Marie ma nouvelle voisine - 21 – Fin de matinée du dimanche.
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-08-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie ma nouvelle voisine - 21 – Fin de matinée du dimanche.
Marie - Vous me conduisez à la pharmacie de garde ce dimanche, après que Laurent soit parti à la clinique préparer notre visite de l'après-midi et Hervé s'est enfermé dans son bureau pour organiser sa semaine de prospection, car il doit partir très tôt demain matin, vers 5 heures.
Elle se situe en centre-ville. Comme je suis vêtue d'une guêpière rouge seins nues, un string ficelle assorti à la guêpière, avec une jupe ultra courte qui m'arrive au ras des fesses le tout avec des cuissardes, rouges également, avant de descendre de la voiture je vous dis :
« Heu... Monsieur Cello vous êtes sûr que je dois y aller dans cette tenue, c'est que j'ai les seins complètement nues et il doit y avoir des clients dans la pharmacie? »
Cello : « Oui j'en suis sûr, car c'est la seule de garde dans le centre. Allez dépêche toi d'obéir petite cochonne, je suis certain que ça t'excite tout ça ».
Marie : « Heu ... Oui tout de suite Monsieur Cello, heu... Désolé j'y vais ».
Je m'empresse de rentrer dans la pharmacie.
Il n'y a que deux clients devant moi, qui me reluquent quand je rentre. Je baisse la tête et ne fait pas attention au fait qu'ils me dévorent des yeux et matent mes seins nus.
Puis c'est à mon tour de passer. Je présente l'ordonnance au pharmacien qui connais bien Laurent,
Cello - Il te reluque de la tête aux pieds, pour ne pas dire du cul aux seins.Lorsque tu donnes l'ordonnance au pharmacien, il y a maintenant, cinq personnes derrière toi, deux femmes et trois hommes.
Tu sens le regard des homme lorgnant ta poitrine et si tu ne comprends pas ce que disent les deux femmes, tu entends des mots comme pute, salope, traînée, truie... Ce qui t'excite et te fait mouillée ton petit triangle rouge qui te sert de culotte. Tu entends aussi le fils dire à son père :
« Tu as vu ? » parlant certainement de toi et de ta tenue et le père répondre : « Les prostituées aussi ont le droit de venir acheter des médicaments ».
Marie – Prenant la réponse du père pour un compliment, je me retourne vers lui et lui sourit, trop fier de passer pour une vrai putain à ses yeux. Je l'embrasserais bien tellement cela me rend heureuse.
Cello - C'est maintenant ton tour et tu tends l’ordonnance au pharmacien. Tout en lisant le document, il dit à voix haute :
« Un tire-lait électrique à double pompage avec réglage d'intensité, bien et quel age à votre enfant ?
Marie : « Heu... Et bien heu... En fait, c'est mon médecin qui m'a prescrit un tire lait, mais heu... Non je n'ai pas de bébé ».
Le pharmacien : « Ah bon ! Mais alors pourquoi vous a-t-il prescrit un tire lait ? »,
Disant cela a haute voix, les clients qui sont derrière moi entendent tout. Il.y a un père et son fils de 19 ans, derrière eux un homme d'une quarantaines d’années et derrière lui deux femmes de 45 ans à peu près.
Marie : « Heu... Et bien c'est que Heu ... Enfin c'est pour provoquer une lactation induite, afin que je me fasse téter par des messieurs qui aime ça, pour nous aider financièrement, mon mari et moi, car il a perdu son emploi ».
Je dis cette dernière phrase suffisamment fort pour que les personnes derrière moi m'entendent, ce qui a pour but d'alimenter la discussion des deux mégères et m'excite.
Pharmacien : « Ah je vois, sacré toubib, cela ne m'étonne pas de lui, je vais appeler la préparatrice. elle va vous accompagner pour prendre vos mesures et vous expliquez le.fonctionnement de l' appareil. En attendant qu'elle vienne vous cherchez, vous pouvez vous asseoir ».
Marie - Je m'assieds en écartant bien mes cuisses pour provoquer un peu plus les deux bourgeoises.
A peine 5 minutes après, une jolie femme d'une trentaine d'années arrive en blouse blanche, elle est blonde s'appelle Nathalie et a de superbes proportions. Elle me.regarde de haut en bas puis me.demande de la suivre dans la pièce du fond pour prendre des mesures et me former à l'utilisation de cette appareil.
Arriver au fond de la boutique nous entrons dans un bureau. La préparatrice m'explique que je dois me.mettre les seins nus pour procéder à des mesures, afin de me donner la bonne taille pour le tire-lait, faisant tout de même allusion au fait qu'ils sont déjà à l'air et elle m'aide à retirer ma guêpière. Elle me soupèse les seins et dit :
« Ah ! Je vois, il va falloir les très gros bonnet, vous avez une très belle paire de seins madame, ils sont bien gros et bien ferme. Il va falloir que je vous trouve notre modèle extra large, mais avant je dois prendre quelques mesures. Elle revient avec un mètres ruban et mesure mon tour de poitrine, le tour de chaque sein, la largeur des aréoles puis l'écartement entre mes tétons.
Lorsqu'elle prend la mesure de l'écartement de mes tétons, elle dit :
« Oh ! c'est drôle j'ai le même écartement, et aussitôt elle ôte sa blouse et se retrouve seins nus devant moi. Elle s'approche pour me prouver que ses deux tétons touchent les deux miens parfaitement en nous mettant face à face, puis elle me prend par la taille et frotte sa poitrine contre la mienne. C'est la première fois que je sens les seins d'une femme sur moi et cela m'émoustille, trouvant plutôt agréable cette nouvelle sensation.
Nathalie : « Je vais allez chercher votre tire-lait madame puis je vous montrerai comment cela fonctionne, d'accord? »
Marie : « Heu... Oui très bien, merci...Mademoiselle ».
Quelques minutes après, la préparatrice revient avec un tire-lait. Elle le déballe, puis m'invite à m'asseoir sur le tabouret prés de la.table, ce que je fait, elle finit de préparer le tire-lait, et m'explique son fonctionnement. Puis elle me dit :
« Avant de vous le placer pour l'essayer, madame, caressez vous les.seins et pressez vous les tétons avec cette crème pour préparer vos seins avant la pose de l'appareil.
Marie : « Heu... Ah d'accord, Heu... Très bien mademoiselle ».
Je commence à me passer de la crème sur les seins et je me malaxe avec et comme elle me l'a demandée, je me.presse les tétons avec les doigts. Je la regarde et lui demande si est bon.
Elle s'approche de moi et me dit :
« Non pas encore madame, attendez je vais vous montrez ».
Elle se place derrière moi et commence à me.malaxer les seins fermement , puis elle me.pince fortement les tétons et me dit :
« Comme cela.madame, il faut bien stimuler les seins et les tétons pour la lactation. Madame maintenant je vais vous presser votre sein droit et vous allez téter votre téton, d'accord Madame ».
Marie : « Heu... Oui très bien mademoiselle ».
Elle me presse fortement le sein droit et elle me penche la tête vers celui-ci et me dit :
« Allez y madame, il faut bien lécher, sucer et téter ».
Puis elle me dit ;
« Attendez je vais vous montrer ».
Sans attendre ma réponse, elle passe devant moi et me presse le sein gauche fortement et elle se met à me bouffer le nichon. Je gémit et elle me dit :
« C'est comme ça qu'il faut bouffer les nichons de grosse cochonne. Hein ! Tu en es une, de belle cochonne vu comment tu es venu habillée ».
Alors que la préparatrice stimule mes mamelles, le pharmacien entre dans le bureau et voyant Nathalie me triturer les seins dit :
« Nathalie, au lieu de jouer avec madame, préparez lui plutôt sa rondelle, j'ai envie de l'enculer, car elle m'a donné une sacre trique en venant habillée comme une pute dans la pharmacie ».
« Bien monsieur » rétorque Nathalie, puis elle me prend par le bras et me positionne à quatre pattes sur le canapé, et me dit :
« Je vais te préparer la rondelle ma chérie ».
Marie - Puis elle me.met une grosse fessée sur la fesse droite, elle crache sur.mon anus et elle se met à me lécher celui-ci, et me doigte la chatte pour lubrifier mon fion avec ma mouille.
Elle presse ensuite son sein droit fortement ce qui a pour effet de bien faire pointer son téton qui bande très dure, et elle me l'enfonce dans la chatte et elle me masturbe avec, une fois son sein tout trempée de cyprine, elle frotte son téton sur ma rondelle et m'enfonce celui-ci dans.le.cul. Tout en m'enculant avec son téton, elle me dit :
« Oh ! Madame aime ça...Hein salope t'aime te faire enculer grosse salope. Oh... Ah quel cul que t'as salope !».
Puis elle m'écarte les fesses avec ses mains et m'enfonce sa langue dans le trou du cul.
Le pharmacien se présente la bite à la main et dit :
« Nathalie veuillez me préparer la bite pour que je puisse lui défoncer son cul à cette grosse pute ».
Marie - Nathalie sort sa langue de mon cul et me crache sur l'anus, et répond :
« Oui très bien monsieur » ;
Puis elle crache sur sa grosse bite et le masturbe un peu avant de le sucer.
Le pharmacien étant très excité dit à Nathalie que ça va aller comme ça, et lui demande de bien m'écarter les fesses, ce qu elle fait. Le pharmacien positionne sa grosse bite sur ma rondelle, m'agrippe par les hanches et me pénètre sans ménagement jusqu'à la garde, ce qui a pour effet de me faire gémir et dire :
« Oh putain monsieur !... Ah... Oh oui... Oh putain ! Quelle grosse bite monsieur !... Ah... Je vous sens bien dans mon cul de salope, défoncer moi bien monsieur s'il vous plaît... J'adore me faire enculer comme une chienne. »
Nathalie, qui s'est absentée quelques instants revient et dit :
« Comme il est plus de midi, j'ai fermé l'officine, s'il y a des urgences, les clients devront sonner, comme cela nous sommes tranquilles. Puis retirant totalement sa blouse, elle n'a plus rien dessous, elle a profité de son absence pour retirer sa culotte, et se retrouve nue dans le bureau.
Le pharmacien me claque chaque fesse fortement tout en me donnant de grand coup de butoir dans le cul, Nathalie pendant ce temps me malmène les nichons, me roulant de grosses pelles bien baveuses. Puis elle se place sur le canapé face à moi, la chatte à quelques centimètres de mon visage. Sa chatte est lisse et luisante de cyprine. Elle m’attrape par les cheveux et dit :
« Lèche moi salope ! Tu aimes la bite et bien je vais te faire aimer les chattes. Allez chienne!Fais-moi miauler de plaisir pendant que mon patron te démonte le cul ».
Marie : Nathalie m'agrippe par les cheveux et me plaque le visage sur sa chatte, je dit :
« Ah non pas ça, madame s'il vous plaît je n'ai jamais fait ça, doucement ».
Nathalie m'écoute à peine, trop excitée à l 'idée que je lui bouffe sa chatte, elle me plaque la.bouche sur sa chatte toute trempée, et me.dit :
« Sort ta langue et lèche moi salope ! Je vais t'apprendre à bien bouffer de la.chatte... Allez applique-toi sale chienne, grosse truie ... Bouffe moi.la.chatte ».
Marie : « Heu... Oui heu...Très bien mademoiselle ».
Je sors.ma.langue et commence à lécher sa chatte, je sens sa cyprine couler dans ma.bouche, et je la.regarde et lui dit :
« Eh ! Mais c'est bon, en fait !».
Puis Nathalie me.plaque violemment la.tête contre sa chatte et me.dit :
« Rentre ta langue de pute dedans.et.lèche moi ».
Le pharmacien : « Ah salope ! Tu la sens ma grosse bite ... Ah quelle cul de salope... Tes vraiment une grosse cochonne toi... Ah putain tu vas me.faire jouir … Ramène ta bouche grosse pute, je vais te juter dans ta bouche de suceuse de bite ».
Marie – Je cesse de lécher Nathalie, et redressant la tête, j'ouvre grand la bouche pour recevoir la crème du praticien. Nathalie ne me laisse pas le temps de déglutir qu'elle me rattrape par les cheveux et approchant ses lèvres des miennes dit :
« Partage salope ! Moi aussi j'aime le sperme »
Et elle me force la bouche avec sa langue, pour que je partage la semence du pharmacien.
Nathalie me.lèche le.visage puis me recrache une partie du sperme dans la bouche et on déglutie toutes les deux le sperme du pharmacien.
Puis celui-ci m'agrippe par les cheveux et me dit :
« Tu crois qu'elle va se nettoyer toute seule ! Allez nettoie moi bien la bite Et j'espère pour toi que ton cul était propre sinon, tant pis pour toi, tu nettoies quand même ».
Marie: « Heu.. .Oui.très bien.monsieur, Oui heu.... Mon cul.est bien propre je le.lave tous les.matins au cas ou, vous savez. »
Nathalie remet sa blouse, et quand j'ai fini de nettoyer la bite de son patron, il se reculotte, puis la préparatrice m'aide à remettre ma guêpière, je remets ma jupe et Nathalie prend mon string trempé et nous nous retrouvons tous les trois dans l'officine.
Elle me dit : « Hé salope ! N'oublie pas ton tire-lait, je mets ton string avec, tu peux très bien sortir d'ici les fesses à l'air.»
Je récupère le sac avec l'appareil et mon sous-vêtement, lorsque le pharmacien ajoute :
« Nathalie, mettez deux savons intimes et un clystère dans le sac de madame en cadeau, elle doit souvent se laver le cul à mon avis ».
Et alors que je le remercie et m'apprête à quitter l'officine pour vous rejoindre, je l'entends me dire :
« Hé surtout n'hésitez pas ! Dès que vous vous sentez fiévreuse, venez me voir, ce sera avec plaisir que je prendrais votre température avec mon gros thermomètre ».
Une fois dehors, je regarde si je vous vois et vous arriver en voiture quelques instants plus tard, avant que je ne reste trop longtemps sur le trottoir dans cette tenue de pute. Vous étiez garé non loin de là, attendant que je sorte.
Dans la voiture, je vous raconte le plaisir que j'ai eu à m'exhiber dans l'officine, être humiliée, être enculé par le pharmacien et ma première expérience lesbienne et que j'ai aimée cela.
Elle se situe en centre-ville. Comme je suis vêtue d'une guêpière rouge seins nues, un string ficelle assorti à la guêpière, avec une jupe ultra courte qui m'arrive au ras des fesses le tout avec des cuissardes, rouges également, avant de descendre de la voiture je vous dis :
« Heu... Monsieur Cello vous êtes sûr que je dois y aller dans cette tenue, c'est que j'ai les seins complètement nues et il doit y avoir des clients dans la pharmacie? »
Cello : « Oui j'en suis sûr, car c'est la seule de garde dans le centre. Allez dépêche toi d'obéir petite cochonne, je suis certain que ça t'excite tout ça ».
Marie : « Heu ... Oui tout de suite Monsieur Cello, heu... Désolé j'y vais ».
Je m'empresse de rentrer dans la pharmacie.
Il n'y a que deux clients devant moi, qui me reluquent quand je rentre. Je baisse la tête et ne fait pas attention au fait qu'ils me dévorent des yeux et matent mes seins nus.
Puis c'est à mon tour de passer. Je présente l'ordonnance au pharmacien qui connais bien Laurent,
Cello - Il te reluque de la tête aux pieds, pour ne pas dire du cul aux seins.Lorsque tu donnes l'ordonnance au pharmacien, il y a maintenant, cinq personnes derrière toi, deux femmes et trois hommes.
Tu sens le regard des homme lorgnant ta poitrine et si tu ne comprends pas ce que disent les deux femmes, tu entends des mots comme pute, salope, traînée, truie... Ce qui t'excite et te fait mouillée ton petit triangle rouge qui te sert de culotte. Tu entends aussi le fils dire à son père :
« Tu as vu ? » parlant certainement de toi et de ta tenue et le père répondre : « Les prostituées aussi ont le droit de venir acheter des médicaments ».
Marie – Prenant la réponse du père pour un compliment, je me retourne vers lui et lui sourit, trop fier de passer pour une vrai putain à ses yeux. Je l'embrasserais bien tellement cela me rend heureuse.
Cello - C'est maintenant ton tour et tu tends l’ordonnance au pharmacien. Tout en lisant le document, il dit à voix haute :
« Un tire-lait électrique à double pompage avec réglage d'intensité, bien et quel age à votre enfant ?
Marie : « Heu... Et bien heu... En fait, c'est mon médecin qui m'a prescrit un tire lait, mais heu... Non je n'ai pas de bébé ».
Le pharmacien : « Ah bon ! Mais alors pourquoi vous a-t-il prescrit un tire lait ? »,
Disant cela a haute voix, les clients qui sont derrière moi entendent tout. Il.y a un père et son fils de 19 ans, derrière eux un homme d'une quarantaines d’années et derrière lui deux femmes de 45 ans à peu près.
Marie : « Heu... Et bien c'est que Heu ... Enfin c'est pour provoquer une lactation induite, afin que je me fasse téter par des messieurs qui aime ça, pour nous aider financièrement, mon mari et moi, car il a perdu son emploi ».
Je dis cette dernière phrase suffisamment fort pour que les personnes derrière moi m'entendent, ce qui a pour but d'alimenter la discussion des deux mégères et m'excite.
Pharmacien : « Ah je vois, sacré toubib, cela ne m'étonne pas de lui, je vais appeler la préparatrice. elle va vous accompagner pour prendre vos mesures et vous expliquez le.fonctionnement de l' appareil. En attendant qu'elle vienne vous cherchez, vous pouvez vous asseoir ».
Marie - Je m'assieds en écartant bien mes cuisses pour provoquer un peu plus les deux bourgeoises.
A peine 5 minutes après, une jolie femme d'une trentaine d'années arrive en blouse blanche, elle est blonde s'appelle Nathalie et a de superbes proportions. Elle me.regarde de haut en bas puis me.demande de la suivre dans la pièce du fond pour prendre des mesures et me former à l'utilisation de cette appareil.
Arriver au fond de la boutique nous entrons dans un bureau. La préparatrice m'explique que je dois me.mettre les seins nus pour procéder à des mesures, afin de me donner la bonne taille pour le tire-lait, faisant tout de même allusion au fait qu'ils sont déjà à l'air et elle m'aide à retirer ma guêpière. Elle me soupèse les seins et dit :
« Ah ! Je vois, il va falloir les très gros bonnet, vous avez une très belle paire de seins madame, ils sont bien gros et bien ferme. Il va falloir que je vous trouve notre modèle extra large, mais avant je dois prendre quelques mesures. Elle revient avec un mètres ruban et mesure mon tour de poitrine, le tour de chaque sein, la largeur des aréoles puis l'écartement entre mes tétons.
Lorsqu'elle prend la mesure de l'écartement de mes tétons, elle dit :
« Oh ! c'est drôle j'ai le même écartement, et aussitôt elle ôte sa blouse et se retrouve seins nus devant moi. Elle s'approche pour me prouver que ses deux tétons touchent les deux miens parfaitement en nous mettant face à face, puis elle me prend par la taille et frotte sa poitrine contre la mienne. C'est la première fois que je sens les seins d'une femme sur moi et cela m'émoustille, trouvant plutôt agréable cette nouvelle sensation.
Nathalie : « Je vais allez chercher votre tire-lait madame puis je vous montrerai comment cela fonctionne, d'accord? »
Marie : « Heu... Oui très bien, merci...Mademoiselle ».
Quelques minutes après, la préparatrice revient avec un tire-lait. Elle le déballe, puis m'invite à m'asseoir sur le tabouret prés de la.table, ce que je fait, elle finit de préparer le tire-lait, et m'explique son fonctionnement. Puis elle me dit :
« Avant de vous le placer pour l'essayer, madame, caressez vous les.seins et pressez vous les tétons avec cette crème pour préparer vos seins avant la pose de l'appareil.
Marie : « Heu... Ah d'accord, Heu... Très bien mademoiselle ».
Je commence à me passer de la crème sur les seins et je me malaxe avec et comme elle me l'a demandée, je me.presse les tétons avec les doigts. Je la regarde et lui demande si est bon.
Elle s'approche de moi et me dit :
« Non pas encore madame, attendez je vais vous montrez ».
Elle se place derrière moi et commence à me.malaxer les seins fermement , puis elle me.pince fortement les tétons et me dit :
« Comme cela.madame, il faut bien stimuler les seins et les tétons pour la lactation. Madame maintenant je vais vous presser votre sein droit et vous allez téter votre téton, d'accord Madame ».
Marie : « Heu... Oui très bien mademoiselle ».
Elle me presse fortement le sein droit et elle me penche la tête vers celui-ci et me dit :
« Allez y madame, il faut bien lécher, sucer et téter ».
Puis elle me dit ;
« Attendez je vais vous montrer ».
Sans attendre ma réponse, elle passe devant moi et me presse le sein gauche fortement et elle se met à me bouffer le nichon. Je gémit et elle me dit :
« C'est comme ça qu'il faut bouffer les nichons de grosse cochonne. Hein ! Tu en es une, de belle cochonne vu comment tu es venu habillée ».
Alors que la préparatrice stimule mes mamelles, le pharmacien entre dans le bureau et voyant Nathalie me triturer les seins dit :
« Nathalie, au lieu de jouer avec madame, préparez lui plutôt sa rondelle, j'ai envie de l'enculer, car elle m'a donné une sacre trique en venant habillée comme une pute dans la pharmacie ».
« Bien monsieur » rétorque Nathalie, puis elle me prend par le bras et me positionne à quatre pattes sur le canapé, et me dit :
« Je vais te préparer la rondelle ma chérie ».
Marie - Puis elle me.met une grosse fessée sur la fesse droite, elle crache sur.mon anus et elle se met à me lécher celui-ci, et me doigte la chatte pour lubrifier mon fion avec ma mouille.
Elle presse ensuite son sein droit fortement ce qui a pour effet de bien faire pointer son téton qui bande très dure, et elle me l'enfonce dans la chatte et elle me masturbe avec, une fois son sein tout trempée de cyprine, elle frotte son téton sur ma rondelle et m'enfonce celui-ci dans.le.cul. Tout en m'enculant avec son téton, elle me dit :
« Oh ! Madame aime ça...Hein salope t'aime te faire enculer grosse salope. Oh... Ah quel cul que t'as salope !».
Puis elle m'écarte les fesses avec ses mains et m'enfonce sa langue dans le trou du cul.
Le pharmacien se présente la bite à la main et dit :
« Nathalie veuillez me préparer la bite pour que je puisse lui défoncer son cul à cette grosse pute ».
Marie - Nathalie sort sa langue de mon cul et me crache sur l'anus, et répond :
« Oui très bien monsieur » ;
Puis elle crache sur sa grosse bite et le masturbe un peu avant de le sucer.
Le pharmacien étant très excité dit à Nathalie que ça va aller comme ça, et lui demande de bien m'écarter les fesses, ce qu elle fait. Le pharmacien positionne sa grosse bite sur ma rondelle, m'agrippe par les hanches et me pénètre sans ménagement jusqu'à la garde, ce qui a pour effet de me faire gémir et dire :
« Oh putain monsieur !... Ah... Oh oui... Oh putain ! Quelle grosse bite monsieur !... Ah... Je vous sens bien dans mon cul de salope, défoncer moi bien monsieur s'il vous plaît... J'adore me faire enculer comme une chienne. »
Nathalie, qui s'est absentée quelques instants revient et dit :
« Comme il est plus de midi, j'ai fermé l'officine, s'il y a des urgences, les clients devront sonner, comme cela nous sommes tranquilles. Puis retirant totalement sa blouse, elle n'a plus rien dessous, elle a profité de son absence pour retirer sa culotte, et se retrouve nue dans le bureau.
Le pharmacien me claque chaque fesse fortement tout en me donnant de grand coup de butoir dans le cul, Nathalie pendant ce temps me malmène les nichons, me roulant de grosses pelles bien baveuses. Puis elle se place sur le canapé face à moi, la chatte à quelques centimètres de mon visage. Sa chatte est lisse et luisante de cyprine. Elle m’attrape par les cheveux et dit :
« Lèche moi salope ! Tu aimes la bite et bien je vais te faire aimer les chattes. Allez chienne!Fais-moi miauler de plaisir pendant que mon patron te démonte le cul ».
Marie : Nathalie m'agrippe par les cheveux et me plaque le visage sur sa chatte, je dit :
« Ah non pas ça, madame s'il vous plaît je n'ai jamais fait ça, doucement ».
Nathalie m'écoute à peine, trop excitée à l 'idée que je lui bouffe sa chatte, elle me plaque la.bouche sur sa chatte toute trempée, et me.dit :
« Sort ta langue et lèche moi salope ! Je vais t'apprendre à bien bouffer de la.chatte... Allez applique-toi sale chienne, grosse truie ... Bouffe moi.la.chatte ».
Marie : « Heu... Oui heu...Très bien mademoiselle ».
Je sors.ma.langue et commence à lécher sa chatte, je sens sa cyprine couler dans ma.bouche, et je la.regarde et lui dit :
« Eh ! Mais c'est bon, en fait !».
Puis Nathalie me.plaque violemment la.tête contre sa chatte et me.dit :
« Rentre ta langue de pute dedans.et.lèche moi ».
Le pharmacien : « Ah salope ! Tu la sens ma grosse bite ... Ah quelle cul de salope... Tes vraiment une grosse cochonne toi... Ah putain tu vas me.faire jouir … Ramène ta bouche grosse pute, je vais te juter dans ta bouche de suceuse de bite ».
Marie – Je cesse de lécher Nathalie, et redressant la tête, j'ouvre grand la bouche pour recevoir la crème du praticien. Nathalie ne me laisse pas le temps de déglutir qu'elle me rattrape par les cheveux et approchant ses lèvres des miennes dit :
« Partage salope ! Moi aussi j'aime le sperme »
Et elle me force la bouche avec sa langue, pour que je partage la semence du pharmacien.
Nathalie me.lèche le.visage puis me recrache une partie du sperme dans la bouche et on déglutie toutes les deux le sperme du pharmacien.
Puis celui-ci m'agrippe par les cheveux et me dit :
« Tu crois qu'elle va se nettoyer toute seule ! Allez nettoie moi bien la bite Et j'espère pour toi que ton cul était propre sinon, tant pis pour toi, tu nettoies quand même ».
Marie: « Heu.. .Oui.très bien.monsieur, Oui heu.... Mon cul.est bien propre je le.lave tous les.matins au cas ou, vous savez. »
Nathalie remet sa blouse, et quand j'ai fini de nettoyer la bite de son patron, il se reculotte, puis la préparatrice m'aide à remettre ma guêpière, je remets ma jupe et Nathalie prend mon string trempé et nous nous retrouvons tous les trois dans l'officine.
Elle me dit : « Hé salope ! N'oublie pas ton tire-lait, je mets ton string avec, tu peux très bien sortir d'ici les fesses à l'air.»
Je récupère le sac avec l'appareil et mon sous-vêtement, lorsque le pharmacien ajoute :
« Nathalie, mettez deux savons intimes et un clystère dans le sac de madame en cadeau, elle doit souvent se laver le cul à mon avis ».
Et alors que je le remercie et m'apprête à quitter l'officine pour vous rejoindre, je l'entends me dire :
« Hé surtout n'hésitez pas ! Dès que vous vous sentez fiévreuse, venez me voir, ce sera avec plaisir que je prendrais votre température avec mon gros thermomètre ».
Une fois dehors, je regarde si je vous vois et vous arriver en voiture quelques instants plus tard, avant que je ne reste trop longtemps sur le trottoir dans cette tenue de pute. Vous étiez garé non loin de là, attendant que je sorte.
Dans la voiture, je vous raconte le plaisir que j'ai eu à m'exhiber dans l'officine, être humiliée, être enculé par le pharmacien et ma première expérience lesbienne et que j'ai aimée cela.
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