Mario, le quinquagénaire Portugais - histoire érotique

C'est l'époque ou je travaille pour une entreprise qui a des contrats de chantiers d'immeubles avec la ville.
Mon aventure avec Dimitri et ses amis roumains, a eu lieu quelques mois auparavant.
A chaque nouveau chantier, j'interviens vers la fin pour pratiquer mon activité, lorsque l'on a besoin de moi.
Souvent, c'est un autre ouvrier, plus âgé et Portugais qui se prénomme Mario, qui débute le travail.
J'ai d'autres occupations à l'atelier, la plupart du temps.
Lorsque Mario est présent, en même temps que Dimitri et ses camarades, Dimitri ne me baise que si Mario est parti ou en train de manger.
La veille de cette anecdote, mon chef d'atelier me prévient que je dois me rendre directement au Conseil Général de ma ville.
Mario va m'y attendre pour me confier une tache à accomplir.
Notre boite avait gagné l'appel d'offres pour la restauration de ce magnifique endroit, un immeuble de style Haussmannien de luxe.
Ce matin là, j'ai emporté une tenue de travail, sans nourriture, j'habite à 500 m ! J'irais donc manger chez moi.
Mario est devant le bâtiment à l'heure indiquée, nous entrons, et il m'emmène au petit local dédié au changement de tenue.
Comme souvent, mon regard se porte sur la belle déformation, que forme sa queue au repos, dans son slip.
Je lui tourne le dos, pour cacher mon trouble, et lui offre une vue imprenable sur mon fessier cambré, pendant que je me baisse pour enfiler ma tenue de travail.
J'ignore ce qu'il fait de ce spectacle, n'ayant aucune idée à son sujet.
Il me confie une tâche, je dois créer un fond dans un placard, et cacher des tuyaux.
Pendant mon boulot, je reconnais la voix de Dimitri, je comprends que ses rapports avec Mario ont bien évolué.
D'abord distants, à présent, ils ont l'air de bien s'entendre, et Dimitri parle de mieux en mieux le Français.
Je vais bientôt avoir terminé ma mission, lorsque je comprends la phrase de Mario:
"Mais, dis-moi Dimitri, tu fais comment ? T'as pas de femme ici ?".
"Euh, Non, mais j'ai... quelqu'un ! Un peu !".
"Ah ! Une femme Mariée ! C'est ça ?".
"Non, Quelqu'un !".
"Je comprends pas, c'est qui ?".
Pendant ce temps, je me rapproche sans me faire entendre.
Ils se parlent à voix basse:
"Euh, Je préfère garçons !".
"Ohhh, J'avais pas compris !".
"Tu aimes pas ? Toi, tu aimes femmes !".
"Pas forcément ! Ma femme est malade, elle ne peut plus ! Je t'avoue que j'ai essayé depuis longtemps, j'aime bien moi aussi !".
"Tu vas où ?".
"Un petit bois vers chez moi ! Il y a des hommes là-bas ! Et toi ?".
Je me fais entendre, encore sonné par la révélation de la bisexualité de Mario.
J'ai surtout peur que Dimitri révèle que je fais partie de ceux qu'il baise de temps en temps.
"Mario ! J'ai fini ! Je fais quoi ?".
"Non, c'est impossible ! J'arrive ! je vais vérifier !".
Dimitri est content de me voir, dans le dos de Mario, il se touche le sexe pour me faire comprendre qu'il a envie de moi.
Je lui souris d'un regard malicieux approbateur.
Mario me suit, et constate que j'ai bien terminé.
"Ben, le souci, c'est que t'avais la journée pour faire ça ! J'ai rien d'autre à te donner ! Attends midi, et tu restes chez toi ! Tu reviendras demain !".
Il est 10 h 20 environ, j'en profite pour donner un coup de propreté dans l'endroit, dès que Mario retourne près de Dimitri.
Je ramasse mes déchets, quand j'entends:
"Pstt ! Pascal ! Viens !".
Je suis Dimitri, qui nous éloigne jusqu'à un local, où les roumains se changent.
Il ferme derrière nous, je me jette contre lui qui m'entoure de ses gros bras avec force.
"Petit Pascal ! J'ai très envie !".
Nos bouches s'entremêlent, pendant que nos mains cherchent l'endroit que l'on désire le plus chez l'autre, mon cul pour lui, sa queue pour moi.
Il me malaxe les fesses, je gémis d'envie.
Je serre sa longue bite tendue à l'extrême, entre mes doigts.
Il quitte mon cul pour dégrafer sa braguette. Dès que son sexe se dégage de sa prison, je suis déjà prêt à l'englober de ma gorge.
Il s'appuie contre le mur et accompagne mes mouvements buccaux de ses mains sur mon crâne.
Ma pipe est goulue, perverse et passionnée aussi.
J'aime l'entendre gémir de plaisir dans sa langue maternelle, à voix basse.
Ma langue explore chaque centimètre de son appareil génital, de ses testicules à son gland, que j'aime aussi faire cogner contre ma glotte, à de nombreuses reprises.
On partage l'amour des longues fellations, je le suce depuis plus de 15 minutes, quand il me redresse et me tourne enfin.
Je profite que ma bouche est couverte de salive, à force de le sucer en gorge profonde, pour m'enduire l'anus.
Son gros gland vient très vite se coller à mon œillet.
Il pousse entre mes fesses, en me retenant par une hanche et l'épaule.
Ses à-coups répétés atteignent leur but.
Mon anus s'écartèle et il progresse en moi en me provoquant un long râle de plaisir.
"Ouhmm ! Pascal ! J'aime t'enculer !".
Décidément, il progresse très bien en Français !
"Arhhhh ! Dimitri ! Tu m'as manqué !".
"Ouhh ! J'aime ton cul ! Toi aussi, tu me manques ! Beaucoup !".
Alors qu'il coulisse dans mes parois anales, je l'accompagne de mes coups de reins.
Mon premier orgasme anal arrive très vite, je gémis fortement, malgré ma bouche collée à ma main, pour rester discret.
Je jouis pendant qu'il me claque les fesses en m'enculant comme une brute.
Il me défonce en faisant cogner son gros gland au fond de mon cul.
"Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh ! Dimitri, oui ! Arhhhhhhhhhhhh ! Encore !".
"Tu aimes être enculer ! Salope ! Tu aimes grosse queue !".
"Arhhhhhhhhhhhh ! Oui, tu m'encules toujours bien ! J'aime comme tu me baises ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Après une longue et violente sodomie, on entend frapper à la porte.
Dimitri demande en roumain qui veut entrer.
"Piotr !".
C'est l'un de ses camarades, il sort de mon cul pour lui ouvrir.
L'homme me reconnait et referme derrière lui, il vient se faire sucer, pendant que Dimitri reprend sa défonce anale.
Quelques minutes ensuite, mon amant décide de laisser sa place a Piotr.
Je me fais empaler par Piotr, et subis une gorge profonde de Dimitri.
Moins de dix minutes après, Piotr se déverse dans mon anus en se plantant profondément, de nombreuses fois, jusqu'à la fin de son éjaculation.
De son coté, je sens que Dimitri est au bord de l'explosion aussi.
Piotr, ressort lentement, Dimitri se retire de ma gorge et vient pousser son ami, pour glisser son gros membre en moi.
En quelques mouvements, il atteint son orgasme et laisse exploser ses éjections de sperme dans mon cul.
Quand à moi, j'en suis à mon énième orgasme anal, ce deuxième remplissage anal ajoute un plaisir cérébral.
Pendant que mon amant retrouve lentement sa tête, Piotr se fait lécher la queue, encore quelques secondes.
Dimitri me laisse me redresser, je serre les fesses en quittant sa bite et me rhabille.
Je suis repu de sexe, je me sens bien, cela faisait un moment que j'avais envie d'une telle défonce.
Les deux compères sortent ensemble, je leur ai demandé de ne pas prévenir les autres de ma présence.
Sinon, ils voudront eux aussi profiter de moi.
Il me reste une petite demi heure avant midi, je me rends dans le petit local réservé à Mario et moi.
5 minutes avant midi, Mario me rejoint, je commence à me déshabiller devant lui pour partir, il est derrière moi.
Il me demande:
"Ca va, tu ne t'es pas trop ennuyé en attendant midi ?".
Je lui réponds en lui tournant le dos, j'ôte mon tee-shirt et mon pantalon, pour me retrouver en slip.
j'espère que l'on ne devine pas que j'ai subis les assauts de deux hommes, ayant quelques griffures et d'autres traces roses sur les hanches et les fesses. Je garde les cuisses serrées pour cacher l'humidité entre mes jambes et sur mon slip.
"Non, ça va ! J'ai trouvé une bonne occupation !".
"J'imagine, mais, dis-moi, tu aimes le saucisson Portugais ?".
"Je sais pas, j'ai jamais goûté, tu en as ?".
"Toujours ! Regardes !".
Je me retourne à demi-nu, et pour la première fois, je vois son sexe en érection complète.
Le saucisson, c'est sa grosse bite !
"M... M... Mario ! Pourquoi ?".
"Chtt ! Rassures-toi, C'est Dimitri qui m'as parlé ! Je te plais pas ? Je veux pas te forcer Pascal, mais j'aimerais bien le faire avec toi, si tu es d'accord !".
"Je... tu me prends au dépourvu !".
Je ne réalise même pas, que j'ai instinctivement porté ma main sur sa large queue, que je caresse avec envie.
Je n'imaginais pas qu'il était aussi bien doté, pas une énorme longueur, mais très, très épaisse !
Il gémit:
"Ohh, mmmm ! On dirait que c'est oui !".
Son gémissement me fait regarder ma main sur sa bite, je le branle sans m'en rendre compte!
Il me tourne doucement et baisse délicatement mon slip.
Sa très grosse verge se colle à mon anus.
Sa poussée m'écartèle légèrement l'œillet, il provoque un rejet de sperme sonore et lubrificateur, sur son gland.
D'un coup, mes parois s'élargissent, la protubérance de son gland s'enfonce jusqu'à sa collerette.
"Arhhhhhhhhhhhh ! Mario ! J'arrive pas à réaliser ce que tu vas me faire !".
"Moi, non plus, Petit Pascal ! Mais ça va beaucoup me plaire !".
A ces mots, il pousse plus fort et me transperce l'anus jusqu'à venir se caler au fond de mon cul.
"Arhhhhhhhhhhhh ! Putain ! Mario ! Tu es gros !".
"Mmmm ! Toi, tu es bon ! Ohh, si j'avais su avant !".
Il bouge lentement d'abord, je joui dès les premiers mouvements.
"Je comprends pourquoi Dimitri t'apprécie autant ! Tu es excitant à baiser !".
Son rythme s'accélère, augmentant encore mon plaisir.
J'attrape ma tenue de travail que je met en boule pour étouffer mes cris de jouissance en la mordant.
Voyant qu'il a le feu vert pour y aller plus fort, il se déchaine et me casse le cul sans retenue.
Je découvre que mon pote de travail quinquagénaire est très très endurant. J'ai du mal à croire qu'il me fait autant jouir avec son gros pieu, sa longueur est idéale, il cogne à peine au fond de moi, mais sa largeur me déchire délicieusement l'anus.
Mon anus produit énormément de liquide blanchâtre, qui dégouline entre mes couilles, signe d'une longue sodomie.
Il me détruit le cul, en me provoquant orgasme sur orgasme, puis se déverse longuement dans mes intestins.
Ses grognements de plaisir m'excitent comme un fou.
On met du temps à redescendre de notre rapport bestial.
La réalité me revient en pleine face, je me suis fait enculer par Mario, l'ouvrier Portugais !
J'étais loin d'imaginer que cela serait possible ! Pas cet ouvrier quinquagénaire, si discret et au dessus de tout soupçon ! Il va falloir gérer les suites de cette relation !
Lui qui m'a défoncé comme un dieu, qui reprend ses esprits et me rassure:
"Ne t'inquiètes pas, je ne t'embêterai pas souvent ! Mais, j'aimerai bien recommencer ! Qu'est-ce que t'en penses ?".
"C'est gentil de me dire ça ! Je veux bien, mais il faudra être discret !'.
"Bien sûr ! Bon, je vais casser la croute ! Tu rentres chez toi ?".
"Oui, encore merci, de me laisser partir !".
"De rien, tu as bien bossé, c'est normal !".
Il replace mon slip humide en couvrant mes fesses, me caresse le cul et me laisse me rhabiller.
Arrivé chez moi, je suis encore sous le choc d'avoir encaisser les assauts de Mario, après Dimitri et Piotr.
Je mange, et m'attends au retour de ma femme vers 15 h, mais elle ne rentrera pas avant 17h30.
Je ne le savais pas encore, elle a déjà rencontré son deuxième amant régulier; Chris !
C'est un peu ma faute, je la délaisse au profit du sexe masculin.
Si ce jour là, elle avait choisit de baiser avec lui dans notre appartement, je les aurais surpris !
Elle a donc eu de la chance.
De mon coté, je n'ai pas résisté à une masturbation en repensant à Dimitri, Piotr et Mario !
Le lendemain matin, Mario et Moi, sommes encore dans le local.
Il me dit à voix basse.
"C'était bien hier ! Tu as aimé ?".
"Oui ! Beaucoup !".
Il s'approche de moi et me caresse les fesses.
"Tu m'excites beaucoup, mon petit Pascal !".
Mes doigts caresse sa bite en érection.
Lentement, je me baisse à son niveau pour l'englober entre mes lèvres humides et chaudes.
Il s'assoit sur une chaise et se laisse aimer la queue, il apprécie le plaisir que je lui offre.
J'aime le contact de ses mains sur mes cheveux, alors que je me pénètre la gorge inlassablement de son gros membre.
Il m'envoie enfin un jet puissant de foutre brulant, il est agréablement surpris par le fait que je reste planté sur sa bite.
Le bruit que je fais en ingurgitant son jus épais et poivré l'excite.
Il se déverse encore et encore.
"Arhhhhhhhhhhh ! Pascal, c'est énorme ! J'aime jouir dans ta bouche ! C'est trop bon ! Arhhhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhhhh !".
Je le lèche ensuite très longuement pendant qu'il récupère sa lucidité après le plaisir.
Je me relève et lui offre un grand sourire.
"Bon, on va pouvoir bosser ? Qu'est-ce que je dois faire ?".
Il me sourit lui aussi, puis nous finissons de nous changer et allons travailler comme si, rien ne s'était passé.
Les seuls indices était de nombreux sourires malicieux entre nous, désormais.
Il me sollicitait tous les jours, mais seulement quand nous bossions ensemble.
Le souci, c'est que cela s'ajoutait aux saillies de Dimitri.
Il m'arrivait de l'entendre parler de moi avec Dimitri, cela leur faisait un point commun de plus.
3 jours plus tard, j'ai attendu la fin de la journée pour retrouver le groupe de roumains dans leur local.
Ils ont pu se défouler sexuellement, je suis rentré très fatigué !