Marie, un amour très secret.4, La perversité de Marie. - histoire érotique

Voici 2 anecdotes au sujet de mon amour interdit, Cet après-midi là, Lisa était rentrée plus tôt, à la demande de sa mère. Je décide de profiter du temps supplémentaire pour retrouver Marie à son appartement, elle qui ne devait me retrouver que dans la nuit.
Je suis déjà heureux de la serrer dans mes bras, comme souvent la porte n'est pas fermée à clef.
Je décide de la surprendre, en avançant a tâtons.
Mais, j'entends des bruits de gifles et des mots crus, mon coeur se met a battre la chamade.
J'approche de la porte de la chambre, en espérant que ce soit Sandra, l'amie de Marie qui baise avec un autre homme.
Mais dans l'entre bâillement, c'est bien Marie que je vois se faire défoncer par un inconnu au style quelconque et qui lui claque les fesses en la traitant de salope.
Je la vois gémir et lui demander de la baiser plus fort.
Cette vue est trop insupportable pour moi, et je me retire sans bruit. Je découvre ma jalousie, et réalise que je n'ai pas le droit de lui interdire de rencontrer d'autres hommes, puisque je n'ose pas m'engager avec elle.
J'ai regagné mon chez moi, avec bien sûr, une sacrée dose de douleur a évacuer.
La soirée fut dure a passer, je me suis endormi tant bien que mal.
Je l'ai entendu se glisser dans mes draps, puis m'enlacer en s'endormant à son tour.
Au matin, elle ouvre les yeux alors que je la regardais depuis de longues minutes, elle ne remarque pas mes yeux irrités.
Elle m'enlace fortement en disant:"Je t'aime".
Je devine à ses mots et son visage différent qu'elle n'est pas bien.
"Tu as quelque chose à me dire?".
"Oui!".
"Je suis prêt à tout entendre, dis-moi".
"Je..., je..., Patrick, tu vas me détester!".
"S'il te plais, j'ai besoin de savoir maintenant!".
"Je... t'ai... trompé..".
"Je te remercie pour ta franchise, hier après midi, c'est ça?".
"Oui, comment tu sais?".
"J'étais venu te faire une surprise, Lisa est rentrée plus tôt, et je vous ai vus! C'était la seule fois?".
Des larmes coulent sur mes joues, puis j'ajoute avant qu'elle parle.
"Tu ne me dois rien, j'ai pas le droit de t'en vouloir, mais j'ai mal, tu peux pas savoir à quel point!".
Elle se jette dans mes bras en me demandant de la pardonner, séchant mes larmes avec ses mains.
Puis, elle précise:"C'était une erreur, les filles au boulot, n'arrêtes pas de me dire de ne pas me gêner, puisque tu couches avec Lisa, ça fait quelques soir qu'il me drague, mais je regrette, sinon, je ne t'en aurai pas parlé!".
"Pourtant, tu avais l'air de prendre du plaisir!".
"Pas tant que ça, c'était du sexe uniquement, comme toi quand tu rencontres des hommes".
"Plus depuis que je te connais, j'en ai pas besoin, c'est bizarre, mais c'est comme ça!".
"J'ai pensé que ça me ferait un peu oublier mes soucis, mais comme la première fois, je me suis sentie mal après".
"Ca va passer, il me faut du temps, la première fois, je ne t'avais pas vue, c'est différent, je te vois encore lui demander de te baiser plus fort, c'est pas évident a chasser de mon esprit, je suis parti tout de suite après, j'ai pas voulu en voir plus".
"C'était que du sexe mon amour, il ne me plait même pas!".
Elle m'embrasse, puis caresse mon sexe, au bout de quelques minutes, je l'arrête et lui dit:"Je suis désolé, c'est trop tôt, laisses-moi du temps!".
Elle se mets alors a sangloter, en criant:"Mais qu'est-ce que je suis conne, conne, conne!".
Je la reprend contre moi, et la rassure.
"C'est pas grave, Marie, tu sais que je t'aime trop pour te quitter à cause de ça, ça va passer, ne t'inquiètes pas, sois patiente!".
On termine notre matinée comme un couple normal, sans sexe, simplement en retrouvant le plaisir d'être ensemble.
La deuxième anecdote sur sa perversité, s'est passée un jour ou j'étais avec Lisa dans un fast-food du boulevard du centre-ville.
C'était en milieu d'après-midi, donc le lieu était moins fréquenté, nous étions vers la fond de la salle du bas.
Ayant envie d'uriner, je dois passer près de l'entrée, pour monter aux toilettes.
Je me rends dans la partie homme, me débarrasse de mon besoin naturel, puis pousse la porte pour rejoindre Lisa.
Je tombe nez à nez avec Marie.
"Ma... Marie, qu'est-ce que tu fais là?".
"Chttt, je t'ai vu en passant devant l'entrée, donc je suis venue prendre ce qui m'appartient!".
"Qu... quoi?".
Elle pose sa main sur mon sexe, et ajoute:"Ca!".
Je reste bouche bée.
"Allez viens vite!".
Elle me tire dans les toilettes femme, et nous enferme dans un cabinet.
Elle ouvre ma braguette, puis dégage ma queue pour la glisser au fond de sa gorge en me pompant goulument.
"Marie, tu me rends dingue!".
Quelques minutes après, le bruit de la porte d'entrée résonne, on entend un jet d'urine féminine couler dans un cabinet de toilette, puis des bruits de papier qui essuie un vagin.
Marie ne cesse pas de me faire sa fellation, j'ai du mal à retenir mes gémissements de plaisir, puis la porte nous prévient que la personne quitte enfin l'endroit, mais on entend alors:"Patrick?... Patrick?....Patrick?".
Etant au bord de l'explosion, j'éjacule dans la gorge de Marie en reconnaissant la voix de Lisa qui se demande pourquoi je ne suis pas encore sorti des toilettes.
Marie avale mon sperme, en me lançant un regard coquin puis dit doucement:"Ca, elle ne l'aura pas!".
Je pose mon doigt sur ses lèvres sans rien dire, puis attends que Lisa se décide de redescendre à notre place.
Heureusement, elle n'est pas très patiente et redescend assez vite.
Je me rhabille en demandant à Marie de partir devant, après un long baiser amoureux.
Je rejoins Lisa heureux du plaisir que m'a donné Marie, alors que Lisa urinait à coté de nous.
"T'as bien été long!".
"J'ai pas fais que pipi!".
"J'ai revu la fille de l'autre fois! c'est bizarre! t'es sur que tu la connais pas".
"Quelle fille?".
"La rousse aux yeux verts!".
"Ah bon, elle était là? Elle est partie?".
"J'espère!".
"Elle est trop belle pour moi, tu le sais bien! et puis je t'aime, tu le sais ça aussi! je rencontre plus d'autres filles (je profite de cette semi-vérité pour être crédible en lui disant ces mots)".
"Je trouve qu'on la croise trop souvent, depuis quelques semaines!".
Elle se colle à moi en demandant à nouveau:"C'est sûr, tu me trompes plus du tout?".
Je prend sur moi en lui répondant ce mensonge qui me fait mal.
"Non, mon amour, et puis on va bientôt vivre ensemble, comme ça tu m'auras toujours près de toi!".
"Oui, rien qu'à moi!".
Lorsque Marie m'a rejoins dans la nuit, me réveillant pour faire l'amour, je lui ai demandé de ne plus recommencer, à cause des risques et du fait que Lisa soupçonnait déjà une liaison entre nous.