dans ton adorable petit derrière qui, grâce à ce traitement, s'ouvrira de lui-même prochainement. »
Manon commence à ressentir une douce chaleur envahir l'intérieur de sa petite cavité.
Elle choisit alors de rendre sa langue plus ferme, puis elle écarte les grandes lèvres de sa complice à l'aide de deux doigts et stimule directement le clitoris qui se dévoile sans réserve à ces caresses.
Le ton se modifie et désormais, de longues plaintes résonnent dans la salle.
Martine saisit brusquement la tête de la jeune fille entre ses mains et la presse sur sa vulve.
Manon comprend que la sexagénaire s'abandonne et tout en faisant tourner l'extrémité dure et aiguisée de sa langue, elle creuse les joues et aspire le bouton jusqu'au déclenchement d'un orgasme fabuleux.
Martine a du mal à revenir sur terre.
Encore essoufflée. Elle attire Manon à elle et l'embrasse avec passion et intensité.
Les deux femmes persistent à ne pas se détacher, et le baiser semble interminable.
C'est Martine qui s'exprime en premier.
« Reste à la maison, je te ferai l'amour de toutes les manières possibles jusqu'à une bonne partie de la nuit. »
« Bien volontiers, j'en ai très envie. » Lui répond la petite.
« Valentin, n'hésite pas à lui attribuer sa récompense, elle l'a bien méritée. »
Il est temps pour Valentin d’enfiler un préservatif sur son membre bien enflé et dur.
Il prend Manon par les hanches, guide son pénis vers l'orifice et s'y introduit délicatement.
La vulve s'ouvre et enveloppe avec intensité l'intrus sur toute sa longueur.
Manon pose sa tête à plat sur le ventre de Martine qui lui caresse tendrement la tête.
Elle en profite pour lui imposer un doigt dans sa bouche et lui demande de le sucer comme un pénis. Manon le suce sans rechigner.
La petite geint à chaque aller et venu de son envahisseur et couine lorsque le sexe s'enfonce au fond de son vagin.
Valentin augmente la cadence et les bruits de son ventre frappant les fesses de la « gamine » commencent à se faire entendre.
Pratiquement en même temps et accompagné des gémissements prolongés et puissants des deux partenaires, Valentin perçoit sur son sexe des contractions rapides qui le compriment, signalant sans équivoque que Manon a atteint l'orgasme.
Le docteur ne peut plus se retenir, il se libère et jouit en plusieurs salves dans le fourreau protégé par le préservatif.
Peu après, il se retire et embrasse avec compassion les fesses de Manon qui apprécie ses petits bisous.
« Manon, Martine et moi sommes vraiment impressionnés par ton attitude », dit Valentin.
« Il est clair que tu es une très bonne élève. »
« Tout à l'heure, j'avais soif et maintenant, c'est la faim qui me tourmente. »
« Par ailleurs, j'ai véritablement un besoin urgent de récupérer. »
« Deux pizzas sont encore à manger. »
Les trois complices mettent leurs dessous sans leurs soutiens-gorge pour les femmes et se régalent des deux pizzas déjà réchauffées.
La seconde bouteille de champagne se verse dans les coupes.
C'est à ce point que Martine convie Manon à la rejoindre dans la salle de bain.
« Que faites-vous, mesdames ? » interroge le docteur.
« Reste ici », ordonne Martine, « ce n'est pas ton affaire. »
Quand elles sont dans la salle de bain, Martine dit à Manon :
« Sais-tu ce qui va prochainement se passer ? »
« Absolument », répondit Manon.
« Il va me prendre par-derrière. »
« C'est tout à fait vrai, acquiesça Martine, et c'est pourquoi il est impératif d'agir avec prudence. »
« Pour éviter tout incident et pour te tranquilliser, il faut que tu sois propre ».
« Voici une poire de lavement. »
« Tourne-toi, abaisse ta culotte et penche-toi un peu. » Avec précaution, Martine introduisit la canule et l'eau tiède jaillit dans le réceptacle.
« Quand tu en ressentiras le besoin, rends-toi aux toilettes pour te soulager. »
Manon revient après s'être rendu aux toilettes et Martine lui demande à nouveau de se pencher.
« Maintenant », dit la sexagénaire, « je vais t'introduire un liquide lubrifiant qui te permettra de faciliter l’évolution de son sexe. »
« Mais, rassure-toi, la préparation de Valentin t'a déjà bien apprêté. »
« Ton petit trou s'ouvre facilement. »
Les deux femmes retournent dans le salon et tombent sur un médecin légèrement assoupi.
Les deux femmes décident de ne pas le réveiller pour qu'il reprenne des forces.
Martine va chercher dans le réfrigérateur une troisième bouteille qu'elle avait mise de côté.
Elle se sert, puis offre une autre coupe à la jeune fille.
Manon, qui n'a pas l'habitude de boire, commence à être pompette.
Sous l’effet euphorisant de l’alcool, c'est elle qui, au bout d'un moment, décide de réveiller le médecin.
Elle se dirige vers lui et commence à téter le bout de ses mamelons. Valentin commence à sortir de son état d'engourdissement
Manon, de son côté, abaisse le boxer et prend la totalité de son sexe mollasson dans sa bouche.
Étonné par une telle audace, le docteur cède et admire l'impudence de cette jeune femme.
Manon le fixe du regard et prononce : « Vous pouvez vous libérer en moi. »
« Je me sens en mesure d’avaler votre sperme. »
Valentin se retire vraiment à contrecœur et lui signale qu'il doit rester en forme pour ce qui est prévu par la suite.
Sous l'emprise de l'alcool, Manon le regarde de nouveau intensément et lui murmure :
« Malgré mon inquiétude, je désire vous offrir ma cavité la plus cachée. »
« C'est quelque chose dont j'éprouve le besoin à cet instant. »
« Docteur, enculez-moi maintenant. »
« Eh bien, mademoiselle, quel propos ! »
« Sois assuré que c'est ce qui va se réaliser. »
« Je vais te baiser avec compassion et très longuement. »
« Ton petit cul sera soumis à une épreuve intense et tu vas ressentir une chaleur agréable se diffuser dans tout ton ventre et ta féminité. »
« Martine et moi allons te faire l'amour ensemble. »
« Je vais te prendre couchée sur le dos à la missionnaire, avec un petit coussin sous tes reins, sur le grand lit de Martine que tu connais déjà. »
« C'est toi, Manon, qui gérera la pénétration avec une de tes mains qui me repoussera au cas où. »
« Martine te caressera en même temps. »
« Elle s'occupera de tes seins, de ta bouche, ainsi que de ton sexe. »
« Allez, viens, on y va. »
Martine est la première à s'installer, suivie de près par Manon qui l'enlace et commence à l'embrasser.
La demoiselle se couche sur le dos, place ses fesses à la limite du lit, puis soulève et écarte les jambes.
Martine place un coussin sous le bas du dos afin de surélever le bassin et ainsi rendre l'accès à sa petite rondelle plus facile.
Pendant ce temps, son amant enfile un préservatif.
Valentin se positionne debout entre les jambes de Manon, appréciant le spectacle de la jeune fille qui s'offre sans aucune réserve.
Martine caresse le buste et le ventre, et saisit le membre en érection qui attend avec impatience juste devant, l'orientant vers l'intimité de la demoiselle.
Valentin s'insère progressivement dans le vagin qui n'attend que cela.
Les lèvres se séparent et la petite crevasse recommence à se mouiller, humidifiant la tige enveloppée d'une délicate et fine pellicule de plastique.
Après quelques mouvements de va-et-vient, le médecin lui demande :
« Tu es prête à m'offrir ton cul ? » « Manon ».
« Oui », répondit la jeune fille avec sa toute petite voix.
Valentin se retire, baisse légèrement son sexe et place son gland sur le petit œillet encore fermé.
La jeune fille se raidit et Martine commence alors des caresses sur tout son corps.
Sa main commence une douce masturbation, pendant que simultanément, la hampe s'engage graduellement dans l'orifice secret jusqu'à ce que le gland soit introduit, puis arrête sa progression.
La respiration de Manon s'accélère.
« Ça va, Manon ? » « Tu ne ressens pas de douleur », interroge le docteur.
« Non, absolument pas, tu peux poursuivre, lui dit la jeune fille. »
C'est la première fois que Manon se permet de tutoyer Valentin.
En obtenant l'accord de sa compagne d’un jour, Valentin poursuit son élan, surpris par la délicatesse et l'aisance de sa pénétration.
Il découvre un passage parfaitement lubrifié et c'est à cet instant qu'il saisit ce que les deux femmes ont entrepris quand elles se sont discrètement retirées plus tôt dans la salle de bain.
Bientôt, l'intégralité de son membre viril est engloutie par le fourreau brûlant.
Il choisit donc de s'engager dans des va-et-vient longs, lents et langoureux.
La demoiselle commence à réagir en produisant des sons inconcevables.
Elle commence à sentir une chaleur émanant de son anus qui se diffuse dans l'ensemble de son ventre interne ainsi que dans son sexe.
Le liquide qui s'épanche de sa fente contribue à la lubrification de la queue qui désormais la pénètre sans retenue dans sa cavité la plus étroite.
Tout à coup, Valentin demande à Martine de cesser ses caresses.
« Concentre-toi sur ses seins, suce-les et pince très légèrement les tétons à chaque pénétration. »
« Je suis convaincu que Manon peut éprouver du plaisir uniquement en se faisant sodomiser. »
Valentin intensifie ses assauts et augmente le rythme avec l'aide de Manon qui, au lieu de le repousser, l'attire en elle en utilisant ses mains placées sur les fesses du docteur.
À chaque incursion profonde, des sons étouffés s'échappent de la bouche, entrecoupés de rires hystériques.
Cela fait un bon moment, une vingtaine de minutes, que son fourreau subit le tumulte.
Valentin, en sueur et présentant des signes de faiblesse, décide alors de faire varier la profondeur et le rythme de ses allers et venues.
Il élève les jambes de Manon, les sépare pour pénétrer encore plus en profondeur.
Manon ne parvient plus à réguler l'intensité, son corps cède, se raidit et un orgasme intense la cloue au lit.
Ses jambes vibrent comme les dernières feuilles qui résistent en automne, son corps est parcouru de frissons.
Elle se rend compte que son anus se contracte outrageusement à maintes reprises, capturant l'organe de son partenaire qui capitule et se libère dans sa protection en latex.
Valentin, exténué, s'affaisse sur le torse de la jeune femme qui l'enveloppe de ses bras.
Après environ quinze minutes de pause, Manon se lève pour prendre une douche réparatrice, laissant Valentin et Martine seuls sur le lit.
« Eh bien, déclare le docteur, c'est une vraie petite diablesse, je suis estomaqué. »
« Elle m'a réellement épuisé, je ne désire qu'une chose, aller me coucher », a déclaré le médecin en riant.
Martine est tout à fait d'accord avec les propos de Valentin.
« Elle est pleine de bonnes volontés et elle aime le sexe, cela se voit », dit-elle.
« Je pense qu'elle n'a plus besoin de professeur. »
Manon arrive de la salle de bains, nue comme un ver et ravigotée.
Elle découvre Martine et le médecin enlacé, qui se reposent.
Sans lui laisser le temps de réfléchir.
Elle dit, « Maintenant, pour te récompenser, Valentin, je vais te sucer et tu te répandras dans ma bouche », avant de se précipiter sur le membre de Valentin.
« Arrête, diablesse, je n'en peux plus, ma source est tarie, j'étais sur le point de m'en aller. »
Martine se marre et trouve la situation comique et décide d'aider Manon.
Elle commence à ouvrir la bouche du médecin avec sa langue tout en lui touchant la poitrine.
Alors que la jeune femme stimule le membre, qui commence à reprendre une certaine consistance, la sexagénaire effleure avec délicatesse les fesses du médecin et le pénètre sans l'avertir en y insérant un doigt en crochet pour lui cajoler sa prostate.
Valentin, étonné par cette audace, laisse échapper un grognement de contentement et de plaisir.
L'impact de ce doigt est instantané.
Le sexe de Valentin se rigidifie et se renforce dans la bouche de la jeune femme.
La demoiselle en a conscience et accentue sa fellation.
Valentin se tend comme un arc et distribue dans la bouche de l'innocente, des petites salves de sa liqueur qu'elle avale sans regret et avec gourmandise.
Valentin se remet lentement de ses émotions et très rapidement, se sauve littéralement pour fuir ses deux diablesses et enfin prendre du repos.
Eh, oui, il arrive souvent que l'élève dépasse son maître et c'est précisément le cas de cette jeune kinésithérapeute.
À nouveau seule toutes les deux, Manon accepte la proposition de passer la nuit entre femmes.
FIN
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Daniel.Osiris
Très beau texte initiatique. Daniel

