Maria 2 : une deuxième femme

- Par l'auteur HDS Yan Loutort -
Auteur homme.
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Récit libertin : Maria 2 : une deuxième femme Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Maria 2 : une deuxième femme
Maria et Hélène
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De retour à la maison je fais un peu le tour de ce qui est resté en suspend depuis le matin. Apparemment pas d’appels ni de courrier, je profite du passage pour vider l’appareil photo sur mon PC, laissant ainsi de la place pour prendre d’autres clichés. Puisque je dois y retourner ce soir, je me dis que je vais emmener le portable pour lui faire un diaporama. J’en profite pour ajouter les photos récupérées sur Internet. Photos de vielles femmes dans des situations érotiques voire pornographiques. Je passe dire bonjour à la famille et signaler que j’ai réunion ce soir. Pas de commentaires… Ayant justement un rendez-vous en début de soirée, je m’y rends afin de dégager mon temps. C’est vendredi je finis souvent tard, ce qui me laisse de la marge.
Vers dix neuf heures trente, je retourne chez ma « vieille » maîtresse, me demandant dans quelles dispositions je vais la retrouver après qu’elle ait un peu repris ses esprits. Après tout, j’en ai bien profité et si elle ne veut plus continuer ce ne sera pas bien grave.
En arrivant chez elle, la nuit est tombée. Les lumières sont allumées et de la musique sort par la fenêtre. Je sonne et surprise ! Ce n’est pas la maîtresse de maison qui vient ouvrir, mais une dame que je ne connais pas !
• « Bonsoir madame, je me présente, j’ai rendez-vous avec Mme M.
• Entrez ! Elle est dans sa chambre et m’a demandé de vous accueillir
• Elle n’est pas souffrante au moins ?
• Non ! Non ! Elle se prépare. Elle en a pour quelques instants
• Je ne voudrais pas vous déranger, dis-je, je peux repasser
• Pas du tout ! Nous vous attendions ! »
J’entre donc dans le salon que je connais bien maintenant. J’aperçois sur la table que trois couverts son mis, ce qui laisse supposer que la dame qui m’a accueilli dîne avec nous.
La conversation n’est pas facile à lancer, heureusement la dame qui a l’air d’avoir ses habitudes dans la maison, me propose de prendre un verre.
• « Maria m’a dit que vous dîniez avec nous !
• Oui, elle m’a invité suite à ma visite de ce matin concernant le journal …
• Elle m’a parlé de votre visite »
Je reste un peu interloqué, en me demandant ce qu’elle a pu lui dire et jusqu’à quel point !
• « C’est vrai que son défunt mari – que je n’ai pas connu – devait être un homme remarquable »
Je me dis qu’elle n’a peut-être parlé que de cet aspect de ma visite
• "Effectivement, il a bien œuvré au niveau associatif et c’est pour cela que mon journal s’y intéresse. Mais, vous-même, vous ne connaissez Mme M. que depuis peu de temps ?
• Oui, je l’ai rencontrée en faisant de la marche, il y a un mois de cela, nous avons sympathisé. Je suis passé voir si elle voulait marcher dimanche avec nous. Comme elle préparait le repas, elle m’a dit que vous veniez, j’ai voulu partir mais elle m’a invitée à rester. » Je me dis que elle a trouvé un prétexte pour que nous ne soyons pas seuls tous les deux et me faire comprendre que l’intermède matinal, n’était qu’un… intermède.
Nous parlons un moment de choses et d’autres, j’apprends que la dame habite une petite maison où elle loge chichement après avoir été hébergée par des amis anglais. Elle a vécu vingt ans en Allemagne et son ami l’a quittée il y a quelques mois. Physiquement elle est plutôt quelconque. Il faut dire que ses vêtements ne font rien pour la mettre en valeur : Gros tricot sans formes, pantalon d’homme, chaussures de marche, coiffure ébouriffée poivre et sel. La dame n’a pas trop de moyens ou ne cherche pas à s’entretenir. Elle conserve malgré tout un regard vif et semble enjouée.
Je suis en train de parler de je ne sais plus quoi, histoire de meubler, lorsque je vois le regard de mon interlocutrice se figer sur un point derrière moi. Elle reste bouche bée, puis se levant s’écrie : « Ma chérie mais tu es superbe ! »
L’avantage de ma situation est que j’ai pu préparer ma réaction le temps qu’elle s’approche de notre table. La dame, qui m’a dit s’appeler Hélène, la prend dans ses bras et l’embrasse chaleureusement. Le contraste est frappant entre les deux amies. L’une pas très bien habillée quant à Maria, elle a revêtu un ensemble en cuir noir, composé d’une jupe longue ouverte sur le côté et un gilet, qu’elle porte sur un chemisier lui aussi noir. L’échancrure laisse entrevoir le sillon profond entre ses seins. Elle doit porter un soutien gorge de la même couleur qui relève son opulente poitrine la rendant plus pigeonnante. Elle s’est aussi légèrement maquillée et peignée. Aux pieds, elle porte des escarpins noirs à talon haut. Elle est vraiment superbe et paraît dix ans de moins. Il est vrai que quand je l’ai quittée, elle était quelque peu fatiguée.
• « Vous avez fait connaissance ? » Lance-t-elle en arrivant.
• « Oui, dis-je, Hélène m’a dit comment vous vous étiez rencontrées et nous parlions de votre passion commune pour les fleurs.
• Jean m’a dit qu’il connaissait bien l’informatique et il viendra voir l’ordinateur que m’a laissé Günter.
• C’est un Mac et je ne connais pas bien, mais je verrais »
Maria n’a pas l’air enchantée que j’aille voir l’ordinateur de son amie, une légère crispation de ses lèvres s’est manifestée. Serait-elle jalouse ? Pourtant, en les voyant les deux il n’y a pas photo, même si Hélène doit avoir dans les dix ans de moins qu’elle. La situation m’amuse bien, mais il ne faudrait pas que ma vieille, maîtresse soit trop possessive. Nous passons à table et profitant du mouvement, je passe discrètement ma main derrière Maria pour effleurer sa croupe.

Une fois installés et servis, je cherche avec mon pied sous la table, la jambe de Maria. Un petit coup d’œil vers moi et la pression de son pied me font savoir son accord. La discussion est agréable et surtout alimentée par Hélène qui babille avec beaucoup de faconde. La maligne en profite pour discrètement caresser ma jambe de son pied. Je me retrouve donc les deux jambes occupées par les deux femmes, chacune ignorant bien sûr ce que fait l’autre.
Hélène est volubile et il faut dire que je suis plutôt captivé par le décolleté profond de Maria que par le discours de son amie. Hélène s’en rend compte et tout à coup déclare.
• « Mais dis donc ma chérie, tu as ensorcelé ton invité ! Je n’arrête pas de lui faire du pied sous la table et il ne regarde que toi ! »
Je suis plutôt gêné par la sortie de la dame, Maria, surprise aussi, retire prestement sa jambe comme si son amie pouvait la voir. Nous restons les deux muets.
• «  Je crois que la vue de ta poitrine est plus tentante que mon tricot qui remonte en haut du cou, je vais nous mettre sur un pied d’égalité »
Elle attrape son vêtement par le bas et l’enlève par la tête. Elle se retrouve torse nu, ne portant pas de soutien gorge. Sa poitrine est moins forte que celle de Maria, mais malgré tout bien proportionnée, avec des seins pointus. La peau est entièrement bronzée preuve que la dame est une adepte des seins nus à la plage. Toujours interloqués nous fixons Hélène, qui se redresse et paraît fière de l’effet produit. Sentant qu’elle mène la situation à présent elle continue ses provocations. Elle se lève et s’approchant de Maria vient l’embrasser sur la bouche tout en lui prenant un sein qu’elle malaxe. Celle-ci ne bronche pas mais je ne sais si elle rend son baiser à la goule.
Après quelques instants, Hélène se redresse et proclame :
- " Il y a longtemps que j’en avais envie ! Je crois que notre spectacle a émoustillé ton invité, mais attends ! »
Elle passe derrière la chaise, passe ses bras autour de Maria, écarte le gilet de cuir et attrapant les seins entre ses mains, les masse en les remontant. Découvrant l’agrafe entre les bonnets elle la défait dévoilant les seins lourds et laiteux. L’ambiance est torride et silencieuse. Maria me fixe intensément comme pour chercher mon appui ou ma réprobation. L’autre joui de la situation qu’elle a provoquée. Devant mon silence, Maria laisse aller sa tête en arrière contre la poitrine de son amie, abandonnée à ses caresses sensuelles. La brune en profite pour se pencher et l’embrasser à nouveau sans lâcher les seins qu’elle triture.
• " Ça te plais jeune homme ? Voir deux gouines en action !
• Je trouve ça très beau et j’aimerais vous prendre en photo
• Voyez vous ce petit vicieux ! Mais je ne sais si notre hôtesse voudra »
Il est vrai que le spectacle a de quoi plaire et, ce que ne sais pas Hélène, c’est que j’ai déjà une collection de photos de Maria dans des poses plus érotiques. Je pense aussi qu’il est temps de prendre l’initiative. Je vais prendre mon appareil et tire quelques clichés.
• "Je suis sûre que tu aimerais en voir davantage. Attends, tu ne seras pas déçu »
Elle se recule un peu et entreprend d’enlever son pantalon pour se dénuder complètement. Profitant que la place est libre, je m’approche de Maria et l’embrasse en lui caressant les seins. Elle prend ma tête entre ses mains et me rend un baiser passionné. Entre deux baisers elle me glisse tout doucement
• "C’est la première fois, avec une femme »
Notre compagne est revenue et s’attaque à la jupe en cuir qu’elle dégrafe, libérant le bas ventre de Maria. Un sifflement admiratif me fait retourner voir ce qui le motive. Hélène a découvert des bas retenus par un porte-jarretelles du plus bel effet et surtout le pubis rasé de Maria, qui n’avait pas mis de culotte. Tournant la chaise Hélène se met à genoux et engouffre son visage entre la fourche des cuisses, confirmant son goût pour les amours saphiques. Maria à l’air d’apprécier la caresse de la langue fureteuse sur sa moule, car ses baisers et étreintes se font plus passionnés tout d’abord. Ensuite, elle se laisse aller doucement dans son rêve. Profitant de ce moment, je me débarrasse de mes vêtements et approchant ma bite du visage de Maria, je pose mon gland sur ses lèvres, sans hésiter, elle gobe mon sexe et le pompe ardemment. Léchée et branlée par Hélène elle transmet à mon sexe les sensations ressenties. Je suis bandé à bloc et le spectacle de la brune la tête enfouie entre les cuisses de Maria, la croupe bien haute, me donne des envies. Je me retire de la bouche de Maria, qui peut s’abandonner complètement à son plaisir, je contourne le couple. J’en profite pour prendre quelques photos supplémentaires qui je dois dire, sont particulièrement excitantes.
Je me positionne derrière Hélène et guidant ma verge dans son antre je la pénètre en douceur. La combinaison de son léchage et de mes pénétrations augmente le plaisir apporté de Maria qui jouit rapidement sans qu’Hélène n’arrête sa succion. La croupe brune de celle-ci me dévoile un œillet qui semble bien dégagé, symptôme sûrement d’habitudes sodomites. Je mouille deux doigts et graisse le petit trou. Le premier rentre sans problème, et le second suit rapidement la voie. Je tourne les deux dans l’orifice pour bien l’ouvrir, puis, je viens placer ma verge qui s’enfonce sans problème dans l’étroit conduit de la femme. La garce se redresse et annonce dans un râle « - Le salaud ! Il m’encule ! » avant de reprendre son ouvrage. La réflexion de la goule fait ouvrir les yeux de Maria qui se rend compte du spectacle. Elle plaque alors de ses mains le visage d’Hélène contre son vagin et éclate dans un dernier spasme. Ma monture glisse une main entre ses cuisses et branle son clitoris pendant que je la lime. Elle contracte ses sphincters et me « pompe » littéralement. Accroché à ses hanches, je me vide dans son rectum avec des « han » de bûcheron.
Quelques instants de calme pendant lesquels je laisse ma verge se rétracter dans le conduit secret tout en continuant à aller et venir afin de permettre à Hélène d’arriver à son plaisir et qui continue à grands coups de langue d’avaler la mouille de son amie. On se sépare enfin et alors que Hélène et moi restons à terre, Maria nous rejoint, embrassant la femme, puis venant vers moi, me dit :
• "Voyou ! Vous me faites déjà cocue !
• Parce que vous deux, vous avez … s’étonne Hélène
• Depuis ce matin dis-je.
• Décidément, tu me surprends drôlement dit-elle, tu aimes les femmes, et tu as un amant ! Moi qui te croyais prude !
• C’est la faute de... Monsieur répond Maria.
• Parce que vous vous vouvoyez ! Rigole Hélène
• Je ... Je n’ai pas l’habitude dit Maria en rougissant
• L’habitude de tutoyer les inconnus, continue l’autre, que la situation amuse, mais vous n’êtes plus trop inconnus l’un pour l’autre !
• Oh ! mais je ... ne sais … même pas … votre prénom, me dit alors Maria, l’air désolé.
• Alors là Hélène est Hilare ! Alors tu baises avec un mec et tu ne connais pas son nom ?
• Son nom, oui ! Pardonnez-moi s’il vous plaît, quel est votre prénom ?
• Jean, ma chère Maria, montrant que moi je connais le sien, mais j’adore votre vouvoiement, je trouve même un certain piment à cela !
• Et bien Jean, je dois dire que je ne sais pas comment faire mais si vous le voulez le continuerai à vouvoyer.
• Bien sûr ! comme je vous le dis, cela donne une note d’interdit, de la chose cachée, et puis vous demander : Maria, voulez vous que je vous encule ! ça a quelque chose d’excitant !
• Je vous répondrai, mais oui, mon cher, baisez moi, mettez moi votre pine au cul ! prenez-moi comme une chienne ! et toi, ma salope d’Hélène, viens que je te lèche la moule comme tu me l’as si bien fait ! Mais allons sur mon lit nous y serons mieux !»
Nous rions tous les trois et prenant chaque femme par la taille je passe dans la chambre dont le lit est bien assez grand pour nous recevoir. Les deux femelles me prennent en sandwich pour me caresser et me redonner vigueur, il faut dire que j’ai quand même pas mal donné depuis ce matin. Elles n’oublient pas non plus de se caresser et s’exciter mutuellement. Ça sent le foutre et les corps en chaleur. Maria avec ses bas noirs et son porte-jarretelles sur sa peau laiteuse, est vraiment déchaînée. Le repos de la fin de soirée et le cunnilingus d’Hélène l’ont mise en appétit.
• "Ma chérie, écarte tes cuisses je veux te manger toute crue ! Et vous mon chéri occupez vous de mes fesses ! »
Le message a le mérite d’être clair. La brune se révèle très souple, passant ses jambes derrière les bras et la tête et dévoilant son sexe largement. Maria plonge dans son antre avec délectation écartant les grandes lèvres afin que sa langue accède directement au clitoris. Sa croupe énorme se redresse, encadrée par la lingerie noire. Je ne peux m’empêcher de claquer trois ou quatre fois ses fesses somptueuses. Les grognements que j’entends ne sont pas de douleur ni de refus et je me dis que je peux insister et bien rougir son cul. Je commence doucement par bien rosir toute la surface de ses fesses, puis, lorsque sa lune a bien changé de couleur, j’augmente la cadence et la puissance de mes coups. Maria se plaint un peu mais ne cherche pas à éviter la volée de claques, quand à Hélène, son sourire montre qu’elle apprécie la fessée donnée à celle qui est en train de lui bouffer la chatte.
Ma main, comme les fesses sûrement, commence à devenir douloureuse. Je pense que puisqu’elle apprécie ce traitement, je devrais prévoir un instrument pour la prochaine fois, pour l’instant, je me mets derrière Maria, je m’agrippe à ses hanches et je la pénètre. Mes mains posées sur les fesses peuvent témoigner de la chaleur de celles-ci. J’y croche les doigts pour ajouter un peu à sa douleur, à la crispation de son corps je vois qu’elle souffre mais elle ne se plaint pas. La moiteur de sa chatte et sa mouille laisse même à penser qu’elle aime son traitement, ouvrant là, des perspectives intéressantes.
Je lime longuement son con en feu, titillant même son œillet d’un ou deux doigts, mais avec ce que j’ai donné depuis le matin je n’éjacule rien, atteignant tout de même une sorte de plaisir « sec » Et là, la femme montre sa supériorité en jouissant une nouvelle fois, le cri étouffé dans la cramouille de sa partenaire qui elle aussi prend son pied en criant. Je m’écroule sur son dos, m’endormant d’un coup après tous ces efforts. Je me réveille plus tard, apercevant sur la table de nuit qu’il est plus de minuit et qu’il faudrait songer à rentrer, malgré le moment agréable.
Le miroir dans la salle d’eau me renvoie une tête de déterré. Alors que les deux femmes restent dans le lit je prends rapidement une douche réparatrice.
A mon retour, je les trouve enlacées et endormies. En partant le laisse un mot sur la table leur proposant une balade pour le lendemain. Je propose de passer vers 11 heures et je laisse mon numéro de portable, puis en voyant sur la table de la cuisine un sachet de carottes, j’en prends deux et revenant dans la chambre, je caresse les deux femmes avec, introduisant dans leur chatte une carotte. Une dernière photo et sur cette dernière « plaisanterie » je m’en vais.

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