Marie ma nouvelle voisine - 31 - Dimanche (suite)

- Par l'auteur HDS Cello -
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Récit libertin : Marie ma nouvelle voisine - 31 - Dimanche (suite) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Marie ma nouvelle voisine - 31 - Dimanche (suite)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Cello a réussi à raisonner Marie, qui a accepté de se refugier dans le bureau d'Hervé, lors de l'arrivée de sa belle-famille et d'attendre qu'il vienne la chercher, afin que les invités avalent la première surprise, c'est à dire la photo grandeur nature, totalement offerte de Marie, avant qu'ils ne découvrent sa tenue dans un deuxième temps.

Aussi, lorsque l'on entend la voiture du beau-père arrivé, Marie va immédiatement dans le bureau, calmée par les promesses de Cello.

Lorsque les invités entrent dans le séjour et voient la photo de Marie, si les deux hommes admirent la plastiques de Marie, sa belle-mère et sa belle-soeur n'ont pas du tout le même avis.

Belle-mère : « Qu'est-ce que c'est que cette horreur ? C'est toi Hervé qui a pris cette photo et qui a eu l'idée d'affichée ta putain au yeux de tous ceux qui rentre chez toi ? »
Avant qu'Hervé ne répondre, sa sœur renchérit.

Belle-soeur : « Ah ! Elle cachait bien son jeu, elle qui ne voulait pas nous accompagner sur les plages naturistes. Quelle hypocrite tout de même »
Hervé : « Je peux vous expliquer si vous me laisser en place une, avant de critiquer. Premièrement, Marie n'a jamais été hypocrite, lorsqu'elle refusait d'aller sur les plages naturistes, c'est parce qu'elle était complexée par sa poitrine qu'elle trouvait trop grosse, mais depuis quelques temps, elle a pris conscience de son corps, et si elle s'exhibe maintenant, c'est parce qu'elle se trouve belle et qu'elle désire jouir de ce corps qui lui déplaisait, il y a encore quelques semaines ».

Belle-mère : « Et c'est toi qui l'a photographiée dans cette position ? » dit-elle en regardant Hervé.

Cello : « Non madame c'est moi qui est pris votre belle-fille en photo ».

Belle-mère : « Qui êtes vous Monsieur ? »
Cello : « Je suis le voisin d'Hervé, je m'appelle Cello et je suis l'amant et le maître de Marie ».

En attendant la fin de ma phrase, la vieille manque de s'évanouir, avant de demander.

Belle-mère : « Mais où est-elle cette salope, tu as bien fait de ne pas l'inviter? »
Pendant que la mère d'Hervé demandait où était Marie, Cello a ouvert la porte du bureau et prenant Marie par la main, il la fait entrer dans la pièce et réponds :
«  Elle est là votre belle fille, madame ».

En voyant Marie entrer dans sa tunique romaine, un sein à l'air, la belle-mère dit :
« J'en ai vu assez, c'est un quet-appent. Allez ! on s'en va »
Beau-père : « Moi je reste, c'est tout de même l'anniversaire d'Hervé »
Alors que sa belle-mère et sa belle-soeur s'apprêtent à quitter la maison, Marie leur lance par provocation.

« Vous avez raison, fichez le camp, comme cela je serai plus tranquille pour baiser vos hommes, depuis le temps qu'ils me reluquent et ont envie de me baiser et bien cette après-midi, je vais leurs offrir mes trous de salope, car oui je fantasme sur votre mari depuis très longtemps et enfin je vais pouvoir sentir sa grosse queue dans la chatte et dans mon cul ».

La mère et le sœur d'Hervé en ont assez entendu et quitte la maison. Hervé tente de les retenir, mais en vain, et c'est très énervées que les deux femmes prennent la voiture et retournent chez elles.

Hervé pour apaiser la tension, propose de prendre une coupe de champagne et de trinquer pour son anniversaire, remerciant les personnes présentes.

Pendant ce temps, Cello demande à Marie de bien se tenir jusqu'au dessert, et qu'en suite, elle pourra se désinhiber totalement.

Le repas se passe dans la bonne humeur, chacun y allant de son anecdote, ou d'une histoire croustillante. Marie qui n'ose trop raconter des anecdotes de peur de choquer, boit pas mal de champagne, ce qui a pour effet d'exciter ses sens.

Lorsque le moment tant attendu par Marie, c'est à dire : le dessert, arrive, Marie met le disque de danse du ventre qui a déjà servi le vendredi soir. Puis, elle monte sur la table pour s'exhiber en dansant langoureusement. Sa robe échancrée de chaque côté, à partir de la taille, lui permet de montrer sans aucune pudeur, ses cuisses, ses fesses et parfois son sexe imberbe et trempé, en levant les pans de sa tunique. Les hommes sont sous le charme, les yeux exorbités et la bouche ouverte.

Lorsque le disque se termine et qu'un slow se fait entendre, Marie retire sa robe et se retrouve entièrement nue à l'exception de ses escarpins à talons. Prenant le fraisier préparé par le traiteur, elle l'applique d'un coup sur ses seins, puis elle prend soin de recupérer quelques fraises qu'elle introduit dans sa chatte trempée, avant de s'allonger sur la table et de s'écrier :
« Le dessert est servi et il y en aura pour tout le monde »
Immédiatement les quatre hommes se penchent sur le corps de la belle pour dévorer le gateau, mais aussi la belle. Au bout d'une bonne dizaine de minutes, Marie, toujours allongée les cuisses ouvertes et excitée par la situation s'exclamme :
« Qui veut la première fraise ? »
Et elle expluse le premier fruit de son vagin. C'est son beau-père, l'heureux gagnant, car depuis le début, il avait plongé son visage entre les cuisses de sa bru. A tour de rôle, chaque convive peut déguster une fraise au jus d'abricot.

Marie a toujours en tête, de se venger de sa belle-mère et de réaliser son fantasme, aussi elle s'exclame :
« Baiser-moi ! Enculez-moi ! Donnez-moi votre foutre à boire ! Faites-moi jouir jusqu'à épuisement! »
Le beau-frère d'Hervé retire son pantalon et s'allonge sur le corps crémeux de Marie et la pénètre brutalement. Son beau-père, lui aussi retire son pantalon et présente sa bite devant le visage de Marie.

« Oh oui ! Elle est bien grosse comme je les aime, donne moi ton foutre vieux pervers, depuis le temps que j'ai envie de ta grosse queue dans mes trous ».
Lorsqu'il sent qu'il va jouir le beau-frère permute sa place avec celle du beau-père, qui investit aussitôt la chatte dégoulinante de la petite salope. Le beau-frère lache sa purée dans le gosier de Marie et se relève épuisé, car peu résistant.

Il s'inquiète alors lorsqu'il voit toutes les taches de crème sur sa chemise. Comment expliquer cela à sa femme.

Le beau-père pilonne Marie depuis de longues minutes et la salope commence à jouir :
« Oh oui ! C'est bon ! Comme elle est grosse ! Oui plus fort ! Baise-moi fort ! Oui ! Oui ! Oui ! Encore ! Plus fort ! Met la dans mon cul vieux salaud ! »
Le vieux immédiatement se retire du sexe de la belle et pénètre son anus, sans ménagement. Il laboure le fondement de Marie pendant de longue minutes et Marie a déjà jouie 4 fois et est au bord de l'épuisement.

C'est le moment que choisisse les deux mégères, la belle-mère et la belle-soeur, pour revenir récupérer leurs hommes. La belle-mère en voyant son mari en train d'enculer sa bru, se précipite sur lui et le tire par le bras, en criant, pour qu'il cesse immédiatement. Il lui crie alors :
« Ta gueule ! Je vais d'abord donner mon foutre à cette trainée et ensuite on rentre ».

Il sort alors sa bite du cul de Marie, la met dans sa bouche. En quelques vas et viens des lèvres de Marie sur le sexe de l'homme, il décharge une quantité épaisse et abondante de sperme.

Il se retire aussitôt et sans attendre que Marie lui nettoie la bite, il enfile son pantalon, et entraine son épouse dehors, alors que le beau-frère et la sœur d'Hervé ont une sérieuse discution.

Marie épuisée s'endort sur la table. Cello la recouvre d'un plaid, puis profitant du calme revenu, il aide Hervé à ranger la vaisselle, et récupèrer les restes du repas.

Le traiteur arrive récupérer sa vaisselle et ses plats vides et s'étonnant de voir Marie endormie sur la table, Cello dit :
« Ne vous inquiétez pas, elle a juste fait un peu d'abus ».

L'artisant repart puis Cello réveille Marie pour rentrer. Il pose la robe de Marie sur son épaule et entraine Marie chez lui sans la vêtir, traversant la trentaine de mètres en tenant Marie par la main sans se préoccuper de la nudité de sa amante.

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