Marie, ma nouvelle voisine - 37 - Mercredi - histoire érotique

Après le déjeuner, Cello s'enferme dans son bureau et appelle Sabine, l'esthéticienne pour prendre un rendez-vous pour l'épilation définitive de Sarah. Puis il va voir Marie, et lui annonce que désormais, Sarah l'accompagnera quand Alban la promènera en laisse pour faire ses besoins.

Il convoque alors Alban et lui annonce qu'il doit maintenant traiter Sarah comme Marie, à savoir mettre de la crème solaire sur la jeune domestique et qu'elle devra faire ses besoins de la même façon que Marie.

Alban prend les colliers et laisses des deux femmes et leurs dit :
« Allez ! C'est l'heure de la ballade ».

Immédiatement Marie se met à quatre pattes, imitée par Sarah. Alban attache alors les laisses aux colliers et commence à promener les deux petites chiennes. Elles marches à quatre pattes de chaque cotés du jeune homme. Quand Sarah ressent le besoin d'uriner, elle aboie comme elle a vu faire sa maitresse et le trio s'arrête pendant que la jeune apprentie urine. Une fois que Sarah remue sa croupe pour montrer qu'elle a fini, Alban ordonne à Marie de se placer derrière son employée et de lécher la vulve humide de la jeune chienne. La ballade reprend et lorsque Marie exprime à son tour le beoin de pisser, le trio fait une nouvelle halte et Sarah vient se placer derrière Marie attendant que sa patronne finisse d'uriner pour la lécher.

Cello qui suit à quelques mètres pour juger du bon déroulement de cette première ballade à trois, ce dit :
« Décidément cette petite apprend très vite ! »
Après la promenade, les deux jeunes reprennent leurs activités régulières et Marie se prélasse au Soleil. Cello prend sa voiture et part en ville sans dire un mot à Marie. Celle-ci est étonné, car ce n'est pas dans les habitudes de son maître, d'agir ainsi.

Cello gare sa voiture dans une petite rue et fait une cinquantaine de mètres à pied, où il rejoint Georges le SDF. Celui-ci en voyant Cello sourit et l'acceuille chaleureusement avant de dire :
« J'ai eu la visite de votre dame, mais vous êtes au courant bien sûr et vous venez me voir pour déterminer qu'elle jour, elle peut venir pour son stage »
Cello : « Exactement mon vieux Georges Je veux que tu la traite avec les égards d'une bourgeoise, mais aussi comme une pute en mal de sensations fortes, ets je sais que tu sais faire et que je peux te faire confiance ».

Il lui tend alors une liasse de biller de 10 euros en disant :
« Tiens mon ami, c'est pour les frais que tu pourrais avoir pour acceuillir ta stagiaire ».

Georges : « Oh ! Je vais juste avoir besoin d'emprunter des frusques à une collègues pour la journéee et acheter des clopes et aussi de quoi se rincer le gosier. Aussi, vous me donnez beaucoup trop »
Cello : « Le supplément c'est pour que tu prennes soin de ma douce et que tu la soignes bien ».

Ils conviennent du jrudi soir, 18 heures, et les deux hommes se quittent. Cello rentre chez lui, s'enferme dans son bureau et appelle Bernard pour convenir d'une rencontre. Ils discutent pendant un bon quart d'heure et les deux hommes s'accordent pour le dimanche matin vers 9 h 30 – 10 h 00 chez Cello.

La fin de journée se déroule normalement, et alors que le couple et leurs deux employés sont sur le point de prendre un petit apéritif, Cello va chercher une bouteille de champagne et en revenant ordonne à Sarah d'aller chercher 4 flutes à champagne.

Marie : « On a quelques choses à fêter ? C'est pour cette raison que vous étiez si mystérieuxdepuis ce matin ? ».

Cello : « Je ne voulais rien dévoiler tant que nous n'étions pas tous réunis car vous serez tous plus ou moins concernés, même si bien entendu Marie est la plus intéressée et impliquée.

Cello débouche la bouteille et remplit les 4 verres avant de continuer :
« Marie a rendez-vous jeudi soir à 18 heures avec Georges ».

Marie : « Georges ? C'est qui ? »
Cello : « C'est le SDF que tu as rencontré hier. Tu passeras 24 heures avec lui, pour être exhibée, humiliée et baisée »
Marie : « Whouai ! Super ! Mais en quoi les jeunes sont concernés ? »
Cello : « Alban sera chargé de nettoyer Marie après son stage, voir la punir, quand à Sarah, elle m'accompagnera pour récupérer Marie vendredi soir. Je n'en dis pas plus, car tout dépend ensuite de la tournure des évènements ».

Marie très excitéee par la nouvelle se trémousse sur son siège. Alban sait qu'il va prendre plaisir à laver et brosser la pute, quand à Sarah, elle semble un peu inquiète ne sachant ce qui va lui arriver.

Cello : « Et une bonne nouvelle, n'arrivant jamais seule, dimanche matin nous aurons la visite de Bernard et Christine. Pour les jeunes, je précise que c'est un couple qu'on a rencontrer dernièrement et d'après une question de Christine, on suppose qu'elle vient pour avoir une première expérience homosexuelle et il est probable que Sarah soit baisée par le couple et qu'Alban puisse profiter des charmes de Christine. Voilà ! J'espère que vous êtes satisfait et heureux de ses nouvelles. Maintenant trinquons au sexe et à la débauche».

Après le repas, Sarah débarasse la table, alors que Marie va s'allonger sur un transat. Alban et Cello reste quelques minutes à discuter ensemble. Lorsque Sarah revient, Cello l'envoi s'occuper de Marie qui est excitée depuis l'apéritif.

Sarah s'approche de sa maitresse et lui demande :
« Un coup de main maitresse ? »
Marie : « Oh ! Donne-moi plutôt des coups de langue petite salope ! Viens me bouffer la chatte, le clito et le cul ! »
Sarah s'allonge entre les jambes de Marie, et plonge sa tête entre ses cuisses, plaque sa bouche contre la chatte de sa maitresse et commence à lécher la chatte trempée. Marie jouit très rapidement sous les caresses buccales de son employée.

Cello s'approche alors de couple lesbien et dit à Sarah :
« Allez Sarah ! Va mettre ton imper, je t'emmène chez l'esthéticienne.

La jeune est étonnée, car elle n'était pas au courant que son maître avait pris un rendez-vous. En arrivant chez Sabine, celle est n'est pas surprise de voir Sarah, car Cello lui avait expliqué par téléphone, que le rendez-vous concernait son apprentie-pute.

Elle retire le vêtement de sa cliente et la conduit dans une cabine, en lui disant de s'allonger sur le dos. Sabine raccompagne Cello jusqu'à la porte et retourne dans le petit cabinet pour s'occuper de Sarah. Elle lui explique qu'à la demande de ses maîtres, elle va l'épiler intégralement et définitivent.

En revenant chez lui, Cello ouvre sa boîte aux lettres et découvre un courrier d'Hervé, le « encore » époux de Marie. En prenant connaissance du contenu, il apprend que son « rival » souhaite diversé avec tort exclusif de son épouse pour abandon du domicile conjugal et vie déparvée et que d'autre part, il désire également vendre la maison, pour quitter le quartier.

Cello appelle Marie et lui donne le courrier, pour qu'elle le lise. Celle-ci se met en colère et dit :
« Le salaud, il veut divocé en me mettant tous les torts pour que je perde tout ».

Cello tente de la calmer et la raisonner.

« Chérie, tu ne peux tout de même pas nier que tu as abandonné ton domicile et que tu te comportes comme une pute, mais tu ne vas pas tout perdre pour autant. Quand il aura vendu la maison, une fois déduit ce qui reste à rembourser sur l'emprunt, il te reviendra 50% de la somme ».

Marie se calme et Cello lui dit qu'il allait téléphoner à Hervé, pour lui dire que Marie ne s'opposait pas au divorce, ni à la vente de la maison et savoir ce que Marie pourra récupérer dans la maison.

Hervé : « Marie peut et doit récupérer les 3 cadres où elle expose son cul, le plus tôt possible et qu'elle peut aussi récupérer ses vêtements, bien qu'elle n'en porte plus beaucoup. Autrement, je garde le tout, sauf si il y a des babioles, qui sont à elle, et que je mettrais dans un carton à son intention ».

Cello : « Bien, je vois tout de suite pour récupérer les tableaux et Marie viendra chercher ses vêtements demain matin, si tu veux bien ».

Hervé : « Demain matin, c'est parfait, je serais absent ».

Cello résume sa conversation avec son ex, à Marie, qui semble satisfaite et elle demande :
« Mais où mettrez-vous les cadres ? »
Cello : « Dans le grand bureau, où je vais rarement. Jai une petite idée de ce que je vais faire de cette pièce, qui sera bientôt la tienne, mais je t'en dirais plus ultérieurement ».

Il appelle ensuite l'entreprise « S.O.S. Bricolage & Entretien » pour récupérer les trois cadres en précisant qu'il faut 2 employés pour dépendre, transporter et fixer les tableaux chez lui et donne les dimensions des cadres.

Un rendez-vous est pris pour le lendemain matin. Lorsqu'il en a fini avec les affaires de Marie, il prend un verre avec sa maitresse et part récupérer Sarah chez Sabine. Lorsqu'il arrive à la porte de l'institut de beauté, et sonne pour qu'on vienne lui ouvrir. Sabine lui ouvre, lui dit que Sarah est prête et qu'elle se repose dans la cabine. Puis, elle l'invite dans son bureau. Cello pense que c'est pour régler la prestation de l'esthéticienne, mais celle-ci dit :
« Monsieur Cello, l'autre jour je vous ai demandé de me vendre Marie et vous avez refusé, et me refuserez-vous également de me vendre votre petite employée ? »
Cello : « Vous en avez parlé avec elle ? »
Sabine : « Non pas encore, je voulais votre avis avant. Si vous acceptez, je m'engage à l'inscrire dans une école d'esthétique et lorsqu'elle aura son diplôme, je lui donnerais 50% de mon affaire et ce , devant notaire ».

Cello : « Bien pour Sarah, c'est vraiment très intéressant et qu'est ce que j'y gagne ? Car je perds une petite salope travailleuse et courageuse ».

Sabine : « Toutes mes prestations et produits de beauté pour Marie seront gratuits ainsi bien sûr que l'épilation de Sarah ce matin ».

Cello : « Parfait ! Vous comprendrez bien que je veux réfléchir avant de vous répondre, mais je ne suis pas opposé dans l'intérêt de Sarah. Je veux en discutez avec elle et Marie et vous rappelle ce soir ou demain matin, pour vous donnez ma réponse.

Cello va chercher Sarah, il remarque qu'elle a les cheveux mouillés et la ramène à la maison, sans lui faire part de sa conversation avec l'esthéticienne.

Le soir, pendant le repas, Cello parle de sa conversation avec Sabine. Sarah se met à pleurer, triste de probablement quitter ses employeurs, mais heureuse de pourvoir suivre une formation dans l'esthétique.

Alban en riant dis : « Pleure ma belle, tu pisseras moins, mais au faite tu n'as pas fait ta ballade ce soir »
Sarah : « Si j'ai pissé dans la douche de Sabine »
Cello : « Dans sa douche ou dans sa bouche? »
Sarah : « Les deux, monsieur »
Cello : « Et elle a fait de même, ce qui explique que tu avais les cheveux mouillées ».

Sarah : « Oui ! Après j'ai pris une vrai douche et fait un shampooing en compagnie de Sabine »
Cello : « Mais tu sais si tu nous quittes, ce ne sera que la semaine prochaine, tu as encore le temps d'avoir de nouvelles expériences ».

Le repas se termine dans la sérénité et ils font se coucher, Alban et Sarah seul, et Marie avec Cello.