Marc et Lucien
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2011 dans la catégorie Plus on est
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Marc et Lucien
Je crois que j’ai oublié de vous parler de mes deux hommes. Je les ai connu presque ensemble, en
tout cas le même weekend, Marc le samedi soir et Julien le dimanche après midi. Je fais parti des
filles qui couchent dès le premier soir, depuis ma première fois quand j‘avais 16 ans. Marc m’a
levée donc le samedi dans cette boite enfumée, comme à l’époque en m’offrant un verre après un slow
où nous étions tellement serrés que nous faisions presque l’amour: je sentais sa bite contre mon
ventre: il m’excitait tellement que je ne tenais plus, je frottais mon ventre contre lui pour le
masser. Je ne faisais qu’aggraver son érection: ça me plais de faire bander les hommes.
Ce verre offert voir au moins sa bite tendue, Elle me plaisait trop, j’avais envie de l’avoir dans
mon ventre plutôt que dans son pantalon.
Il m’offre ce que je veux. Il y a longtemps que j’ai envie de boire un wiski. C’est-ce que je bois:
ça me donne du courage pour m’approcher de Marc, de lui coller ma bouche sur la sienne et de poser
ma main sur sa bite. Il me regarde l’air de dire que j’exagère, alors que je meurs d’envie de lui.
Je me débrouille comme je peux pour la sortir. Quand j’arrive à le faire, je ne traine pas, je me
baisse et le prend dans ma bouche. Il semble surpris mais se laisse faire. J’ai la prétention de
réussir les fellations, aussi je m’applique pour le faire jouir. Je lui lèche d’abord le gland avant
de le prendre avec mes lèvres. Ma tête monte et descend le long de sa bite. Je sens les prémices de
sa jouissance. Enfin son sperme jaillit longuement dans ma bouche. Je le fait passer d’une joue à
l’autre: il a réellement bon gout. Après avoir tout avalé, à sa surprise, je l’embrasse, je finis
mon verre et lui demande de me sortir pour aller baiser.
Je venais d’avoir 18 ans, et c’était quand même mon 9° amant. Il m’a emmené chez lui, un tout petit
logement pas très loin. Avant de faire quoi que ce soit je me suis déshabillée rapidement; j’avais
trop envie de lui. Il m’a suivi et nous nous sommes vite trouvés couchés. Je l’ai laissé faire: il
savait bien me faire jouir avec ses doigts d’abord, ensuite sa langue, sans que je le lui demande,
et enfin sa bite. Je me souviens encore de sa langue: elle m’a léché le clitoris avec beaucoup de
tendresse, il m’avais prit dans sa bouche, sa langue me léchant dans sa bouche :merveilleux. Il ne
s’est pas arrêté à mon bouton, il a entrer sa langue dans ma chatte. Je ne sais pas exactement ce
qu’il a fait, je crois qu’il la tournait dans mon ventre. Le fin du fin venait de ses deux doigts
qu’il entrait dans l’anus. Entre ces doigts et cette langue je défaillais. J’ai cru me trouver mal
de jouissance.
Je pensais qu’il fallait que je garde Marc, au moins comme amant.
Le lendemain soir, dans la même boite je pensais retrouver Marc: je l’ai attendu et il n’est pas
venu. J’avais un creux au fond de mon ventre: il fallait que je trouve quelqu’un pour le combler.
Un garçon assez mignon est venu m’inviter pour un slow. Je sentais que c’était lui qui allait
remplacer Marc pour cette nuit: mon ventre contre lui le faisait bander. Je massais encore cette
bite pour qu’elle soit bien déployée. J’allais plus loin en dansant: je sortais directement la bite
que je convoitais. Je commençais à le branler tout en dansant. Disons que je tournais, qu’il suivait
mes mouvements et que ma main aller et venait sur sa queue. Je trouvais la situation
particulièrement excitante. Lui ne pensant plus qu’à jouir. Quand la danse s’est arrêté, je me suis
collée à lui: sa pine entre nous deux, invisible pour les étrangers. Nous nous sommes embrassés tout
le temps court de la pause. Quand la danse a repris, j’ai réussi à le faire jouir. Son sperme est
parti à coté de nous sur la robe d’une inconnue.
Il s’est remis et nous nous sommes assis au bar. Il m’a dit qu’ il s’appelait Julien. Je lui ai
demande de m’emmener baiser chez lui. Comme la veille je me suis trouvée dans un petite chambre. Je
me suis mis nue rapidement. Il est venu à mes coté pour m’embrasser et me caresser les seins.
Qu’elle réussite: il a failli me faire partir avec ses lèvres sur mes tétons. Il a descendu sa main
sur ma chatte pour me branler. Il m’a faite jouir pour la première fois avec ses doigts. Il a
continué avec sa langue en reprenant le bouton et le léchant. J’ai jouis encore tout en secousses.
Ensuite il est venu sur moi, m’a embrocher directement. Je le sentais au fond de mon ventre.
J’accompagnais les mouvements qu’il faisait pour me baiser. J’ai encore joui. Lui restait toujours
sans éjaculer; il m’a tourner sur le ventre, m’a écarté les fesses, trouvé mon petit trou dans
lequel il est entré sans rien me demander. Il m’a dépucelé le cul. J’ai eu mal un petit moment,
jusqu’à ce qu’il soit au fond et que je sente ses couilles contre mes fesses. Dès qu’il a commencé
les allers et venues, j’ai senti un autre bien être envahir mon cul. Il me semblait que je jouissait
différemment. Je crois toujours que je jouis différemment qu’avec la chatte.
Je l’ai senti jouir dans mon ventre. Quand il est sortir j’ai eu le besoin de lui faire une
fellation: je sentais les odeurs de mon cul sur sa bite.
Je me disais que j’aimerai l’avoit aussi comme amant.
Un jour j’ai tenté le tout pout le tout. J’ai donné rendez vous à Marc et à Julien à la même heure;
Evidemment je les ai vu tous les deux. J’ai réussi à les présenter l’un à l’autre comme mon amant.
Je précisait que je ne pouvais faire de choix entre eux parce qu’ils me baisaient bien. J’ai pu les
convaincre de venir chez moi tous les deux. Qu’elle bonne idée, j’ai eu ce soir là: je vis toujours
avec eux.
C’est cette nuit que j’ai connu un plaisir. Avoir deux hommes dans le même lit avec une seule fille
est une gageure. Je me devais de les faire jouir ensemble. J’ai commencé par prendre la bite de
Julien dans la bouche pendant que je branlais Marc. Je me suis arrangé pour qu’ils jouissent
ensemble ou presque. Je les laissais me caresser l’un le cul, l’autre la chatte.
Après que nous ayons joui tous les trois, il se sont parlé, disons qu’ils ont parlé de moi: j’étais
une bonne baiseuse qui valait le coup que ceci que cela. Bref j’étais la reine de la baise.
Pour le prouver, j’ai fait coucher Marc, me suis baisée moi-même sur sa bite. Quand il était au fond
de mon trou, je demandais à Lucien de me la mettre au cul. Je les ai fait coulisser dans mon ventre,
chacun dans son trou. J’adorais quand ils se croisait, je les sentais encore mieux à ces moments.
J’ai fait durer cette première double pénétration le plus possible. Je trouvais un nouveau plaisir
supérieur aux autres. Nous ne baisions plus que comme ça, à ma demande. Si je me trouvais seule avec
l’un deux, je me faisais baiser normalement la première fois et enculer la deuxième fois.
Un jour il a bien fallu ne serait-ce que pour des raison administratives que j’en épouse un. Nous
avons tiré mon mari à la courte paille. J’ai épousé Lucien et Marc a été notre témoin. Ensuite nous
avons acheté le pavillon dans lequel nous habitons toujours. Malheureusement pout moi, ils
travaillent loin et ne rentrent que les weekends. Sur le plan sexuel je me rattrape toujours soit
avec des voisines, soit avec des voisins. Souvent je me contente du gode qu’ils m’ont acheté.
tout cas le même weekend, Marc le samedi soir et Julien le dimanche après midi. Je fais parti des
filles qui couchent dès le premier soir, depuis ma première fois quand j‘avais 16 ans. Marc m’a
levée donc le samedi dans cette boite enfumée, comme à l’époque en m’offrant un verre après un slow
où nous étions tellement serrés que nous faisions presque l’amour: je sentais sa bite contre mon
ventre: il m’excitait tellement que je ne tenais plus, je frottais mon ventre contre lui pour le
masser. Je ne faisais qu’aggraver son érection: ça me plais de faire bander les hommes.
Ce verre offert voir au moins sa bite tendue, Elle me plaisait trop, j’avais envie de l’avoir dans
mon ventre plutôt que dans son pantalon.
Il m’offre ce que je veux. Il y a longtemps que j’ai envie de boire un wiski. C’est-ce que je bois:
ça me donne du courage pour m’approcher de Marc, de lui coller ma bouche sur la sienne et de poser
ma main sur sa bite. Il me regarde l’air de dire que j’exagère, alors que je meurs d’envie de lui.
Je me débrouille comme je peux pour la sortir. Quand j’arrive à le faire, je ne traine pas, je me
baisse et le prend dans ma bouche. Il semble surpris mais se laisse faire. J’ai la prétention de
réussir les fellations, aussi je m’applique pour le faire jouir. Je lui lèche d’abord le gland avant
de le prendre avec mes lèvres. Ma tête monte et descend le long de sa bite. Je sens les prémices de
sa jouissance. Enfin son sperme jaillit longuement dans ma bouche. Je le fait passer d’une joue à
l’autre: il a réellement bon gout. Après avoir tout avalé, à sa surprise, je l’embrasse, je finis
mon verre et lui demande de me sortir pour aller baiser.
Je venais d’avoir 18 ans, et c’était quand même mon 9° amant. Il m’a emmené chez lui, un tout petit
logement pas très loin. Avant de faire quoi que ce soit je me suis déshabillée rapidement; j’avais
trop envie de lui. Il m’a suivi et nous nous sommes vite trouvés couchés. Je l’ai laissé faire: il
savait bien me faire jouir avec ses doigts d’abord, ensuite sa langue, sans que je le lui demande,
et enfin sa bite. Je me souviens encore de sa langue: elle m’a léché le clitoris avec beaucoup de
tendresse, il m’avais prit dans sa bouche, sa langue me léchant dans sa bouche :merveilleux. Il ne
s’est pas arrêté à mon bouton, il a entrer sa langue dans ma chatte. Je ne sais pas exactement ce
qu’il a fait, je crois qu’il la tournait dans mon ventre. Le fin du fin venait de ses deux doigts
qu’il entrait dans l’anus. Entre ces doigts et cette langue je défaillais. J’ai cru me trouver mal
de jouissance.
Je pensais qu’il fallait que je garde Marc, au moins comme amant.
Le lendemain soir, dans la même boite je pensais retrouver Marc: je l’ai attendu et il n’est pas
venu. J’avais un creux au fond de mon ventre: il fallait que je trouve quelqu’un pour le combler.
Un garçon assez mignon est venu m’inviter pour un slow. Je sentais que c’était lui qui allait
remplacer Marc pour cette nuit: mon ventre contre lui le faisait bander. Je massais encore cette
bite pour qu’elle soit bien déployée. J’allais plus loin en dansant: je sortais directement la bite
que je convoitais. Je commençais à le branler tout en dansant. Disons que je tournais, qu’il suivait
mes mouvements et que ma main aller et venait sur sa queue. Je trouvais la situation
particulièrement excitante. Lui ne pensant plus qu’à jouir. Quand la danse s’est arrêté, je me suis
collée à lui: sa pine entre nous deux, invisible pour les étrangers. Nous nous sommes embrassés tout
le temps court de la pause. Quand la danse a repris, j’ai réussi à le faire jouir. Son sperme est
parti à coté de nous sur la robe d’une inconnue.
Il s’est remis et nous nous sommes assis au bar. Il m’a dit qu’ il s’appelait Julien. Je lui ai
demande de m’emmener baiser chez lui. Comme la veille je me suis trouvée dans un petite chambre. Je
me suis mis nue rapidement. Il est venu à mes coté pour m’embrasser et me caresser les seins.
Qu’elle réussite: il a failli me faire partir avec ses lèvres sur mes tétons. Il a descendu sa main
sur ma chatte pour me branler. Il m’a faite jouir pour la première fois avec ses doigts. Il a
continué avec sa langue en reprenant le bouton et le léchant. J’ai jouis encore tout en secousses.
Ensuite il est venu sur moi, m’a embrocher directement. Je le sentais au fond de mon ventre.
J’accompagnais les mouvements qu’il faisait pour me baiser. J’ai encore joui. Lui restait toujours
sans éjaculer; il m’a tourner sur le ventre, m’a écarté les fesses, trouvé mon petit trou dans
lequel il est entré sans rien me demander. Il m’a dépucelé le cul. J’ai eu mal un petit moment,
jusqu’à ce qu’il soit au fond et que je sente ses couilles contre mes fesses. Dès qu’il a commencé
les allers et venues, j’ai senti un autre bien être envahir mon cul. Il me semblait que je jouissait
différemment. Je crois toujours que je jouis différemment qu’avec la chatte.
Je l’ai senti jouir dans mon ventre. Quand il est sortir j’ai eu le besoin de lui faire une
fellation: je sentais les odeurs de mon cul sur sa bite.
Je me disais que j’aimerai l’avoit aussi comme amant.
Un jour j’ai tenté le tout pout le tout. J’ai donné rendez vous à Marc et à Julien à la même heure;
Evidemment je les ai vu tous les deux. J’ai réussi à les présenter l’un à l’autre comme mon amant.
Je précisait que je ne pouvais faire de choix entre eux parce qu’ils me baisaient bien. J’ai pu les
convaincre de venir chez moi tous les deux. Qu’elle bonne idée, j’ai eu ce soir là: je vis toujours
avec eux.
C’est cette nuit que j’ai connu un plaisir. Avoir deux hommes dans le même lit avec une seule fille
est une gageure. Je me devais de les faire jouir ensemble. J’ai commencé par prendre la bite de
Julien dans la bouche pendant que je branlais Marc. Je me suis arrangé pour qu’ils jouissent
ensemble ou presque. Je les laissais me caresser l’un le cul, l’autre la chatte.
Après que nous ayons joui tous les trois, il se sont parlé, disons qu’ils ont parlé de moi: j’étais
une bonne baiseuse qui valait le coup que ceci que cela. Bref j’étais la reine de la baise.
Pour le prouver, j’ai fait coucher Marc, me suis baisée moi-même sur sa bite. Quand il était au fond
de mon trou, je demandais à Lucien de me la mettre au cul. Je les ai fait coulisser dans mon ventre,
chacun dans son trou. J’adorais quand ils se croisait, je les sentais encore mieux à ces moments.
J’ai fait durer cette première double pénétration le plus possible. Je trouvais un nouveau plaisir
supérieur aux autres. Nous ne baisions plus que comme ça, à ma demande. Si je me trouvais seule avec
l’un deux, je me faisais baiser normalement la première fois et enculer la deuxième fois.
Un jour il a bien fallu ne serait-ce que pour des raison administratives que j’en épouse un. Nous
avons tiré mon mari à la courte paille. J’ai épousé Lucien et Marc a été notre témoin. Ensuite nous
avons acheté le pavillon dans lequel nous habitons toujours. Malheureusement pout moi, ils
travaillent loin et ne rentrent que les weekends. Sur le plan sexuel je me rattrape toujours soit
avec des voisines, soit avec des voisins. Souvent je me contente du gode qu’ils m’ont acheté.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Fabriss, j'ai beaucoup apprécié ton récit très excitant.Oui d'après les femmes recevoir une bite dans le cul c'est plus agréable que dans le con: La jouissance est plus intense. C'est ton avis ? Tu es vraiment très douée continue s'il te plait.J'aimerais échanger des mails avec toi. Es tu d'accord ?
Louis
Louis
avoir les deux trous remplis d'une bite c'est bien mais il te faut essayer avec une troisième dans la bouche . c'est le top.
Pur fantasme où les prénoms varient en fonction de l'histoire... Julien se transforme en Lucien...