Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°975)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-06-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°975)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°975)
Puis je me dirigeais vers les escaliers pour rejoindre Marie, la sévère cuisinière...
- Ah te voilà, toi ! Tu as failli être en retard. Tu n'aurais pas été servie en ce cas, et tu aurais été sanctionnée comme il se doit, la chienne. Il ne faudrait pas croire que parce que tu es partie en vacances à travers le monde, en tête à tête avec Monsieur le Marquis, que tu vas avoir droit à un traitement de faveur maintenant que tu es revenue ! D'ailleurs, afin que tu te rappelles quelle est ta vraie place, tu n'auras pas de gamelle aujourd'hui, tu mangeras à même le carrelage. J'espère pour toi que le chien qui a nettoyé le sol ce matin l'a bien fait, sinon tu risques de trouver cela un peu croquant !… Salope de chienne !
Et elle partit d'un grand rire qui faisait légèrement froid dans le dos. Elle saisit ma laisse et m'emmena dans un coin de la cuisine et versa comme elle venait de le dire la nourriture à même le sol. Et alors que je me baissais pour laper le mélange nourrissant, je sentis des coups de badine me tomber tout le long de l'échine, sur l’arrondi de mon cul, ainsi que mes jambes. Le plus douloureux furent les coups portés sur la plante de mes pieds. Et pour ajouter à la situation, Marie ne se gênait pas pour lancer des phrases piquantes et humiliantes sur la cochonne que je faisais en mangeant ainsi, me disant qu'enfin je revenais à ma place, juste bonne à lécher le sol, que je n'étais rien, qu'il allait falloir que j'oublie les habitudes princières que j'avais du prendre pendant tout ce temps passé loin du Château, à me croire privilégiée et au-dessus des autres. Je finissais mon repas quand j'entendis une voix que je connaissais.
- Ah tu fais moins la maline maintenant ! Ça t'apprendra à me dénoncer à ton Maître et à obliger le mien à se séparer de moi pour ne pas paraître comme un Dominant faible devant le si merveilleux Marquis...
Zao, l'ancienne cuisinière de Wangdak, mais qui était toujours sa propriété, était entrée, portant un plateau avec des plats qu'elle venait de desservir, et avait parlé ironiquement. Walter qui était en train de taper un sms sur son portable près de l'âtre, se releva avec un regard sévère et se précipita vers la soumise toujours aussi rebelle, l'attrapa par ses cheveux et la força à s'aplatir au sol.
- Tu continues dans ton insolence et ton insubordination ? Et bien ce n'est pas cette chienne, cette fois-ci qui parlera de toi à Monsieur le Marquis d'Evans, à qui tu dois le plus grand respect, et de la reconnaissance pour avoir bien voulu perdre Son temps et le nôtre à t’éduquer ! Nous verrons bien ce qu'il décidera de ton avenir. Mais prends garde à ne plus jamais revoir le Tibet... Nous allons le voir dès maintenant, et tu te déplaceras en rampant sinon...
Il abattit son fouet sur Zao, qui poussa un cri de surprise. De la cuisine au bureau du Noble, il y avait environ deux longs couloirs à prendre et Zao les traversa en rampant sur la moquette épaisse, tel un soldat faisant le parcours du combattant sous de bas barbelés ! Son magnifique cul déambulait de gauche à droite au fur et à mesure qu’elle avançait ainsi couchée sur le ventre. Ses seins pendants frottaient le sol à chaque fois qu’elle bougeait jambes et bassin pour se déplacer de manière reptile. A chaque fois qu’elle avait fait un bon mètre, Walter la récompensait par un coup de fouet sur son dos. On aurait pu croire que la soumise souffrait mais en réalité, cette situation l’excitait grandement, sa cyprine autant que sa sueur coulaient au fur et à mesure qu’elle évoluait dans les deux couloirs… Quand ils furent enfin arrivés au niveau de la porte du bureau du Châtelain, le Majordome frappa et suite à un ordre d’entrer, Zao se trouva en présence du Maître. Impressionnée, elle ne put s'empêcher de trembler. Il lui semblait encore plus froid, plus grand, plus impressionnant que dans son souvenir Walter expliqua le comportement de la soumise et de quelle façon il l’avait obligé à se rendre jusqu’à Lui, c’est-à-dire en rampant à travers les couloirs...
- Eh bien ? Cette chienne fait encore des siennes Walter ?
- Oui Monsieur le Marquis, comme je viens de vous l’expliquer, elle parle sans y avoir été autorisée et Vous manque de respect. Mais aussi elle continue à utiliser le possessif que ce soit en parlant de Maître Wangdak ou de Vous-même, ne sait pas se taire quand elle reçoit une correction. De plus, on ne peut pas dire qu'elle mette beaucoup de cœur à l'ouvrage et a tendance à vouloir traîner pour exécuter les ordres. Pour ce qui est de jouir sur ordre, je ne l'ai pas encore testé, trouvant qu'elle ne méritait pas que je lui accorde cet honneur.
- Bien, bien, bien... Je crois que cette chienne a besoin d'un dressage sec et intensif. Pour ce qui est de parler à tort et à travers, alternativement, elle portera pendant un mois trois pinces lui tenant la langue hors de la bouche, ou un bâillon-boule, ou encore un bâillon anneau lui maintenant la bouche ouverte. Puisqu’elle n'est pas capable de faire preuve de respect alors qu'elle est chaudement hébergée et bien traitée, elle passera ce même mois à la disposition des gardes forestiers, dans leur bâtisse, la maison des chasseurs, qui est le bâtiment le plus éloigné du Château dans le Domaine et malgré la distance, elle la reliera à quatre pattes tout du long ! Ils pourront en faire exactement ce qu'ils veulent, la pénétrer autant qu'ils le veulent et la châtier avec ou sans raison valable. Si au bout de ce temps défini, elle n'est pas revenue à de meilleurs sentiments, j'en informerai mon ami, et lui seul pourra prendre la décision de la garder en tant que chienne ou de la répudier. (Et se tournant vers Zao) J'ai dit tout cela à voix haute et devant toi, pour que tu saches ce que tu risques à ne pas être docile. Maintenant, suis mon fidèle Walter, je verrai dans un mois si je daigne t'accorder l'honneur de te retrouver en Ma présence !
Le Majordome saisit la laisse de l'ancienne cuisinière et l'entraîna à l'extérieur du Château. Le chemin jusqu'à la demeure des gardes était long et pénible lorsqu'il était fait en quadrupédie, surtout que Walter utilisait le chemin pierreux, ne lui accordant que peu souvent un répit en passant sur la pelouse. Lorsque Zao vit les gardes, elle eut peur. Ils paraissaient durs, sauvages, rustres et vulgaires. Ils étaient très grands, très larges, mais Il n'y avait pas la moindre graisse en trop sur eux, ce n'était que des amas de muscles ! Et pour la première fois, elle se dit qu'il fallait qu'elle fasse réellement des efforts, et que si elle les avait faits avant elle n'aurait pas eu à subir une telle épreuve et qu'elle aurait peut-être été proche de rentrer dans son pays près de "son" Maître qui lui manquait cruellement (pour le moment elle se sentait incapable de supprimer le possessif "son" de son vocabulaire, n’ayant pas encore intégré quelle ne possédait rien et surtout pas un Maître)… Pendant ce temps, dans la cuisine j'avais entièrement nettoyé le sol de ma pâtée à même le carrelage.
- Bien la chienne, ces derniers évènements m'ont quelque peu stressée, alors viens entre mes cuisses me détendre et sache utiliser ta langue comme un bonne salope de chienne en chaleur, comme toi, sait le faire !
Et alors qu'elle souleva sa jupe où aucune culotte cachait un sexe parfaitement entretenu par une coupe de poils symétrique de chaque côté, je venais à elle à quatre pattes. Elle s’assit sur une des chaises de la cuisine, écartant largement les cuisses. Quand je fus assez proche, elle me saisit par les cheveux et me plaqua contre sa chatte que je léchais avec application, insistant sur son clitoris que je mordillais légèrement, ce qui la fit ronronner fortement. Ma langue descendit entre ses lèvres intimes et je m'abreuvais de ses sucs intimes. Puis elle remonta sur son petit bouton de chair frémissant et sensible, très vite remplacé par deux de mes doigts, lui caressant ses parois vaginales. Au bout de quelques instants, sous la respiration de plus en plus saccadée de Marie, je glissais un de mes doigts, maintenant trempé de sa mouille, contre sa rondelle, et prenant ses gémissements pour un accord, je l'enfonçais aussi profondément que possible dans ses entrailles. J’entrepris alors un délicieux va et vient simultané dans sa chatte et dans son cul, tout en continuant à lui donner de savants coups de langue. Et bientôt, elle ne retint plus ses cris de jouissance et m'inonda le visage de sa cyprine abondante. Elle m'attrapa les cheveux pour m'éloigner d'elle et s'en servit d'abord pour s'essuyer elle-même puis pour m'essuyer le visage.
- Allez, la chienne, c’est bien ! Ta langue de salope a su me contenter … C'est l'heure pour toi de regagner le bureau de Monsieur le Marquis. Dépêche-toi si tu ne veux pas être sanctionnée pour un retard.
Je partis donc après avoir embrassé chaque pieds de Marie la cuisinière en guise de reconnaissance et de soumission, et alla frapper à la porte deux secondes avant que l'horloge ne sonne l'heure. Après être entrée sur Son ordre, le Maître laissa échapper un petit rire.
- Eh bien je vois que Marie a pris plaisir à t'utiliser de nouveau ! Viens devant moi, mets-toi à genoux, tête relevée, mais yeux fermés, ainsi que ta petite gueule de chienne. (Et après que je me fus exécuté, Il passa sa main entre mes cuisses qui étaient trempées de ma cyprine, excitée que j'étais d'être à nouveau entre les mains du personnel bien connu du Château, lorsque je n'étais pas aux ordres directement du Maître) - Humm et une petite chienne en chaleur, bien excitée, comme je les aime. Ne bouge plus !
Et je l'entendis ouvrir son pantalon et se masturber devant moi avec vigueur. Il ne tarda pas à m'éjaculer sur le dessus de la tête et sur le visage. Quand Il eut fini, Il étala Sa noble semence sur mon visage, mon cou et mes seins. Puis Il présenta Sa main souillée devant ma bouche m'adressant un "lèche !" Laconique, ce que je fis avec bonheur.
- Maintenant va travailler, avec mon odeur et mon précieux nectar sur toi qui sèchera doucement et restera collé sur ta face de petite chienne ! Sois honorée de cela !
Je regagnais ma chaise doublement godée et mon bureau et travaillais tout le reste de la journée. Je sentis le précieux sperme coller sur mes joues, front, menton et j’éprouvais un profond plaisir à cela. Je me sentais même honorée de ce noble cadeau… Le mardi et le mercredi matin passèrent rapidement dans la routine confortable d'une soumise MDE utilisée quand bon Lui semblait, toujours à Sa disposition pour servir de vide-couilles et que ce soit dans n’importe lequel de mes orifices et à n’importe quel moment 24h/24. Confortable, à partir du moment où l'on acceptait de vivre pleinement ce que l'on était, de n'être plus rien qu'un objet servant le plaisir du Maître et de tous ceux qu'Il désignait pour me soumettre… Après le déjeuner, je quittais avec un certain regret le Château, habillée en femme vanille, dans une des voitures que le Noble avait bien voulu daigner me prêter pour aller chercher mes filles. Mais comme à chaque fois que j'étais éloignée pour cette raison de cette magnifique demeure devenue mon chez moi, j'étais pour autant toujours sous le joug du Châtelain et je n'allais pas rester quatre jours sans recevoir de nouvelles exigences…
(A suivre …)
Puis je me dirigeais vers les escaliers pour rejoindre Marie, la sévère cuisinière...
- Ah te voilà, toi ! Tu as failli être en retard. Tu n'aurais pas été servie en ce cas, et tu aurais été sanctionnée comme il se doit, la chienne. Il ne faudrait pas croire que parce que tu es partie en vacances à travers le monde, en tête à tête avec Monsieur le Marquis, que tu vas avoir droit à un traitement de faveur maintenant que tu es revenue ! D'ailleurs, afin que tu te rappelles quelle est ta vraie place, tu n'auras pas de gamelle aujourd'hui, tu mangeras à même le carrelage. J'espère pour toi que le chien qui a nettoyé le sol ce matin l'a bien fait, sinon tu risques de trouver cela un peu croquant !… Salope de chienne !
Et elle partit d'un grand rire qui faisait légèrement froid dans le dos. Elle saisit ma laisse et m'emmena dans un coin de la cuisine et versa comme elle venait de le dire la nourriture à même le sol. Et alors que je me baissais pour laper le mélange nourrissant, je sentis des coups de badine me tomber tout le long de l'échine, sur l’arrondi de mon cul, ainsi que mes jambes. Le plus douloureux furent les coups portés sur la plante de mes pieds. Et pour ajouter à la situation, Marie ne se gênait pas pour lancer des phrases piquantes et humiliantes sur la cochonne que je faisais en mangeant ainsi, me disant qu'enfin je revenais à ma place, juste bonne à lécher le sol, que je n'étais rien, qu'il allait falloir que j'oublie les habitudes princières que j'avais du prendre pendant tout ce temps passé loin du Château, à me croire privilégiée et au-dessus des autres. Je finissais mon repas quand j'entendis une voix que je connaissais.
- Ah tu fais moins la maline maintenant ! Ça t'apprendra à me dénoncer à ton Maître et à obliger le mien à se séparer de moi pour ne pas paraître comme un Dominant faible devant le si merveilleux Marquis...
Zao, l'ancienne cuisinière de Wangdak, mais qui était toujours sa propriété, était entrée, portant un plateau avec des plats qu'elle venait de desservir, et avait parlé ironiquement. Walter qui était en train de taper un sms sur son portable près de l'âtre, se releva avec un regard sévère et se précipita vers la soumise toujours aussi rebelle, l'attrapa par ses cheveux et la força à s'aplatir au sol.
- Tu continues dans ton insolence et ton insubordination ? Et bien ce n'est pas cette chienne, cette fois-ci qui parlera de toi à Monsieur le Marquis d'Evans, à qui tu dois le plus grand respect, et de la reconnaissance pour avoir bien voulu perdre Son temps et le nôtre à t’éduquer ! Nous verrons bien ce qu'il décidera de ton avenir. Mais prends garde à ne plus jamais revoir le Tibet... Nous allons le voir dès maintenant, et tu te déplaceras en rampant sinon...
Il abattit son fouet sur Zao, qui poussa un cri de surprise. De la cuisine au bureau du Noble, il y avait environ deux longs couloirs à prendre et Zao les traversa en rampant sur la moquette épaisse, tel un soldat faisant le parcours du combattant sous de bas barbelés ! Son magnifique cul déambulait de gauche à droite au fur et à mesure qu’elle avançait ainsi couchée sur le ventre. Ses seins pendants frottaient le sol à chaque fois qu’elle bougeait jambes et bassin pour se déplacer de manière reptile. A chaque fois qu’elle avait fait un bon mètre, Walter la récompensait par un coup de fouet sur son dos. On aurait pu croire que la soumise souffrait mais en réalité, cette situation l’excitait grandement, sa cyprine autant que sa sueur coulaient au fur et à mesure qu’elle évoluait dans les deux couloirs… Quand ils furent enfin arrivés au niveau de la porte du bureau du Châtelain, le Majordome frappa et suite à un ordre d’entrer, Zao se trouva en présence du Maître. Impressionnée, elle ne put s'empêcher de trembler. Il lui semblait encore plus froid, plus grand, plus impressionnant que dans son souvenir Walter expliqua le comportement de la soumise et de quelle façon il l’avait obligé à se rendre jusqu’à Lui, c’est-à-dire en rampant à travers les couloirs...
- Eh bien ? Cette chienne fait encore des siennes Walter ?
- Oui Monsieur le Marquis, comme je viens de vous l’expliquer, elle parle sans y avoir été autorisée et Vous manque de respect. Mais aussi elle continue à utiliser le possessif que ce soit en parlant de Maître Wangdak ou de Vous-même, ne sait pas se taire quand elle reçoit une correction. De plus, on ne peut pas dire qu'elle mette beaucoup de cœur à l'ouvrage et a tendance à vouloir traîner pour exécuter les ordres. Pour ce qui est de jouir sur ordre, je ne l'ai pas encore testé, trouvant qu'elle ne méritait pas que je lui accorde cet honneur.
- Bien, bien, bien... Je crois que cette chienne a besoin d'un dressage sec et intensif. Pour ce qui est de parler à tort et à travers, alternativement, elle portera pendant un mois trois pinces lui tenant la langue hors de la bouche, ou un bâillon-boule, ou encore un bâillon anneau lui maintenant la bouche ouverte. Puisqu’elle n'est pas capable de faire preuve de respect alors qu'elle est chaudement hébergée et bien traitée, elle passera ce même mois à la disposition des gardes forestiers, dans leur bâtisse, la maison des chasseurs, qui est le bâtiment le plus éloigné du Château dans le Domaine et malgré la distance, elle la reliera à quatre pattes tout du long ! Ils pourront en faire exactement ce qu'ils veulent, la pénétrer autant qu'ils le veulent et la châtier avec ou sans raison valable. Si au bout de ce temps défini, elle n'est pas revenue à de meilleurs sentiments, j'en informerai mon ami, et lui seul pourra prendre la décision de la garder en tant que chienne ou de la répudier. (Et se tournant vers Zao) J'ai dit tout cela à voix haute et devant toi, pour que tu saches ce que tu risques à ne pas être docile. Maintenant, suis mon fidèle Walter, je verrai dans un mois si je daigne t'accorder l'honneur de te retrouver en Ma présence !
Le Majordome saisit la laisse de l'ancienne cuisinière et l'entraîna à l'extérieur du Château. Le chemin jusqu'à la demeure des gardes était long et pénible lorsqu'il était fait en quadrupédie, surtout que Walter utilisait le chemin pierreux, ne lui accordant que peu souvent un répit en passant sur la pelouse. Lorsque Zao vit les gardes, elle eut peur. Ils paraissaient durs, sauvages, rustres et vulgaires. Ils étaient très grands, très larges, mais Il n'y avait pas la moindre graisse en trop sur eux, ce n'était que des amas de muscles ! Et pour la première fois, elle se dit qu'il fallait qu'elle fasse réellement des efforts, et que si elle les avait faits avant elle n'aurait pas eu à subir une telle épreuve et qu'elle aurait peut-être été proche de rentrer dans son pays près de "son" Maître qui lui manquait cruellement (pour le moment elle se sentait incapable de supprimer le possessif "son" de son vocabulaire, n’ayant pas encore intégré quelle ne possédait rien et surtout pas un Maître)… Pendant ce temps, dans la cuisine j'avais entièrement nettoyé le sol de ma pâtée à même le carrelage.
- Bien la chienne, ces derniers évènements m'ont quelque peu stressée, alors viens entre mes cuisses me détendre et sache utiliser ta langue comme un bonne salope de chienne en chaleur, comme toi, sait le faire !
Et alors qu'elle souleva sa jupe où aucune culotte cachait un sexe parfaitement entretenu par une coupe de poils symétrique de chaque côté, je venais à elle à quatre pattes. Elle s’assit sur une des chaises de la cuisine, écartant largement les cuisses. Quand je fus assez proche, elle me saisit par les cheveux et me plaqua contre sa chatte que je léchais avec application, insistant sur son clitoris que je mordillais légèrement, ce qui la fit ronronner fortement. Ma langue descendit entre ses lèvres intimes et je m'abreuvais de ses sucs intimes. Puis elle remonta sur son petit bouton de chair frémissant et sensible, très vite remplacé par deux de mes doigts, lui caressant ses parois vaginales. Au bout de quelques instants, sous la respiration de plus en plus saccadée de Marie, je glissais un de mes doigts, maintenant trempé de sa mouille, contre sa rondelle, et prenant ses gémissements pour un accord, je l'enfonçais aussi profondément que possible dans ses entrailles. J’entrepris alors un délicieux va et vient simultané dans sa chatte et dans son cul, tout en continuant à lui donner de savants coups de langue. Et bientôt, elle ne retint plus ses cris de jouissance et m'inonda le visage de sa cyprine abondante. Elle m'attrapa les cheveux pour m'éloigner d'elle et s'en servit d'abord pour s'essuyer elle-même puis pour m'essuyer le visage.
- Allez, la chienne, c’est bien ! Ta langue de salope a su me contenter … C'est l'heure pour toi de regagner le bureau de Monsieur le Marquis. Dépêche-toi si tu ne veux pas être sanctionnée pour un retard.
Je partis donc après avoir embrassé chaque pieds de Marie la cuisinière en guise de reconnaissance et de soumission, et alla frapper à la porte deux secondes avant que l'horloge ne sonne l'heure. Après être entrée sur Son ordre, le Maître laissa échapper un petit rire.
- Eh bien je vois que Marie a pris plaisir à t'utiliser de nouveau ! Viens devant moi, mets-toi à genoux, tête relevée, mais yeux fermés, ainsi que ta petite gueule de chienne. (Et après que je me fus exécuté, Il passa sa main entre mes cuisses qui étaient trempées de ma cyprine, excitée que j'étais d'être à nouveau entre les mains du personnel bien connu du Château, lorsque je n'étais pas aux ordres directement du Maître) - Humm et une petite chienne en chaleur, bien excitée, comme je les aime. Ne bouge plus !
Et je l'entendis ouvrir son pantalon et se masturber devant moi avec vigueur. Il ne tarda pas à m'éjaculer sur le dessus de la tête et sur le visage. Quand Il eut fini, Il étala Sa noble semence sur mon visage, mon cou et mes seins. Puis Il présenta Sa main souillée devant ma bouche m'adressant un "lèche !" Laconique, ce que je fis avec bonheur.
- Maintenant va travailler, avec mon odeur et mon précieux nectar sur toi qui sèchera doucement et restera collé sur ta face de petite chienne ! Sois honorée de cela !
Je regagnais ma chaise doublement godée et mon bureau et travaillais tout le reste de la journée. Je sentis le précieux sperme coller sur mes joues, front, menton et j’éprouvais un profond plaisir à cela. Je me sentais même honorée de ce noble cadeau… Le mardi et le mercredi matin passèrent rapidement dans la routine confortable d'une soumise MDE utilisée quand bon Lui semblait, toujours à Sa disposition pour servir de vide-couilles et que ce soit dans n’importe lequel de mes orifices et à n’importe quel moment 24h/24. Confortable, à partir du moment où l'on acceptait de vivre pleinement ce que l'on était, de n'être plus rien qu'un objet servant le plaisir du Maître et de tous ceux qu'Il désignait pour me soumettre… Après le déjeuner, je quittais avec un certain regret le Château, habillée en femme vanille, dans une des voitures que le Noble avait bien voulu daigner me prêter pour aller chercher mes filles. Mais comme à chaque fois que j'étais éloignée pour cette raison de cette magnifique demeure devenue mon chez moi, j'étais pour autant toujours sous le joug du Châtelain et je n'allais pas rester quatre jours sans recevoir de nouvelles exigences…
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