Marc et Lydie - chapitre 3: les retrouvailles
Récit érotique écrit par Abdul75 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2021 dans la catégorie Plus on est
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Marc et Lydie - chapitre 3: les retrouvailles
Résumé des épisodes précédents:Marc et Lydie sont mariés depuis de nombreuses années. Jusqu'à une époque très récente, ils formaient un couple épanoui avec une harmonie sexuelle parfaite. Leur amour mutuel n'était nullement affecté par les aventures qu'ils avaient chacun de leur côté avec des partenaires plus ou moins réguliers.
Mais, en hébergeant Youssouf, un ex amant de Lydie sous leur toit, ils ont introduit le ver dans le fruit.
En effet, Lydie s'est une nouvelle fois offerte corps et âme au jeune étalon africain allant même jusqu'à souhaiter concevoir un enfant avec lui. Cette décision a inévitablement porté un coup sérieux à son union et Marc, profondément blessé par la décision de son épouse a préféré quitter le domicile conjugal.
Sensible au charme et à la tristesse de Marc, Mélanie une de ses collègues de travail lui a alors proposé de venir s'installer dans le pavillon qu'elle habite avec Henri son mari candauliste. Fragilisé par sa nouvelle situation, Marc a répondu favorablement à l'invitation de Mélanie héritant de facto de la place de choix dans le lit conjugal de la pulpeuse blonde qu'il honore depuis avec la bénédiction de son époux.
Le projet de Lydie n'a pas résisté longtemps à l'immaturité de Youssouf et la femme s'est vite retrouvée esseulée et triste dans son appartement parisien. Iris sa cheffe, tombée sous le charme de Lydie a compris que sa collaboratrice traversait une passe délicate et elle a décidé de lui remonter le moral à sa manière en l'invitant un soir dans son splendide domicile Haussmannien où les deux femmes ont fait l'amour pour la première fois avant qu'Hocine, le mari d'Iris rentre du travail.
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Il y avait exactement un mois que Marc était venu s'installer chez Mélanie l'employée du service comptable de la société où l'homme viril et séduisant exerçait les fonctions de directeur commercial. Leur relation avait pris un tour routinier dont s'accommodait très bien la pulpeuse blonde qui sans y laisser paraître avait peu à peu organisé sa maisonnée autour de sa relation avec Marc.
Henri son mari, amoureux de Mélanie comme au premier jour, trouvait son compte dans ce mode de vie car il appréciait la présence sous son toit du bel homme charismatique qui procurait tant de plaisir à Mélanie et avec lequel il aimait partager, en fin de journée, une longue discussion ou un verre de vieil Armagnac. D'autant plus que l'épouse d'Henri était plus radieuse que jamais et que malgré le sentiment évident qu'elle semblait éprouver pour Marc, elle se souciait toujours autant du bien être et du confort de son mari.
Il y a de la force tranquille chez Mélanie et cette femme plantureuse n'a pas froid aux yeux.
En accueillant Marc sous son toit, elle l'avait bien montré en parvenant très vite à diriger son petit monde à la baguette.
Elle avait su notamment profiter de la faiblesse psychologique de Marc après sa séparation pour imposer peu à peu ses désirs à son amant et par la même occasion augmenter son ascendant sur Henri.
La plantureuse blonde s'imaginait bien vivre ainsi pendant des années profitant autant que faire se peut de la fougue de Marc ainsi que de la tendresse non feinte de son époux fou d'elle.
Un samedi soir, après un dîner au cours duquel les trois occupants du coquet pavillon avaient sans doute trop bu, Mélanie avait ainsi persuadé Henri de sucer la belle queue de Marc.
La plantureuse blonde s'était délectée du spectacle offert par ses hommes avant d'aller s'empaler sur le pieu orgueilleux de son amant, auquel son mari avait rendu toute sa vigueur après avoir avalé pour la première fois la sève de l'étalon.
cette première fois ne fut pas la dernière et la pipe prodiguée par Henri à l'amant de sa femme était désormais devenue rituelle. Mélanie veillait à ce que son époux suce au moins une fois son fougueux étalon avant qu'elle s'offre à lui pour une séance de baise intense à domicile.
Et comme il ne se passait pas un jour sans que Mélanie se fasse honorer à plusieurs reprises par Marc, son mari avait le plaisir et le devoir d'emboucher quotidiennement le dard épais de l'amant de sa femme.
Mélanie était ravie de son statut de femme comblée et elle ne manquait pas d'idées pour renforcer les liens à l'intérieur de son trouple. Elle avait donc naturellement songé aux moyens permettant d'augmenter le degré d'intimité entre ses deux hommes.
Ainsi, un soir en ramenant Marc dans sa voiture, elle lui avait parlé de son désir de le voir sodomiser son époux :- j'ai parlé avec Henri, avait elle commencé. J'ai envie qu'il ressente autant de plaisir que nous quand nous faisons l'amour toi et moi. Je lui ai notamment dit que s'il t'offrait son cul, il jouirait sans aucun doute très fort quand tu lui enfoncerais ton énorme pine entre les fesses.
Henri s'est montré enchanté à cette perspective. Il a même bandé très fort quand je lui ai parlé du moment où tu libérerais ta semence dans son fondement.
J'ai donc décidé que ce soir je sucerai Henri pendant que tu l'enculeras. Et ensuite tu pourras me baiser comme une chienne comme tu sais si bien le faire.
Curieusement Marc n'avait émis aucune objection à la proposition de sa maîtresse. Il s'accommodait plutôt bien que Mélanie décide de tout à la maison et lorsqu'Henri offrit son cul à sa queue vigoureuse, Marc l'encula sans tergiverser permettant à la femme blonde de profiter du spectacle en se doigtant énergiquement tout en regardant son conjoint bander comme un cerf alors qu'il se faisait élargir la rondelle par les puissants coups de boutoir distillés par son amant.
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Évidemment la rumeur concernant la liaison entre Marc et Mélanie avait vite fait le tour de l'entreprise et certaines employées ne le voyaient pas d'un très bon oeil. Il y avait d'une part celles qui n'appréciaient pas que le beau directeur ne leur ait jamais fait de gringue et aussi les jalouses, que Marc avait fort bien baisées à une époque pas si éloignée, et qui enrageaient que leur ex-amant ait choisi de s'installer chez Mélanie plutôt que chez elles.
Bien sûr, les collaborateurs directs de Marc avaient remarqué le changement intervenu dans l'attitude de leur chef après sa rupture avec Lydie. L'homme gai et souriant, toujours d'humeur égale, qui ne manquait jamais de remonter le moral d'un collègue ou d'un camarade en souffrance s'était transformé en un être quelque peu taciturne affichant trop souvent un sourire empli de tristesse.
Ses performances professionnelles commençaient à pâtir de sa situation personnelle et Marc avait été convoqué par son patron pour un tête à tête qui s'annonçait dores et déjà périlleux.
Au début de leur entrevue, Paul Yamid salua son directeur commercial d'une poignée de main cordiale en arborant un sourire dénué d'arrière pensée.
- Bonjour Marc, commença t-il. Je suppose que tu te doutes pourquoi je t'ai demandé de venir me voir ce matin.
Tu travailles pour nous depuis plus de trois ans et même si je n'approuve pas forcément que tu aies séduit une bonne partie de notre personnel féminin, je dois dire que je ne peux que me féliciter de t'avoir embaucher si je me fie à l'évolution de nos résultats depuis que tu as intégré l'entreprise.
Le patron fixa son directeur avant de poursuivre :- Mais il est évident que depuis quelques semaines, tu sembles un peu perdu. Je sais bien que nous traversons tous à certains moments de notre existence des passes difficiles.
Et je ne m'en serais pas préoccupé plus que cela si un de nos clients importants ne s'était pas adressé à moi pour me faire part d'un incident qui aurait pu être préjudiciable à nos relations avec sa société dont les commandes contribuent fortement à notre équilibre financier.
Marc savait que Paul avait raison et qu'il avait très mal négocié une dizaine de jours plus tôt la reconduction d'un contrat commercial. Heureusement son patron avait pu récupérer le coup au prix d'une ristourne symbolique sur le montant total de la transaction.
- Nous allons oublier cette affaire conclut le chef d'entreprise mais il faut absolument que tu te reprennes. La conjoncture est difficile et la concurrence ne nous fera aucun cadeau.
En regagnant son bureau, Marc se dit qu'il était temps de reprendre les rênes de son existence.
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De son côté, depuis que Youssouf avait déménagé, Lydie avait entamé une liaison saphique avec Iris, la responsable du service où elle travaillait. Les deux femmes se voyaient souvent en dehors du bureau et Iris recevait régulièrement sa collaboratrice dans son grand lit.
En revanche, Lydie n'avait pas jugé pertinent de coucher avec Hocine malgré la proposition que lui avait faite Iris.
Elle estimait que la relation qu'elle entretenait avec sa cheffe était suffisamment problématique sans y adjoindre le conjoint de celle ci.
Mais pour Lydie, le plaisir procuré par Iris était insuffisant pour la combler. L'épouse sensuelle avait en effet besoin de se sentir remplie par une belle grosse bite pour jouir intensément.
Lydie s'était donc mise à enchaîner les aventures d'un soir avec des étalons disponibles et endurants.
Un soir de déprime, elle s'était même permise de contacter Youssouf et contre toute attente, celui-ci avait profité du déplacement professionnel de sa nouvelle maîtresse pour rendre visite à la belle femme brune. Lydie avait bien sûr été ravie que le jeune africain monté comme un âne la prenne par tous les orifices jusqu'au petit matin, lui procurant de merveilleux orgasmes comme elle n'en avait plus ressenti depuis qu'il l'avait quitté.
Mais l'épouse de Marc avait aussi compris qu'il l'avait honorée par opportunité, et il avait manqué à ces étreintes la passion qui les avait unis lorsqu'ils s'étaient retrouvés après toutes leurs années de séparation.
Lydie s'était donc mise à sortir dans les bars et les boîtes à la recherche illusoire d'un mâle qui saurait à la fois la combler physiquement et lui offrir la tendresse dont l'avait privée sa rupture avec Marc son mari aimant.
Malheureusement pour Lydie, si certains des hommes qui lui proposaient un dernier verre se révélaient être des amants endurants dotés de la longue queue très épaisse dont elle avait besoin pour se sentir bien remplie, la seule chose qui les intéressait était de baiser cette belle femme sensuelle aux formes plantureuses qui suçait comme une déesse et ne refusait aucun de ses orifices à leur dard orgueilleux.
D'autant plus que ce genre de coucherie n'est pas exempte de risque et Lydie le comprit la fois où sa conquête du jour avait absolument tenu à la baiser sans capote et était même devenu menaçant face à son refus.
Heureusement, la belle femme était parvenue à gérer ce conflit sans dommage se rhabillant aussi vite qu'elle s'était devêtue avant de se ruer hors de l'appartement du malotru et de prendre le premier taxi qui passait pour rentrer chez elle.
Un autre soir, Lydie s'était laissée séduire par Ozil, le mâle Alpha dans toute sa splendeur. Grand, carré, musclé et velu, il exposait sans pudeur ses attributs virils hypertrophiés que son pantalon étroit ne pouvait masquer. La belle femme sensuelle s'était d'ailleurs demandée une bonne partie de la soirée si Ozil n'était pas atteint de priapisme tant était impressionnante la colonne de chair qui déformait de manière indécente l'étoffe de son jean.
Mais ce n'était pas le cas. En érection son sexe atteignait des proportions inédites et Lydie admit qu'elle n'en avait jamais accueilli d'aussi imposant. Lorsqu'Ozil la pénétra la première fois, un orgasme incroyable coupa les jambes et le souffle de la belle brune quand le gland monstrueux percuta le fond de son vagin.
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Comment un homme comme Marc peut-il se laisser aller ainsi ? pensa Audrey la secrétaire du big boss en croisant le directeur commercial. Audrey était tombée secrètement amoureuses de Marc dès que le bel homme avait pris ses fonctions dans l'entreprise. C'était une femme de 27 ans aux formes épanouies qui malheureusement pour elle avait une confiance excessive dans le genre humain. Si bien qu'elle tombait régulièrement dans les bras de séducteurs nocifs trop heureux de trouver une belle femme plantureuse et crédule qui adorait baiser.
Marc était un des rares mecs virils de la boîte qui ne l'avait pas sautée. Curieusement elle lui en était plutôt reconnaissante alors qu'elle ne comptait plus les orgasmes qu'elle avait éprouvés lorsqu'elle se caressait en imaginant le beau directeur qui la prenait fougueusement dans les locaux les plus improbables de l'entreprise.
Mais Marc est un gentleman. Ce n'est pas le genre à profiter de la faiblesse d'une jeune femme un peu perdue pour s'éponger le poireau.
Ses maîtresses sont des battantes qui assument leur sexualité voire leurs infidélités pour celles qui sont en couple.
Toutefois, ce matin là, en croisant Marc qui rejoignait son bureau tel un robot déconnecté, Audrey estima qu'elle pouvait peut-être aider le séduisant directeur à reprendre le dessus et elle l'invita à prendre un café au bistrot du coin.
À l'issue de leur discussion, Audrey recommanda à Marc de prendre un peu de temps pour lui afin de réfléchir sur son avenir et sur la pertinence de sa liaison avec Mélanie.
Ce conseil ouvrit les yeux du séduisant directeur qui déclara plus tard d'un ton ferme à Mélanie qu'il ne l'accompagnerait pas chez elle ce soir là parce qu'il avait besoin de solitude pour faire le bilan du mois écoulé. Bien que déçue, la pulpeuse blonde n'insista pas et elle rentra seule retrouver Henri son mari dans leur coquet pavillon.
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La veille, un événement imprévu s'était immiscé dans la vie de Lydie. Carine, Une de ses anciennes amies d'universités l'avait recontactée pour lui annoncer qu'elle séjournait quelques jours à la capitale.
Carine n'avait pas beaucoup changé depuis l'époque de l'Université. C'était toujours une jolie petite femme aux cheveux châtains et au nez retroussé. Lydie se souvenait qu'elle avait le don d'exaspérer ses camarades avec son côté donneuse de leçons. Pour cette raison, les filles l'avaient d'ailleurs gentiment surnommée la chipie.
La chipie était donc de passage à Paris et elle avait proposé à Lydie d'aller boire un verre en sa compagnie dans un bar du 11eme arrondissement non loin de l'appartement de sa tante chez qui elle résidait pendant son séjour parisien.
En apercevant sa copine de fac, Carine ne put s'empêcher d'éprouver un sentiment de jalousie. Lydie était encore plus belle et désirable que lorsque qu'elle avait 20 ans. C'était sans conteste une femme qui savait mettre en valeur ses charmes eblouissants et qui débordait de sensualité. Et ce n'était pas les hommes présents dans le bistrot qui risquaient de prétendre le contraire. Aucun d'eux ne pouvait détacher son regard de la croupe magnifique qui ondulait en se dirigeant vers la table occupée par la chipie.
Vêtue d'une robe portefeuille à motifs panthère, de bas marrons et d escarpins en python à talons de 14 cm, Lydie ne laissait aucun mâle de l'assistance indifférent. Et Carine elle même n'était pas insensible à la beauté incandescente qui déplaçait une chaise pour s'asseoir en face d'elle.
Lydie tendit le cou pour faire la bise à son amie avant de s'enfoncer dans le fauteuil en osier. Tout en recherchant la position la plus confortable, elle croisa les jambes dans un mouvement gracieux dévoilant plus au moins volontairement l'attache de son porte jarretelle aux chanceux idéalement placés pour profiter de ce spectacle inespéré.
Subjugué par les jambes sans défaut de la femme, Rudy un quadragénaire situé à une table proche de celle des deux femmes esquissa un sourire charmeur à l'attention de la brune volcanique qui lui jeta un coup d'oeil satisfait avant de se tourner vers la chipie.
Ce bref échange visuel avait suffi à Lydie pour évaluer le paquet que le brun ténébreux tenait à disposition des belles femmes prêtes à partager un moment d'intimité avec un viril inconnu.
Et l'épouse de Marc estima en effet que le volume imposant amplifié par l'effet produit par sa plastique inspirante méritait une étude plus approfondie.
- Alors Carine! Commença Lydie. Je constate que tu n'as pas beaucoup changé depuis les 12 dernières années. Que deviens tu ?
La Chipie prit quelques secondes avant de répondre :- ça fait huit ans que je suis mariée avec Francis. Et nous avons une fille de 6 ans. Et toi tu as des enfants ?
- pas encore avoua Lydie avec un pincement au coeur. Mais j'y songe de plus en plus.
- tu es mariée donc.
- oui avec Marc. C'est un homme remarquable et un amant extraordinaire.
- je me souviens qu'à la fac, tu sortais toujours avec des hommes très virils. Rien n'a donc évolué de ce côté si je comprends bien ?
- comme tu viens de le dire, je n'ai nullement envie d'échanger un fougueux étalon contre un dada molasson, lâcha Lydie avec un grand sourire avant d'interroger son ancienne copine:- et ton Francis, il assure au lit ?
- je ne me plains pas répondit Carine après une hésitation.
- ça te dirait de m'accompagner ce soir dans une boîte que je connais pour aller danser et nous amuser. Ce serait bien que tu profites de ton séjour à Paris pour t'éclater un peu.
Carine ne répondit rien et face à ce silence, Lydie posa une nouvelle question :- As-tu prévu une tenue sexy pour sortir le soir ? Quand une belle femme vient à Paris, elle doit s'attendre à être courtisée.
- j'ai emporté une petite robe et des escarpins à talons avoua Carine en rosissant légèrement.
- ça sera très bien. De toute façon, tu es plutôt bien foutue. Je suis sûre que plein de mecs viendront te tourner autour.
La chipie se mit à rougir de plus belle.
- mais je n'ai pas l'intention de flirter avec qui que ce soit ! S'insurgea-t-elle- Personne ne t'oblige à flirter ma belle! Et tu n'es pas obligée de tout raconter à Francis non plus. En tout cas, moi je ne sors jamais sans ma boîte de préservatifs masculins XXL. La vie est courte et la beauté d'une femme éphémère. Et comme dit le proverbe : mieux vaut des remords que des regrets.
- Et Marc, il en pense quoi ? S'étonna Carine visiblement choquée.
- nous formons un couple très libre et nous n'avons jamais empêché l'autre d'avoir des aventures. C'était entendu dès que nous nous sommes mis ensemble avec mon cher mari.
- Ah bon! s'exclama Carine contrariée. Écoute, je veux bien sortir avec toi ce soir mais pas question que je me laisse draguer par n'importe qui.
- tout comme moi ma chérie. Je ne laisse pas n'importe quel mec me draguer. Seulement les mâles virils et séduisants qui ont suffisamment de répondant entre les jambes.
Disant cela, Lydie avait décroisé et recroisé ses jambes dévoilant le haut dénudé de ses cuisses élégantes à son voisin qui n'avait rien perdu du savoureux échange.
Les deux femmes changèrent de sujet et passèrent un peu plus d'une heure à évoquer leurs souvenirs communs avant de quitter le bar.
Au moment de partir, Lydie se dirigea vers Rudy le voisin qui n'avait pas arreté de la mater.
- je pense que vous avez apprécié le spectacle que je vous ai offert. Si vous avez envie d'en savoir plus sur moi, je serai avec mon amie au Bar X ce soir à partir de 22:00.
Lydie tourna les talons et rejoignit Carine avant que le type quelque peu sidéré par l'assurance de la magnifique brune ait pu prononcer le moindre mot.
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Carine portait une petite robe noire légèrement décolletée et suffisamment courte pour découvrir ses genoux. Elle était chaussée d'escarpins à petits talons et avait acheté une paire de bas autofixants qu'elle avait enfilés avant d'aller retrouver Lydie au Bar X.
Les femmes en étaient à leur deuxième mojito et la Chipie était beaucoup plus détendue que lors de son arrivée dans l'établissement.
C'est à ce moment là que Medhi, un homme de taille moyenne de type méditerranéen s'approcha d'elle pour la baratiner un peu avant de l'inviter à danser. Comme Lydie était en grande conversation avec Rudy, le séduisant quadragénaire qui avait profité de la vue offerte par la brune sublime quelques heures plus tôt, Carine mit provisoirement ses principes de côté et accepta d'accompagner l'homme sur la piste.
Après tout, il n'y a rien de répréhensible à danser le rock avec un inconnu dans un bar nocturne. D'autant plus que Lydie était passée à la vitesse supérieure et elle était en train d'embrasser à pleine bouche Rudy qui caressait doucement sa croupe accueillante à travers la fine étoffe de sa robe.
En frottant sa chatte dépourvue de culotte contre l'épaisse tige de son soupirant, l'épouse de Marc lui montrait sans équivoque son désir de ne pas passer la nuit seule.
Un regard mal placé permit à Carine de découvrir l'ampleur de l'impressionnante érection de Rudy. La vue sur cette protubérance imposante troubla fortement Carine qui se dit alors que ses convictions de femme fidèle pouvaient très bien être mises entre parenthèses pendant son court séjour à la capitale.
Une fois en main avec Rudy, Lydie ne s'était plus préoccupée de la chipie. Elle n'avait d'ailleurs pas tardé à quitter le bar pour emmener le tombeur chez elle puisque ce dragueur lui avait rapidement révélé qu'il était marié et que son épouse n'aurait sûrement pas apprécié qu'il ramène sa conquête au domicile conjugal.
Cet aveu avait bien fait rire Lydie qui avait finalement estimé que les dimensions de la queue de Rudy qu'elle avait eu le loisir de sucer dans les toilettes du bar entre son deuxième et son troisième cocktails valaient la peine d'inviter l'homme à partager sa couche au moins une partie de la nuit.
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Ce soir là, Marc avait ressenti un vrai coup de blues et comme le lui avait recommandé Audrey,la secrétaire de son patron, il avait quitté son bureau seul bien décidé à flâner dans les rues de Paris en faisant de temps en temps une halte pour boire un verre.
Il était donc allé écumer les bars de son quartier jusqu'à ce que le patron du bistrot où il venait de descendre successivement trois verres de Bourbon le mette dehors avant de baisser le rideau métallique.
En fouillant dans sa poche, Marc fut alors surpris de retrouver les clefs de son appartement, et après avoir mis de côté tout ressentiment, il se laissa convaincre par son esprit embrumé de rejoindre son domicile tout proche.
Les gémissements qu'il perçut après avoir refermé la porte de son appartement le firent dessaouler d'un coup.
Marc s'approcha alors doucement de la porte de sa chambre et découvrit la femme de sa vie qui lui faisait face à quatre pattes entièrement nue le visage transpirant de plaisir alors qu'un mâle velu était agenouillé derrière elle et la besognait énergiquement.
Voir son épouse au bord de la jouissance émut profondément Marc qui se mit à bander immédiatement subjugué par le corps sublime de celle qu'il n'avait pas touchée depuis plus d'un mois et qu'il aspirait plus que tout à serrer dans ses bras.
L'orgasme était en train de déferler sur Lydie lorsqu'elle aperçut enfin son époux qui la regardait les yeux emplis d'émotion.
- Ooooh ouiiii ! Mon amour ! Hurla la brune magnifique en prenant son pied.
Ce cri du coeur sidéra Rudy qui en comprit partiellement les raisons lorsqu'il découvrit à son tour Marc qui se rapprochait de son épouse les yeux embués de bonheur. Cette vision coupa tous ses effets à l'amant occasionnel qui se retira aussitôt de la chatte accueillante de sa conquête en constatant que sa queue ramollissait à vitesse grand V.
N'y tenant plus, Marc s'approcha de Lydie et accepta les lèvres qu'elle lui offrit spontanément. Il ne fallut que quelques secondes à l'époux fou de bonheur pour se dévêtir. Et sans se soucier du type à poil agenouillé sur son lit, il planta son dard dur comme l'acier entre les cuisses incandescentes de son épouse qui se mit à pleurer lorsqu'elle fut à nouveau remplie par l'énorme chibre de son chéri adoré.
Quelque peu déboussolé, Rudy comprit malgré tout qu'il était temps pour lui de s'eclipser et il ne mit guère de temps à laisser les deux tourtereaux fêter leurs retrouvailles.
Après une nuit de baise particulièrement épique, les deux amoureux s'endormirent tendrement enlacés et à leur réveil décidèrent de mettre provisoirement un terme à leurs aventures extra conjugales.
- Tu as toujours envie d'enfant ma chérie demanda alors Marc à son épouse adorée.
- plus que jamais mon amour. Mais je sais maintenant qu'il n'y a qu'un seul homme au monde avec qui je désire en avoir. Et cet homme c'est toi mon chéri.
Mais, en hébergeant Youssouf, un ex amant de Lydie sous leur toit, ils ont introduit le ver dans le fruit.
En effet, Lydie s'est une nouvelle fois offerte corps et âme au jeune étalon africain allant même jusqu'à souhaiter concevoir un enfant avec lui. Cette décision a inévitablement porté un coup sérieux à son union et Marc, profondément blessé par la décision de son épouse a préféré quitter le domicile conjugal.
Sensible au charme et à la tristesse de Marc, Mélanie une de ses collègues de travail lui a alors proposé de venir s'installer dans le pavillon qu'elle habite avec Henri son mari candauliste. Fragilisé par sa nouvelle situation, Marc a répondu favorablement à l'invitation de Mélanie héritant de facto de la place de choix dans le lit conjugal de la pulpeuse blonde qu'il honore depuis avec la bénédiction de son époux.
Le projet de Lydie n'a pas résisté longtemps à l'immaturité de Youssouf et la femme s'est vite retrouvée esseulée et triste dans son appartement parisien. Iris sa cheffe, tombée sous le charme de Lydie a compris que sa collaboratrice traversait une passe délicate et elle a décidé de lui remonter le moral à sa manière en l'invitant un soir dans son splendide domicile Haussmannien où les deux femmes ont fait l'amour pour la première fois avant qu'Hocine, le mari d'Iris rentre du travail.
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Il y avait exactement un mois que Marc était venu s'installer chez Mélanie l'employée du service comptable de la société où l'homme viril et séduisant exerçait les fonctions de directeur commercial. Leur relation avait pris un tour routinier dont s'accommodait très bien la pulpeuse blonde qui sans y laisser paraître avait peu à peu organisé sa maisonnée autour de sa relation avec Marc.
Henri son mari, amoureux de Mélanie comme au premier jour, trouvait son compte dans ce mode de vie car il appréciait la présence sous son toit du bel homme charismatique qui procurait tant de plaisir à Mélanie et avec lequel il aimait partager, en fin de journée, une longue discussion ou un verre de vieil Armagnac. D'autant plus que l'épouse d'Henri était plus radieuse que jamais et que malgré le sentiment évident qu'elle semblait éprouver pour Marc, elle se souciait toujours autant du bien être et du confort de son mari.
Il y a de la force tranquille chez Mélanie et cette femme plantureuse n'a pas froid aux yeux.
En accueillant Marc sous son toit, elle l'avait bien montré en parvenant très vite à diriger son petit monde à la baguette.
Elle avait su notamment profiter de la faiblesse psychologique de Marc après sa séparation pour imposer peu à peu ses désirs à son amant et par la même occasion augmenter son ascendant sur Henri.
La plantureuse blonde s'imaginait bien vivre ainsi pendant des années profitant autant que faire se peut de la fougue de Marc ainsi que de la tendresse non feinte de son époux fou d'elle.
Un samedi soir, après un dîner au cours duquel les trois occupants du coquet pavillon avaient sans doute trop bu, Mélanie avait ainsi persuadé Henri de sucer la belle queue de Marc.
La plantureuse blonde s'était délectée du spectacle offert par ses hommes avant d'aller s'empaler sur le pieu orgueilleux de son amant, auquel son mari avait rendu toute sa vigueur après avoir avalé pour la première fois la sève de l'étalon.
cette première fois ne fut pas la dernière et la pipe prodiguée par Henri à l'amant de sa femme était désormais devenue rituelle. Mélanie veillait à ce que son époux suce au moins une fois son fougueux étalon avant qu'elle s'offre à lui pour une séance de baise intense à domicile.
Et comme il ne se passait pas un jour sans que Mélanie se fasse honorer à plusieurs reprises par Marc, son mari avait le plaisir et le devoir d'emboucher quotidiennement le dard épais de l'amant de sa femme.
Mélanie était ravie de son statut de femme comblée et elle ne manquait pas d'idées pour renforcer les liens à l'intérieur de son trouple. Elle avait donc naturellement songé aux moyens permettant d'augmenter le degré d'intimité entre ses deux hommes.
Ainsi, un soir en ramenant Marc dans sa voiture, elle lui avait parlé de son désir de le voir sodomiser son époux :- j'ai parlé avec Henri, avait elle commencé. J'ai envie qu'il ressente autant de plaisir que nous quand nous faisons l'amour toi et moi. Je lui ai notamment dit que s'il t'offrait son cul, il jouirait sans aucun doute très fort quand tu lui enfoncerais ton énorme pine entre les fesses.
Henri s'est montré enchanté à cette perspective. Il a même bandé très fort quand je lui ai parlé du moment où tu libérerais ta semence dans son fondement.
J'ai donc décidé que ce soir je sucerai Henri pendant que tu l'enculeras. Et ensuite tu pourras me baiser comme une chienne comme tu sais si bien le faire.
Curieusement Marc n'avait émis aucune objection à la proposition de sa maîtresse. Il s'accommodait plutôt bien que Mélanie décide de tout à la maison et lorsqu'Henri offrit son cul à sa queue vigoureuse, Marc l'encula sans tergiverser permettant à la femme blonde de profiter du spectacle en se doigtant énergiquement tout en regardant son conjoint bander comme un cerf alors qu'il se faisait élargir la rondelle par les puissants coups de boutoir distillés par son amant.
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Évidemment la rumeur concernant la liaison entre Marc et Mélanie avait vite fait le tour de l'entreprise et certaines employées ne le voyaient pas d'un très bon oeil. Il y avait d'une part celles qui n'appréciaient pas que le beau directeur ne leur ait jamais fait de gringue et aussi les jalouses, que Marc avait fort bien baisées à une époque pas si éloignée, et qui enrageaient que leur ex-amant ait choisi de s'installer chez Mélanie plutôt que chez elles.
Bien sûr, les collaborateurs directs de Marc avaient remarqué le changement intervenu dans l'attitude de leur chef après sa rupture avec Lydie. L'homme gai et souriant, toujours d'humeur égale, qui ne manquait jamais de remonter le moral d'un collègue ou d'un camarade en souffrance s'était transformé en un être quelque peu taciturne affichant trop souvent un sourire empli de tristesse.
Ses performances professionnelles commençaient à pâtir de sa situation personnelle et Marc avait été convoqué par son patron pour un tête à tête qui s'annonçait dores et déjà périlleux.
Au début de leur entrevue, Paul Yamid salua son directeur commercial d'une poignée de main cordiale en arborant un sourire dénué d'arrière pensée.
- Bonjour Marc, commença t-il. Je suppose que tu te doutes pourquoi je t'ai demandé de venir me voir ce matin.
Tu travailles pour nous depuis plus de trois ans et même si je n'approuve pas forcément que tu aies séduit une bonne partie de notre personnel féminin, je dois dire que je ne peux que me féliciter de t'avoir embaucher si je me fie à l'évolution de nos résultats depuis que tu as intégré l'entreprise.
Le patron fixa son directeur avant de poursuivre :- Mais il est évident que depuis quelques semaines, tu sembles un peu perdu. Je sais bien que nous traversons tous à certains moments de notre existence des passes difficiles.
Et je ne m'en serais pas préoccupé plus que cela si un de nos clients importants ne s'était pas adressé à moi pour me faire part d'un incident qui aurait pu être préjudiciable à nos relations avec sa société dont les commandes contribuent fortement à notre équilibre financier.
Marc savait que Paul avait raison et qu'il avait très mal négocié une dizaine de jours plus tôt la reconduction d'un contrat commercial. Heureusement son patron avait pu récupérer le coup au prix d'une ristourne symbolique sur le montant total de la transaction.
- Nous allons oublier cette affaire conclut le chef d'entreprise mais il faut absolument que tu te reprennes. La conjoncture est difficile et la concurrence ne nous fera aucun cadeau.
En regagnant son bureau, Marc se dit qu'il était temps de reprendre les rênes de son existence.
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De son côté, depuis que Youssouf avait déménagé, Lydie avait entamé une liaison saphique avec Iris, la responsable du service où elle travaillait. Les deux femmes se voyaient souvent en dehors du bureau et Iris recevait régulièrement sa collaboratrice dans son grand lit.
En revanche, Lydie n'avait pas jugé pertinent de coucher avec Hocine malgré la proposition que lui avait faite Iris.
Elle estimait que la relation qu'elle entretenait avec sa cheffe était suffisamment problématique sans y adjoindre le conjoint de celle ci.
Mais pour Lydie, le plaisir procuré par Iris était insuffisant pour la combler. L'épouse sensuelle avait en effet besoin de se sentir remplie par une belle grosse bite pour jouir intensément.
Lydie s'était donc mise à enchaîner les aventures d'un soir avec des étalons disponibles et endurants.
Un soir de déprime, elle s'était même permise de contacter Youssouf et contre toute attente, celui-ci avait profité du déplacement professionnel de sa nouvelle maîtresse pour rendre visite à la belle femme brune. Lydie avait bien sûr été ravie que le jeune africain monté comme un âne la prenne par tous les orifices jusqu'au petit matin, lui procurant de merveilleux orgasmes comme elle n'en avait plus ressenti depuis qu'il l'avait quitté.
Mais l'épouse de Marc avait aussi compris qu'il l'avait honorée par opportunité, et il avait manqué à ces étreintes la passion qui les avait unis lorsqu'ils s'étaient retrouvés après toutes leurs années de séparation.
Lydie s'était donc mise à sortir dans les bars et les boîtes à la recherche illusoire d'un mâle qui saurait à la fois la combler physiquement et lui offrir la tendresse dont l'avait privée sa rupture avec Marc son mari aimant.
Malheureusement pour Lydie, si certains des hommes qui lui proposaient un dernier verre se révélaient être des amants endurants dotés de la longue queue très épaisse dont elle avait besoin pour se sentir bien remplie, la seule chose qui les intéressait était de baiser cette belle femme sensuelle aux formes plantureuses qui suçait comme une déesse et ne refusait aucun de ses orifices à leur dard orgueilleux.
D'autant plus que ce genre de coucherie n'est pas exempte de risque et Lydie le comprit la fois où sa conquête du jour avait absolument tenu à la baiser sans capote et était même devenu menaçant face à son refus.
Heureusement, la belle femme était parvenue à gérer ce conflit sans dommage se rhabillant aussi vite qu'elle s'était devêtue avant de se ruer hors de l'appartement du malotru et de prendre le premier taxi qui passait pour rentrer chez elle.
Un autre soir, Lydie s'était laissée séduire par Ozil, le mâle Alpha dans toute sa splendeur. Grand, carré, musclé et velu, il exposait sans pudeur ses attributs virils hypertrophiés que son pantalon étroit ne pouvait masquer. La belle femme sensuelle s'était d'ailleurs demandée une bonne partie de la soirée si Ozil n'était pas atteint de priapisme tant était impressionnante la colonne de chair qui déformait de manière indécente l'étoffe de son jean.
Mais ce n'était pas le cas. En érection son sexe atteignait des proportions inédites et Lydie admit qu'elle n'en avait jamais accueilli d'aussi imposant. Lorsqu'Ozil la pénétra la première fois, un orgasme incroyable coupa les jambes et le souffle de la belle brune quand le gland monstrueux percuta le fond de son vagin.
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Comment un homme comme Marc peut-il se laisser aller ainsi ? pensa Audrey la secrétaire du big boss en croisant le directeur commercial. Audrey était tombée secrètement amoureuses de Marc dès que le bel homme avait pris ses fonctions dans l'entreprise. C'était une femme de 27 ans aux formes épanouies qui malheureusement pour elle avait une confiance excessive dans le genre humain. Si bien qu'elle tombait régulièrement dans les bras de séducteurs nocifs trop heureux de trouver une belle femme plantureuse et crédule qui adorait baiser.
Marc était un des rares mecs virils de la boîte qui ne l'avait pas sautée. Curieusement elle lui en était plutôt reconnaissante alors qu'elle ne comptait plus les orgasmes qu'elle avait éprouvés lorsqu'elle se caressait en imaginant le beau directeur qui la prenait fougueusement dans les locaux les plus improbables de l'entreprise.
Mais Marc est un gentleman. Ce n'est pas le genre à profiter de la faiblesse d'une jeune femme un peu perdue pour s'éponger le poireau.
Ses maîtresses sont des battantes qui assument leur sexualité voire leurs infidélités pour celles qui sont en couple.
Toutefois, ce matin là, en croisant Marc qui rejoignait son bureau tel un robot déconnecté, Audrey estima qu'elle pouvait peut-être aider le séduisant directeur à reprendre le dessus et elle l'invita à prendre un café au bistrot du coin.
À l'issue de leur discussion, Audrey recommanda à Marc de prendre un peu de temps pour lui afin de réfléchir sur son avenir et sur la pertinence de sa liaison avec Mélanie.
Ce conseil ouvrit les yeux du séduisant directeur qui déclara plus tard d'un ton ferme à Mélanie qu'il ne l'accompagnerait pas chez elle ce soir là parce qu'il avait besoin de solitude pour faire le bilan du mois écoulé. Bien que déçue, la pulpeuse blonde n'insista pas et elle rentra seule retrouver Henri son mari dans leur coquet pavillon.
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La veille, un événement imprévu s'était immiscé dans la vie de Lydie. Carine, Une de ses anciennes amies d'universités l'avait recontactée pour lui annoncer qu'elle séjournait quelques jours à la capitale.
Carine n'avait pas beaucoup changé depuis l'époque de l'Université. C'était toujours une jolie petite femme aux cheveux châtains et au nez retroussé. Lydie se souvenait qu'elle avait le don d'exaspérer ses camarades avec son côté donneuse de leçons. Pour cette raison, les filles l'avaient d'ailleurs gentiment surnommée la chipie.
La chipie était donc de passage à Paris et elle avait proposé à Lydie d'aller boire un verre en sa compagnie dans un bar du 11eme arrondissement non loin de l'appartement de sa tante chez qui elle résidait pendant son séjour parisien.
En apercevant sa copine de fac, Carine ne put s'empêcher d'éprouver un sentiment de jalousie. Lydie était encore plus belle et désirable que lorsque qu'elle avait 20 ans. C'était sans conteste une femme qui savait mettre en valeur ses charmes eblouissants et qui débordait de sensualité. Et ce n'était pas les hommes présents dans le bistrot qui risquaient de prétendre le contraire. Aucun d'eux ne pouvait détacher son regard de la croupe magnifique qui ondulait en se dirigeant vers la table occupée par la chipie.
Vêtue d'une robe portefeuille à motifs panthère, de bas marrons et d escarpins en python à talons de 14 cm, Lydie ne laissait aucun mâle de l'assistance indifférent. Et Carine elle même n'était pas insensible à la beauté incandescente qui déplaçait une chaise pour s'asseoir en face d'elle.
Lydie tendit le cou pour faire la bise à son amie avant de s'enfoncer dans le fauteuil en osier. Tout en recherchant la position la plus confortable, elle croisa les jambes dans un mouvement gracieux dévoilant plus au moins volontairement l'attache de son porte jarretelle aux chanceux idéalement placés pour profiter de ce spectacle inespéré.
Subjugué par les jambes sans défaut de la femme, Rudy un quadragénaire situé à une table proche de celle des deux femmes esquissa un sourire charmeur à l'attention de la brune volcanique qui lui jeta un coup d'oeil satisfait avant de se tourner vers la chipie.
Ce bref échange visuel avait suffi à Lydie pour évaluer le paquet que le brun ténébreux tenait à disposition des belles femmes prêtes à partager un moment d'intimité avec un viril inconnu.
Et l'épouse de Marc estima en effet que le volume imposant amplifié par l'effet produit par sa plastique inspirante méritait une étude plus approfondie.
- Alors Carine! Commença Lydie. Je constate que tu n'as pas beaucoup changé depuis les 12 dernières années. Que deviens tu ?
La Chipie prit quelques secondes avant de répondre :- ça fait huit ans que je suis mariée avec Francis. Et nous avons une fille de 6 ans. Et toi tu as des enfants ?
- pas encore avoua Lydie avec un pincement au coeur. Mais j'y songe de plus en plus.
- tu es mariée donc.
- oui avec Marc. C'est un homme remarquable et un amant extraordinaire.
- je me souviens qu'à la fac, tu sortais toujours avec des hommes très virils. Rien n'a donc évolué de ce côté si je comprends bien ?
- comme tu viens de le dire, je n'ai nullement envie d'échanger un fougueux étalon contre un dada molasson, lâcha Lydie avec un grand sourire avant d'interroger son ancienne copine:- et ton Francis, il assure au lit ?
- je ne me plains pas répondit Carine après une hésitation.
- ça te dirait de m'accompagner ce soir dans une boîte que je connais pour aller danser et nous amuser. Ce serait bien que tu profites de ton séjour à Paris pour t'éclater un peu.
Carine ne répondit rien et face à ce silence, Lydie posa une nouvelle question :- As-tu prévu une tenue sexy pour sortir le soir ? Quand une belle femme vient à Paris, elle doit s'attendre à être courtisée.
- j'ai emporté une petite robe et des escarpins à talons avoua Carine en rosissant légèrement.
- ça sera très bien. De toute façon, tu es plutôt bien foutue. Je suis sûre que plein de mecs viendront te tourner autour.
La chipie se mit à rougir de plus belle.
- mais je n'ai pas l'intention de flirter avec qui que ce soit ! S'insurgea-t-elle- Personne ne t'oblige à flirter ma belle! Et tu n'es pas obligée de tout raconter à Francis non plus. En tout cas, moi je ne sors jamais sans ma boîte de préservatifs masculins XXL. La vie est courte et la beauté d'une femme éphémère. Et comme dit le proverbe : mieux vaut des remords que des regrets.
- Et Marc, il en pense quoi ? S'étonna Carine visiblement choquée.
- nous formons un couple très libre et nous n'avons jamais empêché l'autre d'avoir des aventures. C'était entendu dès que nous nous sommes mis ensemble avec mon cher mari.
- Ah bon! s'exclama Carine contrariée. Écoute, je veux bien sortir avec toi ce soir mais pas question que je me laisse draguer par n'importe qui.
- tout comme moi ma chérie. Je ne laisse pas n'importe quel mec me draguer. Seulement les mâles virils et séduisants qui ont suffisamment de répondant entre les jambes.
Disant cela, Lydie avait décroisé et recroisé ses jambes dévoilant le haut dénudé de ses cuisses élégantes à son voisin qui n'avait rien perdu du savoureux échange.
Les deux femmes changèrent de sujet et passèrent un peu plus d'une heure à évoquer leurs souvenirs communs avant de quitter le bar.
Au moment de partir, Lydie se dirigea vers Rudy le voisin qui n'avait pas arreté de la mater.
- je pense que vous avez apprécié le spectacle que je vous ai offert. Si vous avez envie d'en savoir plus sur moi, je serai avec mon amie au Bar X ce soir à partir de 22:00.
Lydie tourna les talons et rejoignit Carine avant que le type quelque peu sidéré par l'assurance de la magnifique brune ait pu prononcer le moindre mot.
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Carine portait une petite robe noire légèrement décolletée et suffisamment courte pour découvrir ses genoux. Elle était chaussée d'escarpins à petits talons et avait acheté une paire de bas autofixants qu'elle avait enfilés avant d'aller retrouver Lydie au Bar X.
Les femmes en étaient à leur deuxième mojito et la Chipie était beaucoup plus détendue que lors de son arrivée dans l'établissement.
C'est à ce moment là que Medhi, un homme de taille moyenne de type méditerranéen s'approcha d'elle pour la baratiner un peu avant de l'inviter à danser. Comme Lydie était en grande conversation avec Rudy, le séduisant quadragénaire qui avait profité de la vue offerte par la brune sublime quelques heures plus tôt, Carine mit provisoirement ses principes de côté et accepta d'accompagner l'homme sur la piste.
Après tout, il n'y a rien de répréhensible à danser le rock avec un inconnu dans un bar nocturne. D'autant plus que Lydie était passée à la vitesse supérieure et elle était en train d'embrasser à pleine bouche Rudy qui caressait doucement sa croupe accueillante à travers la fine étoffe de sa robe.
En frottant sa chatte dépourvue de culotte contre l'épaisse tige de son soupirant, l'épouse de Marc lui montrait sans équivoque son désir de ne pas passer la nuit seule.
Un regard mal placé permit à Carine de découvrir l'ampleur de l'impressionnante érection de Rudy. La vue sur cette protubérance imposante troubla fortement Carine qui se dit alors que ses convictions de femme fidèle pouvaient très bien être mises entre parenthèses pendant son court séjour à la capitale.
Une fois en main avec Rudy, Lydie ne s'était plus préoccupée de la chipie. Elle n'avait d'ailleurs pas tardé à quitter le bar pour emmener le tombeur chez elle puisque ce dragueur lui avait rapidement révélé qu'il était marié et que son épouse n'aurait sûrement pas apprécié qu'il ramène sa conquête au domicile conjugal.
Cet aveu avait bien fait rire Lydie qui avait finalement estimé que les dimensions de la queue de Rudy qu'elle avait eu le loisir de sucer dans les toilettes du bar entre son deuxième et son troisième cocktails valaient la peine d'inviter l'homme à partager sa couche au moins une partie de la nuit.
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Ce soir là, Marc avait ressenti un vrai coup de blues et comme le lui avait recommandé Audrey,la secrétaire de son patron, il avait quitté son bureau seul bien décidé à flâner dans les rues de Paris en faisant de temps en temps une halte pour boire un verre.
Il était donc allé écumer les bars de son quartier jusqu'à ce que le patron du bistrot où il venait de descendre successivement trois verres de Bourbon le mette dehors avant de baisser le rideau métallique.
En fouillant dans sa poche, Marc fut alors surpris de retrouver les clefs de son appartement, et après avoir mis de côté tout ressentiment, il se laissa convaincre par son esprit embrumé de rejoindre son domicile tout proche.
Les gémissements qu'il perçut après avoir refermé la porte de son appartement le firent dessaouler d'un coup.
Marc s'approcha alors doucement de la porte de sa chambre et découvrit la femme de sa vie qui lui faisait face à quatre pattes entièrement nue le visage transpirant de plaisir alors qu'un mâle velu était agenouillé derrière elle et la besognait énergiquement.
Voir son épouse au bord de la jouissance émut profondément Marc qui se mit à bander immédiatement subjugué par le corps sublime de celle qu'il n'avait pas touchée depuis plus d'un mois et qu'il aspirait plus que tout à serrer dans ses bras.
L'orgasme était en train de déferler sur Lydie lorsqu'elle aperçut enfin son époux qui la regardait les yeux emplis d'émotion.
- Ooooh ouiiii ! Mon amour ! Hurla la brune magnifique en prenant son pied.
Ce cri du coeur sidéra Rudy qui en comprit partiellement les raisons lorsqu'il découvrit à son tour Marc qui se rapprochait de son épouse les yeux embués de bonheur. Cette vision coupa tous ses effets à l'amant occasionnel qui se retira aussitôt de la chatte accueillante de sa conquête en constatant que sa queue ramollissait à vitesse grand V.
N'y tenant plus, Marc s'approcha de Lydie et accepta les lèvres qu'elle lui offrit spontanément. Il ne fallut que quelques secondes à l'époux fou de bonheur pour se dévêtir. Et sans se soucier du type à poil agenouillé sur son lit, il planta son dard dur comme l'acier entre les cuisses incandescentes de son épouse qui se mit à pleurer lorsqu'elle fut à nouveau remplie par l'énorme chibre de son chéri adoré.
Quelque peu déboussolé, Rudy comprit malgré tout qu'il était temps pour lui de s'eclipser et il ne mit guère de temps à laisser les deux tourtereaux fêter leurs retrouvailles.
Après une nuit de baise particulièrement épique, les deux amoureux s'endormirent tendrement enlacés et à leur réveil décidèrent de mettre provisoirement un terme à leurs aventures extra conjugales.
- Tu as toujours envie d'enfant ma chérie demanda alors Marc à son épouse adorée.
- plus que jamais mon amour. Mais je sais maintenant qu'il n'y a qu'un seul homme au monde avec qui je désire en avoir. Et cet homme c'est toi mon chéri.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La fin est nulle …. Rien d’autre a dire … ah si c est bien écrit
L’histoire est mal développée et la fin difficile a comprendre, quand au rythme inexistant . Babayaga
On confirme…. Une perte de temps … abdul75 a éviter
Heu…. Nulle