Manu et Bridget
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 554 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Mlkjhg39 ont reçu un total de 4 213 565 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 679 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Manu et Bridget
Manu et Bridget. 3
Cette histoire que vous allez lire est-elle réelle ou imaginaire ? Ou bien peut-être vous fera-t-elle penser à un couple célèbre. Mon fantasme se mélangeant peut-être à la réalité.
Mais un feu bouillonne dans mon ventre m’implorant d’aller encore plus loin. Il a ses deux mains dans mes cheveux mais n’en abuse pas pour essayer de me forcer, mais mon corps réclame son dû, j’ai envie de le sentir en moi. Je sors lentement sa verge de ma bouche pour reprendre mon souffle.
Je n’ai jamais été une bonne suceuse mais je m’en fiche. D’un revers de main, j’essuie la bave qui me macule le menton en fixant le membre gonflé et palpitant luisant de ma salive.
Suite :
Moi, l’enseignante réservée, je lui ai sucé la bite comme une pro, enfin je l’espère. Manu m’aide à me relever et me caresse doucement la poitrine, puis englobe chaque sein dans une de ses mains. Je mouille plus que jamais, je glisse un doigt dans ma fente pour recueillir un peu de ma cyprine puis pose ma main sur ses fesses et enfonce mon index tout doucement dans son petit trou. Je ne sais pas si ses petites copines s’amusent à ce jeu-là mais je le sens se raidir. L’endroit est étroit et brûlant, je pousse mon doigt à l’intérieur jusqu’à la jointure et l’agite de bas en haut.
Manu ne peut plus se contrôler et mon autre main qui encerclait sa verge la sent se contracter comme dotée d’une vie propre. Son sperme gicle avec une puissance telle que je sursaute presque quand le liquide chaud me macule le ventre. Le premier jet est suivi de plusieurs autres, longs et continus comme il sied à un jeune homme aux bourses pleines. Mon cœur bat à cent à l’heure quand je recueille ce que je peux de sa liqueur pour la porter à mes lèvres, elle a un goût âcre et salé qui m’emplit la bouche comme le bouquet d’un bon vin et progresse lentement dans ma gorge. Tandis que je m’essuie, frustrée de ne pas avoir profité de sa jouissance dans ma chatte ou dans ma bouche, il m’enlace en m’embrassant d’un baiser long et passionné puis il me susurre à l’oreille en me serrant très fort deux mots qui en disent long :
- Merci Madame !
Je lui souris, gênée, et me recule, le regardant droit dans les yeux.
-Tsss, tsss… Appelle-moi Bridget, je ne sais pas ce qui m’a prise, dis-je pendant qu’il m’enlace dans ses bras fougueux, tu dois me prendre pour une trainée, une …
-Non Mad…Bridget ! Une femme magnifique, une enseignante, une maîtresse, quoi. Et l’élève a encore soif d’apprendre.
Effectivement, le petit soldat n’a pas mis longtemps pour être de nouveau au « garde-à-vous » et se fait remarquer entre nos deux corps enlacés.
Je ris, soulagée, vidée d’une tension accumulée depuis trop longtemps et ne pensant plus maintenant qu’à mon futur plaisir, qu’à être « couverte » par ce jeune mâle. Je reprends sa bite bandée en main et en joue sur ma fente qui déborde de mouille, y glisse son gland afin d’écarter ma vulve palpitante de cette attente trop longue. Mais comme un chien fou, il plonge sa queue d’un coup sec dans mon ventre sous mes feulements de lionne en chaleur, glissant de toutes ses forces sa queue dans ma chatte affamée. Il me remplit et me bourre comme un animal pressé en me tenant fermement dans ses bras comme s’il craignait que je m’enfuie, chaque coup de reins me décollant presque les pieds du sol. Je dois réfréner ses ardeurs sinon il va encore jouir et moi je serai chocolat.
Mais il est plus fort que moi, il me retourne violemment, me plie et je me retiens des deux mains au pied du lit, je me retrouve les seins ballants, mes fesses au bon vouloir de ce jeune étalon fougueux.
-Tu vas voir qui est « le Maitre » maintenant, tu voulais te faire baiser, et bien je suis ton « homme ».
Il fouille ma chatte trempée de ses doigts pour bien les oindre de ma mouille, je les sens qui remonte sur mes fesses, cherchant un autre trou, il ne se débrouille pas si mal ce petit con. En même temps, je sens son gland qui retrouve ma fente et d’un geste brusque il enfonce son chibre dans mon sexe.
- Mmmmhhh ... Haaaaaaa… Surtout ne t’arrête pas !
Ce n’est pas son intention et il me pilonne sous mes encouragements, fier comme un paon.
-Alors Bridget, t’aimes ça, te faire piner par ma grosse bite ? … Putain je vais encore gicler salope.
Je ne veux pas le décevoir sur la taille de son sexe qui est des plus ordinaire. Ah l’orgueil des hommes est souvent mal placé… Il me redresse et me retourne avant de me reprendre à nouveau, toujours aussi violemment.
- Ouuiiiiiiiiii mon Manu, je suis ta servante et tu es mon Maitre… huuummm… Décidément les élèves ne respectent plus leurs professeurs…
Il me le prouve en jouissant en moi, je sens les saccades de son foutre se déverser dans ma matrice, hummm… Il reste immobile quelques secondes avant de se retirer, me caresse la joue en me regardant droit dans les yeux.
-J’y suis allé un peu fort Bridget, j’espère que je ne t’ai pas déçue et que tu as aimé.
Je ne peux que lui répondre :
-Oh oui ! Je suis comblée, mais qu’allons-nous devenir ? Une relation prof/élève, ça finit rarement bien.
Manu se recule, remet son jean tout en me regardant alanguie, toujours dans mes pensées. Il finit de se reboutonner tranquillement, heureux de ses exploits, et m’annonce :
-Je rentre chez moi maintenant, on pourra recommencer ces cours particuliers ?
-Heu… oui. Surtout quand tes camarades s’en iront.
Plusieurs fois, nous avons recommencé mais Manu repartait avec ses camarades avant de revenir pour éviter que l’on se fasse prendre. Ce petit con me faisait mouiller rien qu’en pensant à lui et je me suis masturbée un nombre de fois incalculable en pensant à lui.
Maintenant il ose des choses de plus en plus hard et aujourd’hui après m’avoir prise, il pose ses mains sur mes hanches, retire son sexe luisant de moi, le glisse entre mes fesses et trouve mon anus. Il pousse, force par à-coup et mon œillet ne résiste que pour la frime. Il se positionne au-dessus de moi et pousse plus fort, ses mains s’incrustant presque dans mes hanches, (heureusement que son gland n’est pas épais), dilatant progressivement mon anus. Manu pose sa main sur ma bouche de peur que je ne crie, mais déjà l’extrémité de son phallus a franchi l’anneau fripé de mon cul.
Mon Dieu ! Que suis-je devenue pour me laisser sodomiser par un élève qui a la moitié de mon âge…
Il a son chibre planté au fond de mes entrailles et me burine comme un fou. Mais il ne veut pas jouir dans mes entrailles et vient présenter sa lance devant ma bouche. Je referme mes lèvres sur le gland, ne tenant pas compte d’où il sort. Son sperme liquide se faufile partout dans ma bouche, j’avale au fur et à mesure sa laitance de jeune mâle. Il trépigne presque en déchargeant, les mains agrippées dans mes cheveux de peur que je me refuse. Mais j’ai les mains bien serrées sur son membre pour lui pomper jusqu’à la dernière goutte pour bien vider ses burnes. Il débande mais je le suce tout de même encore un peu avant de sortir sa bite devenue molle de ma bouche. Mes lèvres fermées sont couvertes de sperme, il a coulé de la commissure de mes lèvres et j’en ai même sur les seins.
Dès que nous avons pu le faire, nous avons vécu ensemble et bien sûr, notre entourage a jaser sur notre couple, il a l’âge de mon ainé. Un « vieux » qui épouse une jeunette détonne moins que quand c’est la femme, telle une couguar, qui s’entiche d’un jeune homme. Mon Manu est une tête bien faite et il s’est maintenant lancé dans la politique.
Tout ce que je viens de raconter pourrait être le fantasme, un peu hard je vous l’accorde, d’une quadra en manque. Mais la réalité peut être totalement différente de ce que vous croyez…
A vous de voir si cette histoire est pure fantasme. Toute ressemblance avec des personnes existantes est purement fortuite.
Fin.
Cette histoire que vous allez lire est-elle réelle ou imaginaire ? Ou bien peut-être vous fera-t-elle penser à un couple célèbre. Mon fantasme se mélangeant peut-être à la réalité.
Mais un feu bouillonne dans mon ventre m’implorant d’aller encore plus loin. Il a ses deux mains dans mes cheveux mais n’en abuse pas pour essayer de me forcer, mais mon corps réclame son dû, j’ai envie de le sentir en moi. Je sors lentement sa verge de ma bouche pour reprendre mon souffle.
Je n’ai jamais été une bonne suceuse mais je m’en fiche. D’un revers de main, j’essuie la bave qui me macule le menton en fixant le membre gonflé et palpitant luisant de ma salive.
Suite :
Moi, l’enseignante réservée, je lui ai sucé la bite comme une pro, enfin je l’espère. Manu m’aide à me relever et me caresse doucement la poitrine, puis englobe chaque sein dans une de ses mains. Je mouille plus que jamais, je glisse un doigt dans ma fente pour recueillir un peu de ma cyprine puis pose ma main sur ses fesses et enfonce mon index tout doucement dans son petit trou. Je ne sais pas si ses petites copines s’amusent à ce jeu-là mais je le sens se raidir. L’endroit est étroit et brûlant, je pousse mon doigt à l’intérieur jusqu’à la jointure et l’agite de bas en haut.
Manu ne peut plus se contrôler et mon autre main qui encerclait sa verge la sent se contracter comme dotée d’une vie propre. Son sperme gicle avec une puissance telle que je sursaute presque quand le liquide chaud me macule le ventre. Le premier jet est suivi de plusieurs autres, longs et continus comme il sied à un jeune homme aux bourses pleines. Mon cœur bat à cent à l’heure quand je recueille ce que je peux de sa liqueur pour la porter à mes lèvres, elle a un goût âcre et salé qui m’emplit la bouche comme le bouquet d’un bon vin et progresse lentement dans ma gorge. Tandis que je m’essuie, frustrée de ne pas avoir profité de sa jouissance dans ma chatte ou dans ma bouche, il m’enlace en m’embrassant d’un baiser long et passionné puis il me susurre à l’oreille en me serrant très fort deux mots qui en disent long :
- Merci Madame !
Je lui souris, gênée, et me recule, le regardant droit dans les yeux.
-Tsss, tsss… Appelle-moi Bridget, je ne sais pas ce qui m’a prise, dis-je pendant qu’il m’enlace dans ses bras fougueux, tu dois me prendre pour une trainée, une …
-Non Mad…Bridget ! Une femme magnifique, une enseignante, une maîtresse, quoi. Et l’élève a encore soif d’apprendre.
Effectivement, le petit soldat n’a pas mis longtemps pour être de nouveau au « garde-à-vous » et se fait remarquer entre nos deux corps enlacés.
Je ris, soulagée, vidée d’une tension accumulée depuis trop longtemps et ne pensant plus maintenant qu’à mon futur plaisir, qu’à être « couverte » par ce jeune mâle. Je reprends sa bite bandée en main et en joue sur ma fente qui déborde de mouille, y glisse son gland afin d’écarter ma vulve palpitante de cette attente trop longue. Mais comme un chien fou, il plonge sa queue d’un coup sec dans mon ventre sous mes feulements de lionne en chaleur, glissant de toutes ses forces sa queue dans ma chatte affamée. Il me remplit et me bourre comme un animal pressé en me tenant fermement dans ses bras comme s’il craignait que je m’enfuie, chaque coup de reins me décollant presque les pieds du sol. Je dois réfréner ses ardeurs sinon il va encore jouir et moi je serai chocolat.
Mais il est plus fort que moi, il me retourne violemment, me plie et je me retiens des deux mains au pied du lit, je me retrouve les seins ballants, mes fesses au bon vouloir de ce jeune étalon fougueux.
-Tu vas voir qui est « le Maitre » maintenant, tu voulais te faire baiser, et bien je suis ton « homme ».
Il fouille ma chatte trempée de ses doigts pour bien les oindre de ma mouille, je les sens qui remonte sur mes fesses, cherchant un autre trou, il ne se débrouille pas si mal ce petit con. En même temps, je sens son gland qui retrouve ma fente et d’un geste brusque il enfonce son chibre dans mon sexe.
- Mmmmhhh ... Haaaaaaa… Surtout ne t’arrête pas !
Ce n’est pas son intention et il me pilonne sous mes encouragements, fier comme un paon.
-Alors Bridget, t’aimes ça, te faire piner par ma grosse bite ? … Putain je vais encore gicler salope.
Je ne veux pas le décevoir sur la taille de son sexe qui est des plus ordinaire. Ah l’orgueil des hommes est souvent mal placé… Il me redresse et me retourne avant de me reprendre à nouveau, toujours aussi violemment.
- Ouuiiiiiiiiii mon Manu, je suis ta servante et tu es mon Maitre… huuummm… Décidément les élèves ne respectent plus leurs professeurs…
Il me le prouve en jouissant en moi, je sens les saccades de son foutre se déverser dans ma matrice, hummm… Il reste immobile quelques secondes avant de se retirer, me caresse la joue en me regardant droit dans les yeux.
-J’y suis allé un peu fort Bridget, j’espère que je ne t’ai pas déçue et que tu as aimé.
Je ne peux que lui répondre :
-Oh oui ! Je suis comblée, mais qu’allons-nous devenir ? Une relation prof/élève, ça finit rarement bien.
Manu se recule, remet son jean tout en me regardant alanguie, toujours dans mes pensées. Il finit de se reboutonner tranquillement, heureux de ses exploits, et m’annonce :
-Je rentre chez moi maintenant, on pourra recommencer ces cours particuliers ?
-Heu… oui. Surtout quand tes camarades s’en iront.
Plusieurs fois, nous avons recommencé mais Manu repartait avec ses camarades avant de revenir pour éviter que l’on se fasse prendre. Ce petit con me faisait mouiller rien qu’en pensant à lui et je me suis masturbée un nombre de fois incalculable en pensant à lui.
Maintenant il ose des choses de plus en plus hard et aujourd’hui après m’avoir prise, il pose ses mains sur mes hanches, retire son sexe luisant de moi, le glisse entre mes fesses et trouve mon anus. Il pousse, force par à-coup et mon œillet ne résiste que pour la frime. Il se positionne au-dessus de moi et pousse plus fort, ses mains s’incrustant presque dans mes hanches, (heureusement que son gland n’est pas épais), dilatant progressivement mon anus. Manu pose sa main sur ma bouche de peur que je ne crie, mais déjà l’extrémité de son phallus a franchi l’anneau fripé de mon cul.
Mon Dieu ! Que suis-je devenue pour me laisser sodomiser par un élève qui a la moitié de mon âge…
Il a son chibre planté au fond de mes entrailles et me burine comme un fou. Mais il ne veut pas jouir dans mes entrailles et vient présenter sa lance devant ma bouche. Je referme mes lèvres sur le gland, ne tenant pas compte d’où il sort. Son sperme liquide se faufile partout dans ma bouche, j’avale au fur et à mesure sa laitance de jeune mâle. Il trépigne presque en déchargeant, les mains agrippées dans mes cheveux de peur que je me refuse. Mais j’ai les mains bien serrées sur son membre pour lui pomper jusqu’à la dernière goutte pour bien vider ses burnes. Il débande mais je le suce tout de même encore un peu avant de sortir sa bite devenue molle de ma bouche. Mes lèvres fermées sont couvertes de sperme, il a coulé de la commissure de mes lèvres et j’en ai même sur les seins.
Dès que nous avons pu le faire, nous avons vécu ensemble et bien sûr, notre entourage a jaser sur notre couple, il a l’âge de mon ainé. Un « vieux » qui épouse une jeunette détonne moins que quand c’est la femme, telle une couguar, qui s’entiche d’un jeune homme. Mon Manu est une tête bien faite et il s’est maintenant lancé dans la politique.
Tout ce que je viens de raconter pourrait être le fantasme, un peu hard je vous l’accorde, d’une quadra en manque. Mais la réalité peut être totalement différente de ce que vous croyez…
A vous de voir si cette histoire est pure fantasme. Toute ressemblance avec des personnes existantes est purement fortuite.
Fin.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Mlkjhg39
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours d'actualité
petite allusion à un couple célèbre
J'ai peur qu'ils ne nous fassent jamais de petits