Mario, le quinquagénaire Portugais 2
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mario, le quinquagénaire Portugais 2
Cette fois, cela se déroule quelques semaines après la fin du chantier en centre ville, où Mario m'a baisé la première fois.
Mon chef d'atelier vient me prévenir:
"Prépares tes affaires, tu vas avec Mario à Six-fours, pour un petit boulot !".
"D'accord ! Chef ! On aura fini avant ce soir ?".
"Non ! Il te ramènera chez toi, il m'a dit que ça ne le déranges pas ! Ah, au fait, c'est sympa ! J'apprécie ton attitude avec lui !".
Je blêmis, j'ai peur que Mario lui ai dit qu'il me baisait, mais je fais fausse route, le chef me rassure:
"Tu bosses bien et tu es le seul qui s'entend aussi bien avec lui, tu n'es pas raciste, je suppose !".
"Pas du tout, j'ai horreur de ça ! Je juge les gens pour ce qu'ils sont ! Pas pour leur couleur ou leur origine !".
"Comme moi, t'as tout compris ! C'est pas le cas des autres ouvriers ! Ne changes rien !".
Ma pression retombe, je vais préparer mes affaires et rejoins mon amant Portugais, depuis 6 mois déjà !
Sur la route, il me demande:
"Dis-moi, tu fais comment quand tu as envie de te faire prendre ?".
"Je vais au cinéma porno, ou au Sex-Shop du centre ville et sur le bord de mer aussi ! Mais pendant le chantier, j'en ai pas eu besoin avec Dimitri et toi, plus les autres ouvriers, ça faisait beaucoup !".
"Ah, oui, c'est vrai ! C'était bien, tu trouves pas ! On s'est éclatés !".
"Oui, ça me manque ! Je suis retourné au Sex-shop pour rencontrer des hommes pour me calmer !".
"Et alors ? T'as pris ton pied !".
"Oui, ça va ! J'ai bien joui ! Mais c'est différent !".
Il pose sa main sur ma cuisse en conduisant.
"On s'amusera ce soir, avant de rentrer !".
Je m'attendais à cette proposition, et j'ai hâte d'y être déjà !
On exécute notre tâche, puis vers 17 h, on range nos outils.
Je monte à ses cotés dans le véhicule.
"Tu es pressé de rentrer ? Je peux t'emmener quelque part ?".
"Ben, je dirai que j'ai fais des heures supplémentaires !".
"Super !".
Il m'emmène dans un chemin boisé, puis se gare sur un espace, au milieu d'une petite forêt de pins.
Il se soulève et baisse son pantalon avec son caleçon.
"Occupes-toi d'elle !".
Je pose mes doigts autour de son gros membre.
J'approche ma bouche de son gland épais, ma langue humide le lèche longuement.
Sa protubérance coulisse sans retenue dans ma gorge chaude.
Il commence à bander, je gémis d'excitation, de le sentir gonfler et glisser sous mon palais.
Il est dur à présent, il m'enfonce profondément sur sa bite avec ses mains.
Je suffoque, et produit énormément de salive.
J'entend des bruits, 3 hommes entourent la voiture et nous observent de l'extérieur en se masturbant.
"Allez viens ! On sort ! On va s'amuser !".
Je me redresse, et je me laisse guider. Il me prosterne à ses pieds, m'enfonçant sa grosse bite dans la bouche, devant les autres.
Les autres queues se présentent à moi, l'un d'eux est vraiment peu membré, je ne m'en occupe pas du tout, pas envie !
L'un d'eux, parle à mon amant:
"C'est ton nouveau copain ? Il est excitant !".
"Oui, c'est à cause de lui que vous m'avez plus vu, pendant un moment ! Je le baise au boulot ! C'est pratique !".
"On peut en profiter comme on veux ?".
C'est moi qui réponds en disant que je ne veux pas de celui qui a un petit sexe.
"Pas lui, désolé ! J'accepte pas n'importe qui !".
L'homme bougonne un peu, puis s'écarte pour nous mater en se branlant.
Ma bouche se régale de chaque queue qui se présente devant mon visage, jusqu'au moment ou Mario me cale contre le capot de la voiture avec ma tête accessible pour des fellations.
Il dévoile mon cul cambré aux autres.
"Oh, il a un cul superbe ! Tu vas l'enculer ?".
"Bien sûr ! Il adore ma bite ! Hein, mon petit Pascal ?".
"Oui, dépêches-toi, je la veux ! Encules-moi !".
Il me présente sa main, j'y dépose l'excès de salive que mes fellations provoquent.
Il me couvre l'anus et entreprend de me pénétrer.
"Putain, il encaisse ta grosse bite ?".
"Regardes bien ! Tu vas voir comment il encaisse, et tu vas l'entendre aussi !".
Son gros gland m'écartèle l'œillet lentement, puis il me pousse contre le capot plus puissamment, et s'enfonce en moi en me faisant râler de plaisir.
"Arhhhhhhhhhhh ! Mario ! Ca me manquait ! Arhhhhhhhhhhh ! C'est gros encore !".
Il coulisse dans mon anus sans se presser, il veut que les autres admirent sa large bite qui me déchire le cul.
Puis après quelques minutes, ou j'ai déjà avalé le foutre d'un de ses copains de baise, il augmente son rythme pour me défoncer comme une bête.
Il est excité, je pense qu'il s'est masturbé avant, tant il est endurant. Probablement à l'heure du repas.
Mon anus dégouline de jus anal, qui tache mon slip, sous moi.
J'essaie de retenir mes cris de jouissance en m'étouffant sur l'autre queue que je suce.
Une chaleur intense m'inonde la gorge, l'inconnu éjacule son foutre brulant, légèrement salé.
J'ingurgite son jus au rythme des assauts de Mario dans mon cul.
Les hommes nous laissent ensuite à notre copulation, même l'homme au petit sexe qui a éjaculé sur le sol, excité par la scène qu'on lui offrait.
"Putain, quelle pute ! Ce jeune ! Il promet ! Je l'aurai bien baisé moi aussi !".
"Et moi donc !".
Mario me casse l'anus encore 20 bonnes minutes, avant de me remplir le cul de son jus.
Il met un temps fou à se retirer. je continue de gémir grâce à sa présence en moi.
"Oh putain Pascal ! J'ai trop bien joui ! Il faut qu'on baise plus souvent !".
"Arhhhhhhhh ! Ben, ça tient qu'à toi ! Je ne dis jamais non, tu le sais ! Ouhhh, j'adore ta queue Mario !".
Il se retire enfin.
"Je sais ! Tu manques aussi à Dimitri ! Tu veux pas aller le voir ?".
"Ben, je sais pas ou il est !".
"Il est sur un nouveau chantier, vers Sainte Musse ! Rue ...".
"Bon, j'irais le voir, dès que je peux ! J'en ai envie moi aussi ! Ouhh, putain ! Tu m'as cassé le cul !".
"C'est ce que tu aimes !".
"Oui, je sais ! Mais tu peux me donner un mouchoir pour m'essuyer ?".
C'est lui qui me nettoie avec douceur, puis je remonte mon pantalon et découvre la sensation d'humidité de mon slip souillé de jus anal.
J'espère que cela ne se verra pas trop, quand je vais rentrer à la maison.
"Ca te dit que je te ramène de temps en temps ! Ca nous ferait du bien, je pense !".
"Je pense aussi ! Il faudrait trouver un endroit discret à mi chemin !".
"Pas de souci, pour ça !".
En rentrant, j'ai ensuite discrètement évacué le sperme de Mario à l'insu de ma femme.
Je ne suis jamais retourné tout seul dans ce petit bois, uniquement avec Mario, il était trop loin de chez moi.
Lorsque l'on a eu un nouveau chantier ou l'on retrouvait Dimitri, on reprenait nos jeux pervers avec un plaisir immense.
Mario aimait m'accompagner en fin de semaine dans le local des roumains, il a assisté aux doubles pénétrations anales que je subissais avec eux et Dimitri.
Mais avec lui, ce n'était possible qu'avec un seul d'entre eux, assez fin, pour se joindre à lui.
Ensuite, la société a été reprise par un nouveau directeur qui n'a pas eu la chance d'avoir les contrats avec la ville, elle a donc fermé plus d'un an après!
J'ai perdu de vue Mario, pendant quelques années. Mais j'ai retrouvé quelques fois mes amis roumains, au gré de mes ballades, aux abords de nouveaux chantiers.
Mon chef d'atelier vient me prévenir:
"Prépares tes affaires, tu vas avec Mario à Six-fours, pour un petit boulot !".
"D'accord ! Chef ! On aura fini avant ce soir ?".
"Non ! Il te ramènera chez toi, il m'a dit que ça ne le déranges pas ! Ah, au fait, c'est sympa ! J'apprécie ton attitude avec lui !".
Je blêmis, j'ai peur que Mario lui ai dit qu'il me baisait, mais je fais fausse route, le chef me rassure:
"Tu bosses bien et tu es le seul qui s'entend aussi bien avec lui, tu n'es pas raciste, je suppose !".
"Pas du tout, j'ai horreur de ça ! Je juge les gens pour ce qu'ils sont ! Pas pour leur couleur ou leur origine !".
"Comme moi, t'as tout compris ! C'est pas le cas des autres ouvriers ! Ne changes rien !".
Ma pression retombe, je vais préparer mes affaires et rejoins mon amant Portugais, depuis 6 mois déjà !
Sur la route, il me demande:
"Dis-moi, tu fais comment quand tu as envie de te faire prendre ?".
"Je vais au cinéma porno, ou au Sex-Shop du centre ville et sur le bord de mer aussi ! Mais pendant le chantier, j'en ai pas eu besoin avec Dimitri et toi, plus les autres ouvriers, ça faisait beaucoup !".
"Ah, oui, c'est vrai ! C'était bien, tu trouves pas ! On s'est éclatés !".
"Oui, ça me manque ! Je suis retourné au Sex-shop pour rencontrer des hommes pour me calmer !".
"Et alors ? T'as pris ton pied !".
"Oui, ça va ! J'ai bien joui ! Mais c'est différent !".
Il pose sa main sur ma cuisse en conduisant.
"On s'amusera ce soir, avant de rentrer !".
Je m'attendais à cette proposition, et j'ai hâte d'y être déjà !
On exécute notre tâche, puis vers 17 h, on range nos outils.
Je monte à ses cotés dans le véhicule.
"Tu es pressé de rentrer ? Je peux t'emmener quelque part ?".
"Ben, je dirai que j'ai fais des heures supplémentaires !".
"Super !".
Il m'emmène dans un chemin boisé, puis se gare sur un espace, au milieu d'une petite forêt de pins.
Il se soulève et baisse son pantalon avec son caleçon.
"Occupes-toi d'elle !".
Je pose mes doigts autour de son gros membre.
J'approche ma bouche de son gland épais, ma langue humide le lèche longuement.
Sa protubérance coulisse sans retenue dans ma gorge chaude.
Il commence à bander, je gémis d'excitation, de le sentir gonfler et glisser sous mon palais.
Il est dur à présent, il m'enfonce profondément sur sa bite avec ses mains.
Je suffoque, et produit énormément de salive.
J'entend des bruits, 3 hommes entourent la voiture et nous observent de l'extérieur en se masturbant.
"Allez viens ! On sort ! On va s'amuser !".
Je me redresse, et je me laisse guider. Il me prosterne à ses pieds, m'enfonçant sa grosse bite dans la bouche, devant les autres.
Les autres queues se présentent à moi, l'un d'eux est vraiment peu membré, je ne m'en occupe pas du tout, pas envie !
L'un d'eux, parle à mon amant:
"C'est ton nouveau copain ? Il est excitant !".
"Oui, c'est à cause de lui que vous m'avez plus vu, pendant un moment ! Je le baise au boulot ! C'est pratique !".
"On peut en profiter comme on veux ?".
C'est moi qui réponds en disant que je ne veux pas de celui qui a un petit sexe.
"Pas lui, désolé ! J'accepte pas n'importe qui !".
L'homme bougonne un peu, puis s'écarte pour nous mater en se branlant.
Ma bouche se régale de chaque queue qui se présente devant mon visage, jusqu'au moment ou Mario me cale contre le capot de la voiture avec ma tête accessible pour des fellations.
Il dévoile mon cul cambré aux autres.
"Oh, il a un cul superbe ! Tu vas l'enculer ?".
"Bien sûr ! Il adore ma bite ! Hein, mon petit Pascal ?".
"Oui, dépêches-toi, je la veux ! Encules-moi !".
Il me présente sa main, j'y dépose l'excès de salive que mes fellations provoquent.
Il me couvre l'anus et entreprend de me pénétrer.
"Putain, il encaisse ta grosse bite ?".
"Regardes bien ! Tu vas voir comment il encaisse, et tu vas l'entendre aussi !".
Son gros gland m'écartèle l'œillet lentement, puis il me pousse contre le capot plus puissamment, et s'enfonce en moi en me faisant râler de plaisir.
"Arhhhhhhhhhhh ! Mario ! Ca me manquait ! Arhhhhhhhhhhh ! C'est gros encore !".
Il coulisse dans mon anus sans se presser, il veut que les autres admirent sa large bite qui me déchire le cul.
Puis après quelques minutes, ou j'ai déjà avalé le foutre d'un de ses copains de baise, il augmente son rythme pour me défoncer comme une bête.
Il est excité, je pense qu'il s'est masturbé avant, tant il est endurant. Probablement à l'heure du repas.
Mon anus dégouline de jus anal, qui tache mon slip, sous moi.
J'essaie de retenir mes cris de jouissance en m'étouffant sur l'autre queue que je suce.
Une chaleur intense m'inonde la gorge, l'inconnu éjacule son foutre brulant, légèrement salé.
J'ingurgite son jus au rythme des assauts de Mario dans mon cul.
Les hommes nous laissent ensuite à notre copulation, même l'homme au petit sexe qui a éjaculé sur le sol, excité par la scène qu'on lui offrait.
"Putain, quelle pute ! Ce jeune ! Il promet ! Je l'aurai bien baisé moi aussi !".
"Et moi donc !".
Mario me casse l'anus encore 20 bonnes minutes, avant de me remplir le cul de son jus.
Il met un temps fou à se retirer. je continue de gémir grâce à sa présence en moi.
"Oh putain Pascal ! J'ai trop bien joui ! Il faut qu'on baise plus souvent !".
"Arhhhhhhhh ! Ben, ça tient qu'à toi ! Je ne dis jamais non, tu le sais ! Ouhhh, j'adore ta queue Mario !".
Il se retire enfin.
"Je sais ! Tu manques aussi à Dimitri ! Tu veux pas aller le voir ?".
"Ben, je sais pas ou il est !".
"Il est sur un nouveau chantier, vers Sainte Musse ! Rue ...".
"Bon, j'irais le voir, dès que je peux ! J'en ai envie moi aussi ! Ouhh, putain ! Tu m'as cassé le cul !".
"C'est ce que tu aimes !".
"Oui, je sais ! Mais tu peux me donner un mouchoir pour m'essuyer ?".
C'est lui qui me nettoie avec douceur, puis je remonte mon pantalon et découvre la sensation d'humidité de mon slip souillé de jus anal.
J'espère que cela ne se verra pas trop, quand je vais rentrer à la maison.
"Ca te dit que je te ramène de temps en temps ! Ca nous ferait du bien, je pense !".
"Je pense aussi ! Il faudrait trouver un endroit discret à mi chemin !".
"Pas de souci, pour ça !".
En rentrant, j'ai ensuite discrètement évacué le sperme de Mario à l'insu de ma femme.
Je ne suis jamais retourné tout seul dans ce petit bois, uniquement avec Mario, il était trop loin de chez moi.
Lorsque l'on a eu un nouveau chantier ou l'on retrouvait Dimitri, on reprenait nos jeux pervers avec un plaisir immense.
Mario aimait m'accompagner en fin de semaine dans le local des roumains, il a assisté aux doubles pénétrations anales que je subissais avec eux et Dimitri.
Mais avec lui, ce n'était possible qu'avec un seul d'entre eux, assez fin, pour se joindre à lui.
Ensuite, la société a été reprise par un nouveau directeur qui n'a pas eu la chance d'avoir les contrats avec la ville, elle a donc fermé plus d'un an après!
J'ai perdu de vue Mario, pendant quelques années. Mais j'ai retrouvé quelques fois mes amis roumains, au gré de mes ballades, aux abords de nouveaux chantiers.
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