Margot
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2012 dans la catégorie Plus on est
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Margot
Je suis pelotonnée dans mon lit au réveil d’une courte nuit. Nous avons fait l’amour à trois pour la première fois. Je suis moulue. C’est de ma faute. Mon époux Paul me fait l’amour comme un dieu, pratiquement tous les jours. Il peut me la mettre devant ou derrière, j’aime. Dans la bouche c’est différent. Je la lui suce par gourmandise. J’aime son sperme.
Un soir en baisant prise dans le délire d’un orgasme j’avouais que je faisais souvent l’amour avec ma copine de toujours, Margot. Il m’a enculé violemment en me demandant de la lui faire connaitre. J’ai joui comme souvent. Le lendemain je devais revoir mon amie. Elle acceptait de venir à la maison.
Paul lui a fait un peu la tête. C’est normal pour un mari trompé de voir celui qui le cocufie. Mais là c’est une fille avec qui je couche. Il nous a demandé de baiser devant lui, comme ça, d’un seul coup de doigt. Les envies ne se commandent pas, elles sont là ou non. Demander ainsi la réponse est négative. La soirée s’est finie, il faisait toujours la gueule. Même au lit je n’avais pas envie de lui faire plaisir. Je l’ai branlé simplement sans lui caresser les couilles.
Il a fallut plusieurs jours pour digérer sa position. Il voulait me voir avec une autre fille. Nous allions lui servir sur un plateau ce qu’il voulait et que désirait maintenant Margot. C’était un peu la vengeance de Margot qui n’avalait toujours pas la position de mon mari.
Sans rien qui soit prévisible, même pour moi, Margot vient nous voir sur le coup de 20 heures 30. Elle porte une tenue de femme très légère, habillée très court, ses seins visibles sous son haut. Elle fait pute comme ce n’est pas possible. Paul n’en revient pas du changement. Elle vient vers moi, m’embrasse sur la bouche. J’en suis gênée de faire ça devant mon mari.
Elle m’oublie pour embrasser Paul sur la bouche aussi. Ce baiser ne dure pas. Elle revient vers moi, commence à me tripoter la poitrine d’une telle façon qu’elle arrive au but : m’exciter. Elle passe sa main sur la braguette de mon jean. J’en sens assez pour être bien mouillée. Je regarde Paul qui de normal devient presque rouge. Ou il va éclater ou céder. Margot me laisse pour s’occuper de mon mari. Elle passe sa main sur la bite de Paul. Et me dit :
- Il a une belle bite ton mari, je la prendrais bien dans le cul.
- Fait gaffe, il baise très bien.
- Tant mieux je le veux ce soir.
Elle s’enhardi jusqu’à sortir la queue de Paul. Il bande bien sur. Elle va jusqu’au bout en le prenant dans la bouche et le branlant. Il la laisse faire. Elle doit être une suceuse formidable. Je le sais quand nous nous faisons des mamours sa langue dans ma chatte est très précieuse. Là elle est partie pour le sucer à fond. Quand il jouit, il la prévient sans qu’elle en tienne compte. Tout son sperme se déverse dans la bouche de MA MAITRESSE.
Elle est assez gentille pour venir me donner une partie de la semence dans ma bouche en m’embrassant. Sans nous concerter, nous tirons la langue pour monter à Paul que nous partageons bien son jus.
Pendant qu’ils s’amusaient ensemble j’ai quitté mon jean et le string pour être à l’aise pour me branler, excitée au possible de voir la queue de mon mari dans la bouche d’une autre fille.
Margot reste à mes cotés me caresse les seins en enlevant mon haut. Je suis nue prête à lui faire tout ce qu’elle veut. Ce qu’elle veut est tout simple, une langue sur sa chatte. Je la déshabille sous les yeux exorbités de mon mari.
Nous commençons à nous caresser, comme si nous étions seules. Paul nous regarde avec attention. Je remarque que je suis plus câlinée que la normale. Margot prends l’ascendant sur moi alors que normalement nous sommes sur un pied d’égalité. Elle va surtout là où elle sait qu’elle me fait jouir à tous les coups. Je crois que c’est la présence de mon mari qui la shoote. Je place à peine un doigt sur son berlingot pour la masturber. Je ne vais pas très vite pour faire durer son plaisir. Elle ne prend pas les mêmes égards avec moi. On dirait qu’elle se débarrasse d’une corvée. Je jouis bien sur tellement elle branle bien.
Paul à force de nous voir commence à bander plus fort qu’avant la fellation. Je voudrais le branler. Il ne veut pas de moi pour le moment, il s’en prend à Margot, ma chérie. Si elle me caresse le cul, elle offre son con à mon mari qui bien sur la baise sur le champ.
J’entends tous ses murmures de plaisir. Elle ne veut pas qu’il jouisse en elle. Alors que Magot me branle toujours, elle me fait mettre penchée en avant, debout, les fesses données à mon Paul. Ainsi après avoir commencé à baiser une fille, avec sa queue encore pleine de cyprine, il vient sans peine dans mon con. Il me fait jouir en moins de deux minutes. Lui est toujours raide, il reste en moi pour reprendre ses va-et-vient. Entre les doigts de Margot et la bite de mon mari, je jouis encore plus vite. Juste au moment où il sort de mon con, j’ai encore une autre jouissance.
Je pensais qu’il allait juter, il n’en a rien, il prend une résistance que je ne lui connaissait pas encore. Margot me laisse un instant pour changer de position sous peine de crampes. Son souffle sur mon visage m’indique que sa bouche vient sur la mienne. Elle a encore le gout de sperme, comme je dois l’avoir aussi. Cette fois sa langue câline devient plus brutale. Elle me fait du bien en agissant ainsi, contrairement à sa douceur habituelle. Je sens ma cyprine couler de plus en plus. J’aimerais être sucée, léchée, mangée, dévorée par une bouche affamée. Que quelqu’un me broute.
C’est la chance qui me sourit : mon mari, enfin s’occupe de ma chatte. Sa tête est entre mes jambes. J’aime quand il me fait un cunnilingus. Il a un peps particulier qui me donne le frisson. J’en jouis encore. J’aurai aimé le sucer en 69. Je sais qu’il aime jouir dans ma bouche et moi j’aime ça. Je le lui demande, il ne veut pas.
Il décide qu’aujourd’hui une seule personne peut lécher ma fente : Margot. Il s’arrête mais il me prend par le cul. Si sa langue y fait un rapide tour de l’anus, sa queue vient bientôt m’enculer. Il s’enfonce rapidement alors que j’aime quand il me sodomise lentement pour que je profite bien de la pénétration. Voyant ce que me fait mon mari, Margot en profite pour venir poser sa langue dans ma salle des fêtes. Il me baise quand elle entre toute se langue, oh, bien sur pas comme une bite. Ca remplace un peu. Elle doit avoir sur elle les couilles qui lui caressent le front. J’arrive avec peine à lui mettre ma main aux fesses. Je passe entre ses globes, j’arrive à mettre deux doigts sur son clitoris. Je la masturbe comme elle aime. J’en fait tellement que je sens ses spasmes d’orgasme.
Je suis sur une fusée d’exploration sexuelle. Entre Eros est Lesbos, je suis bien dans l’aventure spatiale qu’ils me font vivre. Je jouis sans cesses depuis le début de notre union à trois. Je pense qu’ils ont du s’allier pour uniquement mon plaisir. J’en ai presque assez de jouir ainsi. Je ne veux plus être la cible de leur tir croisé. Je ne suis pas Bagdad. Je suis une simple femme égarée.
Je me couche, presque morte de plaisir. Ils sont sur le même lit pour s’aimer encore plusieurs fois. Ils font même un 69 qu’il a refusé que je lui fasse tout à l’heure. Et puis vient le moment où pour de bon, nous baisons en trio. Il nous prend les deux femmes une sur la pine, et l’autre sur sa bouche. J’ai juste la force de me faire mettre. Je monte sur lui les jambes ouvertes, mon con en avant. Je m’enfile seule. Il m’aide beaucoup en bougeant alors que je suis presque immobile. Je vois la chatte de Margot être bouffée par la langue de Paul.
Je jouis rapidement en m’effondrant sur le lit. Je suis vite remplacé par Margot qui quitte la bouche de mon mari pour sa queue. J’assiste au début de leur baise, pas du tout à la fin.
Je ne sais même pas l’heure de mon réveil.
- Bientôt midi, debout fénéante.
- J’ai rêvé pour cette nuit ?
J’ouvre enfin les yeux : il est nu, ce qui n’est pas dans ses habitudes. Sa queue porte encore des marques de cyprine.
- Tu n’as pas rêvé. Tu t’ai faite faire tout ce qui est possible ou presque avec ta copine Margot et moi, surtout Margot que j’ai aimé baiser. Merci de me l’avoir offerte. Elle revient la semaine prochaine, mais elle te le dira demain quand vous vous ferez l’amour en vous bouffant les chattes.
Un soir en baisant prise dans le délire d’un orgasme j’avouais que je faisais souvent l’amour avec ma copine de toujours, Margot. Il m’a enculé violemment en me demandant de la lui faire connaitre. J’ai joui comme souvent. Le lendemain je devais revoir mon amie. Elle acceptait de venir à la maison.
Paul lui a fait un peu la tête. C’est normal pour un mari trompé de voir celui qui le cocufie. Mais là c’est une fille avec qui je couche. Il nous a demandé de baiser devant lui, comme ça, d’un seul coup de doigt. Les envies ne se commandent pas, elles sont là ou non. Demander ainsi la réponse est négative. La soirée s’est finie, il faisait toujours la gueule. Même au lit je n’avais pas envie de lui faire plaisir. Je l’ai branlé simplement sans lui caresser les couilles.
Il a fallut plusieurs jours pour digérer sa position. Il voulait me voir avec une autre fille. Nous allions lui servir sur un plateau ce qu’il voulait et que désirait maintenant Margot. C’était un peu la vengeance de Margot qui n’avalait toujours pas la position de mon mari.
Sans rien qui soit prévisible, même pour moi, Margot vient nous voir sur le coup de 20 heures 30. Elle porte une tenue de femme très légère, habillée très court, ses seins visibles sous son haut. Elle fait pute comme ce n’est pas possible. Paul n’en revient pas du changement. Elle vient vers moi, m’embrasse sur la bouche. J’en suis gênée de faire ça devant mon mari.
Elle m’oublie pour embrasser Paul sur la bouche aussi. Ce baiser ne dure pas. Elle revient vers moi, commence à me tripoter la poitrine d’une telle façon qu’elle arrive au but : m’exciter. Elle passe sa main sur la braguette de mon jean. J’en sens assez pour être bien mouillée. Je regarde Paul qui de normal devient presque rouge. Ou il va éclater ou céder. Margot me laisse pour s’occuper de mon mari. Elle passe sa main sur la bite de Paul. Et me dit :
- Il a une belle bite ton mari, je la prendrais bien dans le cul.
- Fait gaffe, il baise très bien.
- Tant mieux je le veux ce soir.
Elle s’enhardi jusqu’à sortir la queue de Paul. Il bande bien sur. Elle va jusqu’au bout en le prenant dans la bouche et le branlant. Il la laisse faire. Elle doit être une suceuse formidable. Je le sais quand nous nous faisons des mamours sa langue dans ma chatte est très précieuse. Là elle est partie pour le sucer à fond. Quand il jouit, il la prévient sans qu’elle en tienne compte. Tout son sperme se déverse dans la bouche de MA MAITRESSE.
Elle est assez gentille pour venir me donner une partie de la semence dans ma bouche en m’embrassant. Sans nous concerter, nous tirons la langue pour monter à Paul que nous partageons bien son jus.
Pendant qu’ils s’amusaient ensemble j’ai quitté mon jean et le string pour être à l’aise pour me branler, excitée au possible de voir la queue de mon mari dans la bouche d’une autre fille.
Margot reste à mes cotés me caresse les seins en enlevant mon haut. Je suis nue prête à lui faire tout ce qu’elle veut. Ce qu’elle veut est tout simple, une langue sur sa chatte. Je la déshabille sous les yeux exorbités de mon mari.
Nous commençons à nous caresser, comme si nous étions seules. Paul nous regarde avec attention. Je remarque que je suis plus câlinée que la normale. Margot prends l’ascendant sur moi alors que normalement nous sommes sur un pied d’égalité. Elle va surtout là où elle sait qu’elle me fait jouir à tous les coups. Je crois que c’est la présence de mon mari qui la shoote. Je place à peine un doigt sur son berlingot pour la masturber. Je ne vais pas très vite pour faire durer son plaisir. Elle ne prend pas les mêmes égards avec moi. On dirait qu’elle se débarrasse d’une corvée. Je jouis bien sur tellement elle branle bien.
Paul à force de nous voir commence à bander plus fort qu’avant la fellation. Je voudrais le branler. Il ne veut pas de moi pour le moment, il s’en prend à Margot, ma chérie. Si elle me caresse le cul, elle offre son con à mon mari qui bien sur la baise sur le champ.
J’entends tous ses murmures de plaisir. Elle ne veut pas qu’il jouisse en elle. Alors que Magot me branle toujours, elle me fait mettre penchée en avant, debout, les fesses données à mon Paul. Ainsi après avoir commencé à baiser une fille, avec sa queue encore pleine de cyprine, il vient sans peine dans mon con. Il me fait jouir en moins de deux minutes. Lui est toujours raide, il reste en moi pour reprendre ses va-et-vient. Entre les doigts de Margot et la bite de mon mari, je jouis encore plus vite. Juste au moment où il sort de mon con, j’ai encore une autre jouissance.
Je pensais qu’il allait juter, il n’en a rien, il prend une résistance que je ne lui connaissait pas encore. Margot me laisse un instant pour changer de position sous peine de crampes. Son souffle sur mon visage m’indique que sa bouche vient sur la mienne. Elle a encore le gout de sperme, comme je dois l’avoir aussi. Cette fois sa langue câline devient plus brutale. Elle me fait du bien en agissant ainsi, contrairement à sa douceur habituelle. Je sens ma cyprine couler de plus en plus. J’aimerais être sucée, léchée, mangée, dévorée par une bouche affamée. Que quelqu’un me broute.
C’est la chance qui me sourit : mon mari, enfin s’occupe de ma chatte. Sa tête est entre mes jambes. J’aime quand il me fait un cunnilingus. Il a un peps particulier qui me donne le frisson. J’en jouis encore. J’aurai aimé le sucer en 69. Je sais qu’il aime jouir dans ma bouche et moi j’aime ça. Je le lui demande, il ne veut pas.
Il décide qu’aujourd’hui une seule personne peut lécher ma fente : Margot. Il s’arrête mais il me prend par le cul. Si sa langue y fait un rapide tour de l’anus, sa queue vient bientôt m’enculer. Il s’enfonce rapidement alors que j’aime quand il me sodomise lentement pour que je profite bien de la pénétration. Voyant ce que me fait mon mari, Margot en profite pour venir poser sa langue dans ma salle des fêtes. Il me baise quand elle entre toute se langue, oh, bien sur pas comme une bite. Ca remplace un peu. Elle doit avoir sur elle les couilles qui lui caressent le front. J’arrive avec peine à lui mettre ma main aux fesses. Je passe entre ses globes, j’arrive à mettre deux doigts sur son clitoris. Je la masturbe comme elle aime. J’en fait tellement que je sens ses spasmes d’orgasme.
Je suis sur une fusée d’exploration sexuelle. Entre Eros est Lesbos, je suis bien dans l’aventure spatiale qu’ils me font vivre. Je jouis sans cesses depuis le début de notre union à trois. Je pense qu’ils ont du s’allier pour uniquement mon plaisir. J’en ai presque assez de jouir ainsi. Je ne veux plus être la cible de leur tir croisé. Je ne suis pas Bagdad. Je suis une simple femme égarée.
Je me couche, presque morte de plaisir. Ils sont sur le même lit pour s’aimer encore plusieurs fois. Ils font même un 69 qu’il a refusé que je lui fasse tout à l’heure. Et puis vient le moment où pour de bon, nous baisons en trio. Il nous prend les deux femmes une sur la pine, et l’autre sur sa bouche. J’ai juste la force de me faire mettre. Je monte sur lui les jambes ouvertes, mon con en avant. Je m’enfile seule. Il m’aide beaucoup en bougeant alors que je suis presque immobile. Je vois la chatte de Margot être bouffée par la langue de Paul.
Je jouis rapidement en m’effondrant sur le lit. Je suis vite remplacé par Margot qui quitte la bouche de mon mari pour sa queue. J’assiste au début de leur baise, pas du tout à la fin.
Je ne sais même pas l’heure de mon réveil.
- Bientôt midi, debout fénéante.
- J’ai rêvé pour cette nuit ?
J’ouvre enfin les yeux : il est nu, ce qui n’est pas dans ses habitudes. Sa queue porte encore des marques de cyprine.
- Tu n’as pas rêvé. Tu t’ai faite faire tout ce qui est possible ou presque avec ta copine Margot et moi, surtout Margot que j’ai aimé baiser. Merci de me l’avoir offerte. Elle revient la semaine prochaine, mais elle te le dira demain quand vous vous ferez l’amour en vous bouffant les chattes.
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