Marie - Ayana - pot de départ - histoire érotique

Marie – Ayana – pot de départPas de romain ce soir, aujourd’hui, il a du boulot, il doit faire un résumé de sa participation au séminaire. Alors j’ai repris la lecture du cahier d’Ayana. Une nouvelle histoire
« Chers amis, nous sommes réunis aujourd’hui pour le départ d’un homme de qualité, bla bla bla »Appuyée contre la table du buffet, un verre a la main, j’écoutais sans vraiment l’écouter, le discours du patron a l ‘occasion du pot de départ a la retraite de Georges , un de mes collègues.

Comme les années passent vite, 40 ans déjà, que je travaille ici, bientôt ce sera mon tour ...de tous les envoyer ch… !!
C’est Georges qui m’avait engagé, il n’était pas beaucoup plus vieux que moi, cinq ans, mais il était déjà chef de secteur, comme quoi, le piston !
Moi , j’avais vingt ans et toute naïve, aucune expérience de la vie et encore moins des hommes, quelques petits flirts, et un petit coup, vite fait, avec un garçon impatient sur la banquette arrière d’une voiture, bof !
La première année, Georges a vraiment été un mentor pour moi, parfois il me serrait d’un peu trop près, mais aucun geste équivoque, j’étais plutôt flattée !

Et puis, il y a eu ma première évaluation. je n’ai pas été vraiment étonnée, quand il m’a demandé de le retrouver, après la fermeture des bureaux- nous serons tranquille- m’avait il dit.-Quand je suis entrée dans son bureau, il m’a invité à m’asseoir sur le canapé du petit salon en cuir ou il recevait ses invités. Il m’a proposé un verre, j’ai d’abord refusé, mais comme il insistait, j’ai fini par prendre un Whisky, comme lui.

Georges est venu s’asseoir à côté de moi, avec un grand sourire. Nous avons échangé un moment sur mon parcours, et Georges était très content de mon travail, si content qu’il avait une proposition à me faire.

- Voilà Ayana, dans quelques semaines, un poste de responsable de sous secteur va se libérer et j’ai pensé a toi! Mais tu n’es pas la seule retenue pour ce poste. Je peux mettre ton dossier en haut de la pile, mais, c’est donnant, donnant.
Georges s’est levé, a descendu sa braguette – suce moi ! -La petite oie blanche que j’étais, venait de se prendre la réalité en pleine figure, et pas que la réalité, la bite tendue de Georges devant ma bouche !
Je ne sais pas si c’était le whisky, qu’il m’avait généreusement servi, ou simplement que j’avais compris que si je voulais progresser dans la boite, je devais passer par « la promotion canapé ».
Certaines de mes copines m’en avait parlé, mais pour moi c’était la première fois que je faisais une fellation, j’ai fermé les yeux quand la queue de Georges s’est glissée entre mes lèvres. Il me tenait par les cheveux, son pénis remplissait ma bouche, c’était chaud, pas désagréable. Petit à petit je me suis détendue, j’y ai pris goût, j’ai aimé !

Voilà, je venais de gagner mon premier galon au boulot, et mon premier galon comme salope !
Et des réunions, il y en a eu, souvent ! Avec Georges, mais aussi des réunions de « groupes » avec d’autres chefs et la cheffe de secteurs. A trois, a quatre, et une fois à cinq ! Je me souviens de ces « réunions » et surtout de la première avec Yolande , la cheffe de secteur, quarante ans, une poigne de fer. Quand je suis entrée dans le bureau de Georges, ils étaient là tous les deux, discutant, appuyés contre le bureau. Yolande m’a regardée de la tête aux pieds.

- c’est elle ta nouvelle protégée, voyons voir !

Elle me tournait autour, un peu comme un chat, elle a glissé ses mains sous ma jupe, tâtant mes fesses, - pas mal, enlève ta jupe ! Yolande a reculé de deux pas, - pas mal du tout !- Sa main s’est introduite dans ma culotte, et deux doigts dans ma chatte !!
- Mais c’est tout jeune, tout ça ! Allez Georges, montre moi comment elle baise !- Et Georges m’a baisée sur son bureau, sous les yeux de Yolande. En partant, elle a eu ces mots – Ils va falloir que l’on parle, toutes les deux ! -Et j’ai « parlé » quelque fois, avec Yolande. Georges m’avait dit en riant – tu verras elle adore le Champagne ! - Et j’ai vu ! Yolande adorait le Champagne, il y avait toujours une bouteille sur son bureau, et quand elle était vide, elle servait a tout autre chose, Yolande aimait l’utiliser comme « gode », mon cul s’en souvient !!


Je continuais à prendre du galon, et je devenais de plus en plus, une salope !!
Entre temps, je m’étais mariée, mais mon mari ne me suffisait pas, alors il y a eu encore plus de réunions !
J’ai fini par rencontrer la femme de Georges, Louise et son fils Bastien. Louise ignorait complètement les frasques de son mari ! Je savais que je n’étais pas la seule qu’il recevait dans son bureau.
Un jour, Georges m’a demandé de passer chez lui dans la journée pour lui remettre des documents. J’ai sonné, mais personne ne m’a répondu. La porte était ouverte, je suis entrée, j’allais déposer le dossier sur la table, quand des bruits, venant de l’étage m’ont intrigués. En haut de l’escalier, une rangée de porte et une entrouverte, c’était la chambre de Bastien, je suis déjà venue à l’occasion de fêtes.

Curieuse, j’ai jeté un œil, Bastien est là allongé sur son lit, tenant d’une main un magazine hot, et se branlant de l’autre. J’ai poussé la porte, Bastien ne m’a pas vu tout de suite plongé dans son magazine, c’est quand je me suis approchée du lit, qu’il a remarqué ma présence, un peu paniqué ! J’ai fait « chut », je me suis agenouillée et j’ai empoigné sa petite bite, enfin pas si petite ! Je me souviens de sa bouche arrondie, - oh ! - quand je l’ai avalée !

Comme je m’y attendais, cela n’a pas duré longtemps, le « gamin » était trop excité, et j’en ai pris plein la bouche ! Bastien, lui était ravi, mais un peu gêné !
C’étaitla première fois pour lui , je l’ai rassuré, un petit bisou en partant, voila Bastien avec un très bon souvenir, et nous avions notre secret, pas un mot a son père !

Les années ont passé, j’ai fini par remplacer Yolande, maintenant c’est moi qui bois du champagne, ah, ah !
La petite sauterie touche à sa fin, Georges vient de recevoir son cadeau, Ah, je dois dire que cela n’est pas mal, une belle montre d’une belle marque.
Tout le monde est parti, je retrouve Georges dans son bureau, qui termine ses cartons, je tenais à lui dire au revoir a ma façon. Pour la dernière fois, je me suis agenouillée devant lui, et je l’ai pompé consciencieusement, je connais sa queue par cœur !
C’est à ce moment, que sa femme est entrée !!
Je n’ai pas été étonnée, puisque c’est moi qui lui avais demandé de venir, petite vengeance personnelle de toutes ces années ! Je me suis relevée, Georges se reboutonnait maladroitement, Louise était pétrifiée et blême, j’ai lancé
- Bonne retraite Georges !

Et je suis sortie, sous les éclats de voix, Louise venait d’exploser !!