Marie l'aide soignante
Récit érotique écrit par Petikokin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2006 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Marie l'aide soignante
MARIE - L’AIDE SOIGNANTE (8)
L’histoire que vous allez lire est réelle. Pour des raisons évidentes de discrétion, les prénoms et les noms ont été changés ou sont purement imaginaires.
Les années ont passées. C’est le retour à la vie civile à la fin de mon engagement militaire. Me voila conducteur d’ambulances.
Un jour je suis appelé pour un transport vers l’hôpital. Je dois aller chercher cette personne au dispensaire d’un centre d’accueil pour rapatriés.
Quelle n’est pas ma surprise de retrouver Michèle, mon ancienne voisine, infirmière de ce centre (lire « Michèle »).
Comme convenu, à la fin de cette journée je me suis retrouvé chez Michèle, qui logeait au-dessus du dispensaire, pour refaire connaissance, nous rappeler nos souvenirs de jeunesse. Michèle était mariée, sans enfant. Elle avait fait ses études d’infirmière et, son diplôme obtenu, avait réussi le concours pour son emploi actuel. Elle travaillait sous les ordres d’un médecin qui assurait ses permanences que le matin. Elle militait à la section locale du planning familial pour la libération des femmes. Elle était assistée par deux aides soignantes dont l’une, Marie était, comme moi, célibataire.
Le mari de Michèle, conducteur d’engins de chantiers, était souvent absent dont ce soir là. Cela nous a permis de constater que nous avions améliorés et acquis beaucoup d’expérience dans la recherche du plaisir sexuel. La nuit a été courte et chaude.
Depuis, je passais une bonne partie de mon temps libre au dispensaire. Les aides soignantes participaient à nos banales conversations sur le travail, le temps, la vie. Je fais connaissance de Jacques, l’époux de Michèle.
Un soir, alors que nous étions seuls, Michèle me confie que Marie allait avoir trente ans, très timide, elle n’avait pas de copain ce qui la déprimait souvent. Dans le cadre de son travail, elle voyait et touchait des sexes masculins ou féminins mais avait « peur » des hommes.
Il fallait faire quelque chose et Michèle comptait sur moi pour vaincre la timidité et les réticences de Marie… Dure mission en perspective… Il fallait y aller en douceur…
Chaque fois que nous pouvions, quand nous étions tous les trois, Michèle, Marie et moi, nos conversations s’orientaient vers le sexe.
Avec Michèle, nous « abandonnions » quelques revues un peu « osées » à la disposition de Marie. Nous avions quelques gestes équivoques, des sous entendus orientés.
Nous organisions quelques sorties à trois et, très vite, Michèle, au dernier moment avait une « bonne excuse » pour ne pas venir.
Ce qui devait arriver arriva. Nos moments en tête à tête faisaient prendre confiance à Marie. Sa timidité s’estompait. Nous avions quelques gestes de moins en moins « innocents ». Nos bises se sont transformées en baisers, je ne cachais pas la bosse de mon érection sous mon pantalon. Marie ne tirait plus ses jupes vers ses genoux en s’asseyant. Nos mains s’aventuraient de plus en plus vers des régions que nous n’avions pas encore « explorées ».
Au cours d’une sortie en campagne, par beau temps, nous avons trouvé un endroit propice à un moment d’intimité. Après quelques caresses, Marie s’est laissée déshabillée. Je la guidais pour me dévêtir.
Nus, nous avons pris le temps de nous regarder, trouvés les gestes propices à la montée du plaisir réciproque. Si j’avais une certaine expérience, Marie avait de l’intuition. Malgré quelques réticences, elle prit ma verge en main. Elle sut me masturber doucement. Je passais un doigt entre ses petites lèvres intimes, je massais son clitoris, sa cyprine coulait en continu. Notre plaisir montait. Elle gémissait et râlait de plus en plus fort, sans retenue. Mon érection était à son maximum et me faisait un peu mal. Nos bouches restaient collées, nos langues s’emmêlaient.
Nous avons joui ensemble. Marie eut un orgasme violant. J’éjaculais dans sa main.
Nous avons pris une petite pause avant de recommencer nos caresses.
Alors que mon sexe recommençait à gonfler, que celui de Marie recommençait à mouiller, sans arrêter les caresses et les petits baisers sur la gorge et les seins, le ventre, je fais descendre ma bouche vers la chatte ouverte de Marie. Elle eut un petit mouvement de recul mais me laissait faire. Je ne m’en privais pas. Quand je fis comprendre quelle pouvait me prendre en bouche, elle n’osa pas. Elle eut un autre orgasme sous mes coups de langue et les sucions de son clitoris. Elle me demande d’être patient, c’était la première fois qu’elle s’offrait aux caresses d’un homme. Elle m’avoue être encore vierge, ce que j’avais pu constater.
Je respectais ses réticences. Elle était d’accord pour aller plus loin les prochaines fois.
C’est au cours d’une nuit, en refaisant les mêmes gestes que je mets Michèle au courant de l’avancée de la « libération » sexuelle de Marie.
Marie comptait les jours. Elle voulait perdre sa virginité sans avoir recours au préservatif et sans risquer d’être enceinte. La pilule n’était pas encore autorisée à la vente. En attendant, nous avons eu d’autres moments agréables. Nous avons trouvés les gestes, les endroits, les positions qu’il fallait pour un plaisir maximum. Nous sommes arrivés à pratiquer des 69 exceptionnels. Les premières fois, j’éjaculais dehors. Ayant goûté mon sperme, Marie acceptait des éjaculations dans sa bouche et recrachait. Enfin elle y prit goût et avalait.
Quand elle se sentit prête à franchir ce grand moment, pour une fille, de perdre son pucelage, nous nous sommes caressés doucement. Nous avons utilisés toutes nos connaissance pour faire monter le plaisir au bord de la jouissance. Allongée, cuisses écartées, sexe bien mouillé, cœur battant très fort, Marie attend. Ma queue en main, je fais des vas et viens entre les lèvres de sa chatte. Avec mon gland, je masse sons clitoris puis je le présente face à son vagin. J’appuie doucement. L’hymen résiste. Je demande à Marie si elle n’a pas mal. Pour réponse, elle donne un coup de rein qui me fait rentrer d’un seul coup. « Depuis le temps que j’attends ce moment, je n’ai pas mal et ne croyais pas que ce serait si bon », me dit-elle. Je finissais de la pénétrer bien à fond. Doucement je m’activais, elle répondait en se trémoussant et gémissant. Je sentais son plaisir monter. J’accélérais mes mouvements, elle aussi. Ensemble, nous avons jouis. Elle ne put retenir son cri. J’éjaculais en longues giclées chaudes. Elle sentait les spasmes de ma verge dans son vagin et contre son clitoris. Je me retirais au bout de quelque temps, quand mon sexe s’était ramolli et que le cœur de Marie retrouvait son calme. Nous avons échangées nos impressions et promis de recommencer. Ce que nous avons fait. Avec Michèle, nous avons eu quelques moments de bonheur à trois.
La vie professionnelle et familiale de chacun nous a séparé. Licencié pour raisons économiques, le mari de Michèle ne quittait plus son foyer. Marie a rencontré celui qui partage encore sa vie et est partie sous d’autres cieux. J’ai aussi quitté la région pour un emploi meilleur. Tous les ans nous échangeons nos vœux de bonne année…
L’histoire que vous allez lire est réelle. Pour des raisons évidentes de discrétion, les prénoms et les noms ont été changés ou sont purement imaginaires.
Les années ont passées. C’est le retour à la vie civile à la fin de mon engagement militaire. Me voila conducteur d’ambulances.
Un jour je suis appelé pour un transport vers l’hôpital. Je dois aller chercher cette personne au dispensaire d’un centre d’accueil pour rapatriés.
Quelle n’est pas ma surprise de retrouver Michèle, mon ancienne voisine, infirmière de ce centre (lire « Michèle »).
Comme convenu, à la fin de cette journée je me suis retrouvé chez Michèle, qui logeait au-dessus du dispensaire, pour refaire connaissance, nous rappeler nos souvenirs de jeunesse. Michèle était mariée, sans enfant. Elle avait fait ses études d’infirmière et, son diplôme obtenu, avait réussi le concours pour son emploi actuel. Elle travaillait sous les ordres d’un médecin qui assurait ses permanences que le matin. Elle militait à la section locale du planning familial pour la libération des femmes. Elle était assistée par deux aides soignantes dont l’une, Marie était, comme moi, célibataire.
Le mari de Michèle, conducteur d’engins de chantiers, était souvent absent dont ce soir là. Cela nous a permis de constater que nous avions améliorés et acquis beaucoup d’expérience dans la recherche du plaisir sexuel. La nuit a été courte et chaude.
Depuis, je passais une bonne partie de mon temps libre au dispensaire. Les aides soignantes participaient à nos banales conversations sur le travail, le temps, la vie. Je fais connaissance de Jacques, l’époux de Michèle.
Un soir, alors que nous étions seuls, Michèle me confie que Marie allait avoir trente ans, très timide, elle n’avait pas de copain ce qui la déprimait souvent. Dans le cadre de son travail, elle voyait et touchait des sexes masculins ou féminins mais avait « peur » des hommes.
Il fallait faire quelque chose et Michèle comptait sur moi pour vaincre la timidité et les réticences de Marie… Dure mission en perspective… Il fallait y aller en douceur…
Chaque fois que nous pouvions, quand nous étions tous les trois, Michèle, Marie et moi, nos conversations s’orientaient vers le sexe.
Avec Michèle, nous « abandonnions » quelques revues un peu « osées » à la disposition de Marie. Nous avions quelques gestes équivoques, des sous entendus orientés.
Nous organisions quelques sorties à trois et, très vite, Michèle, au dernier moment avait une « bonne excuse » pour ne pas venir.
Ce qui devait arriver arriva. Nos moments en tête à tête faisaient prendre confiance à Marie. Sa timidité s’estompait. Nous avions quelques gestes de moins en moins « innocents ». Nos bises se sont transformées en baisers, je ne cachais pas la bosse de mon érection sous mon pantalon. Marie ne tirait plus ses jupes vers ses genoux en s’asseyant. Nos mains s’aventuraient de plus en plus vers des régions que nous n’avions pas encore « explorées ».
Au cours d’une sortie en campagne, par beau temps, nous avons trouvé un endroit propice à un moment d’intimité. Après quelques caresses, Marie s’est laissée déshabillée. Je la guidais pour me dévêtir.
Nus, nous avons pris le temps de nous regarder, trouvés les gestes propices à la montée du plaisir réciproque. Si j’avais une certaine expérience, Marie avait de l’intuition. Malgré quelques réticences, elle prit ma verge en main. Elle sut me masturber doucement. Je passais un doigt entre ses petites lèvres intimes, je massais son clitoris, sa cyprine coulait en continu. Notre plaisir montait. Elle gémissait et râlait de plus en plus fort, sans retenue. Mon érection était à son maximum et me faisait un peu mal. Nos bouches restaient collées, nos langues s’emmêlaient.
Nous avons joui ensemble. Marie eut un orgasme violant. J’éjaculais dans sa main.
Nous avons pris une petite pause avant de recommencer nos caresses.
Alors que mon sexe recommençait à gonfler, que celui de Marie recommençait à mouiller, sans arrêter les caresses et les petits baisers sur la gorge et les seins, le ventre, je fais descendre ma bouche vers la chatte ouverte de Marie. Elle eut un petit mouvement de recul mais me laissait faire. Je ne m’en privais pas. Quand je fis comprendre quelle pouvait me prendre en bouche, elle n’osa pas. Elle eut un autre orgasme sous mes coups de langue et les sucions de son clitoris. Elle me demande d’être patient, c’était la première fois qu’elle s’offrait aux caresses d’un homme. Elle m’avoue être encore vierge, ce que j’avais pu constater.
Je respectais ses réticences. Elle était d’accord pour aller plus loin les prochaines fois.
C’est au cours d’une nuit, en refaisant les mêmes gestes que je mets Michèle au courant de l’avancée de la « libération » sexuelle de Marie.
Marie comptait les jours. Elle voulait perdre sa virginité sans avoir recours au préservatif et sans risquer d’être enceinte. La pilule n’était pas encore autorisée à la vente. En attendant, nous avons eu d’autres moments agréables. Nous avons trouvés les gestes, les endroits, les positions qu’il fallait pour un plaisir maximum. Nous sommes arrivés à pratiquer des 69 exceptionnels. Les premières fois, j’éjaculais dehors. Ayant goûté mon sperme, Marie acceptait des éjaculations dans sa bouche et recrachait. Enfin elle y prit goût et avalait.
Quand elle se sentit prête à franchir ce grand moment, pour une fille, de perdre son pucelage, nous nous sommes caressés doucement. Nous avons utilisés toutes nos connaissance pour faire monter le plaisir au bord de la jouissance. Allongée, cuisses écartées, sexe bien mouillé, cœur battant très fort, Marie attend. Ma queue en main, je fais des vas et viens entre les lèvres de sa chatte. Avec mon gland, je masse sons clitoris puis je le présente face à son vagin. J’appuie doucement. L’hymen résiste. Je demande à Marie si elle n’a pas mal. Pour réponse, elle donne un coup de rein qui me fait rentrer d’un seul coup. « Depuis le temps que j’attends ce moment, je n’ai pas mal et ne croyais pas que ce serait si bon », me dit-elle. Je finissais de la pénétrer bien à fond. Doucement je m’activais, elle répondait en se trémoussant et gémissant. Je sentais son plaisir monter. J’accélérais mes mouvements, elle aussi. Ensemble, nous avons jouis. Elle ne put retenir son cri. J’éjaculais en longues giclées chaudes. Elle sentait les spasmes de ma verge dans son vagin et contre son clitoris. Je me retirais au bout de quelque temps, quand mon sexe s’était ramolli et que le cœur de Marie retrouvait son calme. Nous avons échangées nos impressions et promis de recommencer. Ce que nous avons fait. Avec Michèle, nous avons eu quelques moments de bonheur à trois.
La vie professionnelle et familiale de chacun nous a séparé. Licencié pour raisons économiques, le mari de Michèle ne quittait plus son foyer. Marie a rencontré celui qui partage encore sa vie et est partie sous d’autres cieux. J’ai aussi quitté la région pour un emploi meilleur. Tous les ans nous échangeons nos vœux de bonne année…
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