Marche infernale, seconde partie
Récit érotique écrit par Fauconnier [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-01-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marche infernale, seconde partie
Hélène me guide jusqu'à la salle de bain.
Elle ouvre la porte et nous y entrons tous les deux.
Une fois à l'intérieur, Hélène se glisse derrière moi et referme la porte.
« Claude, tu m'excites! Baisse ton pantalon. »
« Tu es sérieuse? »
« Je ne te le dirai pas deux fois. »
Je détache la ceinture de mon pantalon, je déboutonne le bouton du haut, je baisse le fermoir éclair de ma braguette et je maintien mon pantalon en place avec une main.
Nos regards se croisent: le désir, la passion se lisent dans nos yeux.
Hélène sourit: elle me fait « Oui » de la tête.
Je laisse choir mon pantalon par terre.
Le désir que j'éprouve pour cette femme est évident: une bosse est prédominante dans le devant de mon caleçon.
Hélène passe le revers de sa main gauche contre cette bosse prédominante.
Je la prend par les épaules: je tente de coller mes lèvres contre les siennes, mais elle esquive mon geste.
« Claude, lentement, très lentement! »
Du revers de sa main gauche, elle augmente la pression contre le devant de mon caleçon »
« Hélène, je te désires. »
« Claude, je sais que tu me désires et je te désire aussi. Ce qui se trouve sous le dessous de cette bande de matériel, je veux que tu le fasse pénétré dans mon cul et que ça atteigne le fonds de mes entrailles. »
« Hélène, Hélène! »
« Je vais te permettre une chose avant que tu prennes ta douche. »
« Hélène, permet-moi de te toucher? »
« Avant que je te le permette, je veux que tu saches une chose: Richard aussi te désire et je sais très bien qu'en ce moment, il est en train de se masturber en imaginant ce qui va se passer, un peu plus tard, dans notre chambre à coucher. »
« Je sais qu'il va me sodomiser quand je vais aller vous retrouver dans votre chambre à coucher, mais pour tout de suite, laisse-moi poser mes lèvres contre les tiennes? »
« Il n'y a que mon mari qui m'embrasse sur la bouche et personne d'autre. »
« Laisse-moi honorer tes pieds? »
« Plus tard Claude, pendant le temps des préparatifs et le temps que Richard va prendre pour t'injecter un liquide dans le pénis afin qu'il soit assez rigide pour me sodomiser, tu pourras faire tout ce que tu veux avec mes orteils, mes pieds et mes jambes. »
« Tes seins? »
Hélène glisse sa main gauche sous le bord de mon caleçon et elle prend mon pénis et le serre.
« Viens près du bain. »
Tout en me tirant fermement par la pénis, elle m'entraîne vers le bord du bain.
Elle retire sa main de mon pénis.
« Retire ton pantalon. »
Je dégage mon pantalon de mes pieds.
« Donne le moi. »
Je lui tend mon pantalon.
Hélène prend mon pantalon et va le pendre au même crochet qui supporte déjà la robe de chambre de Richard que je dois porter après ma douche pour me rendre à leur chambre.
Hélène revient se placer face à moi.
« Agenouille-toi par terre! »
Je m'agenouille sur le plancher très dur en tuiles de céramique.
« Met la tapis de sortie de bain sous tes genoux. »
Je m'exécute.
Hélène s'avance très près de moi.
Elle pose le bout de son pied gauche sur le bord du bain.
Je pose ma main droite sur son pied.
« Enlève ta main: je ne veux pas que tu me touches sans qu'auparavant, je t'en aie donné l'autorisation. »
« Hélène! »
« Enlève ta main. »
J'enlève ma main.
« Maintenant, pose ta main sur le dessus de ma mule que je retire mon pied. »
Je pose aussitôt ma main sur le dessus de sa mule.
Hélène retire son pied de sa mule et repose le bout de son pied sur le bord du bain.
Tout en fixant du regard ses orteils graciles et vernis d'un bleu foncé, je porte sa mule à mon nez pour en humer l'odeur:
«Comme ça sent bon, Hélène! »
« Pose immédiatement ma mule par terre: ton geste mérite une punition. »
Tout en continuant à fixer ses orteils, je pose la mule par terre.
Je porte ensuite mon regard vers celui d'Hélène:
« Excuses-moi, mais ton corps m'excite tellement! »
« Tu dois apprendre à te contrôler sinon.... »
« Je vais essayer de me contrôler mais.... »
« C'est Richard qui va se charger de te punir quand tu seras dans notre chambre à coucher. »
« Je me soumettrai à la punition que mon geste mérite. »
Je redirige ensuite mon regard vers les orteils qui m'excitent tant.
Hélène se penche vers l'avant: elle est presque au-dessus de moi.
Elle prend le bas de sa robe de chambre et le soulève très lentement dégageant son pied gauche au complet.
« Mon pied, il te plait? »
« Hélène, il est magnifique. »
Je viens pour poser ma main droite sur son pied:
« N'y touche pas sinon...! »
Je baisse ma main droite et je vais la poser sur mon pénis par dessus mon caleçon.
Hélène me regarde faire.
« Ton pénis, il est en érection?»
« Oui »
« Baisses le devant de ton caleçon que je puisse le voir. »
Je baisse le devant de mon caleçon: mon pénis en érection pointe vers Hélène.
« Tu as une bonne érection, mais elle ne serait pas suffisante pour m'enculer: par contre, j'aime que ton pénis soit circoncis. »
Je passe ma main droite autour de mon pénis.
« Tu veux te masturber?»
« Puisque tu ne veux pas que je te touche, j'aimerais que tu me permettes de me masturber. »
« Masturbe-toi, mais, il ne faudrait surtout pas que tu te fasses éjaculer. »
Je commence très lentement à me masturber.
« Pose ton regard sur mon pied en te masturbant. »
Je mange son pied des yeux.
Hélène soulève sa robe de chambre un peu plus:
« Regarde ma cheville: elle est à ton goût? »
« Elle est......! »
Je me masturbe un peu plus vite.
« Contrôle-toi? »
Je réduis la cadence.
Elle continue à monter tranquillement le bas de sa robe de chambre: mon regard suit son mouvement.
Elle dégage sa jambe, le coté de son mollet, son genou, le bas de sa cuisse et finalement le haut de sa cuisse sans toutefois me permettre d'entrevoir son triangle d'amour.
« Maintenant, cesse de te masturber: je ne veux surtout pas que tu éjacules. »
Je cesse de me masturber.
« Ferme les yeux. »
Je ferme les yeux.
J'entends des froissements de matériel.
Je sens qu'Hélène modifie sa position.
« Relèves un peu ta tête. »
Je relève ma tête.
Du matériel frôle les deux cotés de ma tête.
J'imagine que c'est sa robe de chambre qui me frôle.
Je commence à sentir une odeur légèrement enivrante.
Cette odeur se fait de plus en plus précise et enivrante.
« Relève un peu ta tête. »
Je relève ma tête.
Des chairs humides touchent les deux cotés du bout de mon nez.
Je n'ose imaginer que ce sont l'intérieur de ses lèvres vaginales qui me touchent.
« Ne bouges pas tes mains et n'ouvre pas les yeux. »
« Hélène, tu es sans pitié! »
« Respire par le nez: c'est ça, respire l'odeur de mes parties les plus intimes. »
« Hélène, l'odeur de tes parties intimes m'enivre. »
Je sens que mon nez glisse de plus en plus profondément entre ses lèvres vaginales. Il est rendu à un point tel que je doive respirer par la bouche.
Entre deux respirations je demande à Hélène:
« Permets-moi de poser mes mains sur tes fesses! »
« Il n'en n'est pas question: montre-moi que je peux te pousser à bout sans que tu perdes le contrôle de tes sens. »
« Comment veux-tu que je ne perde pas le contrôle de mes sens quand je devine très bien ce que tu me fais subir? »
« Tu veux que je cesse? »
« Non, Hélène! »
Je sens que mon nez quitte tranquillement son étau.
« Maintenant, tu va humidifier tes lèvres. »
Je passe ma langue sur mes lèvres.
« Ouvre les yeux. »
J'ouvre les yeux: je vois un triangle d'amour parfaitement rasé avec ses lèvres vaginales tenues écartées par le pouce et l'index des deux mains d'Hélène.
« Ouvre ta bouche. »
J'humidifie mes lèvres une seconde fois avec ma langue et j'ouvre ma bouche pour que mes lèvres s'arriment parfaitement bien avec les lèvres maintenues écartées du vagin qui va se déposer sur mes lèvres.
Hélène fléchit lentement les genoux: son vagin s'approche de ma bouche et se dépose sur mes lèvres.
Dès que le contact entre son vagin et mes lèvres est complet, Hélène passe ses mains derrière ma tête et tient fermement le contact entre nous deux.
Je sors ma langue et je lèche du mieux que je peux l'intérieur de son vagin.
« Claude, c'est bonnnnn, tu vas me faire jouirrrrrr! »
Son bassin convulsionne:
« Je jouuuiiiiissssssss.! »
Un filet de liquide chaud coule dans ma bouche
« C'est expressément pour toi : bois ma cyprine, bois la toute. »
J'avale avec goût toute la cyprine de mon amante qui coule maintenant à flot.
Au bout d'un moment, la source tarit et très lentement, Hélène s'écarte de sa position.
Les lèvres de son vagin se séparent de mes lèvres.
Elle pose son pied gauche par terre et elle se dégage de moi.
Elle laisse sa robe de chambre reprendre sa position normale.
Mes genoux me font mal.
Je m'aide à me relever debout en me supportant sur le bord du bain.
Hélène me sourit.
Je vais aller retrouver mon mari et le soulager un peu avant que nous nous retrouvions tous les trois dans notre chambre à coucher.
Quand tu le verras, ne soit pas gêné: il est parfaitement au courant de ce que je fais dans la salle de bain quand j'accompagne un visiteur.
Maintenant je vais te quitter.
Le Fleet est sur le comptoir du lavabo:
« C'est pour toi, tu l'utilises. »
« Merci! »
« Après le Fleet, tu prends une douche ou un bain selon ton désir puis tu vas voir sur le même comptoir que j'y ai placé un caleçon propre de mon mari.
Il va te faire, mais il est spécial.
Tu vas remarquer qu'il y a un trou rond sur le devant: tu dois absolument y passer ton pénis.
Prends tout ton temps puis tu viens nous rejoindre dans notre chambre à coucher.
Nous t'y attendrons .
À tout à l'heure. »
Hélène me donne un rapide baiser sur les lèvres puis elle quitte la salle de bain.
Elle ouvre la porte et nous y entrons tous les deux.
Une fois à l'intérieur, Hélène se glisse derrière moi et referme la porte.
« Claude, tu m'excites! Baisse ton pantalon. »
« Tu es sérieuse? »
« Je ne te le dirai pas deux fois. »
Je détache la ceinture de mon pantalon, je déboutonne le bouton du haut, je baisse le fermoir éclair de ma braguette et je maintien mon pantalon en place avec une main.
Nos regards se croisent: le désir, la passion se lisent dans nos yeux.
Hélène sourit: elle me fait « Oui » de la tête.
Je laisse choir mon pantalon par terre.
Le désir que j'éprouve pour cette femme est évident: une bosse est prédominante dans le devant de mon caleçon.
Hélène passe le revers de sa main gauche contre cette bosse prédominante.
Je la prend par les épaules: je tente de coller mes lèvres contre les siennes, mais elle esquive mon geste.
« Claude, lentement, très lentement! »
Du revers de sa main gauche, elle augmente la pression contre le devant de mon caleçon »
« Hélène, je te désires. »
« Claude, je sais que tu me désires et je te désire aussi. Ce qui se trouve sous le dessous de cette bande de matériel, je veux que tu le fasse pénétré dans mon cul et que ça atteigne le fonds de mes entrailles. »
« Hélène, Hélène! »
« Je vais te permettre une chose avant que tu prennes ta douche. »
« Hélène, permet-moi de te toucher? »
« Avant que je te le permette, je veux que tu saches une chose: Richard aussi te désire et je sais très bien qu'en ce moment, il est en train de se masturber en imaginant ce qui va se passer, un peu plus tard, dans notre chambre à coucher. »
« Je sais qu'il va me sodomiser quand je vais aller vous retrouver dans votre chambre à coucher, mais pour tout de suite, laisse-moi poser mes lèvres contre les tiennes? »
« Il n'y a que mon mari qui m'embrasse sur la bouche et personne d'autre. »
« Laisse-moi honorer tes pieds? »
« Plus tard Claude, pendant le temps des préparatifs et le temps que Richard va prendre pour t'injecter un liquide dans le pénis afin qu'il soit assez rigide pour me sodomiser, tu pourras faire tout ce que tu veux avec mes orteils, mes pieds et mes jambes. »
« Tes seins? »
Hélène glisse sa main gauche sous le bord de mon caleçon et elle prend mon pénis et le serre.
« Viens près du bain. »
Tout en me tirant fermement par la pénis, elle m'entraîne vers le bord du bain.
Elle retire sa main de mon pénis.
« Retire ton pantalon. »
Je dégage mon pantalon de mes pieds.
« Donne le moi. »
Je lui tend mon pantalon.
Hélène prend mon pantalon et va le pendre au même crochet qui supporte déjà la robe de chambre de Richard que je dois porter après ma douche pour me rendre à leur chambre.
Hélène revient se placer face à moi.
« Agenouille-toi par terre! »
Je m'agenouille sur le plancher très dur en tuiles de céramique.
« Met la tapis de sortie de bain sous tes genoux. »
Je m'exécute.
Hélène s'avance très près de moi.
Elle pose le bout de son pied gauche sur le bord du bain.
Je pose ma main droite sur son pied.
« Enlève ta main: je ne veux pas que tu me touches sans qu'auparavant, je t'en aie donné l'autorisation. »
« Hélène! »
« Enlève ta main. »
J'enlève ma main.
« Maintenant, pose ta main sur le dessus de ma mule que je retire mon pied. »
Je pose aussitôt ma main sur le dessus de sa mule.
Hélène retire son pied de sa mule et repose le bout de son pied sur le bord du bain.
Tout en fixant du regard ses orteils graciles et vernis d'un bleu foncé, je porte sa mule à mon nez pour en humer l'odeur:
«Comme ça sent bon, Hélène! »
« Pose immédiatement ma mule par terre: ton geste mérite une punition. »
Tout en continuant à fixer ses orteils, je pose la mule par terre.
Je porte ensuite mon regard vers celui d'Hélène:
« Excuses-moi, mais ton corps m'excite tellement! »
« Tu dois apprendre à te contrôler sinon.... »
« Je vais essayer de me contrôler mais.... »
« C'est Richard qui va se charger de te punir quand tu seras dans notre chambre à coucher. »
« Je me soumettrai à la punition que mon geste mérite. »
Je redirige ensuite mon regard vers les orteils qui m'excitent tant.
Hélène se penche vers l'avant: elle est presque au-dessus de moi.
Elle prend le bas de sa robe de chambre et le soulève très lentement dégageant son pied gauche au complet.
« Mon pied, il te plait? »
« Hélène, il est magnifique. »
Je viens pour poser ma main droite sur son pied:
« N'y touche pas sinon...! »
Je baisse ma main droite et je vais la poser sur mon pénis par dessus mon caleçon.
Hélène me regarde faire.
« Ton pénis, il est en érection?»
« Oui »
« Baisses le devant de ton caleçon que je puisse le voir. »
Je baisse le devant de mon caleçon: mon pénis en érection pointe vers Hélène.
« Tu as une bonne érection, mais elle ne serait pas suffisante pour m'enculer: par contre, j'aime que ton pénis soit circoncis. »
Je passe ma main droite autour de mon pénis.
« Tu veux te masturber?»
« Puisque tu ne veux pas que je te touche, j'aimerais que tu me permettes de me masturber. »
« Masturbe-toi, mais, il ne faudrait surtout pas que tu te fasses éjaculer. »
Je commence très lentement à me masturber.
« Pose ton regard sur mon pied en te masturbant. »
Je mange son pied des yeux.
Hélène soulève sa robe de chambre un peu plus:
« Regarde ma cheville: elle est à ton goût? »
« Elle est......! »
Je me masturbe un peu plus vite.
« Contrôle-toi? »
Je réduis la cadence.
Elle continue à monter tranquillement le bas de sa robe de chambre: mon regard suit son mouvement.
Elle dégage sa jambe, le coté de son mollet, son genou, le bas de sa cuisse et finalement le haut de sa cuisse sans toutefois me permettre d'entrevoir son triangle d'amour.
« Maintenant, cesse de te masturber: je ne veux surtout pas que tu éjacules. »
Je cesse de me masturber.
« Ferme les yeux. »
Je ferme les yeux.
J'entends des froissements de matériel.
Je sens qu'Hélène modifie sa position.
« Relèves un peu ta tête. »
Je relève ma tête.
Du matériel frôle les deux cotés de ma tête.
J'imagine que c'est sa robe de chambre qui me frôle.
Je commence à sentir une odeur légèrement enivrante.
Cette odeur se fait de plus en plus précise et enivrante.
« Relève un peu ta tête. »
Je relève ma tête.
Des chairs humides touchent les deux cotés du bout de mon nez.
Je n'ose imaginer que ce sont l'intérieur de ses lèvres vaginales qui me touchent.
« Ne bouges pas tes mains et n'ouvre pas les yeux. »
« Hélène, tu es sans pitié! »
« Respire par le nez: c'est ça, respire l'odeur de mes parties les plus intimes. »
« Hélène, l'odeur de tes parties intimes m'enivre. »
Je sens que mon nez glisse de plus en plus profondément entre ses lèvres vaginales. Il est rendu à un point tel que je doive respirer par la bouche.
Entre deux respirations je demande à Hélène:
« Permets-moi de poser mes mains sur tes fesses! »
« Il n'en n'est pas question: montre-moi que je peux te pousser à bout sans que tu perdes le contrôle de tes sens. »
« Comment veux-tu que je ne perde pas le contrôle de mes sens quand je devine très bien ce que tu me fais subir? »
« Tu veux que je cesse? »
« Non, Hélène! »
Je sens que mon nez quitte tranquillement son étau.
« Maintenant, tu va humidifier tes lèvres. »
Je passe ma langue sur mes lèvres.
« Ouvre les yeux. »
J'ouvre les yeux: je vois un triangle d'amour parfaitement rasé avec ses lèvres vaginales tenues écartées par le pouce et l'index des deux mains d'Hélène.
« Ouvre ta bouche. »
J'humidifie mes lèvres une seconde fois avec ma langue et j'ouvre ma bouche pour que mes lèvres s'arriment parfaitement bien avec les lèvres maintenues écartées du vagin qui va se déposer sur mes lèvres.
Hélène fléchit lentement les genoux: son vagin s'approche de ma bouche et se dépose sur mes lèvres.
Dès que le contact entre son vagin et mes lèvres est complet, Hélène passe ses mains derrière ma tête et tient fermement le contact entre nous deux.
Je sors ma langue et je lèche du mieux que je peux l'intérieur de son vagin.
« Claude, c'est bonnnnn, tu vas me faire jouirrrrrr! »
Son bassin convulsionne:
« Je jouuuiiiiissssssss.! »
Un filet de liquide chaud coule dans ma bouche
« C'est expressément pour toi : bois ma cyprine, bois la toute. »
J'avale avec goût toute la cyprine de mon amante qui coule maintenant à flot.
Au bout d'un moment, la source tarit et très lentement, Hélène s'écarte de sa position.
Les lèvres de son vagin se séparent de mes lèvres.
Elle pose son pied gauche par terre et elle se dégage de moi.
Elle laisse sa robe de chambre reprendre sa position normale.
Mes genoux me font mal.
Je m'aide à me relever debout en me supportant sur le bord du bain.
Hélène me sourit.
Je vais aller retrouver mon mari et le soulager un peu avant que nous nous retrouvions tous les trois dans notre chambre à coucher.
Quand tu le verras, ne soit pas gêné: il est parfaitement au courant de ce que je fais dans la salle de bain quand j'accompagne un visiteur.
Maintenant je vais te quitter.
Le Fleet est sur le comptoir du lavabo:
« C'est pour toi, tu l'utilises. »
« Merci! »
« Après le Fleet, tu prends une douche ou un bain selon ton désir puis tu vas voir sur le même comptoir que j'y ai placé un caleçon propre de mon mari.
Il va te faire, mais il est spécial.
Tu vas remarquer qu'il y a un trou rond sur le devant: tu dois absolument y passer ton pénis.
Prends tout ton temps puis tu viens nous rejoindre dans notre chambre à coucher.
Nous t'y attendrons .
À tout à l'heure. »
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