MARIEE MALGRE MOI (6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-08-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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MARIEE MALGRE MOI (6)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Après s’être occupés de nos clients, nous redescendons et chacune de nous peut voir que notre nuit a été fructueuse.
Lorsque je touche les billets, je prends conscience que chaque fois que je me fais sauter, c’est mon époux qui s’avilit.
Or, pendant deux jours le téléphone de Virginie reste muet.
Rester sagement chez moi à deux pas de mon époux me devient de plus en plus insupportable.
C’est soir là, j’ai bien Christophe pour me prendre, mais ma vengeance reste inassouvie avec lui.
Un soir où ma chatte me démange, je m’ouvre à Naima de ma soif de trouver un moyen de cocufier Alfred.
• C’est facile, direction le bois de Boulogne où tu auras rapidement des clients qui feront la queue et au bout de huit jours vus comme tu es belle, ils vont faire la queue pour se faire astiquer leur queue.
• Si je comprends bien, c’est une histoire de queue qui risque de me retrouver embarqué et fiché comme pute par les mœurs et avec un mari prévenu.
Faire la pute oui, mais sans risque, cherche une autre idée, je suis sûr que tu vas trouver.
Le lendemain, c’est Naima qui reçoit un contrat et je reste dans ma chambre, car c’est Christophe qui l’a conduit.
Avant qu’elle parte, Alfred à eux le droit à une tarte à la rhubarbe qui est descendu dans son estomac sans aucune difficulté.
Au matin, elle me raconte la façon dont le client lui a pris l’anus pour la première fois pour lui et que tous les deux se sont éclatés jusqu’au matin.
Le lendemain pas d’appel, Virginie m’aurait-elle abandonnée ?
Il est vrai que je reste en France et à Paris devant toujours être à deux heures maximales de mon domicile.
• Belle, prépare-toi, on sort.
• Où va-t-on ?
• Tu verras, dépêche-toi, tes clients vont attendre, pendant que tu te prépares Alfred as droit à une spécialité de ma cuisinière, des macarons.
Je la vois partir pendant près d’une demi-heure alors que je trépigne d’impatience de savoir ce que Naima m’a réservé pour ma soirée dans son cerveau malade.
• Je lui redonnerais des macarons, il a bien apprécié, il les mangeait deux par deux.
Elle a de ces inventions, des macarons, pourquoi pas des crêpes pendant qu’elle y est.
Bref pas de problème, Pépère dort à ce qu’elle dit et je peux me faire conduire au rendez-vous organisé par mon amie.
• Bonjours monsieur, nous avons réservé une chambre au nom de Belle.
C’est devant le réceptionniste de l’hôtel où la plupart du temps je travaille pour Virginie que, bizarrement elle m’a conduite.
Mon concierge favori doit penser que je viens me faire un client, mais ai étonné que j’aie moi-même réservé ma chambre.
Il doit penser que je viens me faire ma copine et me gouiner avec elle hors du regard de mon mari puisque chaque fois que je mets la main en avant, il peut voir l’alliance qu’Alfred m’a passée au doigt le jour de mes noces forcées.
À part mon petit baise-en-ville aucun bagage pour moi mais ma copine semble avoir tout prévu, car elle a récupéré une petite valise à roulette dans le coffre de ma voiture auprès de Christophe.
Arrivée dans la chambre, elle me demande de me déshabiller en gardant le porte-jarretelles et mes bas.
• Regarde la belle pute que tu vas faire, rien qu’à te voir, ils vont bander comme des taureaux.
• Les clients, tu les as commandés pour qu’ils viennent dans cette chambre.
• Non, les clients, c’est ma partie, toi tu te contentes de les satisfaire, mais attention, c’est comme avec Virginie et ses filles jamais sans les capotes, je tiens à ce que tu tapines pendant les années de vie commune qu’il te reste à vivre avec Alfred.
Sur cette entrefaite, je quitte sa chambre lui demandant d’ouvrir chaque fois que l’on frappera.
J’ai recherché et mis au point une technique à la suite de sa remarque concernant le bois de Boulogne.
Je m’installe au bar ou je sirote un cocktail.
• Mademoiselle, je vous offre un verre.
• Avec plaisir, je commençais à m’ennuyer.
• Ne vous en faites pas, maintenant je suis là.
Toute la difficulté pour moi c’est de lui faire comprendre le plus vite possible qu’avec moi il n’y a aucune ouverture possible.
• Je vous offre un dernier vers dans ma chambre.
• Pour qui me prenez-vous monsieur, suis-je une cocotte qui attend le client assis au bar d’un hôtel à vos yeux ?
• Excusez-moi madame, j’avais pensé.
• Si c’est une pute qui vous intéresse chambre 23, vous trouveriez une fille de haute classe qui pour cinq cents euros satisfera vos envies de luxure.
En liquide les cinq cents.
C’est le premier homme de la soirée qui se dirige vers les chambres comme s’il rejoignait la sienne.
Après une demi-heure à fantasmer sur les coups de bite dans la chatte ou dans l’anus voire la bouche où ils se déversent et connaissant la cochonne dont Belle est devenue, elle doit avaler avec envie nettoyant la verge jusqu’à la dernière parcelle de sperme.
J’ai une nouvelle touche, mais il faut éviter que les clients de Belle se retrouvent l’un entrant l’autre sortant même si je connais ma belle et qu’elle est bien capable de faire réentrer le premier avec le deuxième pour les satisfaire tous les deux.
Je lui téléphone et me dis que l’homme que je lui ai envoyé a fini de se rhabiller et elle est enchantée du système que j’ai mis au point qui lui permet d’avoir des clients et ainsi faire pousser les cornes de celui qui l’a contrainte à une forme de prostitution du fait de son mariage contraint auprès de son père.
Elle a raison, j’ai bien calculé, car je racole, mais je reste au bar, elle est déjà montée et ouvre seulement sa porte à un bel inconnu, où la flicaille peut prouver qu’elle se prostitue et moi que je suis un proxénète.
La nouvelle bite est pressée et veut que je remplace ma copine,Après dix minutes, je lui donne le tarif, il veut marchander, Belle est peut être pute mais cinq cents euros elle les vaut bien, il va cherché du liquide jusqu’au distributeur de la banque voisine mais lorsqu’il est de retour, il c’est fait piqué la place par un client qui venait de demandé un oreillé au réceptionniste qui n’avait aucun doute de ce qu’il se passait chambre 23.
Je suis sûr que, dans l’hôtel même de haut standing, le téléphone arabe doit fonctionner, car un à un cinq hommes arrivent au bar tous venant des étages.
Le barman voyant mon étonnement me signale que nous avons de la chance, un congrès de médecins réunies dans une salle voisine en congrès couchent en grande partie dans notre hôtel.
Vers minuit le barman me signale qu’il va fermer aussi, j’attends dans le hall le temps nécessaire où je rejoins ma belle épuisée mais heureuse de sa soirée.
Chaque fois que le téléphone entre nous et Virginie reste muet, je loue une chambre à Belle qui se donne à cent pour cent pour cocufier son mari.
• Naima, dans les jours prochains, renseigne-toi où des hôtels du standing de celui où l’on a travaillé à un bar de nuit afin de changer de secteur et ainsi brouiller les pistes.
J’en repère trois et un jour je suis abordé par des jumeaux qui m’attaquent bille en tête en m’expliquant tout ce qu’ils allaient me faire comme cochonnerie et qu’en apothéose, je serais fini par une double pénétration ou un double vaginal.
Belle est dans la chambre 69 ce jour-là, numéro de chambre pleine de perspective.
Lorsque je leur dis que je suis une lesbienne qui aime les femmes repoussant les hommes pour les arrêter de me draguer et que je leur explique que je connais une quelqu’une, capable d’accepter toutes leurs déviations, ils sont intéressés et ces presque en courant qu’ils partent rejoindre chambre 69 pour mille cinq cents euros les affaires allant bien et nos tarifs ont augmenté et comme ils sont deux tarifs doubles.
Belle reçoit d’autres hommes que les jumeaux ce soir-là, mais lorsque je la rejoins au bout de la soirée, c’est ce qu’elle a fait avec eux qui m’intéressent.
• Tu as raison mon cœur, lorsque j’ai vu les deux garçons impossibles à différencier, l’expérience m’a emballé.
Je les fais pénétrer et j’ai bien volontiers compté un par un les billets de cent euros qui m’ont présenté.
Il m’était possible d’aller plus vite, voir les rangers sans regarder l’argent n’ayant aucune importance pour moi, mais la manière dont il bavait devant ma chatte dénudée m’incitait à prendre mon temps.
Je me suis approché du lit et leur ai demandé ce qu’ils désiraient me faire.
• Ils étaient comment, avec moi ils étaient très sûrs d’eux, ils voulaient m’en mettre plein partout et même me finir par une double pénétration.
• Ils m’ont bien prise par la rosette et la chatte en double comme ils te l’on dit, mais ils ont d’abord voulu que je les suce après avoir sorti leur sexe de leurs pantalons.
• Leur verge était-elle identique ?
• Je les avais dans la bouche alors tu peux comprendre qu’il m’était difficile de les comparer mais en longueur aucune différence.
La seule chose que j’aie comprise, c’est que l’un des deux était le leader et c’est lui qui menait la danse.
Je voulais qu’ils gardent des forces pour punir Alfred et ma prendre pour le cocufier.
Celui qui dirigeait a demandé à son frère de se placer sur le dos, j’ai pris l’initiative de m’empaler sur le pieu qu’il me tendait et son frère à pénétrer mon cul sans me poser de questions.
La sensation des deux sexes se touchant au fond de moi a décuplé les mouvements que je faisais pour accentuer les sensations qui montaient en moi.
Tu sais que je me fiche de la déontologie des putes qui doivent réserver leur jouissance à leur mac.
Mon mac est une grosse truie à qui tu apportes des gâteaux tous les jours. Lorsque j’ai joui a été pour moi une petite délivrance envers ce saligaud.
J’ai voulu qu’ils sortent de moi et regardent bien mon visage, tu y trouveras les traces de sperme qu’ils ont éjaculé dur moi et que j’ai gardé précieusement connaissant tes goûts pour le liquide des hommes.
Naima se jette presque sur moi et je la laisse me sucer la face nos bouches ayant le plaisir de se trouver.
Ma belle salope a bien mérité ce cadeau donné par ma langue après la trouvaille qu’elle a imaginée pour que ma vengeance soit totale en toute sécurité…
Après s’être occupés de nos clients, nous redescendons et chacune de nous peut voir que notre nuit a été fructueuse.
Lorsque je touche les billets, je prends conscience que chaque fois que je me fais sauter, c’est mon époux qui s’avilit.
Or, pendant deux jours le téléphone de Virginie reste muet.
Rester sagement chez moi à deux pas de mon époux me devient de plus en plus insupportable.
C’est soir là, j’ai bien Christophe pour me prendre, mais ma vengeance reste inassouvie avec lui.
Un soir où ma chatte me démange, je m’ouvre à Naima de ma soif de trouver un moyen de cocufier Alfred.
• C’est facile, direction le bois de Boulogne où tu auras rapidement des clients qui feront la queue et au bout de huit jours vus comme tu es belle, ils vont faire la queue pour se faire astiquer leur queue.
• Si je comprends bien, c’est une histoire de queue qui risque de me retrouver embarqué et fiché comme pute par les mœurs et avec un mari prévenu.
Faire la pute oui, mais sans risque, cherche une autre idée, je suis sûr que tu vas trouver.
Le lendemain, c’est Naima qui reçoit un contrat et je reste dans ma chambre, car c’est Christophe qui l’a conduit.
Avant qu’elle parte, Alfred à eux le droit à une tarte à la rhubarbe qui est descendu dans son estomac sans aucune difficulté.
Au matin, elle me raconte la façon dont le client lui a pris l’anus pour la première fois pour lui et que tous les deux se sont éclatés jusqu’au matin.
Le lendemain pas d’appel, Virginie m’aurait-elle abandonnée ?
Il est vrai que je reste en France et à Paris devant toujours être à deux heures maximales de mon domicile.
• Belle, prépare-toi, on sort.
• Où va-t-on ?
• Tu verras, dépêche-toi, tes clients vont attendre, pendant que tu te prépares Alfred as droit à une spécialité de ma cuisinière, des macarons.
Je la vois partir pendant près d’une demi-heure alors que je trépigne d’impatience de savoir ce que Naima m’a réservé pour ma soirée dans son cerveau malade.
• Je lui redonnerais des macarons, il a bien apprécié, il les mangeait deux par deux.
Elle a de ces inventions, des macarons, pourquoi pas des crêpes pendant qu’elle y est.
Bref pas de problème, Pépère dort à ce qu’elle dit et je peux me faire conduire au rendez-vous organisé par mon amie.
• Bonjours monsieur, nous avons réservé une chambre au nom de Belle.
C’est devant le réceptionniste de l’hôtel où la plupart du temps je travaille pour Virginie que, bizarrement elle m’a conduite.
Mon concierge favori doit penser que je viens me faire un client, mais ai étonné que j’aie moi-même réservé ma chambre.
Il doit penser que je viens me faire ma copine et me gouiner avec elle hors du regard de mon mari puisque chaque fois que je mets la main en avant, il peut voir l’alliance qu’Alfred m’a passée au doigt le jour de mes noces forcées.
À part mon petit baise-en-ville aucun bagage pour moi mais ma copine semble avoir tout prévu, car elle a récupéré une petite valise à roulette dans le coffre de ma voiture auprès de Christophe.
Arrivée dans la chambre, elle me demande de me déshabiller en gardant le porte-jarretelles et mes bas.
• Regarde la belle pute que tu vas faire, rien qu’à te voir, ils vont bander comme des taureaux.
• Les clients, tu les as commandés pour qu’ils viennent dans cette chambre.
• Non, les clients, c’est ma partie, toi tu te contentes de les satisfaire, mais attention, c’est comme avec Virginie et ses filles jamais sans les capotes, je tiens à ce que tu tapines pendant les années de vie commune qu’il te reste à vivre avec Alfred.
Sur cette entrefaite, je quitte sa chambre lui demandant d’ouvrir chaque fois que l’on frappera.
J’ai recherché et mis au point une technique à la suite de sa remarque concernant le bois de Boulogne.
Je m’installe au bar ou je sirote un cocktail.
• Mademoiselle, je vous offre un verre.
• Avec plaisir, je commençais à m’ennuyer.
• Ne vous en faites pas, maintenant je suis là.
Toute la difficulté pour moi c’est de lui faire comprendre le plus vite possible qu’avec moi il n’y a aucune ouverture possible.
• Je vous offre un dernier vers dans ma chambre.
• Pour qui me prenez-vous monsieur, suis-je une cocotte qui attend le client assis au bar d’un hôtel à vos yeux ?
• Excusez-moi madame, j’avais pensé.
• Si c’est une pute qui vous intéresse chambre 23, vous trouveriez une fille de haute classe qui pour cinq cents euros satisfera vos envies de luxure.
En liquide les cinq cents.
C’est le premier homme de la soirée qui se dirige vers les chambres comme s’il rejoignait la sienne.
Après une demi-heure à fantasmer sur les coups de bite dans la chatte ou dans l’anus voire la bouche où ils se déversent et connaissant la cochonne dont Belle est devenue, elle doit avaler avec envie nettoyant la verge jusqu’à la dernière parcelle de sperme.
J’ai une nouvelle touche, mais il faut éviter que les clients de Belle se retrouvent l’un entrant l’autre sortant même si je connais ma belle et qu’elle est bien capable de faire réentrer le premier avec le deuxième pour les satisfaire tous les deux.
Je lui téléphone et me dis que l’homme que je lui ai envoyé a fini de se rhabiller et elle est enchantée du système que j’ai mis au point qui lui permet d’avoir des clients et ainsi faire pousser les cornes de celui qui l’a contrainte à une forme de prostitution du fait de son mariage contraint auprès de son père.
Elle a raison, j’ai bien calculé, car je racole, mais je reste au bar, elle est déjà montée et ouvre seulement sa porte à un bel inconnu, où la flicaille peut prouver qu’elle se prostitue et moi que je suis un proxénète.
La nouvelle bite est pressée et veut que je remplace ma copine,Après dix minutes, je lui donne le tarif, il veut marchander, Belle est peut être pute mais cinq cents euros elle les vaut bien, il va cherché du liquide jusqu’au distributeur de la banque voisine mais lorsqu’il est de retour, il c’est fait piqué la place par un client qui venait de demandé un oreillé au réceptionniste qui n’avait aucun doute de ce qu’il se passait chambre 23.
Je suis sûr que, dans l’hôtel même de haut standing, le téléphone arabe doit fonctionner, car un à un cinq hommes arrivent au bar tous venant des étages.
Le barman voyant mon étonnement me signale que nous avons de la chance, un congrès de médecins réunies dans une salle voisine en congrès couchent en grande partie dans notre hôtel.
Vers minuit le barman me signale qu’il va fermer aussi, j’attends dans le hall le temps nécessaire où je rejoins ma belle épuisée mais heureuse de sa soirée.
Chaque fois que le téléphone entre nous et Virginie reste muet, je loue une chambre à Belle qui se donne à cent pour cent pour cocufier son mari.
• Naima, dans les jours prochains, renseigne-toi où des hôtels du standing de celui où l’on a travaillé à un bar de nuit afin de changer de secteur et ainsi brouiller les pistes.
J’en repère trois et un jour je suis abordé par des jumeaux qui m’attaquent bille en tête en m’expliquant tout ce qu’ils allaient me faire comme cochonnerie et qu’en apothéose, je serais fini par une double pénétration ou un double vaginal.
Belle est dans la chambre 69 ce jour-là, numéro de chambre pleine de perspective.
Lorsque je leur dis que je suis une lesbienne qui aime les femmes repoussant les hommes pour les arrêter de me draguer et que je leur explique que je connais une quelqu’une, capable d’accepter toutes leurs déviations, ils sont intéressés et ces presque en courant qu’ils partent rejoindre chambre 69 pour mille cinq cents euros les affaires allant bien et nos tarifs ont augmenté et comme ils sont deux tarifs doubles.
Belle reçoit d’autres hommes que les jumeaux ce soir-là, mais lorsque je la rejoins au bout de la soirée, c’est ce qu’elle a fait avec eux qui m’intéressent.
• Tu as raison mon cœur, lorsque j’ai vu les deux garçons impossibles à différencier, l’expérience m’a emballé.
Je les fais pénétrer et j’ai bien volontiers compté un par un les billets de cent euros qui m’ont présenté.
Il m’était possible d’aller plus vite, voir les rangers sans regarder l’argent n’ayant aucune importance pour moi, mais la manière dont il bavait devant ma chatte dénudée m’incitait à prendre mon temps.
Je me suis approché du lit et leur ai demandé ce qu’ils désiraient me faire.
• Ils étaient comment, avec moi ils étaient très sûrs d’eux, ils voulaient m’en mettre plein partout et même me finir par une double pénétration.
• Ils m’ont bien prise par la rosette et la chatte en double comme ils te l’on dit, mais ils ont d’abord voulu que je les suce après avoir sorti leur sexe de leurs pantalons.
• Leur verge était-elle identique ?
• Je les avais dans la bouche alors tu peux comprendre qu’il m’était difficile de les comparer mais en longueur aucune différence.
La seule chose que j’aie comprise, c’est que l’un des deux était le leader et c’est lui qui menait la danse.
Je voulais qu’ils gardent des forces pour punir Alfred et ma prendre pour le cocufier.
Celui qui dirigeait a demandé à son frère de se placer sur le dos, j’ai pris l’initiative de m’empaler sur le pieu qu’il me tendait et son frère à pénétrer mon cul sans me poser de questions.
La sensation des deux sexes se touchant au fond de moi a décuplé les mouvements que je faisais pour accentuer les sensations qui montaient en moi.
Tu sais que je me fiche de la déontologie des putes qui doivent réserver leur jouissance à leur mac.
Mon mac est une grosse truie à qui tu apportes des gâteaux tous les jours. Lorsque j’ai joui a été pour moi une petite délivrance envers ce saligaud.
J’ai voulu qu’ils sortent de moi et regardent bien mon visage, tu y trouveras les traces de sperme qu’ils ont éjaculé dur moi et que j’ai gardé précieusement connaissant tes goûts pour le liquide des hommes.
Naima se jette presque sur moi et je la laisse me sucer la face nos bouches ayant le plaisir de se trouver.
Ma belle salope a bien mérité ce cadeau donné par ma langue après la trouvaille qu’elle a imaginée pour que ma vengeance soit totale en toute sécurité…
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