Marie, ma nouvelle voisine - 32 - Lundi
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-11-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie, ma nouvelle voisine - 32 - Lundi
Lorsque Cello se lève, Marie dort encore, épuisée par un dimanche mouvementé. Cello prépare le petit déjeuner et ouvre toute les fenêtres de la maison. Il allume alors son ordinateur portable à la recherche de nouvelles idées pour exhiber et humilier sa belle, bien qu'il a déjà une idée en tête.
En effet, Marie lui ayant confié que c'est en fantasmant sur le traiteur, laid et gras, elle s'était imaginée que contrairement à sa tenue, il était sale et que cela l'avait excitée de s'imaginer en train de le pomper.
Il lui a donc promis qu'elle viendrait avec lui, quand il irait règlé la note de la veille.
Marie apparaît alors dans la cuisine, nue, reposée et souriante.
Marie : « Bonjour Monsieur, avez-vous bien dormi ? »
Cello : « Bonjour ma belle, oui très bien et toi ? »
Marie : « Oh oui, très bien, merci ».
Marie s'asseois près de son amant, les cuisses ouvertes, attendant certainement de se faire caresser, mais Cello se lève et lui sert un bol de café, avant de revenir s'asseoir près de la soumise. Il passe alors sa main sur le sexe fraichement épilé, et constatant qu'elle est déjà humide, il lui dit :
Cello : « Au lieu de tremper ton croissant dans ton café, tu devrais le mettre dans ta chatte humide, je suis sûr que tu aimerais le goût de la viennoiserie parfumée au jus de salope ».
Marie est surprise de la proposition de son maître et dit :
Marie : « Oh monsieur ! Vous avez toujours de bonne idée pour m'humilier, je vous adore ».
Cello prend alors un croissant et le tend à Marie.
Cello : « Tiens ! Prends celui-ci, il est fourré. Je me suis branlé dedans ce matin, pour t'offrir ma semence ».
Marie prend le croissant et croque une bouchée pour goûter la prparation de Cello.
Marie : « Hum ! C'est très bon »
Et écartant ses lèvres intimes elle ajoute :
Marie : « Maintenant je vais goûter avec mon jus de salope »
Elle introduit une partie du la viennoiserie dans sa chatte et se branle quelques instant avant de la portée à sa bouche.
Marie : « Oh monsieur, c'est délicieux, vous avez eu une super idée, votre sperme et mon jus avec le croissant, un vrai régal. Voulez-vous que je vous prépare un croissant avec mon jus de petite chienne ? »
Cello hésite quelques instant avant de répondre.
Cello : « Oui Marie, je veux bien, car je vois que tu as surtout envie de te branler la chatte et qu'en préparant mon croissant, tu vas pouvoir allier l'utile à l'agréable ».
Marie sourit malicieusement et prenant une viennoiserie, elle introduit celle-ci dans son sexe et se branle avec. Lorsqu'elle retire le croissant, celui-ci est bien imbibé de cyprine et elle l'offre à son amant en disant
Marie ; « Je vais le mettre dans une petite assiette,car il est tout mou, il a bien absorbé mon jus ».
Marie pose le gateau sur l'assiette et tend celle-ci à Cello. Il déguste le croissant avec gourmandise, confirmant la de Marie.
Après le petit déjeuner, les deux amants filent dans la salle de bain prendre leur douche et se préparer. Marie en arrivant dans la chambre à coucher, ne trouve pas d'habit sur le lit comme à l'habitude. Elle rejoint Cello dans le séjour et dit :
« Heu... Excusez-moi, monsieur, mais vous avez oublié de préparer mes vêtements »
Cello : « Non, ma chérie, je n'ai pas oublié, ce matin tu n'en as pas besoin, tu viendras avec moi chez le traiteur, avec juste ton imper que tu fermeras juste avec la ceinture ».
Marie : « Oh monsieur, vous voulez encore m'exhiber et m'humilier, vous êtes un sacré coquin ».
Cello ne répond pas, il tend l'imper à sa belle qu'elle enfile et noue la ceinture, sans le boutonner et ils vont au garage, pour se rendre chez le traiteur. Marie aimerait dénouer sa ceinture et s'offrir aux regards des autres usagers de la route, mais n'ayant pas reçu d'ordre de Cello, elle s'abstient de prendre l'initiative, de peur d'être punie. Une fois garé près de chez le traiteur, Cello se tourne vers Marie et demande :
Cello : « Cela t'a manqué de ne pas t'exhiber pendant le trajet ? »
Marie : « Oui monsieur, mais je suis tout de même excitée, car j'imagine que si vous avez souhaité que je sois nue sous mon imper, c'est pour m'exhiber ou m'humiliée »
Cello sourit et sort de la voiture, contourne celle-ci et va ouvrir la portière de sa petite pute.Il la prend par la main et entre dans le magasin. Le traiteur n'est pas là, et ils sont acceuillis par un ouvrier. Celui-ci va le chercher et semble ravi en apercevant Cello et surtout Marie.
L'homme les entraine dans son laboratoire, où il prépare les plats et dit :
« Je m'excuse pour ma tenue, mais ce matin je n'ai pas entendu le réveil et très en retard, je n'ai pas eu le temps de ma raser, ni même de prendre une douche.
Marie est ravie de cette information, elle va peut être enfin avoir un homme laid, obése et sale dans ses bras. Le traiteur demnde si ils sont satisfait du repas et présente la facture à Cello. Celui-ci regarde le montant et demande au commerçant, s'il peut lui faire une remise de 10%. Alors que le traiteur s'apprête à répondre, Cello remarque que Marie commence à se trémousser sur son siège. Il se doute que la dernière information donnée par l'artisant ne doit pas être étrangère à cet état de fait.
Le traiteur : « Non je suis désolé, j'ai déjà tiré les prix au maximum pour vous, franchement c'est pas possible »
Cello : « Au moins 5% »Au même moment, il tire sur le bout de la ceinture de l'imper, dévoilant le corps nu de Marie. Et il enchérit :
« 5% et le corps de Marie pendant une heure »
Le traiteur : « C'est ok ! 5% et votre pute reste avec moi pendant une heure ».
Cello est satisfait de sa négociation, car il sait qu'il devait absolument laisser Marie au commerçant pour tenir sa promesse de la veille. Il ôte le vêtement de Marie et sort en laissant sa chérie avec le gros homme, laid et sale.
Cello se rend dans un bar, prendre un café et lire le journal en attendant. Il revient une heure et quart plus tard, demande à l'employé si son patron est toujours dans son laboratoire et se dirige directemment la pièce où il va le trouver en compagnie de Marie.
Il frappe et entre immédiatement sans attendre de réponse. Marie esr allongée nue sur le carrelage froid du laboratoire et le commerçant accroupie sur elle et il lui giffle les seins durement.
L'homme de redresse aussitôt et se couvre avec son tablier, alors que Marie se lève en prenant sa poitrine dans les mains. Cello règle la facture, et prend Marie par la main pour l'entrainer dehors.
Marie sans protester, dit à Cello :
« Monsieur, vous avez oublié mon imper ! »
Cello : « Non ma chérie, je l'ai laissé volontairement dans la voiture, pour que tu sortes du magasin nue et regagne ainsi la voiture en espérant que tu vas être vu.
Effectivement, lorsqu'il traverse le magasin, il y a deux femmes d'age mures et l'employé présent. Si le jeune homme est satisfait de cette apparition, il n'en es pas de même des deux femmes qui trouve l'attitude du couple scandaleuse.
Avant de monter en voiture, elle prend l'imper qui est sur la banquette arrière du véhicule et s'habille en ne fermant le vêtement qu'avec la ceinture, comme pour le voyage aller.
En effet, Marie lui ayant confié que c'est en fantasmant sur le traiteur, laid et gras, elle s'était imaginée que contrairement à sa tenue, il était sale et que cela l'avait excitée de s'imaginer en train de le pomper.
Il lui a donc promis qu'elle viendrait avec lui, quand il irait règlé la note de la veille.
Marie apparaît alors dans la cuisine, nue, reposée et souriante.
Marie : « Bonjour Monsieur, avez-vous bien dormi ? »
Cello : « Bonjour ma belle, oui très bien et toi ? »
Marie : « Oh oui, très bien, merci ».
Marie s'asseois près de son amant, les cuisses ouvertes, attendant certainement de se faire caresser, mais Cello se lève et lui sert un bol de café, avant de revenir s'asseoir près de la soumise. Il passe alors sa main sur le sexe fraichement épilé, et constatant qu'elle est déjà humide, il lui dit :
Cello : « Au lieu de tremper ton croissant dans ton café, tu devrais le mettre dans ta chatte humide, je suis sûr que tu aimerais le goût de la viennoiserie parfumée au jus de salope ».
Marie est surprise de la proposition de son maître et dit :
Marie : « Oh monsieur ! Vous avez toujours de bonne idée pour m'humilier, je vous adore ».
Cello prend alors un croissant et le tend à Marie.
Cello : « Tiens ! Prends celui-ci, il est fourré. Je me suis branlé dedans ce matin, pour t'offrir ma semence ».
Marie prend le croissant et croque une bouchée pour goûter la prparation de Cello.
Marie : « Hum ! C'est très bon »
Et écartant ses lèvres intimes elle ajoute :
Marie : « Maintenant je vais goûter avec mon jus de salope »
Elle introduit une partie du la viennoiserie dans sa chatte et se branle quelques instant avant de la portée à sa bouche.
Marie : « Oh monsieur, c'est délicieux, vous avez eu une super idée, votre sperme et mon jus avec le croissant, un vrai régal. Voulez-vous que je vous prépare un croissant avec mon jus de petite chienne ? »
Cello hésite quelques instant avant de répondre.
Cello : « Oui Marie, je veux bien, car je vois que tu as surtout envie de te branler la chatte et qu'en préparant mon croissant, tu vas pouvoir allier l'utile à l'agréable ».
Marie sourit malicieusement et prenant une viennoiserie, elle introduit celle-ci dans son sexe et se branle avec. Lorsqu'elle retire le croissant, celui-ci est bien imbibé de cyprine et elle l'offre à son amant en disant
Marie ; « Je vais le mettre dans une petite assiette,car il est tout mou, il a bien absorbé mon jus ».
Marie pose le gateau sur l'assiette et tend celle-ci à Cello. Il déguste le croissant avec gourmandise, confirmant la de Marie.
Après le petit déjeuner, les deux amants filent dans la salle de bain prendre leur douche et se préparer. Marie en arrivant dans la chambre à coucher, ne trouve pas d'habit sur le lit comme à l'habitude. Elle rejoint Cello dans le séjour et dit :
« Heu... Excusez-moi, monsieur, mais vous avez oublié de préparer mes vêtements »
Cello : « Non, ma chérie, je n'ai pas oublié, ce matin tu n'en as pas besoin, tu viendras avec moi chez le traiteur, avec juste ton imper que tu fermeras juste avec la ceinture ».
Marie : « Oh monsieur, vous voulez encore m'exhiber et m'humilier, vous êtes un sacré coquin ».
Cello ne répond pas, il tend l'imper à sa belle qu'elle enfile et noue la ceinture, sans le boutonner et ils vont au garage, pour se rendre chez le traiteur. Marie aimerait dénouer sa ceinture et s'offrir aux regards des autres usagers de la route, mais n'ayant pas reçu d'ordre de Cello, elle s'abstient de prendre l'initiative, de peur d'être punie. Une fois garé près de chez le traiteur, Cello se tourne vers Marie et demande :
Cello : « Cela t'a manqué de ne pas t'exhiber pendant le trajet ? »
Marie : « Oui monsieur, mais je suis tout de même excitée, car j'imagine que si vous avez souhaité que je sois nue sous mon imper, c'est pour m'exhiber ou m'humiliée »
Cello sourit et sort de la voiture, contourne celle-ci et va ouvrir la portière de sa petite pute.Il la prend par la main et entre dans le magasin. Le traiteur n'est pas là, et ils sont acceuillis par un ouvrier. Celui-ci va le chercher et semble ravi en apercevant Cello et surtout Marie.
L'homme les entraine dans son laboratoire, où il prépare les plats et dit :
« Je m'excuse pour ma tenue, mais ce matin je n'ai pas entendu le réveil et très en retard, je n'ai pas eu le temps de ma raser, ni même de prendre une douche.
Marie est ravie de cette information, elle va peut être enfin avoir un homme laid, obése et sale dans ses bras. Le traiteur demnde si ils sont satisfait du repas et présente la facture à Cello. Celui-ci regarde le montant et demande au commerçant, s'il peut lui faire une remise de 10%. Alors que le traiteur s'apprête à répondre, Cello remarque que Marie commence à se trémousser sur son siège. Il se doute que la dernière information donnée par l'artisant ne doit pas être étrangère à cet état de fait.
Le traiteur : « Non je suis désolé, j'ai déjà tiré les prix au maximum pour vous, franchement c'est pas possible »
Cello : « Au moins 5% »Au même moment, il tire sur le bout de la ceinture de l'imper, dévoilant le corps nu de Marie. Et il enchérit :
« 5% et le corps de Marie pendant une heure »
Le traiteur : « C'est ok ! 5% et votre pute reste avec moi pendant une heure ».
Cello est satisfait de sa négociation, car il sait qu'il devait absolument laisser Marie au commerçant pour tenir sa promesse de la veille. Il ôte le vêtement de Marie et sort en laissant sa chérie avec le gros homme, laid et sale.
Cello se rend dans un bar, prendre un café et lire le journal en attendant. Il revient une heure et quart plus tard, demande à l'employé si son patron est toujours dans son laboratoire et se dirige directemment la pièce où il va le trouver en compagnie de Marie.
Il frappe et entre immédiatement sans attendre de réponse. Marie esr allongée nue sur le carrelage froid du laboratoire et le commerçant accroupie sur elle et il lui giffle les seins durement.
L'homme de redresse aussitôt et se couvre avec son tablier, alors que Marie se lève en prenant sa poitrine dans les mains. Cello règle la facture, et prend Marie par la main pour l'entrainer dehors.
Marie sans protester, dit à Cello :
« Monsieur, vous avez oublié mon imper ! »
Cello : « Non ma chérie, je l'ai laissé volontairement dans la voiture, pour que tu sortes du magasin nue et regagne ainsi la voiture en espérant que tu vas être vu.
Effectivement, lorsqu'il traverse le magasin, il y a deux femmes d'age mures et l'employé présent. Si le jeune homme est satisfait de cette apparition, il n'en es pas de même des deux femmes qui trouve l'attitude du couple scandaleuse.
Avant de monter en voiture, elle prend l'imper qui est sur la banquette arrière du véhicule et s'habille en ne fermant le vêtement qu'avec la ceinture, comme pour le voyage aller.
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