Marie, ma nouvelle voisine - 35 - mardi - fin 2
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie, ma nouvelle voisine - 35 - mardi - fin 2
Cello propose à Marie d'aller dans le centre ville, boire un verre. Marie accepte volontiers la proposition de son maître et demande ce qu'elle doit porter comme vêtement. Cello lui répond qu'il la veux très sexy et donc une robe courte, et décolletée sera parfaite avec une paire d'escarpins à talon.
Lorsque Marie revient quelques minutes plus tard dans le séjour, Cello dit :
« C'est cela que tu appelles court et décolleté ? Va te changer et dépêche-toi »
Maries'étonne de la réaction de son amant, et les larmes dans les yeux, elle retourne dans la chambre se changer. Elle choisit une robe avec des bretelles spaghetti, très échancrée et très décolletée, dévoilant la totalité de son sillon mammaire et courte, elle recouvre juste les fesses mais pas plus. Elle sait qu'en s'asseyant pour prendre un verre, on pourra remarquer qu'elle ne porte rien dessous.
En revenant se présenter à Cello celui-ci dit :
« Parfait ! Tu vois que ce n'était pas si compliqué que cela de trouver une robe courte et décolletée ».
Puis il ajoute : « Relève ta robe, penche-toi sur la table et écarte tes fesses».
Marie se doute immédiatement de ce que va faire son maître et écarte ses fesses, offrant son anus à son amant. Cello fait sucer le plug anal à sa salope avant de l'insérer dans la pastille de la blonde. Alors que la jeune femme se retourne, il lui écarte les cuisses et introduit l'oeuf vibrant télécommandé dans la chatte de Marie.
Marie : « Oh monsieur ! Vous allez me rendre folle, si vous déclencher la télécommande dans le centre ville ».
Cello ne répond pas et entraîne la femelle soumise dehors et lui ouvre la portière pour la faire monter dans l'automobile.En montant dans la voiture, elle ne peut éviter d'offrir sa chatte à la vue de son maître, et pense que tout passant aura la même vue lorsqu'elle sortira ou retournera dans l'auto dans le centre ville.
En s'asseyant, elle remarque que sa robe très courte remonte et qu'elle a les fesses nues sur le siège de l'automobile et imagine que cela sera pareil dans quelques minutes à la terrasse du café, ce qui commence à la faire mouillée.
Pendant le trajet, Marie dit à Cello :
« On aurait peut-être pu inviter Sarah à venir avec nous, pour l'initier à l'exhibition? »
Cello : « Oui tu as raison, mais en même temps, elle mérite d'être privé de sortie pour son intervention après ton récit, mais la prochaine fois elle viendra avec nous, mais avant il faudra lui acheter des vêtements sexy ».
Marie : « Et pourquoi pas dans le magasin ou je travaille le samedi, elle pourrait peut-être avoir une réduction, si elle est gentille avec le patron ».
Cello : « Oui bonne idée, il faut bien qu'elle commence à vendre ses charmes ».
Puis il ajoute : Cette après-midi, on va prendre un verre en terrasse, mais tu te mettras seule à une table, moi je m'installerais tout près de toi pour te regarder et te mater. Tu auras le droit de croiser les jambes, mais si je désire que tu décroises les jambes, j'actionnerai la télécommande et tu écarteras tes cuisses en fonction de l'intensité des vibrations que tu recevras. »
Marie : « Vous êtes diabolique, et si quelqu'un m'aborde, comment dois-je réagir ? »
Cello : « Tu l'éconduit gentillement, en disant que tu attends ton amant ».
En arrivant sur la grande place du centre, Cello se dirige vers une terrasse ensoleillée et remarque quelques tables libres. Il montre à Marie, où elle doit s'asseoir en posant sa main sur un siège, et il gagne une autre table légèrement de biais par rapport à Marie à 3 ou 4 mètres d'elle. Marie a du mal à poser ses fesses nues sur le siège, car celui-ci est brûlant et elle met plusieurs secondes avant de pouvoir poser son postérieur sur le siège.
Cello appelle le garçon de café et commande deux coupes de champagne, précisant que la seconde est pour la jeune femme seule à la table d'à côté. Quand le garçon revient avec les coupes, il sert Marie en précisant que c'est l'homme en blanc qui lui offre cette consomation. Marie fait un petit geste de remerciement comme s'il ne se connaissait pas.
Elle croise ses cuisses et attend les ordres de son Maître. Cela ne se fait pas trop attendre. Cello active la télécommande et immédiatement Marie décroise les jambes et les maintient écartées de 10 centimètres environ. Cello augmente l'intensité des vibrations de 1 puis 2 cran et Marie s'ouvre à la vue de son amant et des voyeurs potentiels qui pourraient la remarquer. Lorsqu'il arrête les vibrations, Marie croise de nouveau les jambes. Cello joue ainsi avec Marie pendant de longues minutes.
Arrive alors un couple de quadragénaire, qui prend place entre les tables de Marie et celle de Cello. Tel qu'ils se place, ils sont de profil, par rapport au couple pervers. Cello déclenche une nouvelle fois la téélécommande et Marie s'offre de nouveau aux regards. Le nouveau voisin s'apperçoit très vite que Marie a les cuisses ouvertes et ne porte rien sous sa robe. Il se penche vers sa compagne, et lui dit quelque chose à l'oreille. Ha femme se tourne vers Marie avant de sourire à son mari. Le couple ne paraît nullement choqué, mais plutôt amusé par le jeu de jambes de leur belle voisine.
Cello prend alors son verre et se dirige vers la table du couple, et demandant la permission de s'asseoir en leur compagnie, il se présente et apprend ainsi que l'homme se prénomme Bernard et sa compagne Christine. Il leur annonce que la femme qu'ils matent est sa maitresse et qu'elle obéit à ses ordres pour croiser ou ouvrir ses cuisses. Christine paraît scepticque. Il explique comment il commande sa maitresse à distance, et elle dit à Bernard :
Christine : « Oh chéri, il faut que tu achètes le même sexe-toy »
Cello précise alors que la belle porte en plus un plug anal et ajoute à la femme qu'elle pourra vérifier quand Marie viendra les rejoindre. Il fait signe à Marie de venir les rejoindre, et effectivement lorsque Marie passe près de Christine, celle-ci passe sa main sur les fesses de la pute et constate la présente du plug dans le cul de Marie.
Bernard commande une bouteille de champagne et la discussion porte principalement sur l'éducation de Marie. Chrisitne confie alors que tout ceci l'excite beaucoup et que son string est trempé. Elle est aussi intéressée pour savoir si Marie est bi, car elle aimerait avoir une expérience avec une autre femme. Pendant la discussion, l'inconnue demande à Cello, si elle peut emprunter la télécommande quelques instants. Cello accepte mais qu'en échange, elle lui donne son string. Elle hésite quelques secondes, et dit qu'elle va le retirer et quitte la table. Elle revient, rouge de honte, quelques minutes plus tard en tenant son string ficelle dans son poing, et que c'est la première fois qu'elle est nue sous sa robe dans un lieu public. Marie sourit et lui répond :
« Tu vas voir, on s'y habitue très vite ».
L'échange se fait et Christine confie qu'elle en a profiter pour ajouter quelques gouttes d'urine à sa mouille. Cello donne l'appareil à Christine en lui expliquant le fonctionnement et surtout que si elle augmente trop les vibrations, Marie risque de ne pas pouvoir se retenir.
Marie récupère le string de Christine. C'est un mini string ficelle et le porte à son nez, sans se soucier des personnes attablées autour d'elle et elle remarque que la ficelle n'est plus blanche, mais marron.
Christine commence en plaçant le curseur sur 2 et ils constatent que Marie s'écarte et commence à se trémousser sur son siège. Marie ouvre la bouche et enfourne le sous-vêtement souillé et commence à la mâchouiller pour en tirer toutes les saveurs. Christine amusée pousse la télécommande sur 4 et Marie commence à gémir doucement, bougeant de plus en plus.
Cello intervient et dit :
« Je crois qu'il faut arrêter la démonstration, si on ne veut pas voir la police débarquer et nous interpeller pour troubles à l'ordre public ».
Christine rend la télécommande à Cello, en précisant que Marie peut garder son sous-vêtement en souvenir. Pendant que les deux hommes échangent leurs cartes de visite, Marie dépose un baiser sur les lèvres de Christine, et celle-ci en profite pour caresser le cul de Marie. Les deux amants quitte leurs nouveaux amis et regagne leur voiture en empruntant le quartier de la vieille ville, fait de petite rue ombragée et peu fréquentée.
Une fois dans ce quartier, Cello déclenche de nouveau la télécommande et ordonne à Marie de marcher devant lui, en dénudant ses fesses. Marie remonte sa robe jusqu 'à la taille pour que Cello puisse mater son jolie cul. Cello pousse le curseur de la télécommande sur 5 et Marie surprise pousse un petit cri de surprise étouffé par le string de Christine qu'elle a toujours en bouche, et a du mal à se retenir de se masturber en pleine rue pendant la fin du trajet.
Arrivée à la voiture, Cello éteint la télécommande pour laisser Marie se calmer et en arrivant devant la maison, Cello récupère le string de Christine et le met dans le vide-poche de l'auto. Ils découvrent en rentrant les deux jeunes allongés et enlacés sur le même transat.
Lorsque Marie revient quelques minutes plus tard dans le séjour, Cello dit :
« C'est cela que tu appelles court et décolleté ? Va te changer et dépêche-toi »
Maries'étonne de la réaction de son amant, et les larmes dans les yeux, elle retourne dans la chambre se changer. Elle choisit une robe avec des bretelles spaghetti, très échancrée et très décolletée, dévoilant la totalité de son sillon mammaire et courte, elle recouvre juste les fesses mais pas plus. Elle sait qu'en s'asseyant pour prendre un verre, on pourra remarquer qu'elle ne porte rien dessous.
En revenant se présenter à Cello celui-ci dit :
« Parfait ! Tu vois que ce n'était pas si compliqué que cela de trouver une robe courte et décolletée ».
Puis il ajoute : « Relève ta robe, penche-toi sur la table et écarte tes fesses».
Marie se doute immédiatement de ce que va faire son maître et écarte ses fesses, offrant son anus à son amant. Cello fait sucer le plug anal à sa salope avant de l'insérer dans la pastille de la blonde. Alors que la jeune femme se retourne, il lui écarte les cuisses et introduit l'oeuf vibrant télécommandé dans la chatte de Marie.
Marie : « Oh monsieur ! Vous allez me rendre folle, si vous déclencher la télécommande dans le centre ville ».
Cello ne répond pas et entraîne la femelle soumise dehors et lui ouvre la portière pour la faire monter dans l'automobile.En montant dans la voiture, elle ne peut éviter d'offrir sa chatte à la vue de son maître, et pense que tout passant aura la même vue lorsqu'elle sortira ou retournera dans l'auto dans le centre ville.
En s'asseyant, elle remarque que sa robe très courte remonte et qu'elle a les fesses nues sur le siège de l'automobile et imagine que cela sera pareil dans quelques minutes à la terrasse du café, ce qui commence à la faire mouillée.
Pendant le trajet, Marie dit à Cello :
« On aurait peut-être pu inviter Sarah à venir avec nous, pour l'initier à l'exhibition? »
Cello : « Oui tu as raison, mais en même temps, elle mérite d'être privé de sortie pour son intervention après ton récit, mais la prochaine fois elle viendra avec nous, mais avant il faudra lui acheter des vêtements sexy ».
Marie : « Et pourquoi pas dans le magasin ou je travaille le samedi, elle pourrait peut-être avoir une réduction, si elle est gentille avec le patron ».
Cello : « Oui bonne idée, il faut bien qu'elle commence à vendre ses charmes ».
Puis il ajoute : Cette après-midi, on va prendre un verre en terrasse, mais tu te mettras seule à une table, moi je m'installerais tout près de toi pour te regarder et te mater. Tu auras le droit de croiser les jambes, mais si je désire que tu décroises les jambes, j'actionnerai la télécommande et tu écarteras tes cuisses en fonction de l'intensité des vibrations que tu recevras. »
Marie : « Vous êtes diabolique, et si quelqu'un m'aborde, comment dois-je réagir ? »
Cello : « Tu l'éconduit gentillement, en disant que tu attends ton amant ».
En arrivant sur la grande place du centre, Cello se dirige vers une terrasse ensoleillée et remarque quelques tables libres. Il montre à Marie, où elle doit s'asseoir en posant sa main sur un siège, et il gagne une autre table légèrement de biais par rapport à Marie à 3 ou 4 mètres d'elle. Marie a du mal à poser ses fesses nues sur le siège, car celui-ci est brûlant et elle met plusieurs secondes avant de pouvoir poser son postérieur sur le siège.
Cello appelle le garçon de café et commande deux coupes de champagne, précisant que la seconde est pour la jeune femme seule à la table d'à côté. Quand le garçon revient avec les coupes, il sert Marie en précisant que c'est l'homme en blanc qui lui offre cette consomation. Marie fait un petit geste de remerciement comme s'il ne se connaissait pas.
Elle croise ses cuisses et attend les ordres de son Maître. Cela ne se fait pas trop attendre. Cello active la télécommande et immédiatement Marie décroise les jambes et les maintient écartées de 10 centimètres environ. Cello augmente l'intensité des vibrations de 1 puis 2 cran et Marie s'ouvre à la vue de son amant et des voyeurs potentiels qui pourraient la remarquer. Lorsqu'il arrête les vibrations, Marie croise de nouveau les jambes. Cello joue ainsi avec Marie pendant de longues minutes.
Arrive alors un couple de quadragénaire, qui prend place entre les tables de Marie et celle de Cello. Tel qu'ils se place, ils sont de profil, par rapport au couple pervers. Cello déclenche une nouvelle fois la téélécommande et Marie s'offre de nouveau aux regards. Le nouveau voisin s'apperçoit très vite que Marie a les cuisses ouvertes et ne porte rien sous sa robe. Il se penche vers sa compagne, et lui dit quelque chose à l'oreille. Ha femme se tourne vers Marie avant de sourire à son mari. Le couple ne paraît nullement choqué, mais plutôt amusé par le jeu de jambes de leur belle voisine.
Cello prend alors son verre et se dirige vers la table du couple, et demandant la permission de s'asseoir en leur compagnie, il se présente et apprend ainsi que l'homme se prénomme Bernard et sa compagne Christine. Il leur annonce que la femme qu'ils matent est sa maitresse et qu'elle obéit à ses ordres pour croiser ou ouvrir ses cuisses. Christine paraît scepticque. Il explique comment il commande sa maitresse à distance, et elle dit à Bernard :
Christine : « Oh chéri, il faut que tu achètes le même sexe-toy »
Cello précise alors que la belle porte en plus un plug anal et ajoute à la femme qu'elle pourra vérifier quand Marie viendra les rejoindre. Il fait signe à Marie de venir les rejoindre, et effectivement lorsque Marie passe près de Christine, celle-ci passe sa main sur les fesses de la pute et constate la présente du plug dans le cul de Marie.
Bernard commande une bouteille de champagne et la discussion porte principalement sur l'éducation de Marie. Chrisitne confie alors que tout ceci l'excite beaucoup et que son string est trempé. Elle est aussi intéressée pour savoir si Marie est bi, car elle aimerait avoir une expérience avec une autre femme. Pendant la discussion, l'inconnue demande à Cello, si elle peut emprunter la télécommande quelques instants. Cello accepte mais qu'en échange, elle lui donne son string. Elle hésite quelques secondes, et dit qu'elle va le retirer et quitte la table. Elle revient, rouge de honte, quelques minutes plus tard en tenant son string ficelle dans son poing, et que c'est la première fois qu'elle est nue sous sa robe dans un lieu public. Marie sourit et lui répond :
« Tu vas voir, on s'y habitue très vite ».
L'échange se fait et Christine confie qu'elle en a profiter pour ajouter quelques gouttes d'urine à sa mouille. Cello donne l'appareil à Christine en lui expliquant le fonctionnement et surtout que si elle augmente trop les vibrations, Marie risque de ne pas pouvoir se retenir.
Marie récupère le string de Christine. C'est un mini string ficelle et le porte à son nez, sans se soucier des personnes attablées autour d'elle et elle remarque que la ficelle n'est plus blanche, mais marron.
Christine commence en plaçant le curseur sur 2 et ils constatent que Marie s'écarte et commence à se trémousser sur son siège. Marie ouvre la bouche et enfourne le sous-vêtement souillé et commence à la mâchouiller pour en tirer toutes les saveurs. Christine amusée pousse la télécommande sur 4 et Marie commence à gémir doucement, bougeant de plus en plus.
Cello intervient et dit :
« Je crois qu'il faut arrêter la démonstration, si on ne veut pas voir la police débarquer et nous interpeller pour troubles à l'ordre public ».
Christine rend la télécommande à Cello, en précisant que Marie peut garder son sous-vêtement en souvenir. Pendant que les deux hommes échangent leurs cartes de visite, Marie dépose un baiser sur les lèvres de Christine, et celle-ci en profite pour caresser le cul de Marie. Les deux amants quitte leurs nouveaux amis et regagne leur voiture en empruntant le quartier de la vieille ville, fait de petite rue ombragée et peu fréquentée.
Une fois dans ce quartier, Cello déclenche de nouveau la télécommande et ordonne à Marie de marcher devant lui, en dénudant ses fesses. Marie remonte sa robe jusqu 'à la taille pour que Cello puisse mater son jolie cul. Cello pousse le curseur de la télécommande sur 5 et Marie surprise pousse un petit cri de surprise étouffé par le string de Christine qu'elle a toujours en bouche, et a du mal à se retenir de se masturber en pleine rue pendant la fin du trajet.
Arrivée à la voiture, Cello éteint la télécommande pour laisser Marie se calmer et en arrivant devant la maison, Cello récupère le string de Christine et le met dans le vide-poche de l'auto. Ils découvrent en rentrant les deux jeunes allongés et enlacés sur le même transat.
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