Marie ma nouvelle voisine - 06 - Le mercredi
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie ma nouvelle voisine - 06 - Le mercredi
Cello - Le mercredi matin, lorsque je me réveille, tu dors toujours en tenue d'Eve
près de moi, tes lourdes mamelles étalées sur ton buste. Sans bruit, je te laisse
encore dormir, tandis que je vais me doucher et me raser, puis je vais préparer le
petit déjeuner. C’est à ce moment là, que tu apparais à l’entrée de la cuisine, nue
comme un ver, la mine réjouie et apparemment bien reposée après une bonne nuit de
sommeil, qui pourrait imaginer qu'il y a seulement quelques jours tu était si timide
et si prude, osant à peine te vêtir d'un chemisier près du corps tellement tu avais
honte de tes grosses et lourdes outres pourtant si pleines et souples.
Je viens vers toi, et t’embrasse à pleine bouche, en portant ma main entre tes
cuisses.
« Bonjour Marie, bien dormi ? Prête à bien travailler pour que je te récompense ce
soir comme tu le mérites ?
- Oui monsieur Cello, je serai une bonne apprentie et je travaillerai comme une pro !
»
Cello - Je m’éloigne en écoutant tes réponses, et te sers un café et deux croissants.
« Prends des forces ma belle, tu as vu, hier soir, tu étais totalement épuisée.
- Je heu… Oui je suis désolée mais c'était la première fois que je heu… Enfin vous
voyez, mais je me rattraperai la prochaine fois, je heu… J'en ai honte, mais j'aime ce
que vous me faites découvrir... Et quel est le programme aujourd’hui ?
- J’aimerais que nous ayons terminé les deux chambres ce soir, ce qui nous donnerais 2
jours pour faire ton ménage, quelques courses l'après midi et vendredi nous aurions la
journée libre pour nous, avant le retour de ton mari.
- Oh ! Oui une journée que pour nous deux ! Ce serait génial, mais aujourd’hui à part
la peinture, qu’avez-vous prévu ?
- Ca c’est une surprise, je verrais le moment venu, et suivant tes dispositions mais
sois patiente n'oublie pas que désormais dans ta vie c'est moi qui décide de tout,
aujourd'hui tu en veux plus que je ne t'offre mais demain j'exigerai peut être de toi
bien plus que tu n'imagines, pourtant tu obéiras pour me satisfaire' n'est ce pas ?
- Hoo oui monsieur Cello, vous pouvez tout me demander, je heu… (Les joues rouges,
mais les yeux brillants) Vous savez j'aime mon mari mais heu ... C'est a vous que j'ai
envie d'appartenir ... »
Cello - Je te souris et te tends une combinaison en plastique transparent, et te dis :
« Après ta douche, tu mettras cela, pour éviter que tu aies de la peinture sur les
seins, les cuisses ou les fesses sinon je vais être obligé de te les frotter au gant
de crin ! »
Voyant que tu n’obtiendras rien de plus de ma part, et n’osant ni insister, ni me
faire attendre, tu files dans la salle de bain, te doucher sans avoir conscience de ce
que ton abandon à toutes mes volontés présentes et futures signifie. Lorsque tu
reviens, légèrement maquillée et revêtue que de la combinaison transparente
suffisamment petite pour bien comprimer ta poitrine et mouler tes fesses et tes
cuisses et suffisamment légère pour laisser tes appendices laitiers bouger librement
et être déchirée si je le désirais.
« Oh ! Tu es à croquer ainsi ma jolie, tu as de la chance qu’on a beaucoup de travail
».
Marie - Je suis excitée d'être habillée dans cette combinaison transparente, bien plus
indécente que si j'étais nue, et même frustrée d'être au bord de la jouissance du fait
de la tension physique et mentale que vous avez provoqué en moi par le geste que vous
venez de faire afin de m'habituer. Vous m'avez pincé un mamelon entre le pouce et le
côté de votre index, m'avez soulevé et étiré le sein aussi haut que possible en me
regardant bien droit dans les yeux, j'en ai eu les larmes aux yeux
« Dis moi encore que tu m'appartiens et que je peux tout exiger de toi ...
- Haa je… Oui monsieur Cello, je suis à vous et je vous appartiens. Vous pouvez tout
me faire, tout me demander ... »
Cello - Satisfait sans toutefois te récompenser d'un geste tendre je lâche ton outre,
la combinaison à demi déchirée au niveau du mamelon, et te dit de me suivre. Nous
quittons alors ma maison pour nous rendre chez toi, par le passage entre les jardins
que nous empruntons, maintenant régulièrement depuis le début de la semaine. N’ayant
pas forcément le même coup de pinceau, ni la façon de passer le rouleau, après
t’avoir montrer comment il fallait procéder, je te laisse dans une des deux chambres
non sans avoir palpé tes fesses et tes gros seins libres sous le tissus transparent
pour t'apporter un peu de satisfaction, tandis que je vais dans l’autre commencer le
travail. De temps en temps, je viens te voir et te demander si tout va bien. Je
profite alors de ces moments pour te peloter les mamelles, te faire durcir les tétons
en les pinçant, glissant même un doigt dans la déchirure de ta combinaison pour sortir
ton téton et le sucer un peu, avant de te laisser sur ta faim, afin que tu sois en
permanence excitée et en demande de d’avantage de caresses.
Dans la matinée, je téléphone pour commander une pizza et une bouteille de Rosé pour
le midi, en donnant ton adresse pour la livraison, avec évidemment l’arrière pensée
que le livreur te voit dans ta tenue de peintre sexy. Puis la matinée se termine et
je viens une nouvelle fois te voir et aussi constater de l’avancer des travaux. J'en
profite pour me coller derrière toi, te félicitant de ton travail, tout en descendant
le zip de ta combinaison pour libérer tes mamelles et les malaxer durement. C'est à ce
moment là, que l’on sonne à la porte.
« Ne bouge pas, je vais voir, ce doit être le livreur de pizza »
Tu es rassurée que j’aille ouvrir, vu ta tenue, adéquat pour la peinture, mais
certainement pas pour aller ouvrir la porte à un inconnu surtout chez toi.
Effectivement, c’est bien le livreur de pizza, je le fais entrer et dis à haute voix :
« Marie, tu peux venir régler la pizza, j’ai oublié mon portefeuille chez moi ? ».
Marie - Morte de honte, mais n'ayant pas le temps de m'habiller autrement, en plus je
mettrais de la peinture partout, je prends mon porte-monnaie et vous rejoins dans
l'entrée, en ayant tout juste eu le temps de remonter légèrement le zip de la
combinaison entre mes seins durcis, les joues écarlates, la salopette blanche
transparente dévoilant le haut de mes pis, mais dévoilant tout de même mon intimité,
ma nudité ... Je voudrais m'enfuir et me cacher, mais en même temps, je découvre que
cette situation m'excite ...
Cello - Lorsque tu apparais dans la pièce, le pizzaïolo, écarquille des yeux, et reste
bouche bée, ne s’attendant certainement pas à voir une aussi jolie femme quasiment
nue. Il bégaye :
« Bon… Bonjour madame…Ce…Cela fait heu… Vingt et un euro mad…Madame ».
Tu es aussi gênée que le pauvre livreur, et c'est le rouge aux joues, et les mains
tremblantes que tu fouilles dans ton porte-monnaie les vingt et un euro dus. Tu
t’approches alors du jeune homme, littéralement scotché et n’osant venir vers toi, et
dès que tu lui a remis la somme réclamée, il tourne les talons, pour partir. La
situation m’amuse beaucoup, aussi il me vient une idée.
« S’il vous plait, vous pourriez nous livrer 2 salades pour demain midi ?
- Heu…Oui mon…monsieur mais je ne travaille pas demain
- Oh ! C’est dommage je souhaitais que vous reveniez demain avec deux salades et une
bouteille de rosé.
- Heu… Mais je peux m’arranger
- Vous êtes sûr ?
- Oui monsieur…Je ne vous oublierais pas.
- Merci et bonne journée
- A demain monsieur dame »
Avant que le serveur ne parte, je lui précise que si il n'y a personne, c'est que nous
serons chez moi, dans la maison voisine au numéro 8, car en tant que voisin, j'aide
Madame pendant l'absence de son mari et précise :
« Aussi soyez discret ... vous en profiterez ».
Lorsque le livreur est parti, je te regarde et te dis :
« Il ne va pas oublier, ça j'en suis sur, il ne doit pas voir une femme comme toi, à
moitié à poil tous les jours, tu as vu comme il semblait avoir envie de te toucher ?
- Je heu… Vous profitez de moi Monsieur Cello, vous savez que je me laisse faire à
tout ce que vous me demandez et vous me montrez au livreur, ça me gêne vraiment, je
suis chez moi, si mon mari venait à savoir que je fais la peinture quasi nue, qu'est
ce qu'il dirait ...
– Ne t inquiète pas, il ne le saura pas, et si tu te sens humiliée d'être offerte
ainsi à la vue de ce jeune livreur, je suis sûr que si je regardais entre tes cuisses,
je constaterais que tu es mouillée, car je sais depuis la venue de Laurent que tu
aimes être exhibée et humiliée ».
Je saisis le haut de ta combinaison et fais glisser le zip jusqu'à ton entrejambes et
place ma main entre tes cuisses. Je commence à te caresser les lèvres intimes, tu
t’écartes immédiatement espérant que je te doigte. Je glisse effectivement deux doigts
dans ton antre du plaisir sans difficulté tellement tu es trempée. Mais je me
ressaisis et retire mes doigts et te dis :
« Faisons une pause déjeuner, on reprendra le travail après, et ce soir j’espère qu'on
aura encore du temps pour nous.
- Humm ! Hoo ! J'ai si envie, mais ok ce soir je serai à vous pour que vous me
fassiez jouir et ... Je heu… Si vous le souhaitez vous aussi je pourrai vous faire du
bien, il suffira de demander... »
Alors que nous déjeunons en buvant du rosé, nous prévoyons que ce soir, la peinture
sera quasiment terminée et qu'ensuite nous nous accorderons du temps pour nous
Après près d'une petite heure de pause et nous êtes restaurés, nous nous sommes
allongés dans les bras l'un de l'autre, sur ton lit recouvert d’un plastique pour ne
pas le tâcher, nous reprenons le travail.
En fin d’après midi, le travail est terminé, aussi je décide de nous arrêter pour ce
jour, et arrivant derrière toi, je t’attrape pas les seins que je pétrie fortement.
Marie : « Hoo attention monsieur Cello vous allez déchirer la combinaison »
Je fais glisser ta combinaison jusqu’à ton entrejambe avant de la faire glisser de tes
épaules et finir de te mettre nue. Je te retourne face à moi, t’embrasse et sans un
mot, te prend par la main et t’entraîne chez moi à travers nos jardins comme nous en
avons pris l’habitude.
Une fois sur la terrasse, je t’empoigne à bras le corps, t’allonge sur la table et
commence à te masser les outres, appuyant le malaxage et pétrissage progressivement.
Je sens tes tétons se durcir sous mes mains, alors que tu t’abandonnes totalement au
plaisir, tes jambes s’ouvrent progressivement, comme par magie, aussi après un bon
quart d’heure de pétrissage, pincement, étirement et gifles sur ta poitrine, mes mains
descendent vers ton bas ventre.
Ma main effleure ton clitoris, tes lèvres, puis se plaque contre ton sexe trempé. Un
puis deux doigts, se glisse dans ta chatte alors que de mon autre main, je titille ton
petit bouton. Tu ne tardes par à gémir, et à t’ouvrir de plus en plus, sous le va et
viens de mes doigts.
C’est à ce moment là que la sonnette de la porte d’entrée retentit :
« Dring ! Dring ! Dring ! »
« Ne bouge pas ma belle ! Je vais voir qui viens nous importuner. »
Je t’abandonne aussitôt, alors que tu allais protester de te quitter alors que tu
étais aux portes de la jouissance. Déçue, tu écoutes et reconnais la voie du toubib
que tu as rencontré la veille. Bien que celui-ci t’ait déjà vue nue, tu t’empresses de
descendre de la table et te t’asseoir masquant ainsi le bas de ton ventre, grâce à la
table.
En arrivant sur la terrasse, il s’exclame :
« Ha ! Mais Marie est là aussi.
- Ne soit pas hypocrite, nous savons que c’est pour la mater une nouvelle fois que tu
reviens »
Alors qu’il s’apprête à protester, je continue :
« Enfin, pour quelqu’un qui aime les femmes avec des petits seins, tu sembles
apprécier de voir les grosses mamelles de Marie.
- Oui ! J’avoue ! Je reconnais que ses pis bovins sont bandant »
Tu écoutes, honteuse que l’on parle de toi ainsi, mais n’ose rien dire.
« Oui tu arrives mal, j’étais en train de masser Marie, et elle était sur le point de
jouir, quand tu as sonné à la porte.
- Oh ! Je suis désolé, mais ne vous gênez par pour moi, vous pouvez continuer.
- J’ai une meilleure idée, Marie, écarte ta chaise de la table, met toi face à nous,
et fais toi jouir en écartant bien tes cuisses ».
Tu restes quelques secondes interloquer, puis alors que des larmes coulent sur tes
joues, tu te places face à nous, écartes tes cuisses le plus possible, pose un pied
sur une chaise et laisse une de tes mains se saisir d’un de tes seins que tu commences
à caresser, alors que ton autre main, glisse entre tes cuisses, et que deux doigts
disparaissent très vite dans ta chatte trempée de désir.
Très vite, tu gémis sous l’effet de tes mains sur ton corps.
« Hé bien Cello ! Tu es un veinard, tu es vraiment tombé sur une sacrée salope ! Et
pourtant j’en ai vu des salopes, mais jamais comme ta Marie. Avec elle tu détiens une
vrai jouisseuse »
Les paroles humiliantes du toubib ne font que décupler ton excitation, et ta main
remue de plus en plus vite entre tes cuisses alors que l’autre main tort durement tes
mamelles et pince un téton pour l'étirer. Et des cris de jouissance viennent ponctuer
ta séance de masturbation et d’exhibition.
Marie - Lorsque je reviens à la réalité après le choc de la jouissance, je vois que
Laurent est en train de remettre son sexe dans son pantalon, Et oui tellement absorbée
par ma recherche du plaisir, je n'ai même pas remarqué que "notre" invité s'était
masturbé en me matant et qu'il avait jouie, lâchant son sperme sur la table. Je suis
aussi honteuse que lui de m'être laissée aller ainsi et tandis que Laurent embarrassé
d'avoir taché la table, nous salue et quitte la maison sans attendre, sur un signe de
votre part, je commence à lécher la table...
Je te fais te lever, et te prenant dans mes bras, je te dis :
« Je suis très fier de toi, tu as démontré à ce vieux cochon que tu aimais t'exhiber
et te donner en spectacle même devant un inconnu, et tu m'as démontrée que tu étais
bien obéissante en léchant le foutre de mon ami.
-Oh merci monsieur, mais j'avoue que votre massage m'avait laissé sur ma faim, et que
j'avais très envie de jouir, et heu... C'étais très excitant de me caresser devant
votre ami.
- Bien ! Tu as encore envie de jouer ?"
- Oh oui ! Dites moi ce que je dois faire ?
- On va aller chez toi, j'ai envie de te regarder faire du vélo d'appartement, mais
avant je vais te préparer
- Vous aimez m'entraîner, je vous laisse devenir mon coach avec plaisir, mais heu...
vous voulez me préparer, je heu... Que dois je faire ?
- Oui mets toi debout, les jambes légèrement écartées et les mains derrière la tête,
je reviens dans deux minutes ».
Pendant que je m'absente, tu t'exécutes et te place en position au milieu de la
terrasse.
Marie - Lorsque vous revenez, je suis jambes écartées les mains derrière la nuque ...
vous posez un sac sur la table, et prenant une corde, vous commencez à bondager mes
seins, afin de les comprimer afin qu'ils ressemblent à deux magnifiques obus, prêts à
exploser sous la tension.
Bien allons chez toi, je vais te faire faire du sport, et te prenant par la main, je
t’entraîne jusqu'à chez toi, emmenant avec moi mon petit sac d'accessoires. Je te fais
monter sur le vélo, et tu commences à pédaler, tes seins bondés, remuant au rythme de
ton pédalage comme deux sac de chairs attachées à ton buste.
Au bout de 10 minutes environ de sport, et jugeant que tes grosses mamelles ne remuent
pas suffisamment, je libère tes seins, puis je cherche dans mon sac, deux pinces à
seins équipés de poids, que je place à chaque téton. Surprise, tu pousses un petit cri
lorsque je place celles-ci sur tes tétines, mais tu te ressaisis et tu te retiens de
geindre. Les poids fixés aux pinces étirent tes tétons les faisant bouger à chaque
mouvement.
Je t'ordonne alors de reprendre ton sport, en accélérant afin que je puisse bien voir
tes seins ballotter avec les poids au bout de tes tétons. Je te fais alors mettre en
"danseuse" ce qui me permets de te doigter la chatte, Je t'oblige à pédaler ainsi
pendant un bon quart d'heure faisant se balancer tes outres dans tous les sens avant
de libérer tes tétons, et t'aide à descendre du cycle d'appartement.
Marie - Oui je pédale en danseuse faisant coulisser autour de vos doigts le fourreau
de ma chatte brûlante, et je suis au bord de perdre connaissance de jouissance quand
vous retirez vos doigts pour me donner une grande claque sur les fesses, suivie
d'autres sur les mamelles après m'avoir enlevé les pinces... Lorsque vous me faites
descendre du vélo je me colle à vous espérant que vous allez me baiser, je n'arrive
pas à me retenir tellement j'ai envie :
« Hoo monsieur Cello, baisez moi s'il vous plait vous faites de moi une femelle en
chaleur, soulagez moi je vous en supplie ! »
Je prends dans mon sac, un god et de te dis :
« Pour l'instant, tu n'es pas encore prête à te faire baiser par moi, et à tromper ton
mari, aussi pour ce soir, tu vas te contenter de ce god, et comme tu aimes être matée,
je vais te filmer pendant que tu te donnes du plaisir."
Un peu déçue, tu saisis le god et après avoir passé ta langue dessus, tu le poses
entre tes cuisses ouvertes, caresse quelques instant tes lèvres intimes avec, avant de
l'engloutir dans ta chatte trempée de désir.
Je te filme totalement avec parfois des gros plans de ta chatte ou de tes seins que tu
malmènes de ta main libre, alors que je t'encourage en te disant que tu es une belle
salope qui ne demande qu'à être baisée.
Puis je te dis :
« Je te baiserais lorsque tu m'auras dis une bonne dizaine de fois que tu veux faire
cocu ton mari, que tu veux être ma putain, ma salope, ma chienne en chaleur et mon
objet sexuel près à m'offrir tes orifices quand j'en ai envie, que tu acceptes de te
soumettre à toutes mes perversions auxquelles je veux t'initier et même à être offerte
si j'en éprouve le désir ».
En m'écoutant, tu fais aller et venir le god dans ta chatte de plus en plus vite et de
plus en plus fort, bien au fond de ta grotte du plaisir malmenant tes seins et tes
tétons sans aucune réserve jusqu'à la jouissance.
Je te demande alors de le répéter :
Marie : « Oui je veux faire cocu Hervé, et devenir votre putain, votre salope, votre
chienne en chaleur vous servir d'objet sexuel et accepter toutes vos perversions en me
livrant à vos amis ou à tous ceux que vous aimeriez voir me ramoner la chatte »
Je filme bien sûr cette séquence, qui pourra me permettre de te faire chanter au cas
ou tu deviendrais moins obéissante dans l'avenir.
Je te dis alors :
« Bien pour te récompenser, je vais t'emmener au restaurant, aussi vas prendre une
douche et te maquiller ».
Tu me tends le god, que je prends et te fais le lécher pour le nettoyer avant de le
remettre dans le sac, puis je t'embrasse et te laisse une nouvelle fois sur ta faim,
alors que je te laisse seule, emportant mon sac avec moi.
près de moi, tes lourdes mamelles étalées sur ton buste. Sans bruit, je te laisse
encore dormir, tandis que je vais me doucher et me raser, puis je vais préparer le
petit déjeuner. C’est à ce moment là, que tu apparais à l’entrée de la cuisine, nue
comme un ver, la mine réjouie et apparemment bien reposée après une bonne nuit de
sommeil, qui pourrait imaginer qu'il y a seulement quelques jours tu était si timide
et si prude, osant à peine te vêtir d'un chemisier près du corps tellement tu avais
honte de tes grosses et lourdes outres pourtant si pleines et souples.
Je viens vers toi, et t’embrasse à pleine bouche, en portant ma main entre tes
cuisses.
« Bonjour Marie, bien dormi ? Prête à bien travailler pour que je te récompense ce
soir comme tu le mérites ?
- Oui monsieur Cello, je serai une bonne apprentie et je travaillerai comme une pro !
»
Cello - Je m’éloigne en écoutant tes réponses, et te sers un café et deux croissants.
« Prends des forces ma belle, tu as vu, hier soir, tu étais totalement épuisée.
- Je heu… Oui je suis désolée mais c'était la première fois que je heu… Enfin vous
voyez, mais je me rattraperai la prochaine fois, je heu… J'en ai honte, mais j'aime ce
que vous me faites découvrir... Et quel est le programme aujourd’hui ?
- J’aimerais que nous ayons terminé les deux chambres ce soir, ce qui nous donnerais 2
jours pour faire ton ménage, quelques courses l'après midi et vendredi nous aurions la
journée libre pour nous, avant le retour de ton mari.
- Oh ! Oui une journée que pour nous deux ! Ce serait génial, mais aujourd’hui à part
la peinture, qu’avez-vous prévu ?
- Ca c’est une surprise, je verrais le moment venu, et suivant tes dispositions mais
sois patiente n'oublie pas que désormais dans ta vie c'est moi qui décide de tout,
aujourd'hui tu en veux plus que je ne t'offre mais demain j'exigerai peut être de toi
bien plus que tu n'imagines, pourtant tu obéiras pour me satisfaire' n'est ce pas ?
- Hoo oui monsieur Cello, vous pouvez tout me demander, je heu… (Les joues rouges,
mais les yeux brillants) Vous savez j'aime mon mari mais heu ... C'est a vous que j'ai
envie d'appartenir ... »
Cello - Je te souris et te tends une combinaison en plastique transparent, et te dis :
« Après ta douche, tu mettras cela, pour éviter que tu aies de la peinture sur les
seins, les cuisses ou les fesses sinon je vais être obligé de te les frotter au gant
de crin ! »
Voyant que tu n’obtiendras rien de plus de ma part, et n’osant ni insister, ni me
faire attendre, tu files dans la salle de bain, te doucher sans avoir conscience de ce
que ton abandon à toutes mes volontés présentes et futures signifie. Lorsque tu
reviens, légèrement maquillée et revêtue que de la combinaison transparente
suffisamment petite pour bien comprimer ta poitrine et mouler tes fesses et tes
cuisses et suffisamment légère pour laisser tes appendices laitiers bouger librement
et être déchirée si je le désirais.
« Oh ! Tu es à croquer ainsi ma jolie, tu as de la chance qu’on a beaucoup de travail
».
Marie - Je suis excitée d'être habillée dans cette combinaison transparente, bien plus
indécente que si j'étais nue, et même frustrée d'être au bord de la jouissance du fait
de la tension physique et mentale que vous avez provoqué en moi par le geste que vous
venez de faire afin de m'habituer. Vous m'avez pincé un mamelon entre le pouce et le
côté de votre index, m'avez soulevé et étiré le sein aussi haut que possible en me
regardant bien droit dans les yeux, j'en ai eu les larmes aux yeux
« Dis moi encore que tu m'appartiens et que je peux tout exiger de toi ...
- Haa je… Oui monsieur Cello, je suis à vous et je vous appartiens. Vous pouvez tout
me faire, tout me demander ... »
Cello - Satisfait sans toutefois te récompenser d'un geste tendre je lâche ton outre,
la combinaison à demi déchirée au niveau du mamelon, et te dit de me suivre. Nous
quittons alors ma maison pour nous rendre chez toi, par le passage entre les jardins
que nous empruntons, maintenant régulièrement depuis le début de la semaine. N’ayant
pas forcément le même coup de pinceau, ni la façon de passer le rouleau, après
t’avoir montrer comment il fallait procéder, je te laisse dans une des deux chambres
non sans avoir palpé tes fesses et tes gros seins libres sous le tissus transparent
pour t'apporter un peu de satisfaction, tandis que je vais dans l’autre commencer le
travail. De temps en temps, je viens te voir et te demander si tout va bien. Je
profite alors de ces moments pour te peloter les mamelles, te faire durcir les tétons
en les pinçant, glissant même un doigt dans la déchirure de ta combinaison pour sortir
ton téton et le sucer un peu, avant de te laisser sur ta faim, afin que tu sois en
permanence excitée et en demande de d’avantage de caresses.
Dans la matinée, je téléphone pour commander une pizza et une bouteille de Rosé pour
le midi, en donnant ton adresse pour la livraison, avec évidemment l’arrière pensée
que le livreur te voit dans ta tenue de peintre sexy. Puis la matinée se termine et
je viens une nouvelle fois te voir et aussi constater de l’avancer des travaux. J'en
profite pour me coller derrière toi, te félicitant de ton travail, tout en descendant
le zip de ta combinaison pour libérer tes mamelles et les malaxer durement. C'est à ce
moment là, que l’on sonne à la porte.
« Ne bouge pas, je vais voir, ce doit être le livreur de pizza »
Tu es rassurée que j’aille ouvrir, vu ta tenue, adéquat pour la peinture, mais
certainement pas pour aller ouvrir la porte à un inconnu surtout chez toi.
Effectivement, c’est bien le livreur de pizza, je le fais entrer et dis à haute voix :
« Marie, tu peux venir régler la pizza, j’ai oublié mon portefeuille chez moi ? ».
Marie - Morte de honte, mais n'ayant pas le temps de m'habiller autrement, en plus je
mettrais de la peinture partout, je prends mon porte-monnaie et vous rejoins dans
l'entrée, en ayant tout juste eu le temps de remonter légèrement le zip de la
combinaison entre mes seins durcis, les joues écarlates, la salopette blanche
transparente dévoilant le haut de mes pis, mais dévoilant tout de même mon intimité,
ma nudité ... Je voudrais m'enfuir et me cacher, mais en même temps, je découvre que
cette situation m'excite ...
Cello - Lorsque tu apparais dans la pièce, le pizzaïolo, écarquille des yeux, et reste
bouche bée, ne s’attendant certainement pas à voir une aussi jolie femme quasiment
nue. Il bégaye :
« Bon… Bonjour madame…Ce…Cela fait heu… Vingt et un euro mad…Madame ».
Tu es aussi gênée que le pauvre livreur, et c'est le rouge aux joues, et les mains
tremblantes que tu fouilles dans ton porte-monnaie les vingt et un euro dus. Tu
t’approches alors du jeune homme, littéralement scotché et n’osant venir vers toi, et
dès que tu lui a remis la somme réclamée, il tourne les talons, pour partir. La
situation m’amuse beaucoup, aussi il me vient une idée.
« S’il vous plait, vous pourriez nous livrer 2 salades pour demain midi ?
- Heu…Oui mon…monsieur mais je ne travaille pas demain
- Oh ! C’est dommage je souhaitais que vous reveniez demain avec deux salades et une
bouteille de rosé.
- Heu… Mais je peux m’arranger
- Vous êtes sûr ?
- Oui monsieur…Je ne vous oublierais pas.
- Merci et bonne journée
- A demain monsieur dame »
Avant que le serveur ne parte, je lui précise que si il n'y a personne, c'est que nous
serons chez moi, dans la maison voisine au numéro 8, car en tant que voisin, j'aide
Madame pendant l'absence de son mari et précise :
« Aussi soyez discret ... vous en profiterez ».
Lorsque le livreur est parti, je te regarde et te dis :
« Il ne va pas oublier, ça j'en suis sur, il ne doit pas voir une femme comme toi, à
moitié à poil tous les jours, tu as vu comme il semblait avoir envie de te toucher ?
- Je heu… Vous profitez de moi Monsieur Cello, vous savez que je me laisse faire à
tout ce que vous me demandez et vous me montrez au livreur, ça me gêne vraiment, je
suis chez moi, si mon mari venait à savoir que je fais la peinture quasi nue, qu'est
ce qu'il dirait ...
– Ne t inquiète pas, il ne le saura pas, et si tu te sens humiliée d'être offerte
ainsi à la vue de ce jeune livreur, je suis sûr que si je regardais entre tes cuisses,
je constaterais que tu es mouillée, car je sais depuis la venue de Laurent que tu
aimes être exhibée et humiliée ».
Je saisis le haut de ta combinaison et fais glisser le zip jusqu'à ton entrejambes et
place ma main entre tes cuisses. Je commence à te caresser les lèvres intimes, tu
t’écartes immédiatement espérant que je te doigte. Je glisse effectivement deux doigts
dans ton antre du plaisir sans difficulté tellement tu es trempée. Mais je me
ressaisis et retire mes doigts et te dis :
« Faisons une pause déjeuner, on reprendra le travail après, et ce soir j’espère qu'on
aura encore du temps pour nous.
- Humm ! Hoo ! J'ai si envie, mais ok ce soir je serai à vous pour que vous me
fassiez jouir et ... Je heu… Si vous le souhaitez vous aussi je pourrai vous faire du
bien, il suffira de demander... »
Alors que nous déjeunons en buvant du rosé, nous prévoyons que ce soir, la peinture
sera quasiment terminée et qu'ensuite nous nous accorderons du temps pour nous
Après près d'une petite heure de pause et nous êtes restaurés, nous nous sommes
allongés dans les bras l'un de l'autre, sur ton lit recouvert d’un plastique pour ne
pas le tâcher, nous reprenons le travail.
En fin d’après midi, le travail est terminé, aussi je décide de nous arrêter pour ce
jour, et arrivant derrière toi, je t’attrape pas les seins que je pétrie fortement.
Marie : « Hoo attention monsieur Cello vous allez déchirer la combinaison »
Je fais glisser ta combinaison jusqu’à ton entrejambe avant de la faire glisser de tes
épaules et finir de te mettre nue. Je te retourne face à moi, t’embrasse et sans un
mot, te prend par la main et t’entraîne chez moi à travers nos jardins comme nous en
avons pris l’habitude.
Une fois sur la terrasse, je t’empoigne à bras le corps, t’allonge sur la table et
commence à te masser les outres, appuyant le malaxage et pétrissage progressivement.
Je sens tes tétons se durcir sous mes mains, alors que tu t’abandonnes totalement au
plaisir, tes jambes s’ouvrent progressivement, comme par magie, aussi après un bon
quart d’heure de pétrissage, pincement, étirement et gifles sur ta poitrine, mes mains
descendent vers ton bas ventre.
Ma main effleure ton clitoris, tes lèvres, puis se plaque contre ton sexe trempé. Un
puis deux doigts, se glisse dans ta chatte alors que de mon autre main, je titille ton
petit bouton. Tu ne tardes par à gémir, et à t’ouvrir de plus en plus, sous le va et
viens de mes doigts.
C’est à ce moment là que la sonnette de la porte d’entrée retentit :
« Dring ! Dring ! Dring ! »
« Ne bouge pas ma belle ! Je vais voir qui viens nous importuner. »
Je t’abandonne aussitôt, alors que tu allais protester de te quitter alors que tu
étais aux portes de la jouissance. Déçue, tu écoutes et reconnais la voie du toubib
que tu as rencontré la veille. Bien que celui-ci t’ait déjà vue nue, tu t’empresses de
descendre de la table et te t’asseoir masquant ainsi le bas de ton ventre, grâce à la
table.
En arrivant sur la terrasse, il s’exclame :
« Ha ! Mais Marie est là aussi.
- Ne soit pas hypocrite, nous savons que c’est pour la mater une nouvelle fois que tu
reviens »
Alors qu’il s’apprête à protester, je continue :
« Enfin, pour quelqu’un qui aime les femmes avec des petits seins, tu sembles
apprécier de voir les grosses mamelles de Marie.
- Oui ! J’avoue ! Je reconnais que ses pis bovins sont bandant »
Tu écoutes, honteuse que l’on parle de toi ainsi, mais n’ose rien dire.
« Oui tu arrives mal, j’étais en train de masser Marie, et elle était sur le point de
jouir, quand tu as sonné à la porte.
- Oh ! Je suis désolé, mais ne vous gênez par pour moi, vous pouvez continuer.
- J’ai une meilleure idée, Marie, écarte ta chaise de la table, met toi face à nous,
et fais toi jouir en écartant bien tes cuisses ».
Tu restes quelques secondes interloquer, puis alors que des larmes coulent sur tes
joues, tu te places face à nous, écartes tes cuisses le plus possible, pose un pied
sur une chaise et laisse une de tes mains se saisir d’un de tes seins que tu commences
à caresser, alors que ton autre main, glisse entre tes cuisses, et que deux doigts
disparaissent très vite dans ta chatte trempée de désir.
Très vite, tu gémis sous l’effet de tes mains sur ton corps.
« Hé bien Cello ! Tu es un veinard, tu es vraiment tombé sur une sacrée salope ! Et
pourtant j’en ai vu des salopes, mais jamais comme ta Marie. Avec elle tu détiens une
vrai jouisseuse »
Les paroles humiliantes du toubib ne font que décupler ton excitation, et ta main
remue de plus en plus vite entre tes cuisses alors que l’autre main tort durement tes
mamelles et pince un téton pour l'étirer. Et des cris de jouissance viennent ponctuer
ta séance de masturbation et d’exhibition.
Marie - Lorsque je reviens à la réalité après le choc de la jouissance, je vois que
Laurent est en train de remettre son sexe dans son pantalon, Et oui tellement absorbée
par ma recherche du plaisir, je n'ai même pas remarqué que "notre" invité s'était
masturbé en me matant et qu'il avait jouie, lâchant son sperme sur la table. Je suis
aussi honteuse que lui de m'être laissée aller ainsi et tandis que Laurent embarrassé
d'avoir taché la table, nous salue et quitte la maison sans attendre, sur un signe de
votre part, je commence à lécher la table...
Je te fais te lever, et te prenant dans mes bras, je te dis :
« Je suis très fier de toi, tu as démontré à ce vieux cochon que tu aimais t'exhiber
et te donner en spectacle même devant un inconnu, et tu m'as démontrée que tu étais
bien obéissante en léchant le foutre de mon ami.
-Oh merci monsieur, mais j'avoue que votre massage m'avait laissé sur ma faim, et que
j'avais très envie de jouir, et heu... C'étais très excitant de me caresser devant
votre ami.
- Bien ! Tu as encore envie de jouer ?"
- Oh oui ! Dites moi ce que je dois faire ?
- On va aller chez toi, j'ai envie de te regarder faire du vélo d'appartement, mais
avant je vais te préparer
- Vous aimez m'entraîner, je vous laisse devenir mon coach avec plaisir, mais heu...
vous voulez me préparer, je heu... Que dois je faire ?
- Oui mets toi debout, les jambes légèrement écartées et les mains derrière la tête,
je reviens dans deux minutes ».
Pendant que je m'absente, tu t'exécutes et te place en position au milieu de la
terrasse.
Marie - Lorsque vous revenez, je suis jambes écartées les mains derrière la nuque ...
vous posez un sac sur la table, et prenant une corde, vous commencez à bondager mes
seins, afin de les comprimer afin qu'ils ressemblent à deux magnifiques obus, prêts à
exploser sous la tension.
Bien allons chez toi, je vais te faire faire du sport, et te prenant par la main, je
t’entraîne jusqu'à chez toi, emmenant avec moi mon petit sac d'accessoires. Je te fais
monter sur le vélo, et tu commences à pédaler, tes seins bondés, remuant au rythme de
ton pédalage comme deux sac de chairs attachées à ton buste.
Au bout de 10 minutes environ de sport, et jugeant que tes grosses mamelles ne remuent
pas suffisamment, je libère tes seins, puis je cherche dans mon sac, deux pinces à
seins équipés de poids, que je place à chaque téton. Surprise, tu pousses un petit cri
lorsque je place celles-ci sur tes tétines, mais tu te ressaisis et tu te retiens de
geindre. Les poids fixés aux pinces étirent tes tétons les faisant bouger à chaque
mouvement.
Je t'ordonne alors de reprendre ton sport, en accélérant afin que je puisse bien voir
tes seins ballotter avec les poids au bout de tes tétons. Je te fais alors mettre en
"danseuse" ce qui me permets de te doigter la chatte, Je t'oblige à pédaler ainsi
pendant un bon quart d'heure faisant se balancer tes outres dans tous les sens avant
de libérer tes tétons, et t'aide à descendre du cycle d'appartement.
Marie - Oui je pédale en danseuse faisant coulisser autour de vos doigts le fourreau
de ma chatte brûlante, et je suis au bord de perdre connaissance de jouissance quand
vous retirez vos doigts pour me donner une grande claque sur les fesses, suivie
d'autres sur les mamelles après m'avoir enlevé les pinces... Lorsque vous me faites
descendre du vélo je me colle à vous espérant que vous allez me baiser, je n'arrive
pas à me retenir tellement j'ai envie :
« Hoo monsieur Cello, baisez moi s'il vous plait vous faites de moi une femelle en
chaleur, soulagez moi je vous en supplie ! »
Je prends dans mon sac, un god et de te dis :
« Pour l'instant, tu n'es pas encore prête à te faire baiser par moi, et à tromper ton
mari, aussi pour ce soir, tu vas te contenter de ce god, et comme tu aimes être matée,
je vais te filmer pendant que tu te donnes du plaisir."
Un peu déçue, tu saisis le god et après avoir passé ta langue dessus, tu le poses
entre tes cuisses ouvertes, caresse quelques instant tes lèvres intimes avec, avant de
l'engloutir dans ta chatte trempée de désir.
Je te filme totalement avec parfois des gros plans de ta chatte ou de tes seins que tu
malmènes de ta main libre, alors que je t'encourage en te disant que tu es une belle
salope qui ne demande qu'à être baisée.
Puis je te dis :
« Je te baiserais lorsque tu m'auras dis une bonne dizaine de fois que tu veux faire
cocu ton mari, que tu veux être ma putain, ma salope, ma chienne en chaleur et mon
objet sexuel près à m'offrir tes orifices quand j'en ai envie, que tu acceptes de te
soumettre à toutes mes perversions auxquelles je veux t'initier et même à être offerte
si j'en éprouve le désir ».
En m'écoutant, tu fais aller et venir le god dans ta chatte de plus en plus vite et de
plus en plus fort, bien au fond de ta grotte du plaisir malmenant tes seins et tes
tétons sans aucune réserve jusqu'à la jouissance.
Je te demande alors de le répéter :
Marie : « Oui je veux faire cocu Hervé, et devenir votre putain, votre salope, votre
chienne en chaleur vous servir d'objet sexuel et accepter toutes vos perversions en me
livrant à vos amis ou à tous ceux que vous aimeriez voir me ramoner la chatte »
Je filme bien sûr cette séquence, qui pourra me permettre de te faire chanter au cas
ou tu deviendrais moins obéissante dans l'avenir.
Je te dis alors :
« Bien pour te récompenser, je vais t'emmener au restaurant, aussi vas prendre une
douche et te maquiller ».
Tu me tends le god, que je prends et te fais le lécher pour le nettoyer avant de le
remettre dans le sac, puis je t'embrasse et te laisse une nouvelle fois sur ta faim,
alors que je te laisse seule, emportant mon sac avec moi.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
vite une suite toujours aussi excitant
Bof. J'ai lu mieux dans le genre...
oui terriblement excitant,tu m'as fait jouir,j'imaginais que tu me faisais obéir,que
j'étais ta salope!
j'étais ta salope!
Une suite s'impose encore comme d'habitude, super bandant, j'adore malmener des belles
grosses mamelles bien bandante.
Merci
grosses mamelles bien bandante.
Merci
Je heu...je heu...trouve que le style n'est pas très...heu..reux! Dommage pour l'idée
qui est intéressante...Je heu...suis peut-être trop difficile ?.. Une lectrice déçue..
AM
qui est intéressante...Je heu...suis peut-être trop difficile ?.. Une lectrice déçue..
AM