Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°1051) -
Je me sentais réellement prête à tout pour Le satisfaire. Plus qu’une envie, c’était devenu un besoin !… Durant plusieurs mois, je vivais « tranquillement » au Château. Ma vie était rythmée par mon travail de secrétaire de direction de Monsieur le Marquis d’Evans, ce qui ne m’empêchait pas d’être en permanence utilisée comme la chienne esclave du Maître Vénéré. Assez régulièrement, le Maître s’interrompait dans Son travail et claquait des doigts. Je me désempalais alors de ma chaise à plug vertical intégré et je me dirigeais vers Lui à quatre pattes d’une démarche gracieuse, féline, acquise par tant d’exercices au cours de toutes ces années passées près de Lui. Puis je me prosternais, mon orientation dépendant de la direction de Son doigt, qui parfois pointait plus loin devant Lui, m’ordonnant de m’avancer un peu et de me prosterner Lui présentant mon cul et ma chatte offerte. Parfois Il pointait le sol à côté de Sa chaise, et mon cul se retrouvait alors à portée de Sa main, laquelle me caressait parfois distraitement le galbe de mon postérieur, me claquant ou me doigtant de temps en temps le cul ou la chatte.

Ou encore Il pointait la pointe de Son pied, et alors je passais avec bonheur sous Son bureau, embrassais avec envies et dévotions Ses chaussures et j’attendais prosternée, la prochaine exigence. Quel honneur et quelle joie lorsque le Maître claquait à nouveau des doigts, exigeant ainsi que je me redresse sur mes genoux, que je me rapproche un peu plus de Lui, entre Ses jambes écartées, que je sorte Son noble sexe de Son pantalon, et m’autorisant à le prendre en bouche avec gourmandise, et à Lui faire des fellations digne de l’éducation que j’avais reçue au Château. Je Le suçais alors, Le pompais jusqu’à ce que Son vit atteigne Son paroxysme et laisse éclater de longs jets de spermes chauds au fond de ma gorge. J’avalais alors Sa noble semence, n’en perdant pas une goutte, puis Le nettoyais avant de Le réajuster. Bien souvent, soit Il m’ignorait alors totalement tandis que je reprenais une position d’attente, soit je Lui servais de repose pieds, soit Il me renvoyait à mon bureau et je reprenais mon travail comme si de rien n’était, à la différence près que je gardais longtemps Son goût en bouche, me rappelant sans cesse ce que j’étais !

Le reste du temps, mis à part lors de vacances scolaires, où je pouvais sortir du Château pour rejoindre mes filles dans la villa que le Maître avait la générosité de me permettre d’occuper, je travaillais au côté de mes frères et sœurs de soumission à l’entretien du Château, aux repas, à l’accueil des nouveaux chiens ou des nouvelles chiennes quand cela arrivait. Certains ne restaient pas longtemps, d’autres y restaient à vie. En certains se trouvait et se sentait la capacité de supporter le Joug de Monsieur le Marquis d’Evans, qui nous permettait de vivre au mieux ce que l’on était au fond nous-même, de nous faire grandir, évoluer et s’épanouir dans ce que nous sommes. Mais comme on ne peut pas avancer dans la facilité, le cheminement ne se faisait que très rarement, voir jamais, sans douleur et abnégation totale, comme avait pu l’expérimenter la dernière petite chienne arrivée récemment au Château, l’esclave Hathor. Mais tous ceux qui décidaient de rester, d’accepter sans contestation l’autorité du Maître Vénéré, ne pouvaient que vivre heureux !... Ainsi passèrent plusieurs mois. Un jour, alors que j’étais assise sur ma chaise à plug si spéciale et si excitante, soumise Laïs MDE frappa à la porte du bureau du Maître, apportant le courrier. Celui-ci étant occupé et la renvoya de suite, mais je ne tardais pas à L’entendre s’exclamer, m’appelant rapidement près de Lui, en même temps qu’Il appuyait sur le petit bouton d’appel sous Son bureau, faisant se présenter sans attendre Son fidèle Majordome.

- Ma chienne, tu vas avoir beaucoup de travail à exécuter en peu de temps ! Mon ami Wangdak, chez qui nous avons séjourné lors de notre voyage au Tibet, comme tu le sais, voulait se marier à sa chienne Sangmo. Plutôt que de M’inviter chez lui, il voudrait que je lui permette de célébrer cet évènement au Château. Comme je lui ai dit, cela me ravit d’accepter. Alors, je vais te donner la liste des très nombreuses personnes qu’il va falloir inviter. Je compte sur toi pour te faire aider de ta sœur, esclave Phryné MDE, pour créer un carton d’invitation original, qui fasse bien comprendre que c’est un mariage D/s ! Sa chienne n’arrivera pas en même temps que lui, du moins pas de la même façon. Mon ami sera présent au Château, mais il ne veut pas que Sangmo soit au courant, donc je compte sur toi pour qu’aucun esclave de Mon Cheptel ne commette d’impair ! Maintenant, pars à la recherche de ta sœur de soumission, je veux le projet en maquette de l’invitation sur mon bureau dans une heure. Exécution ! (puis s’adressant à son Majordome) Mon cher Walter, je compte sur toi pour organiser la préparation de toutes les chambres, de toutes les niches, cages, et cachots disponibles. Mon ami arrive dans deux jours, ainsi que sa chienne. Tous les membres de notre communauté connus de Wangdak sont invités. Le mariage a lieu dans deux semaines. Il n’y a pas de temps à perdre. Tout Mon Cheptel est à ta disposition, et à celle de Marie, pour que tout soit prêt en temps et en heure. Relève de leurs fonctions vanilles tous ceux dont tu pourrais avoir besoin. Je compte vraiment sur toi, je sais que tu ne me décevras pas !

- Vous pouvez me faire confiance, Monsieur le Marquis. Je vais de ce pas avertir Marie pour qu’elle puisse prépare un menu digne de Votre ami. A moins qu’il n’ait d’exigences précises en quoique ce soit ?
- Non, non, carte blanche sur tout, mon ami ! L’objectif étant de voir les choses en grand, voire démesurées et donc tu as, en plus des moyens humains via Mon Cheptel que nous disposons, tu as budget illimité… Ne regarde pas à la dépense…
Tandis que le Majordome rejoignait la cuisinière pour se répartir le Cheptel suivant leurs besoins respectifs, de mon côté, j’étais déjà partie à quatre pattes chercher esclave Phryné MDE, que je savais se trouver vue l’heure, dans la salle d’entraînement, où nous devions toutes et tous passer deux heures par jour. Aujourd’hui, il avait été décidé qu’elle ferait du vélo. Vélo bien entendu spécial, équipé d’un gode et d’un plug installés sur la selle, qui, au mouvement du pédalier, s’activaient dans ses orifices. Lorsque l’un montait l’autre descendait. Lorsque le vélo s’arrêta, je l’entendis pousser un discret soupir. Jetant un rapide coup d’œil à la pendule de la pièce, je ne doutais pas que cela fut de soulagement mais aussi d’un certain plaisir excitant. Elle se désembrocha, puis elle nettoya de sa bouche et de sa langue, les deux queues factices humides, dont l’une était couverte de sa cyprine, qui avait coulé jusqu’au sol. Une fois le vélo propre, elle se mit à quatre pattes pour continuer à nettoyer ses saletés de petite chienne excitée. Ayant besoin d’elle pour répondre à une exigence du Maître, j’étais autorisée à lui parler pour lui expliquer ce qu’il attendait de nous, à haute et intelligible voix, afin que toute personne nous surveillant sache pourquoi j’avais interrompu sa séance d’entrainement et pourquoi ma sœur me suivait avant la fin normale de celui-ci.

Nous nous dépêchâmes de retourner dans le bureau du Noble, qui nous autorisa à entrer, mais une fois que nous fûmes prosternées, nous ignora de longues minutes. Silencieuses côte à côte, nous attendions Son bon vouloir, calmement. Notre vie se résumant à tout faire pour le satisfaire, et une des qualités de la soumise étant la patience, nous avions appris très tôt dans notre éducation à attendre dans la plus parfaite immobilité, même les mouvements induits par notre respiration étaient imperceptibles… Quand le Maître recula Son confortable fauteuil en cuir et se leva, nos cœurs frémirent mais aucun mouvement, aucun frisson ne put être aperçu. Nous étions telles deux statues extérieurement, mais bouillonnantes d’excitation intérieurement.

- esclave Phryné MDE, couchée sur le dos, cuisses écartées ! esclave Aphrodite MDE, en levrette, la tête entre ses cuisses, et lèche ta sœur de soumission ! Exécution ! …
Immédiatement nous prîmes la position exigée. Il y avait bien longtemps que j’avais appris à aimer les plaisirs saphiques, et je me mis aussitôt à l’ouvrage, faisant des cercles avec ma langue autour de son clitoris, léchant ses lèvres sur toutes leur longueur, revenant vers son petit bouton de chair palpitant qui se découvrait de plus en plus, le tétant, le mordillant doucement. Puis ma langue voulut explorer plus en avant sa chatte. Et au moment où elle allait se glisser entre ses lèvres, je sentis la noble queue du Maître s’enfoncer dans mes entrailles, et plus Il m’enculait profondément, plus ma langue s’enfonçait dans la caverne trempée de ma sœur de slavitude. Le Maître me tenait fermement par les hanches, ses coups de reins étaient puissants, sauvages, bestiaux. Je réglais la vitesse et les mouvements de ma langue à Ses mouvements à Lui, comme si ma langue devenait Son prolongement, et qu’à travers moi c’était bien Lui qui pénétrait la chienne allongée sur le sol, dont je sentais les muscles vaginaux se contracter sous les vagues de plaisir qu’elle, comme moi, retenions tant que nous n’avions pas l’autorisation de les laisser s’échapper dans des orgasmes autorisés.

Les coups de butoirs du Maître s’accentuèrent, me prévenant de l’approche de Sa délivrance, quand l’ordre tomba
-Jouissez mes petites salopes de chiennes ! Je le veux !

Alors ce fut un trio d’orgasmes qui éclata, moi me retrouvant le visage inondée par ma sœur fontaine. Après quelques instants en coït anal profond, où nous reprenions tous les trois notre souffle perdu sous la puissance des jouissances qui nous avaient saisis, le Maître se retira et m’ordonna de le nettoyer tandis que Phryné MDE devait lécher ses propres sécrétions au sol d’abord puis sur mon visage, lorsqu’Il décida que Sa queue était assez propre. Sous Son regard Dominant et son assentiment, le léchage de gueule de petite chienne se transforma en un long et chaud baiser langoureux, jusqu’à ce que quelques coups de fouet légers nous séparent.

- Suffit Mes petites putes ! Maintenant allez travailler ! Il ne Vous reste que dix minutes pour me présenter le projet-maquette de cartons d’invitation.

Après nous être prosternées devant Lui, et n’ayant reçu d’autres ordres dans les trente secondes qui suivirent, nous nous dirigeâmes vers mon poste de travail, où nous pûmes voir qu’une seconde chaise spéciale petite chienne avait été placée. Phryné MDE, à qui j’avais rapidement expliqué ce qui était attendu de nous lorsque j’étais allé la chercher, trouva très rapidement sur l’ordinateur à sa disposition, une ombre de Maître tenant par une laisse une esclave, celle-ci à genoux faisant la belle. Le carton devait être plié en trois parties, les deux de chaque côté se rabattant sur celle centrale, le Maître sur l’un des rabats, sa chienne sur l’autre. Lorsqu’on l’ouvrait, on voyait en filigrane sur fond rouge apparaitre le Château, et le texte de l’invitation en lettres dorées donnant un effet de trois dimensions. Au bout de dix minutes exactement, à peine sorti de l’imprimante, j’apportais à quatre pattes dans ma gueule le carton, que je déposais sur le bureau du Maître après m’être redressée sur les genoux pour être à la bonne hauteur, sans avoir besoin d’utiliser mes mains qui ainsi étaient exposées en faisant la belle, c’est-à-dire poignets à 90 degrés sous ma poitrine, buste droit...

- Parfait mes chiennes, excellent travail ! esclave Phryné MDE, tu peux retourner voir Walter, pour savoir ce qu’il veut faire de toi, puisque la séance d’entrainement est terminée. esclave Aphrodite MDE, je vais te donner le texte exact à écrire, et tu enverras par mail le projet au centre d’imprimerie du Château. Je t’ai déjà envoyé la liste des invités. Veille donc à ce que le nombre exact d’invitations soit imprimé, sinon tu seras tenue pour responsable de l’erreur et tu seras sévèrement sanctionnée. Tu y mettras le temps qu’il faudra, mais tu seras seule pour mettre les invitations sous enveloppe, et il faut qu’elles partent toutes demain matin à la première heure. Alors, dépêche-toi de te mettre au travail.

Lui-même se reconcentra sur ce qu’Il était en train de faire avant que je n’amène le faire-part de mariage, tandis que, après un petit sourire de connivence entre nous exprimant notre bonheur d’obéir, chacune de nous partions exécuter les Exigences du Maître. Alors que je venais de m’empaler sur le plug du siège, la cloche du déjeuner sonna. J’hésitais une demi-seconde sur ce que je devais faire, ayant un long travail devant moi. J’aurai aimé au moins pouvoir tout envoyer à l’impression avant de partir, mais cela m’aurait mise en retard.

- Allez ma petite chienne, va manger toi aussi ! Tu sais combien je tiens et j’exige que vous ayez une bonne hygiène de vie. Pas question, sauf si c’est une exigence de ma part, de sauter un repas ! Je connais ta glycémie capricieuse ! Si tu faisais un malaise pour avoir sauté un repas, tu serais triplement sanctionnée. Une fois pour avoir désobéi à une de tes règles de vie imposées, une fois pour n’être pas arrivée à l’heure pour le service des chiens, et une autre fois pour avoir mis en danger un bien M’appartenant, c’est-à-dire toi et ta santé. Je sais que tu te débrouilleras pour remplir complètement mes exigences concernant le mariage. Allez va !

Je me relevais donc, tandis que le Maître quittait le bureau, pour Lui-même aller se restaurer. J’arrivai juste à temps pour ne pas me faire sanctionner par Marie pour un retard. Je prenais le temps qu’il fallait pour manger. Je savais que de toutes manières, tous les chiens étaient relâchés en même temps, donc j’aurai fini trop vite, j’aurai pu me retrouver sanctionnée pour m’avoir provoqué une mauvaise digestion. Cela dit, à peine j’eus fini ma gamelle que Marie m’appela pour me dire que j’étais exempt des corvées qui suivaient normalement le repas car j’avais du travail qui m’attendait. Je l’en remerciais en me prosternant, puis sur un sévère coup de cravache sur mon postérieur, je me dépêchais de retourner à ma tâche. Très vite, j’envoyais, après avoir vérifié minutieusement trois fois que je n’avais fait aucune faute d’orthographe en tapant le texte, le projet à l’impression, en précisant le caractère urgent de ce que je demandais sous l’exigence du Maître Vénéré. Une heure plus tard, on vint apporter un carton de cinq cents faire-part avec autant d’enveloppes imprimées aux adresses des invités. Il me fallut toute l’après-midi et une partie de la soirée pour exécuter cette tâche, n’étant pas exempt de mon travail quotidien de secrétaire particulière. Le Maître était parti depuis longtemps, lorsque je me dirigeais, une fois que j’eus fini, vers le bureau de Walter, afin qu’il me conduise pour la nuit dans mon Cachot.

- Eh bien petite salope, tu finis bien tard ce soir, et tu m’as par conséquent obligé également à veiller. Je vais donc être obligé de te sanctionner malheureusement.

Il disait cela comme s’il était désolé pour moi de devoir me punir. Mais nous savions tous les deux très bien, qu’autant son côté pervers et sévère que mon côté maso allaient être satisfaits ! C’était plus une manière de se détendre après une journée que le Majordome savait avoir été longue pour moi, pour libérer une bonne dose d’endorphines avant de pouvoir regagner ma panière de chienne. Il me fit mettre debout, bras et jambes écartées. Il commença par me chauffer du plat d’une cravache, avant d’attraper un fouet qui s’enroulait à loisir autour de mon corps nu et réceptif. Pas un son ne franchit mes lèvres, mais la cyprine qui dégoulinait le long de mes cuisses témoignait de mon excitation ! Plusieurs coups atteignirent mon sexe, qui devenait douloureux, autant par les coups que sous ma très forte envie de jouissance. Je haletais telle une vraie petite chienne en chaleur qui mourrait d’envie de se faire prendre. Un dernier coup atteignant mon clitoris en même que l’ordre salvateur, et je partis dans un puissant orgasme qui me fit tomber à genoux tellement il me coupa les jambes. Et alors que mon orgasme durait, Walter appuya entre mes épaules pour que je me mette en levrette et il me baisa sans relâche après m’avoir interdit tout nouvel orgasme jusqu’à ce que lui-même se vide dans ma chatte à grands coups de reins de mâle en rut. Et cette dernière jouissance dura de longues minutes, me faisant trembler d’extase alors même que le Majordome s’était relevé et attendait tranquillement que je sois revenue parmi le monde des vivants pour lui nettoyer la queue. Il me mena alors jusque dans ma cellule pour que je puisse prendre un repos dont j’avais besoin, et qui ne serait pas très long, vue l’heure tardive…
(A suivre …)

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