Marie ma nouvelle voisine - 04 - Le mardi matin
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie ma nouvelle voisine - 04 - Le mardi matin
Marie : Le lendemain vous entrez dans ma chambre alors que je suis encore endormie? Le
drap me couvre en partie et, dévoile mon corps en partie, tout un coté de mon buste,
de la taille au cou, comprenant bien sûr, un de mes seins. Vous posez le plateau du
petit déjeuner pour 2 sur la table de nuit et posez votre main sur mon épaule nue pour
me réveiller doucement. J'ouvre les yeux :
« Hoo ! Bonjour Monsieur Cello, houu j'ai mal à la tête on a picolé hier non ? »
Cello : « Ho oui et on s'est même laissé aller à des jeux coquins, j'espère que tu ne
regrettes rien ... »
Marie : « Je heu… Oui je me souviens je crois, je heu… Non je ne regrette rien » Dis
je en baissant les yeux.
Cello : « Et bien pour te mettre en forme pour commencer une dure journée de lessivage
des murs et du plafond et pour que ton mari soit fière de toi et lui faire une belle
surprise, je t'ai apporté un bon petit déjeuner, croissants, café, thé, pain beurre
confitures ! Tu es contente ? Allez redresse toi ! Je vais te donner un plateau. »
Marie : Je me redresse découvrant mes seins et après un moment d'hésitation, je reste
comme ça seins nus ... Je heu… Vous savez je voudrais vous remercier, je me sens
beaucoup mieux avec mon corps depuis que vous m'avez appris à être moins prude ... Et
tandis que je bois un verre de jus d'orange vous avez une idée ...
Cello : « Tiens en parlant de ça soulève un peu ton plateau »
Marie : J'obéis et vous tirez le drap jusqu'à mes pieds.
Cello : « Voilà comme ça tu franchis une nouvelle étape pour assumer ton corps, qui
est superbe d'ailleurs, et quand ton mari rentrera, tu lui diras que tu te sens si
bien dans ta nouvelle maison, que tu as décidé de rester sans soutien gorge parfois,
quand tu es seule avec lui ... Et je pense que cela devrait mettre un peu de piment
dans votre relation ... Allez repose ton plateau, je ne vais pas te manger, tu sais
j'ai assez d'expérience avec les femmes pour ne pas être choqué ».
Marie - Et quand hésitante je pose mon plateau, avec un petit sourire, vous ajoutez :
Cello : « Tu serais un boudin, tu pourrais te cacher, mais tu as de superbes nichons
et un corps de rêve. Ca ne te gênes pas que je dise nichons j'espère ? »
MARIE : « Je heu… Non ça ne me gêne pas, mais quand même, c'est bizarre comme
situation, je me retrouve nue dans un lit à prendre le petit déjeuner avec vous, vous
me parlez de mes nichons et me complimentez et puis hier… Enfin vous voyez le massage
... Tout cela en toute amitié, je ne m'attendais pas à cela et j'ai même du mal à y
croire… D'ailleurs je compte sur vous pour ne rien dire à mon mari, il ne comprendrait
pas ».
CELLO : « Bien sur Marie, tout ce qu'on peut faire ensemble, à part du bricolage,
restera notre secret ».
Marie - Vous prenez à ce moment un air de rigolade) et d'ailleurs je ne dirai pas non
plus à ton mari que je t'ai mis de la confiture sur tes mamelons »
Et vous joignez le geste à la parole et me donnez un coup de cuillère à café pleine de
confiture sur le téton.
Cello : « Tiens et voilà pour l'autre »
Marie : « Haa ! Arrêtez vous êtes fou, ils vont être tout collants maintenant ... Je
dois vous dire quand même, merci d'être aussi naturel ... J'aime beaucoup nos jeux ».
Bien naïvement, je ne pense pas une seconde que vous avez des arrières pensées et un
peu gourde, je vois dans vos massages, bien sur, le franchissement d'un tabou, mais
surtout une sorte de jeu sans penser au lien entre ce jeu et la sexualité ... Cela
viendra, quand les jeux évolueront ... D'ailleurs pour répondre à mon problème de
confiture sur les mamelons vous ajoutez sur un air de rigolade :
Cello : « T'es un peu gourde Marie, il suffit de les lécher, je suis sûr que tu peux
te les nettoyer avec ta langue ... »
Marie : Troublée par cette proposition, qui nous fait passer de la plaisanterie au jeu
sensuel, j'hésite, mais je suis tellement en confiance que je me prends un sein et le
porte à ma bouche ... Cela vous excite tellement de me voir si naïve et docile et
aussi de me voir me téter que vous me prenez l'autre en disant :
Cello : « Allez on partage »
Marie - Et me soulevez l'autre mamelle et en léchez le mamelon puis me tétez bien plus
longtemps qu'il n'est nécessaire pour enlever la confiture ... Puis vous vous
redressez et me remettez de la confiture pour reprendre votre tétée tout en malaxant
ma mamelle, tandis que moi je commence à gémir ... Lorsque vous me sentez partie assez
loin pour vous autoriser une pause, vous enlevez le plateau et penchée sur mon corps
nu, vous me tétez l'autre et ajoutez :
Cello « Allez à ton tour, malaxe toi les nichons devant moi, donne toi du plaisir…
C'est bien alterne en te tétant les mamelons, aspire bien, su sens comme tes grosses
mamelles te donnent du plaisir ? »
Marie – « Hoo ! Oui je… ! Humm… ! Je me donne du plaisir avec mes mamelles, j'ai
honte de le faire devant vous, je préfère que vous le fassiez vous même, s’il vous
plait Monsieur Cello, malaxez mes grosses mamelles faites moi jouir des nichons »
Cello : « Oui ma chérie, je vais te faire jouir, mets toi à 4 pattes que tes gros pis
pendent bien dans mes mains ».
Marie : J'obéis et vous me malaxez une mamelle et posez votre autre main sur mes reins
et…
Cello : « Caresse toi la chatte ma chérie, nous allons te faire jouir ensemble »
Marie : A 4 pattes, un nichon pétrie fermement, je glisse une main sous mon ventre et
m'enfile 2 doigts dans ma chatte trempée, pendant que vous me caressez les fesses,
descendez dans ma raie et quand je jouie vous me prenez dans vos bras.
« Ho ! Monsieur Cello merci, vous êtes un vrai ami, vous me faites jouir sans rien
demander pour respecter mon mariage »
Je suis vraiment une gourde à ce moment et nous nous embrassons fougueusement
échangeant par nos langues passionnées nos désirs réprimés respectifs. Lorsque je me
lève vous continuez à caressez doucement mes fesses, mes seins et me dites :
Cello : Aujourd'hui tu vas rester en t’shirt et culotte, on passera par la porte du
jardin pour que personne ne puisse te voir ... Sans comprendre pourquoi j'accepte en
riant. Puis je te laisse finir ton déjeuner et aller prendre ta douche, lorsque tu
sors de celle-ci, tu découvre effectivement un t’shirt blanc très grand et une fois
enfilé, tes seins ne sont que très peu couvert, découvert par le décolleté et les
échancrures au dessous des bras. Tu me rejoins dans la cuisine et te propose de
prendre un café avant d’aller chez toi.
« Tu sais que ce t’shirt te va bien, il couvre même presque entièrement tes fesses et
ton pubis, mais je t’autorise tout de même à mettre une culotte comme promis.
Marie. « Oh ! Merci monsieur cello- Et qu'est ce qu'on va faire exactement aujourd’hui
» dis-je, un peu angoissée car tu n'y connais rien.
Cello – « On va commencer par lessiver les murs et plafonds des deux pièces
aujourd’hui, demain on attaquera la peinture. Allez tu es prête ? »
Marie : « Oui monsieur »
Cello : Je te prends alors par la main et nous rendons chez toi par les jardins
Marie - Vous m'avez libérée et je suis comme entrée dans uns secte, de plus en plus
soumise sans me rendre compte de ce que je fais, mais là en sortant j'ai quand même
peur qu'on nous voit. Vous me faites marcher devant pour me regarder et arrivés près
de la porte vous me dites :
Cello : « Tu es belle ma chérie »
Marie : Et vous m'embrassez et me caressez les fesses et les seins, encore une fois.
Je me laisse faire pleine de désir et confiante dans le fait que ce n'est qu'un jeu et
même si on n’en parlera pas à mon mari, ce n'est pas vraiment le tromper.
Cello - En te souriant je te dis :
« Allez va mettre une petite culotte blanche, tu es indécente ainsi et si tu m'excites
trop, on va pas travailler beaucoup ».
Marie - En m'embrassant contre le mur, vous me relevez le t’shirt et me massez les
seins, me caressez tes fesses. Je suis partie et n'ai plus conscience de rien, vous
avez vu que je me laissais aller à plus, aussi quand vous trouvez que c’est le moment,
vous me rappelez à la réalité en me donnant une bonne claque sur une fesse ...
Cello – « Allez au boulot, feignasse, tu es une grosse cochonne, il t'en faut toujours
plus » dis-je en rigolant.
Marie - Vous le dites en rigolant, mais vous m'habituez à me parler de façon
autoritaire, abaissante sans que je n'y trouve rien à redire ...
Cello : « Allons chez toi, tu mettras une petite culotte blanche, pour cacher ton
intimité, car si tu m'excite trop, il va falloir que toi aussi tu me soulages ... »
Marie - Honteuse de me faire remballer ainsi, j'ouvre la porte et nous allons chez
moi.
« On passe par la porte fenêtre de notre chambre, j'ai remarqué qu'elle ne fermait pas
bien, comme ça pas besoin de faire le tour ... »
J’ouvre la porte et sans pudeur, je mets une culotte devant vous ... Tandis que je
l'enfile, vous profitez que je suis très excitée pour me parlez plus crûment que
d'habitude.
Cello : « Dis donc Marie, y a pas à dire tu as de belles grosses mamelles, mais aussi
une beau cul, il doit pas s'ennuyer ton mari ? »
Marie : « Oh ! En ce moment il ne s'occupe pas beaucoup de moi, trop fatiguer par son
travail et les préoccupations du déménagement ».
Cello : « Eh bien moi, je vais m’occuper de toi, et te donner le plaisir qu’il devrait
te donner pour te rendre rayonnante, épanouie et mieux dans ta tête et fière de ton
corps ».
Marie - Oui une fois "habillée" nous allons à la salle de bain pour remplir deux
sceaux et prendre des éponges, puis dans la chambre, qui sera notre chambre conjugale
pour la lessiver
Cello - Chacun à un bout nous commençons consciencieusement à lessiver les murs, bien
décidé à faire le travail rapidement pour m'occuper de toi après. Après deux heures de
labeur, nous avons lessivé les murs des 2 pièces et nous décidons alors de faire une
pause. N'ayant pas de café chez toi, nous retournons chez moi prendre un café et
fumer une cigarette sur ma terrasse.
Marie - Mais au moment de partir un orage éclate et il pleut à verse.
Cello : « Et ma chérie, tu as vu il pleut. Que préfères tu, traverser le jardin nue ou
bien me montrer à quoi tu ressembles avec ton t’shirt mouillé ? »
Marie – Ma timidité reprenant le dessus, je décide de garder le t’shirt pour préserver
un peu de pudeur, et me met à courir en direction du passage entre les deux jardins
pour me mettre à l’abri chez vous.
Cello – Je te suis, te rattrape et te prenant par la main je t’entraîne chez moi, tout
en regardant tes seins se balancer au rythme de notre course.
Marie – Lorsque nous arrivons chez vous, je ne remarque même pas que le t’shirt colle
à ma peau et est devenu quasi transparent, comme ma culotte d’ailleurs.
Cello - Je vais à la salle de bain, chercher une serviette de bain. Lorsque je reviens
avant de t’enlacer avec pour te sécher, je reste face à toi, te regarde et te dis :
« Tu as bien fait de garder le t’shirt, tu es encore plus sexy ainsi ».
Marie – Effectivement, je n’avais pas pensé au conséquence de la pluie sur le t’shirt
et me regardant dans la baie vitrée, je constate qu’effectivement je suis encore plus
indécente ainsi.
Cello – Je t’enlace avec la serviette, essuie tes cheveux, ton visage, puis je
commence à frotter ton dos, tes fesses avant de m’occuper de sécher tes seins et ton
ventre au travers du vêtement. Puis nous nous asseyons, rions ensemble du mauvais tour
que la pluie t’a faîte, et te demande
« Pas trop fatiguée ? Veux tu que je te masse les épaules ? »
MARIE : "Non ça va, mais je veux bien un massage, j'aime tellement quand vos mains se
posent sur moi ».
Cello - Je me lève alors, retire ton t’shirt et commence à te masser les épaules, le
dos en te faisant te pencher en avant, puis te demandant de te redresser, je pose mes
mains sur tes seins, suffisamment pour t'exciter mais sans plus, te laissant sur ta
faim
« Ca va mieux ? On y retourne ? »
A contre coeur tu réponds : « oui d'accord ».
drap me couvre en partie et, dévoile mon corps en partie, tout un coté de mon buste,
de la taille au cou, comprenant bien sûr, un de mes seins. Vous posez le plateau du
petit déjeuner pour 2 sur la table de nuit et posez votre main sur mon épaule nue pour
me réveiller doucement. J'ouvre les yeux :
« Hoo ! Bonjour Monsieur Cello, houu j'ai mal à la tête on a picolé hier non ? »
Cello : « Ho oui et on s'est même laissé aller à des jeux coquins, j'espère que tu ne
regrettes rien ... »
Marie : « Je heu… Oui je me souviens je crois, je heu… Non je ne regrette rien » Dis
je en baissant les yeux.
Cello : « Et bien pour te mettre en forme pour commencer une dure journée de lessivage
des murs et du plafond et pour que ton mari soit fière de toi et lui faire une belle
surprise, je t'ai apporté un bon petit déjeuner, croissants, café, thé, pain beurre
confitures ! Tu es contente ? Allez redresse toi ! Je vais te donner un plateau. »
Marie : Je me redresse découvrant mes seins et après un moment d'hésitation, je reste
comme ça seins nus ... Je heu… Vous savez je voudrais vous remercier, je me sens
beaucoup mieux avec mon corps depuis que vous m'avez appris à être moins prude ... Et
tandis que je bois un verre de jus d'orange vous avez une idée ...
Cello : « Tiens en parlant de ça soulève un peu ton plateau »
Marie : J'obéis et vous tirez le drap jusqu'à mes pieds.
Cello : « Voilà comme ça tu franchis une nouvelle étape pour assumer ton corps, qui
est superbe d'ailleurs, et quand ton mari rentrera, tu lui diras que tu te sens si
bien dans ta nouvelle maison, que tu as décidé de rester sans soutien gorge parfois,
quand tu es seule avec lui ... Et je pense que cela devrait mettre un peu de piment
dans votre relation ... Allez repose ton plateau, je ne vais pas te manger, tu sais
j'ai assez d'expérience avec les femmes pour ne pas être choqué ».
Marie - Et quand hésitante je pose mon plateau, avec un petit sourire, vous ajoutez :
Cello : « Tu serais un boudin, tu pourrais te cacher, mais tu as de superbes nichons
et un corps de rêve. Ca ne te gênes pas que je dise nichons j'espère ? »
MARIE : « Je heu… Non ça ne me gêne pas, mais quand même, c'est bizarre comme
situation, je me retrouve nue dans un lit à prendre le petit déjeuner avec vous, vous
me parlez de mes nichons et me complimentez et puis hier… Enfin vous voyez le massage
... Tout cela en toute amitié, je ne m'attendais pas à cela et j'ai même du mal à y
croire… D'ailleurs je compte sur vous pour ne rien dire à mon mari, il ne comprendrait
pas ».
CELLO : « Bien sur Marie, tout ce qu'on peut faire ensemble, à part du bricolage,
restera notre secret ».
Marie - Vous prenez à ce moment un air de rigolade) et d'ailleurs je ne dirai pas non
plus à ton mari que je t'ai mis de la confiture sur tes mamelons »
Et vous joignez le geste à la parole et me donnez un coup de cuillère à café pleine de
confiture sur le téton.
Cello : « Tiens et voilà pour l'autre »
Marie : « Haa ! Arrêtez vous êtes fou, ils vont être tout collants maintenant ... Je
dois vous dire quand même, merci d'être aussi naturel ... J'aime beaucoup nos jeux ».
Bien naïvement, je ne pense pas une seconde que vous avez des arrières pensées et un
peu gourde, je vois dans vos massages, bien sur, le franchissement d'un tabou, mais
surtout une sorte de jeu sans penser au lien entre ce jeu et la sexualité ... Cela
viendra, quand les jeux évolueront ... D'ailleurs pour répondre à mon problème de
confiture sur les mamelons vous ajoutez sur un air de rigolade :
Cello : « T'es un peu gourde Marie, il suffit de les lécher, je suis sûr que tu peux
te les nettoyer avec ta langue ... »
Marie : Troublée par cette proposition, qui nous fait passer de la plaisanterie au jeu
sensuel, j'hésite, mais je suis tellement en confiance que je me prends un sein et le
porte à ma bouche ... Cela vous excite tellement de me voir si naïve et docile et
aussi de me voir me téter que vous me prenez l'autre en disant :
Cello : « Allez on partage »
Marie - Et me soulevez l'autre mamelle et en léchez le mamelon puis me tétez bien plus
longtemps qu'il n'est nécessaire pour enlever la confiture ... Puis vous vous
redressez et me remettez de la confiture pour reprendre votre tétée tout en malaxant
ma mamelle, tandis que moi je commence à gémir ... Lorsque vous me sentez partie assez
loin pour vous autoriser une pause, vous enlevez le plateau et penchée sur mon corps
nu, vous me tétez l'autre et ajoutez :
Cello « Allez à ton tour, malaxe toi les nichons devant moi, donne toi du plaisir…
C'est bien alterne en te tétant les mamelons, aspire bien, su sens comme tes grosses
mamelles te donnent du plaisir ? »
Marie – « Hoo ! Oui je… ! Humm… ! Je me donne du plaisir avec mes mamelles, j'ai
honte de le faire devant vous, je préfère que vous le fassiez vous même, s’il vous
plait Monsieur Cello, malaxez mes grosses mamelles faites moi jouir des nichons »
Cello : « Oui ma chérie, je vais te faire jouir, mets toi à 4 pattes que tes gros pis
pendent bien dans mes mains ».
Marie : J'obéis et vous me malaxez une mamelle et posez votre autre main sur mes reins
et…
Cello : « Caresse toi la chatte ma chérie, nous allons te faire jouir ensemble »
Marie : A 4 pattes, un nichon pétrie fermement, je glisse une main sous mon ventre et
m'enfile 2 doigts dans ma chatte trempée, pendant que vous me caressez les fesses,
descendez dans ma raie et quand je jouie vous me prenez dans vos bras.
« Ho ! Monsieur Cello merci, vous êtes un vrai ami, vous me faites jouir sans rien
demander pour respecter mon mariage »
Je suis vraiment une gourde à ce moment et nous nous embrassons fougueusement
échangeant par nos langues passionnées nos désirs réprimés respectifs. Lorsque je me
lève vous continuez à caressez doucement mes fesses, mes seins et me dites :
Cello : Aujourd'hui tu vas rester en t’shirt et culotte, on passera par la porte du
jardin pour que personne ne puisse te voir ... Sans comprendre pourquoi j'accepte en
riant. Puis je te laisse finir ton déjeuner et aller prendre ta douche, lorsque tu
sors de celle-ci, tu découvre effectivement un t’shirt blanc très grand et une fois
enfilé, tes seins ne sont que très peu couvert, découvert par le décolleté et les
échancrures au dessous des bras. Tu me rejoins dans la cuisine et te propose de
prendre un café avant d’aller chez toi.
« Tu sais que ce t’shirt te va bien, il couvre même presque entièrement tes fesses et
ton pubis, mais je t’autorise tout de même à mettre une culotte comme promis.
Marie. « Oh ! Merci monsieur cello- Et qu'est ce qu'on va faire exactement aujourd’hui
» dis-je, un peu angoissée car tu n'y connais rien.
Cello – « On va commencer par lessiver les murs et plafonds des deux pièces
aujourd’hui, demain on attaquera la peinture. Allez tu es prête ? »
Marie : « Oui monsieur »
Cello : Je te prends alors par la main et nous rendons chez toi par les jardins
Marie - Vous m'avez libérée et je suis comme entrée dans uns secte, de plus en plus
soumise sans me rendre compte de ce que je fais, mais là en sortant j'ai quand même
peur qu'on nous voit. Vous me faites marcher devant pour me regarder et arrivés près
de la porte vous me dites :
Cello : « Tu es belle ma chérie »
Marie : Et vous m'embrassez et me caressez les fesses et les seins, encore une fois.
Je me laisse faire pleine de désir et confiante dans le fait que ce n'est qu'un jeu et
même si on n’en parlera pas à mon mari, ce n'est pas vraiment le tromper.
Cello - En te souriant je te dis :
« Allez va mettre une petite culotte blanche, tu es indécente ainsi et si tu m'excites
trop, on va pas travailler beaucoup ».
Marie - En m'embrassant contre le mur, vous me relevez le t’shirt et me massez les
seins, me caressez tes fesses. Je suis partie et n'ai plus conscience de rien, vous
avez vu que je me laissais aller à plus, aussi quand vous trouvez que c’est le moment,
vous me rappelez à la réalité en me donnant une bonne claque sur une fesse ...
Cello – « Allez au boulot, feignasse, tu es une grosse cochonne, il t'en faut toujours
plus » dis-je en rigolant.
Marie - Vous le dites en rigolant, mais vous m'habituez à me parler de façon
autoritaire, abaissante sans que je n'y trouve rien à redire ...
Cello : « Allons chez toi, tu mettras une petite culotte blanche, pour cacher ton
intimité, car si tu m'excite trop, il va falloir que toi aussi tu me soulages ... »
Marie - Honteuse de me faire remballer ainsi, j'ouvre la porte et nous allons chez
moi.
« On passe par la porte fenêtre de notre chambre, j'ai remarqué qu'elle ne fermait pas
bien, comme ça pas besoin de faire le tour ... »
J’ouvre la porte et sans pudeur, je mets une culotte devant vous ... Tandis que je
l'enfile, vous profitez que je suis très excitée pour me parlez plus crûment que
d'habitude.
Cello : « Dis donc Marie, y a pas à dire tu as de belles grosses mamelles, mais aussi
une beau cul, il doit pas s'ennuyer ton mari ? »
Marie : « Oh ! En ce moment il ne s'occupe pas beaucoup de moi, trop fatiguer par son
travail et les préoccupations du déménagement ».
Cello : « Eh bien moi, je vais m’occuper de toi, et te donner le plaisir qu’il devrait
te donner pour te rendre rayonnante, épanouie et mieux dans ta tête et fière de ton
corps ».
Marie - Oui une fois "habillée" nous allons à la salle de bain pour remplir deux
sceaux et prendre des éponges, puis dans la chambre, qui sera notre chambre conjugale
pour la lessiver
Cello - Chacun à un bout nous commençons consciencieusement à lessiver les murs, bien
décidé à faire le travail rapidement pour m'occuper de toi après. Après deux heures de
labeur, nous avons lessivé les murs des 2 pièces et nous décidons alors de faire une
pause. N'ayant pas de café chez toi, nous retournons chez moi prendre un café et
fumer une cigarette sur ma terrasse.
Marie - Mais au moment de partir un orage éclate et il pleut à verse.
Cello : « Et ma chérie, tu as vu il pleut. Que préfères tu, traverser le jardin nue ou
bien me montrer à quoi tu ressembles avec ton t’shirt mouillé ? »
Marie – Ma timidité reprenant le dessus, je décide de garder le t’shirt pour préserver
un peu de pudeur, et me met à courir en direction du passage entre les deux jardins
pour me mettre à l’abri chez vous.
Cello – Je te suis, te rattrape et te prenant par la main je t’entraîne chez moi, tout
en regardant tes seins se balancer au rythme de notre course.
Marie – Lorsque nous arrivons chez vous, je ne remarque même pas que le t’shirt colle
à ma peau et est devenu quasi transparent, comme ma culotte d’ailleurs.
Cello - Je vais à la salle de bain, chercher une serviette de bain. Lorsque je reviens
avant de t’enlacer avec pour te sécher, je reste face à toi, te regarde et te dis :
« Tu as bien fait de garder le t’shirt, tu es encore plus sexy ainsi ».
Marie – Effectivement, je n’avais pas pensé au conséquence de la pluie sur le t’shirt
et me regardant dans la baie vitrée, je constate qu’effectivement je suis encore plus
indécente ainsi.
Cello – Je t’enlace avec la serviette, essuie tes cheveux, ton visage, puis je
commence à frotter ton dos, tes fesses avant de m’occuper de sécher tes seins et ton
ventre au travers du vêtement. Puis nous nous asseyons, rions ensemble du mauvais tour
que la pluie t’a faîte, et te demande
« Pas trop fatiguée ? Veux tu que je te masse les épaules ? »
MARIE : "Non ça va, mais je veux bien un massage, j'aime tellement quand vos mains se
posent sur moi ».
Cello - Je me lève alors, retire ton t’shirt et commence à te masser les épaules, le
dos en te faisant te pencher en avant, puis te demandant de te redresser, je pose mes
mains sur tes seins, suffisamment pour t'exciter mais sans plus, te laissant sur ta
faim
« Ca va mieux ? On y retourne ? »
A contre coeur tu réponds : « oui d'accord ».
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