Marie apprentissage de la soumission : la première fois
Récit érotique écrit par FABFAB [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie apprentissage de la soumission : la première fois
L’homme qui ouvre la porte est bien tel qu’il est sur la photo mais il sourit brièvement.
- Bonjour. Entrez !
Marie pas très rassurée malgré tout, fait quelques pas pendant que l’homme ferme la porte derrière eux mais ne la quitte pas des yeux.
- Je suis très content de faire votre connaissance. Marie n’est ce pas ? Donne-moi ta veste. Bien ! Tournes toi maintenant que je te vois !
Elle tourne lentement sur elle-même en sentant les 2 regards excités qui la détaillent.
- Ta jupe qui laisse voir tes bas et ton chemisier transparent sont très jolis mais tu va les enlever avant que j’aille discuter au salon avec ton mari.
Marie a la main qui tremble légèrement pendant qu’elle déboutonne son chemisier. Elle hésite encore un instant avant d’enlever sa jupe.
- Donnes tout cela à ton mari et enlèves ton string et ton soutien gorge mais gardes tes escarpins et tes bas !
Enfin elle est nue et le silence qui dure lui fait baisser les yeux vers le sol.
- Tu es très jolie mais tu va également donner tes bijoux à Michel. Enlève les tous !
Marie lève les yeux vers Michel qui avec un sourire rassurant, lui fais signe d’obtempérer. Collier, montre, bagues rejoignent donc le sac que Michel a emmené.
- Tournes lentement sur toi-même.
Le temps qui semble suspendu dure .. dure et Marie qui se sent totalement nue et sans défense, commence à trembler un peu.
- J’ai un peu froid !
- Ce n’est pas l’objectif dit Monsieur Henri qui se dirige vers la centrale de réglage du chauffage.
Elle ne l’a pas vu revenir vers elle mais il a à la main un collier et une laisse.
- Relèves tes cheveux que je te mette ce collier de chienne.
Marie qui se dit en elle-même « qu’il en soit ainsi » obtempère docilement.
- Maintenant je ne veux t’entendre que quand je te pose une question. Si tu veux demander quelque chose tu dois d’abord demander l’autorisation de parler avant.
Monsieur Henri qui se saisit de la laisse tire alors un petit coup sec en même temps qu’une claque retentissante atterrit sur la fesse gauche de Marie.
- Allons ! Au salon maintenant !
Marie sursaute et se trouve entraînée en direction du salon en même temps qu’elle rougit de se voir traiter de cette manière cavalière.
- Assieds-toi Michel ! Et toi viens près de ce fauteuil à côté de moi. Mets tes mains sur ta tête. Écarte tes jambes. Plus que cela !
- Mets les coudes plus en arrière pour que cela fasse ressortir tes seins… Baisse les yeux !
Marie est debout à côté du fauteuil les jambes écartées. Elle sait qu’elle est indécente ainsi nue avec seulement ses bas. A moitié tournée vers Henri, elle ne voit plus Michel que du coin de l’œil.
Monsieur Henri qui s’est installé dans le fauteuil à côté d’elle la caresse négligemment.
- Bien alors, dit moi Michel, que lui as-tu dit sur nos échanges ?
- que vous étiez dominateur et que vous vouliez la dresser à la bite régulièrement mais qu’elle pourrait ralentir les choses si c’était un peu trop dur.
- Bien lui as-tu expliqué que son weekend end avec moi, allais être humiliant pour elle mais que c’était une étape essentielle pour la dresser à devenir une bonne petite pute ?
- oui enfin je pense qu’elle l’a compris…
- L’as-tu compris, Marie ?
- Oui mais je n’ai pas trop l’habitude …
- Tu la prendras l’habitude !! Par contre tu va devoir t’habituer tout de suite à dire Monsieur Henri quand tu t’adresses à moi ou encore Oui Maître. Est-ce clair ?
- Oui Monsieur Henri. .. Oui … Maître. Le dernier mot eu du mal à sortir. Marie sentait qu’il marquait son accord pour la suite… pour aller plus loin.
- bien je pense que tu as vraiment du potentiel et en plus tu es très jolie, ce sera donc à double titre un plaisir de te prendre en mains. Maintenant il faut que tu saches que je ne suis pas fou ou énervé. Ce que nous allons faire est à la fois un art de vivre et un jeu. Pas plus mais pas moins. C’est donc un jeu mais un jeu sérieux. Tu sais qu’elles sont les mots pour arrêter tout. Bien sûr, j’espère que tu ne les utiliseras pas car cela me décevrai et décevrai Michel.
Il faut que tu saches que Michel va repartir avec tous tes vêtements, absolument tous à part tes bas. Tu n’auras besoin de rien. Pour cette première fois, tu l’appelleras au téléphone toutes les heures pendant les 3 premières puis une fois à 7h30 ce soir et une fois à 9h demain matin. Il viendra te rechercher à 16h dimanche. Il faudra qu’il soit disponible sur ces horaires et n’est pas autorisé à t’appeler afin de ne pas perturber le démarrage de notre relation. Nous sommes d’accord ?
- Oui.. Maître.
- Michel ?
- Oui pas de problème.
- Bien il faut que vous compreniez tous les 2 que j’ai de l’expérience et donc je compte être exigent avec toi. Si tu veux arrêter, tu en auras le droit mais dans ce cas, comme je sais ce que je veux et que je n’ai pas de temps à perdre, ce sera fini.
Monsieur Henri pendant ce temps avait continué à caresser Marie et il s’attardait de plus sur son sexe. En terminant son explication, il lui glissa le majeur dans le vagin ce qui fit pousser un petit cri à Marie.
- Michel, je peux te dire que ton épouse mouille ! Nous allons en faire une bonne pute !
Puis alors qu’il lui massait le clitoris avec le pouce en ayant laissé son majeur dans son sexe.
- Il faut que vos compreniez que je veux également une relation régulière. Cela ne peut se faire que comme cela.. Michel, nous sommes bien d’accord ?
- Oui c’est tout à fait clair.
- Par ailleurs Mairie, il n’est pas du tout certain que tu prennes ton pied. Ce n’est pas mon objectif ce week-end. Je vais t’habituer à servir d’objet de plaisir. Si tu prends ton pied, tant mieux mais je ne te faciliterai pas les choses. Tu es là pour être dressée pas pour jouir. Nous sommes bien d’accord ?
- Oui, Maître répond Marie qui trouve de moins en moins difficile de s’adresser à Monsieur Henri de cette manière.
- Michel, je veux t’entendre dire que j’ai carte blanche avec ton épouse et je veux surtout que ton épouse l’entende.
- Vous avez carte blanche.
- Bien ! Nous ne parlerons donc plus d’elle comme de ton épouse mais comme de ma soumise. Nous sommes d’accord ?
- Oui répond Michel qui bande de plus en plus en voyant par derrière sa chérie se faire pistonner la chatte par le majeur de Monsieur Henri.
- bien ! J’ai donc tous les droits sur elle ?
- Oui, oui. Bien sûr mais si cela lui plaît.
- Je te demandais pour toi. Son avis à elle, c’est désormais un problème entre elle et moi.
- Oui bien sûr répond Michel.
- Nous sommes donc d’accord, j’ai le droit d’utiliser ses 3 orifices de la manière qui me plaît. Ce sera avec préservatif pour la chatte et l’anus mais sans lors des fellations complètes.
- Oui lui répond, Michel. Je suis d’accord comme cela.
- Bien nous verrons pour la suite. Si j’estime que je peux faire confiance à ma pute nous passerons à des relations sans préservatif mais ce n’est pas encore le moment.
Marie qui se fait doigter, tangue un peu et a de plus en plus de mal à tenir la position sur ses petits escarpins surtout que Monsieur Henri a profité pour lui glisser un doigt dans l’anus. Monsieur Henri qui s’en est rendu compte retire brutalement ses doigts et se lève. Il prend Marie par les épaules pour la relever et la tourne vers lui. Puis sans la quitter du regard :
- Je ne veux pas que tes yeux quittent le sol !
Michel, je pense que le moment est venu de nous laisser mais Marie je ne veux pas que tu quittes ta position pendant que je raccompagne Michel.
Michel se lève d’un bond alors que son pantalon est tendu par une érection douloureuse.
- Je vais vous laisser mais puis – je demander quelque chose à Marie ?
Monsieur Henri qui a deviné qu’il s’agit de lui demandé si tout va bien lui réponds alors sèchement : Non ce n’est pas le moment.
Michel attrape alors le sac laissé sur le sol de l’entrée et file tout en se demandant si cela va plaire à Marie.
Marie quant à elle, a relevé discrètement les yeux et n’a pas vu que Monsieur Henri l’a remarqué. Elle se sent bien, elle est assez excitée et a été un peu rassurée par les déclarations de Monsieur Henri même si elle a quand même encore un peu d’inquiétude.
Laissez moi des commentaires. Dites moi par exemple quelle suite vous imagineriez pour Marie avec son Maître ? avec son mari ?
- Bonjour. Entrez !
Marie pas très rassurée malgré tout, fait quelques pas pendant que l’homme ferme la porte derrière eux mais ne la quitte pas des yeux.
- Je suis très content de faire votre connaissance. Marie n’est ce pas ? Donne-moi ta veste. Bien ! Tournes toi maintenant que je te vois !
Elle tourne lentement sur elle-même en sentant les 2 regards excités qui la détaillent.
- Ta jupe qui laisse voir tes bas et ton chemisier transparent sont très jolis mais tu va les enlever avant que j’aille discuter au salon avec ton mari.
Marie a la main qui tremble légèrement pendant qu’elle déboutonne son chemisier. Elle hésite encore un instant avant d’enlever sa jupe.
- Donnes tout cela à ton mari et enlèves ton string et ton soutien gorge mais gardes tes escarpins et tes bas !
Enfin elle est nue et le silence qui dure lui fait baisser les yeux vers le sol.
- Tu es très jolie mais tu va également donner tes bijoux à Michel. Enlève les tous !
Marie lève les yeux vers Michel qui avec un sourire rassurant, lui fais signe d’obtempérer. Collier, montre, bagues rejoignent donc le sac que Michel a emmené.
- Tournes lentement sur toi-même.
Le temps qui semble suspendu dure .. dure et Marie qui se sent totalement nue et sans défense, commence à trembler un peu.
- J’ai un peu froid !
- Ce n’est pas l’objectif dit Monsieur Henri qui se dirige vers la centrale de réglage du chauffage.
Elle ne l’a pas vu revenir vers elle mais il a à la main un collier et une laisse.
- Relèves tes cheveux que je te mette ce collier de chienne.
Marie qui se dit en elle-même « qu’il en soit ainsi » obtempère docilement.
- Maintenant je ne veux t’entendre que quand je te pose une question. Si tu veux demander quelque chose tu dois d’abord demander l’autorisation de parler avant.
Monsieur Henri qui se saisit de la laisse tire alors un petit coup sec en même temps qu’une claque retentissante atterrit sur la fesse gauche de Marie.
- Allons ! Au salon maintenant !
Marie sursaute et se trouve entraînée en direction du salon en même temps qu’elle rougit de se voir traiter de cette manière cavalière.
- Assieds-toi Michel ! Et toi viens près de ce fauteuil à côté de moi. Mets tes mains sur ta tête. Écarte tes jambes. Plus que cela !
- Mets les coudes plus en arrière pour que cela fasse ressortir tes seins… Baisse les yeux !
Marie est debout à côté du fauteuil les jambes écartées. Elle sait qu’elle est indécente ainsi nue avec seulement ses bas. A moitié tournée vers Henri, elle ne voit plus Michel que du coin de l’œil.
Monsieur Henri qui s’est installé dans le fauteuil à côté d’elle la caresse négligemment.
- Bien alors, dit moi Michel, que lui as-tu dit sur nos échanges ?
- que vous étiez dominateur et que vous vouliez la dresser à la bite régulièrement mais qu’elle pourrait ralentir les choses si c’était un peu trop dur.
- Bien lui as-tu expliqué que son weekend end avec moi, allais être humiliant pour elle mais que c’était une étape essentielle pour la dresser à devenir une bonne petite pute ?
- oui enfin je pense qu’elle l’a compris…
- L’as-tu compris, Marie ?
- Oui mais je n’ai pas trop l’habitude …
- Tu la prendras l’habitude !! Par contre tu va devoir t’habituer tout de suite à dire Monsieur Henri quand tu t’adresses à moi ou encore Oui Maître. Est-ce clair ?
- Oui Monsieur Henri. .. Oui … Maître. Le dernier mot eu du mal à sortir. Marie sentait qu’il marquait son accord pour la suite… pour aller plus loin.
- bien je pense que tu as vraiment du potentiel et en plus tu es très jolie, ce sera donc à double titre un plaisir de te prendre en mains. Maintenant il faut que tu saches que je ne suis pas fou ou énervé. Ce que nous allons faire est à la fois un art de vivre et un jeu. Pas plus mais pas moins. C’est donc un jeu mais un jeu sérieux. Tu sais qu’elles sont les mots pour arrêter tout. Bien sûr, j’espère que tu ne les utiliseras pas car cela me décevrai et décevrai Michel.
Il faut que tu saches que Michel va repartir avec tous tes vêtements, absolument tous à part tes bas. Tu n’auras besoin de rien. Pour cette première fois, tu l’appelleras au téléphone toutes les heures pendant les 3 premières puis une fois à 7h30 ce soir et une fois à 9h demain matin. Il viendra te rechercher à 16h dimanche. Il faudra qu’il soit disponible sur ces horaires et n’est pas autorisé à t’appeler afin de ne pas perturber le démarrage de notre relation. Nous sommes d’accord ?
- Oui.. Maître.
- Michel ?
- Oui pas de problème.
- Bien il faut que vous compreniez tous les 2 que j’ai de l’expérience et donc je compte être exigent avec toi. Si tu veux arrêter, tu en auras le droit mais dans ce cas, comme je sais ce que je veux et que je n’ai pas de temps à perdre, ce sera fini.
Monsieur Henri pendant ce temps avait continué à caresser Marie et il s’attardait de plus sur son sexe. En terminant son explication, il lui glissa le majeur dans le vagin ce qui fit pousser un petit cri à Marie.
- Michel, je peux te dire que ton épouse mouille ! Nous allons en faire une bonne pute !
Puis alors qu’il lui massait le clitoris avec le pouce en ayant laissé son majeur dans son sexe.
- Il faut que vos compreniez que je veux également une relation régulière. Cela ne peut se faire que comme cela.. Michel, nous sommes bien d’accord ?
- Oui c’est tout à fait clair.
- Par ailleurs Mairie, il n’est pas du tout certain que tu prennes ton pied. Ce n’est pas mon objectif ce week-end. Je vais t’habituer à servir d’objet de plaisir. Si tu prends ton pied, tant mieux mais je ne te faciliterai pas les choses. Tu es là pour être dressée pas pour jouir. Nous sommes bien d’accord ?
- Oui, Maître répond Marie qui trouve de moins en moins difficile de s’adresser à Monsieur Henri de cette manière.
- Michel, je veux t’entendre dire que j’ai carte blanche avec ton épouse et je veux surtout que ton épouse l’entende.
- Vous avez carte blanche.
- Bien ! Nous ne parlerons donc plus d’elle comme de ton épouse mais comme de ma soumise. Nous sommes d’accord ?
- Oui répond Michel qui bande de plus en plus en voyant par derrière sa chérie se faire pistonner la chatte par le majeur de Monsieur Henri.
- bien ! J’ai donc tous les droits sur elle ?
- Oui, oui. Bien sûr mais si cela lui plaît.
- Je te demandais pour toi. Son avis à elle, c’est désormais un problème entre elle et moi.
- Oui bien sûr répond Michel.
- Nous sommes donc d’accord, j’ai le droit d’utiliser ses 3 orifices de la manière qui me plaît. Ce sera avec préservatif pour la chatte et l’anus mais sans lors des fellations complètes.
- Oui lui répond, Michel. Je suis d’accord comme cela.
- Bien nous verrons pour la suite. Si j’estime que je peux faire confiance à ma pute nous passerons à des relations sans préservatif mais ce n’est pas encore le moment.
Marie qui se fait doigter, tangue un peu et a de plus en plus de mal à tenir la position sur ses petits escarpins surtout que Monsieur Henri a profité pour lui glisser un doigt dans l’anus. Monsieur Henri qui s’en est rendu compte retire brutalement ses doigts et se lève. Il prend Marie par les épaules pour la relever et la tourne vers lui. Puis sans la quitter du regard :
- Je ne veux pas que tes yeux quittent le sol !
Michel, je pense que le moment est venu de nous laisser mais Marie je ne veux pas que tu quittes ta position pendant que je raccompagne Michel.
Michel se lève d’un bond alors que son pantalon est tendu par une érection douloureuse.
- Je vais vous laisser mais puis – je demander quelque chose à Marie ?
Monsieur Henri qui a deviné qu’il s’agit de lui demandé si tout va bien lui réponds alors sèchement : Non ce n’est pas le moment.
Michel attrape alors le sac laissé sur le sol de l’entrée et file tout en se demandant si cela va plaire à Marie.
Marie quant à elle, a relevé discrètement les yeux et n’a pas vu que Monsieur Henri l’a remarqué. Elle se sent bien, elle est assez excitée et a été un peu rassurée par les déclarations de Monsieur Henri même si elle a quand même encore un peu d’inquiétude.
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je pense que Marie a envie d'être soumise à un homme directif et exigeant; ce que Michel ne peut lui apporter.Elle devra passer par toutes les étapes de l'obéissance ( fessée, cravache, mots crus,humiliations,...). le maître l'obligera à dire à Michel combien elle apprécie le traitement, que c'est bien meilleur qu'avec lui et qu'il peut se considérer comme totalement cocu.Sur ordre du maître, elle l'obligera à se branler à chaque coup de fil.
Vivement la suite!!!
Vivement la suite!!!
Impatiente de lire la suite ! Fessée ou fouettée pour la première desobéissance ??????
J'ai déjà hate de lire la suite, de lire la punition infligée pour le regard levée, de lire ce qui l'attends pendant ce week end, de lire ce qu'elle va dire à son mari lors des quelques discussions téléphoniques, de lier tous les supplices infligées et de savoir son état d'excitation , et de lire sa descente vers la dépravation, sa condition de pute et toutes les envies perverses et humiliantes que son maitre a prévu pour elle.
bon début, cela me remémore du vécu !continuez, avec des humiliations semi-publiques !
bon début, cela me remémore du vécu !continuez, avec des humiliations semi-publiques !
J'espère une suite bien perverse. Que cette pute perde graduellement toute retenue dans l'abandon à son maître. Une humiliation patiente et de plus en plus accentuée.
Il faut la briser psychologiquement, rendre sa jouissance comme une drogue, il doit jouer avec elle des heures pour qu'elle ne puisse penser à rien d'autre que l'envie de jouir, et lui faire comprendre que pour y arriver elle doit tout accepter.
Et là, le maitre doit se lâcher pour voir ses limites, qui j’espère sera nulle. tous ses orifices seront forcés et dilaté, elle sera exhibée, humiliée et donnée à ses amis. Elle sera rendue à son mari comme la pute qu'elle souhaite devenir.
et l'urophilie est souhaitable oui !!
Et là, le maitre doit se lâcher pour voir ses limites, qui j’espère sera nulle. tous ses orifices seront forcés et dilaté, elle sera exhibée, humiliée et donnée à ses amis. Elle sera rendue à son mari comme la pute qu'elle souhaite devenir.
et l'urophilie est souhaitable oui !!
Une punition qui la ferait presque craquer! ;)
A quand la suite ?
Bien imaginé et assez bien écrit.
J'attend la suite de ce premier we, puis il serait intéressant de poursuivre son éducation en extérieur, comme au restaurant en lui faisant arborer son collier, dans un bar en lui faisant soulager un client aux toilettes sans oublier de rapporter une preuve de son acte, qu'elle apprenne à se rendre au travail sans dessous ou dilatée par un plug, qu'elle découvre l'échauffement du paddle devant un groupe d'amis de son maître puis les honorent devant son mari complice/voyeur.
J'attend la suite de ce premier we, puis il serait intéressant de poursuivre son éducation en extérieur, comme au restaurant en lui faisant arborer son collier, dans un bar en lui faisant soulager un client aux toilettes sans oublier de rapporter une preuve de son acte, qu'elle apprenne à se rendre au travail sans dessous ou dilatée par un plug, qu'elle découvre l'échauffement du paddle devant un groupe d'amis de son maître puis les honorent devant son mari complice/voyeur.