Mari impuissant 5
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-04-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mari impuissant 5
Mais avant d'éteindre la lumière, Paul, avec un petit sourire vicieux, lui dit en l'embrassant sur le front :
-Bonne nuit future incestueuse !
Fiona se blottit encore plus contre lui, il la sent frissonner sous sa nuisette. Elle lui répond d'une voix tendre :
-Je suis certaine que cela te plairait mon chéri de voir ça hein, avoue-le !
Paul rallume la lumière et dit en se penchant sur elle :
-Eh bien pourquoi pas, tu le fais bander, lui te fait mouiller alors, il faut franchir le pas mon amour !
En poussant un gros soupir, Fiona répond :
-N'allume pas la mèche, ne me demande pas ça, je t'en prie mon chéri !
Paul lui saisit la tête avec ses mains, et en la regardant droit dans les yeux lui dit :
-Tu en meurs d'envie, ta voix tremble lorsque l'on parle de lui, eh bien oui, je te le demande, fais-le avec lui ma chérie !
Fiona éclate en sanglot, puis répond en reniflant :
-Pourquoi que tu me tortures Paul, c'est immoral, inhumain ce que tu me demandes, tu veux me rendre folle !
Il lui lape les perles de rosées qui s'écoulent sur ses joues et répond avec douceur :
-Ma chérie, je ne veux que ton bonheur, je désire que tu t'épanouisses sexuellement, que tu prennes les jouissances que je ne peux plus te donner, je te l'ai déjà dit. Donc que ce soit avec ton fils ou nos amis. Nous sommes que de passage sur terre, profite tant que tu le peux, ne sois pas bête !
Fiona, en tremblant et en reniflant encore, répond :
-Mon chéri, tu te rends compte, tu me demandes de le faire avec notre fils, mais j'en mourais de honte, jamais, j'oserais !
Paul dépose un baiser appuyé sur ses lèvres et en soufflant doucement lui dit :
-Mais, tu as envie de lui ou pas !
Fiona répond en serrant son mari dans ses bras :
- Oui, non, je ne sais plus avec toi, tu me fais souffrir !
Paul commence à être agacé, en faisant une moue, ajoute :
-Mais si veux vraiment de lui, cela peut se faire en douceur, tu veux que je lui parle !
Fiona, irritée, hausse les épaules, et dit en tournant brusquement le dos à son mari :
-Fais ce que tu veux, je m'en moque, je n'ai plus ma tête, laisse-moi tranquille !
Paul se plaque contre elle, éteint la lumière et lui caresse doucement la cuisse. Sa main monte sous la nuisette, caresse les lobes fessiers et s'insère dans le large sillon, avec deux doigts, il taquine l'anus qui se met à frétiller, le muscle rectal, se souvient des multiples assauts qu'il a eus. Paul chuchote à l'oreille de sa femme :
-Ils t'en, bien déglinguaient nos amis ma chérie, pense au plaisir que le sexe peut encore t'apporter !
Fiona pousse un gros soupir et dit :
-Laisse-moi mon chéri, j'ai eu ma dose aujourd'hui, bonne nuit !
Fiona, épuisée par les nombreuses jouissances de la journée, s'endort comme une masse. Paul lui est songeur, il cogite quelque chose. Il a vu sa femme à l'œuvre, il sait maintenant qu'elle aime le sexe. Donc il lui en faut, ses amis ne sont toujours pas disponibles. Mais il a comme le dit si bien son fils, tout ce qu'il faut à la maison.
Le lendemain matin, Paul, c'est levé le premier et a préparé le petit déjeuner, acheté même des croissants. Il attend que Fiona et Hugo fassent leur apparition. Pendant ce temps, il lit son journal au salon, chaussé de grosses lunettes d'écailles. Enfin la grasse matinée prend fin, Hugo et le deuxième à se lever, comme toujours, c'est en boxer qu'il descend. Sa maman ne tarde pas à le suivre. Elle descend en s'étirant fortement et en bâillant. Son déhanchement naturel fait penser à un félin. Sa courte nuisette, dévoile ses longues jambes aux galbes quasi parfaits. La transparence du tissu cache mal sa nudité, on distingue nettement la toison qui se trouve sur le bas ventre. Et les mamelons qui appuient fortement sur le tissu comme pour le percer.
Sans se presser, elle descend les marches comme une star. Hugo salive, il est vrai que sa maman est une très belle femme. Et depuis qu'il l’a vue nue, il en est persuadé, il ne la quitte pas des yeux. Elle est souriante, et semble reposée, elle embrasse son fils et son mari, puis prend place à table. Le petit déjeuner se passe à merveille, Paul a beaucoup d'humour, il sait faire rire son petit monde. Puis Paul et Hugo vont s'assoir au salon, Paul reprend son journal et ses lunettes. Hugo lui prend une revue, et la feuillette.
Fiona débarrasse la table puis avant de se rendre dans la salle de bain, décide de s'assoir près de ses hommes. Elle prend place en face de son fils, et elle demande à son mari la rubrique mode qui se trouve dans le journal. Paul la lui tend et reprend sa lecture. Hugo, par-dessus sa revue, relooke les jambes de sa maman, sa nuisette et à mi-cuisses, dès qu'elle fait un mouvement, Hugo est aux premières loges. De temps en temps, Paul, en rajustant ses lunettes, donne un rapide coup d'œil vers son fils et le surprend à mater sa maman. Il sourit puis épie discrètement le duo.
Involontairement, elle ouvre les cuisses. Hugo écarquille les yeux, il voit la vulve que la veille, avait goûtée de la bite étrangère. Sa maman cachée derrière son journal ne peut voir son fils qui regarde son intimité. Lentement son boxer se déforme, il a posé sa revue et n'a que d'yeux pour le bas-ventre de sa maman. Il serre les dents, lorsqu'elle agite doucement son corps pour avoir une meilleure position, les grandes lèvres vaginales se frottent l'une contre l'autre. Cela provoque sur Hugo, une érection affreuse. Il ne peut s'empêcher de caresser la bosse monstrueuse qui gonfle encore sur son bas-ventre.
Paul sourit discrètement, il se dit si seulement sa femme pouvait voir le spectacle. Il commence à toussoter pour attirer son attention. Fiona lève la tête au-dessus de son journal, elle regarde son mari qui se racle encore plus fort la gorge. Il fait un signe de tête vers son fils. Fiona fronce les sourcils, elle ne comprend pas bien, elle pose le regard sur son fils. Elle écarquille les yeux et pose son journal. Hugo n'en peut plus, ses yeux brillent. Sa verge, emprisonnée dans le carcan de tissu, devient douloureuse. Il regarde sa maman, qui sans le vouloir, a les jambes largement ouvertes.
Il baisse brusquement son boxer, sa verge se détend comme un ressort et oscille un moment avant de se stabiliser sur son bas-ventre. Il la saisit et commence une masturbation brutale, sans quitter des yeux l'entrejambe de sa maman. Fiona est comme hypnotisée par le manche de chair que son fils agite rageusement. Ses yeux sont presque exorbités. Paul pose son journal et se lève, il s'approche de sa femme, lui prend la main et la pose sur sa chatte qui rejette son jus. Il fait en entrainant la main de sa femme, une caresse de bas en haut sur les grandes lèvres. Fiona ne semble pas réagir. Paul accélère, et lâche la main de sa femme, qui inconsciemment, continue de se frotter la vulve, sans quitter du regard le manche dressé fièrement comme un mât de cocagne.
Hugo est au bord de la syncope, il serre les dents, en décalottant son gland, à chaque descente, son poignet frappe fortement ses couilles. Sa maman respire bruyamment, sa main change de stratégie, ses doigts s'agrippent à son clito et le branle énergiquement. Paul regarde la main de sa femme, branler la boule de chair qui est devenue grosse comme une belle cerise. Soudain, c'est le feu d'artifice, Hugo envoie dans les airs plusieurs giclées de sperme, qui retombent lourdement sur son bas-ventre et ses doigts. C'est à ce moment que sa maman jouit en grognant comme un animal.
Paul, souriant, dépose un baiser sur les lèvres de sa femme en disant :
-Ma chérie, tu as fait le plus gros, maintenant passe l'étape supérieure, tu ne peux plus reculer !
Fiona reste un moment sans réagir, puis petit à petit reprend ses esprits, en disant :
-Mon Dieu, qu'est-ce que j'ai fait, je suis folle, Paul, oh mon Dieu, non, non !
Paul l'aide à se mettre debout, l'enlace et l'embrasse fougueusement, puis lui dit :
-Laisse-toi aller ma chérie, c'est l'appel des sens, n'arrête pas en si bon chemin !
Paul fait un signe discret à son fils qui s'approche, Paul se détache de sa femme, c'est Hugo qui avec douceur prend la place. Elle enlace sa maman, les deux se regardent intensément, leurs yeux sont pleins d'amour.
-Bonne nuit future incestueuse !
Fiona se blottit encore plus contre lui, il la sent frissonner sous sa nuisette. Elle lui répond d'une voix tendre :
-Je suis certaine que cela te plairait mon chéri de voir ça hein, avoue-le !
Paul rallume la lumière et dit en se penchant sur elle :
-Eh bien pourquoi pas, tu le fais bander, lui te fait mouiller alors, il faut franchir le pas mon amour !
En poussant un gros soupir, Fiona répond :
-N'allume pas la mèche, ne me demande pas ça, je t'en prie mon chéri !
Paul lui saisit la tête avec ses mains, et en la regardant droit dans les yeux lui dit :
-Tu en meurs d'envie, ta voix tremble lorsque l'on parle de lui, eh bien oui, je te le demande, fais-le avec lui ma chérie !
Fiona éclate en sanglot, puis répond en reniflant :
-Pourquoi que tu me tortures Paul, c'est immoral, inhumain ce que tu me demandes, tu veux me rendre folle !
Il lui lape les perles de rosées qui s'écoulent sur ses joues et répond avec douceur :
-Ma chérie, je ne veux que ton bonheur, je désire que tu t'épanouisses sexuellement, que tu prennes les jouissances que je ne peux plus te donner, je te l'ai déjà dit. Donc que ce soit avec ton fils ou nos amis. Nous sommes que de passage sur terre, profite tant que tu le peux, ne sois pas bête !
Fiona, en tremblant et en reniflant encore, répond :
-Mon chéri, tu te rends compte, tu me demandes de le faire avec notre fils, mais j'en mourais de honte, jamais, j'oserais !
Paul dépose un baiser appuyé sur ses lèvres et en soufflant doucement lui dit :
-Mais, tu as envie de lui ou pas !
Fiona répond en serrant son mari dans ses bras :
- Oui, non, je ne sais plus avec toi, tu me fais souffrir !
Paul commence à être agacé, en faisant une moue, ajoute :
-Mais si veux vraiment de lui, cela peut se faire en douceur, tu veux que je lui parle !
Fiona, irritée, hausse les épaules, et dit en tournant brusquement le dos à son mari :
-Fais ce que tu veux, je m'en moque, je n'ai plus ma tête, laisse-moi tranquille !
Paul se plaque contre elle, éteint la lumière et lui caresse doucement la cuisse. Sa main monte sous la nuisette, caresse les lobes fessiers et s'insère dans le large sillon, avec deux doigts, il taquine l'anus qui se met à frétiller, le muscle rectal, se souvient des multiples assauts qu'il a eus. Paul chuchote à l'oreille de sa femme :
-Ils t'en, bien déglinguaient nos amis ma chérie, pense au plaisir que le sexe peut encore t'apporter !
Fiona pousse un gros soupir et dit :
-Laisse-moi mon chéri, j'ai eu ma dose aujourd'hui, bonne nuit !
Fiona, épuisée par les nombreuses jouissances de la journée, s'endort comme une masse. Paul lui est songeur, il cogite quelque chose. Il a vu sa femme à l'œuvre, il sait maintenant qu'elle aime le sexe. Donc il lui en faut, ses amis ne sont toujours pas disponibles. Mais il a comme le dit si bien son fils, tout ce qu'il faut à la maison.
Le lendemain matin, Paul, c'est levé le premier et a préparé le petit déjeuner, acheté même des croissants. Il attend que Fiona et Hugo fassent leur apparition. Pendant ce temps, il lit son journal au salon, chaussé de grosses lunettes d'écailles. Enfin la grasse matinée prend fin, Hugo et le deuxième à se lever, comme toujours, c'est en boxer qu'il descend. Sa maman ne tarde pas à le suivre. Elle descend en s'étirant fortement et en bâillant. Son déhanchement naturel fait penser à un félin. Sa courte nuisette, dévoile ses longues jambes aux galbes quasi parfaits. La transparence du tissu cache mal sa nudité, on distingue nettement la toison qui se trouve sur le bas ventre. Et les mamelons qui appuient fortement sur le tissu comme pour le percer.
Sans se presser, elle descend les marches comme une star. Hugo salive, il est vrai que sa maman est une très belle femme. Et depuis qu'il l’a vue nue, il en est persuadé, il ne la quitte pas des yeux. Elle est souriante, et semble reposée, elle embrasse son fils et son mari, puis prend place à table. Le petit déjeuner se passe à merveille, Paul a beaucoup d'humour, il sait faire rire son petit monde. Puis Paul et Hugo vont s'assoir au salon, Paul reprend son journal et ses lunettes. Hugo lui prend une revue, et la feuillette.
Fiona débarrasse la table puis avant de se rendre dans la salle de bain, décide de s'assoir près de ses hommes. Elle prend place en face de son fils, et elle demande à son mari la rubrique mode qui se trouve dans le journal. Paul la lui tend et reprend sa lecture. Hugo, par-dessus sa revue, relooke les jambes de sa maman, sa nuisette et à mi-cuisses, dès qu'elle fait un mouvement, Hugo est aux premières loges. De temps en temps, Paul, en rajustant ses lunettes, donne un rapide coup d'œil vers son fils et le surprend à mater sa maman. Il sourit puis épie discrètement le duo.
Involontairement, elle ouvre les cuisses. Hugo écarquille les yeux, il voit la vulve que la veille, avait goûtée de la bite étrangère. Sa maman cachée derrière son journal ne peut voir son fils qui regarde son intimité. Lentement son boxer se déforme, il a posé sa revue et n'a que d'yeux pour le bas-ventre de sa maman. Il serre les dents, lorsqu'elle agite doucement son corps pour avoir une meilleure position, les grandes lèvres vaginales se frottent l'une contre l'autre. Cela provoque sur Hugo, une érection affreuse. Il ne peut s'empêcher de caresser la bosse monstrueuse qui gonfle encore sur son bas-ventre.
Paul sourit discrètement, il se dit si seulement sa femme pouvait voir le spectacle. Il commence à toussoter pour attirer son attention. Fiona lève la tête au-dessus de son journal, elle regarde son mari qui se racle encore plus fort la gorge. Il fait un signe de tête vers son fils. Fiona fronce les sourcils, elle ne comprend pas bien, elle pose le regard sur son fils. Elle écarquille les yeux et pose son journal. Hugo n'en peut plus, ses yeux brillent. Sa verge, emprisonnée dans le carcan de tissu, devient douloureuse. Il regarde sa maman, qui sans le vouloir, a les jambes largement ouvertes.
Il baisse brusquement son boxer, sa verge se détend comme un ressort et oscille un moment avant de se stabiliser sur son bas-ventre. Il la saisit et commence une masturbation brutale, sans quitter des yeux l'entrejambe de sa maman. Fiona est comme hypnotisée par le manche de chair que son fils agite rageusement. Ses yeux sont presque exorbités. Paul pose son journal et se lève, il s'approche de sa femme, lui prend la main et la pose sur sa chatte qui rejette son jus. Il fait en entrainant la main de sa femme, une caresse de bas en haut sur les grandes lèvres. Fiona ne semble pas réagir. Paul accélère, et lâche la main de sa femme, qui inconsciemment, continue de se frotter la vulve, sans quitter du regard le manche dressé fièrement comme un mât de cocagne.
Hugo est au bord de la syncope, il serre les dents, en décalottant son gland, à chaque descente, son poignet frappe fortement ses couilles. Sa maman respire bruyamment, sa main change de stratégie, ses doigts s'agrippent à son clito et le branle énergiquement. Paul regarde la main de sa femme, branler la boule de chair qui est devenue grosse comme une belle cerise. Soudain, c'est le feu d'artifice, Hugo envoie dans les airs plusieurs giclées de sperme, qui retombent lourdement sur son bas-ventre et ses doigts. C'est à ce moment que sa maman jouit en grognant comme un animal.
Paul, souriant, dépose un baiser sur les lèvres de sa femme en disant :
-Ma chérie, tu as fait le plus gros, maintenant passe l'étape supérieure, tu ne peux plus reculer !
Fiona reste un moment sans réagir, puis petit à petit reprend ses esprits, en disant :
-Mon Dieu, qu'est-ce que j'ai fait, je suis folle, Paul, oh mon Dieu, non, non !
Paul l'aide à se mettre debout, l'enlace et l'embrasse fougueusement, puis lui dit :
-Laisse-toi aller ma chérie, c'est l'appel des sens, n'arrête pas en si bon chemin !
Paul fait un signe discret à son fils qui s'approche, Paul se détache de sa femme, c'est Hugo qui avec douceur prend la place. Elle enlace sa maman, les deux se regardent intensément, leurs yeux sont pleins d'amour.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je me réjouis de voir la suite ma chère Linsee, j'adore tes histoires...
Cyrille
Cyrille
Je signale au lecteur qui a la nausée, l'épisode 6 et encore plus violent, je lui souhaite une bonne lecture LOL
La nausée