Marie -Ange et son patron
Récit érotique écrit par Montespan [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Marie -Ange et son patron
Marie Ange rentrait chez elle, le cœur lourd, perturbée par une expérience inattendue vécue au travail. Son mari, Jules, était absorbé sur sa tablette, mais elle savait qu’elle devait lui parler. Après une hésitation, elle prit une profonde inspiration et se lança.
« Tu sais, Jules, j’ai encore craqué aujourd’hui », dit-elle, sa voix marquée par une nervosité palpable.
Jules leva les yeux de son écran, l’air inquiet. « Que s’est-il donc passé ? » demanda-t-il, un mélange de curiosité et d’inquiétude dans son regard.
Elle s’approcha un peu plus, se sentant vulnérable mais décidée à partager son fardeau. « Le patron m’a fait venir dans son bureau… et je n’ai pas pu me retenir. »
Jules, surpris mais attentif, l’écouta avec une concentration accrue. « Qu’est-ce que tu veux dire par là ? »
Marie Ange baissa les yeux, honteuse, mais continua : « Je l’ai sucé. »
Un silence s’installa un instant entre eux. Jules, réalisant l'ampleur des mots prononcés, se calma peu à peu. « Tu… tu veux dire… ? » La situation était délicate, et il sentait qu’il devait choisir ses mots avec prudence.
Elle acquiesça, un mélange de libération et de regret dans ses yeux. « Oui, et… j’ai tout avalé …»
Jules ressentit un soulagement étrange. Il avait craint que ce soit quelque chose de bien plus grave, une trahison ou un coup de cœur pour quelqu’un d’autre, mais il n’avait pas prévu une telle confession. « Ce n’est pas grave, c’est la vie, tu en as sucé d’autres, et ça arrivera encore», murmura-t-il, cherchant à apaiser l’angoisse qui l’avait assailli à l’entendre.
Marie Ange, touchée par sa réaction, commença à se détendre. Elle avait pensé que Jules serait choqué ou en colère, et là, il semblait comprendre d’une manière surprenante. Ils échangèrent des regards, et elle se mit à parler de ce qui l’avait amenée à ce moment : la pression au travail, les attentes, et sa recherche permanente du plaisir physique.
Peu à peu, la tension laissa place à une discussion honnête sur leurs désirs, leurs peurs, et les défis auxquels ils faisaient face. Marie Ange avoua à Jules que la prochaine fois le patron, ou un autre, allait sans doute la sauter. Elle ne savait pas résister aux hommes. En se confiant, Marie Ange réalisa qu’elle n’était pas seule dans cette épreuve, et Jules, de son côté, comprit que la vie était faite d’imprévus, que leur amour pouvait survivre à des tempêtes, tant qu'ils restaient ouverts l’un envers l’autre.
Dans la douceur de ce moment, ils décidèrent de se soutenir mutuellement, de chasser les jugements et de faire face aux incertitudes ensemble, plus unis que jamais.
« Tu sais, Jules, j’ai encore craqué aujourd’hui », dit-elle, sa voix marquée par une nervosité palpable.
Jules leva les yeux de son écran, l’air inquiet. « Que s’est-il donc passé ? » demanda-t-il, un mélange de curiosité et d’inquiétude dans son regard.
Elle s’approcha un peu plus, se sentant vulnérable mais décidée à partager son fardeau. « Le patron m’a fait venir dans son bureau… et je n’ai pas pu me retenir. »
Jules, surpris mais attentif, l’écouta avec une concentration accrue. « Qu’est-ce que tu veux dire par là ? »
Marie Ange baissa les yeux, honteuse, mais continua : « Je l’ai sucé. »
Un silence s’installa un instant entre eux. Jules, réalisant l'ampleur des mots prononcés, se calma peu à peu. « Tu… tu veux dire… ? » La situation était délicate, et il sentait qu’il devait choisir ses mots avec prudence.
Elle acquiesça, un mélange de libération et de regret dans ses yeux. « Oui, et… j’ai tout avalé …»
Jules ressentit un soulagement étrange. Il avait craint que ce soit quelque chose de bien plus grave, une trahison ou un coup de cœur pour quelqu’un d’autre, mais il n’avait pas prévu une telle confession. « Ce n’est pas grave, c’est la vie, tu en as sucé d’autres, et ça arrivera encore», murmura-t-il, cherchant à apaiser l’angoisse qui l’avait assailli à l’entendre.
Marie Ange, touchée par sa réaction, commença à se détendre. Elle avait pensé que Jules serait choqué ou en colère, et là, il semblait comprendre d’une manière surprenante. Ils échangèrent des regards, et elle se mit à parler de ce qui l’avait amenée à ce moment : la pression au travail, les attentes, et sa recherche permanente du plaisir physique.
Peu à peu, la tension laissa place à une discussion honnête sur leurs désirs, leurs peurs, et les défis auxquels ils faisaient face. Marie Ange avoua à Jules que la prochaine fois le patron, ou un autre, allait sans doute la sauter. Elle ne savait pas résister aux hommes. En se confiant, Marie Ange réalisa qu’elle n’était pas seule dans cette épreuve, et Jules, de son côté, comprit que la vie était faite d’imprévus, que leur amour pouvait survivre à des tempêtes, tant qu'ils restaient ouverts l’un envers l’autre.
Dans la douceur de ce moment, ils décidèrent de se soutenir mutuellement, de chasser les jugements et de faire face aux incertitudes ensemble, plus unis que jamais.
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