Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1018)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1018) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1018)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1018) -
- Je peux vous aider Mademoiselle ? …
J’eus une hésitation. Je ne savais pas pourquoi j’étais là, si j’étais attendue, comment je devais me présenter. Est-ce que je devais dire que j’appartenais à Monsieur le Marquis d’Evans, que je travaillais pour Lui, que je venais de Sa part ? Ce dernier choix me sembla être le plus judicieux. Que je dise que je Lui appartenais ou que je travaillais pour Lui, dans tous les cas, je venais de Sa part…
- Je viens de la part de Monsieur le Marq… - Ahhhh oui ! Tu es la chienne MDE que Monsieur le Marquis d’Evans m’envoie pour la journée ! Je ne m’attendais pas à te voir déjà en tenue… Mais c’est parfait ça ! Tu vas pouvoir te mettre au travail tout de suite. Tu es là pour être ce que tu es, c’est-à-dire une petite salope pute de chienne, normalement bien éduquée, qui va servir de divertissements à mes clients. Il y a des salles vidéo à l’arrière de la boutique. S’ils le veulent, tu les accompagnes. Tu dois aussi m’aider à vendre, donc propose aux clients de tester sur toi les articles qui se trouvent ici. Si besoin est, tu serviras également d’urinoir dans la pièce qui se trouve à gauche des salles vidéo. Et enfin, il y a le petit donjon, où tu seras peut-être également amenée à aller. Et puisqu’il n’y a personne, je vais en profiter un peu ! Suis-moi mais à quatre pattes, la chienne ! …
Et il se dirigea vers la pièce qu’il m’avait désigné comme devant servir d’urinoir. Pour ne pas risquer de salir mes vêtements, il me fit mettre à genoux, déboutonna sa braguette, sortit sa verge molle et l’enfourna dans ma bouche dans laquelle il pissa dedans directement au fond de ma gorge. Je lui fus reconnaissante de contrôler le débit de son urine, ce qui me permit d’avaler sans m’étouffer et sans en mettre partout. Alors que je le nettoyais, une fois qu’il eut fini, consciencieusement et commençant une légère fellation, suite à son exigence de le sucer, on entendit de nouveau la cloche tinter. L’homme qui s’appelait Mario, m’ordonna d’aller accueillir le ou la cliente, mais debout cette fois-ci. Tous les clients de sa boutique ne donnaient pas dans le BDSM, et il fallait préserver une certaine discrétion. Mais il me prévint que ceux qui faisaient partie de notre monde seraient au courant de qui j’étais, et que ma journée ne serait pas forcément qu’une partie de plaisir à aguicher les clients. Il m’ordonna cependant d’utiliser le maquillage qu’on avait du me remettre correctement et d’appuyer plus sur les couleurs, avant de retourner dans le magasin…
Quand ce fut fait, et que je m’avançais pour rejoindre Mario, il était en grande conversation avec un homme petit, rondouillard, les cheveux poivre et sel, avec des grosses lunettes rondes derrière lesquelles des yeux vicieux se dévoilaient dès son premier regard quand les deux hommes se tournèrent sur moi, d’un seul mouvement. Je n’aimais vraiment pas ce maquillage trop voyant, cette tenue qui ne cachait rien et je me sentais très mal à l’aise. Malgré que ce soit une exigence du Maître Vénéré, à qui j'avais pris l'habitude d'obéir sans me poser de questions et naturellement, le fait de mélanger contexte vanille et situation D/s me perturbait et je me sentais rougir de plus en plus au fur et à mesure que j'approchais des deux hommes.

- Alors comme ça, voilà une vraie chienne MDE, une des possessions du si fameux Marquis d'Evans ! Pour ma part, je ne l'ai jamais rencontré et je doute que toutes les rumeurs sur les soi-disant joyaux qu'Il façonnerait soient fondées ! Les gens ont toujours tendance à exagérer les choses !
- Exagérer les choses ? Pas du tout en ce qui concerne ‘‘les œuvres’’ de Monsieur le Marquis d’Evans !... Mais si vous la testiez cher ami? Vous savez que je possède tout ce qu'il faut pour cela ! Et je suis certain que cette clébarde ne demanderait que cela… (puis s’adressant à moi) N'est-ce pas la chienne?
- Je suis ici pour servir le Maître Vénéré, Monsieur le Marquis d'Evans, et par là même satisfaire toutes les exigences de Monsieur Mario, et donc de sa clientèle.

En parlant j'avais baissé la tête en tête de soumission acceptée et de respect. J'étais sincère et en prononçant ces mots, je me détendis. Je n'avais pas à être à l'aise et à apprécier ce que je portais. Cela importait peu. J'avais juste à agir comme ce que j'étais, une chienne soumise MDE, qui obéissait tranquillement, confiante et donc j’étais prête à tout pour satisfaire le Maître que j’avais la chance de servir. Je ne me sentais alors plus gênée, juste prête à obéir...

- Eh bien soit. On va voir ce qu'elle a dans le ventre ! Suis-moi !répliqua l’homme rondouillard.

Et il m'entraina alors vers ce que Mario m'avait dit être un donjon. Il ne verrouilla pas la porte. La devanture annonçait du divertissement, et visiblement j'étais donc l'attraction du jour. Le donjon était annoncé. Si une personne vanille venait juste pour visionner un film porno ou pour quelques sex-toys, histoire d'animer sa vie de couple ou pour son plaisir personnel, il pouvait ne pas voir ce qui se passait. Mais tout curieux ou connaisseur pouvait profiter du spectacle. Il exigea que je me dévêtisse avant de se diriger vers un placard, qu'il ouvrit et y attrapa une sorte de filet rond qu'il posa au sol en exigeant que je m'asseye en son centre, ce que je fis sans discuter, évidemment. Il fit descendre du plafond plusieurs crochets par des chaînes à gros maillons métalliques et les attacha à intervalle régulier sur le tour du filet, puis tous ensemble à un même crochet. Il était fait d'une corde fine mais rugueuse et solide. À l'aide d'un palan, il remonta le filet. Je me retrouvais comme sur une balançoire ou le siège est un filet épousant les rondeurs de mes fesses et dans la position obscène pliée en deux, les jambes au niveau de la tête, exposant ainsi largement mes parties intimes une fois que sous les ordres du client, j'écartais les cuisses laissant un libre accès entre les mailles à mes orifices encore plus offertes. Il me glissa un bandeau, voulant que je me le mette sur les yeux. Il m'assouplit l'anus d'un, suivi de plusieurs doigts. Puis il y glissa trois glaçons. Le froid me fit contracter les sphincters et donc les remonter un peu. Il m’administra le même traitement dans la chatte. Il attendit quelques secondes avant d'enfoncer dans mes orifices autre chose que je ne reconnus pas. Et il attendit…
Au début rien ne se passa. Puis petit à petit, je sentis mes parois internes vaginales et anales picoter, puis chauffer jusqu'à brûler. Habituée à subir en silence, je ne dis rien mais je ne pouvais m'empêcher de gigoter, et ma "nacelle" finit par se balancer. Lorsque ce fut satisfaisant pour mon tourmenteur, alors que les larmes ruisselaient sur mon visage, il saisit un fouet et me l’appliqua au rythme de mes oscillations. Et paradoxalement, cette position inédite, cette impossibilité de bouger mais tout de même de me balancer, et cette douleur cuisante, m’excitaient au plus profond de moi et j'aurai fait n'importe quoi pour avoir le droit de jouir tant la montée du plaisir se faisaient mouiller. Il dut le sentir ou entendre mes gémissements murmurés, que je ne pouvais plus retenir tant la brûlure dans les orifices semblait intenses. De plus, je sentais ma cyprine couler le long de mon entrejambes, ce qui n’avait pas du échapper au petit homme.

- Alors la chienne ! T’as envie de jouir, je parie, hein ? Eh bien non ! Il parait que les chiennes MDE sont endurantes, alors tu vas supporter ces morceaux de racines de gingembre dans tes petits orifices de salope encore un petit moment et tu n’auras aucun droit de jouir, en tout cas pas avec moi !

Et après avoir donné quelques nouveaux coups de fouet qui, malgré les cordelettes du filet, cinglait bien ma peau, il se saisit d’une roulette de Wurtemberg et s’amusa à la passer sur mes lèvres intimes, mes fesses, mon anus, me faisant me tordre de plus belle de douleur mais surtout d’excitation qui se démultipliait à vitesse grand V. La divine torture dura une bonne demi-heure. Entre temps quelques personnes étaient arrivés et nous regardaient, avec envie pour beaucoup, d’autres avaient un regard moqueurs et pervers pour moi, d’admiration pour lui. Certains avaient ouvert leur braguette et se masturbaient en silence tout en fixant mes orifices exposés à leur regard gourmand. Puis l’homme me fit redescendre et sans m’enlever les morceaux de gingembre, m’ordonna de me mettre à genoux, il sortit sa grosse queue et me baisa la bouche, me maintenant la tête, faisant cogner sa queue au fond de ma gorge, jusqu’à ce qu’il s’y immobilise et gicle sa semence en de longs jets épais manquant de m’étouffer. Puis il me repoussa, ce qui me permit rapidement de reprendre de grandes bouffées d’air. S’ensuivit un défilé de queues par ceux qui se branlaient déjà depuis un bon moment et même par ceux qui n’avaient pas encore osé exhiber leur verge mais qui ne tardèrent à la sortir pour venir me baiser. On m’encula mais aussi me pénétra dans ma chatte. Il y avait aussi quelques femmes lesquelles je dus lécher, leur sexe à l’air et sucer des queues tout en restant à genoux, mains dans le dos et mes orifices encombrés et brulants...

Cette première vague partit après avoir testé sur moi quelques fouets, badines, martinets, et même branches d’orties sur mes parties intimes (mais où avaient-ils pu trouver des orties sur Paris ?). Cette dernière expérience… comment la décrire… ? On me fouettait surtout l’entrejambe, et cette douleur urticante sur mes lèvres intimes gonflées de désirs jouissifs, mélangée à la douleur brûlante du gingembre… Je ne cherchais même plus à retenir mes gémissements, mes cris… Je cherchais seulement à ne pas jouir ! Trop excitant étaient ce mélange de traitement ! Après tout, c’est la seule chose qu’ils avaient exigé de moi à ce moment-là. Quand ils en eurent assez de leur jouet sexuel que j’étais, de leur chose pour les soulager, pour leur vider les couilles pour les hommes et pour les femmes pour lâcher leur cyprine sur mon visage, ils partirent tous. Et c’est Mario qui vint me chercher, m’enleva le gingembre et me passa une crème apaisante à l’intérieur de mes orifices et sur le passage des orties pour me soulager.

Le reste de la journée se passa ainsi. Je crois bien que toutes les tailles de plug et de vibro du magasin furent testées sur moi, mais aucune ne put me faire peur, car on trouvait des spécimens encore plus imposants au Château. Je fus régulièrement emmenée aussi dans les salles vidéo, très souvent devant de mauvais films pornos, accompagnée d’hommes solitaires qui essayaient de reproduire ce qu’ils voyaient sur l’écran en temps réel. Ces moments-là ne furent pas très passionnants… Je dus également sortir dans la rue faire la pute et aguicher les promeneurs, seuls ou en couple, afin de ramener des clients à Mario. Je fus déshabillée et rhabillée un certain nombre de fois… La journée s’acheva donc enfin. Mario m’ordonna de me mettre nue devant lui, une fois la boutique fermée, comme la chienne soumise MDE que j’étais. Il se balada dans les rayons, choisit un collier et une laisse, des pinces mordantes pour mes tétons et mes lèvres intimes, et un bâillon-boule.

- Voilà tu es magnifique ainsi à ta place ! Au lieu des pinces, je t’aurai bien percé les tétons et les lèvres pour t’y mettre des anneaux, mais tu ne m’appartiens pas ! Bien reste à genoux, le temps que je fasse les comptes de la journée. (Il resta 40 minutes absorbé, puis il releva la tête avec un sourire ravi :) Mais c’est que tu m’as fait faire du chiffre d’affaire en une seule journée ! Tu sais que presque tout ce que mes clients ont testé sur toi, ils l’ont finalement acheté ? Monsieur le Marquis va être drôlement content des chiffres ! (je ne bougeais pas, mais il dut voir mon air surpris) Eh bien oui ! Sache que c’est le propriétaire de ce sexshop, je ne suis que le gérant. En tout cas, je n’aurai que de bonnes choses à Lui rapporter sur toi ! Tu auras fait honneur ton éducation, je te félicite. Et pour te récompenser, comme tu n’as pas eu le droit à la jouissance de la journée, je vais t’offrir un orgasme. Alors savoure-le bien ! De mon côté, j’ai aussi besoin de me vider les couilles alors autant en profiter.

Il me fit positionner à plat sur son bureau, et il m’enfila son sexe dans mon trou soi-disant le plus serré, mais l’était-il vraiment après tout ce qu’il avait subi aujourd’hui ? Et en même temps qu’il m’enculait à grands coups de boutoirs et sans ménagement, il me titillait le clitoris, le faisant rouler, le pinçant, l’étirant, pénétrant ma chatte de plusieurs doigts… il m’ordonna de jouir au moment où il laissait également échapper des mugissements annonçant sa décharge au fond de mes entrailles dans d’ultimes coups de reins puissants ponctués de nombreux ‘’han’’ de bûcheron. A avoir été aussi sollicitée toute la journée, n’ayant droit qu’à dix minutes de pause dans le bureau de Mario, le temps d’avaler une gamelle de pâté et une écuelle d’eau, mon orgasme fut d’une puissance incroyable ! Mais également épuisant ! Car juste après que le gérant m’ait libéré de son étreinte, comblée, vidée, je glissais doucement au sol, n’ayant plus la moindre force. Mario me prit dans ses bras et me porta à l’étage, dans l’appartement où il vivait seul. Il me déshabilla et me coucha dans une grande panière de chien disposé au pied de son lit, et me posa par-dessus une douce couverture.

Sans aucune résistance je me laissais couler dans les bras de Morphée jusqu’au lendemain matin, où le tumulte parisien me réveilla tôt. Je patientai son réveil en position prosternée comme si je me trouvais en présence du Maître. Alors c’était Lui le propriétaire ? Je L’avais donc bien servi directement et cela me remplissait d’une joie profonde ! Quand Mario se réveilla, je dus préparer le petit déjeuner qu’il prit à table tandis que je devais le sucer mais sans le faire éjaculer. Il ne le fit qu’à la fin de son repas, dans une écuelle, où étaient placés des morceaux de croissants. C’était mon petit déjeuner. Il m’ordonna de me rhabiller et me prévint que j’étais de nouveau attendu, et il me tendit un papier, semblable à celui que Walter m’avait remis la veille, mais avec une nouvelle adresse, évidemment. Qu’allait me réserver cette deuxième journée ? …
(A suivre…)

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