Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°983)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°983)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°983) -
… Et cela m'aiderait à passer ces quelques jours sans nouvelles du Maître Vénéré... Je n'étais pas la plus à plaindre avec trois jours de "réclusion". Zao, se trouvant dans la maison des gardes-chasse au coeur de la forêt du Domaine, était plus à plaindre que moi. Elle, c'était un mois complet où elle allait devoir être à la botte de ces rustres gardes sans savoir si Monsieur le Marquis allait se préoccuper d’elle, ne serait-ce que demander de ses nouvelles. Elle se demandait également si Wangdak prenait la peine de demander à son ami, si sa soumise se portait bien et ne craignait rien. Et c'est en se posant ces questions et pleine d'appréhensions qu'elle se dirigeait, au bout de la laisse tenue par Walter, vers son nouveau lieu d'habitation en pleine nature où cette maison des gardes-chasse se trouvait. Elle était située à l’orée dans une grande clairière entourée de grands arbres touffus et ombrageux. Quand ils arrivèrent, quatre gardes étaient assis sur des souches, un pantalon de treillis vert, torses nus, une bière à la main. Ils avaient des gueules pas très sympathiques avec des coupes de cheveux taillées au couteau, ils étaient mal rasés et visiblement avaient l’air assez macho. Ils se tournèrent tous d’un même mouvement, quand ils entendirent Walter les interpeller :
- Eh bien, vous n’avez pas l’air très actif les gars !
- C’est la pause, Monsieur Walter. Vous voulez boire un coup avec nous, une p’tite bière ?
- Non, je n’ai pas le temps de prendre de pause, moi. Mais je vous amène de quoi vous occupez et vous détendre ! Voici une des dernières chiennes arrivées au Château, et elle est ce qu’on pourrait appeler indisciplinée et rebelle. Vous avez l’autorisation de Monsieur le Marquis d’en faire ce que bon vous semble, de l’utiliser comme vous le voulez. La seule chose qu’Il exige, c’est qu’elle soit dans l’incapacité de parler, soit au moyen de pinces lui maintenant la langue hors de la bouche, soit par bâillon-boule ou bâillon-anneau si vous vouliez qu’elle puisse garder la bouche ouverte pour que vous puissiez vous en servir. Elle n’aura droit à être libérée que pour manger et boire. Elle devra dormir attachée … Car elle vous est confiée pour un mois complet … Largement de quoi vous soulager ! Alors usez et abusez-en tant que vous voulez ! …- Que Monsieur le Marquis est généreux ! Vous Lui transmettrez nos remerciements, et l’assurance que nous traiterons comme elle le mérite cette chienne récalcitrante.
Et ils éclatèrent tous d’un rire gras et moqueur. Le Majordome partit, riant également, après avoir lâché la laisse et avoir claqué le cul, pour l’instant blanc, de Zao… Un garde s’approcha. N’étant pas en présence d’un Dominant, elle leva la tête et le regarda franchement dans les yeux, en se redressant sur les genoux. La réaction du garde ne se fit pas attendre, et une paire de gifles magistrale atterrit sur les joues de la chienne, la faisant s’étaler au sol, sous les rires moqueurs des autres qui regardaient la scène. Celui qui avait mis la baffe l’attrapa par les cheveux et la tira après lui, se penchant au maximum pour lui maintenir la tête au plus près du sol, et l’obligeant à ramper pour pouvoir le suivre, tout en lui faisant renifler la terre. Les gardes formèrent un arc de cercle autour d’eux, quand l’un d’eux lui lança un ordre sur un ton autoritaire n’autorisant aucune réplique :
- En levrette et écarte ton cul avec tes mains, salope ! Qu’on puisse voir ta rosette de chienne !
Alors docilement et craintivement, Zao se cambra en levrette cul bien relevé et fit saillir sa croupe et s'aidant de ses mains, ouvrit largement sa rosette... Crachant dans ses mains, le garde qui venait de parler et qui visiblement bandait déjà, humidifia son pouce et s'approchant, l'enfonça dans le cul de la soumise... l'ouvrant plus encore et ouvrant le chemin à son sexe déjà tendu, dur, long et épais... il l'enfonça d'un coup de reins violent sans autre préambule et commença à limer sans ménagement la souillon soumise. Longtemps... très longtemps... ils la baisèrent et la baisèrent encore à tour de rôle par tous ses orifices... Elle fut mainte fois enculée, baisée de la chatte et de la bouche et reçu une douche de sperme qui sécha lentement sur tout son corps... elle supplia, implora mais paradoxalement resta terriblement excitée d’avoir été offerte en pâture à ces rustres gardes, même si elle avait été autorisée à laisser éclater ses nombreux orgasmes...
Ensuite, ils l’emmenèrent jusqu’à une cage. Elle y fut attachée avec une chaîne. Il y avait une petite porte qui fut fermée, obligeant la soumise à rester d’abord accroupie, cuisses et sexe bien écartés. Elle pouvait tout juste changer de position, pour se mettre à genoux, assise ou prosternée, mais elle n’aurait pas pu se lever. L’un des hommes exigea qu’elle se mette à genoux, la bouche ouverte, mains dans le dos. Tous s’approchèrent, sortirent leurs sexes de leurs pantalons pour lui uriner tous dessus. À l’odeur, cela devait faire un moment qu’ils n’avaient pas vider leur vessie. La pisse, mélangée à la terre, forma rapidement une flaque de boue. L’un des gardes la détacha et saisit Zao par sa tignasse et la força à se rouler dedans avant de l’attacher de nouveau dans la cage. Ils partirent ensuite sans un mot pour la soumise, toujours en riant, et se disant qu’ils allaient bien s’amuser durant le mois où cette petite salope allait être à leur disposition. Zaō était humiliée et en larmes. Jamais elle ne s’était sentie aussi rabaissée, humiliée, mais ce qui la surprit, c’est de constater malgré tout ça que son bas-ventre n’avait pas été insensible à ce qui venait de se passer, l’humiliation l’excitait, cela était une évidence qu’elle devait accepter...
En effet, elle se sentit toute excitée et l’envie de se caresser devenait de plus en plus intense, ceci dit elle n’osa pas se toucher n’y étant pas autorisée après les orgasmes lors de la baise de tantôt. Mais quoi qu’il en soit, son excitation d’avoir été ainsi humiliée était bien réelle et elle ne pouvait plus le nier à elle-même. De plus sans qu’elle veuille encore le reconnaître, la pensée qu’il allait vraiment falloir qu’elle fasse un effort pour retrouver un jour le Maître qu’elle désirait, s’insinuait de plus en plus sincèrement dans son esprit. Malgré son excitation croissante, elle éprouva un soulagement qui fut de courte durée, en pensant qu’au moins, ils avaient oublié la sanction consistant à l’empêcher de parler. Mais c’était mal les connaître car très vite un des hommes revint avec un petit sac. Après l’avoir qualifiée de « petite putain crasseuse et puante », il lui posa un bâillon-anneau et lui fit en plus tirer la langue pour y accrocher deux pinces à linge, lui tirant des gargouillis de gorge et de nombreuses larmes. Il la laissa après l’avoir poussé la refaisant tomber dans la boue odorante.
La longueur de sa chaîne ne lui permettait pas de pouvoir s’en mettre totalement à l’abri. Zao n’avait plus qu’à espérer qu’elle sèche rapidement. En attendant, elle décida de s’asseoir en se tendant pour être le moins en contact possible avec la flaque. Malheureusement pour elle, le temps était très humide et la terre ne sécha pas. Elle ne pouvait même pas s’abriter à l’extérieur de la cage, car les gardes avaient cadenassé la porte. Ce n’est qu’une fois la nuit tombée, que quelqu’un vint la déverrouiller. Il lui jeta une couverture, qui était sale et qui sentait mauvais, mais qui lui permit de ne pas attraper froid. Même si sa sanction était que les gardes arrivent à la faire se sentir encore moins que rien, ils avaient l’obligation de veiller à sa santé, s’ils ne voulaient pas à leur tour subir le courroux de Monsieur le Marquis d’Evans. Alors, à cause de la météo pluvieuse en ce début de nuit, on la mena dans une niche abritée, à deux pas de la cage. Elle fut reconnaissante d’avoir pu entrer dans cette niche à l’abri car peu de temps après la pluie se mit à tomber abondamment. Le bruit qu’elle faisait empêcha Zaō de dormir une grande partie de la nuit. Elle s’assoupit seulement quand le soleil se leva et que la pluie cessa. Mais son repos fut court car un garde vint la chercher pour qu’elle prépare leur petit déjeuner.
La maison au fond du Domaine de la Famille des Evans où vivaient les gardes-chasse, était assez éloignée du Château, et il était très rare qu’ils se déplacent jusque là-bas pour les repas, sauf s’ils devaient avoir quelque chose à y faire auparavant ou par la suite. La cour était détrempée par la pluie et donc glissante. Le garde fit exprès de tirer par à-coup sur la laisse de la chienne pour la faire glisser et s’étaler de nombreuses fois. Elle franchit donc le pas de la porte sale et mouillée. Mais il lui fallut reconnaître qu’il n’y avait pas que sa peau qui l’était. Même si sa nature la poussait à se rebeller contre l’autorité de la Domination de personnes qu’elle n’avait pas reconnues pour être Maître de sa vie, elle ne pouvait s’empêchait d’être excitée de nouveau par sa situation. Elle entra donc dans la maison des gardes-chasse laissant de nombreuses traces au sol. Un garde s’approcha d’elle, un fouet à la main.
- Mais quelle sale petite chienne puante ! Prosterne-toi et implore-moi de t’excuser.
Implorer le pardon de qui que ce soit, c’était hors de question pour elle ! Mais de plus, elle ne pouvait pas le faire, toujours appareillée qu’elle était. Elle regarda alors le garde, avec un air désemparé. Une fois de plus, elle fut giflée, à croire que c’était une des pratiques favorites des gardes.
- Chienne, tu n’as pas encore compris que tu ne devais jamais regarder quelqu’un de supérieur à toi ? Je sais bien que tu ne peux pas parler, cependant si tu avais eu un minimum d’imagination, tu te serais prosternée, puis aplatie au sol et tu aurais rampé jusqu’à mes pieds ! Alors qu’attends-tu pour m’implorer maintenant que tu sais ce qu’il faut faire ?
Zao s’exécuta enfin, et fit par la même de longue trainée de terre au sol.
- Tu seras pardonnée après avoir été punie et avoir nettoyé tes saletés. Et pour ta punition tu vas recevoir 25 coups de fouet dans la position où tu te trouves, et tu les compteras à voix haute. Fais-le à haute et intelligible voix, cars si jamais je ne t’entendais pas, je reprendrai à zéro !
Les coups étaient forts, sans toutefois faire plus que lui laisser des marques. Mais elle passa d’abord plus de temps à crier qu’à compter et donc le garde recommença quelques fois, mais heureusement pour la soumise à chaque fois, il n’avait eu le temps que de donner un coup. Au final elle en reçut une bonne trentaine, et si elle avait mal à en pleurer, elle était également trempée, sa cyprine coulant sur ses cuisses, et commençait à accepter qu’elle pût prendre du plaisir à se faire dominer sévèrement. Quand la punition fut terminée, elle eut droit de se lever pour pouvoir préparer et servir le petit déjeuner. Mais elle eut surtout le devoir, une fois le service fait, et après qu’on lui eut enlevé ses pinces (ce qui lui arracha des larmes et des gémissements de douleurs) et son bâillon, de passer sous la table et de sucer tous les gardes, un par un, qui étaient cette fois-ci plus nombreux. À chaque fois qu’ils s’apprêtaient à éjaculer, ils la repoussaient et se vidaient dans une écuelle en bois. Quand ils eurent fini de manger, ils vidèrent leur vessie dans une seconde écuelle. Ils les mirent de côté et exigea que Zao nettoie alors le sol à quatre pattes, mais sans avoir eu droit de se laver avant. Elle passa un très long moment à repasser derrière elle, car au fur et à mesure qu’elle nettoyait, elle resalissait le sol, surtout quand elle marchait là où c’était mouillé et que la terre se mélangeait à l’eau. Lorsqu’elle eut enfin fini, elle était épuisée et rêvait de pouvoir se restaurer, mais aussi elle était toujours très très excitée par un sexe vraiment trempée quand il fallut avaler les deux écuelles, celle remplie de pisses et celle de spermes... Elle n’en revenait pas elle-même de se sentir dans cet état second d’excitation quasi permanente face à cette situation aussi dégradante et humiliante …
(A suivre …)
… Et cela m'aiderait à passer ces quelques jours sans nouvelles du Maître Vénéré... Je n'étais pas la plus à plaindre avec trois jours de "réclusion". Zao, se trouvant dans la maison des gardes-chasse au coeur de la forêt du Domaine, était plus à plaindre que moi. Elle, c'était un mois complet où elle allait devoir être à la botte de ces rustres gardes sans savoir si Monsieur le Marquis allait se préoccuper d’elle, ne serait-ce que demander de ses nouvelles. Elle se demandait également si Wangdak prenait la peine de demander à son ami, si sa soumise se portait bien et ne craignait rien. Et c'est en se posant ces questions et pleine d'appréhensions qu'elle se dirigeait, au bout de la laisse tenue par Walter, vers son nouveau lieu d'habitation en pleine nature où cette maison des gardes-chasse se trouvait. Elle était située à l’orée dans une grande clairière entourée de grands arbres touffus et ombrageux. Quand ils arrivèrent, quatre gardes étaient assis sur des souches, un pantalon de treillis vert, torses nus, une bière à la main. Ils avaient des gueules pas très sympathiques avec des coupes de cheveux taillées au couteau, ils étaient mal rasés et visiblement avaient l’air assez macho. Ils se tournèrent tous d’un même mouvement, quand ils entendirent Walter les interpeller :
- Eh bien, vous n’avez pas l’air très actif les gars !
- C’est la pause, Monsieur Walter. Vous voulez boire un coup avec nous, une p’tite bière ?
- Non, je n’ai pas le temps de prendre de pause, moi. Mais je vous amène de quoi vous occupez et vous détendre ! Voici une des dernières chiennes arrivées au Château, et elle est ce qu’on pourrait appeler indisciplinée et rebelle. Vous avez l’autorisation de Monsieur le Marquis d’en faire ce que bon vous semble, de l’utiliser comme vous le voulez. La seule chose qu’Il exige, c’est qu’elle soit dans l’incapacité de parler, soit au moyen de pinces lui maintenant la langue hors de la bouche, soit par bâillon-boule ou bâillon-anneau si vous vouliez qu’elle puisse garder la bouche ouverte pour que vous puissiez vous en servir. Elle n’aura droit à être libérée que pour manger et boire. Elle devra dormir attachée … Car elle vous est confiée pour un mois complet … Largement de quoi vous soulager ! Alors usez et abusez-en tant que vous voulez ! …- Que Monsieur le Marquis est généreux ! Vous Lui transmettrez nos remerciements, et l’assurance que nous traiterons comme elle le mérite cette chienne récalcitrante.
Et ils éclatèrent tous d’un rire gras et moqueur. Le Majordome partit, riant également, après avoir lâché la laisse et avoir claqué le cul, pour l’instant blanc, de Zao… Un garde s’approcha. N’étant pas en présence d’un Dominant, elle leva la tête et le regarda franchement dans les yeux, en se redressant sur les genoux. La réaction du garde ne se fit pas attendre, et une paire de gifles magistrale atterrit sur les joues de la chienne, la faisant s’étaler au sol, sous les rires moqueurs des autres qui regardaient la scène. Celui qui avait mis la baffe l’attrapa par les cheveux et la tira après lui, se penchant au maximum pour lui maintenir la tête au plus près du sol, et l’obligeant à ramper pour pouvoir le suivre, tout en lui faisant renifler la terre. Les gardes formèrent un arc de cercle autour d’eux, quand l’un d’eux lui lança un ordre sur un ton autoritaire n’autorisant aucune réplique :
- En levrette et écarte ton cul avec tes mains, salope ! Qu’on puisse voir ta rosette de chienne !
Alors docilement et craintivement, Zao se cambra en levrette cul bien relevé et fit saillir sa croupe et s'aidant de ses mains, ouvrit largement sa rosette... Crachant dans ses mains, le garde qui venait de parler et qui visiblement bandait déjà, humidifia son pouce et s'approchant, l'enfonça dans le cul de la soumise... l'ouvrant plus encore et ouvrant le chemin à son sexe déjà tendu, dur, long et épais... il l'enfonça d'un coup de reins violent sans autre préambule et commença à limer sans ménagement la souillon soumise. Longtemps... très longtemps... ils la baisèrent et la baisèrent encore à tour de rôle par tous ses orifices... Elle fut mainte fois enculée, baisée de la chatte et de la bouche et reçu une douche de sperme qui sécha lentement sur tout son corps... elle supplia, implora mais paradoxalement resta terriblement excitée d’avoir été offerte en pâture à ces rustres gardes, même si elle avait été autorisée à laisser éclater ses nombreux orgasmes...
Ensuite, ils l’emmenèrent jusqu’à une cage. Elle y fut attachée avec une chaîne. Il y avait une petite porte qui fut fermée, obligeant la soumise à rester d’abord accroupie, cuisses et sexe bien écartés. Elle pouvait tout juste changer de position, pour se mettre à genoux, assise ou prosternée, mais elle n’aurait pas pu se lever. L’un des hommes exigea qu’elle se mette à genoux, la bouche ouverte, mains dans le dos. Tous s’approchèrent, sortirent leurs sexes de leurs pantalons pour lui uriner tous dessus. À l’odeur, cela devait faire un moment qu’ils n’avaient pas vider leur vessie. La pisse, mélangée à la terre, forma rapidement une flaque de boue. L’un des gardes la détacha et saisit Zao par sa tignasse et la força à se rouler dedans avant de l’attacher de nouveau dans la cage. Ils partirent ensuite sans un mot pour la soumise, toujours en riant, et se disant qu’ils allaient bien s’amuser durant le mois où cette petite salope allait être à leur disposition. Zaō était humiliée et en larmes. Jamais elle ne s’était sentie aussi rabaissée, humiliée, mais ce qui la surprit, c’est de constater malgré tout ça que son bas-ventre n’avait pas été insensible à ce qui venait de se passer, l’humiliation l’excitait, cela était une évidence qu’elle devait accepter...
En effet, elle se sentit toute excitée et l’envie de se caresser devenait de plus en plus intense, ceci dit elle n’osa pas se toucher n’y étant pas autorisée après les orgasmes lors de la baise de tantôt. Mais quoi qu’il en soit, son excitation d’avoir été ainsi humiliée était bien réelle et elle ne pouvait plus le nier à elle-même. De plus sans qu’elle veuille encore le reconnaître, la pensée qu’il allait vraiment falloir qu’elle fasse un effort pour retrouver un jour le Maître qu’elle désirait, s’insinuait de plus en plus sincèrement dans son esprit. Malgré son excitation croissante, elle éprouva un soulagement qui fut de courte durée, en pensant qu’au moins, ils avaient oublié la sanction consistant à l’empêcher de parler. Mais c’était mal les connaître car très vite un des hommes revint avec un petit sac. Après l’avoir qualifiée de « petite putain crasseuse et puante », il lui posa un bâillon-anneau et lui fit en plus tirer la langue pour y accrocher deux pinces à linge, lui tirant des gargouillis de gorge et de nombreuses larmes. Il la laissa après l’avoir poussé la refaisant tomber dans la boue odorante.
La longueur de sa chaîne ne lui permettait pas de pouvoir s’en mettre totalement à l’abri. Zao n’avait plus qu’à espérer qu’elle sèche rapidement. En attendant, elle décida de s’asseoir en se tendant pour être le moins en contact possible avec la flaque. Malheureusement pour elle, le temps était très humide et la terre ne sécha pas. Elle ne pouvait même pas s’abriter à l’extérieur de la cage, car les gardes avaient cadenassé la porte. Ce n’est qu’une fois la nuit tombée, que quelqu’un vint la déverrouiller. Il lui jeta une couverture, qui était sale et qui sentait mauvais, mais qui lui permit de ne pas attraper froid. Même si sa sanction était que les gardes arrivent à la faire se sentir encore moins que rien, ils avaient l’obligation de veiller à sa santé, s’ils ne voulaient pas à leur tour subir le courroux de Monsieur le Marquis d’Evans. Alors, à cause de la météo pluvieuse en ce début de nuit, on la mena dans une niche abritée, à deux pas de la cage. Elle fut reconnaissante d’avoir pu entrer dans cette niche à l’abri car peu de temps après la pluie se mit à tomber abondamment. Le bruit qu’elle faisait empêcha Zaō de dormir une grande partie de la nuit. Elle s’assoupit seulement quand le soleil se leva et que la pluie cessa. Mais son repos fut court car un garde vint la chercher pour qu’elle prépare leur petit déjeuner.
La maison au fond du Domaine de la Famille des Evans où vivaient les gardes-chasse, était assez éloignée du Château, et il était très rare qu’ils se déplacent jusque là-bas pour les repas, sauf s’ils devaient avoir quelque chose à y faire auparavant ou par la suite. La cour était détrempée par la pluie et donc glissante. Le garde fit exprès de tirer par à-coup sur la laisse de la chienne pour la faire glisser et s’étaler de nombreuses fois. Elle franchit donc le pas de la porte sale et mouillée. Mais il lui fallut reconnaître qu’il n’y avait pas que sa peau qui l’était. Même si sa nature la poussait à se rebeller contre l’autorité de la Domination de personnes qu’elle n’avait pas reconnues pour être Maître de sa vie, elle ne pouvait s’empêchait d’être excitée de nouveau par sa situation. Elle entra donc dans la maison des gardes-chasse laissant de nombreuses traces au sol. Un garde s’approcha d’elle, un fouet à la main.
- Mais quelle sale petite chienne puante ! Prosterne-toi et implore-moi de t’excuser.
Implorer le pardon de qui que ce soit, c’était hors de question pour elle ! Mais de plus, elle ne pouvait pas le faire, toujours appareillée qu’elle était. Elle regarda alors le garde, avec un air désemparé. Une fois de plus, elle fut giflée, à croire que c’était une des pratiques favorites des gardes.
- Chienne, tu n’as pas encore compris que tu ne devais jamais regarder quelqu’un de supérieur à toi ? Je sais bien que tu ne peux pas parler, cependant si tu avais eu un minimum d’imagination, tu te serais prosternée, puis aplatie au sol et tu aurais rampé jusqu’à mes pieds ! Alors qu’attends-tu pour m’implorer maintenant que tu sais ce qu’il faut faire ?
Zao s’exécuta enfin, et fit par la même de longue trainée de terre au sol.
- Tu seras pardonnée après avoir été punie et avoir nettoyé tes saletés. Et pour ta punition tu vas recevoir 25 coups de fouet dans la position où tu te trouves, et tu les compteras à voix haute. Fais-le à haute et intelligible voix, cars si jamais je ne t’entendais pas, je reprendrai à zéro !
Les coups étaient forts, sans toutefois faire plus que lui laisser des marques. Mais elle passa d’abord plus de temps à crier qu’à compter et donc le garde recommença quelques fois, mais heureusement pour la soumise à chaque fois, il n’avait eu le temps que de donner un coup. Au final elle en reçut une bonne trentaine, et si elle avait mal à en pleurer, elle était également trempée, sa cyprine coulant sur ses cuisses, et commençait à accepter qu’elle pût prendre du plaisir à se faire dominer sévèrement. Quand la punition fut terminée, elle eut droit de se lever pour pouvoir préparer et servir le petit déjeuner. Mais elle eut surtout le devoir, une fois le service fait, et après qu’on lui eut enlevé ses pinces (ce qui lui arracha des larmes et des gémissements de douleurs) et son bâillon, de passer sous la table et de sucer tous les gardes, un par un, qui étaient cette fois-ci plus nombreux. À chaque fois qu’ils s’apprêtaient à éjaculer, ils la repoussaient et se vidaient dans une écuelle en bois. Quand ils eurent fini de manger, ils vidèrent leur vessie dans une seconde écuelle. Ils les mirent de côté et exigea que Zao nettoie alors le sol à quatre pattes, mais sans avoir eu droit de se laver avant. Elle passa un très long moment à repasser derrière elle, car au fur et à mesure qu’elle nettoyait, elle resalissait le sol, surtout quand elle marchait là où c’était mouillé et que la terre se mélangeait à l’eau. Lorsqu’elle eut enfin fini, elle était épuisée et rêvait de pouvoir se restaurer, mais aussi elle était toujours très très excitée par un sexe vraiment trempée quand il fallut avaler les deux écuelles, celle remplie de pisses et celle de spermes... Elle n’en revenait pas elle-même de se sentir dans cet état second d’excitation quasi permanente face à cette situation aussi dégradante et humiliante …
(A suivre …)
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