Maria, mon amour ultime
Récit érotique écrit par Dennys [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-03-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Maria, mon amour ultime
Première partie : la venue
C'était un vendredi soir d'automne.
Le doux soleil d'été avait laissé sa place au vent et a un petit crachin pénétrant.
L'envie n'était certes pas à musarder sur la plage ou de se promener au cœur de la
vieille ville. L'envie était ailleurs, l'envie que chacun de nous peut ressentir avec
cette oppression au niveau de la poitrine, l'envie qui se manifeste enfin quand on
sait qu'on va rencontrer la personne aimée.
Il me restait à présent encore quelques dizaines de kilomètres de route avant
l'arrivée chez ma Belle. En approchant de cette douce destination, je me remémorais
son doux visage et sa silhouette élancée ; je sentais mon cœur qui se mettait a battre
de plus en plus fort, je ressentais cette sensation faite d'angoisse et de désir au
creux de mon estomac. Je n'étais plus bien loin, mon esprit ne réfléchissait plus,
comme guidé par un aimant vers cette destination. Mon cœur battait si fort que je
pouvais a peine me concentrer sur la conduite. La voie ferrée, encore une rue à
gauche, puis à droite, enfin la maison au fond du lotissement avec ses volets clos. Je
garais alors la voiture maladroitement devant la haie et stoppais le moteur. Le
silence était intense, mon émoi à son paroxysme. Quittant la voiture pour me diriger
vers la maison, je marchais lentement vers la porte, mes pas faisant crisser le
gravier. Et me voici devant l'entrée. Je frappais un peu, timidement puis un peu plus
fort.
La porte s'ouvrit.
Dans la lumière tamisée de son séjour, elle était la. Magnifique, souriante, fière et
ne disait mot. Alors que je passais la porte, ému, elle se recula de quelques pas, je
refermais la porte et nous restâmes un long moment face a face, silencieux à nous
regarder. Elle était si belle ! Elle portait une petite nuisette rouge très courte qui
couvrait a peine ses jambes si longues ; son décolleté était ample et elle portait
comme bijou, un seul petit cœur de cristal, posé sur sa poitrine entre ses seins de
Déesse. La lumière jouait sur le cristal qui se parait de mille feux quand sa peau de
satin d’une si délicate texture, luisait doucement sous la lumière tenue. Et elle
souriait de ses yeux si beaux, sa bouche sensuelle était entr'ouverte comme un appel
auquel je n'allais pas pouvoir résister longtemps (à suivre).
Deuxième partie : la tempête
En un éclair nous nous enlaçâmes, corps contre corps, nos lèvres se touchèrent et se
dévorèrent, nos langues se caressèrent et mêlèrent alors avec une force inouïe, un
moment j'étais en elle, l'instant d'après elle était en moi. Mes mains caressaient son
visage et les siennes me serraient si fort contre elle que nos baisers de brulants
devinrent torrides. Je la dévorais, elle me dévorait, nos bouches étaient ouvertes,
béantes, et ne faisaient plus qu'une. De longues minutes nous restâmes a nous
embrasser avec sauvagerie sur le pas de la porte et notre désir de l'autre montait,
montait. Mon corps collé au sien, je sentais le mouvement lascif de ses hanches contre
moi, je sentais le désir monter encore en moi. Mon sexe était dur maintenant et je
l’appuyais fortement contre son bas ventre ce qui accentua encore ses mouvements
saccades. A un moment nous cessâmes de nous embrasser pour nous regarder
intensivement, les yeux dans les yeux, un volcan était en nous, et il allait entrer en
une éruption cataclysmique très bientôt, nous n'avions aucun doute là-dessus.
Elle me prit alors la main avec beaucoup de tendresse et me conduisit vers son salon.
Il y avait là une bouteille d'un bon Champagne et deux flutes. Nous nous assîmes côte
à côte et en un clin d'œil, les verres furent remplis. Le vin pétillait finement et
sa douce couleur ambrée avait quelque chose de magique. Nos corps se touchaient, les
yeux dans les yeux, nous nous saisîmes des verres et une gorgée de Champagne m'inonda
la bouche. Le Champagne était si bon, le désir si fort, que je m'approchai alors de ma
Belle qui compris instantanément mes intentions en entr'ouvrant ses lèvres et en se
basculant légèrement en arrière ; posant mes lèvres sur les siennes j'entrepris alors
de laisser glisser un filet de Champagne dans sa bouche. Je compris alors que je
venais de mettre le feu à nos corps. Le baiser qui s'en suivi fut d'une intensité,
d'une force à peine croyable. Nos bouches était colles l'une à l'autre, nos langues se
retrouvaient déjà et se mêlaient en une sorte de corps à corps forcené. D'un seul
coup, ma Belle se redressa alors et me bascula à mon tour au fond du canapé en me
tenant les mains plaquées contre le cuir du fauteuil. Sa bouche quitta la mienne et
elle me lécha tout le visage, mes yeux, mon nez, mes joues, mes oreilles avec une
avidité incroyable. Sa langue et ses lèvres humides de salive me procuraient une
excitation intense et je m'abandonnais alors un moment a son ardeur en fermant les
yeux, le corps en feu, goutant avec délice ce flux brulant qu’elle me dispensait avec
tant d’amour. Elle me tenait prisonnier de ses mains et de ses hanches, elle
m’embrassait maintenant le cou et après avoir entrouvert ma chemise, glissa sa bouche
sur ma poitrine et me suça un sein, puis l’autre avec beaucoup de douceur et de
délicatesse. Mon corps tout entier se tendit de désir, mon sexe brulant venait de se
durcir encore davantage contre sa chatte animée d’un puissant mouvement de va et
vient. Relâchant un peu l’emprise de ses mains, elle me permit alors de la caresser :
d'abord la nuque puis le visage, les épaules et la peau de son décolleté profond. Elle
était la sur moi, elle vibrait de son désir si fort, sa peau douce et brulante de
métisse des iles était devenue mon obsession et mes mains caressaient sa poitrine, je
sentais les pointes de ses seins se durcir, ma Belle brulait intérieurement. C'en
était trop pour moi, je fis glisser ses bretelles sur le côté et ses seins jaillirent
avec force, magnifiques ! Leurs pointes étaient dressées par le désir et sous la
caresses de mes doigts ils se mirent a durcir encore plus tandis que ma Belle fermait
ses yeux si doux et se cambrait en arrière comme pour mieux s’offrir à mon regard
envieux. Me tenant toujours entre ses cuisses, elle relâcha son étreinte en écartant
ses cuisses largement et elle frotta sa chatte encore plus fort sur ma verge durcie
par le désir, ses seins étaient si proche de ma bouche que je les saisissais dans mes
mains en les serrant un peu tandis que mes lèvres les attrapaient, ma langue entoura
une pointe et d'un long mouvement circulaire je suçais la pointe sur tout son
pourtour. Ma Belle s’abandonnait à mes caresses et sa respiration s'accélérait, un
doux râle de plaisir s'échappait de sa gorge, mais ma bouche et ma Belle en voulaient
encore plus et mes lèvres se refermèrent sur leurs pointes en les serrant bien fort et
en aspirant en rythme de plus en plus fort et de plus en plus rapide tandis que
j'enserrais l'autre téton entre un pouce et un index humidifiés de salive. Les pointes
de ses seins étaient maintenant très dures et mon plaisir intense de les sentir
glisser entre mes lèvres était décuplé par les cris de bonheur de ma petite chérie qui
s’embrasait de plaisir ; de temps à autre je laissais un téton pour un moment et
enfouissait mon visage entre ses 2 seins, tandis que mes hanches à leur tour étaient
prises d'un mouvement de va et vient contre l'entrecuisse de ma Belle. Ma verge était
bien dure aussi maintenant mais l'étoffe de mon jean atténuait quelque peu la
sensation du frottement contre le ventre de ma chérie. Son râle était si fort
maintenant, mon désir si intense, qu'elle s’arracha a moi pour déboutonner mon
pantalon et le faire descendre le long de mes jambes. Au même moment je dégrafais sa
robe et la fis glisser sur le côté. Nous étions intégralement nus, mon sexe était
décalotté et d’une raideur incroyable, le gland était rouge d’un désir fou comme prêt
à exploser. Elle se baissa alors un peu et saisit ma verge a pleine bouche pendant
quelques instants. Elle se rendit compte que mon désir était si fort que Je ne voulais
pas jouir de suite aussi, d'un doux mais ferme mouvement elle me laissa m'esquiver le
temps que nos corps en ébullition ne glissent sur le tapis du salon et en m'allongeant
sur le dos, elle compris que je voulais la gouter maintenant. La Belle était à genoux,
ses cuisses écartées et moi, je me glissais petit à petit sous elle en lui tenant
fermement les seins entre mes mains. Ma bouche était alors si près de ses cuisses que
mes lèvres s'y posèrent en un long baiser tandis que mes mains glissaient le long de
ses seins puis sur son ventre et autour de ses reins. Mes mains étaient chaudes et
douces mais fermes et elles glissèrent le long de ses fesses et entre ses fesses
pendant que ma bouche remontait en de doux baiser vers l'intérieur de ses cuisses.
C'est alors qu'elle se laissa basculer en arrière écartant ses cuisses largement,
offrant à ma vue une petite chatte toute rose et gourmande de ma virilite. J’étais fou
de désir et d’envie et sans attendre, je plongeais mon visage entre ses cuisses ma
bouche entr'ouverte je posais un doux baiser sur son sexe, puis un autre plus appuyé,
et encore un autre. Je lui embrassais maintenant son sexe avec délice et gourmandise,
ma langue l'explorant de long en large de droite a gauche et aussi profond que je le
pouvais. Sa chatte était humide et petit à petit elle s’ouvrait de plus en plus
largement pendant que mes doigts lui pénétraient avec douceur sa petite rondelle
d’amour. J’étais gourmand d’elle et restait ainsi de longues minutes à la lécher, a la
sucer, a l’embrasser et à lui titiller son petit bouton en rythme avec ma langue et
mes lèvres. C’était si bon, je bandais comme un fou, ma petite femme respirait fort,
de façon saccadée un désir de plus en plus puissant envahissait son corps si tendu et
je redoublais d’ardeur en lui dévorant littéralement mais avec douceur son bouquet
d’amour écartelé. C’est alors qu’elle explosa de bonheur en hurlant son plaisir, elle
se mit à jouir, son sexe était un volcan, une déferlante de plaisir, ses hanches une
tempête me ballotant en tous sens, mais je m’accrochais, ses doigts crispés de féline
me labouraient le dos de ses ongles, j’étais scotche a cette source de féminité
ultime que je dégustais et dont je m’enivrais avec tant d’avidité, son parfum était
subtil, son gout délicieux, la femme que j’aime avait ce gout d’absolu, ce gout qu’on
ne rencontre que de rares fois dans une vie, elle était la Femme Absolue de douceur et
de bonheur : ma Belle ne contrôlait plus rien sinon son abandon a un plaisir puissant
la pénétrant dans tout son corps, son sexe palpitait de bonheur, ses seins pointaient
vers le ciel ; son orgasme dura longtemps, longtemps, entretenu par ma langue
amoureuse de son intimité, et quand ce fut fini, quand son brasier intérieur se fut
calmé, elle chancela, ses muscles se détendirent, sa respiration s’apaisa lentement,
ses yeux s’entrouvrirent de nouveau après de longues minutes et elle m’adressa le plus
beau sourire que je n’ai jamais vu : un sourire fabuleux, un sourire que sa bouche si
sensuelle savait si bien exprimer, un sourire d’Amour que jamais, jamais je ne pourrai
oublier. J’étais comblé par le bonheur de ma Belle et étais un homme heureux mais mon
feu intérieur, bien qu’un peu calme couvait et je la désirais si fort. Je m’approchais
alors de son visage détendu en lui glissant de doux mots d’amour et c’est alors que
je perdis connaissance (à suivre).
Troisième partie : tsunami
J’ai mal a la tête, ou suis-je ?
Petit à petit mon esprit embué se réveille. Que s’est-il passé ?
Oui je me souviens, l’amour avec ma petite chérie et je … mais que se passe-t-il, je
suis assis bras et jambes écartes sur une chaise, attache au mur, j’ai un peu froid,
je suis nu, comme écartelé entre 4 coins, la pièce est noire, pas de lumière, mais
elle n’est pas vide, je sens comme une présence, une respiration et la douce odeur
d’un corps de femme fraichement douché. Il y a comme un feulement très doux comme le
doux bruit d’une peau qui en frôle une autre et alors que mon esprit cherche a
comprendre, le craquement d’une allumette et une bougie qui s’allume a l’extrémité de
la pièce, une main brune qui me donne une caresse sur le visage, un baiser très
tendre, très pudique sur mes lèvres, sur mon front, sur mes yeux, c’est si doux que je
me laisse aller. Mais le baiser devient plus insistant et l’instant d’après il me
dévore la bouche mais je suis lié : victime potentielle ou chair a plaisir ? Je me
plaisais à imaginer la seconde solution quand je sentis un corps se glisser près de
moi. Oui je le connais ce corps, une peau brune, j’ai reconnu ses baisers fougueux,
je reconnais la texture de cette peau et les pointes de seins durcies sont familière a
mes lèvres et à ma langue. Je suce, je lèche tout ce qui m’est présenté, mais cela ne
dure guère car la belle s’occupe maintenant de mes tetons aussi sensibles que les
siens ou presque. Je sens sa bouche descendre sur ma poitrine et s’enfouir dans ma
pilosité, je sens sa bouche qui me titille un teton pendant que ses doigts caressent
l’autre, je sens un désir immense monter en moi, mon corps se cambre, mes muscles se
tendent ma verge se durcit très vite et se redresse, je voudrais lécher son sexe à
nouveau, m’imprégner de son délicat parfum et déguster sa sublime saveur mais je ne
peux pas, je suis à la merci de ma Belle. De longues minutes elle reste à me caresser
le bout des seins avec une douceur toute féminine, je suis accro à ses caresses, mon
désir de la posséder est immense, ma verge est tendue et gonflée de désir, la peau de
mon gland a glissé et il est la rouge de désir, gonflé a bloc, je n’en peux plus de
résister. Sa bouche quitte alors ma poitrine et petit à petit descend le long de mon
ventre. Et là, je la sens se glisser entre mes jambes, je sens ses mains prenant appui
sur mes cuisses, je sens les pointes de ses seins contre mon ventre et puis un sein
contre mon sexe et puis l’autre, et puis soudain, elle s’agenouille et sa bouche
entrouverte pose un baiser sur mon sexe, puis un autre baiser et elle l’introduit dans
sa bouche d’un coup. Mon désir est immense, je sens ses lèvres aller et venir en
rythme, je sens sa langue déguster mon gland, je sens ses mains serrant fort la base
de mon sexe pour le faire durcir encore plus fort et j’imagine sa chatte en feu toute
humide de désir. Sa peau halée qui luit légèrement dans le contrejour de la lumière
vacillante est une invitation a l’amour. Quand elle sent que mon plaisir peut venir
vite, elle ralentit, elle me resuce alors les seins, m’embrasse avec fougue, me lèche
le visage et puis retourne à mon sexe si fier d’être à une telle fête. Je bande comme
jamais, la peau de mon sexe est tendue à l’extrême comme s’il allait éclater, je suis
à sa merci, elle décide ou quand et comment elle va m’utiliser, ma verge toute entière
pénètre sa bouche et ses mains sur mes boules je suis en feu, je râle de plaisir, mon
corps entier est saisi d’un désir fou, j’ai envie de me libérer en elle, j’ai envie
qu’elle vienne en moi, je brule de désir. Ses mains glissent alors autour de mes
fesses, entre mes fesses et elle me caresse doucement ce qui provoque en moi une
nouvelle pulsion de volupté. Je veux exploser, mon sexe est tendu vers elle et alors,
d’un bond, elle se redresse et me colle sa chatte humide de désir sur le visage ! Ah
que c’est bon, elle est brulante, dilatée, son parfum m’enivre, son gout suave me
fascine, ma langue et ma bouche se glissent entre ses lèvres largement ouvertes, je
sens son petit clito qui gonfle sous le désir, je le suce le lèche doucement puis plus
fort, elle râle de bonheur, sa chatte est ouverte et béante, elle n’en peut plus non
plus d’attendre. D’un coup de pied, elle jette la chaise sur le cote et me voilà
debout quand elle s’empale sur ma verge en me dévorant la bouche avec sa langue. Ah je
sens mon sexe en elle dans sa féminité en feu, elle va elle vient, je vais et je viens
au même rythme, je sens sa chatte qui se contracte en enserrant ma queue très fort, le
plaisir est si intense, je me projette plus en avant encore, je suis à fond en elle
quand je vais, je sors presque quand je viens et brutalement j’y retourne, a une
vitesse de plus en plus rapide, je sens par ma verge sa chatte palpiter en rythme,
c’est géant, je sens la brûlure en moi qui se précise, le prélude à la jouissance.
Alors, elle hurle de plaisir à ce moment et je sens mon corps entier qui se contracte
et d’un coup explose puissamment en elle, une fois, deux fois, trois fois, je ne sais
plus, je hurle mon plaisir, nos bouches se séparent comme pour mieux hurler notre
bonheur, mon corps est d’un coup libéré de toute sa tension accumulée, je ressens mon
sperme qui se rue en elle et qui s’écoule ensuite le long de ses cuisses, elle le
ressent également son cri me résonne dans la tête comme la récompense ultime de notre
amour. Elle a explosé de bonheur, j’ai explosé de bonheur en elle, nous sommes
comblés, Je suis vidé, épuisé. Je l’aime, je l’aime, j’aurais voulu le lui crier mais
déjà elle a quitté notre étreinte, me laissant la, pantelant a mes liens et à ma
chaise. Mais où est-elle donc allée ?
Cela fait quelques minutes qu’elle ma laissée mais j’ai encore envie d’elle, je veux
déguster son corps d’ébène à nouveau, je veux maintenant sentir a nouveau la douceur
de sa langue sur mon sexe. Je suis toujours attache mais le désir est là encore,
l’image de son corps brillant de sudation hante mon esprit et je crie : Maria viens !
Maria je t’aime ! Maria ne me laisse pas sans toi !, Maria je veux faire corps avec
toi ! Maria revient ! Et elle revint, quelques minutes plus tard, douchée parfumée,
nue, sa douceur est la de nouveau et elle m’embrasse. J’aime ses baisers gourmands et
passionnés, j’aime ses lèvres pulpeuses, j’aime sa langue agile et inquisitrice, mon
corps s’échauffe à nouveau, mon sexe se durcit. Elle se colle à moi, nue, cuisses
écartées, elle ressent mon sexe durcit contre son pubis et je devine aux mouvements
secs de ses hanches qu’elle aussi me désire encore ! Ses petits seins sont durs, et je
sens ses tetons contre les miens. Un moment se passe ou nous nous les cherchons, ou
nous nous les trouvons, ou nous les reperdons, mais le jeu est si excitant que nous le
faisons durer de longues minutes. Au bout d’un moment, son visage glisse alors contre
mon corps, contre mes tetons qu’au passage elle ne se prive pas de sucer, je sens la
pointe de sa langue glisser le long de mon ventre, puis glisser le long de mes
cuisses, les contourner et s’arrêter entre mes fesses. Elle me suce l’anus avec
douceur mais fermement, et cette douce caresse m’embrasse. Mais c’est mon sexe qu’elle
veut maintenant, et ma verge si dure sera avalée d’un coup. Elle me laisse le choix du
rythme et je pénètre et sors lentement et amplement de sa bouche, j’essaye d’aller
bien au fond et sa langue me caresse le gland avec amour et passion. A ce moment ma
Maria s’enflamme, sa chatte gourmande de plaisir palpite du désir d’être pénétrée mais
ma verge est au fond de sa bouche. Qu’importe, le vibro est à cote et d’une pression
ma Belle Maria le démarre et se l’introduit avec douceur en lui faisant faire d’amples
aller et retour au fond de son intimité. Je sens son envie de jouir monter à l’ardeur
qu’elle met maintenant à me sucer le gland. Je suis tendu, ma verge est dure comme le
roc, elle est énorme, la bouche de ma belle est pleine de ma chair brulante durcie par
l’envie, le sexe en allant et venant dans sa bouche lui procure cette sensation inouïe
de pénétration totale, mon envie monte en flèche et d’un coup laissant mon sexe hors
de sa bouche, elle crie, elle râle en se trémoussant autour du vibro, son plaisir est
venu si vite, si intense, pénétrée qu’elle est par tous ses orifices de femme. Mais il
n’y a pas d’apaisement pour autant car la voici qui se remet à me sucer de plus belle.
Je suis comme un fou, je suis à elle, je lui appartiens, sa langue me masse le sexe en
rythme la pression monte et alors que je sens l’orgasme imminent, elle m’introduit son
vibro activé et ruisselant de son humidité dans l’anus. L’engin glissant me pénètre
un peu et la vibration m’excite encore un peu plus. Le désir est incroyable et je sens
la brulure de la jouissance arriver. Je ne maitrise plus rien et quand d’un coup je me
libère dans sa bouche c’est une explosion, je crie mon plaisir, je crie mon bonheur de
lui libérer mon sperme entre ses lèvres, mon sperme gicle comme un tsunami, une
première fois, puis encore et encore, la quantité est énorme, sa bouche ne suffit
plus, le sperme s’écoule de sa bouche tuméfiée par les coups de boutoir, le sperme
gicle en salves continues, n’en pouvant plus elle s’écarte, mais rien n’y fait, une
verge monstrueuse continue à expulser son liquide blanc et épais , son visage d’ébène
est maculé de semence crémeuse, le liquide s’écoule entre ses seins, elle se l’étale
généreusement sur tout le corps, sur les seins, il y en a une quantité ahurissante,
jamais mon corps n’a fait cela, je suis dans un autre monde, je vois mais ne comprends
plus. Ma Belle baigne dans le sperme et mon corps se vide de toute sa substance, je me
vide petit à petit, pour elle, par amour pour elle, je me meurs, je suis vidé …
Bip –bip – bip – bip – bip
Quatrième partie : petite mort
Je suis en nage dans mon lit, l’enseigne clignotante de l’hôtel baigne ma chambre de
reflets verts, mon réveil sonne, d’un doigt je l’arrête. Je suis réveillé, seul dans
mon grand lit. J’ai rêvé, j’ai fait le rêve le plus beau qui puisse être. Mais
maintenant je suis seul, désespérément seul, personne avec qui partager ce qui aurait
pu être un si grand bonheur.
Maria n’existe pas. Mais dans la symbolique des rêves, allez savoir qui elle
symbolise ! J’ai connu une Femme inoubliable un jour. Nous avons fait l’amour quelques
rares fois. Nous nous étions rencontrés une froide soirée de décembre, il y a bien
longtemps, en 2010 je crois mais je n’en suis bien plus sur car ma mémoire défaille un
peu maintenant. Je l’ai aimée, je l’aime toujours, je l’aimerai toute ma pauvre vie.
Était-elle ce symbole ? Je ne la vois plus, elle est partie de ma vie réelle, sans
doute lassée de tout ce qui me concerne, lassée des incompréhensions, lassée du mal
d’aimer.
Je suis seul maintenant, je suis d’une tristesse infinie, mon visage est inondé de
larmes, des torrents de larmes. Notre aventure fut un rêve, le plus beau des rêves. Il
n’en reste rien, plus rien ou presque. Au crépuscule de ma vie, c’est le plus beau
souvenir que je me remémore de ma vie. Il n’y a rien de plus beau que des êtres qui
s’aiment et se désirent et rien de plus triste que des êtres qui se croisent et se
détruisent par incompréhension mutuelle.
Sans doute ces deux Âmes blessées le comprendront un jour au royaume des cieux. Puisse
Dieu le leur permettre sur cette Terre avant l’irréparable.
C'était un vendredi soir d'automne.
Le doux soleil d'été avait laissé sa place au vent et a un petit crachin pénétrant.
L'envie n'était certes pas à musarder sur la plage ou de se promener au cœur de la
vieille ville. L'envie était ailleurs, l'envie que chacun de nous peut ressentir avec
cette oppression au niveau de la poitrine, l'envie qui se manifeste enfin quand on
sait qu'on va rencontrer la personne aimée.
Il me restait à présent encore quelques dizaines de kilomètres de route avant
l'arrivée chez ma Belle. En approchant de cette douce destination, je me remémorais
son doux visage et sa silhouette élancée ; je sentais mon cœur qui se mettait a battre
de plus en plus fort, je ressentais cette sensation faite d'angoisse et de désir au
creux de mon estomac. Je n'étais plus bien loin, mon esprit ne réfléchissait plus,
comme guidé par un aimant vers cette destination. Mon cœur battait si fort que je
pouvais a peine me concentrer sur la conduite. La voie ferrée, encore une rue à
gauche, puis à droite, enfin la maison au fond du lotissement avec ses volets clos. Je
garais alors la voiture maladroitement devant la haie et stoppais le moteur. Le
silence était intense, mon émoi à son paroxysme. Quittant la voiture pour me diriger
vers la maison, je marchais lentement vers la porte, mes pas faisant crisser le
gravier. Et me voici devant l'entrée. Je frappais un peu, timidement puis un peu plus
fort.
La porte s'ouvrit.
Dans la lumière tamisée de son séjour, elle était la. Magnifique, souriante, fière et
ne disait mot. Alors que je passais la porte, ému, elle se recula de quelques pas, je
refermais la porte et nous restâmes un long moment face a face, silencieux à nous
regarder. Elle était si belle ! Elle portait une petite nuisette rouge très courte qui
couvrait a peine ses jambes si longues ; son décolleté était ample et elle portait
comme bijou, un seul petit cœur de cristal, posé sur sa poitrine entre ses seins de
Déesse. La lumière jouait sur le cristal qui se parait de mille feux quand sa peau de
satin d’une si délicate texture, luisait doucement sous la lumière tenue. Et elle
souriait de ses yeux si beaux, sa bouche sensuelle était entr'ouverte comme un appel
auquel je n'allais pas pouvoir résister longtemps (à suivre).
Deuxième partie : la tempête
En un éclair nous nous enlaçâmes, corps contre corps, nos lèvres se touchèrent et se
dévorèrent, nos langues se caressèrent et mêlèrent alors avec une force inouïe, un
moment j'étais en elle, l'instant d'après elle était en moi. Mes mains caressaient son
visage et les siennes me serraient si fort contre elle que nos baisers de brulants
devinrent torrides. Je la dévorais, elle me dévorait, nos bouches étaient ouvertes,
béantes, et ne faisaient plus qu'une. De longues minutes nous restâmes a nous
embrasser avec sauvagerie sur le pas de la porte et notre désir de l'autre montait,
montait. Mon corps collé au sien, je sentais le mouvement lascif de ses hanches contre
moi, je sentais le désir monter encore en moi. Mon sexe était dur maintenant et je
l’appuyais fortement contre son bas ventre ce qui accentua encore ses mouvements
saccades. A un moment nous cessâmes de nous embrasser pour nous regarder
intensivement, les yeux dans les yeux, un volcan était en nous, et il allait entrer en
une éruption cataclysmique très bientôt, nous n'avions aucun doute là-dessus.
Elle me prit alors la main avec beaucoup de tendresse et me conduisit vers son salon.
Il y avait là une bouteille d'un bon Champagne et deux flutes. Nous nous assîmes côte
à côte et en un clin d'œil, les verres furent remplis. Le vin pétillait finement et
sa douce couleur ambrée avait quelque chose de magique. Nos corps se touchaient, les
yeux dans les yeux, nous nous saisîmes des verres et une gorgée de Champagne m'inonda
la bouche. Le Champagne était si bon, le désir si fort, que je m'approchai alors de ma
Belle qui compris instantanément mes intentions en entr'ouvrant ses lèvres et en se
basculant légèrement en arrière ; posant mes lèvres sur les siennes j'entrepris alors
de laisser glisser un filet de Champagne dans sa bouche. Je compris alors que je
venais de mettre le feu à nos corps. Le baiser qui s'en suivi fut d'une intensité,
d'une force à peine croyable. Nos bouches était colles l'une à l'autre, nos langues se
retrouvaient déjà et se mêlaient en une sorte de corps à corps forcené. D'un seul
coup, ma Belle se redressa alors et me bascula à mon tour au fond du canapé en me
tenant les mains plaquées contre le cuir du fauteuil. Sa bouche quitta la mienne et
elle me lécha tout le visage, mes yeux, mon nez, mes joues, mes oreilles avec une
avidité incroyable. Sa langue et ses lèvres humides de salive me procuraient une
excitation intense et je m'abandonnais alors un moment a son ardeur en fermant les
yeux, le corps en feu, goutant avec délice ce flux brulant qu’elle me dispensait avec
tant d’amour. Elle me tenait prisonnier de ses mains et de ses hanches, elle
m’embrassait maintenant le cou et après avoir entrouvert ma chemise, glissa sa bouche
sur ma poitrine et me suça un sein, puis l’autre avec beaucoup de douceur et de
délicatesse. Mon corps tout entier se tendit de désir, mon sexe brulant venait de se
durcir encore davantage contre sa chatte animée d’un puissant mouvement de va et
vient. Relâchant un peu l’emprise de ses mains, elle me permit alors de la caresser :
d'abord la nuque puis le visage, les épaules et la peau de son décolleté profond. Elle
était la sur moi, elle vibrait de son désir si fort, sa peau douce et brulante de
métisse des iles était devenue mon obsession et mes mains caressaient sa poitrine, je
sentais les pointes de ses seins se durcir, ma Belle brulait intérieurement. C'en
était trop pour moi, je fis glisser ses bretelles sur le côté et ses seins jaillirent
avec force, magnifiques ! Leurs pointes étaient dressées par le désir et sous la
caresses de mes doigts ils se mirent a durcir encore plus tandis que ma Belle fermait
ses yeux si doux et se cambrait en arrière comme pour mieux s’offrir à mon regard
envieux. Me tenant toujours entre ses cuisses, elle relâcha son étreinte en écartant
ses cuisses largement et elle frotta sa chatte encore plus fort sur ma verge durcie
par le désir, ses seins étaient si proche de ma bouche que je les saisissais dans mes
mains en les serrant un peu tandis que mes lèvres les attrapaient, ma langue entoura
une pointe et d'un long mouvement circulaire je suçais la pointe sur tout son
pourtour. Ma Belle s’abandonnait à mes caresses et sa respiration s'accélérait, un
doux râle de plaisir s'échappait de sa gorge, mais ma bouche et ma Belle en voulaient
encore plus et mes lèvres se refermèrent sur leurs pointes en les serrant bien fort et
en aspirant en rythme de plus en plus fort et de plus en plus rapide tandis que
j'enserrais l'autre téton entre un pouce et un index humidifiés de salive. Les pointes
de ses seins étaient maintenant très dures et mon plaisir intense de les sentir
glisser entre mes lèvres était décuplé par les cris de bonheur de ma petite chérie qui
s’embrasait de plaisir ; de temps à autre je laissais un téton pour un moment et
enfouissait mon visage entre ses 2 seins, tandis que mes hanches à leur tour étaient
prises d'un mouvement de va et vient contre l'entrecuisse de ma Belle. Ma verge était
bien dure aussi maintenant mais l'étoffe de mon jean atténuait quelque peu la
sensation du frottement contre le ventre de ma chérie. Son râle était si fort
maintenant, mon désir si intense, qu'elle s’arracha a moi pour déboutonner mon
pantalon et le faire descendre le long de mes jambes. Au même moment je dégrafais sa
robe et la fis glisser sur le côté. Nous étions intégralement nus, mon sexe était
décalotté et d’une raideur incroyable, le gland était rouge d’un désir fou comme prêt
à exploser. Elle se baissa alors un peu et saisit ma verge a pleine bouche pendant
quelques instants. Elle se rendit compte que mon désir était si fort que Je ne voulais
pas jouir de suite aussi, d'un doux mais ferme mouvement elle me laissa m'esquiver le
temps que nos corps en ébullition ne glissent sur le tapis du salon et en m'allongeant
sur le dos, elle compris que je voulais la gouter maintenant. La Belle était à genoux,
ses cuisses écartées et moi, je me glissais petit à petit sous elle en lui tenant
fermement les seins entre mes mains. Ma bouche était alors si près de ses cuisses que
mes lèvres s'y posèrent en un long baiser tandis que mes mains glissaient le long de
ses seins puis sur son ventre et autour de ses reins. Mes mains étaient chaudes et
douces mais fermes et elles glissèrent le long de ses fesses et entre ses fesses
pendant que ma bouche remontait en de doux baiser vers l'intérieur de ses cuisses.
C'est alors qu'elle se laissa basculer en arrière écartant ses cuisses largement,
offrant à ma vue une petite chatte toute rose et gourmande de ma virilite. J’étais fou
de désir et d’envie et sans attendre, je plongeais mon visage entre ses cuisses ma
bouche entr'ouverte je posais un doux baiser sur son sexe, puis un autre plus appuyé,
et encore un autre. Je lui embrassais maintenant son sexe avec délice et gourmandise,
ma langue l'explorant de long en large de droite a gauche et aussi profond que je le
pouvais. Sa chatte était humide et petit à petit elle s’ouvrait de plus en plus
largement pendant que mes doigts lui pénétraient avec douceur sa petite rondelle
d’amour. J’étais gourmand d’elle et restait ainsi de longues minutes à la lécher, a la
sucer, a l’embrasser et à lui titiller son petit bouton en rythme avec ma langue et
mes lèvres. C’était si bon, je bandais comme un fou, ma petite femme respirait fort,
de façon saccadée un désir de plus en plus puissant envahissait son corps si tendu et
je redoublais d’ardeur en lui dévorant littéralement mais avec douceur son bouquet
d’amour écartelé. C’est alors qu’elle explosa de bonheur en hurlant son plaisir, elle
se mit à jouir, son sexe était un volcan, une déferlante de plaisir, ses hanches une
tempête me ballotant en tous sens, mais je m’accrochais, ses doigts crispés de féline
me labouraient le dos de ses ongles, j’étais scotche a cette source de féminité
ultime que je dégustais et dont je m’enivrais avec tant d’avidité, son parfum était
subtil, son gout délicieux, la femme que j’aime avait ce gout d’absolu, ce gout qu’on
ne rencontre que de rares fois dans une vie, elle était la Femme Absolue de douceur et
de bonheur : ma Belle ne contrôlait plus rien sinon son abandon a un plaisir puissant
la pénétrant dans tout son corps, son sexe palpitait de bonheur, ses seins pointaient
vers le ciel ; son orgasme dura longtemps, longtemps, entretenu par ma langue
amoureuse de son intimité, et quand ce fut fini, quand son brasier intérieur se fut
calmé, elle chancela, ses muscles se détendirent, sa respiration s’apaisa lentement,
ses yeux s’entrouvrirent de nouveau après de longues minutes et elle m’adressa le plus
beau sourire que je n’ai jamais vu : un sourire fabuleux, un sourire que sa bouche si
sensuelle savait si bien exprimer, un sourire d’Amour que jamais, jamais je ne pourrai
oublier. J’étais comblé par le bonheur de ma Belle et étais un homme heureux mais mon
feu intérieur, bien qu’un peu calme couvait et je la désirais si fort. Je m’approchais
alors de son visage détendu en lui glissant de doux mots d’amour et c’est alors que
je perdis connaissance (à suivre).
Troisième partie : tsunami
J’ai mal a la tête, ou suis-je ?
Petit à petit mon esprit embué se réveille. Que s’est-il passé ?
Oui je me souviens, l’amour avec ma petite chérie et je … mais que se passe-t-il, je
suis assis bras et jambes écartes sur une chaise, attache au mur, j’ai un peu froid,
je suis nu, comme écartelé entre 4 coins, la pièce est noire, pas de lumière, mais
elle n’est pas vide, je sens comme une présence, une respiration et la douce odeur
d’un corps de femme fraichement douché. Il y a comme un feulement très doux comme le
doux bruit d’une peau qui en frôle une autre et alors que mon esprit cherche a
comprendre, le craquement d’une allumette et une bougie qui s’allume a l’extrémité de
la pièce, une main brune qui me donne une caresse sur le visage, un baiser très
tendre, très pudique sur mes lèvres, sur mon front, sur mes yeux, c’est si doux que je
me laisse aller. Mais le baiser devient plus insistant et l’instant d’après il me
dévore la bouche mais je suis lié : victime potentielle ou chair a plaisir ? Je me
plaisais à imaginer la seconde solution quand je sentis un corps se glisser près de
moi. Oui je le connais ce corps, une peau brune, j’ai reconnu ses baisers fougueux,
je reconnais la texture de cette peau et les pointes de seins durcies sont familière a
mes lèvres et à ma langue. Je suce, je lèche tout ce qui m’est présenté, mais cela ne
dure guère car la belle s’occupe maintenant de mes tetons aussi sensibles que les
siens ou presque. Je sens sa bouche descendre sur ma poitrine et s’enfouir dans ma
pilosité, je sens sa bouche qui me titille un teton pendant que ses doigts caressent
l’autre, je sens un désir immense monter en moi, mon corps se cambre, mes muscles se
tendent ma verge se durcit très vite et se redresse, je voudrais lécher son sexe à
nouveau, m’imprégner de son délicat parfum et déguster sa sublime saveur mais je ne
peux pas, je suis à la merci de ma Belle. De longues minutes elle reste à me caresser
le bout des seins avec une douceur toute féminine, je suis accro à ses caresses, mon
désir de la posséder est immense, ma verge est tendue et gonflée de désir, la peau de
mon gland a glissé et il est la rouge de désir, gonflé a bloc, je n’en peux plus de
résister. Sa bouche quitte alors ma poitrine et petit à petit descend le long de mon
ventre. Et là, je la sens se glisser entre mes jambes, je sens ses mains prenant appui
sur mes cuisses, je sens les pointes de ses seins contre mon ventre et puis un sein
contre mon sexe et puis l’autre, et puis soudain, elle s’agenouille et sa bouche
entrouverte pose un baiser sur mon sexe, puis un autre baiser et elle l’introduit dans
sa bouche d’un coup. Mon désir est immense, je sens ses lèvres aller et venir en
rythme, je sens sa langue déguster mon gland, je sens ses mains serrant fort la base
de mon sexe pour le faire durcir encore plus fort et j’imagine sa chatte en feu toute
humide de désir. Sa peau halée qui luit légèrement dans le contrejour de la lumière
vacillante est une invitation a l’amour. Quand elle sent que mon plaisir peut venir
vite, elle ralentit, elle me resuce alors les seins, m’embrasse avec fougue, me lèche
le visage et puis retourne à mon sexe si fier d’être à une telle fête. Je bande comme
jamais, la peau de mon sexe est tendue à l’extrême comme s’il allait éclater, je suis
à sa merci, elle décide ou quand et comment elle va m’utiliser, ma verge toute entière
pénètre sa bouche et ses mains sur mes boules je suis en feu, je râle de plaisir, mon
corps entier est saisi d’un désir fou, j’ai envie de me libérer en elle, j’ai envie
qu’elle vienne en moi, je brule de désir. Ses mains glissent alors autour de mes
fesses, entre mes fesses et elle me caresse doucement ce qui provoque en moi une
nouvelle pulsion de volupté. Je veux exploser, mon sexe est tendu vers elle et alors,
d’un bond, elle se redresse et me colle sa chatte humide de désir sur le visage ! Ah
que c’est bon, elle est brulante, dilatée, son parfum m’enivre, son gout suave me
fascine, ma langue et ma bouche se glissent entre ses lèvres largement ouvertes, je
sens son petit clito qui gonfle sous le désir, je le suce le lèche doucement puis plus
fort, elle râle de bonheur, sa chatte est ouverte et béante, elle n’en peut plus non
plus d’attendre. D’un coup de pied, elle jette la chaise sur le cote et me voilà
debout quand elle s’empale sur ma verge en me dévorant la bouche avec sa langue. Ah je
sens mon sexe en elle dans sa féminité en feu, elle va elle vient, je vais et je viens
au même rythme, je sens sa chatte qui se contracte en enserrant ma queue très fort, le
plaisir est si intense, je me projette plus en avant encore, je suis à fond en elle
quand je vais, je sors presque quand je viens et brutalement j’y retourne, a une
vitesse de plus en plus rapide, je sens par ma verge sa chatte palpiter en rythme,
c’est géant, je sens la brûlure en moi qui se précise, le prélude à la jouissance.
Alors, elle hurle de plaisir à ce moment et je sens mon corps entier qui se contracte
et d’un coup explose puissamment en elle, une fois, deux fois, trois fois, je ne sais
plus, je hurle mon plaisir, nos bouches se séparent comme pour mieux hurler notre
bonheur, mon corps est d’un coup libéré de toute sa tension accumulée, je ressens mon
sperme qui se rue en elle et qui s’écoule ensuite le long de ses cuisses, elle le
ressent également son cri me résonne dans la tête comme la récompense ultime de notre
amour. Elle a explosé de bonheur, j’ai explosé de bonheur en elle, nous sommes
comblés, Je suis vidé, épuisé. Je l’aime, je l’aime, j’aurais voulu le lui crier mais
déjà elle a quitté notre étreinte, me laissant la, pantelant a mes liens et à ma
chaise. Mais où est-elle donc allée ?
Cela fait quelques minutes qu’elle ma laissée mais j’ai encore envie d’elle, je veux
déguster son corps d’ébène à nouveau, je veux maintenant sentir a nouveau la douceur
de sa langue sur mon sexe. Je suis toujours attache mais le désir est là encore,
l’image de son corps brillant de sudation hante mon esprit et je crie : Maria viens !
Maria je t’aime ! Maria ne me laisse pas sans toi !, Maria je veux faire corps avec
toi ! Maria revient ! Et elle revint, quelques minutes plus tard, douchée parfumée,
nue, sa douceur est la de nouveau et elle m’embrasse. J’aime ses baisers gourmands et
passionnés, j’aime ses lèvres pulpeuses, j’aime sa langue agile et inquisitrice, mon
corps s’échauffe à nouveau, mon sexe se durcit. Elle se colle à moi, nue, cuisses
écartées, elle ressent mon sexe durcit contre son pubis et je devine aux mouvements
secs de ses hanches qu’elle aussi me désire encore ! Ses petits seins sont durs, et je
sens ses tetons contre les miens. Un moment se passe ou nous nous les cherchons, ou
nous nous les trouvons, ou nous les reperdons, mais le jeu est si excitant que nous le
faisons durer de longues minutes. Au bout d’un moment, son visage glisse alors contre
mon corps, contre mes tetons qu’au passage elle ne se prive pas de sucer, je sens la
pointe de sa langue glisser le long de mon ventre, puis glisser le long de mes
cuisses, les contourner et s’arrêter entre mes fesses. Elle me suce l’anus avec
douceur mais fermement, et cette douce caresse m’embrasse. Mais c’est mon sexe qu’elle
veut maintenant, et ma verge si dure sera avalée d’un coup. Elle me laisse le choix du
rythme et je pénètre et sors lentement et amplement de sa bouche, j’essaye d’aller
bien au fond et sa langue me caresse le gland avec amour et passion. A ce moment ma
Maria s’enflamme, sa chatte gourmande de plaisir palpite du désir d’être pénétrée mais
ma verge est au fond de sa bouche. Qu’importe, le vibro est à cote et d’une pression
ma Belle Maria le démarre et se l’introduit avec douceur en lui faisant faire d’amples
aller et retour au fond de son intimité. Je sens son envie de jouir monter à l’ardeur
qu’elle met maintenant à me sucer le gland. Je suis tendu, ma verge est dure comme le
roc, elle est énorme, la bouche de ma belle est pleine de ma chair brulante durcie par
l’envie, le sexe en allant et venant dans sa bouche lui procure cette sensation inouïe
de pénétration totale, mon envie monte en flèche et d’un coup laissant mon sexe hors
de sa bouche, elle crie, elle râle en se trémoussant autour du vibro, son plaisir est
venu si vite, si intense, pénétrée qu’elle est par tous ses orifices de femme. Mais il
n’y a pas d’apaisement pour autant car la voici qui se remet à me sucer de plus belle.
Je suis comme un fou, je suis à elle, je lui appartiens, sa langue me masse le sexe en
rythme la pression monte et alors que je sens l’orgasme imminent, elle m’introduit son
vibro activé et ruisselant de son humidité dans l’anus. L’engin glissant me pénètre
un peu et la vibration m’excite encore un peu plus. Le désir est incroyable et je sens
la brulure de la jouissance arriver. Je ne maitrise plus rien et quand d’un coup je me
libère dans sa bouche c’est une explosion, je crie mon plaisir, je crie mon bonheur de
lui libérer mon sperme entre ses lèvres, mon sperme gicle comme un tsunami, une
première fois, puis encore et encore, la quantité est énorme, sa bouche ne suffit
plus, le sperme s’écoule de sa bouche tuméfiée par les coups de boutoir, le sperme
gicle en salves continues, n’en pouvant plus elle s’écarte, mais rien n’y fait, une
verge monstrueuse continue à expulser son liquide blanc et épais , son visage d’ébène
est maculé de semence crémeuse, le liquide s’écoule entre ses seins, elle se l’étale
généreusement sur tout le corps, sur les seins, il y en a une quantité ahurissante,
jamais mon corps n’a fait cela, je suis dans un autre monde, je vois mais ne comprends
plus. Ma Belle baigne dans le sperme et mon corps se vide de toute sa substance, je me
vide petit à petit, pour elle, par amour pour elle, je me meurs, je suis vidé …
Bip –bip – bip – bip – bip
Quatrième partie : petite mort
Je suis en nage dans mon lit, l’enseigne clignotante de l’hôtel baigne ma chambre de
reflets verts, mon réveil sonne, d’un doigt je l’arrête. Je suis réveillé, seul dans
mon grand lit. J’ai rêvé, j’ai fait le rêve le plus beau qui puisse être. Mais
maintenant je suis seul, désespérément seul, personne avec qui partager ce qui aurait
pu être un si grand bonheur.
Maria n’existe pas. Mais dans la symbolique des rêves, allez savoir qui elle
symbolise ! J’ai connu une Femme inoubliable un jour. Nous avons fait l’amour quelques
rares fois. Nous nous étions rencontrés une froide soirée de décembre, il y a bien
longtemps, en 2010 je crois mais je n’en suis bien plus sur car ma mémoire défaille un
peu maintenant. Je l’ai aimée, je l’aime toujours, je l’aimerai toute ma pauvre vie.
Était-elle ce symbole ? Je ne la vois plus, elle est partie de ma vie réelle, sans
doute lassée de tout ce qui me concerne, lassée des incompréhensions, lassée du mal
d’aimer.
Je suis seul maintenant, je suis d’une tristesse infinie, mon visage est inondé de
larmes, des torrents de larmes. Notre aventure fut un rêve, le plus beau des rêves. Il
n’en reste rien, plus rien ou presque. Au crépuscule de ma vie, c’est le plus beau
souvenir que je me remémore de ma vie. Il n’y a rien de plus beau que des êtres qui
s’aiment et se désirent et rien de plus triste que des êtres qui se croisent et se
détruisent par incompréhension mutuelle.
Sans doute ces deux Âmes blessées le comprendront un jour au royaume des cieux. Puisse
Dieu le leur permettre sur cette Terre avant l’irréparable.
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