Marie ma nouvelle voisine - 50 - dernier épisode
Récit érotique écrit par Cello [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marie ma nouvelle voisine - 50 - dernier épisode
Philippe et Christine arrive vers 19 heures chez Cello. Il les acceuille cordialement vêtu d'un bermuda et d'un polo. Philippe porte une chemisette et un jean, et Christine est vêtie d'une robe très courte et très décolletée, achetée dans le magasin où Marie travaille le samedi. Elle a pris soin bien entendu de mettre un imper sur ses épaules pour sortit de chez elle et parcourir les quelques mètres de la voiture à la maison de son hôte.
Philippe ne voyant pas Marie demande :
« Marie n'est pas là? »
Cello : « Si, elle est dans son bureau à faire de la couture. C'est une grande pièce que je lui ai aménagé, mais venez je vais vous montrer »
Ils empruntent le couloir et Cello entre dans la pièce où Marie nue, confectionnr un second costume de danseuse pour son amie.
Si Marie n'est nullement surprise de les voir arriver dans son bureau, Christine et surtout Philippe reste stupéfaits en apercevant les 3 tableaux grandeurs natures de Marie nue.
Philippe: « Cela ne te gène pas d'afficher ainsi ses tableaux ? »
Marie : « Absolument pas, je suis une salope et j'assume complètement ».
Et s'adressant à Christine, Marie lui demande :
« Mais toi, ma chérie, tu n'aimerais pas avoir un beau portrait de toi, grandeur nature, chez toi ? »
Christine étonnée par la question hésite avant de répondre :
« … Oui... C'est vrai que j'aimerais bien mais... dans une pièce, où peu de monde ne vient ».
Philippe: « Quoi ! Mais il n'en ai pas question, tu te rends compte de ce que tu dis ».
Christine : « Ben oui … J'aime m'exhiber alors comme Marie, pourquoi ne pas assumer ? »
Marie : « A ce propos, mets toi à l'aise ma belle »
Christine retire sa robe et se retrouve dans la même tenue que son amie. Le quator regagne le séjour et après quelques temps de discussion sans intérêt, Cello propose un punch avec des accras cuisinés par Marie. Elle a pris soin de mettre qu'une petite dose de rhum dans les verres des femmes, une dose ordinaire pour son amant et une dose plus forte pour Philippe.
Après l'apéritif, Cello demande de l'excuser, mais il souhaite fumer une cigarette avant de passer à table. Bien évidemment Christine le suit sous le même prétexte, alors que Marie reste dans le séjour à tenir compagnie à Philippe.
Cello n'a allumé que deux des huit spots qui éclairent la terrasse, les laissant ainsi dans la pénombre et peu visible du séjour. Christine s'assied dans un fauteuil, dos au séjour et Cello reste debout à côté d'elle. Il ouvre sa braguette, sort son sexe et ordonne à Christine :
« Suces moi salope ! »
Christine : « Mais monsieur Cello, mon mari.... »
Cello : « Il ne peut nous voir. Dépêche-toi ma petite pute »
Christine se tourne vers son ami et commence à le lécher avant de le prendre en bouche et de le pomper goulûment sachant qu'elle doit faire jouir son amant rapidement. Il allume une seconde cigarette avant de remplir le gosier de la brune, qui avale la semence de l'homme, puis elle essuie ses lèvres avec un mouchoir que lui tend Cello. Et allume à son tour une cigarette, pour que son mari perçoive plus l'odeur de tabac que celui de sperme.
Il lui dit :
« Tu sais ce que j'ai prévu après le dessert ».
Christine : « … Je ne sais pas monsieur Cello, une danse du ventre ? »
Cello : « Non ma chérie, j'ai prévu te baiser et t'enculer devant ton mari ».
Christine : « Mais vous êtes fou monsieur Cello, il va me mettre dehors et je vais me retrouver à la rue ».
Cello : « Tu ne seras pas à la rue, tu pourras venir vivre avec nous »
Et il rentre dans le séjour, retrouver Marie et l'époux de Christine. Celle-ci, suit Cello un peu génée vis à vis de son homme. Marie place Christine près d'elle, Cello à un bout de la table près de Christine et Bernard à l'autre bout. Puis Marie apporte sur un plateau les demi-melons contenant du pinault des charentes.
Philippe: « Oh quel beau melon »
Marie : « Oui, il sont de la même grosseur que ceux de Christine »
Philippe : « Hum ! C'est très bon Marie ».
Marie : « Je me demande si les melons de Christine sont aussi bon avec du pinault ».
Elle met du vin dans sa cuillère, elle verse celui-ci sur le sein gauche de son amie et lèche aussitôt le téton.
Philippe ouvre de grand yeux, étonné de l'attitude de Marie, connaissant pourtant les mœurs légères de la blonde. Marie recommence l'opération et dit en versant le vin sur son sein droit :
« Monsieur Cello, vous voulez goûter ? »
Cello se penche alors sur le sein droit de Christine et commence à lécher le téton de la brune. Philippe réellement choqué s'adresse à sa femme et lui lance :
« Tu ne dis rien ! tu te laisses faire ! Tu devrais avoir honte ! »
Christine ; « Mais chéri, nous ne faisons rien de mal, et puis c'est super agréable de se faire lécher les nichons »
Cello : « Vous avez raison Christine, il n'y a rien de mal à se faire téter, et vos seins avec du pinault, c'est très très bon » .
Philippe déçu par l'attitude de son épouse et de ses amis, se taire dans le silence tout en dégustant son melon et buvant un verre de pinault.
Marie se lève pour débarrasser la table et apporter le second plat. En posant le plateau sur la table, elle annonce :
« Morue et sa purée maison, attention la morue est très chaude ».
Dit-elle en mettant une cassolette dans chacune des assiettes. Les convives se régalent et Philippe félicite Marie pour ses talents de cuisinière. Cello, qui a servi un riesling avec le plat, rétorque :
« Je savais que tu aimais la morue, contrairement à ce que tu veux nous faire croire ».
Une fois les cassolettes vident, Marie se lève pour faire la suite du service. Christine l'imite pour l'aider. Pendant que Marie va à la cuisine pour préparer la suite, Christine met les cassolettes sur le plateau. Pour cela, au lieu de rester devant sa chaise, elle se décale tout près de Cello, ce qui l'oblige à se pencher pour prendre les cassolettes vides, ainsi elle permet à son nouvel amant de la caresser.
Cello profite de cette situation pour caresser les fesses de la brune, sachant que son mari peut le voir. Il ne tarde pas à réagir :
Philippe: « Cello, tu caresses les fesses de ma femme ? »
Cello : « Oui bien sûr, elle a tellement un joli cul et sa peau est très douce et chaude , comment résister ? »
Philippe : « Oui mais j'aimerais bien que tu arrêtes de peloter Christine, et toi, tu le laisses faire ? »
Christine : « … Ben... C'est plutôt agréable, surtout que Cello a les mains douces et chaude ».
Cello n'a toujours pas cesser de caresser le postérieur de la brune, sous les yeux de Philippe, qui regarde sa femme appréciée le pelotage de son ami, se sert un verre de vin blanc qu'il boit rapidement.
Marie revient de la cuisine et Christine regagne sa place et s'assied. Philippe reprend sa respiration, satisfait que cette petite comédie est enfin pris fin.
Marie en déposant le plateau avec 4 verrines annonce :
« Un trou et un doigt »
Avant de sourire et d'expliquer qu'il s'agit d'un trou norand avec un doigt de calvados avec une boule de glace à la pomme et quelques allumettes de pommes pour donner un peu de consistance.
Les amis rigolent et complimentent Marie pour l'intitulé de ses verrines.
Philippe qui a repris ses esprits dit :
« Sacré Marie, toujours les idées au desous de la ceinture ! »
Cello : « Oui elle ne pense qu'à cela, et bientôt ta jolie petite femme sera comme elle ».
Cette remarque a pour conséquence de supprimer le sourire de Philippe, qui tombe de nouveau dans le mutisme. Le trou normand servi, Cello propose à Christine de faire une danse du ventre pendant l'intermède réussit de Marie.
Christine trop contente de s'exhiber, quitte sa chaise et commence à danser. Elle se trémousse et se tortille en se caressant les seins, les cuisses, les fesses pour finir par se masturber sans retenue. Elle se fait jouir jusqu'à s'écrouler sur le sol. Cello l'aide à se relever et à s'asseoir à table.
Quand Cello tient Christine dans ses bras, elle lui murmure à l'oreille :
« Je suis prête ! »
Il comprend ce que veut dire sa nouvelle maîtresse, et dépose un baiser sur ses lèvres avant de regagner lui-même sa place.
Marie, qui ne cesse de s'activer pour une soirée réussie, revient avec le dernier plat. Il s'agit d'un confit de cuisses de dinde et de carottes et en supplément des croupions de dinde. Elle sert une cuisse avec des carottes à chaque convives. Cello débouche une bonne bouteille de bordeaux rouge et verse du vin à chaque personne. Tous ne tarissent pas d'éloges sur la réussite du plat et quand Marie propose un croupion de dinde, Philippe accepte ce supplément, Christine décline l'offre et quand elle fait la proposition à Cello, avant de se servir, celui-ci répond :
« Non merci ma chérie, mais je préfère manger le croupion de Christine »
Il se lève, saisit la main de la brune pour la faire se mettre debout, et celle-ci obéissante, se penche les cuisses ouvertes, écarte ses fesses avec ses mains offrant sa rondelle à son amant sous le regard de son mari, qui, bien imbibé par l'alcool, reste sans réaction. Cello s'agenouille derrière Christine et plonge son visage entre les globes de sa maîtresse, léchant sa raie culière, puis tillillant sa rondelle avant de la pénétrer de sa langue.Après de longues minutes de dégustation, sous les gémissements de Christine, il se relève et dit :
« Ca c'est du croupion comme j'aime ! ».
Marie en riant retorque :
« Prochaine fois, au lieu de vous faire à dîner, je vous offrirais le cul de cette salope avec une carotte »
Cello sur le même ton de la plaisanterie répond :
« Ne sois pas jalouse, promis je te laisserais ma part de dessert ».
Marie : « Alors je vais me dépécher de préparer vos assiettes »
Elle s'absente une dizaine de minutes, le temps de dresser les gourmandises sur les assiettes
Pendant ce temps, Cello sent la main de Christine caresser sa cuisse puis son entrejambe. Marie revient et dépose les desserts en annonçant :
« Abricot mielé et sa crème de banane. Ce sont des oreillons d'abricot légèrement rotis dans le miel avec une crème de banane ». ».
Le dessert est apprécié par tout le monde et Cello met sa main sur la chatte de Christine et la pénétre de deux doigts avant de comparer :
« L'abricot de Christine est peut être un peu moins sucré, mais il est plus juteux, mais comme promis je te le laisse ma chère Marie, tu l'as bien mérité avec tout le travail que tu as eu pour élaborer un aussi bon repas ».
Marie : « Merci monsieur Cello ».
Elle se glisse sous la table, écarte les cuisses de sa copine, et colle sa bouche sur la vulve de sa copine. Des bruits de succions se font très vite entendre, alors que Christine émet des ;
« Hum ! Hum ! Oh oui ! Encore ma chérie ! Oui enfonce bien ta langue ! »
Philippe : « Ca continue les saloperies, vous êtes deux trainées »
Marie fait jouir son amie sous sa langue et ses doigts, puis elle sort de dessous la table, fait se lever Christine et celle-ci s'assied à califourchon sur Cello qui a sorti son sexe de son bermuda. La brune s'empale sur la grosse bite de son amant sous les yeux de son mari. Elle va et vient sur le membre de Cello, pendant que celui-ci la tenant pat les mamelles, malaxe les nichons durement, pincant et étirant les tétons durcis parla plaisir.
Il demande ensuite à Christine de se placer face à lui, et dirige sa queue sur la rondelle de la brune, qui se laisse enculer avec plaisir. Après avoir jouit plusieurs fois, et que Cello est éjaculé dans son fondement, elle se retire pour nettoyer de sa langue le membre de Cello, qui vient de sortir de son anus.
Philippe se lève :
« J'en ai assez vu, on rentre »
dit-il en s'adressant à sa femme.
Christine : « Moi je ne rentre pas avec toi. Tu as trop bu. Je reste ici »
Philippe : « Tu en as pris assez dans ton cul de putain ? »
Cello : « S'il te plait, ne soit pas vulgaire. Je te prie de rester correct. Christine a raison, tu as trop bu pour conduire ».
Pendant l'altercation, les femmes ont rangé le séjour et mit la vaisselle dans le lave-vaisselle.
Philippe n'écoute rien, alcoolisé et humilié et s'en va. Marie lui arrache les clés de voiture des mains et lui dit :
« Pars si tu veux, mais j'appelle un taxi ».
Ils sortent tous les 4 dehors pour attendre le taxi, et Cello propose aux deux femelles en chaleur d'aller jusqu'au carrefour, qui est situé à une cinquantaine de mètres, et de revenir après s'être embrassée et caressée pendant quelques minutes. Excitée par le challenge que leur propose Cello, elles partent main dans la main en direction du carrefour.
Arrivée à l'endroit prévu, elles s'arrêtent, s'embrassent, se caressent et frottent leurs corps l'un contre l'autre avant de revenir main dans la main.
Alors qu'elles sont sur le chemin du retour, elles sont doublées par le taxi, qui met ses feux en plein phare et klaxonne. En arrivant devant chez Cello, et alors que Philippe monte dans le véhicule, le chaufeur de taxi dit :
« Je ne savais pas qu'il y avit des putes dans ce quartier ».
Cello : « Ce ne sont pas des putains, les putains ne sont jamais totalement nue pour faire le tapin, je pense que ce sont deux filles qui relèvent un défi ».
Le taximan : « Oui vous avez probablement raison »
Le taxi s'eloigne en compagnie de Philippe, alors que les deux femmes reviennent devant chez Cello.
En arrivant près de Cello, Marie s'exclame :
« Alors qu'on se frottait l'une contre l'autre, cette salope m'a pissée dessus, j'en ai pleins la chatte et les cuisses ».
Cello : « Hé bien ma petite Christine, tu sais ce qu'il te reste à faire? »
Christine : « ….Heu... Non monsieur Cello ! »
Cello : « Tu la nettoie avec la langue et lorsqu'elle sera propre, vous pourrez rentrer dans la maison »
Et il rentre, laissant les deux soumises dehors devant chez lui.
Lorsque les deux femmes entre dans la maison, Cello propose alors d'aller se coucher. Christine demande :
« Je dors où ? »
Cello répond sèchement et sérieusement :
« Ben dehors ! Il n'y a pas de place pour toi ici »
Christine blémis et fond en larme.
Cello et Marie éclatent de rire en prenant leur amie dans leurs bras, et lui disent que c'est une plaisanterie, et ils l'entraînent dans la chambre de Cello, où elle dormira entre son amant et Marie.
Philippe ne voyant pas Marie demande :
« Marie n'est pas là? »
Cello : « Si, elle est dans son bureau à faire de la couture. C'est une grande pièce que je lui ai aménagé, mais venez je vais vous montrer »
Ils empruntent le couloir et Cello entre dans la pièce où Marie nue, confectionnr un second costume de danseuse pour son amie.
Si Marie n'est nullement surprise de les voir arriver dans son bureau, Christine et surtout Philippe reste stupéfaits en apercevant les 3 tableaux grandeurs natures de Marie nue.
Philippe: « Cela ne te gène pas d'afficher ainsi ses tableaux ? »
Marie : « Absolument pas, je suis une salope et j'assume complètement ».
Et s'adressant à Christine, Marie lui demande :
« Mais toi, ma chérie, tu n'aimerais pas avoir un beau portrait de toi, grandeur nature, chez toi ? »
Christine étonnée par la question hésite avant de répondre :
« … Oui... C'est vrai que j'aimerais bien mais... dans une pièce, où peu de monde ne vient ».
Philippe: « Quoi ! Mais il n'en ai pas question, tu te rends compte de ce que tu dis ».
Christine : « Ben oui … J'aime m'exhiber alors comme Marie, pourquoi ne pas assumer ? »
Marie : « A ce propos, mets toi à l'aise ma belle »
Christine retire sa robe et se retrouve dans la même tenue que son amie. Le quator regagne le séjour et après quelques temps de discussion sans intérêt, Cello propose un punch avec des accras cuisinés par Marie. Elle a pris soin de mettre qu'une petite dose de rhum dans les verres des femmes, une dose ordinaire pour son amant et une dose plus forte pour Philippe.
Après l'apéritif, Cello demande de l'excuser, mais il souhaite fumer une cigarette avant de passer à table. Bien évidemment Christine le suit sous le même prétexte, alors que Marie reste dans le séjour à tenir compagnie à Philippe.
Cello n'a allumé que deux des huit spots qui éclairent la terrasse, les laissant ainsi dans la pénombre et peu visible du séjour. Christine s'assied dans un fauteuil, dos au séjour et Cello reste debout à côté d'elle. Il ouvre sa braguette, sort son sexe et ordonne à Christine :
« Suces moi salope ! »
Christine : « Mais monsieur Cello, mon mari.... »
Cello : « Il ne peut nous voir. Dépêche-toi ma petite pute »
Christine se tourne vers son ami et commence à le lécher avant de le prendre en bouche et de le pomper goulûment sachant qu'elle doit faire jouir son amant rapidement. Il allume une seconde cigarette avant de remplir le gosier de la brune, qui avale la semence de l'homme, puis elle essuie ses lèvres avec un mouchoir que lui tend Cello. Et allume à son tour une cigarette, pour que son mari perçoive plus l'odeur de tabac que celui de sperme.
Il lui dit :
« Tu sais ce que j'ai prévu après le dessert ».
Christine : « … Je ne sais pas monsieur Cello, une danse du ventre ? »
Cello : « Non ma chérie, j'ai prévu te baiser et t'enculer devant ton mari ».
Christine : « Mais vous êtes fou monsieur Cello, il va me mettre dehors et je vais me retrouver à la rue ».
Cello : « Tu ne seras pas à la rue, tu pourras venir vivre avec nous »
Et il rentre dans le séjour, retrouver Marie et l'époux de Christine. Celle-ci, suit Cello un peu génée vis à vis de son homme. Marie place Christine près d'elle, Cello à un bout de la table près de Christine et Bernard à l'autre bout. Puis Marie apporte sur un plateau les demi-melons contenant du pinault des charentes.
Philippe: « Oh quel beau melon »
Marie : « Oui, il sont de la même grosseur que ceux de Christine »
Philippe : « Hum ! C'est très bon Marie ».
Marie : « Je me demande si les melons de Christine sont aussi bon avec du pinault ».
Elle met du vin dans sa cuillère, elle verse celui-ci sur le sein gauche de son amie et lèche aussitôt le téton.
Philippe ouvre de grand yeux, étonné de l'attitude de Marie, connaissant pourtant les mœurs légères de la blonde. Marie recommence l'opération et dit en versant le vin sur son sein droit :
« Monsieur Cello, vous voulez goûter ? »
Cello se penche alors sur le sein droit de Christine et commence à lécher le téton de la brune. Philippe réellement choqué s'adresse à sa femme et lui lance :
« Tu ne dis rien ! tu te laisses faire ! Tu devrais avoir honte ! »
Christine ; « Mais chéri, nous ne faisons rien de mal, et puis c'est super agréable de se faire lécher les nichons »
Cello : « Vous avez raison Christine, il n'y a rien de mal à se faire téter, et vos seins avec du pinault, c'est très très bon » .
Philippe déçu par l'attitude de son épouse et de ses amis, se taire dans le silence tout en dégustant son melon et buvant un verre de pinault.
Marie se lève pour débarrasser la table et apporter le second plat. En posant le plateau sur la table, elle annonce :
« Morue et sa purée maison, attention la morue est très chaude ».
Dit-elle en mettant une cassolette dans chacune des assiettes. Les convives se régalent et Philippe félicite Marie pour ses talents de cuisinière. Cello, qui a servi un riesling avec le plat, rétorque :
« Je savais que tu aimais la morue, contrairement à ce que tu veux nous faire croire ».
Une fois les cassolettes vident, Marie se lève pour faire la suite du service. Christine l'imite pour l'aider. Pendant que Marie va à la cuisine pour préparer la suite, Christine met les cassolettes sur le plateau. Pour cela, au lieu de rester devant sa chaise, elle se décale tout près de Cello, ce qui l'oblige à se pencher pour prendre les cassolettes vides, ainsi elle permet à son nouvel amant de la caresser.
Cello profite de cette situation pour caresser les fesses de la brune, sachant que son mari peut le voir. Il ne tarde pas à réagir :
Philippe: « Cello, tu caresses les fesses de ma femme ? »
Cello : « Oui bien sûr, elle a tellement un joli cul et sa peau est très douce et chaude , comment résister ? »
Philippe : « Oui mais j'aimerais bien que tu arrêtes de peloter Christine, et toi, tu le laisses faire ? »
Christine : « … Ben... C'est plutôt agréable, surtout que Cello a les mains douces et chaude ».
Cello n'a toujours pas cesser de caresser le postérieur de la brune, sous les yeux de Philippe, qui regarde sa femme appréciée le pelotage de son ami, se sert un verre de vin blanc qu'il boit rapidement.
Marie revient de la cuisine et Christine regagne sa place et s'assied. Philippe reprend sa respiration, satisfait que cette petite comédie est enfin pris fin.
Marie en déposant le plateau avec 4 verrines annonce :
« Un trou et un doigt »
Avant de sourire et d'expliquer qu'il s'agit d'un trou norand avec un doigt de calvados avec une boule de glace à la pomme et quelques allumettes de pommes pour donner un peu de consistance.
Les amis rigolent et complimentent Marie pour l'intitulé de ses verrines.
Philippe qui a repris ses esprits dit :
« Sacré Marie, toujours les idées au desous de la ceinture ! »
Cello : « Oui elle ne pense qu'à cela, et bientôt ta jolie petite femme sera comme elle ».
Cette remarque a pour conséquence de supprimer le sourire de Philippe, qui tombe de nouveau dans le mutisme. Le trou normand servi, Cello propose à Christine de faire une danse du ventre pendant l'intermède réussit de Marie.
Christine trop contente de s'exhiber, quitte sa chaise et commence à danser. Elle se trémousse et se tortille en se caressant les seins, les cuisses, les fesses pour finir par se masturber sans retenue. Elle se fait jouir jusqu'à s'écrouler sur le sol. Cello l'aide à se relever et à s'asseoir à table.
Quand Cello tient Christine dans ses bras, elle lui murmure à l'oreille :
« Je suis prête ! »
Il comprend ce que veut dire sa nouvelle maîtresse, et dépose un baiser sur ses lèvres avant de regagner lui-même sa place.
Marie, qui ne cesse de s'activer pour une soirée réussie, revient avec le dernier plat. Il s'agit d'un confit de cuisses de dinde et de carottes et en supplément des croupions de dinde. Elle sert une cuisse avec des carottes à chaque convives. Cello débouche une bonne bouteille de bordeaux rouge et verse du vin à chaque personne. Tous ne tarissent pas d'éloges sur la réussite du plat et quand Marie propose un croupion de dinde, Philippe accepte ce supplément, Christine décline l'offre et quand elle fait la proposition à Cello, avant de se servir, celui-ci répond :
« Non merci ma chérie, mais je préfère manger le croupion de Christine »
Il se lève, saisit la main de la brune pour la faire se mettre debout, et celle-ci obéissante, se penche les cuisses ouvertes, écarte ses fesses avec ses mains offrant sa rondelle à son amant sous le regard de son mari, qui, bien imbibé par l'alcool, reste sans réaction. Cello s'agenouille derrière Christine et plonge son visage entre les globes de sa maîtresse, léchant sa raie culière, puis tillillant sa rondelle avant de la pénétrer de sa langue.Après de longues minutes de dégustation, sous les gémissements de Christine, il se relève et dit :
« Ca c'est du croupion comme j'aime ! ».
Marie en riant retorque :
« Prochaine fois, au lieu de vous faire à dîner, je vous offrirais le cul de cette salope avec une carotte »
Cello sur le même ton de la plaisanterie répond :
« Ne sois pas jalouse, promis je te laisserais ma part de dessert ».
Marie : « Alors je vais me dépécher de préparer vos assiettes »
Elle s'absente une dizaine de minutes, le temps de dresser les gourmandises sur les assiettes
Pendant ce temps, Cello sent la main de Christine caresser sa cuisse puis son entrejambe. Marie revient et dépose les desserts en annonçant :
« Abricot mielé et sa crème de banane. Ce sont des oreillons d'abricot légèrement rotis dans le miel avec une crème de banane ». ».
Le dessert est apprécié par tout le monde et Cello met sa main sur la chatte de Christine et la pénétre de deux doigts avant de comparer :
« L'abricot de Christine est peut être un peu moins sucré, mais il est plus juteux, mais comme promis je te le laisse ma chère Marie, tu l'as bien mérité avec tout le travail que tu as eu pour élaborer un aussi bon repas ».
Marie : « Merci monsieur Cello ».
Elle se glisse sous la table, écarte les cuisses de sa copine, et colle sa bouche sur la vulve de sa copine. Des bruits de succions se font très vite entendre, alors que Christine émet des ;
« Hum ! Hum ! Oh oui ! Encore ma chérie ! Oui enfonce bien ta langue ! »
Philippe : « Ca continue les saloperies, vous êtes deux trainées »
Marie fait jouir son amie sous sa langue et ses doigts, puis elle sort de dessous la table, fait se lever Christine et celle-ci s'assied à califourchon sur Cello qui a sorti son sexe de son bermuda. La brune s'empale sur la grosse bite de son amant sous les yeux de son mari. Elle va et vient sur le membre de Cello, pendant que celui-ci la tenant pat les mamelles, malaxe les nichons durement, pincant et étirant les tétons durcis parla plaisir.
Il demande ensuite à Christine de se placer face à lui, et dirige sa queue sur la rondelle de la brune, qui se laisse enculer avec plaisir. Après avoir jouit plusieurs fois, et que Cello est éjaculé dans son fondement, elle se retire pour nettoyer de sa langue le membre de Cello, qui vient de sortir de son anus.
Philippe se lève :
« J'en ai assez vu, on rentre »
dit-il en s'adressant à sa femme.
Christine : « Moi je ne rentre pas avec toi. Tu as trop bu. Je reste ici »
Philippe : « Tu en as pris assez dans ton cul de putain ? »
Cello : « S'il te plait, ne soit pas vulgaire. Je te prie de rester correct. Christine a raison, tu as trop bu pour conduire ».
Pendant l'altercation, les femmes ont rangé le séjour et mit la vaisselle dans le lave-vaisselle.
Philippe n'écoute rien, alcoolisé et humilié et s'en va. Marie lui arrache les clés de voiture des mains et lui dit :
« Pars si tu veux, mais j'appelle un taxi ».
Ils sortent tous les 4 dehors pour attendre le taxi, et Cello propose aux deux femelles en chaleur d'aller jusqu'au carrefour, qui est situé à une cinquantaine de mètres, et de revenir après s'être embrassée et caressée pendant quelques minutes. Excitée par le challenge que leur propose Cello, elles partent main dans la main en direction du carrefour.
Arrivée à l'endroit prévu, elles s'arrêtent, s'embrassent, se caressent et frottent leurs corps l'un contre l'autre avant de revenir main dans la main.
Alors qu'elles sont sur le chemin du retour, elles sont doublées par le taxi, qui met ses feux en plein phare et klaxonne. En arrivant devant chez Cello, et alors que Philippe monte dans le véhicule, le chaufeur de taxi dit :
« Je ne savais pas qu'il y avit des putes dans ce quartier ».
Cello : « Ce ne sont pas des putains, les putains ne sont jamais totalement nue pour faire le tapin, je pense que ce sont deux filles qui relèvent un défi ».
Le taximan : « Oui vous avez probablement raison »
Le taxi s'eloigne en compagnie de Philippe, alors que les deux femmes reviennent devant chez Cello.
En arrivant près de Cello, Marie s'exclame :
« Alors qu'on se frottait l'une contre l'autre, cette salope m'a pissée dessus, j'en ai pleins la chatte et les cuisses ».
Cello : « Hé bien ma petite Christine, tu sais ce qu'il te reste à faire? »
Christine : « ….Heu... Non monsieur Cello ! »
Cello : « Tu la nettoie avec la langue et lorsqu'elle sera propre, vous pourrez rentrer dans la maison »
Et il rentre, laissant les deux soumises dehors devant chez lui.
Lorsque les deux femmes entre dans la maison, Cello propose alors d'aller se coucher. Christine demande :
« Je dors où ? »
Cello répond sèchement et sérieusement :
« Ben dehors ! Il n'y a pas de place pour toi ici »
Christine blémis et fond en larme.
Cello et Marie éclatent de rire en prenant leur amie dans leurs bras, et lui disent que c'est une plaisanterie, et ils l'entraînent dans la chambre de Cello, où elle dormira entre son amant et Marie.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
merci d’avoir arrêté d’écrire!!!
alex H
alex H
Mais que c est nul …. La fin aurait du être sifflée depuis longteMps ….