Manuscrit Secret de Cécé - Chapitre 01

- Par l'auteur HDS Kaii -
Récit érotique écrit par Kaii [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Manuscrit Secret de Cécé - Chapitre 01 Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Manuscrit Secret de Cécé - Chapitre 01
-- CHAPITRE 01 | Le déclic --

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PRÉAMBULE

Bonjour. Si vous lisez ces mots c'est que je ne suis peut-être plus de ce monde, car ce que je m'apprête à raconter dans ce manuscrit est secret et hautement sensible.

Nous sommes le 22 mai 1971. Ce samedi est plutôt ensoleillé. Cela change de la semaine dernière au court de laquelle de violents orages ont éclaté en région parisienne, ce qui provoqua des torrents de boue, des inondations de certaines lignes du métro et des pluies de grêlons impressionnantes.
Si je suis aussi expert dans ce domaine c'est parce que c'est mon métier. J'étudie les flux atmosphériques via des algorithmes élaborés afin de prédire au mieux les futures conditions météorologiques partout dans le monde.

J'appartiens à un groupe secret qui agit à l'international et dont je vais taire le nom pour le moment. Dans la nuit du 8 mars de cette année, un groupe de citoyens avait dérobé des documents du FBI. Ce qui fit éclater le scandale du Cointelpro, un programme secret de destruction de toute dissidence, lancé dès 1956. Ce groupe, c'était nous. Bien sûr, je ne suis qu'un employé de bureau, je m'appelle Kloss DAISEAU, 35ans, célibataire. Je vis dans un appartement que je co-loue avec des amis. Mes colocataires pensent que je travaille pour la compagnie nationale des eaux et ils ne posent pas de questions, donc c'est parfait pour moi.

Si vous pensez que tout ça est faux, renseignez vous. Vous verrez.

Physiquement, je suis brun, de corpulence normale mais j'essaye de m'entretenir quand même en faisant notamment de la boxe anglaise.

Mais si je vous raconte cette histoire, c'est surtout à cause de ce qui s'est notamment déroulé avec Madame Coline CUPEEL.
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Nous travaillons dans le même département depuis près de dix ans, et je peux vous dire qu'il s'en est passé des choses.

Tout avait commencé peu après mon arrivé à ce poste vers 1961. Étant expert dans mon domaine, j'ai vite gravi les échelons et j'ai été confronté à elle dès le milieu de l'année 1962. Plus exactement nous sommes petit à petit devenus des collaborateurs professionnels du fait de ses besoins d'informations sur les prévisions météorologiques afin de pouvoir coordonner le planning des futures opérations.

Coline a 20ans de plus que moi, mais elle ne fait pas du tout son âge. un peu plus petite que moi en taille, sa peau est assez clair, mais ces quelques ridules très peu visible lui donne un caractère assez particulier.
Cheveux châtains coupés assez courts plus haut que la nuque et des yeux gris qui viraient vert au soleil lui donnait un très beau regard. Ceci surmontant un nez droit une fossette bien marquée entre le nez et la bouche dont les lèvres très fines arboraient parfois un discret rouge à lèvre qui soulignait clairement le creux de sa lèvre supérieure au niveau de la fossette, comme si c'était le bas d'un cœur dessiné à l'aquarelle d'un trait fin.
Son corps est assez athlétique, une poitrine d'une taille ni trop grande ni trop petite et des fesses assez rebondies sur lesquelles je me suis surpris plus d'une fois à phaser dessus à travers les Jeans ou les pantalons en tissus noirs qu'elle semble affectionné, et qui ne me déplaisent pas étant donné la moulure qu'ils donnent à ses hanches et s'est fesses.

Par notre écart d'âge elle me parlait d'une manière assez stricte, malgré la douceur de sa voix trahissait son côté un peu plus agréable qu'elle semblait vouloir camoufler au travail.

Nos rapports on toujours été très professionnels jusqu'à un soir de 1962 où il ne restait qu'elle et moi au bureau. Nous avons commencé à discuter un peu, tout en travaillant sur nos dossiers respectifs restants.
La conversation à commencé par le temps qu'il faisait cette semaine là, puis elle est passée par la réflexion de ce que chacun allait diner ce soir là, pour arriver à des questions un peu plus personnelles sur nous gouts en terme de nourriture.

Elle a évoqué le fait qu'en terme de goût, elle était bien plus "sucré" que "salé", j'ai indiqué que pour moi c'était plutôt l'inverse mais que parfois certains desserts sucrés restes irrésistibles.
Elle partageait ce point là en indiquant qu'au delà des fruits elle adorait le chocolat, mais plus précisément la sauce chocolat noir qui serre souvent de nappage.

J'ai fait remarqué que ce n'est pas vraiment ce qui est le plus simple à manger car il faut que ce soit en accompagnement avec quelque chose. À ce moment là, elle me fixa avec un sourire qui m'a fait baisser les yeux, mais elle a perçu que c'était communicatif. Je souriais en griffonnant sur mon bout de papier, me rendant compte qu'au lieu d'écrire, j'étais en train de griffonner des rayures sur le coin de la page, surement pour équilibrer avec la petite dose de tension que je commençais à ressentir. Son sourire traduisait qu'elle avait sûrement remarqué cela.

J'ai décidé de ne pas me sauver par une pirouette ou un changement de sujet cette fois-ci et de continuer de parler sur cela, pour être sûr qu'elle allait dans la direction que je m'étais mis en tête.

— C'est vrai qu'il y'a pas mal de choses qui sont vraiment bien pour accompagné d'un nappage chocolat
— Comme quoi par exemple ? Répliqua t'elle.
— Ah, il y a les fruits par exemple
— Cela peut faire partie du mélange aussi, quelques fraises ou des framboises bien mûres..

À ces mots, je ne sais pas pourquoi mon pantalon devenait de plus en plus serré. Alors je continuais la discussion

— Effectivement. Mais du coup avec quoi vous préférez déguster cela ?
— Ah ça, je ne vais pas te le dire ha ha

Dit t'elle en riant un peu gênée mais surtout après m'avoir tutoyé pour la première fois depuis que l'on se connais. J'ai donc empressé son pas et continué en la tutoyant également.

— ça va, tu me connais depuis un moment, je ne vais pas répéter ce qui sera dit
— C'est vrai, mais bon, on ne se connait pas depuis si longtemps. Répondit-t'elle.
— Justement, c'est pour ça que je ne juge pas. Et puis jusqu'à maintenant, je partage ton avis, donc je vais surement partager la suite.
— Oh, je ne doute pas que tu vas la partager..

Dit t'elle cette fois en me souriant et en me regardant droit dans les yeux. Cette fois en soutenant son regard, j'ai décidé de l'aider un peu

— Le chocolat c'est bon, mais sur la peau, le goût peut-être encore bien meilleur
— Oui, sur la peau c'est l'idéal, dit t'elle en continuant à sourire et en me regardant.

Cette fois, aucun de nous n'écrivait plus sur son dossier. Nous avions parlé les minutes qui précédaient en rangeant mécaniquement nos affaires. Puis elle continua

— Tu sais sur quelle partie de la peau c'est le mieux ?
— J'imagine qu'il y'a pas mal d'endroits où ça peut vraiment être bien, si tu devais le faire maintenant tu l'étalerais où? Répondis-je ayant décidé de lui laisser le lead de ce fantasme improbable.
— Mmm, et bien, je commencerais à mettre le chocolat sur le torse
— Oui, c'est bien ça
— Un peu au dessus du nombril, précisa t'elle
— Waw un régal pour toi ça
— Ouii, je passerai ma langue sur le chocolat, pour n'en laisser aucune goutte
— Mmm, oui il faudrait plusieurs passages pour tout nettoyer
— Plusieurs passage avec ma langue sur...ton torse

à ce moment là, en évoquant directement mon torse, je sentis que mon érection devenait plus forte encore, au point que j'étais obligé de replacé mon sexe droit à travers le pantalon afin qu'il puisse avoir un peu plus d'espace. Un geste qui n'a pas échappé à ces yeux perçants qui étaient maintenant rivés sur mon entrejambe qu'elle pouvait apercevoir à travers mon pantalon sous la table, étant donné la distance de 4 à 5 mètres qui nous séparait, quasiment en face à face.

À ce moment là elle se leva, pour sûrement se rapprocher de moi, quand tout à coup la porte en verre du bureau s'ouvrit. C'était un autre employé qui était revenu car il avait oublié les clés de chez lui au bureau, donc il était obligé de revenir.

Coline se figea sur place, ne sachant quoi dire. Ils se regardèrent, puis elle se ressaisit rapidement en lui demandant si la réunion était bien maintenue à 9h30 le lendemain matin, de sa voix plus ferme et habituelle qu'elle avait avant notre précédent échange.

Bien sûr la question était inutile et elle savait très bien que la réunion était maintenue. C'était simplement pour garder la face et reprendre son rôle professionnel au yeux de notre collègue, qui d'ailleurs n'a vu que du feu au malaise ambiant et il quitta précipitamment le bureau en nous saluant maladroitement.

Je ne savais pas quoi faire à cet instant. Mais sans que cela m'étonne, elle prit elle même la décision et m'indiqua qu'il était tard et qu'elle allait rentrer chez elle, me demandant de ne pas être en retard pour le travail le lendemain.

Quittant le bureau quelques minutes après elle, je me demandais si ce qui arrivait était vrai. Pensant à elle, je n'arrivais plus à débander, plus je pensais à elle et plus j'avais envie de revivre cet instant et encore plus.

Chaque soir en rentrant à la maison, je m'installais sur mon lit, mon sexe dur comme un glaive, gorgé des visions sur son cul, sa poitrine, et surtout sa bouche que j'avais envie de dévorer en la fourrant non-stop.
Je me caressais en imaginant la scène se reproduire et aller cette fois jusqu'au bout. Je l'imaginais déchirer ses vêtements, balancer tout le contenu de son bureau par terre et installant ses fesses nues dessus en me demandant de la pénétrer en écartant les jambes, me laissant une vision de rêve que je ne pouvait qu'imaginer.

En me caressant, sentant les veines de ma verges bien gorgées, l'excitation montait très vite avant que j'empoigne mon sexe tout dur en faisant des va et vient m'imaginant en elle jusqu'à jouir et m'étonnant de la distance à laquelle le sperme était projeté après toute cette excitation. Après ça, je dormais très bien en me demandant si cela pouvait vraiment se réaliser.

Je n'avais pas tort, car quelques jours plus tard, autre chose arriva, encore plus perturbant.

Je vous évoquerais ça la prochaine fois.

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