Marie ma nouvelle voisine - 36 - Mardi matin - histoire érotique

Ce mardi matin, Cello a pris une décision, et il compte en parler à Marie, lorsque celle-ci se lèvera. Vêtu simplement d'un bermuda, il ouvre les fenêtres de la demeure et prépare le petit-déjeuner. Marie apparaît nue, reposée et souriante.

Marie : « Bonjour monsieur Cello, vous avez bien dormi? »
Cello : « Bonjour ma toute belle, et toi tu as bien dormi aussi ?

Marie : « Oui monsieur. Les jeunes dorment toujours? »
Cello : «  Oui et à propos de Sarah, j'ai pris une décision »
Marie : « Vous voulez la renvoyer ? Mais elle est courageuse, obéissante, travailleuse, jeune et belle »
Cello : « Tu as fini ? Je peux parler ? Je veux que comme toi, elle soit toute lisse, aussi ce matin, on va lui raser sa petite chatte et demain elle ira chez l'esthéticienne pour une épilation intégrale et définitive ».

Marie : « Oui très bien ! »
Cello : « Et si on a la chance de recevoir prochainement la visite de Bernard et Christine, on la fera participer. Mais ne lui dit rien, ce sera son baptême de jeune soumise  ».

Lorsque les jeunes arrivent enfin dans la cuisine, Cello leur reproche de se lever trop tard, et après avoir avaler rapidement leur petit-déjeuner, Sarah débarrasse la table et commence son ménage alors qu'Alban va nettoyer la piscine comme tous les matins.

Marie appelle Sarah et lui ordonne de s'allonger sur la table de la terrasse. Marie lui écarte les jambes et lui dit :
« Ce matin, tu vas devenir toute lisse, comme moi. Tu seras désormais une vrai soumise, et apprentie-putain ».

Cello arrive avec une petite paire de ciseaux qu'il donne à Marie. Celle-ci commence à défraîchir la toison pubienne de la jeune femme.

Une grosse partie des poils de Sarah a disparue. Le couple la laisse ainsi nue, les cuisses ouvertes pendant près d'un quart d'heure, sans s'occuper d'elle. On sonne à la porte. Cello va ouvrir et revient quelques instant plus tard en compagnie de son ami Laurent. Sarah est gênée d'être ainsi offerte aux regard de cet inconnu, mais n'exquisse aucun geste pour masquer sa nudité.

Marie annonce à Sarah que c'est Laurent qui va lui raser la chatte et le SIF. La jeune fille ne sait pas ce que Marie appelle le SIF, mais ne pose pas de question. Marie va chercher le matériel pour le rasage. Pendant ce temps, le toubib en profite pour palper et étirer les lèvres intimes de la jeune femme. Sa chatte est humide et Laurent dit à Cello :
« Elle mouille cette petite salope, oh ! Moins que Marie,mais tout de même, je crois que tu as la, une bonne élève »
Laurent commence par étaler la mousse à raser avec le blaireau sur le pubis et les lèvres de Sarah, puis il prend le rasoir et commence à ôter les poils de l'apprentie-salope.Elle frisonne, mais ne bouge pas, faisant confience à son « barbier ». Lorsque tous les poils de la toison ont disparus, il demande à Sarah de se retourner et de lui offrir son cul pour raser son sillon inter fessier. Sarah comprend alors ce que signifiait le SIF. Marie se positionne de l'autre côté de la table et écarte les fesses de la jeune femelle. Laurent étale de la mousse à raser, mais cette fois avec les doigts, titillant la rondelle de Sarah et ôte avec le rasoir les rares poils de son sillon.

Cello annonce alors à son employée :
«Je pense que  MaintenantLaurent à bien mériter une bonne pipe pour le remercier »
Sarah est surprise, mais pas vraiment étonnée de l'ordre de son maître. Elle s'agenouille devant le toubib et ouvre son pantalon, découvrant un sexe de bonne grosseur, mais pas plus et commence à donner des coups de langues sur la queue de Laurent. Marie s'agenouille aux côtés de son élève pour lui prodiguer quelques conseils, car elle doit progresser dans sa manière de faire des fellations.

Aussi, de temps en temps, Marie prend la bite de Laurent, pour montrer à Sarah comment faire. Sarah est attentive et bon élève. Quand Laurent explose enfin dans la bouche de Sarah, Marie lui ordonne de garder la semance de l'homme quelques secondes dans sa bouche, avant d'avaler, et ensuite de nettoyer la bite du « barbier ».

Après le départ de Laurent, Sarah va se doucher pour enlever les dernières traces de mousse à raser et Marie va dans la chambre se vêtir, comme convenu avec son maître. Sarah revient nue dans le séjour et remercie Cello. Marie réapparait une dizaine de minutes plus tard vêtue de sa tenue rouge de putain, acheté dans « son » sex-shop. Elle porte la guêpière seins nus, le mini string, la jupette ultra-courte, des bas, les cuissardes  et même le collier rouge de soumise.

Cello complimente sa douce pour sa tenue et dit :
« Bien puisque tout le monde est prêt, on va y aller »
Sarah toujours nue, ne comprend pas. Marie lui dit alors :
« Sarah, met ton manteau, on ne va pas t'attendre toute la matinée ».

Ils se rendent alors dans le garage et Cello demande à la jeune femme de venir devant près de lui et d'ouvrir son manteau, Marie s'asseyant derrière Sarah. Pendant le trajet, Marie est penchée en avant et malaxe les seins de Sarah, pinçant et étirant parfois les tétons de son élève. Cello se gare devant le magasin et ouvre la portière de Sarah, puis celle de Marie. Ils savent que ce matin le magasin est fermé, mais Marie frappe à la vitrine et le propriétaire du magasin en voyant Marie, il leur fait signe de rentrer par l'arrière de la boutique. Le trio contourne le batiment et le commerçant les attends et les acceuille avant de refermer à clé le magasin.

Cello s'excuse de venir à cette heure, mais ils veulent habiller leur protéger et ils ont estimés qu'ils seraient plus tranquille pour faire leurs achats. Pendant ce temps, Marie a ôter le manteau de Sarah, qui pour la seconde fois de la matinée, se retrouve nue devant un inconnu.

Le « patron » de Marie demande :
« Je suppose que vous souhaitez pour la jeune fille, le même genre de vêtement que pour Marie, à savoir des vêtements très courts, très échancrés et très décolletés ? »
Cello répond :
« Oui et également des sex-toys ».

L'homme prend son mètres-ruban et commence à prendre les mensurations de Sarah, et comme avec Marie, il en profite pour peloter et caresser la poitrine, les fesses et le sexe de la jeune femme.

Il propose à Marie de venir avec lui pour choisir les vêtements, alors que Sarah reste debout les mains dans le dos et les jambes légèrement écartées en compagnie de son nouveau patron Marie revient les bras chargés de tenues sexy. Avant que ne commence l'essayage des différentes tenues, Cello demande ;
« Auriez-vous aussi la même tenue que Marie, mais pas en rouge, pour mon apprenti-putain ? »
Le commerçant répond :
« Oui bien sûr, j'ai plusieurs colories, mais j'en ai même une blanche qui devrait aller parfaitement à cette jeune fille, même si ce n'est plus apparemment une oie blanche ».

Il s'éloigne et revient avec la panoplie entière de parfaite pute.

Cello lui demande de mettre la tenue de côté, car il veux réfléchir. Il a surtout une idée derrière la tête.

Sarah essaie les différents habits et le couple opte pour 4 robes, 4 mini-jupes, 4 corsages transparents, 5 paires de bas noirs, 5 paires de bas blancs, 3 paires d'escarpins à talons, une paire de cuissardes, un imper court, 4 soutiens-gorges demi-sein et 4 string ficelle noirs et 4 blancs. Puis, il demande au commerçant un plug anal, un collier de chienne et une laisse et un œuf vibrant à télécommande.

Cello en regardant les sex-toys, trouve des petits œufs à peine plus gros qu'une petite pile électrique, pour l'anus. Il en prend deux qu'il ajoute à tous ces achats.

Le commerçant va à la caisse et présente la note à Cello, sans comptabilisé la tenue blanche, tout en mettant les achats dans des sacs. En voyant la note, Cello n'est pas étonné du montant, mais il se dit qu'il peut demander une ristourne aussi il dit :
« Vu le montant vous feriez bien un petit geste »
L'homme consent à faire une ristourne, mais Cello est plus exigeant et demande que l'homme offre la tenue blanche pour sa petite protégée. Le patron hésite, Cello ajoute :
« Et bien sûr, une pipe de la gamine, pour vous remercier de faire un geste commercial ».

Le commercant accepte et met sur le comptoir : guêpiere, mini-jupes, string, bas,cuissardes et collier.

Pendant que Cello fait le chèque, Marie fait s'agenouiller Sarah devant l'homme, qui a déjà baissé son pantalon et son slip. Sarah s'applique de son mieux, mettant en pratique les conseils donnés par Marie un peu plus tôt le matin. Et elle finit par avaler la crème du vieux avant de lui nettoyer la queue. Elle revêt alors la tenue blanche de putain, fière de porter la même tenue que sa maitresse.

Avant de partir, chargé chacun d'un sac d'achat, le commerçant propose :
« Si un samedi, Marie ne peut venir, la gamine pourrait la remplacer avec la même rémunération ».

Cello répond : « Pas la même rémunération, car Sarah est encore presque neuve, donc plus chère ».

Et le trio sorte du magasin et retourne à la voiture, Cello entouré de ses deux putains. Les deux femmes montent à l'arrière du véhicule, après avoir déposé les paquets dans le coffre.

Pendant le trajet retour, il regarde dans son rétroviseur et voit ces deux accompagnatrices se caresser et s'embrasser à pleine bouche.