Marie ma nouvelle voisine - 25 – Lundi après-midi.
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Marie ma nouvelle voisine - 25 – Lundi après-midi.
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Très mécontent du contrat que lui a envoyé le propriétaire du sex-shop, Cello décide d'aller le voir en compagnie de Marie, mais pour lui prouver son désaccord, il ordonne à celle-ci de se vêtir comme elle le faisait avant de le connaître, à savoir soutien-gorge, culotte en coton, jupe longue et pull ras du cou.
Marie se sens incommoder d'être aussi couverte, car depuis plus d'une semaine, elle est plus souvent à poil, que vêtue. Voyant que le courrier du propriétaire à contrarier Cello, elle n'ose rien dire et c'est en silence qu'ils se rendent au magasin.
Cello gare sa voiture près du magasin. Quelques mètres de marche à pied et ils entrent. Dés qu'il les aperçoit le gérant vient vers eux, le sourire aux lèvres et dit en voyant Marie :
« Vous avez froid ce matin ? »
C. : « Absolument pas, mais je ne souhaitais pas que vous puissiez bénéficier de la vue du corps merveilleux et dénudés de Marie, car je suis très mécontent du contrat que vous m'avez fait parvenir ».
Le gérant : « Comment cela, j'ai repris ce que vous m'avez dit jeudi, je ne comprends pas »
Cello : « Vous allez vite comprendre, notre accord ne tient plus. Vous avez voulu diminuer le salaire de Marie et les primes, que Marie fasse des prestations gratuites et le pourcentage diminué. Ce n'est pas honnête. Donc Marie ne viendra pas travailler pour vous le samedi ».
Et il tourne les talons, en prenant Marie par la main pour se diriger vers la sortie.
Le gérant : « Attendez Monsieur Dame, on peut s'arranger, je reconnais que j'ai fait quelques erreurs en rédigeant le contrat, mais je peux en refaire un ».
A ce moment, Cello sais qu'il a gagné et qu'il va pouvoir exiger plus que ce qui avait été convenu la première fois. Il se retourne, reviens vers le futur patron de Marie et dit :
« Bien alors prenez de quoi écrire et noter nos exigences ».
L'homme se dirige immédiatement derrière sa caisse, prend une feuille et un stylo et dit :
« Je vous écoute !»
Cello : « Je propose que vous embauchez Marie pour un salaire de 500 euros pour 8 heures de travail, plus 100 euros la tétée avec branlette. De plus, vous lui fournirez chaque samedi une tenue sexy, qu'elle conservera et une prime de 10 pour cent sur les ventes qu'elle réalisera ».
Le gérant ne compte même pas, trop content de pouvoir récupérer Marie et de téter ses mamelles pleines de lait. Avant de partir, il va au rayon collier et laisse et prend une laisse en métal qu'il paie et ils quittent le magasin, assurés qu'ils recevront très vite le contrat d'embauche de Marie.
Une fois de retour dans la voiture, Cello dit :
C. : « Alors ma petite Marie, es-tu satisfaite de ce nouvel accord avec ton employeur ? ».
M. : « Heu... Oui monsieur Cello, puisque vous même êtes satisfait ».
C. : « Tu vas gagner au moins 800 euros pour 8 heures de boulot, c'est génial non ? »
M. : « 800 euros ? Mais vous avez dit 500 pour 8 heures »
C. : « 500 euros plus 100 pour une tétée et une tenue sexy ça coûte entre 100 et 150 euros et 10 pour cent sur le chiffre de tes ventes cela fait au minimum 800 euros »
M. : « Mais vous ne craignez pas qu'il change d'avis quand il va réfléchir ? »
C. : « Je ne crois pas, il est trop content de pouvoir te mater tous les samedis et de pouvoir téter tes grosses mamelles pendant que tu le branles. Allez rassure-toi, tu pourras t'exhiber en montrant tes pis et ton cul à tous ses clients, car je ne doute pas qu'il te choisira des tenues hyper sexy pour que tu attires la clientèle ».
M. : « Oui mais heu !... Je vais êtes excitée et vais avoir envie de me faire baiser, à m'exhiber ainsi toute la journée... Ne vous fâchez pas mais heu... Vous pourriez peut être l'autoriser à me baiser une fois au moins gratuitement non... Qu'en pensez-vous? »
C. : « C'est la pute qui veut se faire baiser qui parle, ou la candidate à un emploi, qui craint de ne pas avoir le poste ? »
M. : « Oh ! Heu !... Peut être les deux, monsieur Cello, mais je vous laisse décider, vous savez bien ce qui est bien pour moi ».
C. : « Tu as raison Marie, c'est moi qui décide... Et ta remarque est pertinente et je suis d'accord pour qu'il te baise gratuitement une fois ».
Cello prend son téléphone et appel le sex-shop et dit au gérant que pour le remercier de son accord, il pouvait noter sur le contrat qu'il pouvait baiser gratuitement Marie une fois par journée de travail.
L'homme ravi de l'appel, remercie Cello et raccroche.
M. : « Merci monsieur, vous comprenez heu... J'aurais eu du mal à tenir toute la journée à être exhibée sans me faire baiser. Heu... Je peux vous poser une question ? »
C. : « Oui bien sûr, je t'écoute! ».
M : « Pourquoi vous avez achetez une laisse métallique, il y en a une dans le vide-poche de votre voiture ? »
C : « Parce que celle-ci est plus longue, et que lorsque je te promènerais, si tu n'obéis pas je pourrais te fouetter le cul avec ».
M. : « Mais ça va me faire mal ! »
C. : « Oui ma chérie, et quand tu en auras pris un ou deux coup sur les fesses, tu seras très obéissante et puis tu m'as bien dis que tu voulais être fouettée plus durement »
Marie baisse la tête, humiliée et déçue que Cello pense à la dresser, alors qu'elle lui obéis en tout point depuis qu'elle le connaît.
Voyant l'air triste et les yeux humidifiés de Marie, Cello lui dit :
C. : « Allez fais moi un sourire, si tu es sage et obéissante, je ne te fesserais pas avec la laisse. Mais je te rappelle que tu aimes que je te fesse durement, alors que peut être tu aimeras recevoir des coups de laisse sur ton postérieur et avoir de belles marques rouges ».
Une nouvelle fois, Marie est vaincue par les paroles et les caresses de Cello, qui lui propose de rentrer se changer, pour la conduire ensuite à l'institut de beauté. Elle retire ses vêtements et sous-vêtements et enfile une petite robe d'été mi-cuisses avec boutonnage devant et des bretelles spaghettis. Cello lui permet exceptionnellement de mette un string, car elle devra rentrer seule à pied de chez l'esthéticienne.
Une fois prête, ils repartent et Cello s'arrête devant le salon de beauté. Il accompagne Marie et dit à l’esthéticienne qu'il souhaite une épilation intégrale et définitive pour Marie, comme il l'avait précisé lors de la prise de rendez-vous.
Marie se retrouve seule avec la jeune femme, qui la conduit dans une cabine de soin où elle précise qu'elle doit se mettre nue et s'allonger sur la table de soin. Marie retire sa robe et s'allonge sur la table, se recouvrant d'une grande serviette blanche prévue à cet effet.
Quand Sabine, c'est le prénom de l'esthéticienne revient, elle lui sourit, discute quelques instant avec Marie, lui posant quelques questions pour détendre Marie. Sabine prend son appareil à épilation à la lumière pulsée et retire la serviette blanche qui recouvre le corps nu de Marie.
Ce n'est pas la première fois que Marie vient dans un institut de beauté, mais c'était pour des soins de peau ou l'épilation de ses aisselles ou des jambes, mais jamais pour des endroits intimes.
Tout se passe bien, jusqu'à ce que Sabine lui demande d'écarter les cuisses pour lui épiler le pubis et les lèvres intimes. Quand elle commence à toucher celles-ci, Marie sent une douce chaleur envahir mon bas-ventre, une chaleur qui s'intensifie pendant toute la durée de l'épilation de la chatte de Marie. Puis Sabine fait se retourner Marie, pour épiler son SIF (sillon inter fessier), mais étant peu pourvue de poil à cet endroit, elle a très vite terminé son travail.
L'esthéticienne demande ensuite à Marie de se remettre sur le dos pour lui passer une crème apaisante. Marie obéit, c'est d'ailleurs ce qu'elle sait faire de mieux, et Sabine commence à masser ses aisselles, puis ses jambes remontant des chevilles jusqu'en haut de ses cuisses, Ensuite, elle commence à masser son sexe, s'attardant sur le clitoris et les lèvres intimes. Elle joue avec en les massant l'une après l'autre, en les écartant et Marie commence à mouiller de plus en plus..
Sabine fait se retourner Marie pour masser son sillon, et là, elle masse plus que de raison, ses fesses et son œillet, Marie commence à gémir et elle se repasse dans la tête les images avec Nathalie à la pharmacie. Sa chatte coule et Sabine sans aperçoit. Elle se penche alors et Marie sent les lèvres de Sabine se poser sur ses fesses, puis c'est sa langue, qui suit son sillon avant de s'attarder sur sa rosette. Soudain, elle sent son téton frotter son petit trou, et elle constate que cette coquine de Sabine à ôter sa blouse blanche et qu'elle est nue derrière elle, frottant ses tétons contre le cul de Marie. Elle est au bord de la jouissance et Sabine s'en aperçoit, aussi elle remplace son téton par son majeur, elle frôle l'anus de Marie et d'un coup, elle enfonce son doigt en totalité dans son fondement. Elle crie, mais est-ce de surprise, de douleur ou de plaisir ? Probablement des trois, mais très vite le plaisir a été le plus fort et elle jouit, comme une chienne, inondant le drap recouvrant la table.
Marie s'écroule sur la table, mais Sabine vient se placer devant elle, cuisses ouvertes et lui demande de la faire jouir à son tour. Elle s’assoit sur la table, devant son visage et la prenant par les cheveux, elle plaque son visage contre sa vulve trempée et dit :
S. : « Lèche moi salope, lèche moi la chatte, suce mon clito et bouffe moi le cul, je ne te lâcherais pas avant que j'ai jouis et maculé ton joli visage de cyprine ».
M. : « Oh oui ! Je vais dévorer ta petite chatte de gouine et t'enculer avec mes tétons et mes doigts, jusqu'à ce que tu demandes grâce ».
Marie commence par lui lécher sa chatte, aspirant ses lèvres pour les allonger, puis elle remonte sur son clitoris, glissant deux puis trois doigt dans son antre. Elle masturbe sa chatte de ma main droite, et la gauche saisit son sein droite, le caresse, le palpe de plus en plus durement, pince son téton et tire dessus. Sabine gémit de plus en plus et se tortille sous les caresses de Marie. Elle lâche son sein et la fait se retourner, pour qu'elle lui présente son cul, cul que Marie lèche et qu'elle pénètre de mon majeur sans résistance, tellement celui-ci est lubrifié de mouille et de salive. Il ne faut pas très longtemps à Marie pour la faire jouir et elles s'écroulent dans les bras l'une de l'autre, et s'embrassent. Elles restent ainsi, pendant de longues minutes.
Marie descend de la table, et remet ma robe, et alors qu'elle s'apprête à prendre mon string, l'esthéticienne lui dit :
S. : « Laisse le ici, tu n'en as pas besoin, tu te sentiras encore plus vulnérable sans rien sous ta robe et totalement lisse ».
M. : « Convaincue et obéissante, elle lui tend son petit sous-vêtements, l’embrasse à pleine bouche et quitte l'institut. Elle rentre à pied, encore excitée, et ce n'est pas le léger vent qu'elle sent sous sa robe et entre ses cuisses qui calme ses sens et son envie de sexe.
En arrivant chez Cello, Marie est trempée de sueur, car faire plus de deux kilomètres à pied par cette chaleur lui a donné chaud, et le fait de traverser une partie de la ville à pied, en jupe courte sans aucun dessous et seule, l'a également excitée et elle sens que son sexe à couler le long de ses cuisses. Elle m’apprête à retirer sa robe et à montrer sa chatte et son sillon fessier à Cello, quand celui-ci dit :
Cello : « Non pas maintenant. Tu me montreras plus tard.Va prendre une douche pour te rafraîchir et ensuite nous irons manger une grillade en ville.
Marie revient douchée et maquillée, avec la même petite robe courte et légère qu'elle avait pour se rendre chez l'esthéticienne. En ce rendant jusqu'à la voiture, qui est garée devant la maison, un coup de vent soulève la robe de Marie, et dans un réflexe, Marie rabaisse sa robe de la main. Cello le lui reproche aussitôt, en lui disant qu'elle doit laisser faire le vent et permettre que celui-ci dévoile son cul.
Ils montent en voiture, en direction du centre-ville. Cello gare sa voiture sur un parking et entraîne Marie dans le centre en espérant que d'autres coups de vent dévoileront le cul de sa soumise, et que des passants pourront admirer les fesses de la belle. Ils empruntent différentes petites rues très fréquentées, dans le but d'exhiber le postérieur de Marie. Celle-ci sent le vent sur ses cuisses et son sexe lisse. Elle craint que le vent ne soulève sa petite robe légère, car elle a en mémoire la remontrance de son maître. Bien évidement, le vent ne manque pas de lui jouer des tours et de relever son jolie postérieur à ceux et celles qui la suivent. Ce qui amuse beaucoup Cello, en voyant la gène, qui se lit sur le visage de Marie.
Arrivée au restaurant, ils s'installent à la terrasse et commande un verre de vin et une grillade salade. Marie, assise en face de la rue, garde les jambes légèrement écartées. Cello lui en fait la remarque, l'obligeant à ouvrir davantage ses cuisses, afin que lui placé dos à la rue, puisse voir son sexe lisse. Marie obéit bien sûr et s'ouvre davantage, montrant sa chatte à son maître, sachant que tout passant qui regarderait dans sa direction, verrait également son sexe.
Après le repas, sur le chemin du retour en direction du parking, Cello l'oblige par deux fois, Marie a marché devant elle, en relevant sa robe pour lui montrer ses fesses, sans se préoccuper des personnes susceptibles de les suivre. Marie une nouvelle fois humiliée, obéis à Cello et lui montre ses fesses.
Arrivée sur le parking, quasiment désert, il demande à Marie après avoir ouvert sa portière, de retirer sa robe et de rentrer dans la voiture, entièrement nue. Elle hésite, implore Cello de revenir sur sa décision, mais rien n'y fait, il lui rétorque juste qu'elle sera punie et vaincue elle retire sa robe et s’engouffre dans le véhicule pour se mettre à l'abri.
Pendant le trajet, Cello dit à Marie son mécontentement pour avoir hésiter et tenter de faire fléchir son maître. Marie ne répond pas et reste silencieuse jusqu'à leur arrivée chez Cello. Elle pense que maintenant elle est à l'abri, que son maître va garer sa véhicule dans le garage. Mais c'est mal connaître son maître, qui gare sa voiture sur le trottoir et fait descendre Marie de voiture, nue dans la rue, à la vue possible de voisin.
Cello prend son temps pour fermer à clé le véhicule et faire les quelques mètres jusqu'à la porte d'entrée de la maison. Lorsqu'elle passe devant lui pour se mettre à l'abri de regards indiscrets possible, il lui donne une claque sur les fesses. Marie va directement dans la chambre se déshabiller, car elle doit toujours être nue, chez son maître.
Pendant ce temps, Cello téléphone a Hervé et l'invite à venir boire un café. Quand il a terminé sa conversation, Cello dit à Marie :
« Prépare le café et mets deux tasses, Hervé vient boire un café avec nous et comme je suis très mécontent de ta désobéissance, tu peux mettre une gamelle par terre parce que ce soir, tu ne mérites pas de te mettre avec nous ».
M. : « . Heu ! Oui très bien monsieur Cello. Je suis désolée de vous avoir désobéis. Je ne recommencerai pas promis ».
C. : « J'accepte tes excuses, mais tu seras tout de même punie. Approche, je vais te mettre ta laisse, tu devras marcher à 4 pattes toute la.soirée ».
M. : « Heu ! Oui très bien monsieur Cello ».
A ce moment Hervé sonne à la porte. Cello tient Marie en laisse, elle est à 4 pattes complètement nue, avec juste son collier de soumise et la laisse par laquelle elle est tenue comme une chienne. Cello la tire vers la porte d entrée et ouvre la porte.Marie se sent complètement humiliée. Elle a les larmes aux yeux, mais cela lui procure une excitation qui devient de plus en plus intense. La cyprine coule entre Ses cuisses et ses seins durcissent.
Cello ouvre la porte à Hervé.
C. ; « Bonjour Hervé, entre ! Je ne te présente pas ma petite chienne, elle est punie car pas très obéissante.
Herve entre, mais il est comme estomaqué de voir sa femme, nue et tenue en laisse à 4 pattes comme une chienne. Il entre sans dire un mot, son regard ne décroche pas de Marie. Il la regarde se faisant tirer par la laisse et guider par mon maître.
C. : « Alors Hervé, comment vas tu ? Ah Marie !, Va nous chercher le café ».
En disant cela, Cello lui ôte sa laisse et lui donne une grosse tape sur les fesses. Elle va aussitôt dans la cuisine à 4 pattes chercher la caféière..
Une fois dans la cuisine, Marie se.rend compte qu'elle doit se lever pour prendre le café. Alors elle retourne à 4 pattes dans le salon pour demander à Cello, si elle peut se.lever pour faire.le.service.
M. : « Heu ! Monsieur Cello, pardon de vous déranger, mais heu ! Je dois me lever pour faire le.service, est ce que je peux ? »
Hervé la regarde bouche bée, n'en revenant toujours pas de ce qu il voit.
C. : « Oui bien sur après.le.service, tu te remettras à 4 pattes comme.une bonne chienne et tu viendras te mettre à mes.pieds . Prend une gamelle d'eau fraîche pour toi, ma petite chienne ».
M. : « Heu ! Oui bien sûr monsieur Cello ».,
Elle retourne à la cuisine, toujours à quatre pattes..
C. : « Alors Hervé, tu n'est pas très bavard, tu as l'air étonné de voir ta femme tenue en.laisse. Et bien c est sa.punition pour m'avoir désobéit aujourd’hui'hui »..
Marie revient quelques instant plus tard avec un plateau et dessus la cafetière et une carafe d'eau, Elle pose le tout sur la table basse du salon. Cello lui rattache aussitôt la laisse et dit :
« Couché ! au pied ! ».
Cello sert les cafés et met de l'eau dans la gamelle de Marie. Celle-ci se couche près de son maître et celui-ci pose la gamelle près d'elle.
« Tu vois Hervé ta femme a désobéit à un de mes ordres aujourd’hui, et sa punition et d'être traitée comme une chienne, tenue en laisse par son maître. D'ailleurs, elle va devoir boire en lapant comme un animal. Ça devrait lui servir de leçon pour les prochaines fois, tu n'es pas d accord Hervé?
Herve. : « Heu !... Et bien heu !... Si elle vous désobéit heu ! Oui enfin qu'as t-elle refuser de faire? »
Marie se met à 4 pattes aux pieds de Cello, comme une chienne obéissante et lape quelques gorgée d'eau dans sa gamelle pendant que les deux hommes discutent. Marie sent l'excitation montée en elle
C. : « Elle a refuser de montrer se mettre nue dans la voiture pour revenir du restaurant ; Mais regarde cette chienne, elle se frotte à moi, je suis sûr qu'elle mouille la salope ».
Marie écoute son maître,expliquer à Hervé sa désobéissance. De plus en plus excitée, elle commence à frotter sa chatte et son cul sur la jambe de Cello.
C. : « Regarde comme ça l'excite d'être traitée ainsi, elle ne pense qu'à une chose, se prendre une bite dans le cul ».
H. ; « Heu !... Tu crois vraiment que c'est ce qu'elle veut? »
C. ; « Voyons Hervé, ce n'est pas des puces qui la gratte, elle n'a plus de poils, Rends-toi à l'évidence, ta femme est une chienne, et je suis arrivé à temps pour la prendre en main ».
H. ; « Si tu le dis, enfin c'est tout de même ma femme ! »
C. ; « Si peu ! Marie est avant tout ma chienne, même si elle est liée à toi par le mariage, tu n'as plus aucun droit, ni pouvoir sur elle. Tu veux qu'on lui demande ? ».
H. ; « Heu ! Oui je veux bien ».
C. : « Marie, vas jusqu'à la porte, et ensuite tu reviens et tu lèches le pantalon de celui, avec qui tu veux rester.
Aussitôt, Marie se met à quatre pattes, va jusqu'à la porte et reviens et place sa tête sur l'entrejambe de Cello et lèche son pantalon.
Hervé déçu, même s'il ne se faisait pas trop d'illusion, se lève et dit à Cello :
« Tu as gagné, mais pense tout de même que le week-end, elle est avec moi ».
C. ; « Oui Hervé, je le sais, mais combien de temps accepteras tu cette situation, avant de me l'abandonner ? Au revoir Hervé, et bonne semaine ».
Hervé quitte la maison et une fois seul avec sa chienne, il lui ordonne d'aller se coucher dans la chambre d'ami, car elle ne mérite pas ce soir de dormir avec lui.
Déçue, car elle pensait que Cello, lui avait pardonnée, elle se rend dans la chambre. Cello lui retire sa laisse et son collier et dit :
« Je ne t'attache pas pour la nuit, mais je t'interdis de te caresser. Si tu me désobéis tu seras punie très sévèrement ».
Marie craignant d'être punie, se contient et s'endort, malgré l'envie de se caresser.
Très mécontent du contrat que lui a envoyé le propriétaire du sex-shop, Cello décide d'aller le voir en compagnie de Marie, mais pour lui prouver son désaccord, il ordonne à celle-ci de se vêtir comme elle le faisait avant de le connaître, à savoir soutien-gorge, culotte en coton, jupe longue et pull ras du cou.
Marie se sens incommoder d'être aussi couverte, car depuis plus d'une semaine, elle est plus souvent à poil, que vêtue. Voyant que le courrier du propriétaire à contrarier Cello, elle n'ose rien dire et c'est en silence qu'ils se rendent au magasin.
Cello gare sa voiture près du magasin. Quelques mètres de marche à pied et ils entrent. Dés qu'il les aperçoit le gérant vient vers eux, le sourire aux lèvres et dit en voyant Marie :
« Vous avez froid ce matin ? »
C. : « Absolument pas, mais je ne souhaitais pas que vous puissiez bénéficier de la vue du corps merveilleux et dénudés de Marie, car je suis très mécontent du contrat que vous m'avez fait parvenir ».
Le gérant : « Comment cela, j'ai repris ce que vous m'avez dit jeudi, je ne comprends pas »
Cello : « Vous allez vite comprendre, notre accord ne tient plus. Vous avez voulu diminuer le salaire de Marie et les primes, que Marie fasse des prestations gratuites et le pourcentage diminué. Ce n'est pas honnête. Donc Marie ne viendra pas travailler pour vous le samedi ».
Et il tourne les talons, en prenant Marie par la main pour se diriger vers la sortie.
Le gérant : « Attendez Monsieur Dame, on peut s'arranger, je reconnais que j'ai fait quelques erreurs en rédigeant le contrat, mais je peux en refaire un ».
A ce moment, Cello sais qu'il a gagné et qu'il va pouvoir exiger plus que ce qui avait été convenu la première fois. Il se retourne, reviens vers le futur patron de Marie et dit :
« Bien alors prenez de quoi écrire et noter nos exigences ».
L'homme se dirige immédiatement derrière sa caisse, prend une feuille et un stylo et dit :
« Je vous écoute !»
Cello : « Je propose que vous embauchez Marie pour un salaire de 500 euros pour 8 heures de travail, plus 100 euros la tétée avec branlette. De plus, vous lui fournirez chaque samedi une tenue sexy, qu'elle conservera et une prime de 10 pour cent sur les ventes qu'elle réalisera ».
Le gérant ne compte même pas, trop content de pouvoir récupérer Marie et de téter ses mamelles pleines de lait. Avant de partir, il va au rayon collier et laisse et prend une laisse en métal qu'il paie et ils quittent le magasin, assurés qu'ils recevront très vite le contrat d'embauche de Marie.
Une fois de retour dans la voiture, Cello dit :
C. : « Alors ma petite Marie, es-tu satisfaite de ce nouvel accord avec ton employeur ? ».
M. : « Heu... Oui monsieur Cello, puisque vous même êtes satisfait ».
C. : « Tu vas gagner au moins 800 euros pour 8 heures de boulot, c'est génial non ? »
M. : « 800 euros ? Mais vous avez dit 500 pour 8 heures »
C. : « 500 euros plus 100 pour une tétée et une tenue sexy ça coûte entre 100 et 150 euros et 10 pour cent sur le chiffre de tes ventes cela fait au minimum 800 euros »
M. : « Mais vous ne craignez pas qu'il change d'avis quand il va réfléchir ? »
C. : « Je ne crois pas, il est trop content de pouvoir te mater tous les samedis et de pouvoir téter tes grosses mamelles pendant que tu le branles. Allez rassure-toi, tu pourras t'exhiber en montrant tes pis et ton cul à tous ses clients, car je ne doute pas qu'il te choisira des tenues hyper sexy pour que tu attires la clientèle ».
M. : « Oui mais heu !... Je vais êtes excitée et vais avoir envie de me faire baiser, à m'exhiber ainsi toute la journée... Ne vous fâchez pas mais heu... Vous pourriez peut être l'autoriser à me baiser une fois au moins gratuitement non... Qu'en pensez-vous? »
C. : « C'est la pute qui veut se faire baiser qui parle, ou la candidate à un emploi, qui craint de ne pas avoir le poste ? »
M. : « Oh ! Heu !... Peut être les deux, monsieur Cello, mais je vous laisse décider, vous savez bien ce qui est bien pour moi ».
C. : « Tu as raison Marie, c'est moi qui décide... Et ta remarque est pertinente et je suis d'accord pour qu'il te baise gratuitement une fois ».
Cello prend son téléphone et appel le sex-shop et dit au gérant que pour le remercier de son accord, il pouvait noter sur le contrat qu'il pouvait baiser gratuitement Marie une fois par journée de travail.
L'homme ravi de l'appel, remercie Cello et raccroche.
M. : « Merci monsieur, vous comprenez heu... J'aurais eu du mal à tenir toute la journée à être exhibée sans me faire baiser. Heu... Je peux vous poser une question ? »
C. : « Oui bien sûr, je t'écoute! ».
M : « Pourquoi vous avez achetez une laisse métallique, il y en a une dans le vide-poche de votre voiture ? »
C : « Parce que celle-ci est plus longue, et que lorsque je te promènerais, si tu n'obéis pas je pourrais te fouetter le cul avec ».
M. : « Mais ça va me faire mal ! »
C. : « Oui ma chérie, et quand tu en auras pris un ou deux coup sur les fesses, tu seras très obéissante et puis tu m'as bien dis que tu voulais être fouettée plus durement »
Marie baisse la tête, humiliée et déçue que Cello pense à la dresser, alors qu'elle lui obéis en tout point depuis qu'elle le connaît.
Voyant l'air triste et les yeux humidifiés de Marie, Cello lui dit :
C. : « Allez fais moi un sourire, si tu es sage et obéissante, je ne te fesserais pas avec la laisse. Mais je te rappelle que tu aimes que je te fesse durement, alors que peut être tu aimeras recevoir des coups de laisse sur ton postérieur et avoir de belles marques rouges ».
Une nouvelle fois, Marie est vaincue par les paroles et les caresses de Cello, qui lui propose de rentrer se changer, pour la conduire ensuite à l'institut de beauté. Elle retire ses vêtements et sous-vêtements et enfile une petite robe d'été mi-cuisses avec boutonnage devant et des bretelles spaghettis. Cello lui permet exceptionnellement de mette un string, car elle devra rentrer seule à pied de chez l'esthéticienne.
Une fois prête, ils repartent et Cello s'arrête devant le salon de beauté. Il accompagne Marie et dit à l’esthéticienne qu'il souhaite une épilation intégrale et définitive pour Marie, comme il l'avait précisé lors de la prise de rendez-vous.
Marie se retrouve seule avec la jeune femme, qui la conduit dans une cabine de soin où elle précise qu'elle doit se mettre nue et s'allonger sur la table de soin. Marie retire sa robe et s'allonge sur la table, se recouvrant d'une grande serviette blanche prévue à cet effet.
Quand Sabine, c'est le prénom de l'esthéticienne revient, elle lui sourit, discute quelques instant avec Marie, lui posant quelques questions pour détendre Marie. Sabine prend son appareil à épilation à la lumière pulsée et retire la serviette blanche qui recouvre le corps nu de Marie.
Ce n'est pas la première fois que Marie vient dans un institut de beauté, mais c'était pour des soins de peau ou l'épilation de ses aisselles ou des jambes, mais jamais pour des endroits intimes.
Tout se passe bien, jusqu'à ce que Sabine lui demande d'écarter les cuisses pour lui épiler le pubis et les lèvres intimes. Quand elle commence à toucher celles-ci, Marie sent une douce chaleur envahir mon bas-ventre, une chaleur qui s'intensifie pendant toute la durée de l'épilation de la chatte de Marie. Puis Sabine fait se retourner Marie, pour épiler son SIF (sillon inter fessier), mais étant peu pourvue de poil à cet endroit, elle a très vite terminé son travail.
L'esthéticienne demande ensuite à Marie de se remettre sur le dos pour lui passer une crème apaisante. Marie obéit, c'est d'ailleurs ce qu'elle sait faire de mieux, et Sabine commence à masser ses aisselles, puis ses jambes remontant des chevilles jusqu'en haut de ses cuisses, Ensuite, elle commence à masser son sexe, s'attardant sur le clitoris et les lèvres intimes. Elle joue avec en les massant l'une après l'autre, en les écartant et Marie commence à mouiller de plus en plus..
Sabine fait se retourner Marie pour masser son sillon, et là, elle masse plus que de raison, ses fesses et son œillet, Marie commence à gémir et elle se repasse dans la tête les images avec Nathalie à la pharmacie. Sa chatte coule et Sabine sans aperçoit. Elle se penche alors et Marie sent les lèvres de Sabine se poser sur ses fesses, puis c'est sa langue, qui suit son sillon avant de s'attarder sur sa rosette. Soudain, elle sent son téton frotter son petit trou, et elle constate que cette coquine de Sabine à ôter sa blouse blanche et qu'elle est nue derrière elle, frottant ses tétons contre le cul de Marie. Elle est au bord de la jouissance et Sabine s'en aperçoit, aussi elle remplace son téton par son majeur, elle frôle l'anus de Marie et d'un coup, elle enfonce son doigt en totalité dans son fondement. Elle crie, mais est-ce de surprise, de douleur ou de plaisir ? Probablement des trois, mais très vite le plaisir a été le plus fort et elle jouit, comme une chienne, inondant le drap recouvrant la table.
Marie s'écroule sur la table, mais Sabine vient se placer devant elle, cuisses ouvertes et lui demande de la faire jouir à son tour. Elle s’assoit sur la table, devant son visage et la prenant par les cheveux, elle plaque son visage contre sa vulve trempée et dit :
S. : « Lèche moi salope, lèche moi la chatte, suce mon clito et bouffe moi le cul, je ne te lâcherais pas avant que j'ai jouis et maculé ton joli visage de cyprine ».
M. : « Oh oui ! Je vais dévorer ta petite chatte de gouine et t'enculer avec mes tétons et mes doigts, jusqu'à ce que tu demandes grâce ».
Marie commence par lui lécher sa chatte, aspirant ses lèvres pour les allonger, puis elle remonte sur son clitoris, glissant deux puis trois doigt dans son antre. Elle masturbe sa chatte de ma main droite, et la gauche saisit son sein droite, le caresse, le palpe de plus en plus durement, pince son téton et tire dessus. Sabine gémit de plus en plus et se tortille sous les caresses de Marie. Elle lâche son sein et la fait se retourner, pour qu'elle lui présente son cul, cul que Marie lèche et qu'elle pénètre de mon majeur sans résistance, tellement celui-ci est lubrifié de mouille et de salive. Il ne faut pas très longtemps à Marie pour la faire jouir et elles s'écroulent dans les bras l'une de l'autre, et s'embrassent. Elles restent ainsi, pendant de longues minutes.
Marie descend de la table, et remet ma robe, et alors qu'elle s'apprête à prendre mon string, l'esthéticienne lui dit :
S. : « Laisse le ici, tu n'en as pas besoin, tu te sentiras encore plus vulnérable sans rien sous ta robe et totalement lisse ».
M. : « Convaincue et obéissante, elle lui tend son petit sous-vêtements, l’embrasse à pleine bouche et quitte l'institut. Elle rentre à pied, encore excitée, et ce n'est pas le léger vent qu'elle sent sous sa robe et entre ses cuisses qui calme ses sens et son envie de sexe.
En arrivant chez Cello, Marie est trempée de sueur, car faire plus de deux kilomètres à pied par cette chaleur lui a donné chaud, et le fait de traverser une partie de la ville à pied, en jupe courte sans aucun dessous et seule, l'a également excitée et elle sens que son sexe à couler le long de ses cuisses. Elle m’apprête à retirer sa robe et à montrer sa chatte et son sillon fessier à Cello, quand celui-ci dit :
Cello : « Non pas maintenant. Tu me montreras plus tard.Va prendre une douche pour te rafraîchir et ensuite nous irons manger une grillade en ville.
Marie revient douchée et maquillée, avec la même petite robe courte et légère qu'elle avait pour se rendre chez l'esthéticienne. En ce rendant jusqu'à la voiture, qui est garée devant la maison, un coup de vent soulève la robe de Marie, et dans un réflexe, Marie rabaisse sa robe de la main. Cello le lui reproche aussitôt, en lui disant qu'elle doit laisser faire le vent et permettre que celui-ci dévoile son cul.
Ils montent en voiture, en direction du centre-ville. Cello gare sa voiture sur un parking et entraîne Marie dans le centre en espérant que d'autres coups de vent dévoileront le cul de sa soumise, et que des passants pourront admirer les fesses de la belle. Ils empruntent différentes petites rues très fréquentées, dans le but d'exhiber le postérieur de Marie. Celle-ci sent le vent sur ses cuisses et son sexe lisse. Elle craint que le vent ne soulève sa petite robe légère, car elle a en mémoire la remontrance de son maître. Bien évidement, le vent ne manque pas de lui jouer des tours et de relever son jolie postérieur à ceux et celles qui la suivent. Ce qui amuse beaucoup Cello, en voyant la gène, qui se lit sur le visage de Marie.
Arrivée au restaurant, ils s'installent à la terrasse et commande un verre de vin et une grillade salade. Marie, assise en face de la rue, garde les jambes légèrement écartées. Cello lui en fait la remarque, l'obligeant à ouvrir davantage ses cuisses, afin que lui placé dos à la rue, puisse voir son sexe lisse. Marie obéit bien sûr et s'ouvre davantage, montrant sa chatte à son maître, sachant que tout passant qui regarderait dans sa direction, verrait également son sexe.
Après le repas, sur le chemin du retour en direction du parking, Cello l'oblige par deux fois, Marie a marché devant elle, en relevant sa robe pour lui montrer ses fesses, sans se préoccuper des personnes susceptibles de les suivre. Marie une nouvelle fois humiliée, obéis à Cello et lui montre ses fesses.
Arrivée sur le parking, quasiment désert, il demande à Marie après avoir ouvert sa portière, de retirer sa robe et de rentrer dans la voiture, entièrement nue. Elle hésite, implore Cello de revenir sur sa décision, mais rien n'y fait, il lui rétorque juste qu'elle sera punie et vaincue elle retire sa robe et s’engouffre dans le véhicule pour se mettre à l'abri.
Pendant le trajet, Cello dit à Marie son mécontentement pour avoir hésiter et tenter de faire fléchir son maître. Marie ne répond pas et reste silencieuse jusqu'à leur arrivée chez Cello. Elle pense que maintenant elle est à l'abri, que son maître va garer sa véhicule dans le garage. Mais c'est mal connaître son maître, qui gare sa voiture sur le trottoir et fait descendre Marie de voiture, nue dans la rue, à la vue possible de voisin.
Cello prend son temps pour fermer à clé le véhicule et faire les quelques mètres jusqu'à la porte d'entrée de la maison. Lorsqu'elle passe devant lui pour se mettre à l'abri de regards indiscrets possible, il lui donne une claque sur les fesses. Marie va directement dans la chambre se déshabiller, car elle doit toujours être nue, chez son maître.
Pendant ce temps, Cello téléphone a Hervé et l'invite à venir boire un café. Quand il a terminé sa conversation, Cello dit à Marie :
« Prépare le café et mets deux tasses, Hervé vient boire un café avec nous et comme je suis très mécontent de ta désobéissance, tu peux mettre une gamelle par terre parce que ce soir, tu ne mérites pas de te mettre avec nous ».
M. : « . Heu ! Oui très bien monsieur Cello. Je suis désolée de vous avoir désobéis. Je ne recommencerai pas promis ».
C. : « J'accepte tes excuses, mais tu seras tout de même punie. Approche, je vais te mettre ta laisse, tu devras marcher à 4 pattes toute la.soirée ».
M. : « Heu ! Oui très bien monsieur Cello ».
A ce moment Hervé sonne à la porte. Cello tient Marie en laisse, elle est à 4 pattes complètement nue, avec juste son collier de soumise et la laisse par laquelle elle est tenue comme une chienne. Cello la tire vers la porte d entrée et ouvre la porte.Marie se sent complètement humiliée. Elle a les larmes aux yeux, mais cela lui procure une excitation qui devient de plus en plus intense. La cyprine coule entre Ses cuisses et ses seins durcissent.
Cello ouvre la porte à Hervé.
C. ; « Bonjour Hervé, entre ! Je ne te présente pas ma petite chienne, elle est punie car pas très obéissante.
Herve entre, mais il est comme estomaqué de voir sa femme, nue et tenue en laisse à 4 pattes comme une chienne. Il entre sans dire un mot, son regard ne décroche pas de Marie. Il la regarde se faisant tirer par la laisse et guider par mon maître.
C. : « Alors Hervé, comment vas tu ? Ah Marie !, Va nous chercher le café ».
En disant cela, Cello lui ôte sa laisse et lui donne une grosse tape sur les fesses. Elle va aussitôt dans la cuisine à 4 pattes chercher la caféière..
Une fois dans la cuisine, Marie se.rend compte qu'elle doit se lever pour prendre le café. Alors elle retourne à 4 pattes dans le salon pour demander à Cello, si elle peut se.lever pour faire.le.service.
M. : « Heu ! Monsieur Cello, pardon de vous déranger, mais heu ! Je dois me lever pour faire le.service, est ce que je peux ? »
Hervé la regarde bouche bée, n'en revenant toujours pas de ce qu il voit.
C. : « Oui bien sur après.le.service, tu te remettras à 4 pattes comme.une bonne chienne et tu viendras te mettre à mes.pieds . Prend une gamelle d'eau fraîche pour toi, ma petite chienne ».
M. : « Heu ! Oui bien sûr monsieur Cello ».,
Elle retourne à la cuisine, toujours à quatre pattes..
C. : « Alors Hervé, tu n'est pas très bavard, tu as l'air étonné de voir ta femme tenue en.laisse. Et bien c est sa.punition pour m'avoir désobéit aujourd’hui'hui »..
Marie revient quelques instant plus tard avec un plateau et dessus la cafetière et une carafe d'eau, Elle pose le tout sur la table basse du salon. Cello lui rattache aussitôt la laisse et dit :
« Couché ! au pied ! ».
Cello sert les cafés et met de l'eau dans la gamelle de Marie. Celle-ci se couche près de son maître et celui-ci pose la gamelle près d'elle.
« Tu vois Hervé ta femme a désobéit à un de mes ordres aujourd’hui, et sa punition et d'être traitée comme une chienne, tenue en laisse par son maître. D'ailleurs, elle va devoir boire en lapant comme un animal. Ça devrait lui servir de leçon pour les prochaines fois, tu n'es pas d accord Hervé?
Herve. : « Heu !... Et bien heu !... Si elle vous désobéit heu ! Oui enfin qu'as t-elle refuser de faire? »
Marie se met à 4 pattes aux pieds de Cello, comme une chienne obéissante et lape quelques gorgée d'eau dans sa gamelle pendant que les deux hommes discutent. Marie sent l'excitation montée en elle
C. : « Elle a refuser de montrer se mettre nue dans la voiture pour revenir du restaurant ; Mais regarde cette chienne, elle se frotte à moi, je suis sûr qu'elle mouille la salope ».
Marie écoute son maître,expliquer à Hervé sa désobéissance. De plus en plus excitée, elle commence à frotter sa chatte et son cul sur la jambe de Cello.
C. : « Regarde comme ça l'excite d'être traitée ainsi, elle ne pense qu'à une chose, se prendre une bite dans le cul ».
H. ; « Heu !... Tu crois vraiment que c'est ce qu'elle veut? »
C. ; « Voyons Hervé, ce n'est pas des puces qui la gratte, elle n'a plus de poils, Rends-toi à l'évidence, ta femme est une chienne, et je suis arrivé à temps pour la prendre en main ».
H. ; « Si tu le dis, enfin c'est tout de même ma femme ! »
C. ; « Si peu ! Marie est avant tout ma chienne, même si elle est liée à toi par le mariage, tu n'as plus aucun droit, ni pouvoir sur elle. Tu veux qu'on lui demande ? ».
H. ; « Heu ! Oui je veux bien ».
C. : « Marie, vas jusqu'à la porte, et ensuite tu reviens et tu lèches le pantalon de celui, avec qui tu veux rester.
Aussitôt, Marie se met à quatre pattes, va jusqu'à la porte et reviens et place sa tête sur l'entrejambe de Cello et lèche son pantalon.
Hervé déçu, même s'il ne se faisait pas trop d'illusion, se lève et dit à Cello :
« Tu as gagné, mais pense tout de même que le week-end, elle est avec moi ».
C. ; « Oui Hervé, je le sais, mais combien de temps accepteras tu cette situation, avant de me l'abandonner ? Au revoir Hervé, et bonne semaine ».
Hervé quitte la maison et une fois seul avec sa chienne, il lui ordonne d'aller se coucher dans la chambre d'ami, car elle ne mérite pas ce soir de dormir avec lui.
Déçue, car elle pensait que Cello, lui avait pardonnée, elle se rend dans la chambre. Cello lui retire sa laisse et son collier et dit :
« Je ne t'attache pas pour la nuit, mais je t'interdis de te caresser. Si tu me désobéis tu seras punie très sévèrement ».
Marie craignant d'être punie, se contient et s'endort, malgré l'envie de se caresser.
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