Marie ma nouvelle voisine - 29 – Vendredi et Samedi
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie ma nouvelle voisine - 29 – Vendredi et Samedi
Le début de la journée du vendredi commence comme les autres jours de la semaine, jusqu'à l'arrivée des jeunes garçons. C'est la dernière fois, qu'ils vont nourrir Marie, car la semaine suivante, ils seront tous partis en vacances à l'exception d'Alban. Marie est encore plus excitée car elle veut vraiment leur laisser un excellent souvenir en les pompant encore mieux que les autres fois. De plus avec ses seins gonflés de lait, ses tétons sont en permanence érigés et très sensibles.
Ils sont accueillis par Cello qui les fait pénétrer dans le séjour. Marie est sur le canapé, en peignoir. Son vêtement est largement ouvert sur sa poitrine, car le frôlement du tissu sur ses pis l'excite trop pour supporter un vêtement. Ses seins sont très gros et elle est passée du 90 E au 95 F.
Elle se lève et va vers les jeunes pour leur faire la bise, et ces coquins ne se gênent pas pour toucher et même peloter les mamelles pleines de la soumise. Alban le premier des jeunes, dit à Marie :
A. : « Tes outres ont l'air bien pleines ce matin, je peux me désaltérer avant de me faire pomper ? »
M. : « Oh oui ! Cela va me soulager, car ils sont tellement pleins que cela me fait mal »
Alban prend Marie par la main et l'entraîne sur le canapé. Il lui retire son peignoir et se penche sur le pis droit de Marie et commence à téter. De son côté Marie ne reste pas inactive et sort le sexe bandé du garçon et commence à le caresser lentement.
Au bout de 5 minutes environ, il demande à la femelle de le sucer, Marie s'agenouille alors entre les cuisses du jeune homme et lèche le gland avant de le prendre en bouche jusqu'à ce qu'il éjacule dans le verre. Ses quatre camarades procéderont un peu de la même manière, et c'est les seins vidés par les différentes tétées que Marie boit le verre de foutre. Ses mamelles qui étaient si tendues sont maintenant un peu flasques. Mais avec le traitement qu'elle suit, elles se rempliront vite.
Après la pause-café devenue habituelle, Cello pose les cartes sur la table et c'est Vincent qui choisit. Jusqu'à présent, ils ont eu la chance de ne pas tirer deux fois la même carte, et ils espèrent que le sort sera en leur faveur et qu'ils découvriront ce que leur réserve la quatrième carte. Vincent hésite et se décide pour une carte. Il la retourne et lit :
« *Marie est un piano*»
Cello explique aux garçons, pendant que Marie débarrasse la table, qu'ils pourront caresser, masturber, pincer et même gifler Marie qui sera allongée nue les cuisses ouvertes et qu'ils pourront se branler sur son corps.
Marie monte sur la table, aidée par Cello, s'allonge et écarte les jambes. Les garçons se placent autour de la table et commencent à caresser Marie. Elle sent les dix mains caresser son corps, des doigts qui pincent ses tétons et d'autres qui lui pénètrent le sexe, l'anus et la bouche. Marie setortille dans tous les sens sous les cinquante doigts qui caressent, malaxent, pincent et même giflent les mamelles de leur femelle. Ils finissent par se branler et éjaculer sur les seins, le visage, les cheveux et le sexe de la soumise.
Après le départ des garçons, Alban s'occupe de la piscine pendant que Marie va se doucher. Le reste de la journée est occupé à la ballade de Marie, le sport en piscine et le bronzage.
Avant le départ d'Alban, pour le week-end, Cello lui demande de surveiller l'arrivée d'Hervé, car il veut aller le voir en compagnie de sa femme. Lorsque le voisin arrive, Alban prévient Marie et Cello et leur souhaite un bon week-end avant de partir. Cello prend alors la femme de son voisin parle main et ils se rendent chez Hervé.
Hervé ouvre la porte, les accueille et les fait entrer dans le séjour. Il regarde sa femme. Celle-ci est vêtue d'une petite robe hyper courte et très décolletée, cachant à peine ses fesses, son sexe et sa poitrine gonflée de lait. Et encore, ses nichons étaient davantage pleins il y a quelques heures.
Hervé leur sert un verre et dit :
« Pourquoi avez-vous mis ces portraits de Marie, vous savez que je reçois ma famille et des amis dimanche pour mon anniversaire ».
C. : « Tu ne trouves pas que Marie est ravissante sur ses portraits grandeurs nature ? »
H. : « Si mais ce n'est pas la question, que vont penser mes invités? »
C. : « Marie assume son statut de soumise et toi, tu dois montrer que tu acceptes cette situation. Tu sais, il vaut mieux passer pour un mari tolérant et caudauliste, que pour un mari trompé et cocu ».
H. : « Oui mais quand même ! Que vont dire mes parents, ma sœur et mon beau-frère ?»
M. : « Oh tu sais ta mère et ta sœur, m'ont toujours trouvée trop timide parce que je ne voulais pas faire de naturisme, je vais ainsi leur montrer qu'elles sont maintenant plus coincées que moi, et que je peux même baiser leur mari ».
H. : « Tu ne veux tout de même pas dire que tu veux faire l'amour avec mon père et mon beau-frère? »
M. : « Je vais me gêner, depuis le temps que je fantasme sur ton père, j'espère bien me prendre sa grosse queue dans le cul ».
Hervé voyant que Marie est déterminée, n'insiste pas et il change de sujet. Il demande à sa femme :
H. : « Ta poitrine a encore grossi ? »
M. : « Oui Laurent m'a donné un traitement pour gorger mes mamelles de lait ».
Hervé ne comprend plus du tout son épouse, elle qui était complexée par la grosseur de sa poitrine, elle accepte un traitement qui lui gonfle encore plus ses pis, les rendant encore plus impressionnants qu'avant. Deux gros ballons greffés sur son torse...Il aborde alors l'organisation du repas. Cello le rassure en lui disant qu'il a tout prévu et que le traiteur arrivera dimanche matin vers 10 heures pour tout mettre en place.
Lorsque Cello est sur le point de partir, il propose à Hervé de garder Marie pour la soirée, sachant que le lendemain matin, elle devra se lever de bonne heure, car elle travaille dans le magasin de lingerie. Hervé décline l'offre de Cello, disant qu'il est fatigué de sa dure semaine et qu'il peut garder Marie. Cello quitte Hervé en prenant par la main l'épouse de celui-ci. Le couple passe une soirée tranquille, car demain Marie a sa première journée de travail.
Le lendemain matin, c'est Cello qui réveille Marie. Il l'embrasse et lui dit :
C. : « Bonjour ma chérie, il est l'heure de se lever ! »
M. : « Déjà, mais quelle heure est-il ? »
C. : « 7 heures, ma belle et nous sommes samedi et aujourd'hui tu travailles au sex-shop ».
M. : « Bonjour Monsieur Cello ! Vous savez j'ai un peu peur de cette première journée, mais aussi excitée de connaître de nouvelles sensations ».
Après le petit-déjeuner et la douche, Cello, qui est prêt à conduire Marie, sert deux tasses de café avant de partir. Marie apparaît coiffée, maquillée, parfumée et nue.
M. : « Quelle robe je mets ce matin pour aller à la boutique ? »
C. : « Mais tu es parfaite ainsi, et puis le gérant t'offre une tenue par jour de travail. Tu mets ton imper court et on y va ! »
Marie boit son café, et enfile l'imperméable court, vêtement qu'elle ne prend pas la peine de fermer pour gagner la voiture. Elle fait le voyage exposée aux camionneurs, automobilistes, cyclistes et piétons. Elle a écarté ses cuisses et laisse Cello lui caresser ses mamelles gonflées de lait pendant le voyage. En arrivant devant le magasin, elle prend juste la précaution de rapprocher les pans du vêtement et de nouer la ceinture. Ils rentrent dans la boutique par une porte située à l'arrière du magasin, celui-ci n'ouvrant que dans une heure.
Le gérant les accueille, heureux de voir que Marie va travailler pour lui. Cello souhaite choisir une tenue pour l'anniversaire de son mari le lendemain. Le gérant laisse le couple se promener dans les rayons. Cello choisit une robe style tunique romaine, nouée sur une épaule, laissant l'autre nue ainsi qu'une partie du sein gorgé de lait. Le tissu est opaque mais léger et on peut deviner le téton dressé de Marie. La robe est ouverte sur les deux côtés à partir des hanches, dévoilant à chaque pas les cuisses et les fesses de la femelle. Elle retire la robe, afin que Cello la rapporte chez lui. Marie est de nouveau nue, et le gérant arrive avec une robe rouge, hyper-courte et décolletée jusqu'au nombril.
G. : « Vous porterez cette robe aujourd'hui, et vous repartirez avec ce soir, mais pour l'instant il est temps de la téter, avant d'ouvrir le magasin ».
Cello règle le montant de la tunique romaine, embrasse sa belle et la laisse avec le vieux cochon.
Le gérant du magasin entraîne Marie dans son bureau, dès le départ de Cello. Marie s’assoit sur le canapé et lui se place près d'elle, s'allongeant à moitié sur elle. Il a le visage juste à hauteur des pis de sa nouvelle vendeuse. Celle-ci, ouvre le pantalon de son patron et sort un sexe à demi bandé.
L'homme commence à pomper le sein droit de Marie, parfois il s'arrête de sucer le pis pour le mordiller ou le lécher. De son côté, Marie branle la bite de l'homme, ou malaxe ses couilles. Elle est de plus en plus excitée, à cause des proportions du gérant, qui a un sexe long et fin et des couilles poilues, grosses comme des clémentines.
Au bout d'un quart d'heure, le patron dit à Marie :
« Viens me sucer ! ».
Marie se place immédiatement entre les jambes de l'homme, lèche son gland décalotté et le prend en bouche. Parfois, elle stoppe la fellation pour lécher les couilles du gérant. Elle est tentée de les gober, mais elle se dit :
« Non ! Pas dés le premier jour, que va-t-il penser ! »
Elle le reprend en bouche accélérant les vas et viens dans sa bouche, jusqu'à ce que l'homme décharge sa crème dans son gosier.
Son patron lui indique un lavabo avec un gobelet, un tube de dentifrice et une brosse à dents neuve. Marie se lave les dents, se rince la bouche et rejoint l'homme derrière sa caisse pour enfiler la robe rouge qui lui est destinée.
Elle se regarde dans une glace du magasin. La robe est si courte que la moitié de ses fesses est visible, et laisse voir ses lèvres intimes. Quand à sa poitrine, le décolleté laisse voir les tétons et la moitié de ses aréoles. Elle pense alors :
« Je ressemble vraiment à une putain ! »
Et elle sent aussitôt que son sexe s'humidifie.
Pendant la première heure de travail, un seul client a passé le seuil de la porte. D'abord étonné et surpris de voir Marie lui demander ce qu'il désirait, il lui a répondu,
« Rien de spécial, je regarde! »
M. : « Bien je vous laisse, mais n'hésitez pas à venir me voir, si vous avez besoin d'un renseignement ».
Marie le laisse faire son tour, jusqu'à ce que le gérant qui a compris que le client venait juste par curiosité, fait une annonce au micro :
« Aujourd'hui, sur présentation de votre ticket de caisse à notre vendeuse, celle-ci se fera une joie de se laisser caresser ».
Marie est surprise de l'annonce, mais elle se dit :
« Après tout, si cela peut faire gonfler le chiffre d'affaires ! »
Le client prend un gadget à 20 euros et passe à la caisse pour en savoir plus. Le gérant lui explique qu'il faut un minimum de 50 euros d'achat et que le temps passé avec la vendeuse est de 10% du montant. Par exemple 50 euros, 5 minutes avec Marie, 100 euros, 10 minutes. L'homme repart dans les rayons et revient avec 90 euros d'achats supplémentaires. Il paie les 110 euros du et le gérant lui dit :
G. : « Vous avez le droit de peloter ma vendeuse pendant 10 minutes ».
Marie en voyant le client régler ses achats, revient voir son patron, qui lui dit :
« Monsieur a le droit de vous caresser et de vous peloter pendant 10 minutes, allez dans la cabine de visionnage numéro un ».
Marie entraîne son client dans la cabine. La porte à peine refermée,il saute sur elle pour lui caresser les seins, puis les fesses et la chatte. Marie se laisse faire, elle a envie de déboutonner le client et de le sucer, mais cela ne fait pas partie du contrat, aussi à contre cœur, elle s’abstient. Au bout de 10 minutes la lumière de la cabine s'éteint et le couple sort de celle-ci.
Le client quitte la boutique avec ses achats et Marie retourne s'exhiber dans le magasin, où quelques autres clients flânent dans les rayons. Il y a un jeune couple qui a déjà choisi plusieurs gadgets et n'a pas besoin de Marie. Un couple de quadragénaires dont la femme porte dans ses bras plusieurs tenues sexy s'y trouve aussi. Marie se dirige alors vers un client quand elle aperçoit Laurent rentrer dans le magasin. Elle se dirige aussitôt vers lui, avec un large sourire.
M. : « Bonjour monsieur Laurent, cela me fait plaisir de vous voir. Venez, je vais vous présenter à mon patron, après je m'occuperais de vous »
L. : « C'est pour cela que je suis venu justement »
Marie présente son ami au gérant :
« Permettez-moi de vous présentez monsieur Laurent, c'est un ami de monsieur Cello et aussi de mon mari, et c'est lui qui a pensé à me prescrire un médicament pour gorger mes mamelles de lait »
G. : « Bonjour monsieur, très heureux de faire votre connaissance.Vous avez eu une très bonne idée de faire allaiter Marie, cela lui donne des pis énormes et bien fermes ».
M. : « Oui et il a influencé mon mari en présentant votre boutique comme un magasin de lingerie et en vous recommandant auprès de lui ».
G. : « Alors je suis votre débiteur. Prenez ce que vous voulez, je vous l'offre ».
L. : « Ce que je veux, c'est la bouche de Marie, je suis venu pour que cette salope me taille une pipe, car j'ai les bourses pleines ».
G. : « Ce qui est dit, est dit ! Marie conduisez votre ami dans la cabine numéro un, vous serez tranquille pour pomper monsieur ».
Marie prend Laurent par la main et le conduit dans la cabine et aussitôt enfermés, elle s'agenouille et dégrafe le pantalon de son ami.
L. : « Fais-moi une cravate de notaire avant de me sucer, je veux sentir ma bite entre tes gros pis pleins de lait ».
Marie dégage ses mamelles du haut de sa robe, et prend la queue de Laurent. Elle crache plusieurs fois sur ses seins pour bien lubrifier et que le sexe de son ami glisse parfaitement entre ses pis.
Marie donne des petits coups de langue sur le gland de Laurent, quand elle peut. Après 5 minutes de branlette espagnole, Marie suce le gland avant de lécher le sexe sur toute sa longueur. Puis elle prend la bite en totalité dans sa bouche. Elle est devenue une experte de la « gorge profonde ».
Parfois, elle délaisse la bite de Laurent pour prendre en bouche ses couilles. Marie termine par reprendre le sexe de l'homme jusqu'à éjaculation de Laurent dans son gosier. Elle s'efforce de tout avaler, sans en perdre une seule goutte. Laurent se réajuste et Marie remet le haut de sa robe, cachant un tiers de sa poitrine avant de sortir de la cabine. Avant de partir il va saluer le gérant du magasin et quitte le magasin.
Après un nouveau passage dans la cabine avec un client, le gérant ferme la boutique pour une heure. Il est seul maintenant avec sa vendeuse. Il lui ordonne :
« Allez ma belle ! Fous-toi à poil que je te baisse sur le comptoir. Il attrape Marie par les hanches, la retourne et la force à se pencher contre le comptoir. Il lui écarte les cuisses et embroche sa nouvelle vendeuse. Marie est tellement humide que le sexe du gérant glisse dans la chatte de Marie. Elle savoure ce membre viril qui la pénètre, elle en avait tellement envie.
« Oh oui ! c’est trop bon ! Oui baisez moi plus fort ! Encore ! »
L’homme, excité par les encouragements de sa vendeuse, la pillonne pendant de longues minutes. Marie jouit une première fois, puis une seconde avant de réclamer :
« S’il vous plaît prenez mon cul ! J’ai envie de sentir votre pieu dans mon cul de salope ».
Le gérant ne résiste pas et immédiatement il se retire de la chatte de Marie, et encule la belle aussitôt. Il défonce le cul de la soumise, tout en lui claquant les fesses durement.
Il faut peu de temps à Marie pour jouir une troisième fois, et sentir l’homme se répandre dans ses entrailles. Lorsque l’homme se retire, Marie s’agenouille et nettoie la bite de son patron avant de se redresser et de déposer un baiser sur la joue du gérant.
« Merci monsieur, j’en avais vraiment besoin ».
Il reste le temps de la pause, à se reposer, avant d’ouverture du magasin. L’après-midi se déroule comme la matinée, sauf que Marie passe plus de temps dans la cabine à se faire peloter qu’à déambuler dans les rayons. Lorsque arrive le moment de la fermeture du magasin, le gérant esttrès satisfait du chiffre d’affaire effectué dans la journée. Il remercie Marie pour son dévouement avant de l’entraîner dans son bureau pour la téter. Il pompe les mamelles pleines de Marie, pendant de longue minutes jusqu’à ce qu’il éjacule dans la main de Marie qui le branlait pendant l’allaitement. Elle lèche ses doigts puis lèche le gland du vieil homme afin de ne pas en perdre une goutte et de bien nettoyer la queue de l’homme. Elle ne prend même pas le temps de réajuster sa robe. Elle pose son imper sur ses épaules et quitte la boutique, sachant que Cello l’attend dans sa voiture près de l’entrée.
Effectivement, son maître est là. Avant de monter dans la voiture, elle retire son imper et rentre dans l’automobile, les outres à l’air. Pendant le trajet, elle raconte comment s’est passée sa journée et une fois arrivés dans la maison de Cello, ils passent une soirée tranquille, car demain une journée éprouvante attend Marie.
Ils sont accueillis par Cello qui les fait pénétrer dans le séjour. Marie est sur le canapé, en peignoir. Son vêtement est largement ouvert sur sa poitrine, car le frôlement du tissu sur ses pis l'excite trop pour supporter un vêtement. Ses seins sont très gros et elle est passée du 90 E au 95 F.
Elle se lève et va vers les jeunes pour leur faire la bise, et ces coquins ne se gênent pas pour toucher et même peloter les mamelles pleines de la soumise. Alban le premier des jeunes, dit à Marie :
A. : « Tes outres ont l'air bien pleines ce matin, je peux me désaltérer avant de me faire pomper ? »
M. : « Oh oui ! Cela va me soulager, car ils sont tellement pleins que cela me fait mal »
Alban prend Marie par la main et l'entraîne sur le canapé. Il lui retire son peignoir et se penche sur le pis droit de Marie et commence à téter. De son côté Marie ne reste pas inactive et sort le sexe bandé du garçon et commence à le caresser lentement.
Au bout de 5 minutes environ, il demande à la femelle de le sucer, Marie s'agenouille alors entre les cuisses du jeune homme et lèche le gland avant de le prendre en bouche jusqu'à ce qu'il éjacule dans le verre. Ses quatre camarades procéderont un peu de la même manière, et c'est les seins vidés par les différentes tétées que Marie boit le verre de foutre. Ses mamelles qui étaient si tendues sont maintenant un peu flasques. Mais avec le traitement qu'elle suit, elles se rempliront vite.
Après la pause-café devenue habituelle, Cello pose les cartes sur la table et c'est Vincent qui choisit. Jusqu'à présent, ils ont eu la chance de ne pas tirer deux fois la même carte, et ils espèrent que le sort sera en leur faveur et qu'ils découvriront ce que leur réserve la quatrième carte. Vincent hésite et se décide pour une carte. Il la retourne et lit :
« *Marie est un piano*»
Cello explique aux garçons, pendant que Marie débarrasse la table, qu'ils pourront caresser, masturber, pincer et même gifler Marie qui sera allongée nue les cuisses ouvertes et qu'ils pourront se branler sur son corps.
Marie monte sur la table, aidée par Cello, s'allonge et écarte les jambes. Les garçons se placent autour de la table et commencent à caresser Marie. Elle sent les dix mains caresser son corps, des doigts qui pincent ses tétons et d'autres qui lui pénètrent le sexe, l'anus et la bouche. Marie setortille dans tous les sens sous les cinquante doigts qui caressent, malaxent, pincent et même giflent les mamelles de leur femelle. Ils finissent par se branler et éjaculer sur les seins, le visage, les cheveux et le sexe de la soumise.
Après le départ des garçons, Alban s'occupe de la piscine pendant que Marie va se doucher. Le reste de la journée est occupé à la ballade de Marie, le sport en piscine et le bronzage.
Avant le départ d'Alban, pour le week-end, Cello lui demande de surveiller l'arrivée d'Hervé, car il veut aller le voir en compagnie de sa femme. Lorsque le voisin arrive, Alban prévient Marie et Cello et leur souhaite un bon week-end avant de partir. Cello prend alors la femme de son voisin parle main et ils se rendent chez Hervé.
Hervé ouvre la porte, les accueille et les fait entrer dans le séjour. Il regarde sa femme. Celle-ci est vêtue d'une petite robe hyper courte et très décolletée, cachant à peine ses fesses, son sexe et sa poitrine gonflée de lait. Et encore, ses nichons étaient davantage pleins il y a quelques heures.
Hervé leur sert un verre et dit :
« Pourquoi avez-vous mis ces portraits de Marie, vous savez que je reçois ma famille et des amis dimanche pour mon anniversaire ».
C. : « Tu ne trouves pas que Marie est ravissante sur ses portraits grandeurs nature ? »
H. : « Si mais ce n'est pas la question, que vont penser mes invités? »
C. : « Marie assume son statut de soumise et toi, tu dois montrer que tu acceptes cette situation. Tu sais, il vaut mieux passer pour un mari tolérant et caudauliste, que pour un mari trompé et cocu ».
H. : « Oui mais quand même ! Que vont dire mes parents, ma sœur et mon beau-frère ?»
M. : « Oh tu sais ta mère et ta sœur, m'ont toujours trouvée trop timide parce que je ne voulais pas faire de naturisme, je vais ainsi leur montrer qu'elles sont maintenant plus coincées que moi, et que je peux même baiser leur mari ».
H. : « Tu ne veux tout de même pas dire que tu veux faire l'amour avec mon père et mon beau-frère? »
M. : « Je vais me gêner, depuis le temps que je fantasme sur ton père, j'espère bien me prendre sa grosse queue dans le cul ».
Hervé voyant que Marie est déterminée, n'insiste pas et il change de sujet. Il demande à sa femme :
H. : « Ta poitrine a encore grossi ? »
M. : « Oui Laurent m'a donné un traitement pour gorger mes mamelles de lait ».
Hervé ne comprend plus du tout son épouse, elle qui était complexée par la grosseur de sa poitrine, elle accepte un traitement qui lui gonfle encore plus ses pis, les rendant encore plus impressionnants qu'avant. Deux gros ballons greffés sur son torse...Il aborde alors l'organisation du repas. Cello le rassure en lui disant qu'il a tout prévu et que le traiteur arrivera dimanche matin vers 10 heures pour tout mettre en place.
Lorsque Cello est sur le point de partir, il propose à Hervé de garder Marie pour la soirée, sachant que le lendemain matin, elle devra se lever de bonne heure, car elle travaille dans le magasin de lingerie. Hervé décline l'offre de Cello, disant qu'il est fatigué de sa dure semaine et qu'il peut garder Marie. Cello quitte Hervé en prenant par la main l'épouse de celui-ci. Le couple passe une soirée tranquille, car demain Marie a sa première journée de travail.
Le lendemain matin, c'est Cello qui réveille Marie. Il l'embrasse et lui dit :
C. : « Bonjour ma chérie, il est l'heure de se lever ! »
M. : « Déjà, mais quelle heure est-il ? »
C. : « 7 heures, ma belle et nous sommes samedi et aujourd'hui tu travailles au sex-shop ».
M. : « Bonjour Monsieur Cello ! Vous savez j'ai un peu peur de cette première journée, mais aussi excitée de connaître de nouvelles sensations ».
Après le petit-déjeuner et la douche, Cello, qui est prêt à conduire Marie, sert deux tasses de café avant de partir. Marie apparaît coiffée, maquillée, parfumée et nue.
M. : « Quelle robe je mets ce matin pour aller à la boutique ? »
C. : « Mais tu es parfaite ainsi, et puis le gérant t'offre une tenue par jour de travail. Tu mets ton imper court et on y va ! »
Marie boit son café, et enfile l'imperméable court, vêtement qu'elle ne prend pas la peine de fermer pour gagner la voiture. Elle fait le voyage exposée aux camionneurs, automobilistes, cyclistes et piétons. Elle a écarté ses cuisses et laisse Cello lui caresser ses mamelles gonflées de lait pendant le voyage. En arrivant devant le magasin, elle prend juste la précaution de rapprocher les pans du vêtement et de nouer la ceinture. Ils rentrent dans la boutique par une porte située à l'arrière du magasin, celui-ci n'ouvrant que dans une heure.
Le gérant les accueille, heureux de voir que Marie va travailler pour lui. Cello souhaite choisir une tenue pour l'anniversaire de son mari le lendemain. Le gérant laisse le couple se promener dans les rayons. Cello choisit une robe style tunique romaine, nouée sur une épaule, laissant l'autre nue ainsi qu'une partie du sein gorgé de lait. Le tissu est opaque mais léger et on peut deviner le téton dressé de Marie. La robe est ouverte sur les deux côtés à partir des hanches, dévoilant à chaque pas les cuisses et les fesses de la femelle. Elle retire la robe, afin que Cello la rapporte chez lui. Marie est de nouveau nue, et le gérant arrive avec une robe rouge, hyper-courte et décolletée jusqu'au nombril.
G. : « Vous porterez cette robe aujourd'hui, et vous repartirez avec ce soir, mais pour l'instant il est temps de la téter, avant d'ouvrir le magasin ».
Cello règle le montant de la tunique romaine, embrasse sa belle et la laisse avec le vieux cochon.
Le gérant du magasin entraîne Marie dans son bureau, dès le départ de Cello. Marie s’assoit sur le canapé et lui se place près d'elle, s'allongeant à moitié sur elle. Il a le visage juste à hauteur des pis de sa nouvelle vendeuse. Celle-ci, ouvre le pantalon de son patron et sort un sexe à demi bandé.
L'homme commence à pomper le sein droit de Marie, parfois il s'arrête de sucer le pis pour le mordiller ou le lécher. De son côté, Marie branle la bite de l'homme, ou malaxe ses couilles. Elle est de plus en plus excitée, à cause des proportions du gérant, qui a un sexe long et fin et des couilles poilues, grosses comme des clémentines.
Au bout d'un quart d'heure, le patron dit à Marie :
« Viens me sucer ! ».
Marie se place immédiatement entre les jambes de l'homme, lèche son gland décalotté et le prend en bouche. Parfois, elle stoppe la fellation pour lécher les couilles du gérant. Elle est tentée de les gober, mais elle se dit :
« Non ! Pas dés le premier jour, que va-t-il penser ! »
Elle le reprend en bouche accélérant les vas et viens dans sa bouche, jusqu'à ce que l'homme décharge sa crème dans son gosier.
Son patron lui indique un lavabo avec un gobelet, un tube de dentifrice et une brosse à dents neuve. Marie se lave les dents, se rince la bouche et rejoint l'homme derrière sa caisse pour enfiler la robe rouge qui lui est destinée.
Elle se regarde dans une glace du magasin. La robe est si courte que la moitié de ses fesses est visible, et laisse voir ses lèvres intimes. Quand à sa poitrine, le décolleté laisse voir les tétons et la moitié de ses aréoles. Elle pense alors :
« Je ressemble vraiment à une putain ! »
Et elle sent aussitôt que son sexe s'humidifie.
Pendant la première heure de travail, un seul client a passé le seuil de la porte. D'abord étonné et surpris de voir Marie lui demander ce qu'il désirait, il lui a répondu,
« Rien de spécial, je regarde! »
M. : « Bien je vous laisse, mais n'hésitez pas à venir me voir, si vous avez besoin d'un renseignement ».
Marie le laisse faire son tour, jusqu'à ce que le gérant qui a compris que le client venait juste par curiosité, fait une annonce au micro :
« Aujourd'hui, sur présentation de votre ticket de caisse à notre vendeuse, celle-ci se fera une joie de se laisser caresser ».
Marie est surprise de l'annonce, mais elle se dit :
« Après tout, si cela peut faire gonfler le chiffre d'affaires ! »
Le client prend un gadget à 20 euros et passe à la caisse pour en savoir plus. Le gérant lui explique qu'il faut un minimum de 50 euros d'achat et que le temps passé avec la vendeuse est de 10% du montant. Par exemple 50 euros, 5 minutes avec Marie, 100 euros, 10 minutes. L'homme repart dans les rayons et revient avec 90 euros d'achats supplémentaires. Il paie les 110 euros du et le gérant lui dit :
G. : « Vous avez le droit de peloter ma vendeuse pendant 10 minutes ».
Marie en voyant le client régler ses achats, revient voir son patron, qui lui dit :
« Monsieur a le droit de vous caresser et de vous peloter pendant 10 minutes, allez dans la cabine de visionnage numéro un ».
Marie entraîne son client dans la cabine. La porte à peine refermée,il saute sur elle pour lui caresser les seins, puis les fesses et la chatte. Marie se laisse faire, elle a envie de déboutonner le client et de le sucer, mais cela ne fait pas partie du contrat, aussi à contre cœur, elle s’abstient. Au bout de 10 minutes la lumière de la cabine s'éteint et le couple sort de celle-ci.
Le client quitte la boutique avec ses achats et Marie retourne s'exhiber dans le magasin, où quelques autres clients flânent dans les rayons. Il y a un jeune couple qui a déjà choisi plusieurs gadgets et n'a pas besoin de Marie. Un couple de quadragénaires dont la femme porte dans ses bras plusieurs tenues sexy s'y trouve aussi. Marie se dirige alors vers un client quand elle aperçoit Laurent rentrer dans le magasin. Elle se dirige aussitôt vers lui, avec un large sourire.
M. : « Bonjour monsieur Laurent, cela me fait plaisir de vous voir. Venez, je vais vous présenter à mon patron, après je m'occuperais de vous »
L. : « C'est pour cela que je suis venu justement »
Marie présente son ami au gérant :
« Permettez-moi de vous présentez monsieur Laurent, c'est un ami de monsieur Cello et aussi de mon mari, et c'est lui qui a pensé à me prescrire un médicament pour gorger mes mamelles de lait »
G. : « Bonjour monsieur, très heureux de faire votre connaissance.Vous avez eu une très bonne idée de faire allaiter Marie, cela lui donne des pis énormes et bien fermes ».
M. : « Oui et il a influencé mon mari en présentant votre boutique comme un magasin de lingerie et en vous recommandant auprès de lui ».
G. : « Alors je suis votre débiteur. Prenez ce que vous voulez, je vous l'offre ».
L. : « Ce que je veux, c'est la bouche de Marie, je suis venu pour que cette salope me taille une pipe, car j'ai les bourses pleines ».
G. : « Ce qui est dit, est dit ! Marie conduisez votre ami dans la cabine numéro un, vous serez tranquille pour pomper monsieur ».
Marie prend Laurent par la main et le conduit dans la cabine et aussitôt enfermés, elle s'agenouille et dégrafe le pantalon de son ami.
L. : « Fais-moi une cravate de notaire avant de me sucer, je veux sentir ma bite entre tes gros pis pleins de lait ».
Marie dégage ses mamelles du haut de sa robe, et prend la queue de Laurent. Elle crache plusieurs fois sur ses seins pour bien lubrifier et que le sexe de son ami glisse parfaitement entre ses pis.
Marie donne des petits coups de langue sur le gland de Laurent, quand elle peut. Après 5 minutes de branlette espagnole, Marie suce le gland avant de lécher le sexe sur toute sa longueur. Puis elle prend la bite en totalité dans sa bouche. Elle est devenue une experte de la « gorge profonde ».
Parfois, elle délaisse la bite de Laurent pour prendre en bouche ses couilles. Marie termine par reprendre le sexe de l'homme jusqu'à éjaculation de Laurent dans son gosier. Elle s'efforce de tout avaler, sans en perdre une seule goutte. Laurent se réajuste et Marie remet le haut de sa robe, cachant un tiers de sa poitrine avant de sortir de la cabine. Avant de partir il va saluer le gérant du magasin et quitte le magasin.
Après un nouveau passage dans la cabine avec un client, le gérant ferme la boutique pour une heure. Il est seul maintenant avec sa vendeuse. Il lui ordonne :
« Allez ma belle ! Fous-toi à poil que je te baisse sur le comptoir. Il attrape Marie par les hanches, la retourne et la force à se pencher contre le comptoir. Il lui écarte les cuisses et embroche sa nouvelle vendeuse. Marie est tellement humide que le sexe du gérant glisse dans la chatte de Marie. Elle savoure ce membre viril qui la pénètre, elle en avait tellement envie.
« Oh oui ! c’est trop bon ! Oui baisez moi plus fort ! Encore ! »
L’homme, excité par les encouragements de sa vendeuse, la pillonne pendant de longues minutes. Marie jouit une première fois, puis une seconde avant de réclamer :
« S’il vous plaît prenez mon cul ! J’ai envie de sentir votre pieu dans mon cul de salope ».
Le gérant ne résiste pas et immédiatement il se retire de la chatte de Marie, et encule la belle aussitôt. Il défonce le cul de la soumise, tout en lui claquant les fesses durement.
Il faut peu de temps à Marie pour jouir une troisième fois, et sentir l’homme se répandre dans ses entrailles. Lorsque l’homme se retire, Marie s’agenouille et nettoie la bite de son patron avant de se redresser et de déposer un baiser sur la joue du gérant.
« Merci monsieur, j’en avais vraiment besoin ».
Il reste le temps de la pause, à se reposer, avant d’ouverture du magasin. L’après-midi se déroule comme la matinée, sauf que Marie passe plus de temps dans la cabine à se faire peloter qu’à déambuler dans les rayons. Lorsque arrive le moment de la fermeture du magasin, le gérant esttrès satisfait du chiffre d’affaire effectué dans la journée. Il remercie Marie pour son dévouement avant de l’entraîner dans son bureau pour la téter. Il pompe les mamelles pleines de Marie, pendant de longue minutes jusqu’à ce qu’il éjacule dans la main de Marie qui le branlait pendant l’allaitement. Elle lèche ses doigts puis lèche le gland du vieil homme afin de ne pas en perdre une goutte et de bien nettoyer la queue de l’homme. Elle ne prend même pas le temps de réajuster sa robe. Elle pose son imper sur ses épaules et quitte la boutique, sachant que Cello l’attend dans sa voiture près de l’entrée.
Effectivement, son maître est là. Avant de monter dans la voiture, elle retire son imper et rentre dans l’automobile, les outres à l’air. Pendant le trajet, elle raconte comment s’est passée sa journée et une fois arrivés dans la maison de Cello, ils passent une soirée tranquille, car demain une journée éprouvante attend Marie.
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toujours aussi excitante
vivement dimanche
vivement dimanche