Marie ma nouvelle voisine - 47 - mardi matin
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-12-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie ma nouvelle voisine - 47 - mardi matin
Au réveil, Marie se dirige dans la cuisine, où Cello a préparé le petit déjeuner et aéré la maison. Il sort de la salle de bain, en bermuda comme à son habitude et découvre Marie assise à table, attendant son amant pour prendre un café avec lui. Marie se lève et embrasse son maître avec passion, en portant sa main sur la braguette de son homme.
Cello :« Toi, tu as envie d'un café crème ! »
Marie : « Oh oui monsieur Cello, avec un croissant imbibé de ma mouille »
Elle saisit une viennoiserie, écarte ses lèvres, et commence à sa branler avec, alors que de l'autre main, elle masturbe son maître. Cello jouit dans la tasse de sa salope. Marie à l'aide d'une petite cuillière, mélange le tout et sort la viennoiserie de sa chatte pour la tremper dans son café-crème.
Après le petit déjeuner, Marie débarrasse la table et fait un peu de ménage, lorsqu'elle s'inquiète de l'absence d'Alban. Cello lui annonce qu'il a donné quelques jours de congé à son employé. Marie laisse Cello en lui disant :
« Je vais dans mon bureau, faire un croquis de la tenue de danseuse que j'ai imaginée pour Christine, alias Christal, afin d'acheter juste la quantité de tissus nécéssaire ».
Cello reçoit alors un appel téléphonique, c'est Christine. Elle lui annonce que son mari est absent jusqu'au lendemain soir, mais qu'il sera de retour pour voir le spectacle de sa femme. Cello lui ditque Marie travaille sur le projet de tenue de danseuse et que plus tard, ils passeront la prendre pour aller choisir du tissus.
Cello va retrouver sa maîtresse lui répète ce que lui à dit Christine et lui demande :
« As-tu réfléchi, au menu pour le repas de jeudi soir ? Tu ne penses pas refaire la même chose qu'avec ton mari ? »
Marie rit et dit : « La fameuse poule au jus et ses carottes ! »
Cello : « Oui, tu vois qu'Hervé aussi était très naïf ».
Marie ; « Non pas encore, mais ne vous inquiétez pas, je saurais improviser. Autrement, dans une petite demi-heure, je serais prète ».
Trente minutes plus tard, le couple sort de la maison, Marie entièrement nue, l'imper sur le bras. Cello a pris les plans du vêtement dans son sac. En arrivant devant chez Bernard et Christine, le couple descend de voiture. Cello prend son sac et Marie sort du véhicule, nue laissant son imper sur le siège arrière. Cello sonne à la porte, et Christine ouvre la porte. Le couple embrasse Christine sur le seuil de la porte et entre dans la villa, surpris que Christine les acceuille entièrement nue sur le seuil de sa porte.
Cello : « Tu ne crains pas que tes voisins te voient nous acceuillir nue ? »
Christine : « Les voisins, je m'en fout, ils peuvent penser ce qu'ils veulent, j'ai envie enfin de vivre sans me soucier de l'opinion des gens »
Marie : « Mais Bernard, s'il apprend cela, car il ne semble pas du même avis? »
Christine : « Content ou pas content, sais pareil. J'en ai marre de toujours faire suivant les convenances ».
Elle entraîne le couple dans le séjour et dit :
« Vous voulez un café ? Je suis allée à la boulangerie ce matin acheté des croissants »
Marie : « Tu es un amour, mais une sacré vicieuse aussi, et je suppose que Bernard était déjà parti, quand tu es allé à la boulangerie ».
Bernard : « Oui, il ne comprendrait que j'ai envie de nouvautés et de découvertes ».
Après le café, Cello montre à Christine les dessins de Marie pour sa tenue de danseuse, et elle est ravie du travail effectué par son amie. Cello range les plans et le trio se prépare à sortir acheter les tissus. La brune prend son imper sur son bras et sort en compagnie de ses amis, dans la même tenue que Marie.
En arrivant devant une mercerie et tissus, les femmes enfilent leurs impers, et descendent de l'automobile. Cello les accompagne avec son sac contenant les esquisses de Marie. Ils sont reçus par un petit homme, souriant et Marie explique précisément ce qu'elle reherche. L'homme réfléchi quelques secondes et se dirige parmi les rouleaux de tissus et leur montre un rouleau de soie blanche.
Marie montre ses dessins et l'homme prend son mètre-ruban qu'il a autour du cou pour prendre les mesures. Christine ôte son imper et apparaît nue devant le vieil homme. Celui-ci est nullement troublé par le corps de la belle brune. Marie lui demande de mesurer le tour de taille le plus bas possible pour faire une ceinture avec un tissu doré. Ensuite, il déroule la soie blanche pour la placer devant le corps bronzé de Christine. Devant la glace, la brune trouve que le tissu ne cache pas assez son corps. Avec le vendeur, ils décident de froncer le tissu pour le rendre moins transparent. Cet option convient aux 4 personnes et donc le trio achète 2 pans de tissus pour le devant et l'arrière du bas du corps de Christine, et un autre pour le haut du corps.
Marie pour ce troisième pan, pensait le passé autour du cou de son amie, emprisonner les mamelles de la belle et nouer les deux pans dans son dos. L'homme propose à Marie de faire un nœud factice sur l'un des pans et d'attacher les pans avec du ruban auto agrippant, beaucoup plus simple pour un strip-tease.
Elle demande autrement un autre morceaux de soie du même rouleau, pour faire un masque et caché le visage de Christine.
En plus des morceaux de tissus en soie, le ruban auto agrippant, le tissu doré pour la ceinture et des ruban également doré pour attacher le masque, l'homme place le tout dans un sac et quand Cello sort sa carte bancaire pour régler les achats, le vieil homme propose une remise de 50%, si la danseuse lui fait une fellation. Le trio est surpris de la demande de l'homme, qui jusqu'ici n'avait eu aucun geste déplacé.
Chritine est abasourdie, elle qui n'a sucer que Cello, à l'exception de son mari. La femelle s'agenouille déboutonne le pantalon du patron de la boutique, baisse son pantalon et son slip et prend en main le sexe dur de l'homme. L'homme lui caresse tendrement les cheveux l'encourageant à le prendre en bouche. Christine prend le sexe de l'homme et commence à le sucer. Le vieux très excité depuis qu'il a vu Christine à poil, et certainement en manque, ne tarde pas à envoyer sa purée dans la bouche de la brune, qui se force à avaler la semence du vieil homme.
Le patron remercie Christine, l'aide à se relever en galant homme et donne le sac à Cello. Marie remercie le vendeur pour son aide et lui certifie qu'elles repasseront prochainement, car elle fera certainement d'autres tenues pour son amie.
Le trio est à peine dans la voiture que Christine crie :
« Comment avz-vous pu me demander de sucer cet homme ? »
Cello : « Mais ma belle, je ne t'ai rien demandé, tu n'étais pas obligé d'accepter, si tu l'a fait c'est que cela te convenait et si tu avais refusé, Marie aurait pris ta place avec plaisir ».
Marie : « Oui c'est vrai, il me plaisait bien ce petit vieux, de plus tu as de la chance, il était poli, attentionné, doux et propre, tu n'auras pas toujours la même chance »
Cello : « Tu devrais être fière de toi, ma chérie, en deux jours, tu as fait cocu ton mari, et tu es devenu une putain. Quelle progression pour une petite bourgeoise ! »
Christine : « Je ne suis pas une putain ! C'est pas vrai ! »
Cello : « Oh si Christine, tu a sucé ce petit vieux pour obtenir une remise de 50% sur nos achats. Tu souhaites depuis le début, avoir la même vie que Marie, car tu l'as enviée dès que tu l'a vu s'exhibée sur la terrasse du café ».
Christine ne répond rien, et Cello dit aux deux femelles :
« J'ai eu une idée pour le spectacle lesbien de demain soir. Après le strip-tease de Christine, elle sort de la scène quelques instant et quand elle revient avec toi, Marie, tu seras à 4 pattes, nue bien sûr, et tenue en laisse et tu commenceras par te frotter contre les jambes de - Christal - puis tu lui lècheras la chatte pour commencer votre show.
Marie : « Oui super comme entrée en scéne, qu'en penses tu ma chérie ? »
Christine silencieuse depuis la petite altercation avec Cello répond :
« Oui c'est vraiment une bonne idée, mieux que de rentrer sur scène, main dans la main, mais il faudra répéter cette nouvelle entrér en scène »
Cello : « Pas de problème, puisque tu es libre jusqu'à demain soir, que ton mari rentre ».
En arrivant à la maison, pendant que Marie va porter les achats dans son bureau, Cello s'assied sur le canapé et demande à Christine de venir s'allonger sur ces genoux. Celle-ci confiance s'installe sur les genoux de son nouvel amant. Quand Marie revient, elle découvre Cello en train de caresser les fesses de sa nouvelle amie. Elle comprend tout de suite que son maître va la punir, pour s'être rebellée.
Effectivement Cello interrompt ses caresses et commence à donner des claques sur le postérieur de la brune, les coups sont peu appuyés, puis il reprend ses caresses et de nouveau les claques plus fortes cette fois-ci. Il alterne ainsi pendant une bonne demi-heure, finissant par des fessées très fortes. Le cul de Christine est très rouge, prèsque grenat. Cello lui demande de se lever, ce qu'elle fait en se frottant le postérieur et les larmes dans les yeux. Il passe alors sa main entre ses cuisses et constate qu'elle est trempée et dit :
« Tu as aimé cela, hein petite trainée, ta chatte est trempée. Maintenant tu vas reconnaître que tu es une putain »
Christine : « …. Je suis.... »
Cello : « Tu veux une deuxième ration ? »
Christine : « Non monsieur Cello... Pitié s'il vous plait... Oui je suis une putain, vous avez raison et aussi une trainée qui fait cocu son mari ».
Cello : « Bien, maintenant Marie va masser ton cul de putain avec une crème appaisante et ensuite tu te reposeras. Cette après-midi nous irons faire des courses pour le repas de jeudi soir ».
Cello :« Toi, tu as envie d'un café crème ! »
Marie : « Oh oui monsieur Cello, avec un croissant imbibé de ma mouille »
Elle saisit une viennoiserie, écarte ses lèvres, et commence à sa branler avec, alors que de l'autre main, elle masturbe son maître. Cello jouit dans la tasse de sa salope. Marie à l'aide d'une petite cuillière, mélange le tout et sort la viennoiserie de sa chatte pour la tremper dans son café-crème.
Après le petit déjeuner, Marie débarrasse la table et fait un peu de ménage, lorsqu'elle s'inquiète de l'absence d'Alban. Cello lui annonce qu'il a donné quelques jours de congé à son employé. Marie laisse Cello en lui disant :
« Je vais dans mon bureau, faire un croquis de la tenue de danseuse que j'ai imaginée pour Christine, alias Christal, afin d'acheter juste la quantité de tissus nécéssaire ».
Cello reçoit alors un appel téléphonique, c'est Christine. Elle lui annonce que son mari est absent jusqu'au lendemain soir, mais qu'il sera de retour pour voir le spectacle de sa femme. Cello lui ditque Marie travaille sur le projet de tenue de danseuse et que plus tard, ils passeront la prendre pour aller choisir du tissus.
Cello va retrouver sa maîtresse lui répète ce que lui à dit Christine et lui demande :
« As-tu réfléchi, au menu pour le repas de jeudi soir ? Tu ne penses pas refaire la même chose qu'avec ton mari ? »
Marie rit et dit : « La fameuse poule au jus et ses carottes ! »
Cello : « Oui, tu vois qu'Hervé aussi était très naïf ».
Marie ; « Non pas encore, mais ne vous inquiétez pas, je saurais improviser. Autrement, dans une petite demi-heure, je serais prète ».
Trente minutes plus tard, le couple sort de la maison, Marie entièrement nue, l'imper sur le bras. Cello a pris les plans du vêtement dans son sac. En arrivant devant chez Bernard et Christine, le couple descend de voiture. Cello prend son sac et Marie sort du véhicule, nue laissant son imper sur le siège arrière. Cello sonne à la porte, et Christine ouvre la porte. Le couple embrasse Christine sur le seuil de la porte et entre dans la villa, surpris que Christine les acceuille entièrement nue sur le seuil de sa porte.
Cello : « Tu ne crains pas que tes voisins te voient nous acceuillir nue ? »
Christine : « Les voisins, je m'en fout, ils peuvent penser ce qu'ils veulent, j'ai envie enfin de vivre sans me soucier de l'opinion des gens »
Marie : « Mais Bernard, s'il apprend cela, car il ne semble pas du même avis? »
Christine : « Content ou pas content, sais pareil. J'en ai marre de toujours faire suivant les convenances ».
Elle entraîne le couple dans le séjour et dit :
« Vous voulez un café ? Je suis allée à la boulangerie ce matin acheté des croissants »
Marie : « Tu es un amour, mais une sacré vicieuse aussi, et je suppose que Bernard était déjà parti, quand tu es allé à la boulangerie ».
Bernard : « Oui, il ne comprendrait que j'ai envie de nouvautés et de découvertes ».
Après le café, Cello montre à Christine les dessins de Marie pour sa tenue de danseuse, et elle est ravie du travail effectué par son amie. Cello range les plans et le trio se prépare à sortir acheter les tissus. La brune prend son imper sur son bras et sort en compagnie de ses amis, dans la même tenue que Marie.
En arrivant devant une mercerie et tissus, les femmes enfilent leurs impers, et descendent de l'automobile. Cello les accompagne avec son sac contenant les esquisses de Marie. Ils sont reçus par un petit homme, souriant et Marie explique précisément ce qu'elle reherche. L'homme réfléchi quelques secondes et se dirige parmi les rouleaux de tissus et leur montre un rouleau de soie blanche.
Marie montre ses dessins et l'homme prend son mètre-ruban qu'il a autour du cou pour prendre les mesures. Christine ôte son imper et apparaît nue devant le vieil homme. Celui-ci est nullement troublé par le corps de la belle brune. Marie lui demande de mesurer le tour de taille le plus bas possible pour faire une ceinture avec un tissu doré. Ensuite, il déroule la soie blanche pour la placer devant le corps bronzé de Christine. Devant la glace, la brune trouve que le tissu ne cache pas assez son corps. Avec le vendeur, ils décident de froncer le tissu pour le rendre moins transparent. Cet option convient aux 4 personnes et donc le trio achète 2 pans de tissus pour le devant et l'arrière du bas du corps de Christine, et un autre pour le haut du corps.
Marie pour ce troisième pan, pensait le passé autour du cou de son amie, emprisonner les mamelles de la belle et nouer les deux pans dans son dos. L'homme propose à Marie de faire un nœud factice sur l'un des pans et d'attacher les pans avec du ruban auto agrippant, beaucoup plus simple pour un strip-tease.
Elle demande autrement un autre morceaux de soie du même rouleau, pour faire un masque et caché le visage de Christine.
En plus des morceaux de tissus en soie, le ruban auto agrippant, le tissu doré pour la ceinture et des ruban également doré pour attacher le masque, l'homme place le tout dans un sac et quand Cello sort sa carte bancaire pour régler les achats, le vieil homme propose une remise de 50%, si la danseuse lui fait une fellation. Le trio est surpris de la demande de l'homme, qui jusqu'ici n'avait eu aucun geste déplacé.
Chritine est abasourdie, elle qui n'a sucer que Cello, à l'exception de son mari. La femelle s'agenouille déboutonne le pantalon du patron de la boutique, baisse son pantalon et son slip et prend en main le sexe dur de l'homme. L'homme lui caresse tendrement les cheveux l'encourageant à le prendre en bouche. Christine prend le sexe de l'homme et commence à le sucer. Le vieux très excité depuis qu'il a vu Christine à poil, et certainement en manque, ne tarde pas à envoyer sa purée dans la bouche de la brune, qui se force à avaler la semence du vieil homme.
Le patron remercie Christine, l'aide à se relever en galant homme et donne le sac à Cello. Marie remercie le vendeur pour son aide et lui certifie qu'elles repasseront prochainement, car elle fera certainement d'autres tenues pour son amie.
Le trio est à peine dans la voiture que Christine crie :
« Comment avz-vous pu me demander de sucer cet homme ? »
Cello : « Mais ma belle, je ne t'ai rien demandé, tu n'étais pas obligé d'accepter, si tu l'a fait c'est que cela te convenait et si tu avais refusé, Marie aurait pris ta place avec plaisir ».
Marie : « Oui c'est vrai, il me plaisait bien ce petit vieux, de plus tu as de la chance, il était poli, attentionné, doux et propre, tu n'auras pas toujours la même chance »
Cello : « Tu devrais être fière de toi, ma chérie, en deux jours, tu as fait cocu ton mari, et tu es devenu une putain. Quelle progression pour une petite bourgeoise ! »
Christine : « Je ne suis pas une putain ! C'est pas vrai ! »
Cello : « Oh si Christine, tu a sucé ce petit vieux pour obtenir une remise de 50% sur nos achats. Tu souhaites depuis le début, avoir la même vie que Marie, car tu l'as enviée dès que tu l'a vu s'exhibée sur la terrasse du café ».
Christine ne répond rien, et Cello dit aux deux femelles :
« J'ai eu une idée pour le spectacle lesbien de demain soir. Après le strip-tease de Christine, elle sort de la scène quelques instant et quand elle revient avec toi, Marie, tu seras à 4 pattes, nue bien sûr, et tenue en laisse et tu commenceras par te frotter contre les jambes de - Christal - puis tu lui lècheras la chatte pour commencer votre show.
Marie : « Oui super comme entrée en scéne, qu'en penses tu ma chérie ? »
Christine silencieuse depuis la petite altercation avec Cello répond :
« Oui c'est vraiment une bonne idée, mieux que de rentrer sur scène, main dans la main, mais il faudra répéter cette nouvelle entrér en scène »
Cello : « Pas de problème, puisque tu es libre jusqu'à demain soir, que ton mari rentre ».
En arrivant à la maison, pendant que Marie va porter les achats dans son bureau, Cello s'assied sur le canapé et demande à Christine de venir s'allonger sur ces genoux. Celle-ci confiance s'installe sur les genoux de son nouvel amant. Quand Marie revient, elle découvre Cello en train de caresser les fesses de sa nouvelle amie. Elle comprend tout de suite que son maître va la punir, pour s'être rebellée.
Effectivement Cello interrompt ses caresses et commence à donner des claques sur le postérieur de la brune, les coups sont peu appuyés, puis il reprend ses caresses et de nouveau les claques plus fortes cette fois-ci. Il alterne ainsi pendant une bonne demi-heure, finissant par des fessées très fortes. Le cul de Christine est très rouge, prèsque grenat. Cello lui demande de se lever, ce qu'elle fait en se frottant le postérieur et les larmes dans les yeux. Il passe alors sa main entre ses cuisses et constate qu'elle est trempée et dit :
« Tu as aimé cela, hein petite trainée, ta chatte est trempée. Maintenant tu vas reconnaître que tu es une putain »
Christine : « …. Je suis.... »
Cello : « Tu veux une deuxième ration ? »
Christine : « Non monsieur Cello... Pitié s'il vous plait... Oui je suis une putain, vous avez raison et aussi une trainée qui fait cocu son mari ».
Cello : « Bien, maintenant Marie va masser ton cul de putain avec une crème appaisante et ensuite tu te reposeras. Cette après-midi nous irons faire des courses pour le repas de jeudi soir ».
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