Mari impuissant 6
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Mari impuissant 6
Hugo plaque doucement son corps contre celui de sa maman, et agite doucement son bassin contre le sien. Fiona sent contre son ventre la bête énorme de son fils qui ne baisse pas la tête. Elle frémit, elle ne sait si elle soit le repousser, ou comme lui demande son mari de se faire prendre par lui. Elle a très envie, d'avoir dans son ventre cette queue large au gland monstrueux. Depuis qu'elle a renoué avec la bite, elle ne pense qu'à elle. Au diable les préjugés, son mari a raison, il faut en profiter.
Hugo fait glisser sur le ventre de sa maman son mandrin redoutable, elle se frotte contre en soufflant comme un dragon.
Hugo lentement lui remonte la nuisette, c'est maintenant contre le corps nu que sa verge coulisse. Le fils amoureux fléchit les genoux, il s'amuse à descendre et remonter son corps, en se frottant contre le ventre brûlant de sa maman. Son gland frotte à chaque passage sur les grandes lèvres gonflées de désir. Ce genre de traitement fait gémir la maman qui défaille de plus en plus. Elle ouvre le plus possible les jambes, en s'accrochant au cou de son fils pour ne pas chuter.
Elle lui offre sa vulve chargée de cyprine. Le liquide libéré, enduit la verge qui ne cesse de passer sur les lèvres très gonflées. Fiona fond, sa chatte est devenue une fontaine intarissable. Sans chercher si c'est bien ou mal, elle écrase les lèvres de son fils avec les siennes. Le baiser dure un long moment, Paul est en admiration devant tant d'ardeur.
Le coquin se place derrière sa femme, et lui caresse les fesses avec douceur, sa main descend lentement sur les demi-sphères bombées, passe entre les cuisses et atteint la vulve détrempée. Du bout des doigts, il touche la bite gorgée de sang de son fils qui ne cesse de monter et descendre sur la fente aux lèvres hyper gonflées. Paul et le plus heureux des hommes, il donne plusieurs baisers sur l'épaule et la nuque de Fiona, avant de se rassoir dans son fauteuil.
Plus Hugo s'agite, plus sa bite augmente en volume. Elle est devenue monstrueuse. Fiona sent contre son ventre la puissance de l'engin, elle ravale sa salive en déglutissant fortement. Les visages sont si près l'un de l'autre, que les souffles chauds se mêlent. Les mots qu'elle prononce, ressemblent à une supplication :
-Prends-moi mon chéri, je n'en peux plus !
Paul jubile, depuis le temps qu'il attendait ce moment, il bafouille en encourageant son fils :
-Vas-y fiston, baise bien ta maman, puisqu'elle te le demande, vas-y !
Délicatement, il aide sa maman à s'allonger sur la table. Elle semble dans un état second, elle regarde l'engin qui de temps en temps à des soubresauts. Elle redit :
-Prends-moi mon chéri, prends-moi !
Elle ouvre les jambes, en ne quittant pas des yeux le mandrin redoutable, qu'elle veut absolument dans son ventre. Hugo se place entre les cuisses de sa maman, les préliminaires ne sont pas nécessaires vu l'état de sa maman. Il pose son membre contre la vulve gonflée et en s'accrochant à ses hanches, pousse doucement.
La verge, puissante, s'enfonce lentement dans la gaine qui se dilate pendant la pénétration. C'est un peu douloureux, mais pour Fiona, c'est le summum du bonheur. Elle subit la puissance du membre en gémissant de plaisir. Elle serre son fils dans ses bras, en cherchant ses lèvres.
Paul regarde le couple soudé, il se demande comment sa femme peut recevoir un tel engin dans le ventre, et en éprouver du plaisir. C'est la première fois qu'un diamètre aussi important lui pénètre le vagin, il est émerveillé. Fiona souffle comme un bœuf, elle la veut totalement en elle la queue de son fils, elle dit entre deux souffles :
-Oui, oui, mon chéri, va à fond, oui à fond, oh, je te veux tout en moi !
Le gland monstrueux atteint enfin son objectif, il bute contre le col de l'utérus, comme pour le pénétrer. Fiona se cabre, elle commence à agiter son bassin. Bien que dilatée, elle gémit de plaisir en s'arc-boutant. Les coups de reins de son fils sont terribles et dévastateurs. L'énormité, fortement veinée, voyage dans son ventre en prenant de la vitesse. Les râles de la maman sont ceux d'une agonisante. Le va-et-vient incessant porte ses fruits, Fiona pousse un long râle en jouissant puissamment. Hugo accélère, comme un enragé, redouble ses coups de reins. Le résultat ne se fait pas attendre. Il remplit de semence le ventre de sa maman, qui halète comme un animal blessé.
Paul encourage les amants :
-Encore mes amours, encore, j'adore vous voir vous aimer !
Hugo retire sa massue du ventre de sa maman, et s'allonge sur le sol. Paul se penche pour voir les dégâts causés sur la chatte de sa femme, il se pince les lèvres. Le trou est béant, il laisse échapper le surplus de semence. Il ne peut s'empêcher de dire :
-Oh ma chérie comme il t'a arrangé notre petit voyou, c'est merveilleux de voir ça, vas-y chevauche-le maintenant ma chérie, vide-le de son sperme !
Péniblement, Fiona enjambe son fils, c'est son mari qui dirige la bite de son fils vers le trou bien ouvert. Lentement Fiona descend son corps, elle grimace un peu en soufflant. Le mastodonte retrouve sa place dans l'antre brûlant. Hugo tire sur les hanches de sa maman en donnant un coup de reins. Fiona pousse un gémissement, la pénétration est totale. Elle attend un peu, avant de faire l'ascenseur sur le pal énorme. Elle prend appuie sur le torse de son fils et accélère le rythme. La coquine sait manier l'art de l'ascenseur, elle geint de plus en plus fort. Elle ne peut retenir :
-Oh, c'est bon, c'est bon !
À chaque descente de son corps sur le pieu de chair, Hugo donne un grand coup de reins. Sa maman sursaute en poussant un râle rauque. Paul n'en croit pas ses yeux, il admire l'ardeur que met sa femme sur le mandrin gigantesque. Hugo cri :
-Papa, papa, va chercher un truc dans le bac aux légumes et plante-le dans le cul de maman, comme elle est là, il lui faut la totale, vas-y papa !
Paul revient en brandissant un concombre, Hugo sursaute en voyant l'engin :
-Oui, c'est bien ça papa, maman va adorer !
Fiona regarde le concombre sans sourciller, excitée comme elle est, elle n'a peur de rien. Hugo plaque sa maman sur son torse. Paul crache sur l'anus de sa femme, et sur le légume qu'il enduit de salive. Il le présente à la petite porte et pousse. Fiona serre les dents, grimace.
Lentement, l'anus forcé ne peut qu'accepter l'intrus. Dilatée terriblement, Fiona croit que son rectum va se déchirer, mais elle est tellement excitée, qu'elle veut subir la double pénétration, aussi pénible soit-elle. Progressivement le concombre s'enfonce dans ses entrailles, elle a l'impression que la bite et le légume sont dans le même orifice.
Paul cesse de pousser, il juge que la bite factice est assez, enfoncez, plus serait délicat. Les trois restent un moment sans faire de mouvements. C'est Fiona qui donne la cadence. Elle reprend l'escalade de la verge de son fils en poussant des gémissements. Paul, de son côté, fait faire un va-et-vient bien dosé au concombre. Prise par deux pistons, Fiona défaille. Elle devient hystérique, son bassin ondule rapidement. Ses gémissements bruyants sont entrecoupés de :
-Oui, oh mon Dieu, je vais mourir, Paul ne me ménage pas, enfonce encore le concombre, oui, oui, mon chéri, je meurs, oh putain, oh putain !
Fiona, en se cabrant comme un cheval qui rue, Jouit en hurlant son plaisir, c'est terrible, son corps se met à trembler, elle a plusieurs orgasmes à la suite. Son fils lui offre enfin son sperme. Elle se laisse tomber sur le corps de son fils et amant à la fois. Paul attend un instant avant de retirer le légume.
Avec difficultés, Fiona se désaccouple, ses trous sont dévastés et douloureux. Elle a encore la force de saisir le monstre qui l'a fait jouir.
Elle sent les pulsions du sang dans les veines, cela la motive. Elle décalotte totalement le gland et ouvre la bouche, c'est avec peine qu'elle parvient à engloutir le chapeau monstrueux. Elle le suce et le tète jusqu'à ce que son fils lui remplisse la bouche de son jus précieux. Elle repousse le cèpe énorme, et avale le sperme en regardant son mari, qui lui dit amoureusement :
-Oh ma chérie comme tu te donnes, c'est merveilleux de te voir jouir, moi, j'ai eu une demi-érection, et j'ai joui dans mon pantalon, c'est magnifique, merci, merci mon amour !
Fiona a complétement changé, elle est devenue si accro au sexe, qu'elle ne peut plus s'en passer. Très, très souvent, Hugo lui travaille la chatte et le cul. Le samedi, c'est Éric, Marc et Louise qui prennent la relève.
Hugo fait glisser sur le ventre de sa maman son mandrin redoutable, elle se frotte contre en soufflant comme un dragon.
Hugo lentement lui remonte la nuisette, c'est maintenant contre le corps nu que sa verge coulisse. Le fils amoureux fléchit les genoux, il s'amuse à descendre et remonter son corps, en se frottant contre le ventre brûlant de sa maman. Son gland frotte à chaque passage sur les grandes lèvres gonflées de désir. Ce genre de traitement fait gémir la maman qui défaille de plus en plus. Elle ouvre le plus possible les jambes, en s'accrochant au cou de son fils pour ne pas chuter.
Elle lui offre sa vulve chargée de cyprine. Le liquide libéré, enduit la verge qui ne cesse de passer sur les lèvres très gonflées. Fiona fond, sa chatte est devenue une fontaine intarissable. Sans chercher si c'est bien ou mal, elle écrase les lèvres de son fils avec les siennes. Le baiser dure un long moment, Paul est en admiration devant tant d'ardeur.
Le coquin se place derrière sa femme, et lui caresse les fesses avec douceur, sa main descend lentement sur les demi-sphères bombées, passe entre les cuisses et atteint la vulve détrempée. Du bout des doigts, il touche la bite gorgée de sang de son fils qui ne cesse de monter et descendre sur la fente aux lèvres hyper gonflées. Paul et le plus heureux des hommes, il donne plusieurs baisers sur l'épaule et la nuque de Fiona, avant de se rassoir dans son fauteuil.
Plus Hugo s'agite, plus sa bite augmente en volume. Elle est devenue monstrueuse. Fiona sent contre son ventre la puissance de l'engin, elle ravale sa salive en déglutissant fortement. Les visages sont si près l'un de l'autre, que les souffles chauds se mêlent. Les mots qu'elle prononce, ressemblent à une supplication :
-Prends-moi mon chéri, je n'en peux plus !
Paul jubile, depuis le temps qu'il attendait ce moment, il bafouille en encourageant son fils :
-Vas-y fiston, baise bien ta maman, puisqu'elle te le demande, vas-y !
Délicatement, il aide sa maman à s'allonger sur la table. Elle semble dans un état second, elle regarde l'engin qui de temps en temps à des soubresauts. Elle redit :
-Prends-moi mon chéri, prends-moi !
Elle ouvre les jambes, en ne quittant pas des yeux le mandrin redoutable, qu'elle veut absolument dans son ventre. Hugo se place entre les cuisses de sa maman, les préliminaires ne sont pas nécessaires vu l'état de sa maman. Il pose son membre contre la vulve gonflée et en s'accrochant à ses hanches, pousse doucement.
La verge, puissante, s'enfonce lentement dans la gaine qui se dilate pendant la pénétration. C'est un peu douloureux, mais pour Fiona, c'est le summum du bonheur. Elle subit la puissance du membre en gémissant de plaisir. Elle serre son fils dans ses bras, en cherchant ses lèvres.
Paul regarde le couple soudé, il se demande comment sa femme peut recevoir un tel engin dans le ventre, et en éprouver du plaisir. C'est la première fois qu'un diamètre aussi important lui pénètre le vagin, il est émerveillé. Fiona souffle comme un bœuf, elle la veut totalement en elle la queue de son fils, elle dit entre deux souffles :
-Oui, oui, mon chéri, va à fond, oui à fond, oh, je te veux tout en moi !
Le gland monstrueux atteint enfin son objectif, il bute contre le col de l'utérus, comme pour le pénétrer. Fiona se cabre, elle commence à agiter son bassin. Bien que dilatée, elle gémit de plaisir en s'arc-boutant. Les coups de reins de son fils sont terribles et dévastateurs. L'énormité, fortement veinée, voyage dans son ventre en prenant de la vitesse. Les râles de la maman sont ceux d'une agonisante. Le va-et-vient incessant porte ses fruits, Fiona pousse un long râle en jouissant puissamment. Hugo accélère, comme un enragé, redouble ses coups de reins. Le résultat ne se fait pas attendre. Il remplit de semence le ventre de sa maman, qui halète comme un animal blessé.
Paul encourage les amants :
-Encore mes amours, encore, j'adore vous voir vous aimer !
Hugo retire sa massue du ventre de sa maman, et s'allonge sur le sol. Paul se penche pour voir les dégâts causés sur la chatte de sa femme, il se pince les lèvres. Le trou est béant, il laisse échapper le surplus de semence. Il ne peut s'empêcher de dire :
-Oh ma chérie comme il t'a arrangé notre petit voyou, c'est merveilleux de voir ça, vas-y chevauche-le maintenant ma chérie, vide-le de son sperme !
Péniblement, Fiona enjambe son fils, c'est son mari qui dirige la bite de son fils vers le trou bien ouvert. Lentement Fiona descend son corps, elle grimace un peu en soufflant. Le mastodonte retrouve sa place dans l'antre brûlant. Hugo tire sur les hanches de sa maman en donnant un coup de reins. Fiona pousse un gémissement, la pénétration est totale. Elle attend un peu, avant de faire l'ascenseur sur le pal énorme. Elle prend appuie sur le torse de son fils et accélère le rythme. La coquine sait manier l'art de l'ascenseur, elle geint de plus en plus fort. Elle ne peut retenir :
-Oh, c'est bon, c'est bon !
À chaque descente de son corps sur le pieu de chair, Hugo donne un grand coup de reins. Sa maman sursaute en poussant un râle rauque. Paul n'en croit pas ses yeux, il admire l'ardeur que met sa femme sur le mandrin gigantesque. Hugo cri :
-Papa, papa, va chercher un truc dans le bac aux légumes et plante-le dans le cul de maman, comme elle est là, il lui faut la totale, vas-y papa !
Paul revient en brandissant un concombre, Hugo sursaute en voyant l'engin :
-Oui, c'est bien ça papa, maman va adorer !
Fiona regarde le concombre sans sourciller, excitée comme elle est, elle n'a peur de rien. Hugo plaque sa maman sur son torse. Paul crache sur l'anus de sa femme, et sur le légume qu'il enduit de salive. Il le présente à la petite porte et pousse. Fiona serre les dents, grimace.
Lentement, l'anus forcé ne peut qu'accepter l'intrus. Dilatée terriblement, Fiona croit que son rectum va se déchirer, mais elle est tellement excitée, qu'elle veut subir la double pénétration, aussi pénible soit-elle. Progressivement le concombre s'enfonce dans ses entrailles, elle a l'impression que la bite et le légume sont dans le même orifice.
Paul cesse de pousser, il juge que la bite factice est assez, enfoncez, plus serait délicat. Les trois restent un moment sans faire de mouvements. C'est Fiona qui donne la cadence. Elle reprend l'escalade de la verge de son fils en poussant des gémissements. Paul, de son côté, fait faire un va-et-vient bien dosé au concombre. Prise par deux pistons, Fiona défaille. Elle devient hystérique, son bassin ondule rapidement. Ses gémissements bruyants sont entrecoupés de :
-Oui, oh mon Dieu, je vais mourir, Paul ne me ménage pas, enfonce encore le concombre, oui, oui, mon chéri, je meurs, oh putain, oh putain !
Fiona, en se cabrant comme un cheval qui rue, Jouit en hurlant son plaisir, c'est terrible, son corps se met à trembler, elle a plusieurs orgasmes à la suite. Son fils lui offre enfin son sperme. Elle se laisse tomber sur le corps de son fils et amant à la fois. Paul attend un instant avant de retirer le légume.
Avec difficultés, Fiona se désaccouple, ses trous sont dévastés et douloureux. Elle a encore la force de saisir le monstre qui l'a fait jouir.
Elle sent les pulsions du sang dans les veines, cela la motive. Elle décalotte totalement le gland et ouvre la bouche, c'est avec peine qu'elle parvient à engloutir le chapeau monstrueux. Elle le suce et le tète jusqu'à ce que son fils lui remplisse la bouche de son jus précieux. Elle repousse le cèpe énorme, et avale le sperme en regardant son mari, qui lui dit amoureusement :
-Oh ma chérie comme tu te donnes, c'est merveilleux de te voir jouir, moi, j'ai eu une demi-érection, et j'ai joui dans mon pantalon, c'est magnifique, merci, merci mon amour !
Fiona a complétement changé, elle est devenue si accro au sexe, qu'elle ne peut plus s'en passer. Très, très souvent, Hugo lui travaille la chatte et le cul. Le samedi, c'est Éric, Marc et Louise qui prennent la relève.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aurai aimé que l'histoire se fasse entre un neveu et sa tante, " moins choquant " que mère - fils....
Mais récit excitant...
Lolo
Mais récit excitant...
Lolo
C'est le but recherché
J'ai bandé tout le long de la lecture, ton texte est réussi...
Cyrille
Cyrille