MARIÉE MALGRÉ MOI (7/7)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : MARIÉE MALGRÉ MOI (7/7) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(7.0 / 10)

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MARIÉE MALGRÉ MOI (7/7)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Pour me venger de celui qui avait acheté ma vie auprès de mon père, Naima ma petite amie connue en Suisse et retrouvée par mon avocat a trouvé un stratagème pour que les soirs ou Virginie la responsable des escortes girls qui nous emploie et nous fournit des contrats ne me donnent rien, Alfred soit cocu tout de même.
Je prends une chambre dans un hôtel où il y a, un bar.
Naima racole les hommes au bar et me les envoie sans quitter son siège nous protégeant de la police des mœurs.
C’est le cas ce soir et avant de partir comme à son habitude nous allons voir mon mari pour lui apporter ses friandises.
Le gâteau que ma copine lui a fait cuire par sa cuisinière favorite est au chocolat avec des pépites de toutes les couleurs sur le dessus.
Naima verse un sachet de pépite afin que le temps de le montrer des cuisines, mon glouton de mari ait bien la totalité de la décoration à déguster.
Comme je l’ai vu faire, elle prend sa fiole et met un peu de somnifère dessus.

De retour de notre soirée, je suis contente, car Alfred à ses cornes qui ont poussé de neuf centimètres supplémentaires et pour faire bonnes mesurent de retour à notre domicile, j’invite Christophe, mon chauffeur à venir finir la nuit avec nous pour que Naima ait, elle aussi sa dose de plaisir.

Dans la matinée je reçois un appel pour une soirée avec deux autres escortes et Naima avec quatre couples qui fêtent l’anniversaire d’un homme de leur ami célibataire endurci qui a toujours refusé de tomber amoureux d’une des jolies femmes qui lui ont présenté.
Ces couples ont une particularité, les quatre femmes ont été les petites amies du beau gosse avant qu’il les refile à ses copains lorsqu’il avait épuisé tous les avantages des dames.
J’apprends ce fait dans la nuit par Matilde l’une des quatre qui bois un nombre tel de coupes de champagne suffisant pour désoiffer un régiment et qui finit sa dernière avant la suivante pendant que je la suce. Pendant ce même temps le bel étalon célibataire me prend par la chatte en me labourant et en me tenant par les hanches.

• Et celle-là, Mario, elle est belle !
Tu sembles l’apprécier, cela fait deux fois depuis qu’elle est arrivée que tu la baises.
• Tu es forte Matilde comme entremetteuse, il est vrai que Belle est le prototype de ma femme idéale.
Belle veux-tu m’épouser ?

C’est dans cette position en levrette une bite dans la chatte que je reçois la demande en mariage de l’homme qui m’avait directement tapé dans l’œil lorsque nous sommes arrivés et où je me suis dit qu’il serait un mari idéal si mon père avait préféré perdre son domaine que le pucelage de sa fille.
Je lui laisse croire ce mariage possible sachant que ces soirées avec l’alcool que boivent nos clients leur font dire des mots sans suite.
Les deux autres copines de labeur sont bien connues, car la jolie black Maryline et la belle rousse aux yeux émeraude Séverine, font avec nous les quatre nécessaires pour que nous puissions faire une belote de bite avec les quatre couples.
Nous assurons toute la nuit consciencieusement notre travail ou plutôt notre prestation.

Au matin, mon bel italien pas encore repu de mon corps veut me faire connaître son appartement pour prendre un café.
Les deux copines nous proposent de raccompagner Naima dans leur taxi.
En guise de café, c’est le sexe de mon amant qu’il me fait pénétrer dans tous les endroits où je peux avoir du plaisir.
Vers quinze heures j’appelle Christophe qui pour la première fois me laisse tomber, car j’ai son répondeur.
Mon amant me propose de me raccompagner.

Il est plus de quinze heures lorsque Mario me reconduit à la maison.
De loin, je vois des girophares de polices qui semblent être arrêtés devant chez moi.
Nous nous garons, un cordon de police m’empêche d’entrer.
Je me présente et l’agent de garde va chercher le commissaire de police qui est à l’intérieur.

• Madame, veuillez me suivre.

Le commissaire arrive.

• Monsieur qu’est-il arrivé ?
• Votre mari a été assassiné.

Je pousse un cri qui peut passer pour un cri de désespoir, mais qui s’apparente à un cri de joie.
Je suis libre, pas pour longtemps lorsque le commissaire ajoute.

• Madame avec d’autres personnes qui ont déjà été conduites au poste de police, vous êtes suspect d’avoir attenté à la vie de votre époux.
Tout ce que vous pourrez dire sera retenu contre vous.
Si vous voulez appeler votre avocat, vous le pouvez sinon il vous en sera commis un d’office.
• Commissaire, je suis son avocat.
• Madame, vous confirmez.
• J’ai reconnu la voix et ma réponse est oui sans regarder.

Celui qui vient de parler est l’homme avec qui j’ai passé la nuit et presque la journée dans son lit à son domicile.
Mario est là pour me protéger et me défendre.

• Vous avez fait vite, personne n’a appelé.
• Non, je viens de raccompagner, ma cliente, car nous avions rendez-vous pour parler d’une demande de divorce et voyant qu’il y avait problème, j’ai présenté ma carte et votre policier m’a laissé entrer.
• Vous raccompagnez souvent vos clientes.
• Elle a appelé son chauffeur et elle a eu le répondeur.
• Nous contrôlerons son appel, il est lui aussi arrêté et son téléphone fait partie des pièces à conviction.
• Passé les menottes à madame et conduisez là au poste, j’ai fini ici et nous rentrons au bureau.
• Je peux voir mon mari pour me recueillir.

Je suis loin d’être touchée, mais il faut bien donner le change devant ce commissaire avec lequel je vais devoir jouer très serré dans les heures prochaines pour éviter de passer dix ans entre quatre murs.

• Je l’ai déjà fait conduire à la morgue, son majordome l’a déjà reconnu, car c’est lui qui a appelé les secours.

Je me trouve embarqué dans une voiture de police et je vois Mario monter dans sa voiture et suivre.
Le commissaire attend les premières constatations venant de la morgue.
Mario parti au renseignement m’apprend qu’en plus de mon chauffeur, Naima et la cuisinière aussi sont dans les locaux interrogés par des inspecteurs.
Il a appris que c’est le majordome qui nous accuse d’avoir tout fait depuis des jours avec Naima et sur des préparations de la cuisinière qui est d’origine maghrébine comme elle d’avoir bourré mon mari de sucrerie qui aurait provoqué dans la nuit un arrêt respiratoire alors que j’étais parti avec mon amie conduite par mon chauffeur avoir une aventure.
Il a précisé aux inspecteurs qu’il nous avait vus mettre des substances dans les gâteaux depuis sa chambre contiguë à celle de son patron.
Je reste plusieurs heures et lorsque l’un des inspecteurs me fait chercher dans la cellule crade où l’on m’a placé, je réponds à toutes ses questions oubliant simplement que mon rendez-vous de la nuit, c’était avec Mario et que je me prostituais pour faire porter des cornes à mon époux.
Je suis tranquille, j’avais bien appelé Christophe avant que Mario décide de me raccompagner.

Dans la nuit tombée, je suis présenté à un juge d’instruction qui me met en examen pour assassinat et qui m’envoie dormir vers le dépôt.
Mario au moment de me quitter à envie comme moi de m’embrasser mais peu juste me dire qu’il va faire tout ce qu’il peut pour que je sorte libre de cette épreuve.
Au dépôt, je suis reçu par une femme qui me fait déshabiller et qui sans Vaseline me met un doigt dans le cul bien moins agréable et plus dégradant que celui que mon amant italien me mettait ce matin.
Rhabillé j’attends le lendemain pour être transféré vers ma prison où j’attends plusieurs heures avant que Mario me rende visite.
Il évite de me dire que tout va bien mais espère que dans moins de quarante-huit heures, on m’aura rendu ma liberté.

Deux jours plus tard je suis conduite chez le juge où je retrouve pour la première fois les trois autres amis inculpés.
Au fond du couloir assis sur un banc entre deux gendarmes, il me semble reconnaître le majordome de mon mari et une femme à ses côtés que je n’ai jamais-vu.

• Mesdames monsieur, vous êtes libre, madame le meurtrier de votre mari et sa complice était celui qui vous accusait.
Il a laissé mourir votre époux pendant votre absence par étouffement après l’avoir fait piquer par plusieurs guêpes dont il était allergique et qu’il le savait depuis le temps qu’il est à son service, vous l’avez peut-être vu dehors, je voulais vous rendre votre liberté avant de l’inculper ainsi que sa sœur et de les déférer au parquet.
Vous demanderez à votre avocat de tout vous expliquer ce que nous avons découvert grâce au commissaire, ses inspecteurs et les déclarations de vos amis, j’ai énormément de travail.
Au revoir en espérant que tout cela vous serve de leçon, mesdames, vous choissez la vie vous convenant, mais attention certaine fois, on se brûle.

De retour chez moi, c’est dans mon salon lové dans les bras de Mario devant une bouteille de champagne qu’il nous explique les grandes lignes.
Pour faire bref, le majordome avant mon mariage avec Alfred avait eu vent qu’il devait récupérer l’héritage de mon mari qui était sans attache.
Pour suivre de près ses affaires, sa sœur était entrée chez son notaire grace à mon mari à qui il avait demandé de l’aider pour qu’elle obtienne la place de secrétaire qui était disponible.
Le notaire n’avait rien à refuser à son client vu les émoluments qu’il touchait pour gérer les affaires d’Alfred.
Cet homme savait protéger ses arrières, car il avait anticipé deux ans avant la possibilité d’avoir besoin de renseignement dans l’étude.
Un jour où il se croyait seul dans sa chambre dans les dépendances du personnel sa fenêtre ouverte, la cuisinière l’a entendu parler au téléphone à quelqu’un et surtout de l’héritage qui risquait de lui échapper à cause de mon mariage, le notaire étant venu ajouter de nouvelles clauses à son testament.
Il chargeait la personne à savoir ce qui en ressortait.
La clause était simple si après mon mariage, j’attentais à la vie de mon mari, j’étais déshérité et il récupérait tout l’héritage.
J’apprends que la cuisinière s’est confiée à Naima qui a monté le stratagème des gâteaux pour lui donner l’impression d’attenter à sa vie.
Il trouvait que cela était trop long et le soir de la mort de mon mari, il lui a porté le coup de grâce avec trois guêpes capturées dans un nid repéré dans le parc de la propriété.
Il les avait placés dans une boîte qu’il a ouverte dans un repli de graisse du corps de celui qu’il souhaitait voir mourir les insectes en colère l’ont piqué entraînant une asphyxie.
Il sait empresser de le laisser s’étouffer sans réagir.
Le commissaire a fait vérifié les dire de notre cuisinière et ils ont découvert que la sœur avait bien été engagée chez le notaire et que c’était à elle qu’il téléphonait.
Coup de chance qui a tout changé, le légiste a trouvé étrange cet étouffement dû à des gâteaux ingurgités une pancréatite aurait été plus conforme vue son diabète.
En réexaminant le corps, il a repéré les trois petites piqûres dans ses replis très nombreux et a détecté des piqûres d’insectes.
Convoqué et confronté, c’est la sœur qui s’est couchée et qui a tout raconté, car cette nuit-là, elle était avec son frère dans la chambre de mon mari.
Voilà comment je me retrouve devant le notaire quelques jours plus tard qui après la légèreté qu’il a eu en embauchant celle qui a voulu m’envoyer derrière les barraux à des difficultés à me refuser quoi que ce soit.
Avec Mario, je leur donne l’ordre d’expulser mes parents de mon domaine.
Attention, je me souviens que ce sont mes géniteurs alors je les fais conduire au fin fond d’un village où j’ai récupéré dans l’héritage une masure digne des maisons des misérables où ils pourront finir leur vie en cultivant un petit jardin et une rente que je fixe au niveau du smig.
Le domaine qu’il perde définitivement revient à Naima qui va tous les étés avec ma cuisinière qui a refusé de quitter mon service le reste de l’année.
Et Mario grâce à qui j’ai réussi à ce que le policier me pose un minimum de question, en ce moment j’ai sa queue dans la chatte pour la première fois sans capote et sans contraception, c’est normal la nuit de nos noces, j’aimerais bien avoir un petit garçon aussi beau que son Italien de père pour prendre ma suite dans la gestion de mes biens dans quelques années bien sûr.
Après avoir tout cassé et refait, nous sommes dans la chambre principale de ma maison et j’entends Naima avoir un orgasme aussi fort que celui qui se déclenche en moi avec Christophe qu’elle a épousé ce matin comme moi.
Christophe est devenu mon majordome et s’occupe de mes petites culottes et Naima ma confidente et je dois le reconnaître ma petite-maîtresse aimée lorsque nos hommes sont absents.
Le travail d’escorte ?
Nous sommes restés en contact avec Valérie et nous lui rendons service en faisant des piges lorsqu’elle a un problème de fille.
Elle est avec Christine dont nous avons fait la connaissance à son retour de Rome accompagné par sa jumelle. Elles étaient toutes à nos mariages.
Et mon chauffeur ?
Il y a quelques jours, en sortant de l’une des meilleures tables parisienne avec Naima, un jeune homme propre sur lui est venu nous demander de lui donner un billet pour manger.
Nous sommes allés prendre un café et lui faire manger des croissants.
Il nous explique que ses parents l’ont viré et déshérité après avoir refusé d’épouser la fille d’une grosse fortune qui n’avait pour elle que sa laideur et l’argent de son père.
Cela m’a rappelé l’histoire d’une jeune fille qui avait accepté le chantage de son père au lieu de partir et de devenir ce qu’elle est une pute.
Il a le permis de conduire et il vient de nous raccompagner vers ma maison après être passé chez le maire au volant de ma Rolls-Royce.
Je sens que la baronne va donner des cours de sexualité à ce jeune puceau après notre voyage de noces à Venise.
Attention, soyons un peu sérieuse, il aura une capote…

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