Manu et Bridget

- Par l'auteur HDS Mlkjhg39 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Manu et Bridget Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Manu et Bridget
Manu et Bridget. 2

Cette histoire que vous allez lire est-elle réelle ou imaginaire ? Ou bien peut-être vous fera-t-elle penser à un couple célèbre. Mon fantasme se mélangeant peut-être à la réalité.


Je déboutonne mon Jean, le regardant dans les yeux, il me sourit de satisfaction et je sens sa main droite caresser l’intérieur de ma cuisse gauche et remonter à mon entre-jambe, ses doigts me massant la chatte à peine quelques secondes à travers mon jean entrouvert. Je fais quoi ? Comme je ne bouge pas l’invitant tacitement à recommencer, il prend de l’assurance et repose sa main entre mes cuisses. Il se décoince enfin. Il reprend la parole :
- J’ai du mal à croire à tout ça, t’es tellement belle, je n’aurais jamais cru que tu puisses être intéressée par moi. Bien sûr que j’en pince juste un peu pour ma belle prof, comme tous les garçons d’ailleurs. Mais jusqu’à maintenant, ce n’était juste qu’un fantasme.

Suite :
Je me contente de lui sourire, il est si charmant et si mignon. Sans rien dire je mets un doigt sur sa bouche pour qu’il se taise, me laisse tomber à genoux en passant mon pull par-dessus ma tête le jetant au sol, heureuse de le voir me regarder avec envie, puis dégrafe mon soutien-gorge qui rejoint mon pull, mes seins tombent un peu mais pas trop. Il m’admire comme figé devant la vision que je lui offre, j’en profite pour défaire le bouton de son jean et baisser la fermeture éclair, pressée de voir ce qui se cache dessous. Je baisse enfin Jean et slip d’un même mouvement jusqu’à ses genoux et découvre une bite, longue, droite et fine dont le gland bondit sous mon nez une fois libéré, gonflé à bloc, sa verge sursautant à chaque battement de son cœur. Il bande pour moi…
Je salive comme une affamée qui n’a rien mangé depuis des jours en regardant palpiter son sexe, regardant aussi ses testicules sans aucun poil, ses cuisses sont, elles aussi lisses et douces comme des jambes de femme. C’est rare que les hommes se rasent les jambes mais ça ne me déplait pas. Mon cœur bat à cent à l’heure en replaçant mes cheveux en arrière, faisant tressauter mes seins. Alors regardant Manu droit dans les yeux je prends mes seins dans mes mains et les presse contre son sexe pour l’entourer complètement. J’arrive à faire se toucher mes mamelons durcis et sensibles par le désir et commence masturber sa teub tandis qu’il me caresse les cheveux doucement. A chaque aller-retour entre mes seins, ma langue arrive presque à lécher le bout de son gland.

Je ris, j’ouvre la bouche mais aucun son n’en sort, je referme mes lèvres, sentant mon cœur battre dans ma poitrine, je déglutis. Je n’aurais jamais cru qu’il me fasse tant d’effets, il est vraiment charmant, ses yeux bleus me font craquer, je veux qu’il se passe quelque chose là, maintenant. Un goujat m’aurait déjà étendue et aurait écarté mes cuisses, mais pas lui, peut-être par manque d’assurance. Je lui ordonne :
-Suis-moi !

Je l’entraîne en le saisissant d’une main par la verge, l’autre retenant mon jean ouvert, il doit lui aussi faire la même chose. Je suis comme une droguée marchant avec Manu sur mes talons. J’ai l’impression d’être une fille de joie emmenant son client dans une chambre sordide. Mes seins libres tressautent à chacun de mes pas, mes fesses à moitié à l’air et ma fente déjà mouillée. Sa vision doit se limiter à ce qui se trémousse devant lui. J’ai maintenant une folle envie de me faire prendre que j’en ai presque une crampe à l’estomac. Mon sexe gonflé pulse, avide de sentir une teub dure s’y enfoncer et je rêve déjà à sentir ses mains aux doigts fins et longs, parcourir tout mon corps.
Une fois arrivée dans ma chambre, le cœur battant à toute rompre et me trouvant idiote, je me tourne vers lui, lui présentant sous le nez mes mamelons terriblement gonflés de désir. Une bouffée de chaleur me monte au visage quand j’ose enfin lui avouer.
-Manu, j’ai envie de toi !
Il soulève les sourcils qui semblent me dire. (Moi ? Comment est-ce possible ?)
-De moi ?
-Tu vois quelqu’un d’autre dans la pièce ? Je lui demande, amusée.

Je ramène une de ses mains sur mon sein gauche qu’il presse avec moi un long moment. Comme dans son rêve le plus fou, il m’enlace avec trop de fougue pour m’embrasser, repoussant ma langue dans ma bouche. Je me débarrasse de mes chaussures que je repousse derrière moi. La tête me tourne, je veux qu’il me saute tout simplement, qu’il enfonce sa bite en moi. Mais il est encore sur la réserve alors je prends son autre main et la presse sur ma fente humide, la frotte sur mon pubis, puis me saisis de son majeur et l’introduis en moi. J’ai la chair de poule, j’aime cette sensation d’interdit.
Je suis si mouillée que son doigt entre facilement. J’en frémis et mes gémissements sont assourdis par sa bouche. Son majeur s’agite dans ma chatte. Je guide sa main avec la mienne pour me pénétrer comme je le souhaite tandis que nos langues s’apprivoisent. Je sens un orgasme se pointer, je perds littéralement la tête parce que le dos de sa main frappe mon pauvre clitoris bandé à mort qui a depuis longtemps pointé son nez hors de sa cachette.
Nous prenons un instant pour retirer chacun ce qui entrave encore nos jambes et je me recolle à lui.
C’est si bon ce corps à corps, sentir son sexe gonflé contre mon ventre, sentir mes seins écrasés contre son torse. Je pose mes mains sur ses petites fesses et il fait de même avec les miennes. Je retrouve ce long et délicieux frisson qui me traverse le corps des pieds à la tête et je reprends la salade de langues.
Le va-et-vient de son doigt glissant dans ma chatte me rend folle mais ne me suffit plus, mes jambes flageolent sous ce plaisir oublié depuis si longtemps que j’en mouille encore plus, gémissant comme une gosse. L’orgasme me traverse le bas ventre comme une petite décharge électrique. J’immobilise son doigt en serrant plus les cuisses, emprisonnant sa main. Mon cœur s’emballe quand mon vagin semble pris de convulsions. Il me caresse, attendant patiemment que je reprenne mes esprits, ses lèvres bécotent mes joues. C’est gentil de sa part et très agréable.
Je prends sa main pour retirer son doigt de mon vagin en me reculant et l’amène à ma bouche, j’enroule ma langue autour de son majeur pour goûter mon suc dont quelques gouttes coulent le long de mes cuisses. Je le replonge dans ma grotte pour lui faire goûter à son tour les effluves salées qui lui emplissent la bouche. Il me regarde, les yeux luisants de désir, comme un animal fou, son sexe turgescent au maximum de son érectilité.
Je sais très bien que ce que je m’apprête à faire, entre l’envie de le sentir en moi ou de lui sucer la bite n’est pas très moral mais dans l’état où je me trouve, j’en meurs trop d’envie et j’ai tout fait pour qu’il soit dans le même état. Je ne pense plus qu’au sexe. Mes joues sont brûlantes, mon cœur bat la chamade dans ma poitrine comme si j’étais sur une corde raide.
Manu soupire faiblement, profitant pleinement de la situation comme s’il croit vivre un rêve, moi aussi d’ailleurs, moi si prude habituellement. Je me mets à genoux, complètement nue et coince la bite d’un de mes étudiants entre mes seins. La fin de ma carrière dans l’enseignement...
Une montée d’adrénaline décuple tous mes sens et je me concentre sur ce que je fais. Son gland surgit de ma chair tendre compressée par mes mains semble changer de volume et une goutte claire de liquide séminal au goût salé s’en écoule. Je la lèche sous ses grognements. C’est si bon… Je frissonne sous l’excitation. Je suis troublée, me demandant si je vais jusqu’au bout ou lui demande de partir.
Mais mon cerveau a des ratés, mon corps ne veut plus obéir à la morale. Ce que je ressens est si bon que je me penche pour lécher son sexe. Manu n’en peut plus et donne un coup de reins, ce qui pousse son gland entre mes lèvres, je le laisse faire et réaliser ce rêve. Je lâche mes seins, saisis sa verge si dure entre mes petites mains et l’enfonce dans ma bouche en écartant les mâchoires, salivant comme une démente sur son gland qui glisse sur ma langue et bute contre mon palais. Je sens « la bête » frémir, je serre les lèvres et commence à le sucer lentement, donnant de la tête en aspirant, enduisant son membre d’une salive si abondante qu’elle me coule sur le menton et des filaments s’étirent jusque sur mes seins aux pointes si dures que ça me fait presque mal et qui se balancent mollement au rythme de ma fellation. Ma chatte est si mouillée que je dégouline et ma mouille atteint la raie de mes fesses et mon anus.
J’agite ma langue autour du membre fin tout en le pompant avidement. Tenant sa teub d’une main, ma tête va et vient sur la bête pendant que je caresse ses couilles gonflées et si douces de l’autre. Ça fait longtemps que je n’ai pas sucé un homme mais c’est comme pour le vélo, ça ne s’oublie pas et ça n’a pas l’air de lui déplaire. Je le vois grimacer de plus en plus et si je ne veux pas qu’il jouisse trop vite, il va falloir que je me calme. Je sors sa verge de ma bouche mais une longue traînée de bave s’étire jusqu’à son gland.
Je lèche sa pine sur toute la longueur de la hampe de petits coups de langue avant de gober ses testicules tout doucement, les emprisonnant avec mes lèvres pour en étirer la peau qui les englobent, les mordillant délicatement. Manu gémit, ses deux mains dans mes cheveux. J’alterne les remontées le long du membre veiné si raide que le moindre attouchement le fait tressaillir, ma langue tournoyant sur le bout de son gland. J’ai la nuque qui me fait mal et je décide de gober en entier sa verge qui disparait peu à peu entre mes lèvres, narines dilatées pour ne pas étouffer.
Heureusement qu’il n’est monté comme un cheval… Je salive tellement que j’en bave sur mon menton. Mes yeux dans les siens, j’enfonce sa bite jusqu’au fond de ma gorge pour exacerber encore plus le désir brûlant qui l’habite.
Mais un feu bouillonne dans mon ventre m’implorant d’aller encore plus loin. Il a ses deux mains dans mes cheveux mais n’en abuse pas pour essayer de me forcer, mais mon corps réclame son dû, j’ai envie de le sentir en moi. Je sors lentement sa verge de ma bouche pour reprendre mon souffle.
Je n’ai jamais été une bonne suceuse mais je m’en fiche. D’un revers de main, j’essuie la bave qui me macule le menton en fixant le membre gonflé et palpitant luisant de ma salive.

A suivre…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Je les connais ces deux là

Histoire Erotique
Je les vois sous un autre œil.



Texte coquin : Manu et Bridget
Histoire sexe : Une rose rouge
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