Mariages avortés
Récit érotique écrit par J A [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mariages avortés
Voici deux histoires identiques… ou presque. Je vous laisse choisir votre préférée.
- Mademoiselle Patricia K. voulez-vous prendre monsieur Marc V. ici présent pour époux ?
- Oui, je le veux.
- Monsieur, Marc V. voulez-vous prendre mademoiselle Patricia K. ici présente, pour épouse ?
- Non, je refuse.
Le temps suspendit son vol. La petite salle des mariages de la mairie n’accueillait pas beaucoup de monde ce jeudi après-midi. La grande cérémonie était prévue samedi à l’église, avec la famille, les amis, les collègues et tous ces invités que les mariés ne connaissent pas vraiment, mais à qui leurs parents doivent quelque chose.
Cette petite cérémonie intime ne réunissait que les proches. Les parents et la petite sœur de Marc. Les parents de Patricia, sa grande sœur Vanessa et son époux, son cousin Gérard et son épouse. Onze personnes, ni plus, ni moins. Les deux sœurs leur servant de témoins.
Marc vit sa mère et sa sœur sortir de la pièce, sans regarder ni saluer qui que ce soit. Son père s’approcha et lui mit la main sur l’épaule. Dans son regard on voyait son amour inconditionnel et sa peine pour son fils. Sa colère aussi, contre ceux qui lui avaient fait du mal. Il fit demi-tour et sortit derrière sa femme et sa fille.
Marc se retrouva seul face à sa presque belle-famille. Personne n’avait encore vraiment saisi, croyant peut-être à une surprise de dernière minute. En voyant le père de Marc sortir, Patricia fut la première à réagir.
- Marc, tu peux m’expliquer ce qui se passe ? Où vont tes parents et ta sœur ?
- Bien sûr que je peux. Ils rentrent à la maison. La cérémonie est terminée, j’ai refusé de t’épouser.
- Comment ça refusé ? Ça fait des mois qu’on prépare le mariage, tous les invités viendront samedi, on ne peut pas annuler.
- Si, puisque je viens de le faire.
Ce fut le moment que choisit le presque beau-papa, pour se mettre à hurler. Son gendre dut le retenir, car il voulait casser la gueule du salaud qui jetait sa fille et gâchait son mariage. Patricia pleurait, sa mère sanglotait, Vanessa essayait de consoler sa mère et sa sœur, avec l’aide de la femme de Gérard, qui lui, aidait à retenir son oncle.
- SILENCE ! Certains d’entre vous méritent des explications.
Tous se tournèrent vers Marc qui avait élevé la voix. Avant que le cirque ne recommence, il se lança dans les explications.
- Patricia a emménagé chez moi, il y a trois mois. Elle a mis un moment à trouver ses marques à la maison. J’imagine que c’est pour cela que j’ai trouvé un test de grossesse à peine caché, dans la poubelle que j’allais jeter. Ça a été un choc pour moi. Elle ne supporte pas la pilule, je dois donc toujours mettre des préservatifs. Alors pourquoi ce test ?
Patricia avait cessé de pleurer, on lisait de l’angoisse dans ses yeux. Tous les regards étaient braqués sur Marc et ils attendaient la suite des explications. Il sourit et continua.
- Si ce n’était pas avec moi, c’était avec un autre qu’elle avait pris des risques. Cocu avant le mariage, ça a été dur à encaisser. J’en ai trouvé d’autres les jours suivants, bien mieux cachés. J’imagine qu’ils ont oublié les précautions élémentaires au moins une fois et paniquée, Patricia a contrôlé pendant quelques jours. J’ai décidé de la surveiller, mais cela a été un demi-succès. J’ai deviné qui était son amant, mais je n’avais pas de preuves. Ils étaient super prudents.
Marc regarda autour de lui et vit à ce moment-là, que les officiels avaient aussi quitté la pièce. Il les avait complètement oubliés.
- Je décidais donc de forcer ma chance et j’inventais un congrès de cinq jours.
- Ton congrès, d’il y a trois semaines était faux ?
- Oh que oui. Je savais que l’occasion serait trop belle pour vous et il fallait que je sache si mes déductions étaient justes. J’ai logé chez un copain à qui j’ai expliqué la situation et qui m’a aidé.
- Mais tu m’as menti !
- De la part d’une spécialiste, c’est un compliment.
Patricia était toute pâle et tremblait comme une feuille. Elle se laissa tomber dans l’un des deux fauteuils pour les mariés.
- Pat, tu ne fais jamais attention à ce qui t’entoure. Dans le salon il y a mon pc dans un coin avec une webcam et dans la chambre, il y a mon portable qui en a une intégrée. Je suis un geek, je les ai contrôlés à distance avec ma tablette.
- Non, non… ce n’est pas possible.
- Je les ai disposés pour avoir une vue parfaite sur le canapé et le lit. Et là, Bingo ! J’ai eu les preuves.
- Non, tu n’as pas fait ça ? Mais pourquoi ?
- Pourquoi ? Tu plaisantes j’espère ? Nous ne sommes pas mariés, mais c’est un adultère, la fidélité n’est pas élastique. Quand on est en couple, on se doit l’un à l’autre.
- On aurait pu en discuter.
- Parce que tu comptais m’en parler si je n’avais rien découvert ? Quand ? Apparemment pas avant le mariage, vu que tu as dit oui à l’instant. Avant la nuit de noces ? Avant le mariage à l’église… pour éviter l’enfer ?
- Non, tu déformes mes propos, ce n’est pas ce que je voulais dire.
- Tu ne voulais surtout rien dire. Si je n’avais pas découvert que tu avais un amant, tu ne m’en aurais jamais parlé et on serait mariés maintenant.
- Tu as attendu d’être devant le maire pour m’humilier ?
- En partie. Tu as pu goûter à ta propre médecine. Mais d’un autre côté, j’ai profité de la seule occasion où tous les protagonistes étaient réunis.
- Non, tu n’as pas le droit.
- Oh que oui ! Si j’ai amené ma tablette, ce n’était pas pour filmer, mais pour regarder des vidéos.
Marc prit sa tablette et lança une vidéo. Le son était coupé. On y voyait Patricia faire une fellation à un homme assis sur le canapé et presque entièrement flouté. Elle s’appliquait et l’engloutissait entièrement, puis elle le masturbait en le léchant avant de le reprendre en bouche. Quelques minutes plus tard, il jouissait pendant qu’elle le gardait au fond de sa gorge. Patricia se relevait et montrait à son amant qu’elle avait tout avalé. Elle le prenait par la main et ils disparaissaient. L’image changeait et on les voyait arriver sur le lit, l’homme toujours flouté. Ils se déshabillaient et son amant lui rendait la politesse en lui faisant un cunnilingus. Après qu’elle ait joui plusieurs fois, son amant à nouveau excité la mettait à quatre pattes et entamait une levrette. Après quelques minutes et un nouvel orgasme de Patricia, il reculait et s’enfonçait brusquement dans ses fesses. On devinait qu’elle hurlait de plaisir sous les coups de boutoir de son amant. Celui-ci finissait par se vider dans ses entrailles et exténué, se couchait à côté d’elle.
- Avant que vous ne me posiez la question, l’amant est masqué pour une bonne raison.
Marc voyait une autre personne du groupe se défaire. Il n’y avait pas d’échappatoire ; c’était une des raisons d’avoir attendu ce moment pour annuler le mariage.
- Au fait Patricia, est-ce que tu savais que ta sœur avait le même amant que toi quand tu lui as prêté l’appartement ?
Vanessa devint blanche. La tête de stupéfaction de Patricia était un poème. Il avait vu juste, ni l’une ni l’autre ne savait qu’elles couchaient avec le même homme.
- Avant de vous quitter, je vous envoie à tous les vidéos non censurées avec le son. Au plaisir de ne jamais vous revoir.
Marc était sorti et avançait dans le couloir, quand il entendit hurler son ex-futur beau-père.
- QUOI ? ESPECE DE SALAUD ! JE VAIS TE TUER !
Marc apprit la suite par les médias. Pendant une cérémonie de mariage, le père de la mariée, aidé par son gendre, avait jeté son neveu par la fenêtre. Tout semblait lié à un adultère, mais la victime ne voulait pas porter plainte, malgré de nombreuses fractures.
Quelle famille de dingues, Marc l’avait échappée belle.
On recommence la même histoire
- Monsieur Marc V. voulez-vous prendre mademoiselle Patricia K. ici présent pour épouse
- Oui, je le veux.
- Mademoiselle Patricia K. voulez-vous prendre monsieur Marc V. ici présente, pour époux ?
- Non, je refuse.
Le temps suspendit son vol. La petite salle des mariages de la mairie n’accueillait pas beaucoup de monde ce jeudi après-midi. La grande cérémonie était prévue samedi à l’église, avec la famille, les amis, les collègues et tous ces invités que les mariés ne connaissent pas vraiment, mais à qui leurs parents doivent quelque chose.
Cette petite cérémonie intime ne réunissait que les proches. Les parents et le petit frère de Patricia. Les parents de Marc, son grand frère Valentin et son épouse, sa cousine Géraldine et son époux. Onze personnes, ni plus, ni moins. Les deux frères leur servant de témoins.
Patricia vit son père et son frère sortir de la pièce, sans regarder ni saluer qui que ce soit. Sa mère s’approcha et la prit dans ses bras. Dans son regard on voyait son amour inconditionnel et sa peine pour sa fille. Sa colère aussi, contre ceux qui lui avaient fait du mal. Elle fit demi-tour et sortit derrière son mari et son fils.
Patricia se retrouva seule face à sa presque belle-famille. Personne n’avait encore vraiment saisi, croyant peut-être à une surprise de dernière minute. En voyant la mère de Patricia sortir, Marc fut le premier à réagir.
- Patricia, tu peux m’expliquer ce qui se passe ? Où vont tes parents et ton frère ?
- Bien sûr que je peux. Ils rentrent à la maison. La cérémonie est terminée, j’ai refusé de t’épouser.
- Comment ça refusé ? Ça fait des mois qu’on prépare le mariage, tous les invités viendront samedi, on ne peut pas annuler.
- Si, puisque je viens de le faire.
Ce fut le moment que choisit la presque belle-maman, pour se mettre à hurler. Sa belle-fille dut la retenir, car elle voulait arracher les yeux de la garce qui jetait son fils et gâchait son mariage. Marc pleurait et son père sanglotait, Valentin essayait de consoler son frère et son père, avec l’aide du mari de Géraldine, qui elle, aidait à retenir sa tante.
- SILENCE ! Certains d’entre vous méritent des explications.
Tous se tournèrent vers Patricia qui avait élevé la voix. Avant que le cirque ne recommence, elle se lança dans les explications.
- Marc a emménagé chez moi, il y a trois mois. Il a mis un moment à trouver ses marques à la maison. J’imagine que c’est pour cela que j’ai trouvé un test de grossesse à peine caché, dans la poubelle que j’allais jeter. Ça a été un choc pour moi, je n’en ai fait aucun, alors qui ?
Marc avait repris ses esprits, on lisait de l’angoisse dans ses yeux. Tous les regards étaient braqués sur Patricia et ils attendaient la suite des explications. Elle sourit et continua.
- Si ce n’était pas avec moi, c’était avec une autre qu’il avait pris des risques. Cocue avant le mariage, ça a été dur à encaisser. Je n’en ai pas trouvé les jours suivants, même si je les ai cherchés. J’imagine qu’ils ont oublié les précautions élémentaires au moins un fois et paniqués, ils ont fait un test à la maison. J’ai décidé de surveiller Marc, mais cela a été un demi-succès. J’ai deviné qui était sa maîtresse, mais je n’avais pas de preuves. Ils étaient super prudents.
Patricia regarda autour d’elle et vit à ce moment-là, que les officiels avaient aussi quitté la pièce. Elle les avait complètement oubliés.
- Je décidais donc de forcer ma chance et j’inventais un congrès de cinq jours.
- Ton congrès, d’il y a trois semaines était faux ?
- Oh que oui. Je savais que l’occasion serait trop belle pour vous et il fallait que je sache si mes déductions étaient justes. J’ai logé chez une copine à qui j’ai expliqué la situation et qui m’a aidé.
- Mais tu m’as menti !
- De la part d’un spécialiste, c’est un compliment.
Marc était tout pâle et tremblait comme une feuille. Il se laissa tomber dans l’un des deux fauteuils pour les mariés.
- Marc, tu ne fais jamais attention à ce qui t’entoure. Dans le salon il y a mon pc dans un coin avec une webcam et dans la chambre, il y a mon portable qui en a une intégrée. Je suis une geek, je les ai contrôlés à distance avec ma tablette.
- Non, non… ce n’est pas possible.
- Je les ai disposés pour avoir une vue parfaite sur le canapé et le lit. Et là, Bingo ! J’ai eu les preuves.
- Non, tu n’as pas fait ça ? Mais pourquoi ?
- Pourquoi ? Tu plaisantes j’espère ? Nous ne sommes pas mariés mais c’est un adultère, la fidélité n’est pas élastique. Quand on est en couple, on se doit l’un à l’autre.
- On aurait pu en discuter.
- Parce que tu comptais m’en parler si je n’avais rien découvert ? Quand ? Apparemment pas avant le mariage, vu que tu as dit oui à l’instant. Avant la nuit de noces ? Avant le mariage à l’église… pour éviter l’enfer ?
- Non, tu déformes mes propos, ce n’est pas ce que je voulais dire.
- Tu ne voulais surtout rien dire. Si je n’avais pas découvert que tu avais une maîtresse, tu ne m’en aurais jamais parlé et on serait mariés maintenant.
- Tu as attendu d’être devant le maire pour m’humilier ?
- En partie. Tu as pu goûter à ta propre médecine. Mais d’un autre côté, j’ai profité de la seule occasion où tous les protagonistes étaient réunis.
- Non, tu n’as pas le droit.
- Oh que oui ! Si j’ai amené ma tablette, ce n’était pas pour filmer, mais pour regarder des vidéos.
Patricia prit sa tablette et lança une vidéo. Le son était coupé. On y voyait Marc faire un cunnilingus à une femme assise sur le canapé et presque entièrement floutée. Il s’appliquait à sucer son clitoris et il pénétrait son vagin et son anus avec ses doigts tout en la léchant. Quelques minutes plus tard, elle jouissait lorsqu’il accélérait sa double pénétration. Après lui avoir procuré plusieurs orgasmes, Marc se relevait et montrait à sa maîtresse son visage luisant de ses fluides. Il la prenait par la main et ils disparaissaient. L’image changeait et on les voyait arriver sur le lit, la femme toujours floutée. Ils se déshabillaient et sa maîtresse lui rendait la politesse en lui faisant une fellation. Après qu’il ait jouit pendant qu’elle avalait, sa maîtresse à nouveau excitée se mettait à quatre pattes et réclamait une levrette. Après quelques minutes elle avait un nouvel orgasme. On voyait Marc reculer et s’enfoncer brusquement dans ses fesses. On devinait qu’elle hurlait de plaisir sous ses coups de boutoir de Marc, qui finissait par se vider dans ses entrailles et exténué, se couchait à côté d’elle.
- Avant que vous ne me posiez la question, la maîtresse est masquée pour une bonne raison.
Patricia voyait une autre personne du groupe se défaire. Il n’y avait pas d’échappatoire ; c’était une des raisons d’avoir attendu ce moment pour annuler le mariage.
- Au fait Marc, est-ce que tu savais que ton frère avait la même maîtresse que toi quand tu lui as prêté l’appartement ?
Valentin devint blanc. La tête de stupéfaction de Marc était un poème. Elle avait vu juste, ni l’un ni l’autre ne savait qu’ils couchaient avec la même femme.
- Avant de vous quitter, je vous envoie à tous les vidéos non censurées avec le son. Au plaisir de ne jamais vous revoir.
Patricia était sortie et avançait dans le couloir, quand elle entendit hurler son ex-future belle-mère.
- QUOI ? ESPECE DE SALOPE ! JE VAIS TE TUER !
Patricia apprit la suite par les médias. Pendant une cérémonie de mariage, la mère du fiancé, aidée par sa belle-fille, avait agressé sa nièce et l’avait poussée par la fenêtre. Tout semblait lié à un adultère, mais la victime ne voulait pas porter plainte, malgré de nombreuses fractures.
Quelle famille de dingues, Patricia l’avait échappée belle.
- Mademoiselle Patricia K. voulez-vous prendre monsieur Marc V. ici présent pour époux ?
- Oui, je le veux.
- Monsieur, Marc V. voulez-vous prendre mademoiselle Patricia K. ici présente, pour épouse ?
- Non, je refuse.
Le temps suspendit son vol. La petite salle des mariages de la mairie n’accueillait pas beaucoup de monde ce jeudi après-midi. La grande cérémonie était prévue samedi à l’église, avec la famille, les amis, les collègues et tous ces invités que les mariés ne connaissent pas vraiment, mais à qui leurs parents doivent quelque chose.
Cette petite cérémonie intime ne réunissait que les proches. Les parents et la petite sœur de Marc. Les parents de Patricia, sa grande sœur Vanessa et son époux, son cousin Gérard et son épouse. Onze personnes, ni plus, ni moins. Les deux sœurs leur servant de témoins.
Marc vit sa mère et sa sœur sortir de la pièce, sans regarder ni saluer qui que ce soit. Son père s’approcha et lui mit la main sur l’épaule. Dans son regard on voyait son amour inconditionnel et sa peine pour son fils. Sa colère aussi, contre ceux qui lui avaient fait du mal. Il fit demi-tour et sortit derrière sa femme et sa fille.
Marc se retrouva seul face à sa presque belle-famille. Personne n’avait encore vraiment saisi, croyant peut-être à une surprise de dernière minute. En voyant le père de Marc sortir, Patricia fut la première à réagir.
- Marc, tu peux m’expliquer ce qui se passe ? Où vont tes parents et ta sœur ?
- Bien sûr que je peux. Ils rentrent à la maison. La cérémonie est terminée, j’ai refusé de t’épouser.
- Comment ça refusé ? Ça fait des mois qu’on prépare le mariage, tous les invités viendront samedi, on ne peut pas annuler.
- Si, puisque je viens de le faire.
Ce fut le moment que choisit le presque beau-papa, pour se mettre à hurler. Son gendre dut le retenir, car il voulait casser la gueule du salaud qui jetait sa fille et gâchait son mariage. Patricia pleurait, sa mère sanglotait, Vanessa essayait de consoler sa mère et sa sœur, avec l’aide de la femme de Gérard, qui lui, aidait à retenir son oncle.
- SILENCE ! Certains d’entre vous méritent des explications.
Tous se tournèrent vers Marc qui avait élevé la voix. Avant que le cirque ne recommence, il se lança dans les explications.
- Patricia a emménagé chez moi, il y a trois mois. Elle a mis un moment à trouver ses marques à la maison. J’imagine que c’est pour cela que j’ai trouvé un test de grossesse à peine caché, dans la poubelle que j’allais jeter. Ça a été un choc pour moi. Elle ne supporte pas la pilule, je dois donc toujours mettre des préservatifs. Alors pourquoi ce test ?
Patricia avait cessé de pleurer, on lisait de l’angoisse dans ses yeux. Tous les regards étaient braqués sur Marc et ils attendaient la suite des explications. Il sourit et continua.
- Si ce n’était pas avec moi, c’était avec un autre qu’elle avait pris des risques. Cocu avant le mariage, ça a été dur à encaisser. J’en ai trouvé d’autres les jours suivants, bien mieux cachés. J’imagine qu’ils ont oublié les précautions élémentaires au moins une fois et paniquée, Patricia a contrôlé pendant quelques jours. J’ai décidé de la surveiller, mais cela a été un demi-succès. J’ai deviné qui était son amant, mais je n’avais pas de preuves. Ils étaient super prudents.
Marc regarda autour de lui et vit à ce moment-là, que les officiels avaient aussi quitté la pièce. Il les avait complètement oubliés.
- Je décidais donc de forcer ma chance et j’inventais un congrès de cinq jours.
- Ton congrès, d’il y a trois semaines était faux ?
- Oh que oui. Je savais que l’occasion serait trop belle pour vous et il fallait que je sache si mes déductions étaient justes. J’ai logé chez un copain à qui j’ai expliqué la situation et qui m’a aidé.
- Mais tu m’as menti !
- De la part d’une spécialiste, c’est un compliment.
Patricia était toute pâle et tremblait comme une feuille. Elle se laissa tomber dans l’un des deux fauteuils pour les mariés.
- Pat, tu ne fais jamais attention à ce qui t’entoure. Dans le salon il y a mon pc dans un coin avec une webcam et dans la chambre, il y a mon portable qui en a une intégrée. Je suis un geek, je les ai contrôlés à distance avec ma tablette.
- Non, non… ce n’est pas possible.
- Je les ai disposés pour avoir une vue parfaite sur le canapé et le lit. Et là, Bingo ! J’ai eu les preuves.
- Non, tu n’as pas fait ça ? Mais pourquoi ?
- Pourquoi ? Tu plaisantes j’espère ? Nous ne sommes pas mariés, mais c’est un adultère, la fidélité n’est pas élastique. Quand on est en couple, on se doit l’un à l’autre.
- On aurait pu en discuter.
- Parce que tu comptais m’en parler si je n’avais rien découvert ? Quand ? Apparemment pas avant le mariage, vu que tu as dit oui à l’instant. Avant la nuit de noces ? Avant le mariage à l’église… pour éviter l’enfer ?
- Non, tu déformes mes propos, ce n’est pas ce que je voulais dire.
- Tu ne voulais surtout rien dire. Si je n’avais pas découvert que tu avais un amant, tu ne m’en aurais jamais parlé et on serait mariés maintenant.
- Tu as attendu d’être devant le maire pour m’humilier ?
- En partie. Tu as pu goûter à ta propre médecine. Mais d’un autre côté, j’ai profité de la seule occasion où tous les protagonistes étaient réunis.
- Non, tu n’as pas le droit.
- Oh que oui ! Si j’ai amené ma tablette, ce n’était pas pour filmer, mais pour regarder des vidéos.
Marc prit sa tablette et lança une vidéo. Le son était coupé. On y voyait Patricia faire une fellation à un homme assis sur le canapé et presque entièrement flouté. Elle s’appliquait et l’engloutissait entièrement, puis elle le masturbait en le léchant avant de le reprendre en bouche. Quelques minutes plus tard, il jouissait pendant qu’elle le gardait au fond de sa gorge. Patricia se relevait et montrait à son amant qu’elle avait tout avalé. Elle le prenait par la main et ils disparaissaient. L’image changeait et on les voyait arriver sur le lit, l’homme toujours flouté. Ils se déshabillaient et son amant lui rendait la politesse en lui faisant un cunnilingus. Après qu’elle ait joui plusieurs fois, son amant à nouveau excité la mettait à quatre pattes et entamait une levrette. Après quelques minutes et un nouvel orgasme de Patricia, il reculait et s’enfonçait brusquement dans ses fesses. On devinait qu’elle hurlait de plaisir sous les coups de boutoir de son amant. Celui-ci finissait par se vider dans ses entrailles et exténué, se couchait à côté d’elle.
- Avant que vous ne me posiez la question, l’amant est masqué pour une bonne raison.
Marc voyait une autre personne du groupe se défaire. Il n’y avait pas d’échappatoire ; c’était une des raisons d’avoir attendu ce moment pour annuler le mariage.
- Au fait Patricia, est-ce que tu savais que ta sœur avait le même amant que toi quand tu lui as prêté l’appartement ?
Vanessa devint blanche. La tête de stupéfaction de Patricia était un poème. Il avait vu juste, ni l’une ni l’autre ne savait qu’elles couchaient avec le même homme.
- Avant de vous quitter, je vous envoie à tous les vidéos non censurées avec le son. Au plaisir de ne jamais vous revoir.
Marc était sorti et avançait dans le couloir, quand il entendit hurler son ex-futur beau-père.
- QUOI ? ESPECE DE SALAUD ! JE VAIS TE TUER !
Marc apprit la suite par les médias. Pendant une cérémonie de mariage, le père de la mariée, aidé par son gendre, avait jeté son neveu par la fenêtre. Tout semblait lié à un adultère, mais la victime ne voulait pas porter plainte, malgré de nombreuses fractures.
Quelle famille de dingues, Marc l’avait échappée belle.
On recommence la même histoire
- Monsieur Marc V. voulez-vous prendre mademoiselle Patricia K. ici présent pour épouse
- Oui, je le veux.
- Mademoiselle Patricia K. voulez-vous prendre monsieur Marc V. ici présente, pour époux ?
- Non, je refuse.
Le temps suspendit son vol. La petite salle des mariages de la mairie n’accueillait pas beaucoup de monde ce jeudi après-midi. La grande cérémonie était prévue samedi à l’église, avec la famille, les amis, les collègues et tous ces invités que les mariés ne connaissent pas vraiment, mais à qui leurs parents doivent quelque chose.
Cette petite cérémonie intime ne réunissait que les proches. Les parents et le petit frère de Patricia. Les parents de Marc, son grand frère Valentin et son épouse, sa cousine Géraldine et son époux. Onze personnes, ni plus, ni moins. Les deux frères leur servant de témoins.
Patricia vit son père et son frère sortir de la pièce, sans regarder ni saluer qui que ce soit. Sa mère s’approcha et la prit dans ses bras. Dans son regard on voyait son amour inconditionnel et sa peine pour sa fille. Sa colère aussi, contre ceux qui lui avaient fait du mal. Elle fit demi-tour et sortit derrière son mari et son fils.
Patricia se retrouva seule face à sa presque belle-famille. Personne n’avait encore vraiment saisi, croyant peut-être à une surprise de dernière minute. En voyant la mère de Patricia sortir, Marc fut le premier à réagir.
- Patricia, tu peux m’expliquer ce qui se passe ? Où vont tes parents et ton frère ?
- Bien sûr que je peux. Ils rentrent à la maison. La cérémonie est terminée, j’ai refusé de t’épouser.
- Comment ça refusé ? Ça fait des mois qu’on prépare le mariage, tous les invités viendront samedi, on ne peut pas annuler.
- Si, puisque je viens de le faire.
Ce fut le moment que choisit la presque belle-maman, pour se mettre à hurler. Sa belle-fille dut la retenir, car elle voulait arracher les yeux de la garce qui jetait son fils et gâchait son mariage. Marc pleurait et son père sanglotait, Valentin essayait de consoler son frère et son père, avec l’aide du mari de Géraldine, qui elle, aidait à retenir sa tante.
- SILENCE ! Certains d’entre vous méritent des explications.
Tous se tournèrent vers Patricia qui avait élevé la voix. Avant que le cirque ne recommence, elle se lança dans les explications.
- Marc a emménagé chez moi, il y a trois mois. Il a mis un moment à trouver ses marques à la maison. J’imagine que c’est pour cela que j’ai trouvé un test de grossesse à peine caché, dans la poubelle que j’allais jeter. Ça a été un choc pour moi, je n’en ai fait aucun, alors qui ?
Marc avait repris ses esprits, on lisait de l’angoisse dans ses yeux. Tous les regards étaient braqués sur Patricia et ils attendaient la suite des explications. Elle sourit et continua.
- Si ce n’était pas avec moi, c’était avec une autre qu’il avait pris des risques. Cocue avant le mariage, ça a été dur à encaisser. Je n’en ai pas trouvé les jours suivants, même si je les ai cherchés. J’imagine qu’ils ont oublié les précautions élémentaires au moins un fois et paniqués, ils ont fait un test à la maison. J’ai décidé de surveiller Marc, mais cela a été un demi-succès. J’ai deviné qui était sa maîtresse, mais je n’avais pas de preuves. Ils étaient super prudents.
Patricia regarda autour d’elle et vit à ce moment-là, que les officiels avaient aussi quitté la pièce. Elle les avait complètement oubliés.
- Je décidais donc de forcer ma chance et j’inventais un congrès de cinq jours.
- Ton congrès, d’il y a trois semaines était faux ?
- Oh que oui. Je savais que l’occasion serait trop belle pour vous et il fallait que je sache si mes déductions étaient justes. J’ai logé chez une copine à qui j’ai expliqué la situation et qui m’a aidé.
- Mais tu m’as menti !
- De la part d’un spécialiste, c’est un compliment.
Marc était tout pâle et tremblait comme une feuille. Il se laissa tomber dans l’un des deux fauteuils pour les mariés.
- Marc, tu ne fais jamais attention à ce qui t’entoure. Dans le salon il y a mon pc dans un coin avec une webcam et dans la chambre, il y a mon portable qui en a une intégrée. Je suis une geek, je les ai contrôlés à distance avec ma tablette.
- Non, non… ce n’est pas possible.
- Je les ai disposés pour avoir une vue parfaite sur le canapé et le lit. Et là, Bingo ! J’ai eu les preuves.
- Non, tu n’as pas fait ça ? Mais pourquoi ?
- Pourquoi ? Tu plaisantes j’espère ? Nous ne sommes pas mariés mais c’est un adultère, la fidélité n’est pas élastique. Quand on est en couple, on se doit l’un à l’autre.
- On aurait pu en discuter.
- Parce que tu comptais m’en parler si je n’avais rien découvert ? Quand ? Apparemment pas avant le mariage, vu que tu as dit oui à l’instant. Avant la nuit de noces ? Avant le mariage à l’église… pour éviter l’enfer ?
- Non, tu déformes mes propos, ce n’est pas ce que je voulais dire.
- Tu ne voulais surtout rien dire. Si je n’avais pas découvert que tu avais une maîtresse, tu ne m’en aurais jamais parlé et on serait mariés maintenant.
- Tu as attendu d’être devant le maire pour m’humilier ?
- En partie. Tu as pu goûter à ta propre médecine. Mais d’un autre côté, j’ai profité de la seule occasion où tous les protagonistes étaient réunis.
- Non, tu n’as pas le droit.
- Oh que oui ! Si j’ai amené ma tablette, ce n’était pas pour filmer, mais pour regarder des vidéos.
Patricia prit sa tablette et lança une vidéo. Le son était coupé. On y voyait Marc faire un cunnilingus à une femme assise sur le canapé et presque entièrement floutée. Il s’appliquait à sucer son clitoris et il pénétrait son vagin et son anus avec ses doigts tout en la léchant. Quelques minutes plus tard, elle jouissait lorsqu’il accélérait sa double pénétration. Après lui avoir procuré plusieurs orgasmes, Marc se relevait et montrait à sa maîtresse son visage luisant de ses fluides. Il la prenait par la main et ils disparaissaient. L’image changeait et on les voyait arriver sur le lit, la femme toujours floutée. Ils se déshabillaient et sa maîtresse lui rendait la politesse en lui faisant une fellation. Après qu’il ait jouit pendant qu’elle avalait, sa maîtresse à nouveau excitée se mettait à quatre pattes et réclamait une levrette. Après quelques minutes elle avait un nouvel orgasme. On voyait Marc reculer et s’enfoncer brusquement dans ses fesses. On devinait qu’elle hurlait de plaisir sous ses coups de boutoir de Marc, qui finissait par se vider dans ses entrailles et exténué, se couchait à côté d’elle.
- Avant que vous ne me posiez la question, la maîtresse est masquée pour une bonne raison.
Patricia voyait une autre personne du groupe se défaire. Il n’y avait pas d’échappatoire ; c’était une des raisons d’avoir attendu ce moment pour annuler le mariage.
- Au fait Marc, est-ce que tu savais que ton frère avait la même maîtresse que toi quand tu lui as prêté l’appartement ?
Valentin devint blanc. La tête de stupéfaction de Marc était un poème. Elle avait vu juste, ni l’un ni l’autre ne savait qu’ils couchaient avec la même femme.
- Avant de vous quitter, je vous envoie à tous les vidéos non censurées avec le son. Au plaisir de ne jamais vous revoir.
Patricia était sortie et avançait dans le couloir, quand elle entendit hurler son ex-future belle-mère.
- QUOI ? ESPECE DE SALOPE ! JE VAIS TE TUER !
Patricia apprit la suite par les médias. Pendant une cérémonie de mariage, la mère du fiancé, aidée par sa belle-fille, avait agressé sa nièce et l’avait poussée par la fenêtre. Tout semblait lié à un adultère, mais la victime ne voulait pas porter plainte, malgré de nombreuses fractures.
Quelle famille de dingues, Patricia l’avait échappée belle.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
🤣🤣🤣
Belle histoire, tirée d'une imagination fertile et ingénieuse. Continuez à nous régaler J A. Bravo à vous. Briard