Maria 5 : Le début d'un idyle
Récit érotique écrit par Yan Loutort [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 103 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Yan Loutort ont reçu un total de 642 679 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 792 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Maria 5 : Le début d'un idyle
Nous rentrions donc de la plage et de nos achats. Arrivant à la ferme silencieuse, la moto devant la porte indique que Maria et Emmanuel étaient dans la propriété. Plus surprenant, entre la moto et l’entrée gisent par terre, la robe de plage de Maria, un jean, un maillot ! Nos deux amoureux avaient l’air pressé en arrivant !
Profitant du calme relatif et avant de préparer le repas du soir, nous décidons de prendre une douche. Aucun ne voulant rester seul nous la prenons tous les trois, mais sans dériver vers des débauches sexuelles, une pause salutaire, où, simplement nous nous savonnons mutuellement et nous rinçons.
En sortant, nous enfilons même des vêtements légers. Jeremy et moi préparons le barbecue, pendant que Valérie se charge des entrées et de mettre le couvert. Absorbés par l’allumage, c’est la voix de Valérie qui attire notre attention :
• "Eh bien ma chérie ! Tu verrais ta tête ! Il t’a secouée ton jeune amant !
• Je suis crevée ! » répond Maria. Nous approchons tous les trois d’elle, comme pour la réconforter. Elle est restée nue, son corps marqué par les lèvres de son jeune amant. Elle passe ses bras autour de mon cou en m’embrassant tendrement, puis murmure, « Il est monté comme … • Un taureau ?
• Ou… Oui, Oh ! Excusez-moi, je vous ai déjà trompé ! Me lance-t-elle • Mais ce n’est rien ma chérie, l’important c’est que vous soyez heureuse.
• Oh oui, il m’a… prise 6 fois, dans toutes les positions, par tous les bouts j’ai mal partout !
• En bien ma chère, dit Jeremy, votre cure de sexe continue de plus belle! » • Je n’en reviens pas ! je suis morte ! Vous savez, ça a commencé dès la descente de moto !
• Oui nous avons trouvé les habits par terre dit Valérie • C’est vrai ! Oh ! Je suis confuse !
• Il n’y a pas de quoi, voyons !
• Tout de même, qu’allez-vous penser de nous ?
• Que vous-vous éclatez et c’est très bien !
• Il m’a prise…. Debout contre la porte, c’est fou ! Il a jouit très vite • A son âge ça arrive.
• Oui, mais moi aussi j’ai joui comme une folle !
• Eh bien !
• Mais attendez, une fois entrés, en montant l’escalier, il m’a prise par derrière, sur les marches !
• Par derrière ?
• Oui, mais …normalement…enfin... vous comprenez ?
• Bien sûr ! c’était pour vous taquiner • Méchant que vous êtes, vous vous moquez !
• Mais non, chérie, j’adore vous voir rougir !
• Je vous déteste, ajoute-t-elle mais son sourire prouve le contraire. Enfin bref, il m’a épuisée !
• Maintenant c’est lui qui l‘est ! ajoute Valérie en riant.
• Oui le pauvre chéri il faut dire qu’il a beaucoup donné ! Bon, moi je vais prendre une douche, je peux ?
• Bien sûr, répond Valérie, vous voulez que je vous aide ?
• Coquine ! lui dit son mari, allez-y nous allons finir de préparer.
Les deux femmes s’éloignent sous nos regards gourmands, mais pour l’instant, nous avons autre chose à faire. Comme le temps est superbe, nous dressons la table sur la terrasse, une fois fini, Jeremy sert l’apéritif et nous discutons tous les deux de cette journée vraiment particulière. Les femmes reviennent après la douche, main dans la main habillées ou plutôt drapées dans des paréos noués au dessus de la poitrine et dégageant les épaules, parfumées et maquillées, elles sont superbes et bien entendu nous-nous levons pour embrasser et enlacer nos femmes !
• " Doucement dit tout de même Valérie, vous aller nous chiffonner, un peu de patience ! un dernier verre en compagnie de nos femmes et nous passons à table.
La fin du repas approche lorsque Emmanuel arrive. L’air un peu hagard, il récupère ses habits car il est encore nu, au passage, sa verge au repos reste impressionnante, C’est vrai que Maria a dû se régaler !
• « Maria, je peux vous parler ?
• Bien sûr ! » elle se lève et s’éloigne avec son jeune amant. Lui signifie-t-il qu’il est content mais ne veut plus la voir ? Le visage de notre amie semble triste. Puis ils s’enlacent et échangent un baiser passionné qui s’éternise.
Ils se séparent enfin et Emmanuel repart sur sa moto, Maria revient vers nous toute pensive, l’air un peu triste, elle s’assoit et termine son dessert sans dire un mot. Nous la laissons un peu tranquille en discutant entre nous, mais ce silence nous pèse, c’est Valérie qui, solidarité féminine, interroge Maria.
• " Tu parais songeuse ma chérie, c’est Emmanuel qui te rends comme ça ? Il t’a plaquée ?
• No… Non ! Mais je me demande s’il voudra me revoir. Il m’a dit qu’il m’appellerait mais maintenant, qu’il a eu ce qu’il voulait je ne dois plus l’intéresser ! Bah ! C’est la vie, il faut simplement que je me fasse une raison et que je me rende compte que je suis une vieille conne !
• Mais non ! pas du tout ! S’il a dit qu’il t’appellera, il le fera sûrement !
• Je ne veux pas vous ennuyer avec ça, je vais aller me coucher !
• Reste un peu avec nous, ça te fera du bien, viens à côté de moi »
Valérie se lève et entraîne Maria sur la banquette et elles se nichent l’une contre l’autre. Dans cette position, Maria ne tarde pas à s’endormir, il faut dire que depuis deux jours les événements et les émotions se sont accumulés ! Je propose d’aller nous coucher afin de récupérer un peu, car nous aussi en avons besoin. J’emporte Maria en la soutenant dans mes bras vers la chambre d’amis que nous ont préparé Valérie et Jeremy. Je la dépose sur le lit et n’ai qu’à dénouer le paréo pour qu’elle dorme nue. Je la laisse seule le temps d’embrasser nos amis qui ont suivi la scène et rangent le repas. Le temps d’une dernière cigarette et nous rejoignons nos chambres respectives. Maria s’est mise en chien de fusil et dort profondément lorsque je me déshabille et m’allonge à ses côtés.
Je me réveille alors qu’il fait grand jour. Maria est lovée contre moi et sommeille toujours. Je reste un moment à somnoler à moitié, Maria dans mes bras. A un moment, Valérie, rentre dans la chambre sans que je bouge, et nous vois enlacés, nus sur le lit. Je lui fais un petit signe de la main sans bouger et elle me montre le plateau sur lequel elle a préparé un petit déjeuner copieux. Elle vient m’embrasser, dépose un baiser, sur le front de Maria et repart en refermant la porte, nous laissant seuls. Je me rends compte que le soleil est bien haut et, un coup d’œil vers la pendule m’indique qu’il est plus de 2 heures de l’après-midi. Nous avons fait plus que le tour d’horloge, il faut tout de même récupérer à nos âges !
Maria est étalée sur le lit totalement impudique un sourire béat sur les lèvres, une main entre les cuisses, elle doit faire un rêve érotique ! Tout doucement j’écarte sa main et insinue la mienne afin de la caresser. Toujours inconsciente, elle écarte ses cuisses et d’une main se caresse les seins, alors, avec précaution, je me positionne au dessus d’elle et la pénètre lentement. Je la baise tout doucement en suspension sur les bras afin de ne pas l’écraser. Elle se réveille en jouissant, l’air d’abord surprise, puis avec un grand sourire, enroule les bras autour de mon cou pour m’attirer et m’embrasser. Je continue un moment, jusqu’à me vider en elle, puis nous laissons faire la nature qui me fait me rétracter lentement. Voilà une journée qui commence bien !
Je ramasse le plateau qu’a déposé Valérie tout à l’heure et tous deux assis sur le lit nous dévorons tartines et croissants. On s’amuse à se mettre de la confiture sur les seins puis de les lécher, comme des gosses.
• "Mais que vont penser nos amis ? demande Maria • Je ne pense pas qu’ils soient réveillés depuis longtemps mais quand j’ai aperçu Valérie tout à l’heure elle n’avait pas l’air en colère.
• Elle …nous a vus ?
• Oui ! Mais rappelez-vous hier !
• Oh c’est vrai ! Vous ne m’en voulez pas trop de vous avoir maltraité hier ?
• Pas du tout, mais sachez que je vous rendrez la pareille, comme nous l’avons fait à Valérie !
• Qu’avez vous fait ?
• Elle a subi une fessée cul nu devant d’autres personnes !
• Non ! Et quand ça ?
• Pendant que vous passiez un bon moment avec Emmanuel !
• Oh ! Vous m’en voulez !
• Mais pas du tout ! Par contre je vous ai trouvée triste après son départ, vous êtes « accro » ma chérie !
• C’est vrai ! Je suis honteuse ! Mais il m’a tellement excitée et il est si jeune, vous vous rendez compte qu’il a cinquante ans de moins que moi ! C’est pas possible !
• La preuve que oui !
• Mais comment puis-je lui plaire ?
• Mais vous êtes très attirante, je vous l’ai déjà dis !
• Tout de même, je suis une vieille ! De toute façon il ne rappellera pas !
• Je n’en suis pas si sûr, lui aussi avait l’air accroché ! Qui vivra verra ! Vous connaissez le film Harold et Maud avec Madeleine Renaud ?
• Oui, bien sûr, mais je ne pensais pas le vivre un jour. Ca ne vous embête pas qu’il vous prenne la place ?
• Je vous ai montré que j’avais l’esprit large et puis, il y a 2 jours nous ne nous connaissions pas.
• Vous êtes un amour, rassurez vous il y a toujours de la place pour vous !
• Entre vous deux ?
• Coquin que vous êtes je ne sais pas s’il aimerait • On verra mais je ne m’impose pas ! On se lève ?
• D’accord ! Allez ! A la douche ! »
Douche rapide mais câline, Maria remet le paréo et n’ayant rien d’autre à portée, reste nue en dessous, moi j’enfile maillot et tee-shirt et nous rejoignons les autres dans la salle à manger. Jeremy vient de rentrer faire une ballade en vélo et Valérie s’occupe de la maison. Nos retrouvailles sont joyeuses et Valérie « charrie » un peu Maria sur ses performances de la veille. Nous passons un moment avec nos amis puis décidons que nous devons rentrer, malgré l’insistance de Valérie et Jeremy nous leur promettons de revenir très vite.
Au moment de quitter nos amis et alors que nous sommes dans la voiture, on voit arriver la moto d’Emmanuel ! Maria jaillit de la voiture et court l’embrasser, sous notre regard bienveillant et amusé. Je vois le moment où nous allons devoir prolonger la visite, mais le jeune homme, sûrement pressé, ne descend même pas de son engin et après un dernier baiser déchirant, nous salue, remet son casque et repart comme il est venu.
En remontant dans le véhicule, Maria m’explique qu’il tenait à lui dire qu’il voulait absolument la revoir, qu’il ne faisait que passer. « Il était inquiet, car il m’a envoyé plein de messages sur le portable et n’avait pas de réponse. En fait je ne sais pas comment ça marche ! » Je m’arrête pour lui montrer et elle découvre une bonne douzaine de messages enflammés de Emmanuel lui déclarant sa fougue, son envie de la revoir, de la « B…. » Enfin bref, toutes les réponses aux questions qu’elle se posait. Je lui montre comment répondre à son amoureux et pendant que je conduis elle pianote à fond sur son portable échangeant message sur message avec son jeune amant. Après un bon moment à échanger les SMS que Maria trouve « génial » et « super discret » le besoin de se parler tout de même en direct, se faisant sentir, elle appelle Emmanuel et ils peuvent échanger en écoutant la voix de l’autre. Maria s’étale en arrière, les yeux chavirés sûrement par les paroles de son amant.
Je pose ma main sur sa cuisse et commence à la caresser pendant son entretien, petit à petit je remonte vers son ventre, elle se laisse faire, perdue dans son excitation et les mots doux que doit lui susurrer Emmanuel. J’essaie de me concentrer tout de même à la conduite, mais au moment où Maria signale à son interlocuteur que je suis en train de la caresser, je suis obligé de m’arrêter afin de continuer et accentuer mes attouchements. Un petit chemin nous abrite de la vue directe de la route. J’ai tout loisir maintenant d’ouvrir la robe de Maria sur ses seins pour les téter, une main toujours dans sa chatte inondée, je titille le clitoris bien dressé avec le pouce, tout en enfonçant deux doigts dans le vagin. Le portable toujours collé à l’oreille, Maria halète fortement grisée par mes caresses et les paroles d’Emmanuel. Elle gémit maintenant, sa main libre se pose sur celle que j’ai enfouie en elle pour la guider, accélérant ou ralentissant les mouvements selon son plaisir.
Son plaisir arrive enfin elle crie dans l’appareil, serrant le portable sûrement aussi fort que ma main enfouie. Elle redescend lentement sur terre accompagnée de mes caresses, puis reprenant peu à peu ses esprits, elle continue la discussion avec Emmanuel lui racontant ce que je lui ai fais, qui correspondait à ce qu’il disait à son oreille. Elle lui promet de le rappeler dès que possible et de venir le voir.
Je ramène Maria chez elle et retourne chez moi après ces trois jours mouvementés et enrichissants. Ayant découvert le sms, Maria m’en envoie deux ou trois dans la soirée, pour me remercier d’abord de lui avoir redonné le goût à la vie et au sexe, de lui avoir fait rencontrer des gens super et découvrir des « activités » inconnues jusque là, et d’être aussi ouvert à ses amours avec Emmanuel.
C’est Maria qui raconte ensuite les aventures de son été qui, il faut le dire, sera celui de tous les bonheurs !
***
Profitant du calme relatif et avant de préparer le repas du soir, nous décidons de prendre une douche. Aucun ne voulant rester seul nous la prenons tous les trois, mais sans dériver vers des débauches sexuelles, une pause salutaire, où, simplement nous nous savonnons mutuellement et nous rinçons.
En sortant, nous enfilons même des vêtements légers. Jeremy et moi préparons le barbecue, pendant que Valérie se charge des entrées et de mettre le couvert. Absorbés par l’allumage, c’est la voix de Valérie qui attire notre attention :
• "Eh bien ma chérie ! Tu verrais ta tête ! Il t’a secouée ton jeune amant !
• Je suis crevée ! » répond Maria. Nous approchons tous les trois d’elle, comme pour la réconforter. Elle est restée nue, son corps marqué par les lèvres de son jeune amant. Elle passe ses bras autour de mon cou en m’embrassant tendrement, puis murmure, « Il est monté comme … • Un taureau ?
• Ou… Oui, Oh ! Excusez-moi, je vous ai déjà trompé ! Me lance-t-elle • Mais ce n’est rien ma chérie, l’important c’est que vous soyez heureuse.
• Oh oui, il m’a… prise 6 fois, dans toutes les positions, par tous les bouts j’ai mal partout !
• En bien ma chère, dit Jeremy, votre cure de sexe continue de plus belle! » • Je n’en reviens pas ! je suis morte ! Vous savez, ça a commencé dès la descente de moto !
• Oui nous avons trouvé les habits par terre dit Valérie • C’est vrai ! Oh ! Je suis confuse !
• Il n’y a pas de quoi, voyons !
• Tout de même, qu’allez-vous penser de nous ?
• Que vous-vous éclatez et c’est très bien !
• Il m’a prise…. Debout contre la porte, c’est fou ! Il a jouit très vite • A son âge ça arrive.
• Oui, mais moi aussi j’ai joui comme une folle !
• Eh bien !
• Mais attendez, une fois entrés, en montant l’escalier, il m’a prise par derrière, sur les marches !
• Par derrière ?
• Oui, mais …normalement…enfin... vous comprenez ?
• Bien sûr ! c’était pour vous taquiner • Méchant que vous êtes, vous vous moquez !
• Mais non, chérie, j’adore vous voir rougir !
• Je vous déteste, ajoute-t-elle mais son sourire prouve le contraire. Enfin bref, il m’a épuisée !
• Maintenant c’est lui qui l‘est ! ajoute Valérie en riant.
• Oui le pauvre chéri il faut dire qu’il a beaucoup donné ! Bon, moi je vais prendre une douche, je peux ?
• Bien sûr, répond Valérie, vous voulez que je vous aide ?
• Coquine ! lui dit son mari, allez-y nous allons finir de préparer.
Les deux femmes s’éloignent sous nos regards gourmands, mais pour l’instant, nous avons autre chose à faire. Comme le temps est superbe, nous dressons la table sur la terrasse, une fois fini, Jeremy sert l’apéritif et nous discutons tous les deux de cette journée vraiment particulière. Les femmes reviennent après la douche, main dans la main habillées ou plutôt drapées dans des paréos noués au dessus de la poitrine et dégageant les épaules, parfumées et maquillées, elles sont superbes et bien entendu nous-nous levons pour embrasser et enlacer nos femmes !
• " Doucement dit tout de même Valérie, vous aller nous chiffonner, un peu de patience ! un dernier verre en compagnie de nos femmes et nous passons à table.
La fin du repas approche lorsque Emmanuel arrive. L’air un peu hagard, il récupère ses habits car il est encore nu, au passage, sa verge au repos reste impressionnante, C’est vrai que Maria a dû se régaler !
• « Maria, je peux vous parler ?
• Bien sûr ! » elle se lève et s’éloigne avec son jeune amant. Lui signifie-t-il qu’il est content mais ne veut plus la voir ? Le visage de notre amie semble triste. Puis ils s’enlacent et échangent un baiser passionné qui s’éternise.
Ils se séparent enfin et Emmanuel repart sur sa moto, Maria revient vers nous toute pensive, l’air un peu triste, elle s’assoit et termine son dessert sans dire un mot. Nous la laissons un peu tranquille en discutant entre nous, mais ce silence nous pèse, c’est Valérie qui, solidarité féminine, interroge Maria.
• " Tu parais songeuse ma chérie, c’est Emmanuel qui te rends comme ça ? Il t’a plaquée ?
• No… Non ! Mais je me demande s’il voudra me revoir. Il m’a dit qu’il m’appellerait mais maintenant, qu’il a eu ce qu’il voulait je ne dois plus l’intéresser ! Bah ! C’est la vie, il faut simplement que je me fasse une raison et que je me rende compte que je suis une vieille conne !
• Mais non ! pas du tout ! S’il a dit qu’il t’appellera, il le fera sûrement !
• Je ne veux pas vous ennuyer avec ça, je vais aller me coucher !
• Reste un peu avec nous, ça te fera du bien, viens à côté de moi »
Valérie se lève et entraîne Maria sur la banquette et elles se nichent l’une contre l’autre. Dans cette position, Maria ne tarde pas à s’endormir, il faut dire que depuis deux jours les événements et les émotions se sont accumulés ! Je propose d’aller nous coucher afin de récupérer un peu, car nous aussi en avons besoin. J’emporte Maria en la soutenant dans mes bras vers la chambre d’amis que nous ont préparé Valérie et Jeremy. Je la dépose sur le lit et n’ai qu’à dénouer le paréo pour qu’elle dorme nue. Je la laisse seule le temps d’embrasser nos amis qui ont suivi la scène et rangent le repas. Le temps d’une dernière cigarette et nous rejoignons nos chambres respectives. Maria s’est mise en chien de fusil et dort profondément lorsque je me déshabille et m’allonge à ses côtés.
Je me réveille alors qu’il fait grand jour. Maria est lovée contre moi et sommeille toujours. Je reste un moment à somnoler à moitié, Maria dans mes bras. A un moment, Valérie, rentre dans la chambre sans que je bouge, et nous vois enlacés, nus sur le lit. Je lui fais un petit signe de la main sans bouger et elle me montre le plateau sur lequel elle a préparé un petit déjeuner copieux. Elle vient m’embrasser, dépose un baiser, sur le front de Maria et repart en refermant la porte, nous laissant seuls. Je me rends compte que le soleil est bien haut et, un coup d’œil vers la pendule m’indique qu’il est plus de 2 heures de l’après-midi. Nous avons fait plus que le tour d’horloge, il faut tout de même récupérer à nos âges !
Maria est étalée sur le lit totalement impudique un sourire béat sur les lèvres, une main entre les cuisses, elle doit faire un rêve érotique ! Tout doucement j’écarte sa main et insinue la mienne afin de la caresser. Toujours inconsciente, elle écarte ses cuisses et d’une main se caresse les seins, alors, avec précaution, je me positionne au dessus d’elle et la pénètre lentement. Je la baise tout doucement en suspension sur les bras afin de ne pas l’écraser. Elle se réveille en jouissant, l’air d’abord surprise, puis avec un grand sourire, enroule les bras autour de mon cou pour m’attirer et m’embrasser. Je continue un moment, jusqu’à me vider en elle, puis nous laissons faire la nature qui me fait me rétracter lentement. Voilà une journée qui commence bien !
Je ramasse le plateau qu’a déposé Valérie tout à l’heure et tous deux assis sur le lit nous dévorons tartines et croissants. On s’amuse à se mettre de la confiture sur les seins puis de les lécher, comme des gosses.
• "Mais que vont penser nos amis ? demande Maria • Je ne pense pas qu’ils soient réveillés depuis longtemps mais quand j’ai aperçu Valérie tout à l’heure elle n’avait pas l’air en colère.
• Elle …nous a vus ?
• Oui ! Mais rappelez-vous hier !
• Oh c’est vrai ! Vous ne m’en voulez pas trop de vous avoir maltraité hier ?
• Pas du tout, mais sachez que je vous rendrez la pareille, comme nous l’avons fait à Valérie !
• Qu’avez vous fait ?
• Elle a subi une fessée cul nu devant d’autres personnes !
• Non ! Et quand ça ?
• Pendant que vous passiez un bon moment avec Emmanuel !
• Oh ! Vous m’en voulez !
• Mais pas du tout ! Par contre je vous ai trouvée triste après son départ, vous êtes « accro » ma chérie !
• C’est vrai ! Je suis honteuse ! Mais il m’a tellement excitée et il est si jeune, vous vous rendez compte qu’il a cinquante ans de moins que moi ! C’est pas possible !
• La preuve que oui !
• Mais comment puis-je lui plaire ?
• Mais vous êtes très attirante, je vous l’ai déjà dis !
• Tout de même, je suis une vieille ! De toute façon il ne rappellera pas !
• Je n’en suis pas si sûr, lui aussi avait l’air accroché ! Qui vivra verra ! Vous connaissez le film Harold et Maud avec Madeleine Renaud ?
• Oui, bien sûr, mais je ne pensais pas le vivre un jour. Ca ne vous embête pas qu’il vous prenne la place ?
• Je vous ai montré que j’avais l’esprit large et puis, il y a 2 jours nous ne nous connaissions pas.
• Vous êtes un amour, rassurez vous il y a toujours de la place pour vous !
• Entre vous deux ?
• Coquin que vous êtes je ne sais pas s’il aimerait • On verra mais je ne m’impose pas ! On se lève ?
• D’accord ! Allez ! A la douche ! »
Douche rapide mais câline, Maria remet le paréo et n’ayant rien d’autre à portée, reste nue en dessous, moi j’enfile maillot et tee-shirt et nous rejoignons les autres dans la salle à manger. Jeremy vient de rentrer faire une ballade en vélo et Valérie s’occupe de la maison. Nos retrouvailles sont joyeuses et Valérie « charrie » un peu Maria sur ses performances de la veille. Nous passons un moment avec nos amis puis décidons que nous devons rentrer, malgré l’insistance de Valérie et Jeremy nous leur promettons de revenir très vite.
Au moment de quitter nos amis et alors que nous sommes dans la voiture, on voit arriver la moto d’Emmanuel ! Maria jaillit de la voiture et court l’embrasser, sous notre regard bienveillant et amusé. Je vois le moment où nous allons devoir prolonger la visite, mais le jeune homme, sûrement pressé, ne descend même pas de son engin et après un dernier baiser déchirant, nous salue, remet son casque et repart comme il est venu.
En remontant dans le véhicule, Maria m’explique qu’il tenait à lui dire qu’il voulait absolument la revoir, qu’il ne faisait que passer. « Il était inquiet, car il m’a envoyé plein de messages sur le portable et n’avait pas de réponse. En fait je ne sais pas comment ça marche ! » Je m’arrête pour lui montrer et elle découvre une bonne douzaine de messages enflammés de Emmanuel lui déclarant sa fougue, son envie de la revoir, de la « B…. » Enfin bref, toutes les réponses aux questions qu’elle se posait. Je lui montre comment répondre à son amoureux et pendant que je conduis elle pianote à fond sur son portable échangeant message sur message avec son jeune amant. Après un bon moment à échanger les SMS que Maria trouve « génial » et « super discret » le besoin de se parler tout de même en direct, se faisant sentir, elle appelle Emmanuel et ils peuvent échanger en écoutant la voix de l’autre. Maria s’étale en arrière, les yeux chavirés sûrement par les paroles de son amant.
Je pose ma main sur sa cuisse et commence à la caresser pendant son entretien, petit à petit je remonte vers son ventre, elle se laisse faire, perdue dans son excitation et les mots doux que doit lui susurrer Emmanuel. J’essaie de me concentrer tout de même à la conduite, mais au moment où Maria signale à son interlocuteur que je suis en train de la caresser, je suis obligé de m’arrêter afin de continuer et accentuer mes attouchements. Un petit chemin nous abrite de la vue directe de la route. J’ai tout loisir maintenant d’ouvrir la robe de Maria sur ses seins pour les téter, une main toujours dans sa chatte inondée, je titille le clitoris bien dressé avec le pouce, tout en enfonçant deux doigts dans le vagin. Le portable toujours collé à l’oreille, Maria halète fortement grisée par mes caresses et les paroles d’Emmanuel. Elle gémit maintenant, sa main libre se pose sur celle que j’ai enfouie en elle pour la guider, accélérant ou ralentissant les mouvements selon son plaisir.
Son plaisir arrive enfin elle crie dans l’appareil, serrant le portable sûrement aussi fort que ma main enfouie. Elle redescend lentement sur terre accompagnée de mes caresses, puis reprenant peu à peu ses esprits, elle continue la discussion avec Emmanuel lui racontant ce que je lui ai fais, qui correspondait à ce qu’il disait à son oreille. Elle lui promet de le rappeler dès que possible et de venir le voir.
Je ramène Maria chez elle et retourne chez moi après ces trois jours mouvementés et enrichissants. Ayant découvert le sms, Maria m’en envoie deux ou trois dans la soirée, pour me remercier d’abord de lui avoir redonné le goût à la vie et au sexe, de lui avoir fait rencontrer des gens super et découvrir des « activités » inconnues jusque là, et d’être aussi ouvert à ses amours avec Emmanuel.
C’est Maria qui raconte ensuite les aventures de son été qui, il faut le dire, sera celui de tous les bonheurs !
***
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Yan Loutort
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...