Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°1019)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-08-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°1019)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°1019) -
Qu’allait me réserver cette deuxième journée ? … Mario m’indiqua que l’adresse où je devais me rendre se trouvait à quelques pâtés de maisons du sexshop. Je n’aurai donc pas trop de mal à la trouver, et je ne devrais pas avoir besoin de m’adresser à qui que ce soit pour y parvenir. Je pensais donc avoir un peu de répit malgré la tenue de pute que je portais, toujours la même qui ne couvrait pas grand-chose de mon anatomie. Mais bien sûr, ce ne fut pas le cas. Je ne le savais pas, mais même les heures où je quittais un endroit pour aller à un autre, étaient prévues par le Maître, et les « embûches » que je devais trouver étaient toutes programmées. Comme par exemple l’homme qui m’avait déposé devant chez Mario la veille. J’en avais, d’après ce que Mario m’avait dit, pour une quarantaine de minutes de marche. Il m’avait prévenu que j’arriverai largement en avance, mais qu’il ne pouvait pas me garder. En revanche, il me dit également qu’il m’était exigé que je ne change pas la route qu’il m’indiquait pour m’y rendre et que je ne fasse pas d’arrêt en route pour boire un café ou autre. En même temps, comme Walter m’avait déposé à Paris sans argent, je n’aurai de toute manière pas pu me payer quoique ce soit. Je marchais donc d’un pas assez vif. Je me sentais toujours aussi mal à l’aise dans la rue dans cette tenue de prostituée.
Cela devait faire vingt minutes que je marchais. Il me semblait qu’une voiture me suivait, mais je n’en voyais aucune raison (mise à part ma tenue provocatrice) et je me dis que je devais faire une petite crise de paranoïa, dû au fait que j’étais plus rat des champs que rat des villes, et Paris avait tendance à m’angoisser. Pourtant quand la voiture s’arrêta en me coupant la route en montant tout simplement sur le trottoir, je commençais à avoir un peu peur. Peur qui ne fit qu’augmenter lorsqu’un homme en descendit, et s’approcha en quelques enjambées. Sans dire un mot, il me maintint les mains dans le dos et me murmura alors à l’oreille de le suivre sans un mot, que cela faisait partie de mon séjour dans la capitale, exigé par un Noble qu’il ne connaissait pas et dont il n’avait pas retenu le nom, sauf son titre de Marquis et surtout qu’il avait retenu aussi la forte somme d’argent reçue en échange de cet ‘’enlèvement de ma personne’’. Aussitôt je m’apaisais, même si je gardais une petite pointe d’appréhension… Nous ne sommes pas allés très loin, très vite, le chauffeur tourna pour rentrer dans un garage sous terrain privatisé. Il y avait deux hommes dans la voiture, en plus de celui qui était derrière le volant. Tous étaient habillés en noir et ne semblaient pas disposés à la convivialité de par leur impassibilité. La voiture avait des fenêtres teintées qui m’empêchaient de voir ce qu’il se passait à l’extérieur. Mais quand on me laissa descendre, je vis une dizaine de personnes, hommes et femmes, regroupées autour d’une croix de Saint-André en bois brut, visiblement faite maison.
Très vite, je fus attachée, bras et jambes écartés, face à ce public. Une femme se dirigea alors vers une voiture, ouvrit le coffre et sortit une table pliante et un panier. Un homme vint lui prendre la table, la déplia et l’installa proche de la croix. La femme déposa le panier et en sortit un par un, un martinet, un pad, un fouet et une badine, un plug, un gode, des pinces et une batterie. Aucun mot ne fut échanger entre eux, chacun ayant l’air de savoir parfaitement ce qu’il allait avoir à faire. On m’installa le plug, le gode, qu’on fit tenir avec une sorte de harnais, et les pinces, deux à mes tétons et deux à mes lèvres intimes, tous reliés à la batterie. Puis chacun leur tour, ils prirent un des instruments sur la table et s’ingénièrent à me faire rougir chaque millimètre carré de ma peau. Et pendant ce temps, une femme augmentait les intensités des impulsions électriques des appareils qui me pénétraient ou me pinçaient. Je restais silencieuse, mais au fur et à mesure, je ne pouvais empêcher mon visage de se marquer de grimaces de douleurs, en même temps que mon excitation s’écoulait le long de mes cuisses. Douleurs des coups portés, douleurs de l’électricité qui me traversait, et un plaisir tellement intense pour la soumise masochiste que j’avais découverte en moi. Comme j’aurai voulu pouvoir recevoir l’autorisation de jouir !
Je serrais les dents, j’aurai voulu pourvoir serrer les cuisses, je faisais tout pour me contrôler, ne pas avoir d’orgasmes, ne pas gémir… Après le traitement que j’avais reçu de face, je fus détachée pour me retrouver contre le bois et leur présenter mon dos, mon cul... Ils ne s’arrêtèrent que lorsque je fus bien rouge, assez pour que la couleur reste un bon moment, sans pour autant que cela ne m’ait blessé. On aurait pu croire, lorsqu’ils me laissèrent me rhabiller, avec difficultés vu la sensibilité de ma peau, que j’avais pris des coups de soleil sur l’ensemble de mon corps, mis à part mon visage. En dehors de la douleur sourde qui ne me quittait pas, j’avais de plus une grosse tension excitante dans mon bas-ventre. Je n’avais pas eu le droit de jouir, et mon excitation était à son comble. J’aurai pu jouir à cet instant, sans le moindre attouchement, rien que sur un ordre donné ! Ils ne m’avaient pas laissé partir sans accessoires. Ils avaient enlevé le plug et gode électriques, mais ils les avaient remplacé par des modèles vibrants à piles. J’avançais donc dans la rue, surexcitée, sur le point de jouir, la douleur ne me quittant pas et ne faisant qu’augmenter, paradoxalement mon excitation. Heureusement j’arrivais bientôt. En m’emmenant dans le garage privé, les hommes qui m’avaient « kidnappée » m’avaient rapprochée de mon lieu de destination.
Lorsque j’arrivai à la bonne adresse, je me demandais ce qui allait encore m’arriver ! Car je me retrouvais devant la devanture d’un cabaret, qui, à l’heure qu’il était, était fermé à la clientèle. Je sonnais tout de même, en espérant que quelqu’un soit là et vienne m‘ouvrir. Je n’eus à attendre que quelques minutes, avant qu’un homme d’une trentaine d’années ne viennent m’ouvrir et ne me déshabille du regard, me détaillant de haut en bas.
- Vu la couleur de ta peau et ta tenue, tu dois être la chienne MDE que j’attendais ! Entre, tu peux rester debout pour le moment. Mais reste silencieuse, je ne veux pas t’entendre jusqu’à nouvel ordre.
Une fois le pas de la porte passé, il m’ordonna d’écarter les bras et les jambes, et il me palpa, me caressa, me pétrit. La peau toujours si sensible, je ne pus empêcher quelques grimaces, mais aucun son ne sortit de ma bouche. Il passa également ses doigts entre mes lèvres intimes, et sourit vicieusement en y découvrant l’humidité qui y régnait, et prit un malin plaisir à frictionner mon clitoris, bien érigé, provoquant des décharges électriques, cette fois-ci naturelles, de plaisir que j’eus du mal à contrôler. Lorsqu’il s’arrêta, il exigea que je me tienne à genoux, me laissant toutefois reposer mes fesses sur mes talons.
- Tu es là pour participer au spectacle de ce soir, qui sera un peu spécial car c’est une soirée BDSM. Tu dois donc apprendre, dans la journée, la chorégraphie et la savoir parfaitement. Les danseuses de ce soir sont toutes des soumises, les miennes, plus celles de certains des Invités qui seront présents. Toutes travaillent sur ce spectacle depuis une semaine. Tu auras donc beaucoup de travail pour être à la hauteur, et je superviserai à l’aide d’un fouet tes progrès. J’ai été prévenu par le fameux et si célèbre Monsieur le Marquis d’Evans de tes tendances masochistes, donc je sais que ce pourrait être pour toi plus source de plaisir que de sanctions. Alors sache dès à présent que selon le nombre de fois où tu seras amenée à sentir mon fouet, ce sera d’une manière que seul Monsieur le Marquis décidera, un certain nombre de jours où Lui te sanctionnera à Sa manière à ton retour au Château, si tant est que tu obtiennes le droit d’y retourner. Alors fais bien attention à ne pas trop abuser de ce « plaisir ». Maintenant suis-moi, je vais te présenter celles qui vont te montrer ce que tu devras faire. Et tu me suis à quatre pattes évidemment…
Je le suivis, toujours sans connaître son nom, à travers le bâtiment jusqu’aux coulisses, où les soumises étaient en train de se préparer, costumées et maquillées, faisant des exercices d’échauffement et d’assouplissement. Quand nous arrivâmes, toutes arrêtèrent ce qu’elles étaient en train de faire pour se prosterner tout autour de lui, les mains dirigées vers ses pieds, formant un soleil. Il m’ordonna de ne pas bouger, puis il fit le tour des soumises et toutes eurent droit au même traitement. Il caressa les culs relevés, les claqua à cinq reprises, fit cinq va et vient dans leurs chattes offertes, puis dans leurs anus, pour finir par une caresse sur la tête. Pour ma part, j’étais toujours à quatre pattes, appareillée par des accessoires qui vibraient sans discontinuer. Et si ça avait été terriblement excitant pendant un temps, cela commençait devenir douloureux. L’homme me présenta et expliqua ce qu’il attendait d’elles. J’appris ainsi que si je ne progressais pas assez rapidement, je serais sanctionnée, mais elles aussi chacune pas le Maître auquel elles appartenaient. Heureusement pour nous toutes, j’adoré la danse, j’étais souple, et j’apprenais vite. Sans compter que ma meilleure motivation était la volonté de satisfaire à tout prix le Maître que je vénérais et donc de pouvoir retourner un jour à Ses pieds au Château. Donc nous fûmes toutes exemptes de sanctions...
(A suivre …)
Qu’allait me réserver cette deuxième journée ? … Mario m’indiqua que l’adresse où je devais me rendre se trouvait à quelques pâtés de maisons du sexshop. Je n’aurai donc pas trop de mal à la trouver, et je ne devrais pas avoir besoin de m’adresser à qui que ce soit pour y parvenir. Je pensais donc avoir un peu de répit malgré la tenue de pute que je portais, toujours la même qui ne couvrait pas grand-chose de mon anatomie. Mais bien sûr, ce ne fut pas le cas. Je ne le savais pas, mais même les heures où je quittais un endroit pour aller à un autre, étaient prévues par le Maître, et les « embûches » que je devais trouver étaient toutes programmées. Comme par exemple l’homme qui m’avait déposé devant chez Mario la veille. J’en avais, d’après ce que Mario m’avait dit, pour une quarantaine de minutes de marche. Il m’avait prévenu que j’arriverai largement en avance, mais qu’il ne pouvait pas me garder. En revanche, il me dit également qu’il m’était exigé que je ne change pas la route qu’il m’indiquait pour m’y rendre et que je ne fasse pas d’arrêt en route pour boire un café ou autre. En même temps, comme Walter m’avait déposé à Paris sans argent, je n’aurai de toute manière pas pu me payer quoique ce soit. Je marchais donc d’un pas assez vif. Je me sentais toujours aussi mal à l’aise dans la rue dans cette tenue de prostituée.
Cela devait faire vingt minutes que je marchais. Il me semblait qu’une voiture me suivait, mais je n’en voyais aucune raison (mise à part ma tenue provocatrice) et je me dis que je devais faire une petite crise de paranoïa, dû au fait que j’étais plus rat des champs que rat des villes, et Paris avait tendance à m’angoisser. Pourtant quand la voiture s’arrêta en me coupant la route en montant tout simplement sur le trottoir, je commençais à avoir un peu peur. Peur qui ne fit qu’augmenter lorsqu’un homme en descendit, et s’approcha en quelques enjambées. Sans dire un mot, il me maintint les mains dans le dos et me murmura alors à l’oreille de le suivre sans un mot, que cela faisait partie de mon séjour dans la capitale, exigé par un Noble qu’il ne connaissait pas et dont il n’avait pas retenu le nom, sauf son titre de Marquis et surtout qu’il avait retenu aussi la forte somme d’argent reçue en échange de cet ‘’enlèvement de ma personne’’. Aussitôt je m’apaisais, même si je gardais une petite pointe d’appréhension… Nous ne sommes pas allés très loin, très vite, le chauffeur tourna pour rentrer dans un garage sous terrain privatisé. Il y avait deux hommes dans la voiture, en plus de celui qui était derrière le volant. Tous étaient habillés en noir et ne semblaient pas disposés à la convivialité de par leur impassibilité. La voiture avait des fenêtres teintées qui m’empêchaient de voir ce qu’il se passait à l’extérieur. Mais quand on me laissa descendre, je vis une dizaine de personnes, hommes et femmes, regroupées autour d’une croix de Saint-André en bois brut, visiblement faite maison.
Très vite, je fus attachée, bras et jambes écartés, face à ce public. Une femme se dirigea alors vers une voiture, ouvrit le coffre et sortit une table pliante et un panier. Un homme vint lui prendre la table, la déplia et l’installa proche de la croix. La femme déposa le panier et en sortit un par un, un martinet, un pad, un fouet et une badine, un plug, un gode, des pinces et une batterie. Aucun mot ne fut échanger entre eux, chacun ayant l’air de savoir parfaitement ce qu’il allait avoir à faire. On m’installa le plug, le gode, qu’on fit tenir avec une sorte de harnais, et les pinces, deux à mes tétons et deux à mes lèvres intimes, tous reliés à la batterie. Puis chacun leur tour, ils prirent un des instruments sur la table et s’ingénièrent à me faire rougir chaque millimètre carré de ma peau. Et pendant ce temps, une femme augmentait les intensités des impulsions électriques des appareils qui me pénétraient ou me pinçaient. Je restais silencieuse, mais au fur et à mesure, je ne pouvais empêcher mon visage de se marquer de grimaces de douleurs, en même temps que mon excitation s’écoulait le long de mes cuisses. Douleurs des coups portés, douleurs de l’électricité qui me traversait, et un plaisir tellement intense pour la soumise masochiste que j’avais découverte en moi. Comme j’aurai voulu pouvoir recevoir l’autorisation de jouir !
Je serrais les dents, j’aurai voulu pourvoir serrer les cuisses, je faisais tout pour me contrôler, ne pas avoir d’orgasmes, ne pas gémir… Après le traitement que j’avais reçu de face, je fus détachée pour me retrouver contre le bois et leur présenter mon dos, mon cul... Ils ne s’arrêtèrent que lorsque je fus bien rouge, assez pour que la couleur reste un bon moment, sans pour autant que cela ne m’ait blessé. On aurait pu croire, lorsqu’ils me laissèrent me rhabiller, avec difficultés vu la sensibilité de ma peau, que j’avais pris des coups de soleil sur l’ensemble de mon corps, mis à part mon visage. En dehors de la douleur sourde qui ne me quittait pas, j’avais de plus une grosse tension excitante dans mon bas-ventre. Je n’avais pas eu le droit de jouir, et mon excitation était à son comble. J’aurai pu jouir à cet instant, sans le moindre attouchement, rien que sur un ordre donné ! Ils ne m’avaient pas laissé partir sans accessoires. Ils avaient enlevé le plug et gode électriques, mais ils les avaient remplacé par des modèles vibrants à piles. J’avançais donc dans la rue, surexcitée, sur le point de jouir, la douleur ne me quittant pas et ne faisant qu’augmenter, paradoxalement mon excitation. Heureusement j’arrivais bientôt. En m’emmenant dans le garage privé, les hommes qui m’avaient « kidnappée » m’avaient rapprochée de mon lieu de destination.
Lorsque j’arrivai à la bonne adresse, je me demandais ce qui allait encore m’arriver ! Car je me retrouvais devant la devanture d’un cabaret, qui, à l’heure qu’il était, était fermé à la clientèle. Je sonnais tout de même, en espérant que quelqu’un soit là et vienne m‘ouvrir. Je n’eus à attendre que quelques minutes, avant qu’un homme d’une trentaine d’années ne viennent m’ouvrir et ne me déshabille du regard, me détaillant de haut en bas.
- Vu la couleur de ta peau et ta tenue, tu dois être la chienne MDE que j’attendais ! Entre, tu peux rester debout pour le moment. Mais reste silencieuse, je ne veux pas t’entendre jusqu’à nouvel ordre.
Une fois le pas de la porte passé, il m’ordonna d’écarter les bras et les jambes, et il me palpa, me caressa, me pétrit. La peau toujours si sensible, je ne pus empêcher quelques grimaces, mais aucun son ne sortit de ma bouche. Il passa également ses doigts entre mes lèvres intimes, et sourit vicieusement en y découvrant l’humidité qui y régnait, et prit un malin plaisir à frictionner mon clitoris, bien érigé, provoquant des décharges électriques, cette fois-ci naturelles, de plaisir que j’eus du mal à contrôler. Lorsqu’il s’arrêta, il exigea que je me tienne à genoux, me laissant toutefois reposer mes fesses sur mes talons.
- Tu es là pour participer au spectacle de ce soir, qui sera un peu spécial car c’est une soirée BDSM. Tu dois donc apprendre, dans la journée, la chorégraphie et la savoir parfaitement. Les danseuses de ce soir sont toutes des soumises, les miennes, plus celles de certains des Invités qui seront présents. Toutes travaillent sur ce spectacle depuis une semaine. Tu auras donc beaucoup de travail pour être à la hauteur, et je superviserai à l’aide d’un fouet tes progrès. J’ai été prévenu par le fameux et si célèbre Monsieur le Marquis d’Evans de tes tendances masochistes, donc je sais que ce pourrait être pour toi plus source de plaisir que de sanctions. Alors sache dès à présent que selon le nombre de fois où tu seras amenée à sentir mon fouet, ce sera d’une manière que seul Monsieur le Marquis décidera, un certain nombre de jours où Lui te sanctionnera à Sa manière à ton retour au Château, si tant est que tu obtiennes le droit d’y retourner. Alors fais bien attention à ne pas trop abuser de ce « plaisir ». Maintenant suis-moi, je vais te présenter celles qui vont te montrer ce que tu devras faire. Et tu me suis à quatre pattes évidemment…
Je le suivis, toujours sans connaître son nom, à travers le bâtiment jusqu’aux coulisses, où les soumises étaient en train de se préparer, costumées et maquillées, faisant des exercices d’échauffement et d’assouplissement. Quand nous arrivâmes, toutes arrêtèrent ce qu’elles étaient en train de faire pour se prosterner tout autour de lui, les mains dirigées vers ses pieds, formant un soleil. Il m’ordonna de ne pas bouger, puis il fit le tour des soumises et toutes eurent droit au même traitement. Il caressa les culs relevés, les claqua à cinq reprises, fit cinq va et vient dans leurs chattes offertes, puis dans leurs anus, pour finir par une caresse sur la tête. Pour ma part, j’étais toujours à quatre pattes, appareillée par des accessoires qui vibraient sans discontinuer. Et si ça avait été terriblement excitant pendant un temps, cela commençait devenir douloureux. L’homme me présenta et expliqua ce qu’il attendait d’elles. J’appris ainsi que si je ne progressais pas assez rapidement, je serais sanctionnée, mais elles aussi chacune pas le Maître auquel elles appartenaient. Heureusement pour nous toutes, j’adoré la danse, j’étais souple, et j’apprenais vite. Sans compter que ma meilleure motivation était la volonté de satisfaire à tout prix le Maître que je vénérais et donc de pouvoir retourner un jour à Ses pieds au Château. Donc nous fûmes toutes exemptes de sanctions...
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