Marie et Moi
Récit érotique écrit par VieuxMachin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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Marie et Moi
Voilà plus de 30 ans, j’étais à Lomé au Togo à L'ambassade de France pour la réorganisation des services de sécurité de ce petit bout de France c’était ma mission. Je sortais d’une période noire de ma vie, séparation perte d’un bébé à venir, en réaction j’avais embrayé sur une vie peuplée d’alcool et de rencontres gay, boites, back room etc. Cette mission m'éloignait d’un environnement où tout me rappelait de mauvais souvenirs.
Arrivé sur place, on avait bien préparé ma venue et je dois dire sans doute le meilleur accueil que j’ai reçu dans ce genre d’action. J’étais logé dans un bungalow inclus dans le parc de l’ambassade, j’étais seul et il aurait convenu à une famille avec enfants. Encore mieux j’avais une employée de maison a mon service pour les tâches ménagères et mêle la cuisine si c’était nécessaire. Je n’en attendais pas autant. On me présenta cette femme, Marie une jolie femme aux formes généreuses et je dois dire, à mon gout. Je n’ai pas immédiatement et instantanément conçu une envie d’elle, mais j’ai apprécié le sourire et la joie de vivre de cette jolie femme, pas une gamine, une femme qui était environ de mon âge, hors je me plantais lamentablement car elle a 10 ans de plus que moi, cet écart était absolument pas discernable a cette époque, peut être un peu plus aujourd’hui mais surtout dans la perception qu’a Marie d’elle même. L'âge ne nous épargne pas et on change chez elle c’est aussi lié à son ethnie et sa gourmandise, les kilos se sont installés pour moi et beaucoup d’autres elle est totalement désirable et sensuelle, mais pour elle il n’est plus question comme par le passé de se montrer dans une partouze hormis avec quelques vieux amis qui sont presque de la famille voir carrément de la famille comme ma nièce. Revenons 30 ans en arrière.
Ma mission m'absorbait totalement, passant des heures sur le terrain, je ne croisais Marie que le soir ou le matin parfois si je trainais un peu. Petit à petit le malaise qui me pourrissait la vie s'estompe, je commençais à avoir besoin de chaleur humaine et de sexe. Oh je n’ai pas honte d’avouer que je me branlais tous les jours voir plusieurs fois par jour et c’est toujours le cas comme cela était depuis bien avant mes 15 ans. Chaque fois que je voyais cette femme qui s’occupait de mon bien être je la trouvait de plus en plus attirante, sa généreuse poitrine tendait les tshirt qu’elle portait le plus souvent, ses gros tétons déformaient le fin tissu et il semblait que la belle avait tendance a avoir ses petits bouts toujours dressés. Comme beaucoup d’africaines elle utilisait des perruques, gardant des cheveux courts. Je ne me rendrai compte de cela que plus tard. Son fessier m’attirait, son déhanché magnifique rendait le balancement de sa croupe hypnotique. J’avais encore du travail pour un bon moment, je levais un peu le pied pour faire durer la mission, je n’avais pas d’objectif borné dans le temps, juste a mettre sur pied une organisation impeccable capable d’assurer la protection de l’ambassade et également de fournir à nos compatriotes une protection et des possibilités d’extraction et rapatriement vers l’ambassade. Je commençais donc à la croiser régulièrement, je restais dans le bungalow pour faire de la paperasse quand c’était nécessaire. Je la regardais faire le ménage et me remplissais les yeux de ses formes, de son sourire également et de son rire franc et jamais forcé. Quand je restais au bureau elle mettait beaucoup de temps à épousseter, ranger, passer le balais partout dans la cagna. Elle prenait l’habitude de me parler de choses anodines, glissant parfois des petites questions innocentes comme savoir si j’avais des enfants ce qui aurait signifié que j’étais marié ou que j’avais une compagne. Je commençais à avoir l’impression qu’elle s'intéressait à moi.
Marie devenait ma principale préoccupation, je suis comme çà, j’avais maintenant envie d’aller plus loin. Petit à petit elle aussi changea d’attitude, elle ne portait plus ces jeans et t-shirts habituels, elle mettait des robes colorées au décolleté parfois avantageux. Je ne quittais pas des yeux ces seins en liberté sans soutien gorge, malgré leur taille ils se supportent facilement seuls. Plusieurs fois elle se penchait en avant, pour ramasser je ne sais quoi sur le sol et je pouvais admirer cette paire de seins fermes et ronds aux aréoles noires, aux tétons gros comme mon doigt et le plus souvent tendus sous le tissu. Elle m’avoua après qu’elle avait tout fait pour m’allumer et ça marchait. Comme la fois ou accroupie elle avait remonté sa jupe sur ces cuisses et qu’elle avait les cuisses assez écartées pour que je puisse voir la blessure rose de sa chatte perdue dans sa toison bouclée et luisante. Cette fois-là j’ai eu envie de lui sauter dessus et de la prendre sur le sol. Mais je suis peut être pervers mais bien élevé et respectueux des femmes bien que je pratique des jeux peu communs et souvent réprouvés, jamais de ma vie je n’ai forcé une femme ou un homme a faire une chose qu’elle ne désirais pas faire. Le SM est un jeu de rôle dans lequel l’esclave est en fin de compte le maître du jeu. Je peux affirmer que si l’esclave est extrême dans ses désirs elle ou il entraînera le maître dans des extrémités où lui-même ne serait pas allé. J’en atteste pour avoir été dans cette situation.
J”avais conçu pour Marie une attirance folle, j’aime les peaux noires c’est vrai, mais au delà de son physique avantageux c’était elle, son esprit, sa joie de vivre qui me faisait envie. Au fil des semaines ,nos relations avaient évolué, réservée au début et moi assez distant ce fut assez tristounet les 3 premières semaines. L'habitude, la routine presque nous dérident tous les deux. Elle tenait de façon impeccable la maison, mais elle allait plus loin, au bout de quelque temps elle me demanda si j'acceptais qu’elle s’occupe de mes affaires. Elle me trouvait parfois “trop fripé pour un bel homme comme moi” Je riais à sa remarque et je la laissais prendre en charge ces contingences. Elle alla même jusqu'à me dire que les sous-vêtements feraient partie de ses attentions. J’étais content de la tournure des événements. Je commençais à ressentir une sorte de lassitude, la solitude me pesait. Depuis des années je n’étais jamais resté seul sur une aussi longue période.Je comprenais que j’étais fait pour la vie en société, chose que je refusais avant par idéologie sans me rendre compte que j’avais toujours une compagne, une ou un ami avec qui passer du temps. Avec Marie nous prenions l’habitude de boire un apéritif en fin de journée. Elle aimait ce moment où nous nous trouvions tous les deux, bavardant de choses anodines, de famille ou de la météo presque. Parfois on avait des crises de fou rire, comme ce soir où elle entra dans la salle de bain alors que j’étais sous la douche a poil.
Ooops ! Pardon dit-elle Mais elle restait sur le pas de la porte à me regarder. J’ai failli lui demander de se joindre à moi. Contrairement à mes habitudes je ne l’ai pas fait, pas osé j’ai sans doute senti qu’avec elle ce n’était pas ce que je cherchais. Pourtant à peine avait-elle fermé la porte , je bandais et me branlait furieusement les yeux clos sur son image. Je la rejoins pour notre rituel apéro, a peine installé elle éclate de son rire sonore et me ditJe suis désolée pour tout à l'heure je ne savais plus quoi faireFermer la porte était la seule solution dis-je.. un peu plus vite la prochaine foisAh je ne sais pas, ce que j’ai vu était agréable quand même dit elle dans un éclat de rire.
Ah bon tant que çà ?
Elle hocha la tête avec un sourire que je qualifierais de coquin. Je savais à quoi m’en tenir, la drôlesse me trouvait à son goût. J’en étais presque sûr mais là elle ne s’en cachait pas.
- Oh oui vous savez vous êtes vraiment un bel homme - Voilà une bonne nouvelle, et Marie arrête de me dire vous comme çà, on se tutoies.
- Si vou...tu veux, il faut s’habituer dit-elle en butant sur le mot.
- C’est quand même plus agréable non? Et puis maintenant que tu m’a vu à poil tu peux. Moi j’ai pas eu cette chance là!!
- Oh la la ça devient coquin!!!
Sa respiration s’était accélérée, elle avait beaucoup de mal à me regarder droit dans les yeux. Elle était visiblement peu à l’aise. Sans doute se disait -elle que je l’avais percée à jour. Je n’étais pas mieux je redoutais d’aller trop loin, où pas assez de casser ce moment magique. Sa main était posée sur la table, je fis le geste d’attraper mon verre, mais je détournais la cible et posais mes doigts sur les siens. Marie leva les yeux, ils pétillaient brillants, intenses. Son regard sombre s’illuminait. Au lieu de retirer sa main, ses doigts s'enroulent autour des miens et les serraient comme si elle avait peur de les laisser partir. Elle poussait un petit soupir, ses lèvres entrouvertes tremblaient légèrement. Sa respiration avait encore accéléré tout comme la mienne. J’en étais pas pourtant à mon coup d’essai. Je n’aurais pas dû être aussi tendu, je n'y pouvais rien, ce moment me paraissait trop important pour le gâcher. Mon inconscient savait sans doute que ce jouait une partie importante, cruciale même de ma vie. “Ô temps suspend ton vol” écrivait Lamartine. Nous étions dans un instant comparable. Cet instant semblait s’étirer à l’infini un instant durant lequel le prochain geste serait crucial, un instant de grâce. Je suis convaincu que si j’avais fait un autre geste la magie serait retombée. Je tirais légèrement sa main, approchant Marie de moi, je me penchais en avant mon regard dans le sien. Elle se laissait aller, approchant doucement son visage du mien. Ses yeux brillaient de mille feux, ses lèvres humectées par sa langue rose, brillaient. Doucement je continuais le mouvement nous étions maintenant presque nez à nez. elle me sourit, mes mains sur ses joues je l’attire, nos lèvres se touchent, ma langue force a peine ses lèvres qui accueille l’intruse, sa langue se glisse autour de la mienne puis explore ma bouche. Le baiser devient profond, les mains de Marie glissent dans ma chemise, ses doigts caressent ma peau avec une douceur infinie. Un petit doigt effleure mon téton. Une décharge de plaisir, je suis extrêmement sensible des bouts de seins. Instantanément, l’érection que je ressentais devient impérieuse. Depuis Marie a bien compris que me toucher les tétons c’est automatiquement me faire bander. Mes mains ont glissé et caressent ses seins, je sens les tétons tendus sous le fin tissu, elle frémit. Le baiser dure, dure elle et moi on aimerait que cela reste ainsi. Mais à moins de mourir asphyxiés nous devons rompre le contact à regret. Nous nous regardons, je vois une larme qui roule le long de sa joue. Je tends la main paume contre sa joue, j’essuie la perle brillante du pouce. Marie incline sa tête dans la paume de ma main.
Qu’y a- t-il ? Marie?
Oh rien, c’est trop bien, trop bien tu est génial.
Elle se jette dans mes bras assise à califourchon sur mes genoux. Elle m’enlace, je l’enlace. Je pense que nous avons brisé la glace.
Si douce soit la position, elle est à califourchon sur mes genoux, m’embrassant voluptueusement. Nous avions envie de bien plus tous les deux. Je me levais, Marie , nouait ses jambes musclées autour de ma taille, mes mains sous ses fesses et toujours nos bouches se livrant à une bataille de baisers, je la menais vers la chambre. J’avais besoin d’un lit pour parachever ce moment délicieux. Je bandais comme un dingue. Près du lit, Marie sauta prestement sur ses pieds, me regardant dans les yeux elle souriait et fit glisser l’épaule droite de sa robe, qui glissa sur son flanc, découvrant un sein magnifique rond et ferme, ses larges aréoles noires et ce gros téton trônant au centre appelait ma bouche. L’autre épaule glissa ) son tour la robe tombait à ses pieds me la dévoilant dans sa superbe nudité. Magnifique, une beauté qui m’a vraiment sauté au visage. Cette poitrine magnifique, ses hanches marquées et larges, une taille harmonieuse, un petit ventre un peu rond comme je les aime. Se terminant sur le triangle d’une toison luisante et bouclée. Ses cuisses sont musclées, je viens de le sentir quand elles enserrent ma taille. Elle à de très jolies jambes, elle ne fait pas 1m80, heureusement je ne suis pas si grand. Je la regarde longuement, elle laisse mon regard courir sur elle. J’ai l’impression que ce moment à duré, en fait il est bref, le temps s’étire ou se compresse selon les moments que l’on vit.
Que tu es belle, Marie, tu es magnifique.
Tais toi, tu va me troubler dit-elle approchant de moi
Marie, défaisait les derniers boutons de ma chemise, puis elle s’attaquait à ma ceinture. Tout en œuvrant, elle me couvrait le torse de baisers, je caressais ses épaules avec douceur, descendant le long de son buste, mes mains étaient sur ses hanches. Mon pantalon tombait, pas de sous vêtement il faisait bien trop chaud pour ça. Mon sexe était dur, plaqué contre mon ventre.
- Oooh !!!, il est encore plus beau que sous la douche dit elle en riant - Et toi tu es plus belle sans robe ma chérie.
Premier mot intime, comme si nous étions déjà ensembles. Prémonitoire? Je fais toujours attention aux mots que j’utilise pour éviter les méprises. Avec Marie je me sentais libre.
Elle posa ses lèvres sur les miennes, sa langue les dessina, puis sa bouche lentement descendit sur mon torse, le couvrait de baisers ou dessinait des arabesques avec sa langue humide sur ma peau. Elle taquinait mon nombril avec sa langue. Puis ses doigts, touchérent mon sexe, je frémis. Elle me regardait les yeux levés vers moi, elle guettait les réactions sur mon visage. Elle prit mon sexe en mains, dans ses mains l’une au dessus de l’autre, seul dépassait le gland.
Hmmm il est grand, et beau tu saisIl est à toi Marie si tu le veux.
Oh oui !! J’en ai envie vraiment.
Pas trop fier de ma réponse, mais à cet instant je n’avais plus trop de réparties et je crevais d’envie qu’elle me prenne dans sa bouche ce dont elle avait visiblement envie. Marie avait une mine de chatte devant une soucoupe de lait.
Elle tirait sur mon engin l’approchant de ses lèvres, je bandais encore plus fort maintenant qu’elle me manipule. Sa bouche frolait la tête de mon sexe. C’était à la fois divin et une torture diabolique. J’avais l’impression qu’elle me faisait languir volontairement. Il y a un peu de ça quand même.Maintenant que je connais Marie de A à Z je sais ses tours et péchés mignons. Faire monter la pression l’amuse énormément et elle y prend plaisir. Si j’avais touché une prise de courant je n’aurais pas tressaillis autant, sa langue léchait mon gland le mouillait abondamment. Ses yeux tentaient de garder le contact. Je voyais dans ses prunelles danser un jeu diabolique. Elle goutait le pouvoir qu’est celui d’une femme qui vous tient de cette maniére.J’avais beau avoir fait les 400 coups, j’avais pris des coups des blessures, combattu et tué sans véritable état d’âme et là j’étais le jouet volontaire d’une jolie femme. Sa bouche s’arrondit et enserra mon gland, elle me tenait d’une main maintenant et lentement un centimètre après l’autre elle descendait ses lèvres sur ma queue. Mes jambes tremblaient légèrement, Dieu que c’était bon, comme si c’était la première fois. En fait c’était une redécouverte, après une rupture aux conditions horribles je m’étais réfugié dans la fréquentation des mecs uniquement pendant plusieurs mois. Je retrouvais ce jour les caresses d’une femme et je mesurait le manque que j’avais moi même provoqué.
Je frissonnait tandis que sa bouche montait et descendait sur ma queue, la rendant luisante de salive. J’ai la chance d’avoir un sexe disons avantageux par rapport à la moyenne nationale, mais il est surtout épais, un peu noueux les veines sont trés saillantes et pour peu qu’il soit étranglé on croirait qu’elles sont prêtes à exploser. Marie ne semble pas avoir de soucis avec ma taille, elle m’avale même à plus de la moitié de mon sexe. Sa langue s’active, elle m’aspire littéralement. Je dois dire que parmi les assez nombreuses femmes que j’ai connues bibliquement, Marie est une des meilleures pompeuses que j’ai connu. Nombre de nos amis l’ont constaté également par la suite. Si je me laissais aller à mon seul plaisir, je l’aurais laissé continuer. Mais mon plus grand plaisir c’est d’en donner. Et je retardais aussi le moment qui pour moi est symbolique, la pénétration. Dans mon inconscient, rien ne c’est passé avec une femme tant que je ne l’ai pas possédée, tant que je n’ai pas jouis en elle. Nous avons eu quelques moments de plaisirs mais je n’ai l’impression d’avoir fait l’amour avec une femme que lorsque cet acte est consommé. Je suppose que c’est un vieil atavisme qui revient. Le mâle possédant la femelle, c’est totalement involontaire et ce n’est absolument pas irrévérencieux, ni la marque d’un machisme latent. D’ailleurs bien que cela puisse paraître étrange j’ai le plus grand respect pour les femmes en général et encore plus pour celles avec lesquelles j’ai partagé des moments d’intimité. J’en ai connu beaucoup au point de perdre le compte exact surtout après des années d'échangistes de boites à partouze et autres amusement. Je n’ai eu recours à une professionnelle tarifée qu’une seule fois dans ma vie et encore c’est pas tout à fait vrai car nous avons sympathisé et sommes devenus amis et le sommes encore.
Je relevais Marie de sa position d’adoration. Je la soulevais facilement, puis la posait sur le lit. Elle pensait que j’allais la pénétrer, au lieu de ça je m'agenouillai entre ses cuisses largement écartées qui me laissait apercevoir les rose nacré et luisant des chairs de sa chatte. Quelle vision que ce rose éclatant tranchant sur sa peau noire, et sa toison de jais touffue et bouclée. Elle releva ses genoux et s’écartela totalement. Offerte de cette façon, elle était superbe, ma queue en tressaillait d'impatience. J’approchais doucement de son sex offert.Posant mes mains sur le haut de ses cuisses, mes pouces écartent les grandes lèvres charnues, dévoilant de petites lévres crénelées, et délicates qui se rejoignent en un magnifique capuchon qui cache presque une grosse perle de chair d’un rose tendre. Un clitoris d’une taille peu habituelle chez les femmes européennes. Ma belle est déjà très très humide, ses poils même accrochent de petites perles transparentes. Le rose vif de sa chatte est luisant, trempé déjà. J’approche ma bouche, quel parfum, je ne m’en lasserais jamais, mélange épicé, poivré. Ma langue dessine ce sexe offert, c’est doux, j’aime ce goût, la chaleur moite qui ne fait qu’aumenter. Marie gémis doucement, elle est parcourue de frissons, Je lappe consciencieusement sa conque. C’est une des choses que je préfère, je ne m’en lasse jamais et si j’en crois toutes celles qui ont partagé mon lit, je serais plutôt doué de ce côté. Plus d’une fois on m’a déclaré que j’avais une langue de velours. Sans doute est ce dû au fait que contrairement à beaucoup de mecs, ce n’est pas pour faire plaisir un petit coup en passant, mon seul but est de faire jouir ma partenaire. J’adore qu’elles jouissent dans ma bouche, même les plus humides que j’ai connu c’est un plaisir rare que certains hommes ne savent pas apprécier.
Je mène une danse infernale, ma langue la pénètre profondément. Va et vient du haut en bas, j’ai pris garde de ne pas encore toucher son clitoris qui gonfle sortant de son capuchon. Il est beau et gros je ne pouvais rêver mieux. J’ai toujours adoré les femmes avec un clitoris énorme. Même les culturistes dont pourtant je trouve la plastique plutôt désagréable me plaisent car elles ont un clito hypertrophié à cause des produits dopants qu'elles utilisent. Marie est naturelle, c’est comme çà que dieu l’a faite et ce jour là le barbu était inspiré.Ne pensez pas que ma vie dissolue est une preuve attestant de mon impiété. Je suis catholique et croyant, je le dois bien ) mes aïeux qui allèrent en terre sainte, pour libérer le tombeau du Christ du joug musulman.
Cette fois Marie gémis plus fort, son bassin oscille, elle lance son pubis à la rencontre de ma bouche. Ses doigts sont posés sur ma tête, elle ne peut guère jouer avec mes boucles dorées vu que je me coiffe à la tondeuse.
Oh c’est bon !! Oui là, comme ça Hmmm encore encore!!
Conversation hachée de soupirs, de tremblements, de crispation de ses doigts sur ma tête quand cela devient très fort. Pour ma part ma queue est de nouveau plaquée contre mon ventre, je suis de plus en plus tendu. Je sens monter dans ma queue ces quelques gouttes transparentes qui vont couler sur mon gland. C”est selon les hommes plus ou moins important, chez moi c’est trés présent, je mouille énormément, au point que çà coule le long de mon sexe. bien sur si je suis excité et que cela dure longtemps.
Ma langue part à l’assaut du clito, cette petite queue miniature, c’est encore plus flagrant quand il est gros comme celui de Marie, il est évident que la différenciation mâle ou femelle se fait sur des bases communes. D’ailleurs moi qui goûte autant les hommes que les femmes, je ne fais guère de différence entre les sensations que l’on ressent avec l’un ou l’autre des sexesQuand je touche cette perle d’amour, Marie pousse un cri, ses mains me plaquent contre sa chatte comme si elle essayait de me faire entrer en elle.
‘ Ohhhhhh ouiiii!!!! c’est bon !!! Oh chéri.
Marie s’agite de plus en plus, elle enserre ma tête avec ses cuisses, mes lèvres s’emparent du clito et de son capuchon, je le suce, l’aspire tout en le taquinant du bout de la langue. Sur mon menton je sens couler son plaisir, venant du fond de son sexe ce suc délicieux s’écoule, je lappe et savoure son nectar. Ma queue est agitée d’accès de tension, mon anus s'agite, s'ouvre et se resserre. Je sens qu’elle voudrait que je vienne la prendre, mais elle sent qu’elle va bientôt jouir si je continue ainsi. Je choisis de satisfaire nos envies, je poursuis mon léchage et adjoint deux doigts qui la pénètrent. Ils glissent avec aisance dans son antre maintenant dégoulinant. Encore une chose que j’aime, les femmes humides j’adore çà. Peu importe le lit, les draps en portent les stigmates. Pas plus tard qu’hier après-midi nous avons dû changer les draps suite à un trio coquin avec Eve. Je masse doucement ce point à quelques centimètres de l’entrée du vagin, vers le haut. Ne me demandez pas si c’est le point G mais je sais que toutes les femmes en général ont une sensibilité particulière aux caresses à cet endroit, un peu comme nous avons une sensibilité importante au niveau de la prostate. En tout cas, Marie réagit presque violemment à cette caresse. Elle gémit de plus belle, ses mains ont quitté mon crâne, elle se caresse les seins et le ventre. Elle est parcourue de frissons, elle s’arc boute sur ses talons, montant son pubis très haut, au point que ma bouche perds le contact, mais elle revient avant de se tendre comme un arc. J’ai introduit un troisième doigt qui glisse avec les autres, ma main est luisante et mouillée, l’intérieur de ses cuisses et ses fesses semblent un miroir d’onyx. Dans son sexe, il semble s’écouler du petit lait, qui devient mousseux autour de mes phalanges. Un petit ruisselet blanc glisse jusqu’à son anus que je vois distinctement palpiter. Un instant je suis tenté d’investir la place, mais ne pas la brusquer je veux que tout se passe à merveille. Pour le moment, je pense que Marie exulte réellement. Elle n’est pas de celles qui simulent, d’ailleurs il faudrait être très forte pour simuler autant d’humidité, de contractions, de frissons. Ses cris ont augmenté de volume, sa respiration se fait plus saccadée. Mes doigts en elle massent ce point si sensible. Ma bouche aspire sa perle, ma langue tourne et retourne sur ce bouton gorgé de sève. j’ai le menton inondé, je me sens si bien, je dose mes mouvements, la faisant glisser vers le plaisir, temporisant en ralentissant, puis une accélération booste ce plaisir qui monte en vagues qui refluent puis remontent. Marie pousse de petits cris, elle semble parler mais rien d’intelligible. Ses seins montent et descendent au rythme d’une respiration qui accélère. Je sens sous ma bouche soon sexe qui se contracte et serre mes doigts avant de s’ouvrir en grand. Cela me soulage, a plusieurs reprises j’ai eu des problèmes de taille avec mon sexe, il est vrai qu’elles étaient asiatiques ou eurasiennes, donc de petit gabarits. Rien de plus pénible que de faire mal alors qu’on veut donner du plaisir. Je n’ai pourtant pas un sexe démesuré même si il est au dessus de la moyenne. 18cm (ou 20 selon le point de départ de la mesure) et 16cm de circonférence ce qui est là très au-dessus de la moyenne. Là je me dis que tout va bien aller. Je ne me reconnaît pas, habituellement je ne suis pas agité de telles pensées, je crois que mon sevrage récent m’a joué des tours et je me questionne trop. Peut être que je sentais inconsciemment, que ce qui débutait là était important, la suite me donne raison, Marie est là pas loin, endormie sans doute et Eve aussi.
Marie s’agite.. Elle à posé ses mains sur la main qui écarte ses lèvres. Elle serre mes doigts presque convulsivement. Elle frissonne, tremble de plus en plus fort sa tête fait des droite, gauche en cadence son sexe s’ouvre et se ferme, expulsant une créme onctueuse, qui vient du fond de son sexe, l’emplit presque j’ai ai plein les lévres plein la bouche je n’ai pas pu m’empêcher de laper au fond de ce coquillage rose. Ce suc est épais, chaud et suave, je n’avais pas eu souvent l’occasion de goûter ce plaisir avec d’autres. Deux ou trois fois et en régle générale des femmes de couleur.
Marie ce tends, comme un arc, en criant comme une damnée.
- Ohhhh ouiiii!!! je jouiss je jouiss!! C’est bon .. c’est bon .
Je continues à lécher son sexe, et je la sens a nouveau frémir, ses mains agrippent les draps, tire en tout sens, elle se cambre à nouveau.
Ouiiiiii Ouiiiii ouiiiMarie, jouis encore, en fait c’est plutôt son orgasme qui se prolonge, Marie est ainsi faite une fois le point de l’orgasme atteint elle peut avoir 3 ou 4 décharges orgasmiques de suite. avant de retrouver son calme. La voir ainsi m’excitait terriblement et ma queue piaffait d’impatience. J’avais cette fois un impérieux besoin de prendre du plaisir. Je me rendis compte que Marie était trempée de sueur, encore plus belle, luisante comme si je l’avais huilée, chose que nous faisons souvent d’ailleurs. Elle est toujours les cuisses écartée, largement son sexe rose et brillant coule de plaisir, ses fesses sont striées de ruisselets blanchatres de son nectar. Je suis à genoux dans le compas de ses jambes. Je la regarde, avec tendresse, envie et fierté quelle belle femme, pour qu’elle soit mienne l faut maintenant que je ma posséde, il faut que j’entre en elle, que je jouisse en elle pour avoir vraiment le sentiment de lui avoir fait l’amour. Il est vrai que nombre de fois, j’ai donné le même plaisir à des femmes parfois inconnues dans des clubs ou boîtes échangistes. Je n’ai pourtant pas l’impression de leur avoir fait l’amour.
Marie tend ses mains vers moi, je prend ses mains, elle serre et me tire vers elle.
Viens amour, viens en moi j’ai envie viens.
Je m’approche, me penche vers son visage, nos lèvres se joignent en un baiser fougueux. Mes mains sur ses seins que je pétris, les tétons chatouillent mes paumes, ils sont durs et dressés. Ma queue est posée sur sa toison, le gland frotte sur son clito, elle pousse un petit cri, je suis vraiment en forme, j' ai mal à la queue tellement je suis tendu. Ses hanches son ventre se meuvent lentement, elle essaie de capter ce sexe qu’elle désire. Je ne vais pas la faire languir, surtout que si on continuait comme ça je finirais par gicler sur son ventre. Je taquine son gros clito en frottant mon gland contre lui. Marie réagit presque violemment poussant des cris de plaisir. Puis je guide ma queue, je sens la chaleur moite de ce sexe qu’elle m’offre, couvrir mon gland, puis lentement, je la pénétre. Impression de glisser mon sexe dans une soie mouillée. Marie la tête rejetée en arrère, pousse une plainte rauque tout le temps que mon sexe la pénétre. La voir ainsi est magnifique. Je sens tout le plaisir qu’elle prend à me sentir en elle. Je ne suis pas certain que les hommes uniquement hétéro puissent se faire une idée du plaisir de la pénétration, cet instant ou un sexe étranger entre dans mon corp. Il m’est arrivé de jouir simplement de la pénétration. Mon sexe emplis totalement sa chatte, je sens son clito qui frotte sur le dessus de ma queue. Tout est fait pour que Marie connaisse à nouveau le plaisir. Mes couilles sont contre ses fesses. Je me retire lentement, ressortant totalement ma queue. Son con reste grand ouvert, je reponge mon sexe cette fois d’un coup de rein vif et m’enfile jusqu’a la garde en elle. Marie pousse un ohh de surprise, elle se redresse un peu ses mains attrape mes hanches, ses jambes se croisent sur mon dos suivant le rythme elle m’aide me serre contre elle.
-Oh c’est bon!! tu es gros je te sens bien, oui encore vas y!!
Mon bas ventre se mouille petit à petit, ma queue est totalement couverte de mouille luisante. Je pose ma main droite sur son pubis et mon pouce trouve facilement son clito. Je ne la quitte pas des yeux, quand je touche sa perle sa bouche s’ouvre, comme pour happer plus d’air comme si elle suffoquait. Son sexe musclé se referme sur ma pine comme si il cherchait à l”écraser., puis se relâche. Elle se contracte chaque fois que je taquine son clitoris puis s’ouvre largement au point que je pénètre en elle sans grand frottement. Marie est musclée et est capable de vous serrer la queue avec les mouvements de son vagin elle vous masse au point de vous amener à jouir. Combien de fois avons-nous joué à cela, elle chevauchant ma queue bien calée en elle, elle me fait partir sans mouvement de ma part, sauf les caresses sur les seins et les baisers. Elle a essayé avec Eve, mais çà marche beaucoup moins bien car la gamine à un sexe de petite taille.
Les ongles de Marie par moment s’incrustent dans mes bras. Ma queue massée par ce sexe vorace, est toujours tendue à l’extrême. Je sens mes couilles se serrer, remonter à la base de mon sexe, et le fourmillement annonciateur de l’orgasme se précise. C’est bien, tôt, trop rapide, mais je suis vraiment en rut si je puis dire. Je n’y peut plus grand chose. Marie gémit et accompagne mes mouvements , mettant son bassin au diapason du mien. Les baisers pleuvent sur sa bouche, ses seins, je tête ses gros tétons. Soudain je ne tiens plus, je sens monter l’orage dans ma queue. Je retiens autant que possible mon plaisir, mais avec brutalité même je plate mon sexe au fond du sien, tandis que je gicle abondamment, 6 ou 7 grosses giclées suivies de plus modestes, je me vide totalement en elle. Dans le regard de Marie je distingue une lueur de désarroi, elle aurait aimé que cela dure bien plus. Je continue mon va et viens, je connais bien ma nature. Quelques instant mon sexe à légérement dégonflé, mais mes mouvements lui redonnent sa pleine consistance en peu de temps. Je patauge litérallement dans son sexe. Non seulement elle est ruisselante mais mon sperme abondant fait un lit douillet à ma queue. Marie sourit, elle comprend que ce n’est pas terminé. Elle goutte la caresse de mon pouce sur son clito, j’accentue même mes rotations sur son joyau. Ma queue maintenant se couvre d’une sorte de crème un peu comme si nous avions joué avec la bombe de chantilly. Le mélange entre son nectar et mon sperme, oh ne vous y trompez pas j’ai déjà goûté ce mélange et j’adore, même si le sperme n’est pas le mien d’ailleurs.
Marie, halète, elle est en train de gravir de nouveau la pente vers son plaisir. Les mouvements de son sexe sont de plus en plus désordonnés, erratiques, de l’alternance de pression puis relachement de ses muscles, c’est une sucession de soubresauts, parfois elle me serre tellement qu’elle me ferait presque mal, sa tête dodeline à nouveau tandis que la bouche ouverte elle cries cette fois vraiment fort. Le plaisir est en train de la submerger, la sueur ruisselle sur son visage, entre ses seins. Je me dis d’un coup que j’avais eu assez peu souvent une partenaire aussi vivante que Marie, je sens partout les endroits où ses ongles se sont enfoncés dans ma peau. J’aurais adoré qu’elle m'attrape le bout des seins, j’adore ça.mais nous ne sommes qu’aux prémices de cette relation nous devons apprendre à nous connaître. Je pense qu’en ces instants, je tombais follement amoureux d’elle, inexplicable car j’ai tellement fait l’amour a des femmes sans que je ne ressente autre chose qu’un grand plaisir. Là c’est différent ne demandez pas pourquoi, c’est ainsi. Comme disait le poète parce que c'était elle, parce que c’était moi. depuis 34 ans maintenant nous sommes toujours aussi amoureux, bien sur nos 10 ans de différence sont toujours là mais peu importe. Je regrette qu’elle soit maintenant si frileuse en ce qui concerne les soirées à plusieurs pour la raison qu’elle à vieillis et qu’elle trouve son image désormais désagréable. Une hérésie, certes Marie à pris du poids, elle est plutôt du style BBW maintenant. Elle se compare toujours à moi qui n’ai quasiment pas bougé depuis notre rencontre. La différence est que je fais encore 50 pompes tous les matins et autant de tractions, que je cours au minimum une heure par jour. Elle n’est pas du tout sportive, mais gourmande et se laisse aller à ses envies.
Je la besogne furieusement cette fois, je bute au fond de son sexe, chaque coup la fait frémir, crier, son bouton est dur sous mon pouce que je mouille dans son sexe pour qu’il glisse bien. Un instant j’ai la tentation de me glisser dans son anus, lubrifié comme il l’est ça passerait sûrement sans trop de soucis, mais je ne peux m’arrêter et lui demander si elle veut bien. On verra à un autre moment. Soudain elle me cramponne le cou, me tire vers elle, sa bouche mange la mienne. Elle se cambre sous moi, elle jouit et crie dans ma bouche. Je me joins à elle, encore une fois je décharge longuement tout mon foutre dans son sexe. je me retire après un moment. je vois son sexe rose béant, vomissant le sperme que j’ai déposé en elle. Vision magnifique, j’adore ce genre de scène. Je suis très visuel, voyeur? Oui mais surtout si je peux être acteur. Mon sexe est toujours dur et dressé. Je m’apprête à continuer le combat mais Marie me dit.
Attends un peu chéri, tu m’épuise !!! Prends-moi dans tes bras.
Je caresse sa joue, dessine sa bouche du bout de mes doigts que sensuellement elle prend entre ses lèvres les suçotant un instant.
Marie de blottis contre moi, sa main caresse mon visage, ma poitrine, elle se presse contre moi et mélange nos jambes. Mon sexe se frotte à sa peau, aussi tendu que si il ne s’était rien passé.
Tu bandes encore, c’est fou!! Comment tu fais?
Je ne sais pas, j'ai toujours été comme ça. Avec toi c’est facile tu est si belle et excitante.
Mon dieu, je crois que jamais je n’ai jouis aussi fort. Et ta langue je n’avais jamais connu çà. Quelle chance j’ai !!!
Allons allons, ma douce, je ne suis qu’un mec comme les autres.
Ah non !! Ne dis pas çà, jamais un homme n’a passé autant de temps à s'occuper de moi. Tu es un ange !
Un diable plutôt non?
Je vends mon âme au diable alors, enfin tant qu’il sera là….
Je sentais une pointe de regret dans sa voix, elle regardait vers demain, elle savait que j’étais là pour un temps limité. J’en conclus qu’elle aurait aimé que nous ayons une relation qui dure. ( Je condense les choses car il à fallu plus de temps pour arriver à cette question et à sa résolution. )Marie avait un petit sourire presque triste. Plus je la regardais, plus je la trouvais belle. Elle me l’avait dit, elle est mon aînée de 10 ans, et alors quand j’avais à peine 20 ans j’ai eu une amie qui en avait 55, et tout allait bien. Surtout que Marie fait 10 à 15 ans de moins que son âge. Même aujourd’hui avec ses kilos superflus et ses 76 ans, elle est totalement désirable. Oui le temps à passé, moi aussi j’ai vieilli même si ma condition physique est presque aussi bonne qu'à l'époque où je l’ai rencontrée. Enfin j’aime à le croire, peut être que sur le terrain j’aurais une sérieuse désillusion.
A ce moment enlacés, nous ne disons rien un moment. Je n’ai pas répondu à son questionnement. Je ne le peux pas, c’est trop frais, trop rapide, même si je sens au fond de moi que je peux passer à côté de quelque chose. Et puis un câlin entraîne une caresse, puis une autre et en fait nous avons fait l’amour jusqu’au petit matin. Tout le temps que dura mon séjour, je ne me trouvais jamais seul le soir. Ce fut une sorte de révélation, nous étions un couple, rapidement toute l’ambassade était au courant. Loin de juger ou de trouver la situation anormale, je trouvais des appuis et même en fin de compte de l’aide quand il fallu rentrer. Et je ne suis pas rentré seul. Non, Marie était avec moi, elle avait tout ce qu’il lui fallait pour devenir française, elle avait toujours voulu venir en France ou au moins en Europe. Jamais je n’ai eu à regretter cette décision un peu rapide. 33 ans ont passé je ne pense pas qu’on en fera autant mais 10 ou 15 ans feraient notre bonheur. D’ailleurs je ne veux pas penser à demain, j’ai trop à perdre.
Arrivé sur place, on avait bien préparé ma venue et je dois dire sans doute le meilleur accueil que j’ai reçu dans ce genre d’action. J’étais logé dans un bungalow inclus dans le parc de l’ambassade, j’étais seul et il aurait convenu à une famille avec enfants. Encore mieux j’avais une employée de maison a mon service pour les tâches ménagères et mêle la cuisine si c’était nécessaire. Je n’en attendais pas autant. On me présenta cette femme, Marie une jolie femme aux formes généreuses et je dois dire, à mon gout. Je n’ai pas immédiatement et instantanément conçu une envie d’elle, mais j’ai apprécié le sourire et la joie de vivre de cette jolie femme, pas une gamine, une femme qui était environ de mon âge, hors je me plantais lamentablement car elle a 10 ans de plus que moi, cet écart était absolument pas discernable a cette époque, peut être un peu plus aujourd’hui mais surtout dans la perception qu’a Marie d’elle même. L'âge ne nous épargne pas et on change chez elle c’est aussi lié à son ethnie et sa gourmandise, les kilos se sont installés pour moi et beaucoup d’autres elle est totalement désirable et sensuelle, mais pour elle il n’est plus question comme par le passé de se montrer dans une partouze hormis avec quelques vieux amis qui sont presque de la famille voir carrément de la famille comme ma nièce. Revenons 30 ans en arrière.
Ma mission m'absorbait totalement, passant des heures sur le terrain, je ne croisais Marie que le soir ou le matin parfois si je trainais un peu. Petit à petit le malaise qui me pourrissait la vie s'estompe, je commençais à avoir besoin de chaleur humaine et de sexe. Oh je n’ai pas honte d’avouer que je me branlais tous les jours voir plusieurs fois par jour et c’est toujours le cas comme cela était depuis bien avant mes 15 ans. Chaque fois que je voyais cette femme qui s’occupait de mon bien être je la trouvait de plus en plus attirante, sa généreuse poitrine tendait les tshirt qu’elle portait le plus souvent, ses gros tétons déformaient le fin tissu et il semblait que la belle avait tendance a avoir ses petits bouts toujours dressés. Comme beaucoup d’africaines elle utilisait des perruques, gardant des cheveux courts. Je ne me rendrai compte de cela que plus tard. Son fessier m’attirait, son déhanché magnifique rendait le balancement de sa croupe hypnotique. J’avais encore du travail pour un bon moment, je levais un peu le pied pour faire durer la mission, je n’avais pas d’objectif borné dans le temps, juste a mettre sur pied une organisation impeccable capable d’assurer la protection de l’ambassade et également de fournir à nos compatriotes une protection et des possibilités d’extraction et rapatriement vers l’ambassade. Je commençais donc à la croiser régulièrement, je restais dans le bungalow pour faire de la paperasse quand c’était nécessaire. Je la regardais faire le ménage et me remplissais les yeux de ses formes, de son sourire également et de son rire franc et jamais forcé. Quand je restais au bureau elle mettait beaucoup de temps à épousseter, ranger, passer le balais partout dans la cagna. Elle prenait l’habitude de me parler de choses anodines, glissant parfois des petites questions innocentes comme savoir si j’avais des enfants ce qui aurait signifié que j’étais marié ou que j’avais une compagne. Je commençais à avoir l’impression qu’elle s'intéressait à moi.
Marie devenait ma principale préoccupation, je suis comme çà, j’avais maintenant envie d’aller plus loin. Petit à petit elle aussi changea d’attitude, elle ne portait plus ces jeans et t-shirts habituels, elle mettait des robes colorées au décolleté parfois avantageux. Je ne quittais pas des yeux ces seins en liberté sans soutien gorge, malgré leur taille ils se supportent facilement seuls. Plusieurs fois elle se penchait en avant, pour ramasser je ne sais quoi sur le sol et je pouvais admirer cette paire de seins fermes et ronds aux aréoles noires, aux tétons gros comme mon doigt et le plus souvent tendus sous le tissu. Elle m’avoua après qu’elle avait tout fait pour m’allumer et ça marchait. Comme la fois ou accroupie elle avait remonté sa jupe sur ces cuisses et qu’elle avait les cuisses assez écartées pour que je puisse voir la blessure rose de sa chatte perdue dans sa toison bouclée et luisante. Cette fois-là j’ai eu envie de lui sauter dessus et de la prendre sur le sol. Mais je suis peut être pervers mais bien élevé et respectueux des femmes bien que je pratique des jeux peu communs et souvent réprouvés, jamais de ma vie je n’ai forcé une femme ou un homme a faire une chose qu’elle ne désirais pas faire. Le SM est un jeu de rôle dans lequel l’esclave est en fin de compte le maître du jeu. Je peux affirmer que si l’esclave est extrême dans ses désirs elle ou il entraînera le maître dans des extrémités où lui-même ne serait pas allé. J’en atteste pour avoir été dans cette situation.
J”avais conçu pour Marie une attirance folle, j’aime les peaux noires c’est vrai, mais au delà de son physique avantageux c’était elle, son esprit, sa joie de vivre qui me faisait envie. Au fil des semaines ,nos relations avaient évolué, réservée au début et moi assez distant ce fut assez tristounet les 3 premières semaines. L'habitude, la routine presque nous dérident tous les deux. Elle tenait de façon impeccable la maison, mais elle allait plus loin, au bout de quelque temps elle me demanda si j'acceptais qu’elle s’occupe de mes affaires. Elle me trouvait parfois “trop fripé pour un bel homme comme moi” Je riais à sa remarque et je la laissais prendre en charge ces contingences. Elle alla même jusqu'à me dire que les sous-vêtements feraient partie de ses attentions. J’étais content de la tournure des événements. Je commençais à ressentir une sorte de lassitude, la solitude me pesait. Depuis des années je n’étais jamais resté seul sur une aussi longue période.Je comprenais que j’étais fait pour la vie en société, chose que je refusais avant par idéologie sans me rendre compte que j’avais toujours une compagne, une ou un ami avec qui passer du temps. Avec Marie nous prenions l’habitude de boire un apéritif en fin de journée. Elle aimait ce moment où nous nous trouvions tous les deux, bavardant de choses anodines, de famille ou de la météo presque. Parfois on avait des crises de fou rire, comme ce soir où elle entra dans la salle de bain alors que j’étais sous la douche a poil.
Ooops ! Pardon dit-elle Mais elle restait sur le pas de la porte à me regarder. J’ai failli lui demander de se joindre à moi. Contrairement à mes habitudes je ne l’ai pas fait, pas osé j’ai sans doute senti qu’avec elle ce n’était pas ce que je cherchais. Pourtant à peine avait-elle fermé la porte , je bandais et me branlait furieusement les yeux clos sur son image. Je la rejoins pour notre rituel apéro, a peine installé elle éclate de son rire sonore et me ditJe suis désolée pour tout à l'heure je ne savais plus quoi faireFermer la porte était la seule solution dis-je.. un peu plus vite la prochaine foisAh je ne sais pas, ce que j’ai vu était agréable quand même dit elle dans un éclat de rire.
Ah bon tant que çà ?
Elle hocha la tête avec un sourire que je qualifierais de coquin. Je savais à quoi m’en tenir, la drôlesse me trouvait à son goût. J’en étais presque sûr mais là elle ne s’en cachait pas.
- Oh oui vous savez vous êtes vraiment un bel homme - Voilà une bonne nouvelle, et Marie arrête de me dire vous comme çà, on se tutoies.
- Si vou...tu veux, il faut s’habituer dit-elle en butant sur le mot.
- C’est quand même plus agréable non? Et puis maintenant que tu m’a vu à poil tu peux. Moi j’ai pas eu cette chance là!!
- Oh la la ça devient coquin!!!
Sa respiration s’était accélérée, elle avait beaucoup de mal à me regarder droit dans les yeux. Elle était visiblement peu à l’aise. Sans doute se disait -elle que je l’avais percée à jour. Je n’étais pas mieux je redoutais d’aller trop loin, où pas assez de casser ce moment magique. Sa main était posée sur la table, je fis le geste d’attraper mon verre, mais je détournais la cible et posais mes doigts sur les siens. Marie leva les yeux, ils pétillaient brillants, intenses. Son regard sombre s’illuminait. Au lieu de retirer sa main, ses doigts s'enroulent autour des miens et les serraient comme si elle avait peur de les laisser partir. Elle poussait un petit soupir, ses lèvres entrouvertes tremblaient légèrement. Sa respiration avait encore accéléré tout comme la mienne. J’en étais pas pourtant à mon coup d’essai. Je n’aurais pas dû être aussi tendu, je n'y pouvais rien, ce moment me paraissait trop important pour le gâcher. Mon inconscient savait sans doute que ce jouait une partie importante, cruciale même de ma vie. “Ô temps suspend ton vol” écrivait Lamartine. Nous étions dans un instant comparable. Cet instant semblait s’étirer à l’infini un instant durant lequel le prochain geste serait crucial, un instant de grâce. Je suis convaincu que si j’avais fait un autre geste la magie serait retombée. Je tirais légèrement sa main, approchant Marie de moi, je me penchais en avant mon regard dans le sien. Elle se laissait aller, approchant doucement son visage du mien. Ses yeux brillaient de mille feux, ses lèvres humectées par sa langue rose, brillaient. Doucement je continuais le mouvement nous étions maintenant presque nez à nez. elle me sourit, mes mains sur ses joues je l’attire, nos lèvres se touchent, ma langue force a peine ses lèvres qui accueille l’intruse, sa langue se glisse autour de la mienne puis explore ma bouche. Le baiser devient profond, les mains de Marie glissent dans ma chemise, ses doigts caressent ma peau avec une douceur infinie. Un petit doigt effleure mon téton. Une décharge de plaisir, je suis extrêmement sensible des bouts de seins. Instantanément, l’érection que je ressentais devient impérieuse. Depuis Marie a bien compris que me toucher les tétons c’est automatiquement me faire bander. Mes mains ont glissé et caressent ses seins, je sens les tétons tendus sous le fin tissu, elle frémit. Le baiser dure, dure elle et moi on aimerait que cela reste ainsi. Mais à moins de mourir asphyxiés nous devons rompre le contact à regret. Nous nous regardons, je vois une larme qui roule le long de sa joue. Je tends la main paume contre sa joue, j’essuie la perle brillante du pouce. Marie incline sa tête dans la paume de ma main.
Qu’y a- t-il ? Marie?
Oh rien, c’est trop bien, trop bien tu est génial.
Elle se jette dans mes bras assise à califourchon sur mes genoux. Elle m’enlace, je l’enlace. Je pense que nous avons brisé la glace.
Si douce soit la position, elle est à califourchon sur mes genoux, m’embrassant voluptueusement. Nous avions envie de bien plus tous les deux. Je me levais, Marie , nouait ses jambes musclées autour de ma taille, mes mains sous ses fesses et toujours nos bouches se livrant à une bataille de baisers, je la menais vers la chambre. J’avais besoin d’un lit pour parachever ce moment délicieux. Je bandais comme un dingue. Près du lit, Marie sauta prestement sur ses pieds, me regardant dans les yeux elle souriait et fit glisser l’épaule droite de sa robe, qui glissa sur son flanc, découvrant un sein magnifique rond et ferme, ses larges aréoles noires et ce gros téton trônant au centre appelait ma bouche. L’autre épaule glissa ) son tour la robe tombait à ses pieds me la dévoilant dans sa superbe nudité. Magnifique, une beauté qui m’a vraiment sauté au visage. Cette poitrine magnifique, ses hanches marquées et larges, une taille harmonieuse, un petit ventre un peu rond comme je les aime. Se terminant sur le triangle d’une toison luisante et bouclée. Ses cuisses sont musclées, je viens de le sentir quand elles enserrent ma taille. Elle à de très jolies jambes, elle ne fait pas 1m80, heureusement je ne suis pas si grand. Je la regarde longuement, elle laisse mon regard courir sur elle. J’ai l’impression que ce moment à duré, en fait il est bref, le temps s’étire ou se compresse selon les moments que l’on vit.
Que tu es belle, Marie, tu es magnifique.
Tais toi, tu va me troubler dit-elle approchant de moi
Marie, défaisait les derniers boutons de ma chemise, puis elle s’attaquait à ma ceinture. Tout en œuvrant, elle me couvrait le torse de baisers, je caressais ses épaules avec douceur, descendant le long de son buste, mes mains étaient sur ses hanches. Mon pantalon tombait, pas de sous vêtement il faisait bien trop chaud pour ça. Mon sexe était dur, plaqué contre mon ventre.
- Oooh !!!, il est encore plus beau que sous la douche dit elle en riant - Et toi tu es plus belle sans robe ma chérie.
Premier mot intime, comme si nous étions déjà ensembles. Prémonitoire? Je fais toujours attention aux mots que j’utilise pour éviter les méprises. Avec Marie je me sentais libre.
Elle posa ses lèvres sur les miennes, sa langue les dessina, puis sa bouche lentement descendit sur mon torse, le couvrait de baisers ou dessinait des arabesques avec sa langue humide sur ma peau. Elle taquinait mon nombril avec sa langue. Puis ses doigts, touchérent mon sexe, je frémis. Elle me regardait les yeux levés vers moi, elle guettait les réactions sur mon visage. Elle prit mon sexe en mains, dans ses mains l’une au dessus de l’autre, seul dépassait le gland.
Hmmm il est grand, et beau tu saisIl est à toi Marie si tu le veux.
Oh oui !! J’en ai envie vraiment.
Pas trop fier de ma réponse, mais à cet instant je n’avais plus trop de réparties et je crevais d’envie qu’elle me prenne dans sa bouche ce dont elle avait visiblement envie. Marie avait une mine de chatte devant une soucoupe de lait.
Elle tirait sur mon engin l’approchant de ses lèvres, je bandais encore plus fort maintenant qu’elle me manipule. Sa bouche frolait la tête de mon sexe. C’était à la fois divin et une torture diabolique. J’avais l’impression qu’elle me faisait languir volontairement. Il y a un peu de ça quand même.Maintenant que je connais Marie de A à Z je sais ses tours et péchés mignons. Faire monter la pression l’amuse énormément et elle y prend plaisir. Si j’avais touché une prise de courant je n’aurais pas tressaillis autant, sa langue léchait mon gland le mouillait abondamment. Ses yeux tentaient de garder le contact. Je voyais dans ses prunelles danser un jeu diabolique. Elle goutait le pouvoir qu’est celui d’une femme qui vous tient de cette maniére.J’avais beau avoir fait les 400 coups, j’avais pris des coups des blessures, combattu et tué sans véritable état d’âme et là j’étais le jouet volontaire d’une jolie femme. Sa bouche s’arrondit et enserra mon gland, elle me tenait d’une main maintenant et lentement un centimètre après l’autre elle descendait ses lèvres sur ma queue. Mes jambes tremblaient légèrement, Dieu que c’était bon, comme si c’était la première fois. En fait c’était une redécouverte, après une rupture aux conditions horribles je m’étais réfugié dans la fréquentation des mecs uniquement pendant plusieurs mois. Je retrouvais ce jour les caresses d’une femme et je mesurait le manque que j’avais moi même provoqué.
Je frissonnait tandis que sa bouche montait et descendait sur ma queue, la rendant luisante de salive. J’ai la chance d’avoir un sexe disons avantageux par rapport à la moyenne nationale, mais il est surtout épais, un peu noueux les veines sont trés saillantes et pour peu qu’il soit étranglé on croirait qu’elles sont prêtes à exploser. Marie ne semble pas avoir de soucis avec ma taille, elle m’avale même à plus de la moitié de mon sexe. Sa langue s’active, elle m’aspire littéralement. Je dois dire que parmi les assez nombreuses femmes que j’ai connues bibliquement, Marie est une des meilleures pompeuses que j’ai connu. Nombre de nos amis l’ont constaté également par la suite. Si je me laissais aller à mon seul plaisir, je l’aurais laissé continuer. Mais mon plus grand plaisir c’est d’en donner. Et je retardais aussi le moment qui pour moi est symbolique, la pénétration. Dans mon inconscient, rien ne c’est passé avec une femme tant que je ne l’ai pas possédée, tant que je n’ai pas jouis en elle. Nous avons eu quelques moments de plaisirs mais je n’ai l’impression d’avoir fait l’amour avec une femme que lorsque cet acte est consommé. Je suppose que c’est un vieil atavisme qui revient. Le mâle possédant la femelle, c’est totalement involontaire et ce n’est absolument pas irrévérencieux, ni la marque d’un machisme latent. D’ailleurs bien que cela puisse paraître étrange j’ai le plus grand respect pour les femmes en général et encore plus pour celles avec lesquelles j’ai partagé des moments d’intimité. J’en ai connu beaucoup au point de perdre le compte exact surtout après des années d'échangistes de boites à partouze et autres amusement. Je n’ai eu recours à une professionnelle tarifée qu’une seule fois dans ma vie et encore c’est pas tout à fait vrai car nous avons sympathisé et sommes devenus amis et le sommes encore.
Je relevais Marie de sa position d’adoration. Je la soulevais facilement, puis la posait sur le lit. Elle pensait que j’allais la pénétrer, au lieu de ça je m'agenouillai entre ses cuisses largement écartées qui me laissait apercevoir les rose nacré et luisant des chairs de sa chatte. Quelle vision que ce rose éclatant tranchant sur sa peau noire, et sa toison de jais touffue et bouclée. Elle releva ses genoux et s’écartela totalement. Offerte de cette façon, elle était superbe, ma queue en tressaillait d'impatience. J’approchais doucement de son sex offert.Posant mes mains sur le haut de ses cuisses, mes pouces écartent les grandes lèvres charnues, dévoilant de petites lévres crénelées, et délicates qui se rejoignent en un magnifique capuchon qui cache presque une grosse perle de chair d’un rose tendre. Un clitoris d’une taille peu habituelle chez les femmes européennes. Ma belle est déjà très très humide, ses poils même accrochent de petites perles transparentes. Le rose vif de sa chatte est luisant, trempé déjà. J’approche ma bouche, quel parfum, je ne m’en lasserais jamais, mélange épicé, poivré. Ma langue dessine ce sexe offert, c’est doux, j’aime ce goût, la chaleur moite qui ne fait qu’aumenter. Marie gémis doucement, elle est parcourue de frissons, Je lappe consciencieusement sa conque. C’est une des choses que je préfère, je ne m’en lasse jamais et si j’en crois toutes celles qui ont partagé mon lit, je serais plutôt doué de ce côté. Plus d’une fois on m’a déclaré que j’avais une langue de velours. Sans doute est ce dû au fait que contrairement à beaucoup de mecs, ce n’est pas pour faire plaisir un petit coup en passant, mon seul but est de faire jouir ma partenaire. J’adore qu’elles jouissent dans ma bouche, même les plus humides que j’ai connu c’est un plaisir rare que certains hommes ne savent pas apprécier.
Je mène une danse infernale, ma langue la pénètre profondément. Va et vient du haut en bas, j’ai pris garde de ne pas encore toucher son clitoris qui gonfle sortant de son capuchon. Il est beau et gros je ne pouvais rêver mieux. J’ai toujours adoré les femmes avec un clitoris énorme. Même les culturistes dont pourtant je trouve la plastique plutôt désagréable me plaisent car elles ont un clito hypertrophié à cause des produits dopants qu'elles utilisent. Marie est naturelle, c’est comme çà que dieu l’a faite et ce jour là le barbu était inspiré.Ne pensez pas que ma vie dissolue est une preuve attestant de mon impiété. Je suis catholique et croyant, je le dois bien ) mes aïeux qui allèrent en terre sainte, pour libérer le tombeau du Christ du joug musulman.
Cette fois Marie gémis plus fort, son bassin oscille, elle lance son pubis à la rencontre de ma bouche. Ses doigts sont posés sur ma tête, elle ne peut guère jouer avec mes boucles dorées vu que je me coiffe à la tondeuse.
Oh c’est bon !! Oui là, comme ça Hmmm encore encore!!
Conversation hachée de soupirs, de tremblements, de crispation de ses doigts sur ma tête quand cela devient très fort. Pour ma part ma queue est de nouveau plaquée contre mon ventre, je suis de plus en plus tendu. Je sens monter dans ma queue ces quelques gouttes transparentes qui vont couler sur mon gland. C”est selon les hommes plus ou moins important, chez moi c’est trés présent, je mouille énormément, au point que çà coule le long de mon sexe. bien sur si je suis excité et que cela dure longtemps.
Ma langue part à l’assaut du clito, cette petite queue miniature, c’est encore plus flagrant quand il est gros comme celui de Marie, il est évident que la différenciation mâle ou femelle se fait sur des bases communes. D’ailleurs moi qui goûte autant les hommes que les femmes, je ne fais guère de différence entre les sensations que l’on ressent avec l’un ou l’autre des sexesQuand je touche cette perle d’amour, Marie pousse un cri, ses mains me plaquent contre sa chatte comme si elle essayait de me faire entrer en elle.
‘ Ohhhhhh ouiiii!!!! c’est bon !!! Oh chéri.
Marie s’agite de plus en plus, elle enserre ma tête avec ses cuisses, mes lèvres s’emparent du clito et de son capuchon, je le suce, l’aspire tout en le taquinant du bout de la langue. Sur mon menton je sens couler son plaisir, venant du fond de son sexe ce suc délicieux s’écoule, je lappe et savoure son nectar. Ma queue est agitée d’accès de tension, mon anus s'agite, s'ouvre et se resserre. Je sens qu’elle voudrait que je vienne la prendre, mais elle sent qu’elle va bientôt jouir si je continue ainsi. Je choisis de satisfaire nos envies, je poursuis mon léchage et adjoint deux doigts qui la pénètrent. Ils glissent avec aisance dans son antre maintenant dégoulinant. Encore une chose que j’aime, les femmes humides j’adore çà. Peu importe le lit, les draps en portent les stigmates. Pas plus tard qu’hier après-midi nous avons dû changer les draps suite à un trio coquin avec Eve. Je masse doucement ce point à quelques centimètres de l’entrée du vagin, vers le haut. Ne me demandez pas si c’est le point G mais je sais que toutes les femmes en général ont une sensibilité particulière aux caresses à cet endroit, un peu comme nous avons une sensibilité importante au niveau de la prostate. En tout cas, Marie réagit presque violemment à cette caresse. Elle gémit de plus belle, ses mains ont quitté mon crâne, elle se caresse les seins et le ventre. Elle est parcourue de frissons, elle s’arc boute sur ses talons, montant son pubis très haut, au point que ma bouche perds le contact, mais elle revient avant de se tendre comme un arc. J’ai introduit un troisième doigt qui glisse avec les autres, ma main est luisante et mouillée, l’intérieur de ses cuisses et ses fesses semblent un miroir d’onyx. Dans son sexe, il semble s’écouler du petit lait, qui devient mousseux autour de mes phalanges. Un petit ruisselet blanc glisse jusqu’à son anus que je vois distinctement palpiter. Un instant je suis tenté d’investir la place, mais ne pas la brusquer je veux que tout se passe à merveille. Pour le moment, je pense que Marie exulte réellement. Elle n’est pas de celles qui simulent, d’ailleurs il faudrait être très forte pour simuler autant d’humidité, de contractions, de frissons. Ses cris ont augmenté de volume, sa respiration se fait plus saccadée. Mes doigts en elle massent ce point si sensible. Ma bouche aspire sa perle, ma langue tourne et retourne sur ce bouton gorgé de sève. j’ai le menton inondé, je me sens si bien, je dose mes mouvements, la faisant glisser vers le plaisir, temporisant en ralentissant, puis une accélération booste ce plaisir qui monte en vagues qui refluent puis remontent. Marie pousse de petits cris, elle semble parler mais rien d’intelligible. Ses seins montent et descendent au rythme d’une respiration qui accélère. Je sens sous ma bouche soon sexe qui se contracte et serre mes doigts avant de s’ouvrir en grand. Cela me soulage, a plusieurs reprises j’ai eu des problèmes de taille avec mon sexe, il est vrai qu’elles étaient asiatiques ou eurasiennes, donc de petit gabarits. Rien de plus pénible que de faire mal alors qu’on veut donner du plaisir. Je n’ai pourtant pas un sexe démesuré même si il est au dessus de la moyenne. 18cm (ou 20 selon le point de départ de la mesure) et 16cm de circonférence ce qui est là très au-dessus de la moyenne. Là je me dis que tout va bien aller. Je ne me reconnaît pas, habituellement je ne suis pas agité de telles pensées, je crois que mon sevrage récent m’a joué des tours et je me questionne trop. Peut être que je sentais inconsciemment, que ce qui débutait là était important, la suite me donne raison, Marie est là pas loin, endormie sans doute et Eve aussi.
Marie s’agite.. Elle à posé ses mains sur la main qui écarte ses lèvres. Elle serre mes doigts presque convulsivement. Elle frissonne, tremble de plus en plus fort sa tête fait des droite, gauche en cadence son sexe s’ouvre et se ferme, expulsant une créme onctueuse, qui vient du fond de son sexe, l’emplit presque j’ai ai plein les lévres plein la bouche je n’ai pas pu m’empêcher de laper au fond de ce coquillage rose. Ce suc est épais, chaud et suave, je n’avais pas eu souvent l’occasion de goûter ce plaisir avec d’autres. Deux ou trois fois et en régle générale des femmes de couleur.
Marie ce tends, comme un arc, en criant comme une damnée.
- Ohhhh ouiiii!!! je jouiss je jouiss!! C’est bon .. c’est bon .
Je continues à lécher son sexe, et je la sens a nouveau frémir, ses mains agrippent les draps, tire en tout sens, elle se cambre à nouveau.
Ouiiiiii Ouiiiii ouiiiMarie, jouis encore, en fait c’est plutôt son orgasme qui se prolonge, Marie est ainsi faite une fois le point de l’orgasme atteint elle peut avoir 3 ou 4 décharges orgasmiques de suite. avant de retrouver son calme. La voir ainsi m’excitait terriblement et ma queue piaffait d’impatience. J’avais cette fois un impérieux besoin de prendre du plaisir. Je me rendis compte que Marie était trempée de sueur, encore plus belle, luisante comme si je l’avais huilée, chose que nous faisons souvent d’ailleurs. Elle est toujours les cuisses écartée, largement son sexe rose et brillant coule de plaisir, ses fesses sont striées de ruisselets blanchatres de son nectar. Je suis à genoux dans le compas de ses jambes. Je la regarde, avec tendresse, envie et fierté quelle belle femme, pour qu’elle soit mienne l faut maintenant que je ma posséde, il faut que j’entre en elle, que je jouisse en elle pour avoir vraiment le sentiment de lui avoir fait l’amour. Il est vrai que nombre de fois, j’ai donné le même plaisir à des femmes parfois inconnues dans des clubs ou boîtes échangistes. Je n’ai pourtant pas l’impression de leur avoir fait l’amour.
Marie tend ses mains vers moi, je prend ses mains, elle serre et me tire vers elle.
Viens amour, viens en moi j’ai envie viens.
Je m’approche, me penche vers son visage, nos lèvres se joignent en un baiser fougueux. Mes mains sur ses seins que je pétris, les tétons chatouillent mes paumes, ils sont durs et dressés. Ma queue est posée sur sa toison, le gland frotte sur son clito, elle pousse un petit cri, je suis vraiment en forme, j' ai mal à la queue tellement je suis tendu. Ses hanches son ventre se meuvent lentement, elle essaie de capter ce sexe qu’elle désire. Je ne vais pas la faire languir, surtout que si on continuait comme ça je finirais par gicler sur son ventre. Je taquine son gros clito en frottant mon gland contre lui. Marie réagit presque violemment poussant des cris de plaisir. Puis je guide ma queue, je sens la chaleur moite de ce sexe qu’elle m’offre, couvrir mon gland, puis lentement, je la pénétre. Impression de glisser mon sexe dans une soie mouillée. Marie la tête rejetée en arrère, pousse une plainte rauque tout le temps que mon sexe la pénétre. La voir ainsi est magnifique. Je sens tout le plaisir qu’elle prend à me sentir en elle. Je ne suis pas certain que les hommes uniquement hétéro puissent se faire une idée du plaisir de la pénétration, cet instant ou un sexe étranger entre dans mon corp. Il m’est arrivé de jouir simplement de la pénétration. Mon sexe emplis totalement sa chatte, je sens son clito qui frotte sur le dessus de ma queue. Tout est fait pour que Marie connaisse à nouveau le plaisir. Mes couilles sont contre ses fesses. Je me retire lentement, ressortant totalement ma queue. Son con reste grand ouvert, je reponge mon sexe cette fois d’un coup de rein vif et m’enfile jusqu’a la garde en elle. Marie pousse un ohh de surprise, elle se redresse un peu ses mains attrape mes hanches, ses jambes se croisent sur mon dos suivant le rythme elle m’aide me serre contre elle.
-Oh c’est bon!! tu es gros je te sens bien, oui encore vas y!!
Mon bas ventre se mouille petit à petit, ma queue est totalement couverte de mouille luisante. Je pose ma main droite sur son pubis et mon pouce trouve facilement son clito. Je ne la quitte pas des yeux, quand je touche sa perle sa bouche s’ouvre, comme pour happer plus d’air comme si elle suffoquait. Son sexe musclé se referme sur ma pine comme si il cherchait à l”écraser., puis se relâche. Elle se contracte chaque fois que je taquine son clitoris puis s’ouvre largement au point que je pénètre en elle sans grand frottement. Marie est musclée et est capable de vous serrer la queue avec les mouvements de son vagin elle vous masse au point de vous amener à jouir. Combien de fois avons-nous joué à cela, elle chevauchant ma queue bien calée en elle, elle me fait partir sans mouvement de ma part, sauf les caresses sur les seins et les baisers. Elle a essayé avec Eve, mais çà marche beaucoup moins bien car la gamine à un sexe de petite taille.
Les ongles de Marie par moment s’incrustent dans mes bras. Ma queue massée par ce sexe vorace, est toujours tendue à l’extrême. Je sens mes couilles se serrer, remonter à la base de mon sexe, et le fourmillement annonciateur de l’orgasme se précise. C’est bien, tôt, trop rapide, mais je suis vraiment en rut si je puis dire. Je n’y peut plus grand chose. Marie gémit et accompagne mes mouvements , mettant son bassin au diapason du mien. Les baisers pleuvent sur sa bouche, ses seins, je tête ses gros tétons. Soudain je ne tiens plus, je sens monter l’orage dans ma queue. Je retiens autant que possible mon plaisir, mais avec brutalité même je plate mon sexe au fond du sien, tandis que je gicle abondamment, 6 ou 7 grosses giclées suivies de plus modestes, je me vide totalement en elle. Dans le regard de Marie je distingue une lueur de désarroi, elle aurait aimé que cela dure bien plus. Je continue mon va et viens, je connais bien ma nature. Quelques instant mon sexe à légérement dégonflé, mais mes mouvements lui redonnent sa pleine consistance en peu de temps. Je patauge litérallement dans son sexe. Non seulement elle est ruisselante mais mon sperme abondant fait un lit douillet à ma queue. Marie sourit, elle comprend que ce n’est pas terminé. Elle goutte la caresse de mon pouce sur son clito, j’accentue même mes rotations sur son joyau. Ma queue maintenant se couvre d’une sorte de crème un peu comme si nous avions joué avec la bombe de chantilly. Le mélange entre son nectar et mon sperme, oh ne vous y trompez pas j’ai déjà goûté ce mélange et j’adore, même si le sperme n’est pas le mien d’ailleurs.
Marie, halète, elle est en train de gravir de nouveau la pente vers son plaisir. Les mouvements de son sexe sont de plus en plus désordonnés, erratiques, de l’alternance de pression puis relachement de ses muscles, c’est une sucession de soubresauts, parfois elle me serre tellement qu’elle me ferait presque mal, sa tête dodeline à nouveau tandis que la bouche ouverte elle cries cette fois vraiment fort. Le plaisir est en train de la submerger, la sueur ruisselle sur son visage, entre ses seins. Je me dis d’un coup que j’avais eu assez peu souvent une partenaire aussi vivante que Marie, je sens partout les endroits où ses ongles se sont enfoncés dans ma peau. J’aurais adoré qu’elle m'attrape le bout des seins, j’adore ça.mais nous ne sommes qu’aux prémices de cette relation nous devons apprendre à nous connaître. Je pense qu’en ces instants, je tombais follement amoureux d’elle, inexplicable car j’ai tellement fait l’amour a des femmes sans que je ne ressente autre chose qu’un grand plaisir. Là c’est différent ne demandez pas pourquoi, c’est ainsi. Comme disait le poète parce que c'était elle, parce que c’était moi. depuis 34 ans maintenant nous sommes toujours aussi amoureux, bien sur nos 10 ans de différence sont toujours là mais peu importe. Je regrette qu’elle soit maintenant si frileuse en ce qui concerne les soirées à plusieurs pour la raison qu’elle à vieillis et qu’elle trouve son image désormais désagréable. Une hérésie, certes Marie à pris du poids, elle est plutôt du style BBW maintenant. Elle se compare toujours à moi qui n’ai quasiment pas bougé depuis notre rencontre. La différence est que je fais encore 50 pompes tous les matins et autant de tractions, que je cours au minimum une heure par jour. Elle n’est pas du tout sportive, mais gourmande et se laisse aller à ses envies.
Je la besogne furieusement cette fois, je bute au fond de son sexe, chaque coup la fait frémir, crier, son bouton est dur sous mon pouce que je mouille dans son sexe pour qu’il glisse bien. Un instant j’ai la tentation de me glisser dans son anus, lubrifié comme il l’est ça passerait sûrement sans trop de soucis, mais je ne peux m’arrêter et lui demander si elle veut bien. On verra à un autre moment. Soudain elle me cramponne le cou, me tire vers elle, sa bouche mange la mienne. Elle se cambre sous moi, elle jouit et crie dans ma bouche. Je me joins à elle, encore une fois je décharge longuement tout mon foutre dans son sexe. je me retire après un moment. je vois son sexe rose béant, vomissant le sperme que j’ai déposé en elle. Vision magnifique, j’adore ce genre de scène. Je suis très visuel, voyeur? Oui mais surtout si je peux être acteur. Mon sexe est toujours dur et dressé. Je m’apprête à continuer le combat mais Marie me dit.
Attends un peu chéri, tu m’épuise !!! Prends-moi dans tes bras.
Je caresse sa joue, dessine sa bouche du bout de mes doigts que sensuellement elle prend entre ses lèvres les suçotant un instant.
Marie de blottis contre moi, sa main caresse mon visage, ma poitrine, elle se presse contre moi et mélange nos jambes. Mon sexe se frotte à sa peau, aussi tendu que si il ne s’était rien passé.
Tu bandes encore, c’est fou!! Comment tu fais?
Je ne sais pas, j'ai toujours été comme ça. Avec toi c’est facile tu est si belle et excitante.
Mon dieu, je crois que jamais je n’ai jouis aussi fort. Et ta langue je n’avais jamais connu çà. Quelle chance j’ai !!!
Allons allons, ma douce, je ne suis qu’un mec comme les autres.
Ah non !! Ne dis pas çà, jamais un homme n’a passé autant de temps à s'occuper de moi. Tu es un ange !
Un diable plutôt non?
Je vends mon âme au diable alors, enfin tant qu’il sera là….
Je sentais une pointe de regret dans sa voix, elle regardait vers demain, elle savait que j’étais là pour un temps limité. J’en conclus qu’elle aurait aimé que nous ayons une relation qui dure. ( Je condense les choses car il à fallu plus de temps pour arriver à cette question et à sa résolution. )Marie avait un petit sourire presque triste. Plus je la regardais, plus je la trouvais belle. Elle me l’avait dit, elle est mon aînée de 10 ans, et alors quand j’avais à peine 20 ans j’ai eu une amie qui en avait 55, et tout allait bien. Surtout que Marie fait 10 à 15 ans de moins que son âge. Même aujourd’hui avec ses kilos superflus et ses 76 ans, elle est totalement désirable. Oui le temps à passé, moi aussi j’ai vieilli même si ma condition physique est presque aussi bonne qu'à l'époque où je l’ai rencontrée. Enfin j’aime à le croire, peut être que sur le terrain j’aurais une sérieuse désillusion.
A ce moment enlacés, nous ne disons rien un moment. Je n’ai pas répondu à son questionnement. Je ne le peux pas, c’est trop frais, trop rapide, même si je sens au fond de moi que je peux passer à côté de quelque chose. Et puis un câlin entraîne une caresse, puis une autre et en fait nous avons fait l’amour jusqu’au petit matin. Tout le temps que dura mon séjour, je ne me trouvais jamais seul le soir. Ce fut une sorte de révélation, nous étions un couple, rapidement toute l’ambassade était au courant. Loin de juger ou de trouver la situation anormale, je trouvais des appuis et même en fin de compte de l’aide quand il fallu rentrer. Et je ne suis pas rentré seul. Non, Marie était avec moi, elle avait tout ce qu’il lui fallait pour devenir française, elle avait toujours voulu venir en France ou au moins en Europe. Jamais je n’ai eu à regretter cette décision un peu rapide. 33 ans ont passé je ne pense pas qu’on en fera autant mais 10 ou 15 ans feraient notre bonheur. D’ailleurs je ne veux pas penser à demain, j’ai trop à perdre.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Magnifiquement écrit, tout est très excitant et joliment décrit. Cela fait remonter en moi une expérience similaire avec une femme noire. Ce sont de vrais amoureuses, très complices dans ces moments de partage du plaisir du sexe.
Bravo et merci
Didier
Bravo et merci
Didier