Mariées et abandonnées
Récit érotique écrit par Petikokin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2006 dans la catégorie Plus on est
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Mariées et abandonnées
MARIÉES ET ABANDONNÉES (6)
L’histoire que vous allez lire est réelle. Pour des raisons évidentes de discrétion, les prénoms et les noms ont été changés ou sont purement imaginaires
Après mes études primaires, mes trois ans de pensionnat pour apprentissage, après quelques années de travail, après 18 mois de service militaire obligatoire, je rengageais pour quelques années et me retrouvais en caserne entre Méditerranée et étang de Berre. Nous sommes en 1965, j’ai 22 ans, célibataire, pas de copine « attitrée ». Quand la « tension » est trop forte j’ai deux solutions : « la veuve poignet (masturbation) ou la drague.
Le samedi après-midi quand le service et les corvées sont finis, c’est le départ en « quartier libre » : chacun vaque à ses occupations. Depuis quelques temps j’ai remarqué que des voitures particulières se garent sur le parking devant la caserne. Ces véhicules sont bien souvent conduits par des dames d’un certain âge pour ne pas dire d’un âge certain. Une rumeur prétend que ce sont des membres de la famille des jeunes appelés, soit leurs mamans, soit leurs tantes…
Une fin de semaine de septembre, Hervé, un jeune appelé vient me trouver et me dit : « Chef, je suis très embêté, samedi après-midi je devrai aller en quartier libre et j’ai un empêchement…
- Oui, en quoi cela me concerne ?
- J’ai ma tante qui doit venir me chercher pour faire un petit travail chez elle, comme je ne peux pas la prévenir, pourriez-vous y aller à ma place. Vous verrez, elle est très gentille, vous ne serrez pas déçu…
- Je n’ai rien de prévu et si je peu te rendre service, ce sera avec plaisir.
- Merci chef, elle a une voiture de telle marque, telle couleur, immatriculée tant, elle arrivera vers 13h30. Vous ne pourrez pas vous tromper… »
Le samedi en question, je m’approche du véhicule et me présente à la conductrice : « Bonjour Madame, je suis le chef d’Hervé votre neveu, il a eu un empêchement, il ne peut pas venir, il m’a demandé de venir faire le petit travail à sa place si vous voulez bien…
- Mais Monsieur, je ne vous connais pas… Hervé n’est pas mon neveu… C’est mon filleul… Il vous a dit quel genre de travail il fait chez moi ?
- Neveu ou filleul, peut importe, j’ai accepté pour lui rendre service et à vous aussi si je peux…
- Vous m’avez l’air sérieux. J’accepte que vous veniez… Montez, on y va, ce n’est pas très loin à Laville sur mer. »
Je monte donc à coté de la conductrice, une dame d’environ quarante cinq ans, brune, yeux marron presque noirs, mince, bien de sa personne, bronzée à souhait, maquillage et parfum légers. Elle a l’accent caractéristique des rapatriés d’Afrique du nord. Étant assise au volant je ne peux apprécier sa taille mais je pense qu’elle doit être grande. Habillée d’une robe longue, boutonnée sur le devant jusqu’à mi-cuisses, au décolleté bien échancré où l’on peut voir l’amorce de deux seins bien potelés et apparemment bien fermes. Tout en roulant, nous parlons de banalités sur l’armée, le temps, le paysage, etc. Quand elle actionne les pédales de la voiture, sa robe remonte un peu plus découvrant des cuisses bien rondes et bronzées qu’elle tient écartées. Le trajet est assez court et nous sommes arrivés avant que je puisse voir sa culotte. Elle habite une petite maison dans un lotissement à quelques centaines de mètres de la mer. Garage et cuisine d’été au niveau du sol, habitation au-dessus. Un jardin d’agrément bien entretenu et fleuri en fait le tour. L’intérieur est sobrement meublé, sans style particulier, une impression de confort douillet s’en dégage.
« Mettez-vous à l’aise, me dit-elle, vous voulez boire quelque chose ?
- Je vous remercie mais je n’ai pas soif…
- Un petit café avec un cognac ou un armagnac…
- Si vous insistez, je veux bien…
- Au fait on ne s'est pas réellement présentés, je m’appelle Agathe, je suis originaire d’Algérie. J’habite à Paris et vous ?
- Très sérieusement, je m’appelle Eros Petikokin. Je suis originaire de Laville-aux-bois dans les Landes maritimes, sous-officier, rengagé pour 4 ans
- Joli nom, est-il bien porté au moins ?
- Je ne sais pas, il faudrait le demander aux filles qui me connaissent…
- J’espère que nous allons faire plus connaissance et que je me rendrais compte par moi-même… Asseyez-vous là… »
Elle me désigne le canapé. Elle dépose sur une table basse un plateau avec deux tasses, deux petits verres, une cafetière fumante, un sucrier et une petite bouteille d’alcool. Après avoir servi le café, elle vient s’asseoir à coté de moi. Si prés que sa cuisse touche la mienne. Sa robe, dont les boutons du bas ne servent à rien, découvre ses cuisses. Elle se penche pour attraper une tasse. Son regard se fait particulièrement doux. Elle me demande combien je veux de sucre d’une voix suave qui n’était pas celle entendue dans la voiture. Elle me présente un morceau de sucre qui, avant d’arriver à la tasse, s’échappe des griffes de la pince. Comme par hasard, il tombe sur mon pantalon, à un endroit que la décence m’empêche de préciser.
« Ho ! … Excusez-moi… » Dit-elle en tendant une main récupératrice. Elle appuie plus qu’il ne faut pour ramasser un morceau de sucre, elle s’attarde sur la place plus que de raison. Pour aller à la pêche au sucre, elle s’était penchée, frôlant mon torse de son épaule. En se relevant, la pression était plus forte. Pendant cette manœuvre, Agathe avait le regard rivé au mien, un petit sourire narquois aux lèvres.
« Vous savez ce qu’il devait faire Hervé chez moi ?
- Non, il ne me l’a pas dit…
- Voilà, après un mois de vacances, mon mari a été obligé de reprendre son travail à Paris. Comme le temps est beau et que je ne travaille pas, je reste toute seule ici. En semaine, je vais au bord de la mer, je nage, je me fais bronzer. Le soir je vais au cinéma, quelques fois au casino ou bien je regarde la télévision. Comme nous n’avons qu’une chaîne (nous sommes en 1965), si le programme ne me plaît pas, je vais au lit avec un livre. Je m’ennuie une bonne partie de la semaine. Alors le week-end je vais chercher un jeune militaire pour me tenir compagnie. C’est comme ça que j’ai connu Hervé. Il est venu trois ou quatre fois. Il a fait connaissance d’une fille et sort avec elle. Il m’a prévenu et m’a dit qu’il me trouverait un remplaçant digne de confiance, donc se sera vous si vous le voulez… »
La surprise ! ! ! Je n’en crois pas mes oreilles… Je crois rêver… Sacré Hervé, quel cadeau m’a-t-il fait ? Mon sexe qui commençait à se raidir fait un bon en avant. Si mon cœur s’affole, ce n’est pas seulement à cause du café… Je n’ai pas le temps de répondre que déjà les lèvres d’Agathe sont collées aux miennes. Je réponds à sa demande. Nos langues s’emmêlent, nos salives se mélangent. Une main se pose sur mon pantalon et malaxe mon chibre raide comme une trique. Je passe un bras par-dessus ses épaules, ma main descend dans le décolleté. Mon autre main, posée sur sa cuisse commence une ascension caressante. Elle défait la boucle de ma ceinture. Je déboutonne le haut de la robe. Elle descend la fermeture éclair. Je cherche le soutien gorge. Elle écarte mon slip. J’arrive sur sa culotte. Elle prend ma queue à pleine main. Je passe mes doigts sur ses grandes lèvres humides. Elle passe un doigt sur mon gland et récupère le liquide séminal qui coule déjà. J’introduis un doigt dans sa chatte brûlante. Elle suce son doigt. Avec mon pouce je masse son clitoris. Elle se penche et me prend en bouche. J’introduis un deuxième puis un troisième doigt. Elle va et vient avec sa bouche. J’excite son clitoris encore plus fort, plus vite. Elle gémit tout en me pompant. Je torsade ses mamelons qui sont devenus aussi raides que durs. Elle va réussir à me faire éjaculer dans sa bouche. Je lui demande de ralentir et même d’arrêter. Elle accélère la cadence. Je pars en longues giclées épaisses au fond de sa gorge. Elle avale tout, libère sa bouche pour hurler son orgasme… Tout doucement nous retrouvons notre calme. Elle m’enlève mon pantalon et le slip suit. Je fais de même avec sa robe et sa culotte. Elle n’a pas de soutien gorge. Ses seins sont assez fermes pour se supporter seuls. C’est une vraie brune à la toison bien fournie. Je lui en fait la remarque et me répond que ses grands parents étaient espagnols. Elle me propose un cognac.
«Eros Petikokin, tu portes bien ton nom, tu m’as bien fait jouir comme il y a longtemps que ça ne m’était pas arrivé, pour un premier essai c’est réussi. Je crois que nous allons passer un week-end merveilleux. Peut-être que demain tu auras une surprise. En attendant nous allons en profiter.
- Vous m’excuserez mais je n’arrive pas à vous tutoyer. Pourquoi vous êtes venu chercher des militaires pour faire des galipettes ?
- Tu peux me dire vous, ça ne me gène pas… Les militaires sont jeunes, ils peuvent tenir deux jours au moins. Je suis affamée de sexe, j’aime ça. Avec des militaires, on n'a pas d’histoires, ils ne sont pas mariés, ils ne sont pas de la région. On peut en changer assez souvent, à chaque fois c’est nouveau. Chacun a sa façon de donner et de recevoir du plaisir. Et puis à mon âge, j’ai de l’expérience ça me permet de parfaire l’éducation des jeunes…. Ici c’est une résidence secondaire, comme la plus part des maisons d’à coté. Nous ne sommes pas là toute l’année. Hors les vacances, mon mari vient une semaine tous les deux mois quand son travail le lui permet et de toute façon il n’est plus très vaillant au lit. Je vais à Paris qu’à la mauvaise saison»
Tout en continuant de parler sexe, plaisir, positions, etc. nous nous caressons et dégustons notre cognac.
Mon pénis reprend de la vigueur entre ses mains expertes. Il commence à prendre la position du « garde à vous ! ». Je n’ai pas quitté sa grotte enchantée d’où s’échappe un petit torrent de cyprine parfumée. Je titille son clitoris et le tire un peu. Il est si long et raide qu’il dépasse à l’extérieur. Il ressemble à un petit sexe de caniche en érection. L’envie de le sucer est trop forte. Je me laisse glisser en bas du canapé, me retrouve entre les deux cuisses écartées, le sexe offert à bonne hauteur. Telle une ventouse, ma bouche se colle sur ses lèvres divines, gonflées à souhait, ma langue aspire sa « mini bitte » et l’allonge encore un peu plus, puis elle va au plus profond du gouffre chercher de quoi désaltérer ma soif de suc intime. Agathe pose ses mains sur ma tête et tout en appuyant elle suit la cadence des allers et retours de ma langue. A son tour elle se laisse glisser sur la moquette et nous nous retrouvons dans la position d’un soixante neuf que bien de lyonnais nous envieraient. Elle mouille de plus en plus. Elle ne peut pas parler la bouche pleine mais elle laisse échapper des gémissements qui me donnent une idée précise de la montée de sa jouissance. Je ne suis pas en reste. D’un commun accord nous changeons de position. Je m’allonge sur le dos, le sexe, tel une matraque, plaqué sur le ventre. Agathe, à genoux, vient me chevaucher, d’une main saisit mon phallus et le fait disparaître dans son épaisse toison. Je le sens bien au chaud dans ce nid douillet. Elle s’empale et commence une danse effrénée à deux mouvements. A chaque montée, je sens son vagin serrer mon membre, à chaque descente, il se décontracte. Avec deux doigts je masturbe son clitoris et de l’autre main je m’occupe de ses mamelons. Très vite nous jouissons ensemble. On se retrouve allongés. Sans sortir de sa chatte dégoulinante je me mets en berne. Nous échangeons un baiser puis nos impressions : « Tu es bien monté, je sentais que tu touchais le fond, c’était sublime.
- Je croyais que vous seriez plus large, je me suis trompé, j’ai senti que j’étais serré comme il faut…
- C’est un long entraînement mais j’arrive à commander mon vagin. Je serre et desserre à volonté. Tu as apprécié ?
- Ho ! Oui ! Merci
- Il se fait tard, nous allons prendre une douche et manger. J’ai prévu un petit repas en tête-à-tête. Après, au lit. Mais on n'est pas obligé de dormir. »
Dans la salle de bain chacun savonne l’autre en insistant sur les zones sensibles. L’excitation ne nous quitte pas quand, seulement habillés d’une serviette nouée autour des reins, nous passons à table. Le repas est simple, une salade de crudités, une pizza, un plateau de fromage, une pâtisserie. Le tout arrosé d’un bon rosé de la région. Un café et un Armagnac pour aider à digérer et à redonner du tonus, puis direction la chambre. Le lit me paraît grand et confortable. Deux draps et un dessus composent une literie douillette. Je m’allonge. Agathe Passe par-dessus le pied de lit. Elle me donne des petits baisers en remontant le long de mes jambes, de mes cuisses, s’attarde pour prendre ma queue dans sa bouche et ma la sucer quelques instant. Une main triture mes testicules. Je repars en érection. Elle abandonne mon membre et tout en baizouillant se retrouve la bouche tétant mes petits tétons. J’ai une jambe entre ses cuisses, je la plie un peu et mon gros orteil se retrouve entre ses lèvres intimes et rentre dans son vagin. Je commence un mouvement de va et viens du clitoris au périnée. Agathe fait entendre un cri de surprise et me dit que jamais elle s’était faite masturber ainsi. Encouragé par ses propos, j’accélère la cadence. Je sens mon pied qui prend l’humidité. Des gémissements sortent de la bouche de ma partenaire dont une main s’est emparée de mon chibre raide et gonflé. Elle jouit dans un râle profond venu du fond de la gorge. Je lui demande d’arrêter pour garder des réserves. C’est en la tenant serrée dans mes bras que nous trouvons un sommeil réparateur jusqu’au lendemain.
Levés à neuf heures nous prenons un copieux petit déjeuner. Puis passage en salle de bain en duo. Chacun fait la toilette de l’autre. Chacun caresse l’autre devrais-je dire. Vêtus seulement d’un peignoir, Agathe étend une serviette de bain sur la grille du balcon, je me ressers une tasse de café. Nous sommes assis sur le divan, à nous raconter nos aventures érotiques, quand j’entends du bruit au-dessous. La porte du garage vient de se refermer. J’en fais part à Agathe qui me dit que c’est la voisine qui vient…
Effectivement, arrive une dame bien de sa personne, aussi blonde qu’Agathe est brune, à peine quarante cinq ans, de taille et corpulence moyenne, les yeux bleus, des lèvres bien dessinées. Vêtue d’une robe légère multicolore au décolleté laissant apparaître la naissance de deux seins généreux et, semblent-ils, assez fermes pour occuper les deux mains d’un homme normalement constitué.
« Bonjour Monsieur, bonjour Agathe. Vous allez bien… Vous avez passé une bonne nuit ?
- Bonjour Juliette… Je te présente Eros Petikokin, il est militaire, c’est le chef d’Hervé… Eros, je te présente Juliette ma voisine. Elle aime qu’on l’appelle Juju… Sa maman est hollandaise, son papa allemand. Elle est comme moi, abandonnée par un mari chercheur de pétrole en Afrique.
- Bonjour Madame Juju, je suis enchanté de faire votre connaissance…
- J’ai demandé à Juju de venir passer la matinée avec nous. Elle s’ennuie seule chez elle. »
Devant mon air étonné, elle me précise : « Nous avons un moyen de communiquer qui est simple : Si je mets une serviette verte au balcon, elle peut venir de suite. Si la serviette est orange, je suis seule et j’ai envie de jouir. Nous sommes un peu bisexuelle, Juju et moi. Si la serviette est rouge, elle doit rester chez elle. Maintenant que les présentations sont faites, je vous laisse faire plus connaissance tous les deux pendant que je vais préparer à manger pour midi.
Je me retrouve donc à partager le canapé avec Juju. Elle me demande depuis quand je suis à la caserne.
« Un peu moins d’un an …
- Tu n’as pas de copine ? C’est la première fois que tu passes un dimanche chez une marraine ? »
Surpris par le tutoiement et les questions directes, je ne réponds pas de suite. Juju pose une main sur ma cuisse pour se pencher et me regarder droit dans les yeux. « Il ne faut pas t’étonner, nous sommes quelques copines abandonnées par nos hommes depuis des mois ou des années pour certaines. Nous aimons le plaisir sexuel. Se masturber ou jouir entre femmes, cela va un moment. Rien ne vaut une bonne belle et grosse queue d’un homme surtout quand il est jeune. Avec vous, les militaires, on n’a pas d’histoires et vous n’avez pas toujours l’occasion de faire l’amour avec des femmes chaudes et expérimentées comme nous. Il faut prendre la vie du bon coté et profiter tant qu’on peu des joies qu’elle peut nous offrir. Laisse toi aller … »
Tout en prononçant ces paroles, Juju avait passé une main dans le peignoir, mon seul vètement, me caresse le thorax et le ventre en descendant de plus en plus bas. Bientôt elle touche mon sexe raide et tendu comme un ressort.
« Mon dieu ! Quelle queue je sens là » me souffle-t-elle à l’oreille. Elle écarte les pans du peignoir et je me retrouve nu, exposé à son regard gourmand. Je déboutonne sa robe qui va se atterrir, après un vol plané, sur le dossier d’une chaise. C’était le seul vêtement de Juju. Je me rends compte que c’est une vraie blonde à la toison bien fournie. Ma main se pose sur sa vulve, deux doigts à l’intérieur déjà chaud et humide. Ma bouche fait des suçons sur ses seins qui gonflent à mesure. Mon autre main caresse des fesses rebondies et s’aventure vers sa rosette cachée. Je sens mon chibre pris en main et vigoureusement massé par des va et viens énergiques. Juju coule telle une fontaine. J’en ai plein les doigts, ça déborde sur ses cuisses. Elle me prend la main pour la nettoyer avec sa langue puis la repose à la bonne place. J’excite son clitoris. Il est déjà raide et bien décalotté. Il est moins long que celui d’Agathe mais plus gros. La réaction ne se fait pas attendre. Elle commence à gémir, à pousser des « ouiiii…c’est bon ! ! ! » langoureux, sa jouissance monte, l’orgasme n’est pas loin. Il arrive comme une décharge électrique. Juju se trémousse en tous sens. Elle se raidit, se cambre sur le divan, accélère ses mouvements sur mon sexe qui se met à cracher ma semence. Un râle augmentant crescendo se termine par un cri long et grave. Alertée, Agathe vient voir ce qui se passe. Elle comprend que Juju vient de jouir et lui demande de ne pas abuser de moi car elle n’a rien eu depuis hier soir… Elle nous reproche les taches de sperme sur la moquette et nous demande de nettoyer. L’heure du repas approche. Nous prenons un petit apéritif. Agathe s’assoie près de moi et commence à me masturber. Voyant cela, Juju se penche et me prend le gland entre ses lèvres et me le chatouille avec sa langue. Je reste immobile, savourant la montée du plaisir. Un tel traitement donne un résultat rapide. Je me contracte un peu pour retarder l’éjaculation. Juju se retire et Agathe finie de me masturber et me fait gicler dans un verre vide qu’elle avait prévu pour ça. « Nous allons goûter un nouvel apéritif » dit-elle. Dans le verre elle verse une rasade de scotch sur le sperme, ajoute un glaçon, remue et goûte. « C’est le meilleur apéritif que je n’ai jamais bu. Tu veux goûter Juju ? –Oui ! Ce breuvage doit être divin… Tiens Eros, à toi l’honneur, c’est ta liqueur… » J’avais déjà goûté mon sperme. Je n’y avais pas trouvé un goût désagréable mais je dois reconnaître que mélangé à l’alcool, ma semence devenait un véritable nectar. Le repas se passe tranquillement. On parle sexe, expériences, gestes, positions, fantasmes, accessoires, etc. etc. Nous prenons le café et le digestif au salon. Sur le canapé, j’ai une dame de chaque coté qui me tripotent. Tout mon corps est visité. Deux paires de seins et deux chattes en chaleur me procurent une activité débordante. Agathe nous propose un nouveau jeu. Un disque est mis sur le plateau de la chaîne stéréo. Le temps d’une chanson, deux d’entre nous se feront des caresses, le troisième regardera sans se toucher. A la nouvelle chanson, un partenaire du couple sera spectateur, celui ou celle qui était spectateur vient pour reformer le couple. Et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il y ait jouissance de l’un ou des deux partenaires. L’aire de jeux est la moquette entre deux fauteuils, le canapé et une table basse. Nous commençons dans l’ordre alphabétique de nos noms. Je m’assoie dans un fauteuil et regarde les deux femmes se caresser. Chacune un doigt dans le sexe de l’autre, le pouce sur le clitoris, l’autre main et la bouche s’occupent des seins. Quand mon tour arrive, à sa demande, je continue le travail commencé sur et dans Juju. Elle prend mon sexe qui est déjà en érection et le masturbe doucement. Elle augmente la cadence à mesure que son plaisir monte. La chanson va-t-elle durer assez longtemps pour que l’un de nous deux jouisse ? Non, elle finit avant. Agathe vient prendre la place de Juju. C’est à pleine bouche qu’elle me pompe le dard. C’est avec ma langue que récupère sa liqueur intime et que j’excite son clitoris. Je suis prêt à éclater quand la chanson se termine. Je dois laisser la place à Juju. Comme il est interdit des se finir à la main, je réalise que ce jeu est un peu pervers. Le temps d’une chanson est trop court pour arriver facilement à la jouissance. Quand celle-ci approche, il faut arrêter car on devient spectateur et la tension retombe. Deux heures se passent quand Juju clame son orgasme sous les caresses d’Agathe. Ayant jouit la première, elle doit « finir » ses deux autres partenaires. Elle fait jouir Agathe avec trois doigts dans le vagin et la langue aspirant cette petite queue qui est son clitoris. Elle s’accroupit en position de levrette et me demande de la limer jusqu’à éjaculation.
Après un passage à la salle de bains, nous retrouvons une tenue vestimentaire plus convenable pour sortir et faire le tour du lotissement. Accompagnée de Juju, Agathe me ramène sur le parking de la caserne et nous nous quittons avec la promesse de se retrouver le week-end suivant.
Une semaine pour récupérer, c’est court…
(à suivre)
L’histoire que vous allez lire est réelle. Pour des raisons évidentes de discrétion, les prénoms et les noms ont été changés ou sont purement imaginaires
Après mes études primaires, mes trois ans de pensionnat pour apprentissage, après quelques années de travail, après 18 mois de service militaire obligatoire, je rengageais pour quelques années et me retrouvais en caserne entre Méditerranée et étang de Berre. Nous sommes en 1965, j’ai 22 ans, célibataire, pas de copine « attitrée ». Quand la « tension » est trop forte j’ai deux solutions : « la veuve poignet (masturbation) ou la drague.
Le samedi après-midi quand le service et les corvées sont finis, c’est le départ en « quartier libre » : chacun vaque à ses occupations. Depuis quelques temps j’ai remarqué que des voitures particulières se garent sur le parking devant la caserne. Ces véhicules sont bien souvent conduits par des dames d’un certain âge pour ne pas dire d’un âge certain. Une rumeur prétend que ce sont des membres de la famille des jeunes appelés, soit leurs mamans, soit leurs tantes…
Une fin de semaine de septembre, Hervé, un jeune appelé vient me trouver et me dit : « Chef, je suis très embêté, samedi après-midi je devrai aller en quartier libre et j’ai un empêchement…
- Oui, en quoi cela me concerne ?
- J’ai ma tante qui doit venir me chercher pour faire un petit travail chez elle, comme je ne peux pas la prévenir, pourriez-vous y aller à ma place. Vous verrez, elle est très gentille, vous ne serrez pas déçu…
- Je n’ai rien de prévu et si je peu te rendre service, ce sera avec plaisir.
- Merci chef, elle a une voiture de telle marque, telle couleur, immatriculée tant, elle arrivera vers 13h30. Vous ne pourrez pas vous tromper… »
Le samedi en question, je m’approche du véhicule et me présente à la conductrice : « Bonjour Madame, je suis le chef d’Hervé votre neveu, il a eu un empêchement, il ne peut pas venir, il m’a demandé de venir faire le petit travail à sa place si vous voulez bien…
- Mais Monsieur, je ne vous connais pas… Hervé n’est pas mon neveu… C’est mon filleul… Il vous a dit quel genre de travail il fait chez moi ?
- Neveu ou filleul, peut importe, j’ai accepté pour lui rendre service et à vous aussi si je peux…
- Vous m’avez l’air sérieux. J’accepte que vous veniez… Montez, on y va, ce n’est pas très loin à Laville sur mer. »
Je monte donc à coté de la conductrice, une dame d’environ quarante cinq ans, brune, yeux marron presque noirs, mince, bien de sa personne, bronzée à souhait, maquillage et parfum légers. Elle a l’accent caractéristique des rapatriés d’Afrique du nord. Étant assise au volant je ne peux apprécier sa taille mais je pense qu’elle doit être grande. Habillée d’une robe longue, boutonnée sur le devant jusqu’à mi-cuisses, au décolleté bien échancré où l’on peut voir l’amorce de deux seins bien potelés et apparemment bien fermes. Tout en roulant, nous parlons de banalités sur l’armée, le temps, le paysage, etc. Quand elle actionne les pédales de la voiture, sa robe remonte un peu plus découvrant des cuisses bien rondes et bronzées qu’elle tient écartées. Le trajet est assez court et nous sommes arrivés avant que je puisse voir sa culotte. Elle habite une petite maison dans un lotissement à quelques centaines de mètres de la mer. Garage et cuisine d’été au niveau du sol, habitation au-dessus. Un jardin d’agrément bien entretenu et fleuri en fait le tour. L’intérieur est sobrement meublé, sans style particulier, une impression de confort douillet s’en dégage.
« Mettez-vous à l’aise, me dit-elle, vous voulez boire quelque chose ?
- Je vous remercie mais je n’ai pas soif…
- Un petit café avec un cognac ou un armagnac…
- Si vous insistez, je veux bien…
- Au fait on ne s'est pas réellement présentés, je m’appelle Agathe, je suis originaire d’Algérie. J’habite à Paris et vous ?
- Très sérieusement, je m’appelle Eros Petikokin. Je suis originaire de Laville-aux-bois dans les Landes maritimes, sous-officier, rengagé pour 4 ans
- Joli nom, est-il bien porté au moins ?
- Je ne sais pas, il faudrait le demander aux filles qui me connaissent…
- J’espère que nous allons faire plus connaissance et que je me rendrais compte par moi-même… Asseyez-vous là… »
Elle me désigne le canapé. Elle dépose sur une table basse un plateau avec deux tasses, deux petits verres, une cafetière fumante, un sucrier et une petite bouteille d’alcool. Après avoir servi le café, elle vient s’asseoir à coté de moi. Si prés que sa cuisse touche la mienne. Sa robe, dont les boutons du bas ne servent à rien, découvre ses cuisses. Elle se penche pour attraper une tasse. Son regard se fait particulièrement doux. Elle me demande combien je veux de sucre d’une voix suave qui n’était pas celle entendue dans la voiture. Elle me présente un morceau de sucre qui, avant d’arriver à la tasse, s’échappe des griffes de la pince. Comme par hasard, il tombe sur mon pantalon, à un endroit que la décence m’empêche de préciser.
« Ho ! … Excusez-moi… » Dit-elle en tendant une main récupératrice. Elle appuie plus qu’il ne faut pour ramasser un morceau de sucre, elle s’attarde sur la place plus que de raison. Pour aller à la pêche au sucre, elle s’était penchée, frôlant mon torse de son épaule. En se relevant, la pression était plus forte. Pendant cette manœuvre, Agathe avait le regard rivé au mien, un petit sourire narquois aux lèvres.
« Vous savez ce qu’il devait faire Hervé chez moi ?
- Non, il ne me l’a pas dit…
- Voilà, après un mois de vacances, mon mari a été obligé de reprendre son travail à Paris. Comme le temps est beau et que je ne travaille pas, je reste toute seule ici. En semaine, je vais au bord de la mer, je nage, je me fais bronzer. Le soir je vais au cinéma, quelques fois au casino ou bien je regarde la télévision. Comme nous n’avons qu’une chaîne (nous sommes en 1965), si le programme ne me plaît pas, je vais au lit avec un livre. Je m’ennuie une bonne partie de la semaine. Alors le week-end je vais chercher un jeune militaire pour me tenir compagnie. C’est comme ça que j’ai connu Hervé. Il est venu trois ou quatre fois. Il a fait connaissance d’une fille et sort avec elle. Il m’a prévenu et m’a dit qu’il me trouverait un remplaçant digne de confiance, donc se sera vous si vous le voulez… »
La surprise ! ! ! Je n’en crois pas mes oreilles… Je crois rêver… Sacré Hervé, quel cadeau m’a-t-il fait ? Mon sexe qui commençait à se raidir fait un bon en avant. Si mon cœur s’affole, ce n’est pas seulement à cause du café… Je n’ai pas le temps de répondre que déjà les lèvres d’Agathe sont collées aux miennes. Je réponds à sa demande. Nos langues s’emmêlent, nos salives se mélangent. Une main se pose sur mon pantalon et malaxe mon chibre raide comme une trique. Je passe un bras par-dessus ses épaules, ma main descend dans le décolleté. Mon autre main, posée sur sa cuisse commence une ascension caressante. Elle défait la boucle de ma ceinture. Je déboutonne le haut de la robe. Elle descend la fermeture éclair. Je cherche le soutien gorge. Elle écarte mon slip. J’arrive sur sa culotte. Elle prend ma queue à pleine main. Je passe mes doigts sur ses grandes lèvres humides. Elle passe un doigt sur mon gland et récupère le liquide séminal qui coule déjà. J’introduis un doigt dans sa chatte brûlante. Elle suce son doigt. Avec mon pouce je masse son clitoris. Elle se penche et me prend en bouche. J’introduis un deuxième puis un troisième doigt. Elle va et vient avec sa bouche. J’excite son clitoris encore plus fort, plus vite. Elle gémit tout en me pompant. Je torsade ses mamelons qui sont devenus aussi raides que durs. Elle va réussir à me faire éjaculer dans sa bouche. Je lui demande de ralentir et même d’arrêter. Elle accélère la cadence. Je pars en longues giclées épaisses au fond de sa gorge. Elle avale tout, libère sa bouche pour hurler son orgasme… Tout doucement nous retrouvons notre calme. Elle m’enlève mon pantalon et le slip suit. Je fais de même avec sa robe et sa culotte. Elle n’a pas de soutien gorge. Ses seins sont assez fermes pour se supporter seuls. C’est une vraie brune à la toison bien fournie. Je lui en fait la remarque et me répond que ses grands parents étaient espagnols. Elle me propose un cognac.
«Eros Petikokin, tu portes bien ton nom, tu m’as bien fait jouir comme il y a longtemps que ça ne m’était pas arrivé, pour un premier essai c’est réussi. Je crois que nous allons passer un week-end merveilleux. Peut-être que demain tu auras une surprise. En attendant nous allons en profiter.
- Vous m’excuserez mais je n’arrive pas à vous tutoyer. Pourquoi vous êtes venu chercher des militaires pour faire des galipettes ?
- Tu peux me dire vous, ça ne me gène pas… Les militaires sont jeunes, ils peuvent tenir deux jours au moins. Je suis affamée de sexe, j’aime ça. Avec des militaires, on n'a pas d’histoires, ils ne sont pas mariés, ils ne sont pas de la région. On peut en changer assez souvent, à chaque fois c’est nouveau. Chacun a sa façon de donner et de recevoir du plaisir. Et puis à mon âge, j’ai de l’expérience ça me permet de parfaire l’éducation des jeunes…. Ici c’est une résidence secondaire, comme la plus part des maisons d’à coté. Nous ne sommes pas là toute l’année. Hors les vacances, mon mari vient une semaine tous les deux mois quand son travail le lui permet et de toute façon il n’est plus très vaillant au lit. Je vais à Paris qu’à la mauvaise saison»
Tout en continuant de parler sexe, plaisir, positions, etc. nous nous caressons et dégustons notre cognac.
Mon pénis reprend de la vigueur entre ses mains expertes. Il commence à prendre la position du « garde à vous ! ». Je n’ai pas quitté sa grotte enchantée d’où s’échappe un petit torrent de cyprine parfumée. Je titille son clitoris et le tire un peu. Il est si long et raide qu’il dépasse à l’extérieur. Il ressemble à un petit sexe de caniche en érection. L’envie de le sucer est trop forte. Je me laisse glisser en bas du canapé, me retrouve entre les deux cuisses écartées, le sexe offert à bonne hauteur. Telle une ventouse, ma bouche se colle sur ses lèvres divines, gonflées à souhait, ma langue aspire sa « mini bitte » et l’allonge encore un peu plus, puis elle va au plus profond du gouffre chercher de quoi désaltérer ma soif de suc intime. Agathe pose ses mains sur ma tête et tout en appuyant elle suit la cadence des allers et retours de ma langue. A son tour elle se laisse glisser sur la moquette et nous nous retrouvons dans la position d’un soixante neuf que bien de lyonnais nous envieraient. Elle mouille de plus en plus. Elle ne peut pas parler la bouche pleine mais elle laisse échapper des gémissements qui me donnent une idée précise de la montée de sa jouissance. Je ne suis pas en reste. D’un commun accord nous changeons de position. Je m’allonge sur le dos, le sexe, tel une matraque, plaqué sur le ventre. Agathe, à genoux, vient me chevaucher, d’une main saisit mon phallus et le fait disparaître dans son épaisse toison. Je le sens bien au chaud dans ce nid douillet. Elle s’empale et commence une danse effrénée à deux mouvements. A chaque montée, je sens son vagin serrer mon membre, à chaque descente, il se décontracte. Avec deux doigts je masturbe son clitoris et de l’autre main je m’occupe de ses mamelons. Très vite nous jouissons ensemble. On se retrouve allongés. Sans sortir de sa chatte dégoulinante je me mets en berne. Nous échangeons un baiser puis nos impressions : « Tu es bien monté, je sentais que tu touchais le fond, c’était sublime.
- Je croyais que vous seriez plus large, je me suis trompé, j’ai senti que j’étais serré comme il faut…
- C’est un long entraînement mais j’arrive à commander mon vagin. Je serre et desserre à volonté. Tu as apprécié ?
- Ho ! Oui ! Merci
- Il se fait tard, nous allons prendre une douche et manger. J’ai prévu un petit repas en tête-à-tête. Après, au lit. Mais on n'est pas obligé de dormir. »
Dans la salle de bain chacun savonne l’autre en insistant sur les zones sensibles. L’excitation ne nous quitte pas quand, seulement habillés d’une serviette nouée autour des reins, nous passons à table. Le repas est simple, une salade de crudités, une pizza, un plateau de fromage, une pâtisserie. Le tout arrosé d’un bon rosé de la région. Un café et un Armagnac pour aider à digérer et à redonner du tonus, puis direction la chambre. Le lit me paraît grand et confortable. Deux draps et un dessus composent une literie douillette. Je m’allonge. Agathe Passe par-dessus le pied de lit. Elle me donne des petits baisers en remontant le long de mes jambes, de mes cuisses, s’attarde pour prendre ma queue dans sa bouche et ma la sucer quelques instant. Une main triture mes testicules. Je repars en érection. Elle abandonne mon membre et tout en baizouillant se retrouve la bouche tétant mes petits tétons. J’ai une jambe entre ses cuisses, je la plie un peu et mon gros orteil se retrouve entre ses lèvres intimes et rentre dans son vagin. Je commence un mouvement de va et viens du clitoris au périnée. Agathe fait entendre un cri de surprise et me dit que jamais elle s’était faite masturber ainsi. Encouragé par ses propos, j’accélère la cadence. Je sens mon pied qui prend l’humidité. Des gémissements sortent de la bouche de ma partenaire dont une main s’est emparée de mon chibre raide et gonflé. Elle jouit dans un râle profond venu du fond de la gorge. Je lui demande d’arrêter pour garder des réserves. C’est en la tenant serrée dans mes bras que nous trouvons un sommeil réparateur jusqu’au lendemain.
Levés à neuf heures nous prenons un copieux petit déjeuner. Puis passage en salle de bain en duo. Chacun fait la toilette de l’autre. Chacun caresse l’autre devrais-je dire. Vêtus seulement d’un peignoir, Agathe étend une serviette de bain sur la grille du balcon, je me ressers une tasse de café. Nous sommes assis sur le divan, à nous raconter nos aventures érotiques, quand j’entends du bruit au-dessous. La porte du garage vient de se refermer. J’en fais part à Agathe qui me dit que c’est la voisine qui vient…
Effectivement, arrive une dame bien de sa personne, aussi blonde qu’Agathe est brune, à peine quarante cinq ans, de taille et corpulence moyenne, les yeux bleus, des lèvres bien dessinées. Vêtue d’une robe légère multicolore au décolleté laissant apparaître la naissance de deux seins généreux et, semblent-ils, assez fermes pour occuper les deux mains d’un homme normalement constitué.
« Bonjour Monsieur, bonjour Agathe. Vous allez bien… Vous avez passé une bonne nuit ?
- Bonjour Juliette… Je te présente Eros Petikokin, il est militaire, c’est le chef d’Hervé… Eros, je te présente Juliette ma voisine. Elle aime qu’on l’appelle Juju… Sa maman est hollandaise, son papa allemand. Elle est comme moi, abandonnée par un mari chercheur de pétrole en Afrique.
- Bonjour Madame Juju, je suis enchanté de faire votre connaissance…
- J’ai demandé à Juju de venir passer la matinée avec nous. Elle s’ennuie seule chez elle. »
Devant mon air étonné, elle me précise : « Nous avons un moyen de communiquer qui est simple : Si je mets une serviette verte au balcon, elle peut venir de suite. Si la serviette est orange, je suis seule et j’ai envie de jouir. Nous sommes un peu bisexuelle, Juju et moi. Si la serviette est rouge, elle doit rester chez elle. Maintenant que les présentations sont faites, je vous laisse faire plus connaissance tous les deux pendant que je vais préparer à manger pour midi.
Je me retrouve donc à partager le canapé avec Juju. Elle me demande depuis quand je suis à la caserne.
« Un peu moins d’un an …
- Tu n’as pas de copine ? C’est la première fois que tu passes un dimanche chez une marraine ? »
Surpris par le tutoiement et les questions directes, je ne réponds pas de suite. Juju pose une main sur ma cuisse pour se pencher et me regarder droit dans les yeux. « Il ne faut pas t’étonner, nous sommes quelques copines abandonnées par nos hommes depuis des mois ou des années pour certaines. Nous aimons le plaisir sexuel. Se masturber ou jouir entre femmes, cela va un moment. Rien ne vaut une bonne belle et grosse queue d’un homme surtout quand il est jeune. Avec vous, les militaires, on n’a pas d’histoires et vous n’avez pas toujours l’occasion de faire l’amour avec des femmes chaudes et expérimentées comme nous. Il faut prendre la vie du bon coté et profiter tant qu’on peu des joies qu’elle peut nous offrir. Laisse toi aller … »
Tout en prononçant ces paroles, Juju avait passé une main dans le peignoir, mon seul vètement, me caresse le thorax et le ventre en descendant de plus en plus bas. Bientôt elle touche mon sexe raide et tendu comme un ressort.
« Mon dieu ! Quelle queue je sens là » me souffle-t-elle à l’oreille. Elle écarte les pans du peignoir et je me retrouve nu, exposé à son regard gourmand. Je déboutonne sa robe qui va se atterrir, après un vol plané, sur le dossier d’une chaise. C’était le seul vêtement de Juju. Je me rends compte que c’est une vraie blonde à la toison bien fournie. Ma main se pose sur sa vulve, deux doigts à l’intérieur déjà chaud et humide. Ma bouche fait des suçons sur ses seins qui gonflent à mesure. Mon autre main caresse des fesses rebondies et s’aventure vers sa rosette cachée. Je sens mon chibre pris en main et vigoureusement massé par des va et viens énergiques. Juju coule telle une fontaine. J’en ai plein les doigts, ça déborde sur ses cuisses. Elle me prend la main pour la nettoyer avec sa langue puis la repose à la bonne place. J’excite son clitoris. Il est déjà raide et bien décalotté. Il est moins long que celui d’Agathe mais plus gros. La réaction ne se fait pas attendre. Elle commence à gémir, à pousser des « ouiiii…c’est bon ! ! ! » langoureux, sa jouissance monte, l’orgasme n’est pas loin. Il arrive comme une décharge électrique. Juju se trémousse en tous sens. Elle se raidit, se cambre sur le divan, accélère ses mouvements sur mon sexe qui se met à cracher ma semence. Un râle augmentant crescendo se termine par un cri long et grave. Alertée, Agathe vient voir ce qui se passe. Elle comprend que Juju vient de jouir et lui demande de ne pas abuser de moi car elle n’a rien eu depuis hier soir… Elle nous reproche les taches de sperme sur la moquette et nous demande de nettoyer. L’heure du repas approche. Nous prenons un petit apéritif. Agathe s’assoie près de moi et commence à me masturber. Voyant cela, Juju se penche et me prend le gland entre ses lèvres et me le chatouille avec sa langue. Je reste immobile, savourant la montée du plaisir. Un tel traitement donne un résultat rapide. Je me contracte un peu pour retarder l’éjaculation. Juju se retire et Agathe finie de me masturber et me fait gicler dans un verre vide qu’elle avait prévu pour ça. « Nous allons goûter un nouvel apéritif » dit-elle. Dans le verre elle verse une rasade de scotch sur le sperme, ajoute un glaçon, remue et goûte. « C’est le meilleur apéritif que je n’ai jamais bu. Tu veux goûter Juju ? –Oui ! Ce breuvage doit être divin… Tiens Eros, à toi l’honneur, c’est ta liqueur… » J’avais déjà goûté mon sperme. Je n’y avais pas trouvé un goût désagréable mais je dois reconnaître que mélangé à l’alcool, ma semence devenait un véritable nectar. Le repas se passe tranquillement. On parle sexe, expériences, gestes, positions, fantasmes, accessoires, etc. etc. Nous prenons le café et le digestif au salon. Sur le canapé, j’ai une dame de chaque coté qui me tripotent. Tout mon corps est visité. Deux paires de seins et deux chattes en chaleur me procurent une activité débordante. Agathe nous propose un nouveau jeu. Un disque est mis sur le plateau de la chaîne stéréo. Le temps d’une chanson, deux d’entre nous se feront des caresses, le troisième regardera sans se toucher. A la nouvelle chanson, un partenaire du couple sera spectateur, celui ou celle qui était spectateur vient pour reformer le couple. Et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il y ait jouissance de l’un ou des deux partenaires. L’aire de jeux est la moquette entre deux fauteuils, le canapé et une table basse. Nous commençons dans l’ordre alphabétique de nos noms. Je m’assoie dans un fauteuil et regarde les deux femmes se caresser. Chacune un doigt dans le sexe de l’autre, le pouce sur le clitoris, l’autre main et la bouche s’occupent des seins. Quand mon tour arrive, à sa demande, je continue le travail commencé sur et dans Juju. Elle prend mon sexe qui est déjà en érection et le masturbe doucement. Elle augmente la cadence à mesure que son plaisir monte. La chanson va-t-elle durer assez longtemps pour que l’un de nous deux jouisse ? Non, elle finit avant. Agathe vient prendre la place de Juju. C’est à pleine bouche qu’elle me pompe le dard. C’est avec ma langue que récupère sa liqueur intime et que j’excite son clitoris. Je suis prêt à éclater quand la chanson se termine. Je dois laisser la place à Juju. Comme il est interdit des se finir à la main, je réalise que ce jeu est un peu pervers. Le temps d’une chanson est trop court pour arriver facilement à la jouissance. Quand celle-ci approche, il faut arrêter car on devient spectateur et la tension retombe. Deux heures se passent quand Juju clame son orgasme sous les caresses d’Agathe. Ayant jouit la première, elle doit « finir » ses deux autres partenaires. Elle fait jouir Agathe avec trois doigts dans le vagin et la langue aspirant cette petite queue qui est son clitoris. Elle s’accroupit en position de levrette et me demande de la limer jusqu’à éjaculation.
Après un passage à la salle de bains, nous retrouvons une tenue vestimentaire plus convenable pour sortir et faire le tour du lotissement. Accompagnée de Juju, Agathe me ramène sur le parking de la caserne et nous nous quittons avec la promesse de se retrouver le week-end suivant.
Une semaine pour récupérer, c’est court…
(à suivre)
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