Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°951)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°951) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°951)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°951) –
- Pendant la période où tu seras à ma disposition, c’est également ici que tu dormiras. Même Sangmo, comme tu as pu le voir dort ici. J’ai hâte de pouvoir t’utiliser à ma guise, mais pour l’instant va te coucher. Demain après-midi, il sera bien assez tôt !

Je retournais donc dans la chambre du Maître, attachais ma laisse au pied du lit et me couchais sereinement. Pourtant je ne pus dormir que d'une oreille jusqu'à ce qu'Il vienne à Son tour se coucher. Le léger bruit que fit la porte suffit à me réveiller, mais je gardais les paupières closes. Il s'assit au bord du lit et je sentais Son regard posé sur moi. J'ouvris donc les yeux, sans toutefois les lever vers Lui, n’y étant pas autorisée.

- Tu ne dors pas Ma chienne ? Je suis sûr que tu attendais mon retour. Mais je n'ai pas besoin de toi pour le moment. Endors-toi vite. Demain matin tu as du travail qui t'attend et n'oublie pas que je veux qu'il soit fini à midi pour que tu puisses être à la disposition de notre hôte ensuite.

Je fermais donc mes yeux, mais je m'imaginais Ses déplacements dans la pièce. Il alla vers la fenêtre sous laquelle il y avait un fauteuil. J'entendis les bruits d'étoffes m'indiquant qu'Il se déshabillait. Puis Ses pas revinrent vers le lit. Il me caressa doucement l’échine, d'une main légère puis Il se coucha, et je m'endormis enfin. Pendant ce temps-là, Maître Wangdak était allé chercher Sangmo, comme souvent, dans les quartiers des chiens, et l'emmenait à quatre pattes dans sa chambre. Là, il lâcha la laisse à peu près au milieu de la pièce, et sur ce geste la soumise s'arrêta, puis il s'installa dans un fauteuil.

- Ma petite puce de chienne, tu es autorisée à me regarder. Viens à moi que je t'ôte cette laisse et que je retrouve en toi la femme que j'aime.

Sangmo leva alors la tête vers le Maître qu'elle avait très vite aimé et lui lança un regard empli d'un tel amour et d'une telle dévotion que Wangdak ne pût s'empêcher de lui sourire tendrement. Elle s'approcha de lui à quatre pattes, la laisse dans la gueule. Ils avaient décidé ensemble qu'elle garderait son collier peu importe le contexte, pour ne jamais oublier qu'elle lui appartenait et qu'elle n'était jamais son égale. Ce qui ne les empêchait pas de s'aimer profondément. Assez souvent le Dominant voulait que la femme le rejoigne pour la nuit. Mais ce n'était pas systématique. Elle dormait très régulièrement dans sa niche avec les autres dans le quartier des chiens. Mais contrairement aux autres, elle sortait avec lui dans le monde vanille en tant que femme et compagne de l'homme. Ils appréciaient tous les deux ces moments de vie dits normaux aux yeux de la société, surtout qu'ils partageaient bon nombre de goûts en commun. Mais ce qu'ils aimaient le plus, c'était pouvoir être ce qu'ils étaient profondément au fond d'eux, lui un Dominant, elle une soumise, lui un Maître, elle une chienne. Et derrière les termes qu'il utilisait, qui aux yeux des profanes passaient pour être injurieux, humiliants, dégradants, elle savait qu'il y avait toujours beaucoup de respect, de tendresse et d'amour, et d'ailleurs ces mots l'excitaient et la faisaient mouiller instantanément. Même si rien ne l'y obligeait en tant que Maître, il n'avait donc aucun compte à lui rendre, il voulait néanmoins expliquer à Sangmo, qu'il allait avoir moins de temps pour elle pour profiter au maximum du cadeau que Monsieur le Marquis voulait bien lui faire en mettant à sa disposition une chienne MDE marquée.

- Tu n'as plus ta laisse à ton cou, cependant c'est aussi à la soumise que je m'adresse. Mon ami, ce grand Maître français issu de la vieille noblesse française me fait l'honneur de me prêter une de ces chiennes marquées. Je ne lui ferais pas l'affront de la délaisser. Je veux rendre son séjour inoubliable ! J'aurai donc beaucoup moins de temps pour toi. C'est moi le Maître, je n'ai pas à me justifier. Mais je tenais quand même à te prévenir, en tant que soumise et en tant que femme, car le Dominant sera aussi peu présent que l'homme, ne pouvant pas me dédoubler.
- Maître, je vous remercie d'avoir pris le temps de me prévenir. Je suis de toutes manières votre chienne avant d'être la femme, et je reste à votre disposition comme telle. Vous pouvez user de moi quand bon vous semble. Et si ce n'est pas le cas pendant quelques jours, je vous attendrais sagement. La femme en moi n'est pas jalouse, elle vous aime bien trop pour cela. Et la chienne, que je suis, ne connait pas ce sentiment. Elle ne possède rien et encore moins le Maître. J'ai pleine confiance en vous et en notre relation pour n'éprouver aucune peur. Je suis à vous simplement et je vous aime tout aussi simplement.
- Je savais que tu réagirais ainsi ma chienne chérie ! Mais je voulais l'entendre. Et je suis heureux de voir que je ne m'étais pas trompé. Oui tu es à moi, ma propriété la plus absolue, à l'instar de mes autres chiens. Mais je t'aime et je suis d'autant plus fier de ta réaction que je sais absolument sincère. Maintenant relève toi.

Et il lui tendit une main pour l'aider et d'un mouvement bref, il l'attira contre lui. Elle avait toujours besoin d'un petit temps d'adaptation pour passer de la soumise à la femme, qui avait droit de le toucher, de parler sans autorisation. Et elle avait tendance en attendant à garder la tête et les yeux baissés. D'un doigt sous le menton, Wangdak la lui releva et déposa un doux baiser sur ses lèvres, puis sur le pourtour de son visage, pour finir dans son cou, juste sous l'oreille, avant d'en mordiller le lobe, ce qui ne manquait jamais de la faire fondre. D'un coup il sentit un relâchement dans le corps de la jeune femme. Ses bras restés passif vinrent entourer son cou et elle répondit à son baiser quand ses lèvres revinrent la chercher. Le baiser fut long, tendre, doux. Les mains commencèrent à explorer les corps. Pendant que celles de l'homme s'attardaient sur les seins, celles de la femme caressaient doucement la queue déjà raide qui s'immisçait entre eux, après avoir ouvert sa chemise et son pantalon. Elle accéléra ses mouvements quand les doigts de son amant entrèrent dans sa chatte ruisselante de désir. Il l'éloigna doucement, acheva de se déshabiller et la conduisit jusqu'au lit. Ce fut une nuit entièrement exempte de D/s, juste tendre, et emplie d’amour. Leurs ébats durèrent tant que le ciel garda son manteau bleu nuit. Au petit matin, ils s’endormirent dans les bras l’un de l’autre. Deux heures après, Wangdak se dégagea doucement de la femme qu’il aimait, alla attraper la laisse, la remis à sa place.

Après un doux baiser sur les lèvres de Sangmo, qui commença à l’éveiller, il claqua des doigts près de l’oreille de sa chienne. Celle- ci ouvrit les yeux et descendit aussitôt du lit pour se mettre à genoux les fesses sur les talons, les mains posées paumes vers le ciel, la tête baissée. C’était la position qu’elle devait prendre à chaque fois qu’elle laissait la femme de côté pour redevenir la chienne qu’elle était en permanence et qui ne faisait que sommeiller dans ces moments tendres. Pour être tout à fait honnête avec elle-même, elle devait bien s’avouer qu’elle ne redevenait femme que pour le plaisir du Maître qu’elle vénérait, donc c’était toujours un acte de soumission quelque part. La femme en tant que telle n’existait pas réellement dans ses ressentis, elle était toujours la chienne soumise dévouée et fidèle que Wangdak avait découvert et permis d’exister. Le Maître pris le pas sur l’homme. Dans ces moments là il semblait à Sangmo qu’il était plus grand, plus droit. Une aura d’autorité se dégageait de lui. Mais elle n’avait jamais eu peur de lui. Son respect pour lui était sans faille, ainsi que son obéissance...

- Viens ma chienne. Il est temps que tu regagnes le quartier des chiens. Les autres te donneront de quoi t’occuper, comme d’habitude. Ils ont du travail en permanence et ton aide est appréciée de tous...

Tandis que le couple D/s de tibétains se dirigeait vers les niches, Monsieur le Marquis s’était déjà mis au travail, ainsi que moi, toujours par terre à Ses pieds. Je m’étais réveillée avant le Maître. Ainsi quand Il claqua des doigts pour qu’Il puisse soulager son érection matinale, j’étais toute prête à Le satisfaire. Il s’était assis au bord du lit, assez proche du pied pour qu’il n’y ait pas besoin de détacher la laisse qui y était accrochée. Je m’étais approchée à quatre pattes, Sa verge était droite comme un I, j’avais envie de me jeter dessus pour l’engloutir. Mais je domptais mon impatience, qui n’aurait pas été appréciée. Je posais mes lèvres avec adoration à la base de la hampe. Je léchais lentement les bourses, puis l’épaisse queue sur toute sa longueur. Je tétais le gland turgescent et violacé, puis je l’enfonçais au fond de ma bouche. Je m’appliquais et je sentais ce membre vigoureux qui gonflait jusqu’à être au bord de l’explosion. Alors, avant de se vider dans ma bouche, Il m’attrapa par les cheveux de manière à m’éloigner un peu, puis Il appuya sur mes épaules pour que je prenne la position de levrette. Il passa derrière moi et me pénétra sans sommation. Il me pilonna virilement, avec force. Ses couilles battaient ma peau en rythme, Son souffle était saccadé bruyant, je sentais qu’Il n’allait pas tarder à décharger. Mais au lieu de le faire au fond de ma chatte, comme je m’y attendais, Il se retira et éjacula sur mes fesses...

- Ma chienne, tu vas rester dans cette position pour que mon noble nectar ait le temps de sécher sur ta peau. Ce matin, nous avons du travail, cette après- midi je te mets à disposition de notre hôte. Mais je veux que tu gardes ma marque, mon odeur, ma substance sur toi. Je veux que tu n’oublies pas à qui tu appartiens, que tu n’oublies pas qui tu es, ce que tu es... D’ailleurs qui es- tu ?
- Maître Vénéré, je suis Votre soumise Aphrodite MDE, chienne en chaleur à Votre entière disposition, je Vous appartiens cœur, corps et âme… À la fin de Vos livres, Vous écrivez toujours « Si la femme est l’avenir de l’homme, la soumise est l’avenir du Maître. » Mais Vous êtes mon avenir ! Sans Vous, je n’aurai pas découvert ma nature profonde de chienne-soumise. Je suis sur cette terre pour Vous servir. Sans Vous, je ne suis rien, je n’existe pas. Je suis à Vous que ce soit en tant que secrétaire personnelle, en tant que chienne en chaleur, bonne à prendre par tous les trous, Votre salope à Vos pieds prête à Vous servir de vide-couille quand bon Vous semblera, prête à servir à qui Vous voudrez me prêter...

- Bien répondu. Et aujourd’hui, je veux d’abord que ma secrétaire se dépêche de faire le travail que j’ai exigé d’elle, et ensuite je veux que tu satisfasses dans ses moindres envies mon vieil ami. Allons, dépêchons nous d’aller dans le bureau qu’il a mis à ma disposition.

La matinée passa rapidement. Le prochain périple était prêt, on pouvait profiter tranquillement de notre séjour. J’avais hâte d’assister au marché du lendemain. En tant que femme mariée pendant une dizaine d’années, je n’avais évidemment pas eu l’occasion de voir de telle chose. Je n’avais même jamais mis les pieds dans un quelconque salon de l’érotisme. Donc j’attendais ce moment avec impatience. En attendant, j’étais curieuse d’être mise à disposition de notre hôte. J’avais déjà servi à de nombreuses personnes, mais soit devant le Maître, soit sur de courtes périodes. Mais j’étais heureuse de pouvoir Le servir à travers ma soumission envers Wangdak. Une fois notre travail fini, le Maître voulut faire une balade dans les jardins tibétains. Ceux-ci étaient bien agencés. Il y avait deux parties totalement distinctes, invisibles l’une par rapport à l’autre, n’ayant aucun moyen de communication entre elles. L’une était visible par le monde vanille, Wangdak ayant des relations d’affaires avec des personnes n’étant pas du tout de notre monde, l’autre n’était accessible uniquement par ceux connaissant le côté Dominant de l’homme. C’est celui-ci que le Maître décida de visiter, avec moi, nue, en laisse, à quatre pattes comme la bonne chienne obéissante que j’étais…
Après quelques minutes, je couinais pour faire comprendre que j’avais besoin de pisser. Il m’emmena alors près d’un arbre au pied duquel je levais la patte pour me soulager. Les jardins étaient vraiment magnifiques. Il y avait des variétés d’arbres fruitiers et de fleurs que je n’avais jamais vu. C’était un vrai délice pour les yeux et pour les amoureux de la nature, comme moi. Le Maître s’arrêta sur un banc que je crus en forme de cigare, mais à y regarder de plus près, je m’aperçus que ce banc avait la forme d’un phallus horizontal ! Il était dans une partie surélevée qui donnait vue sur l’ensemble du domaine de Wangdak. J’eus le droit de me mettre à genoux, les fesses sur les talons et de relever la tête pour admirer le paysage. Le sol était de l’herbe tendre, ne me blessant donc pas. Je pouvais me laisser totalement aller au bien être que je ressentais, là, aux pieds du Maître de ma vie, devant un décor réellement paradisiaque. De nombreuses statues pornographiques gisaient ci-et-là entre les massifs fleuris. Je m’étais rarement sentie aussi bien ! La plénitude du lieu gagnait mon être. Je me sentais sereine, heureuse, tranquille. Puis la cloche du déjeuner retentit, résonnant jusqu’à ce petit bout de paradis, et annonçant mon prochain passage sous les ordres de Wangdak pour au moins 24h… Nous sommes donc rentrés. Le repas fut évidemment succulent. On ne recevait jamais simplement Monsieur le Marquis Edouard d’Evans ! Pourtant si les plats étaient riches et variés, ils furent servis comme s’il s’agissait d’un bon repas entre copains. Durant le repas, j’étais restée prosternée aux pieds du Châtelain. Parfois, Il laissait tomber un morceau de viande ou de légumes, un peu plus loin que là où je me trouvais, afin que j’aille le chercher à quatre pattes, truffe au sol comme une chienne. A la fin du repas, Il saisit ma laisse, m’emmena près de Wangdak et la lui tendit.

- Mon cher ami, je Vous confie mon bien. Usez-en comme bon Vous semble !

- Vous pouvez me faire confiance, j’en prendrai soin. Une chienne MDE marquée est un magnifique présent, même si ce n’est que pour quelques heures. Voudriez-Vous utiliser à la place un ou une de mes chiennes ? Vous pouvez même utiliser Sangmo, si cela peut Vous faire plaisir. Ou alors Vous servir de qui Vous voulez, quand Vous le voulez, pourvu que ce ne soit qu’une personne à la fois. Chacun a une tâche précise, et Sangmo a été éduquée pour pouvoir les remplacer. Je n’ai que peu de monde à mon service et chacun est utile.
- Je vous remercie pour Votre offre. Et je vais certainement utiliser votre dernière proposition. Je vous promets de ne pas perturber leur travail plus que nécessaire, dit le Maître avec un sourire entendu et légèrement salace.

La laisse changea de main. Le Maître me caressa la tête, me flatta la croupe, puis, après avoir salué Wangdak, Il quitta la pièce sans plus un regard pour moi. Je me sentis d’un coup très vide. Je savais que je n‘étais pas abandonnée, que ce changement de Dominant n’était que temporaire. Cependant, je n’eus pas le temps de réfléchir trop profondément sur ce que je ressentais. Wangdak se levait à son tour.

- Viens, chienne ! Je me suis arrangé pour décaler mes rendez-vous, j’ai beaucoup de temps à t’accorder !

Et il donna une impulsion à la laisse, afin que je le suive…
(A suivre …)

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