Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°955)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°955) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-05-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°955)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°955) –
- Viens, chienne ! Je me suis arrangé pour décaler mes rendez- vous, j’ai beaucoup de temps à t’accorder !

Et il donna une impulsion à la laisse, afin que je le suive.

- Nous allons d’abord faire une promenade dehors ! Tout chien aime être sorti après son repas. Et je serais toi, je m’arrangerai pour me vider entièrement la vessie, car tu risques d’être occupé pendant un très long moment.

Et en silence, nous parcourûmes les allées ombragées. Il me laissa faire le nombre de pauses que je souhaitais pour lever la patte là où je voulais. Cela dura une heure. Puis il m’amena dans une petite annexe. Quand on pénétra à l’intérieur, je ne vis rien d’autre qu’une pièce carré, d’environ neuf mètres carrés entièrement vide, à l’exception d’une porte au fond. Wangdak l’ouvrit et je découvris un escalier descendant. Il allait doucement afin que je ne trébuche pas, avançant toujours à quatre pattes. L’escalier était assez long et abrupt. En bas, il y avait une grande pièce transformée en donjon. Je n’aurai su en déterminer les dimensions. Ce qui était sûr, c’est qu’elle était très équipée ! Mais le type d’équipement m’étonna fortement. Il y avait des plots, des piquets, des haies artificielles assez basses, des tables, des tunnels… on aurait dit une sorte de parcours. Il y avait également un tapis de course. Et des objets plus familiers dans un donjon, comme une croix de St André, des instruments tels que fouets, badines, raquettes, martinets, divers baillons, des sortes de cagoules, des menottes, des barres d’écartement…
- Voici une de mes salles de dressage. Il paraît que tu aimes être une petite chienne, qu’en dehors de satisfaire Monsieur le Marquis, tout acte canin te plaît particulièrement. Alors je vais voir ce que je peux faire de toi ! Si tu es obéissante, mais peu douée, je dirais à mon ami que j’ai passé de bons moments avec toi, sans m’appesantir sur ce que nous aurons fait. Si tu désobéis, tu seras punie par moi, et certainement par Lui par la suite. Si tu es obéissante et que je vois que tu as certaines aptitudes, je Lui en réfèrerai avec plaisir et Le conseillerai pour poursuivre ton dressage spécial, si bon Lui semble, dans ce domaine. Tu vas commencer par un peu d’échauffement. Il faut que le sang circule bien, donc on va l’aider un peu.

Il tira sur ma laisse pour me faire entièrement entrer dans la pièce et referma la porte derrière moi, puis m’entraîna vers la croix où il m’attacha. J’appréhendais un peu. Je n’avais pour le moment aucune raison d’être sanctionnée. Il saisit le fouet et m’en asséna sans vraiment frapper une centaine de coups. Les coups n’étaient que légèrement douloureux car ils n’étaient pas du tout appuyés. En fait ce n’était vraiment pas une punition, que je savais ne pas mériter, mais réellement un échauffement. Après les cinquante premiers coups, il me détacha pour me retourner avant de renouer mes liens pour finir. Ensuite, il me fit évoluer à quatre pattes sur le tapis de course, augmentant lentement la vitesse, jusqu’à me faire courir à un rythme assez soutenu au vu de ma position, et me suer sang et eau.

- Humm, ce n’est pas trop mal pour un premier test ! Maintenant, voyons si tu sais faire des roulades, en partant de la position debout. Un chien, l’animal, va sauter dans un cerceau, atterrir sur ses quatre pattes puis repartir. Mais de par notre morphologie, nous ne sommes pas faits physiquement comme eux. Donc j’adapte. Je ne veux pas t’imposer, ni à mes chiens-esclaves, des choses impossibles à faire. Montre-moi ce que tu sais faire, d’abord sans cerceau, et nous essaierons avec, ensuite.

Je m’exécutais avec assez de maladresse. Wangdak fut patient, me guida et je fus capable de sauter au travers d’un cerceau tant bien que mal au bout de deux heures.

- Bien, nous allons nous arrêter pour aujourd’hui. Toute une après- midi à faire de l’exercice quand on n’est pas habitué, ça fatigue le corps. Mais heureusement pour nous, Monsieur le Marquis ne part pas de suite. Nous aurons le temps de continuer ton entraînement. Je ne Lui en parlerai que lorsque que je t’aurai vu sur le parcours. En attendant te voir te trémousser toutes ces heures m’a excité. Suis- moi !

Il m’emmena d’abord me vider la vessie, ce qui me fit du bien, car faisant de l’exercice, il m’avait fait boire régulièrement pour ne pas que je me déshydrate. Puis il m’emmena vers la maison. J’espérais pouvoir croiser au moins le regard du Maître, mais ce ne fut pas le cas, j’étais à cent pour cent à Wangdak, et tout était fait pour que je le sente bien. J’eus droit à un rapide repas servi dans une gamelle à même le sol dans la cuisine. Lui était parti, je supposais, diner certainement avec le Châtelain. Quand ma gamelle fut vide et nettoyée, je dus aider mes consœurs réunies pour faire le service et nettoyer la vaisselle du repas des Maîtres. Évidemment je n’eus pas le droit d’aller dans la salle à manger, et je fus affectée à la plonge, qui s’effectuait en quadrupédie, dans des éviers posés à même le sol pour que cela soit possible. Il revint me chercher après une heure et demie passée dans la cuisine. Après la vaisselle, j’avais dû nettoyer les sols, à la brosse à dents. Il nous conduisit dans sa chambre.

- N’aie pas trop d’espoir, tu ne passeras pas la nuit dans ma chambre, je t’ai déjà prévenue que tu dormirais dans le quartier des chiens. Mais en attendant que ce soit l’heure du retour au panier, il nous reste deux heures. J’ai été bon, je me suis préoccupé de toi toute l’après- midi. Maintenant, j’ai bien l’intention de me servir de toi pour moi !

Il m’attacha les poignets et les chevilles aux quatre montants du lit, me banda les yeux et me posa un casque sur les oreilles. Une douce mélodie chinoise s’éleva, m’apportant immédiatement une grande détente et un grand calme. J’étais positionnée sur le ventre. Je sentis soudain ses mains sur mon dos, et il commença un massage. Après tout l’exercice que j’avais fait l’après-midi, puis le nettoyage de la vaisselle et du sol, j’étais noueuse, et Wangdak était expert en la matière visiblement ! Je me détendais très rapidement et je dus m’endormir sans m’en rendre compte car je ne le sentis pas s’arrêter ni descendre du lit. Ce qui me réveilla fut des coups de fouet qui ne ressemblait en rien à l’échauffement subit plus tôt dans la journée. J’avais toujours les yeux bandés mais plus aucun son à mes oreilles ne résonnaient, mis à part ceux des coups qui pleuvaient sur mon dos, mon fessier et mes jambes.

- Je te fais le cadeau de mes mains et toi tu t’endors ? J’espère que cette correction t’aura réveillée. Maintenant on va passer à des choses plus sérieuses.

Il me détacha, laissant le bandeau qui me coupait de la vue, et il me fit monter sur ce que je supposais être une sorte de banc recouvert de cuir, assez confortable. Il m’attacha à nouveau, les cuisses largement écartées, le cul légèrement relevé laissant un libre accès à mes deux trous. Il me plaça un bâillon cercle, me maintenant la bouche ouverte. J’entendais des bruits que j’étais incapable d’identifier jusqu’à ce que je sente un mouvement lent et régulier dans ma bouche. Un gode monté sur une machine mécanique était en train de me baiser la bouche. Le gode fonctionna lentement, mais de plus en plus profondément, jusqu’à ce qu’il vint se placer au plus profond qu’il était possible. Et le mouvement s’arrêta à ce moment-là. Je l’entendis pianoter sur ce que je compris être une télécommande. La queue artificielle ressortit de ma bouche et il ne se passa plus rien pendant quelques secondes. Ma chatte subit le même sort que ma bouche. Une autre machine fut placée devant elle, et fut réglée jusqu’à ce qu’elle me tire de légère grimace de douleur.

- Fais attention, il va falloir que tu rendes honneur à la réputation de l’éducation des chiens et chiennes MDE, dont la renommée traverse les frontières. Tu n’auras pas le droit de prononcer le moindre son, ce qui peut paraître facile avec la bouche occupée, mais je ne veux même pas le moindre petit gémissement ! Et tu as l’interdiction de jouir. Je te laisse soixante secondes pour intégrer ces règles et le fait que je n’irai pas de main morte, et que la pharmacopée chinoise me permet d’avoir des érections de longues heures.

Et il s’éloigna, je suppose pour prendre justement les plantes dont il venait de parler. Je recentrai mon esprit sur le Maître que je vénérais. Je savais que selon les principes chinois du taoïsme, quand on a l’intention de faire une chose, on n’essaie pas, on fait et on est. Essayer induit l’échec programmé, on ne met pas tout en œuvre pour y arriver. Wangdak et le Châtelain en avaient parlé lors de notre arrivée. Je décidais donc que j’avais l’intention d’y arriver et non pas que j’allais essayer. Je me concentrais sur la satisfaction pleine et entière de Monsieur le Marquis, je voulais lui faire honneur, ainsi qu’à l’éducation dont j’avais profité toutes ces années à Ses pieds, même si relativement, cela ne faisait que peu de temps que j’étais sous son joug en réel… Quand le tibétain revint, j’étais prête mentalement à subir tout ce qu’il voudrait. Il mit les deux machines en route. Elles se mirent en fonction lentement d’abord dans un même mouvement. Et au bout de quelques minutes, elles accélérèrent. A ce moment-là le gode qui était dans ma chatte, en plus de faire des mouvements verticaux, se mit à en faire des rotatifs. C’était vraiment bon et très excitant. Mais je voyais mentalement le Maître et je m’y raccrochais, en même temps que je me concentrais sur ma respiration pour pas que le plaisir ne monte trop vite, car il menacerait de m’emporter dans de puissants orgasmes. Et plus de temps je tiendrai facilement, mieux ce serait ! Car le Maître avait coutume de dire qu’on n’avançait jamais dans la facilité et que c’était les difficultés qui nous faisait grandir, alors il fallait que je tienne le plus longtemps possible ! Sans oublier, surtout, que j’avais l’interdiction de jouir…
Là où cela devint un peu plus compliqué c’est quand il avait décidé d’investir le seul orifice qui était encore libre. Il arrivait à jouer avec la queue factice qui me labourait la chatte au travers de la fine paroi qui les séparait. Ces mouvements étaient de plus en plus rapides mais d’une précision impressionnante. Ils stimulaient des points internes qui me rendaient folle de désir, d’excitations qui me donnaient de plus en plus envie de jouir. J’avais beau essayer de me représenter le Maître, quand ses mains se mirent en plus à parcourir mon corps, appuyant sur divers points, visiblement des points d’acupressure provoquant d’extrêmes excitations. En effet, une combinaison de points situés sur le méridien Tchong Mo, draine de l’énergie et augmente considérablement la libido et la capacité fulgurante d’atteindre un puissant orgasme. Cela devint alors une réelle et terrible épreuve pour ne pas jouir… il fallait que je me concentre dessus… Wangdak appuyait sur des points de mon dos, de mon ventre, de mes chevilles que parfois il attrapait. J’étais en sueur ! Je luttais de toutes mes forces pour ne pas basculer à ne pas laisser exploser de violents orgasmes successifs. Ma respiration, aussi silencieuse que possible, était saccadée, rapide. Lui ne tarda pas à décharger au fond de mes entrailles. Et au moment où j’allais lâcher prise, tout s’arrêta ! Les machines se retirèrent, ainsi que le Dominant. J’étais épuisée, et je fondis en larmes sous la pression qui se relâchait… Wangdak me détacha, m’aida à descendre du banc et à m’asseoir contre un mur. Il alla chercher une couverture qu’il me posa sur les épaules. Et il me prit dans ses bras, me serra contre lui. Mes larmes ne se tarissaient pas. Trop d’émotions m’avaient assaillie. J’avais lutté tellement fort pour ne pas céder au plaisir, j’avais tellement voulu que le Maître puisse être fier de moi… Ça avait été intense, la chaleur qui m’envahissait, la sensation d’être emplie de tous les côtés… J’avais ressenti des choses que je ne saurai absolument pas expliquer ! La fatigue qu’avaient provoquée tous ses efforts, la tension. Et puis après il y avait eu la sensation d’avoir pu obéir jusqu’au bout, tous les muscles qui se relâchent, et qui maintenant étaient douloureux…
- Je savais que les chiens et chiennes MDE étaient des soumis exceptionnels, endurants. Mais c’est la première fois que j’en ai une à ma disposition. J’avoue je suis étonné. Ce que je t’ai infligé pendant un peu plus d’une heure (je m’étais tellement concentrée que je n’avais vu le temps passé !), a toujours fait céder ceux qui sont sous mon joug. Et un de mes plaisirs est de les punir pour avoir joui sans autorisation. Et après je m’occupe d’eux et les laisse généralement avoir au moins un orgasme, car je suis conscient que c’est une sacrée épreuve. Je ne me servirai pas de toi autant que je l’avais dit. Tu as besoin de repos, je vais t’accompagner dans la niche qui t’a été attribuée pour la nuit. Je suis fier de toi, et je ferai part de mes bonnes impressions à mon ami, Monsieur le Marquis, qui te soumet. Vraiment c’était une belle performance. Mais…
Et alors que j’écoutais attentivement, les émotions et l’extrême fatigue eurent raison de moi et je perdis connaissance. Quand je me réveillais, j’étais sur un lit. J’avais du mal à ouvrir les yeux. Et quand j’y parvins, ce fut pour voir le regard bleu intense du Maître, qui pouvait marquer tant d’autorité, mais qui en l’occurrence, là, était inquiet et bienveillant.

- Eh bien ma chienne, comment te sens- tu ?

- Je crois que je vais bien, Maître Vénéré.

- Tu t’es évanouie dans la chambre de Wangdak. Je crois que la journée a été un peu trop intense et que ce que mon ami t’a fait découvrir de l’acupressure chinoise t’a bien éprouvée. Tu vas rester cette nuit dans cette chambre, dans ce lit, pour te remettre, te reposer après t’être sustentée. Tu as besoin de repos. Mais avant de dormir, Sangmo t’a apporté un plateau repas réparateur. (Et alors que mon corps montrait ma volonté de m’exprimer) Je ne te donne pas l’autorisation de t’exprimer. Nous savons mieux que toi ce dont tu as besoin. Je sais que tu te sentirais plus à ta place à manger par terre à ta place, et que tu voudrais pouvoir rester aux ordres de notre hôte, pour honorer ce que j’avais prévu pour toi. Mais le corps humain a ses limites et je te donne l’ordre de te reposer. Sache que Wangdak m’a absolument tout raconté de ta journée, car j’étais assez étonné que tu te fatigues si vite. Je veux que tu le saches pour pouvoir te reposer sans te poser de question : Je suis très fier de toi. Tu as fait honneur à mon éducation. Maintenant mange ce qui se trouve sur cette table, et ne laisse pas de restes ! Et repose-toi ! Demain après- midi, tu m’accompagnes au marché bdsm. En attendant tu restes sous les ordres de notre hôte, donc tu ne devrais pas me revoir d’ici là…
Il se pencha vers moi, déposa un baiser léger sur mes lèvres et murmura à mon oreille :
- Je suis fier de toi, et je crois que tu vas avoir un entraînement spécial quand tu rentreras, ma chienne qui a l’air douée pour l’agility !...

Et il s’éloigna en souriant. Je mangeais avec appétit. Je ne m’étais pas rendue compte que j’étais affamée ! Et alors que je pensais réfléchir à tout ce qui s’était passé aujourd’hui, je m’endormis rapidement sans en avoir le temps, mais j’étais heureuse, le Maître était fier, j’avais pu le satisfaire et surtout lui faire honneur…
(A suivre …)

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