Margaux passe le week-end chez ses beaux-parents
Récit érotique écrit par Pasham35 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Margaux passe le week-end chez ses beaux-parents
/!\ Cette histoire fait suite à « St Valentin ratée » et « Vengeance de la St Valentin » et « Conséquences inattendue d’une St Valentin ratée »
En ce samedi soir de début août, Margaux accompagna son copain à la gare. Il prenait le train pour partir 15 jours en vacances avec ses amis. La jeune femme ne l’accompagnait pas car elle travaillait tout le mois dans un supermarché en tant que job d’été. Lorsque cela s’était organisé, elle avait été un peu déçue de ne pourvoir l’accompagner. Aujourd’hui, elle était plutôt ravie de ce que le destin lui avait réservé.
Elle embrassa une dernière fois Julien puis le laissa monter dans le train. Un dernier au revoir de la main et elle partit rejoindre sa voiture pour se précipiter chez ses beau-parents, avec qui elle vivait une incroyable aventure.
Il était presque 19h quand elle arriva chez Eric et Stéphanie. Cette dernière lui ouvrit la porte et l’embrassa à pleine bouche. Le baiser dura longtemps. Eric arriva à son tour et enlaça aussi la jeune femme avec passion.
- J’ai réservé le restaurant à 20h. Il faudrait qu’on parte d’ici 45min, annonça Eric.
- Allons nous préparer, proposa Stéphanie à Margaux.
La jeune femme suivit son hôtesse, emportant avec elle le sac de voyage dans lequel elle avait prit ses affaires pour le week-end.
Les deux femmes réapparurent dans le salon quelques dizaines de minutes plus tard. Eric resta muet devant ces deux belles créatures.
Margaux portait une jolie robe bleue avec de larges motifs floraux blanc. Les fines bretelles permettait d’admirer ses frêles épaules alors qu’une ceinture assortie faisait ressortir ses hanches. La coupe en biseau dévoilait, sur la partie la plus haute de la robe, la douce peau de sa cuisse.
Stéphanie avait opté pour une robe verte parsemée d’une multitude de petite fleurs blanche lui arrivant à peine à mi-cuisse. Elle avait des manches trois quarts et un profond décolleté que le soutien-gorge push-up sublimait.
Enfin, Eric avait revêtu une chemisette blanche et un bermuda beige, à la fois décontracté mais habillé.
Ils montèrent dans le SUV gris pour se rendre au restaurant. Sur le trajet, alors qu’Eric jetait un coup d’œil dans le rétroviseur intérieur, il aperçu Margaux baisser l’une des bretelles de sa robe et libérer son sein gauche. Il admira la courbe parfaite de sa poitrine et la jolie aréole rose clair en son centre. Ils se fixaient tous les deux à travers le miroir. Elle se caressa un peu le sein puis releva sa jambe et retroussa doucement sa robe. Eric baissa le rétroviseur et observait avec envie la cuisse qui se dévoilait peu à peu. Lorsque la robe fût retroussée jusqu’à ses hanches, il aperçu avec excitation qu’elle ne portait aucun sous-vêtement. Hypnotisé par son entrejambe, il dériva sur l’autre voie et ne fût réveillé que par le klaxon de la voiture en face.
Surprise, Stéphanie se tourna vers lui puis vers Margaux avant de lui faire un reproche:
- Tu ferais mieux de regarder la route plutôt de baver sur sa chatte !
Consciente de l’effet qu’elle produisait sur Eric la jeune femme réajusta sa robe.
En arrivant devant le restaurant, Stéphanie voulut adopter le code vestimentaire de Margaux. Elle passa ses mains sous sa robe, souleva un peu les fesses et fit glisser son string le long de ses jambes. Elle ouvrit la boîte à gants et y enferma le bout de tissus.
Les deux femmes se regardèrent puis rigolèrent de bon cœur, satisfaites de l’effet qu’elles avaient produit sur le conducteur.
Alors que la voiture était à l’arrêt sur le parking du restaurant, il fallut quelques minutes à Eric pour pouvoir sortir du véhicule sans attirer l’attention. Ses deux partenaires se moquaient de lui alors qu’elles attendaient dehors.
Ils furent placés sur une table circulaire, près d’une baie vitrée donnant sur un parc joliment arboré.
La soirée avança tranquillement entre discussion sérieuse ou anecdotes amusantes. De temps en temps l’une ou l’autre venait chauffer Eric soit avec un pied qui remontait doucement le long de sa jambe et s’aventurait le long de sa cuisse, soit avec une main qui plongeait dans la braguette ouverte de son bermuda et caressait son sexe à travers le tissus de son boxer.
A l’approche du dessert, Margaux se leva pour aller aux toilettes. Eric l’observa s’avancer au milieu de la salle se déhanchant avec grâce.
Margaux entra dans les WC des femmes et s’introduisit dans une des toilettes. Alors qu’elle s’apprêtait à fermer la porte, une main vint l’en empêcher. Eric se glissa dans les toilettes et referma la porte derrière lui.
Margaux s’assit sur la cuvette en retroussant sa robe. Pendant qu’elle se mit à uriner elle défit la braguette du bermuda et en sortit la verge de son amant. Elle la mit en bouche pour entamer une fellation. La jeune femme était dans un état d’excitation qui redescendait peu depuis le début de la soirée. Sucer cet homme dans un lieu public lui fit rapidement ressentir des frissons dans le ventre.
Ne voulant pas trop perdre de temps, Margaux se releva, se tourna et tout en s’appuyant sur le mur retroussa sa robe sur le bas de son dos. Eric vint insérer son membre dans le sexe légèrement humide de la jeune femme. Elle ressentit avec plaisir la queue s’introduire tout en douceur dans sa chatte tiède. La verge coulissait en elle avec facilité à présent, lui procurant un intense plaisir. Elle posa son doigt humide de salive sur son clitoris et se mit à jouer avec, alternant les rythmes à l’écoute de son corps. Soudainement l’orgasme la saisit. Elle se mordit les lèvres pour étouffer ses gémissements. Lorsque l’onde de plaisir s’estompa dans son corps, elle se rassit sur la cuvette et repris en bouche la queue. D’une main elle la branlait, tandis que l’autre main ne cessait de masser les couilles. Ce traitement eût vite l’effet escompté. Eric éjacula remplissant sa bouche de sperme. Margaux le suça encore quelques instant pour en extraire les dernière gouttes de semence, jusqu’à ce qu’elle sente la verge ramollir.
Le père de Julien regagna sa place dans le restaurant, suivit de peu par Margaux.
- Vous avez bien baisé tous les deux ? demanda Stéphanie un peu jalouse.
- Je m’occupe de toi après le dessert, lui assura son mari.
Le dessert leur fût servit. Margaux trouva le gâteau au chocolat délicieux, comme tout le reste du repas au demeurant, quoi que ayant un arrière goût de sperme.
Lorsque le dessert fût terminé, Stéphanie se leva pour aller à son trou aux toilettes en faisant un clin d’oeil entendu à son mari. Eric attendu une minute avant de rejoindre son épouse.
Dans les WC, il gratta la porte des toilettes dont la seule était verrouillée. Cette dernière s’ouvrit sur Stéphanie qui le laissa entrer. Elle s’assit sur cuvette fermée des toilettes et écarta les jambes pour offrir son sexe à son mari qui se précipita pour la lécher avec avidité. Lorsqu’il sentit sa femme prête, il introduisit sa queue dans le vagin trempé de Stéphanie qui se caressait le clitoris avec énergie pour atteindre l’orgasme le plus vite possible.
Il ne lui fallut que quelques minutes pour atteindre l’orgasme qu’elle se força à ne pas exprimer. Comme Margaux quelques minutes plus tôt elle fit une fellation à son mari jusqu’à que lui aussi atteigne le plaisir.
Stéphanie s’essaya les lèvres et réajusta sa robe. Elle sortit des toilettes où elle laissa son Eric et rejoignit Margaux à la table du restaurant.
- Rien de tel quel qu’un orgasme pour oublier ses contrariétés ! Murmura Stéphanie à sa compagne.
- Et une bonne queue dans la chatte, ajouta la jeune femme en s’esclaffant.
Sur le trajet du retour, Eric sortit soudainement de la route principale. Il s’engagea sur des routes de plus en plus petites. Il arrêta finalement la voiture à l’entrée d’un champs. Il lâcha le volant et glissa sa main sous la robe de sa femme. Bien que surprise par la nouvelle envie de son mari, elle écarta les cuisses et posa sa jambe droite sur le tableau de bord. Eric faisait d’agréables mouvements circulaires sur son clitoris. Margaux se rapprocha et passa ses bras autour du fauteuil pour empoigner les seins de Stéphanie qu’elle se mit à masser.
Elle savourait les caresses de ces mains chaudes sur son corps. Elle en avait envie depuis que Margaux était arrivée chez eux. Elle sentit le doigt de son mari descendre le long de sa fente puis s’introduire dans vagin humide. Elle se mit instinctivement à onduler du bassin. Elle gémissait à présent au rythme du doigt d’Eric dans sa chatte. Ce dernier ressortait de temps en temps son majeur et le tendait à Margaux qui le léchait avec avidité. Il le mettait ensuite dans le vagin de sa femme et recommençait. Stéphanie n’en pouvait plus, elle voulait plus que ce doigt en elle et le fit savoir :
- J’ai la chatte en feu, je veux ta queue.
Stéphanie sortit de la voiture et vint poser ses avant bras sur le capot. Eric se plaça derrière elle et la pénétra sauvagement en s’agrippant à ses hanches. Le va-et-vient était puissant. En se faisant besogner avec force, elle regardait autour d’elle. Elle espérait que quelqu’un pouvait les voir. Ce qui l’excitait beaucoup d’imaginer qu’une personne les observait, s’excitait et se masturbait peut-être en les voyant baiser.
Quant à Margaux, elle se caressait avec avidité en se délectant de la scène depuis l’intérieur de la voiture.
Stéphanie alla s’allonger à présent à l’arrière de la voiture, la tête posée sur les cuisses de le jeune femme. Eric parvint à s’approcher de sa vulve humide et reprit ses puissantes pénétrations. Margaux inséra son index gauche dans la bouche de sa belle-mère qui le suça et tendit la main droite vers son clitoris pour s’amuser avec.
Stéphanie explosa alors de plaisir sous les agréables sensations provoquées par la queue et le doigt de ses partenaires. Margaux, qui caressait toujours le clitoris, sentit les puissantes contractions de son ventre. Entendre ainsi gémir sa femme fît brutalement monter l’excitation d’Eric. Il ressortit sa queue de sa chatte et se branla deux trois fois au dessus de son ventre pour éjaculer. Le sperme fît de grosses tâches blanchâtre sur son ventre et sa robe. Margaux qui avait reçu une giclée sur la main, la donna à lécher à Stéphanie qui en récolta tout le jus.
Arrivés à la maison, Ills passèrent le reste de la soirée à jouer à des jeux de société avant de sa coucher. Dans le lit, ils trouvèrent les forces pour un dernier ébat aussi passionné que lent.
Repus, après une douche, ils se glissèrent nus tous les trois dans le lit, Margaux entre ses beaux-parents. Après un dernier baiser, Stéphanie se tourna sur le côté pour s’endormir. Eric vint se blottir contre elle. Pour la première fois depuis son arrivée, il n’avait aucune pensée sexuelle à son encontre. Il voulait juste profiter de la chaleur de sa peau et du parfum de ses cheveux. Il s’endormit ainsi, heureux.
Le petit déjeuner fût difficile pour Eric. Sa femme se baladait avec une nuisette toute transparente alors que Margaux portait un petit débardeur et un tanga. A chaque fois qu’elle ne levait il ne pouvait détacher son regard des ces fesses provocatrices. Stéphanie observait la scène et sentit une pointe de jalousie envers Margaux. Elle était jeune et belle et suscitait un puissant désir chez son mari.
Lorsque Margaux annonça qu’elle allait prendre une douche, Eric la suivit dans la salle de bain. Ne se souciant pas de la présence de son amant, la jeune femme ôta son débardeur et son tanga. Elle se plût à le voir baver sur son corps nu.
Elle rentra dans la douche et tourna le mitigeur. Alors que l’eau chaude arrivait Eric s’introduisit dans la douche, referma la porte et embrassa avec fougue la jeune femme. Elle se saisit du membre tendu et le masturba. Son amant ne lâchait pas ses seins qu’il massait avec envie. Il les lécha, mordilla les tétons. Il descendit le long du ventre de Margaux et inséra son visage entre ses jambes pour lui faire un cunnilingus. Elle leva une jambe qu’elle mit en appui sur le mur opposé pour aider Eric. Elle fermait les yeux et savourait les caresses de son beau-père et l’eau chaude qui s’écoulait sur sa peau sensible.
Eric s’empara de la pomme de douche, augmenta la puissance du jet et le dirigea vers la vulve avide de sensations de la jeune femme. Tout en se caressant les seins, elle ondulait du bassin et soupirait de plaisir.
Il remit la pomme de douche en place et fit se tourner Margaux pour la pénétrer. Sa queue s’introduisit dans cette chatte humide avec beaucoup de plaisir. Il s’agrippa à ses seins et fit un lent va-et-vient. Après avoir plongé de nombreuses fois son sexe dans le ventre de Margaux, il déchargea sa semence. En ressentant les jets de sperme inonder les parois de son vagin la jeune femme jouit instantanément.
Eric se lava un peu puis laissa la jeune femme terminer tranquillement sa douche.
Alors qu’il rentrait nu dans sa chambre il y retrouva Stéphanie qu’il l’attendait, soucieuse.
- Qu’y a-t-il ? Demanda-t-il un peu inquiet.
- Tu m’aimes ?
- Quoi ? Mais bien sûr ! Pourquoi cette question stupide ?
- Je vois bien comment tu la regardes, comment tu la désires. Elle s’offre entièrement à toi et tu ne peux y résister. Je ne t’en veux pas vraiment, elle a tout pour elle. Mais j’ai juste peur que tu me laisse pour elle.
Eric s’approcha de sa femme et la prit tendrement dans ses bras.
- Tu n’as aucun soucis à te faire. Oui c’est vrai, j’ai énormément de désir pour Margaux. Même si je prends beaucoup de plaisir avec elle, c’est toi que j’aime, c’est avec toi que je veux passer ma vie. C’est à tes côtés que je veux vieillir. Aucune femme ne me fera changer d’avis. Et avec Margaux ça ne va pas durer. Un jour, elle va prendre ses distances, se faire une vie sans nous, et c’est normal.
Il la regarda dans la yeux et dit avant de déposer un tendre baiser sur sa bouche : « Je t’aime ».
Alors que Margaux retournait dans sa chambre, une serviette autour d’elle, elle entendit des gémissements provenant de la chambre de ses beaux-parents. Elle s’arrêta devant la porte entrouverte, fît un mouvement pour rentrer puis se ravisa. Ils faisaient l’amour avec beaucoup de tendresse. Elle se dit que c’était leur moment et rejoignit sa chambre.
Lorsqu’ils furent tous prêts, ils sortirent de la maison pour aller se balader à pieds. Pas très loin de la maison se trouvait une petite forêt. Alors qu’ils marchaient depuis environ 30 minutes, Stéphanie attrapa Eric par le poignet et l’entraîna en dehors du sentier. Margaux les suivit, curieuse de ce qui allait se dérouler. Lorsqu’ils furent assez en retrait, Stéphanie plaqua son mari contre un arbre, baissa son short sans plus de préambule et lui fit une fellation. Margaux s’accroupit à côté de sa belle-mère et s’occupa de l’autre côté de la queue d’Eric. Quand l’une léchait la verge l’autre léchait les couilles. Lorsqu’elles s’attardaient toutes les deux sur le gland, leurs langues se mélangeaient et leur regards se croisaient, désirant toutes deux l’autre.
Stéphanie se releva, fit tomber son short et son string au sol puis se pencha en avant en s’appuyant sur le tronc d’arbre. Contrairement à ce qu’elle imaginait, ce n’est pas la queue de son mari qu’elle sentit contre son sexe mais la langue de Margaux qui se mit à la lécher avidement. Stéphanie était très excitée de sentir que la jeune femme semblait se délecter de son jus. Margaux attrapa la queue d’Eric, la suça encore un peu, puis la guida vers la vagin suintant. Elle fit aussi tomber son short et son tanga au sol et s’adossa contre un arbre pour se masturber en observant ses beaux-parents baiser. Stéphanie se gardait de faire trop de bruit mais n’en éprouva pas pour autant un immense plaisir à s’imaginer observée par un promeneur attiré par leurs ébats.
Lorsque Stéphanie eu jouit, Eric s’approcha de Margaux qui se mit dans la même position que sa belle-mère. Pendant que le bassin de son beau-père tapait sur ses fesses, elle voyait du coin de l’œil des randonneurs passer au loin. Se faire baiser en public avec le risque d’être surpris produisait aussi sur elle un surcroît d’excitation. Les minutes qui suivirent furent pour elle un immense plaisir, sentant sa chatte très dilatée par ce membre très large qui la besognait avec vigueur. Les coups étaient puissants, profonds. Elle se sentait pleinement remplie et adorait ça.
L’orgasme l’envahit à son tour. Elle se força à ne pas exprimer trop fort son plaisir. Presque aussitôt, Eric jouit à son tour en déchargeant une grosse quantité de sperme dans la vagin de Margaux.
Alors qu’il se retirait, Margaux dit à l’attention de Stéphanie :
- Viens me lécher la chatte.
La femme d’Eric embrassa le sexe de la jeune femme à pleine bouche et récolta avec sa langue tout le sperme qui s’en échappait. Margaux poussa quelques gémissement, savourant cette langue sur sa chatte toujours hyper sensible.
Lorsque plus une goutte de sperme ne s’écoulait de Margaux, ils se rhabillèrent et poursuivirent leur balade.
Après un barbecue bien arrosé, Eric s’était endormit au bord de la piscine, à l’ombre d’un parasol. Il fût toutefois réveillé par un bruit. Sortant de sa torpeur, il reconnu les gémissements de sa femme. Il se leva et rentra dans la maison.
Il découvrit avec étonnement les deux femmes à moitié nues dans la canapé, jambes écartées en train de chacune se masturber avec un vibromasseur. Stéphanie avait sortit sa collection assez imposante de jouets et avait proposé à Margaux de les essayer.
- C’est après-midi fille, dit Margaux en plaisantant, entre deux gémissements.
Eric s’assit dans un fauteuil et les regarda avec beaucoup d’excitation se donner du plaisir.
Stéphanie tendit un nouveau sextoy à la jeune femme :
- Tu connais ?
- Le fameux aspirateur à clito dont tout le monde ? Je n’ai jamais essayé, c’est réellement bien ?
- C’est mieux que ça ! C’est divin. Mais il ne faut pas en abuser, sinon tu vas finir par le préférer à la queue d’un homme ! Ajouta-t-elle en plaisantant.
Margaux plaqua le sextoy sur son clitoris et l’alluma. Elle ressentit tout de suite de fortes sensations. Après quelques minutes à varier les puissances de succion, la jeune femme eu un orgasme très puissant, l’un des plus forts de sa vie. Elle exprima son immense plaisir en poussant de forts gémissements qui résonnaient dans la pièce. Elle se noyait dans un océan de plaisir.
Stéphanie sortit deux vibromasseurs rabbit qu’elles essayèrent immédiatement. Eric commençait à se sentir à l’étroit dans son short. Il le retira et se masturba tout doucement en profitant du spectacle. Ce fût au tour de sa femme de jouir sous les vibrassions de son jouet.
La femme d’Eric sortit ensuite de sa boîte deux dildo ventouse d’une taille assez imposante. Elles le collèrent sur le carrelage et s’empalèrent toutes les deux dessus. Elles firent onduler leur bassin pour ressentir au mieux en elle ce membre en silicone qui dilatait leur chatte. Eric intensifia sa masturbation en admirant le jouet disparaître dans le ventre de Margaux à chacun de ses mouvements. Il imaginait qu’il se trouvait à la place du sextoy et en retirait beaucoup de plaisir.
La respiration des deux femmes était haletante tandis qu’ils poussaient de profonds soupirs de plaisir.
Stéphanie se saisit ensuite d’un plug vibrant et fit se pencher Margaux en avant pour profiter de ses fesses, tandis que le dildo était toujours bien inséré au fond de sa chatte. Avec un peu de lubrifiant et de doigté, le plug anal fût entièrement inséré dans le petit trou de la jeune femme. Quand elle l’alluma Margaux poussa un soupir de plaisir. Alors qu’elle continuait à onduler sur sa queue en silicone et elle profita de chaque vibration dans son anus qui faisait inexorablement monter le plaisir en elle. La femme d’Eric se mit à quatre pattes sur le canapé et s’inséra un plug d’une taille supérieure à celui de Margaux. Elle l’alluma et se laissa porter par les vibrations qui stimulaient son corps.
Eric se masturbait de plus en plus fort, très excité par le plaisir que se procuraient les femmes. Les voir onduler, les entendre gémir lui procuraient des sensations très puissantes.
Alors qu’Eric continuait à se masturber en observant ses deux femmes se donner du plaisir, son épouse attrapa deux œufs vibrants. Les deux femmes s’allongèrent dans le canapé jambes écartées et s’introduisirent chacune un œuf dans leur vagin. Elle gardèrent le plug anal mais l’éteignirent.
- Ce serait bien que tu prennes les télécommandes, proposa Stéphanie à l’intention de son mari.
Ce dernier récupéra les télécommandes et se mit debout devant les deux femmes. Il prit une télécommande dans chaque main et les alluma. Un bruit de vibration se fit entendre, couvert rapidement par des gémissements de plaisir.
Eric jouait avec les vitesses et les rythmes de vibration avec les télécommandes. Il accélérait et ralentissait puis repartait de plus belle. Il essayait de deviner ce que chacune voulait en essayant de lire leur plaisir sur leur visage. Il ne pouvait plus se masturber mais il sentait l’excitation s’accroître en lui et le rapprocher de la jouissance. Voir ces femmes complètement abandonnées, jambes écartées avec ce petit fil sortant de leur vagin, gémir, onduler par la simple pression de ses doigts sur un bouton l’excitait beaucoup. La respiration des deux femmes devenait haletante, saccadée tandis qu’elles se caressaient les seins et jouaient avec leur malmelons.
Stéphanie fût la première à jouir. Margaux la suivit presque aussitôt tout en se frôlant le clitoris. Leurs gémissements de plaisir se confondaient et emplirent la maison de toute leur force. Eric voyait leur ventre onduler sous les spasmes qui les prenaient avec puissance tandis que Stéphanie caressait ses tétons fièrement dressés. L’œuf de Margaux tomba finalement au sol, expulsé par les puissantes contactions de son vagin. Le plaisir qu’elle avait ressentit avait été intense.
Lorsque Stéphanie eut repris ses esprit, elle retira l’œuf et se mit à quatre pattes sur le canapé, retira son plug et dit à son mari :
- Allez viens, tu l’as bien mérité.
Eric ne se le fit pas dire deux fois et inséra avec facilité sa queue dans l’anus de sa femme. Alors qu’il faisait de puissants va-et-vient, Margaux se mit dans la même position pour offrir ses fesses à son beau-père. Ce dernier vint se mettre derrière elle et la pénétra aussi avec fougue. Il changea plusieurs fois de partenaire. Alors que les deux femmes se regardaient, savourant ce sexe qui coulissait jusqu’au plus profond de leur corps Eric poussa un râle de plaisir et éjacula dans le cul de Margaux qui poussa un bref gémissement de contentement.
La journée toucha à son terme et l’heure de partir pour Margaux arriva trop tôt. La jeune femme était dans le salon, son sac à la main.
- C’était un week-end très plaisant, dit Stéphanie. Tu reviens le week-end prochain ?
- Oui, avec plaisir, confirma Margaux avec un sourire qui illumina son joli visage.
Stéphanie déposa un tendre baiser sur ses lèvres.
- J’ai adoré aussi, dit Eric quand les deux femmes eurent finit de s’embrasser.
Il vint aussi l’embrasser. Puis une main frôla son sein tandis qu’une autre s’égara sur ses fesses. Margaux se cambra, sentant une onde de frisson la parcourir. Elle s’abandonna, se laissant faire.
Une main fit glisser une bretelle pour libérer un sein pour le masser doucement alors que l’autre main s’infiltra sous sa robe pour caressa la peau nue de ses fesses. La jeune femme fermait les yeux, bouche grande ouverte pour se laisser emporter par le plaisir.
Soudainement, Eric la retourna et la fît se pencher sur la table. Il souleva sa robe bleue, écarta le string. Margaux sentit avec délectation le membre dur la pénétrer pour coulisser en elle avec bonheur. Les coups de reins étaient puissants, sauvage, comme pressé d’étancher un besoin rendu impossible à retenir plus longtemps. Ils jouirent presque simultanément, exprimant leur plaisir avec beaucoup de fougue. Eric se retira et remis en place le string sur la chatte dégoulinante de sperme.
Alors qu’Eric s’avançait vers Margaux pour l’embrasser une dernière fois, Stéphanie s’interposa :
- Ca va aller ! Tu vas encore vouloir la baiser si tu t’approches. Laisse-là partir, tu vas la mettre en retard.
A contre cœur, son mari obéit.
La jeune femme regagna sa voiture et fit un dernier au revoir au couple, pressée que la semaine à venir s’écoule. Du coin de l’œil, elle aperçut Stéphanie étreindre avec fougue son mari puis disparut au coin de la rue, la chatte dégoulinante de sperme.
En ce samedi soir de début août, Margaux accompagna son copain à la gare. Il prenait le train pour partir 15 jours en vacances avec ses amis. La jeune femme ne l’accompagnait pas car elle travaillait tout le mois dans un supermarché en tant que job d’été. Lorsque cela s’était organisé, elle avait été un peu déçue de ne pourvoir l’accompagner. Aujourd’hui, elle était plutôt ravie de ce que le destin lui avait réservé.
Elle embrassa une dernière fois Julien puis le laissa monter dans le train. Un dernier au revoir de la main et elle partit rejoindre sa voiture pour se précipiter chez ses beau-parents, avec qui elle vivait une incroyable aventure.
Il était presque 19h quand elle arriva chez Eric et Stéphanie. Cette dernière lui ouvrit la porte et l’embrassa à pleine bouche. Le baiser dura longtemps. Eric arriva à son tour et enlaça aussi la jeune femme avec passion.
- J’ai réservé le restaurant à 20h. Il faudrait qu’on parte d’ici 45min, annonça Eric.
- Allons nous préparer, proposa Stéphanie à Margaux.
La jeune femme suivit son hôtesse, emportant avec elle le sac de voyage dans lequel elle avait prit ses affaires pour le week-end.
Les deux femmes réapparurent dans le salon quelques dizaines de minutes plus tard. Eric resta muet devant ces deux belles créatures.
Margaux portait une jolie robe bleue avec de larges motifs floraux blanc. Les fines bretelles permettait d’admirer ses frêles épaules alors qu’une ceinture assortie faisait ressortir ses hanches. La coupe en biseau dévoilait, sur la partie la plus haute de la robe, la douce peau de sa cuisse.
Stéphanie avait opté pour une robe verte parsemée d’une multitude de petite fleurs blanche lui arrivant à peine à mi-cuisse. Elle avait des manches trois quarts et un profond décolleté que le soutien-gorge push-up sublimait.
Enfin, Eric avait revêtu une chemisette blanche et un bermuda beige, à la fois décontracté mais habillé.
Ils montèrent dans le SUV gris pour se rendre au restaurant. Sur le trajet, alors qu’Eric jetait un coup d’œil dans le rétroviseur intérieur, il aperçu Margaux baisser l’une des bretelles de sa robe et libérer son sein gauche. Il admira la courbe parfaite de sa poitrine et la jolie aréole rose clair en son centre. Ils se fixaient tous les deux à travers le miroir. Elle se caressa un peu le sein puis releva sa jambe et retroussa doucement sa robe. Eric baissa le rétroviseur et observait avec envie la cuisse qui se dévoilait peu à peu. Lorsque la robe fût retroussée jusqu’à ses hanches, il aperçu avec excitation qu’elle ne portait aucun sous-vêtement. Hypnotisé par son entrejambe, il dériva sur l’autre voie et ne fût réveillé que par le klaxon de la voiture en face.
Surprise, Stéphanie se tourna vers lui puis vers Margaux avant de lui faire un reproche:
- Tu ferais mieux de regarder la route plutôt de baver sur sa chatte !
Consciente de l’effet qu’elle produisait sur Eric la jeune femme réajusta sa robe.
En arrivant devant le restaurant, Stéphanie voulut adopter le code vestimentaire de Margaux. Elle passa ses mains sous sa robe, souleva un peu les fesses et fit glisser son string le long de ses jambes. Elle ouvrit la boîte à gants et y enferma le bout de tissus.
Les deux femmes se regardèrent puis rigolèrent de bon cœur, satisfaites de l’effet qu’elles avaient produit sur le conducteur.
Alors que la voiture était à l’arrêt sur le parking du restaurant, il fallut quelques minutes à Eric pour pouvoir sortir du véhicule sans attirer l’attention. Ses deux partenaires se moquaient de lui alors qu’elles attendaient dehors.
Ils furent placés sur une table circulaire, près d’une baie vitrée donnant sur un parc joliment arboré.
La soirée avança tranquillement entre discussion sérieuse ou anecdotes amusantes. De temps en temps l’une ou l’autre venait chauffer Eric soit avec un pied qui remontait doucement le long de sa jambe et s’aventurait le long de sa cuisse, soit avec une main qui plongeait dans la braguette ouverte de son bermuda et caressait son sexe à travers le tissus de son boxer.
A l’approche du dessert, Margaux se leva pour aller aux toilettes. Eric l’observa s’avancer au milieu de la salle se déhanchant avec grâce.
Margaux entra dans les WC des femmes et s’introduisit dans une des toilettes. Alors qu’elle s’apprêtait à fermer la porte, une main vint l’en empêcher. Eric se glissa dans les toilettes et referma la porte derrière lui.
Margaux s’assit sur la cuvette en retroussant sa robe. Pendant qu’elle se mit à uriner elle défit la braguette du bermuda et en sortit la verge de son amant. Elle la mit en bouche pour entamer une fellation. La jeune femme était dans un état d’excitation qui redescendait peu depuis le début de la soirée. Sucer cet homme dans un lieu public lui fit rapidement ressentir des frissons dans le ventre.
Ne voulant pas trop perdre de temps, Margaux se releva, se tourna et tout en s’appuyant sur le mur retroussa sa robe sur le bas de son dos. Eric vint insérer son membre dans le sexe légèrement humide de la jeune femme. Elle ressentit avec plaisir la queue s’introduire tout en douceur dans sa chatte tiède. La verge coulissait en elle avec facilité à présent, lui procurant un intense plaisir. Elle posa son doigt humide de salive sur son clitoris et se mit à jouer avec, alternant les rythmes à l’écoute de son corps. Soudainement l’orgasme la saisit. Elle se mordit les lèvres pour étouffer ses gémissements. Lorsque l’onde de plaisir s’estompa dans son corps, elle se rassit sur la cuvette et repris en bouche la queue. D’une main elle la branlait, tandis que l’autre main ne cessait de masser les couilles. Ce traitement eût vite l’effet escompté. Eric éjacula remplissant sa bouche de sperme. Margaux le suça encore quelques instant pour en extraire les dernière gouttes de semence, jusqu’à ce qu’elle sente la verge ramollir.
Le père de Julien regagna sa place dans le restaurant, suivit de peu par Margaux.
- Vous avez bien baisé tous les deux ? demanda Stéphanie un peu jalouse.
- Je m’occupe de toi après le dessert, lui assura son mari.
Le dessert leur fût servit. Margaux trouva le gâteau au chocolat délicieux, comme tout le reste du repas au demeurant, quoi que ayant un arrière goût de sperme.
Lorsque le dessert fût terminé, Stéphanie se leva pour aller à son trou aux toilettes en faisant un clin d’oeil entendu à son mari. Eric attendu une minute avant de rejoindre son épouse.
Dans les WC, il gratta la porte des toilettes dont la seule était verrouillée. Cette dernière s’ouvrit sur Stéphanie qui le laissa entrer. Elle s’assit sur cuvette fermée des toilettes et écarta les jambes pour offrir son sexe à son mari qui se précipita pour la lécher avec avidité. Lorsqu’il sentit sa femme prête, il introduisit sa queue dans le vagin trempé de Stéphanie qui se caressait le clitoris avec énergie pour atteindre l’orgasme le plus vite possible.
Il ne lui fallut que quelques minutes pour atteindre l’orgasme qu’elle se força à ne pas exprimer. Comme Margaux quelques minutes plus tôt elle fit une fellation à son mari jusqu’à que lui aussi atteigne le plaisir.
Stéphanie s’essaya les lèvres et réajusta sa robe. Elle sortit des toilettes où elle laissa son Eric et rejoignit Margaux à la table du restaurant.
- Rien de tel quel qu’un orgasme pour oublier ses contrariétés ! Murmura Stéphanie à sa compagne.
- Et une bonne queue dans la chatte, ajouta la jeune femme en s’esclaffant.
Sur le trajet du retour, Eric sortit soudainement de la route principale. Il s’engagea sur des routes de plus en plus petites. Il arrêta finalement la voiture à l’entrée d’un champs. Il lâcha le volant et glissa sa main sous la robe de sa femme. Bien que surprise par la nouvelle envie de son mari, elle écarta les cuisses et posa sa jambe droite sur le tableau de bord. Eric faisait d’agréables mouvements circulaires sur son clitoris. Margaux se rapprocha et passa ses bras autour du fauteuil pour empoigner les seins de Stéphanie qu’elle se mit à masser.
Elle savourait les caresses de ces mains chaudes sur son corps. Elle en avait envie depuis que Margaux était arrivée chez eux. Elle sentit le doigt de son mari descendre le long de sa fente puis s’introduire dans vagin humide. Elle se mit instinctivement à onduler du bassin. Elle gémissait à présent au rythme du doigt d’Eric dans sa chatte. Ce dernier ressortait de temps en temps son majeur et le tendait à Margaux qui le léchait avec avidité. Il le mettait ensuite dans le vagin de sa femme et recommençait. Stéphanie n’en pouvait plus, elle voulait plus que ce doigt en elle et le fit savoir :
- J’ai la chatte en feu, je veux ta queue.
Stéphanie sortit de la voiture et vint poser ses avant bras sur le capot. Eric se plaça derrière elle et la pénétra sauvagement en s’agrippant à ses hanches. Le va-et-vient était puissant. En se faisant besogner avec force, elle regardait autour d’elle. Elle espérait que quelqu’un pouvait les voir. Ce qui l’excitait beaucoup d’imaginer qu’une personne les observait, s’excitait et se masturbait peut-être en les voyant baiser.
Quant à Margaux, elle se caressait avec avidité en se délectant de la scène depuis l’intérieur de la voiture.
Stéphanie alla s’allonger à présent à l’arrière de la voiture, la tête posée sur les cuisses de le jeune femme. Eric parvint à s’approcher de sa vulve humide et reprit ses puissantes pénétrations. Margaux inséra son index gauche dans la bouche de sa belle-mère qui le suça et tendit la main droite vers son clitoris pour s’amuser avec.
Stéphanie explosa alors de plaisir sous les agréables sensations provoquées par la queue et le doigt de ses partenaires. Margaux, qui caressait toujours le clitoris, sentit les puissantes contractions de son ventre. Entendre ainsi gémir sa femme fît brutalement monter l’excitation d’Eric. Il ressortit sa queue de sa chatte et se branla deux trois fois au dessus de son ventre pour éjaculer. Le sperme fît de grosses tâches blanchâtre sur son ventre et sa robe. Margaux qui avait reçu une giclée sur la main, la donna à lécher à Stéphanie qui en récolta tout le jus.
Arrivés à la maison, Ills passèrent le reste de la soirée à jouer à des jeux de société avant de sa coucher. Dans le lit, ils trouvèrent les forces pour un dernier ébat aussi passionné que lent.
Repus, après une douche, ils se glissèrent nus tous les trois dans le lit, Margaux entre ses beaux-parents. Après un dernier baiser, Stéphanie se tourna sur le côté pour s’endormir. Eric vint se blottir contre elle. Pour la première fois depuis son arrivée, il n’avait aucune pensée sexuelle à son encontre. Il voulait juste profiter de la chaleur de sa peau et du parfum de ses cheveux. Il s’endormit ainsi, heureux.
Le petit déjeuner fût difficile pour Eric. Sa femme se baladait avec une nuisette toute transparente alors que Margaux portait un petit débardeur et un tanga. A chaque fois qu’elle ne levait il ne pouvait détacher son regard des ces fesses provocatrices. Stéphanie observait la scène et sentit une pointe de jalousie envers Margaux. Elle était jeune et belle et suscitait un puissant désir chez son mari.
Lorsque Margaux annonça qu’elle allait prendre une douche, Eric la suivit dans la salle de bain. Ne se souciant pas de la présence de son amant, la jeune femme ôta son débardeur et son tanga. Elle se plût à le voir baver sur son corps nu.
Elle rentra dans la douche et tourna le mitigeur. Alors que l’eau chaude arrivait Eric s’introduisit dans la douche, referma la porte et embrassa avec fougue la jeune femme. Elle se saisit du membre tendu et le masturba. Son amant ne lâchait pas ses seins qu’il massait avec envie. Il les lécha, mordilla les tétons. Il descendit le long du ventre de Margaux et inséra son visage entre ses jambes pour lui faire un cunnilingus. Elle leva une jambe qu’elle mit en appui sur le mur opposé pour aider Eric. Elle fermait les yeux et savourait les caresses de son beau-père et l’eau chaude qui s’écoulait sur sa peau sensible.
Eric s’empara de la pomme de douche, augmenta la puissance du jet et le dirigea vers la vulve avide de sensations de la jeune femme. Tout en se caressant les seins, elle ondulait du bassin et soupirait de plaisir.
Il remit la pomme de douche en place et fit se tourner Margaux pour la pénétrer. Sa queue s’introduisit dans cette chatte humide avec beaucoup de plaisir. Il s’agrippa à ses seins et fit un lent va-et-vient. Après avoir plongé de nombreuses fois son sexe dans le ventre de Margaux, il déchargea sa semence. En ressentant les jets de sperme inonder les parois de son vagin la jeune femme jouit instantanément.
Eric se lava un peu puis laissa la jeune femme terminer tranquillement sa douche.
Alors qu’il rentrait nu dans sa chambre il y retrouva Stéphanie qu’il l’attendait, soucieuse.
- Qu’y a-t-il ? Demanda-t-il un peu inquiet.
- Tu m’aimes ?
- Quoi ? Mais bien sûr ! Pourquoi cette question stupide ?
- Je vois bien comment tu la regardes, comment tu la désires. Elle s’offre entièrement à toi et tu ne peux y résister. Je ne t’en veux pas vraiment, elle a tout pour elle. Mais j’ai juste peur que tu me laisse pour elle.
Eric s’approcha de sa femme et la prit tendrement dans ses bras.
- Tu n’as aucun soucis à te faire. Oui c’est vrai, j’ai énormément de désir pour Margaux. Même si je prends beaucoup de plaisir avec elle, c’est toi que j’aime, c’est avec toi que je veux passer ma vie. C’est à tes côtés que je veux vieillir. Aucune femme ne me fera changer d’avis. Et avec Margaux ça ne va pas durer. Un jour, elle va prendre ses distances, se faire une vie sans nous, et c’est normal.
Il la regarda dans la yeux et dit avant de déposer un tendre baiser sur sa bouche : « Je t’aime ».
Alors que Margaux retournait dans sa chambre, une serviette autour d’elle, elle entendit des gémissements provenant de la chambre de ses beaux-parents. Elle s’arrêta devant la porte entrouverte, fît un mouvement pour rentrer puis se ravisa. Ils faisaient l’amour avec beaucoup de tendresse. Elle se dit que c’était leur moment et rejoignit sa chambre.
Lorsqu’ils furent tous prêts, ils sortirent de la maison pour aller se balader à pieds. Pas très loin de la maison se trouvait une petite forêt. Alors qu’ils marchaient depuis environ 30 minutes, Stéphanie attrapa Eric par le poignet et l’entraîna en dehors du sentier. Margaux les suivit, curieuse de ce qui allait se dérouler. Lorsqu’ils furent assez en retrait, Stéphanie plaqua son mari contre un arbre, baissa son short sans plus de préambule et lui fit une fellation. Margaux s’accroupit à côté de sa belle-mère et s’occupa de l’autre côté de la queue d’Eric. Quand l’une léchait la verge l’autre léchait les couilles. Lorsqu’elles s’attardaient toutes les deux sur le gland, leurs langues se mélangeaient et leur regards se croisaient, désirant toutes deux l’autre.
Stéphanie se releva, fit tomber son short et son string au sol puis se pencha en avant en s’appuyant sur le tronc d’arbre. Contrairement à ce qu’elle imaginait, ce n’est pas la queue de son mari qu’elle sentit contre son sexe mais la langue de Margaux qui se mit à la lécher avidement. Stéphanie était très excitée de sentir que la jeune femme semblait se délecter de son jus. Margaux attrapa la queue d’Eric, la suça encore un peu, puis la guida vers la vagin suintant. Elle fit aussi tomber son short et son tanga au sol et s’adossa contre un arbre pour se masturber en observant ses beaux-parents baiser. Stéphanie se gardait de faire trop de bruit mais n’en éprouva pas pour autant un immense plaisir à s’imaginer observée par un promeneur attiré par leurs ébats.
Lorsque Stéphanie eu jouit, Eric s’approcha de Margaux qui se mit dans la même position que sa belle-mère. Pendant que le bassin de son beau-père tapait sur ses fesses, elle voyait du coin de l’œil des randonneurs passer au loin. Se faire baiser en public avec le risque d’être surpris produisait aussi sur elle un surcroît d’excitation. Les minutes qui suivirent furent pour elle un immense plaisir, sentant sa chatte très dilatée par ce membre très large qui la besognait avec vigueur. Les coups étaient puissants, profonds. Elle se sentait pleinement remplie et adorait ça.
L’orgasme l’envahit à son tour. Elle se força à ne pas exprimer trop fort son plaisir. Presque aussitôt, Eric jouit à son tour en déchargeant une grosse quantité de sperme dans la vagin de Margaux.
Alors qu’il se retirait, Margaux dit à l’attention de Stéphanie :
- Viens me lécher la chatte.
La femme d’Eric embrassa le sexe de la jeune femme à pleine bouche et récolta avec sa langue tout le sperme qui s’en échappait. Margaux poussa quelques gémissement, savourant cette langue sur sa chatte toujours hyper sensible.
Lorsque plus une goutte de sperme ne s’écoulait de Margaux, ils se rhabillèrent et poursuivirent leur balade.
Après un barbecue bien arrosé, Eric s’était endormit au bord de la piscine, à l’ombre d’un parasol. Il fût toutefois réveillé par un bruit. Sortant de sa torpeur, il reconnu les gémissements de sa femme. Il se leva et rentra dans la maison.
Il découvrit avec étonnement les deux femmes à moitié nues dans la canapé, jambes écartées en train de chacune se masturber avec un vibromasseur. Stéphanie avait sortit sa collection assez imposante de jouets et avait proposé à Margaux de les essayer.
- C’est après-midi fille, dit Margaux en plaisantant, entre deux gémissements.
Eric s’assit dans un fauteuil et les regarda avec beaucoup d’excitation se donner du plaisir.
Stéphanie tendit un nouveau sextoy à la jeune femme :
- Tu connais ?
- Le fameux aspirateur à clito dont tout le monde ? Je n’ai jamais essayé, c’est réellement bien ?
- C’est mieux que ça ! C’est divin. Mais il ne faut pas en abuser, sinon tu vas finir par le préférer à la queue d’un homme ! Ajouta-t-elle en plaisantant.
Margaux plaqua le sextoy sur son clitoris et l’alluma. Elle ressentit tout de suite de fortes sensations. Après quelques minutes à varier les puissances de succion, la jeune femme eu un orgasme très puissant, l’un des plus forts de sa vie. Elle exprima son immense plaisir en poussant de forts gémissements qui résonnaient dans la pièce. Elle se noyait dans un océan de plaisir.
Stéphanie sortit deux vibromasseurs rabbit qu’elles essayèrent immédiatement. Eric commençait à se sentir à l’étroit dans son short. Il le retira et se masturba tout doucement en profitant du spectacle. Ce fût au tour de sa femme de jouir sous les vibrassions de son jouet.
La femme d’Eric sortit ensuite de sa boîte deux dildo ventouse d’une taille assez imposante. Elles le collèrent sur le carrelage et s’empalèrent toutes les deux dessus. Elles firent onduler leur bassin pour ressentir au mieux en elle ce membre en silicone qui dilatait leur chatte. Eric intensifia sa masturbation en admirant le jouet disparaître dans le ventre de Margaux à chacun de ses mouvements. Il imaginait qu’il se trouvait à la place du sextoy et en retirait beaucoup de plaisir.
La respiration des deux femmes était haletante tandis qu’ils poussaient de profonds soupirs de plaisir.
Stéphanie se saisit ensuite d’un plug vibrant et fit se pencher Margaux en avant pour profiter de ses fesses, tandis que le dildo était toujours bien inséré au fond de sa chatte. Avec un peu de lubrifiant et de doigté, le plug anal fût entièrement inséré dans le petit trou de la jeune femme. Quand elle l’alluma Margaux poussa un soupir de plaisir. Alors qu’elle continuait à onduler sur sa queue en silicone et elle profita de chaque vibration dans son anus qui faisait inexorablement monter le plaisir en elle. La femme d’Eric se mit à quatre pattes sur le canapé et s’inséra un plug d’une taille supérieure à celui de Margaux. Elle l’alluma et se laissa porter par les vibrations qui stimulaient son corps.
Eric se masturbait de plus en plus fort, très excité par le plaisir que se procuraient les femmes. Les voir onduler, les entendre gémir lui procuraient des sensations très puissantes.
Alors qu’Eric continuait à se masturber en observant ses deux femmes se donner du plaisir, son épouse attrapa deux œufs vibrants. Les deux femmes s’allongèrent dans le canapé jambes écartées et s’introduisirent chacune un œuf dans leur vagin. Elle gardèrent le plug anal mais l’éteignirent.
- Ce serait bien que tu prennes les télécommandes, proposa Stéphanie à l’intention de son mari.
Ce dernier récupéra les télécommandes et se mit debout devant les deux femmes. Il prit une télécommande dans chaque main et les alluma. Un bruit de vibration se fit entendre, couvert rapidement par des gémissements de plaisir.
Eric jouait avec les vitesses et les rythmes de vibration avec les télécommandes. Il accélérait et ralentissait puis repartait de plus belle. Il essayait de deviner ce que chacune voulait en essayant de lire leur plaisir sur leur visage. Il ne pouvait plus se masturber mais il sentait l’excitation s’accroître en lui et le rapprocher de la jouissance. Voir ces femmes complètement abandonnées, jambes écartées avec ce petit fil sortant de leur vagin, gémir, onduler par la simple pression de ses doigts sur un bouton l’excitait beaucoup. La respiration des deux femmes devenait haletante, saccadée tandis qu’elles se caressaient les seins et jouaient avec leur malmelons.
Stéphanie fût la première à jouir. Margaux la suivit presque aussitôt tout en se frôlant le clitoris. Leurs gémissements de plaisir se confondaient et emplirent la maison de toute leur force. Eric voyait leur ventre onduler sous les spasmes qui les prenaient avec puissance tandis que Stéphanie caressait ses tétons fièrement dressés. L’œuf de Margaux tomba finalement au sol, expulsé par les puissantes contactions de son vagin. Le plaisir qu’elle avait ressentit avait été intense.
Lorsque Stéphanie eut repris ses esprit, elle retira l’œuf et se mit à quatre pattes sur le canapé, retira son plug et dit à son mari :
- Allez viens, tu l’as bien mérité.
Eric ne se le fit pas dire deux fois et inséra avec facilité sa queue dans l’anus de sa femme. Alors qu’il faisait de puissants va-et-vient, Margaux se mit dans la même position pour offrir ses fesses à son beau-père. Ce dernier vint se mettre derrière elle et la pénétra aussi avec fougue. Il changea plusieurs fois de partenaire. Alors que les deux femmes se regardaient, savourant ce sexe qui coulissait jusqu’au plus profond de leur corps Eric poussa un râle de plaisir et éjacula dans le cul de Margaux qui poussa un bref gémissement de contentement.
La journée toucha à son terme et l’heure de partir pour Margaux arriva trop tôt. La jeune femme était dans le salon, son sac à la main.
- C’était un week-end très plaisant, dit Stéphanie. Tu reviens le week-end prochain ?
- Oui, avec plaisir, confirma Margaux avec un sourire qui illumina son joli visage.
Stéphanie déposa un tendre baiser sur ses lèvres.
- J’ai adoré aussi, dit Eric quand les deux femmes eurent finit de s’embrasser.
Il vint aussi l’embrasser. Puis une main frôla son sein tandis qu’une autre s’égara sur ses fesses. Margaux se cambra, sentant une onde de frisson la parcourir. Elle s’abandonna, se laissant faire.
Une main fit glisser une bretelle pour libérer un sein pour le masser doucement alors que l’autre main s’infiltra sous sa robe pour caressa la peau nue de ses fesses. La jeune femme fermait les yeux, bouche grande ouverte pour se laisser emporter par le plaisir.
Soudainement, Eric la retourna et la fît se pencher sur la table. Il souleva sa robe bleue, écarta le string. Margaux sentit avec délectation le membre dur la pénétrer pour coulisser en elle avec bonheur. Les coups de reins étaient puissants, sauvage, comme pressé d’étancher un besoin rendu impossible à retenir plus longtemps. Ils jouirent presque simultanément, exprimant leur plaisir avec beaucoup de fougue. Eric se retira et remis en place le string sur la chatte dégoulinante de sperme.
Alors qu’Eric s’avançait vers Margaux pour l’embrasser une dernière fois, Stéphanie s’interposa :
- Ca va aller ! Tu vas encore vouloir la baiser si tu t’approches. Laisse-là partir, tu vas la mettre en retard.
A contre cœur, son mari obéit.
La jeune femme regagna sa voiture et fit un dernier au revoir au couple, pressée que la semaine à venir s’écoule. Du coin de l’œil, elle aperçut Stéphanie étreindre avec fougue son mari puis disparut au coin de la rue, la chatte dégoulinante de sperme.
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Les avis des lecteurs
magnifique récit !
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Super, j'ai adoré, vivement le WE prochain 😋