Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°1061) -
Il me mena alors jusque dans ma cellule pour que je puisse prendre un repos dont j’avais besoin, et qui ne serait pas très long, vue l’heure tardive… Durant deux jours, tous les domestiques et tout le Cheptel du Château avaient travaillé d’arrache-pied pour que tout soit prêt pour l’arrivée de Wangdak et de Sangmo. Lui avait fait le voyage en classe affaire, sa chienne en classe économique. Le voyage du Tibet jusqu’à la France était long, et donc pas question, pour le Maître asiatique de négliger la sécurité de Sangmo, sa chose, en la laissant voyager en soute ! Il était convenu que Walter allait chercher Sangmo à l’aéroport, tandis que Monsieur le Marquis Lui-même s’occupait de Son vieil ami. Ce dernier ne voulait pas que sa chienne soit au courant de ses projets. Evidemment elle savait qu’ils allaient se marier, mais elle ne savait ni quand, ni où. Elle supposait seulement que ce serait dans leur pays ! De son côté le Maître Tibétain, qui avait apprécié d’avoir sous ses ordres quelques temps une chienne MDE, voulait d’une part faire un échange de bons procédés avec le Châtelain, et d’autre part que sa chienne puisse bénéficier de la chance d’avoir une éducation MDE au Château durant les deux semaines qui précédaient le mariage.
Alors que Wangdak se reposait de son long voyage, Monsieur le Marquis d’Evans s’était installé dans Son bureau et terminait tranquillement un dossier lorsqu’on frappa à la porte. Après avoir émis l’injonction d’entrer, Walter se présenta, accompagné de Sangmo. Le Maître tibétain n’avait pas voulu donner de titre à ses chiens et chiennes. Ainsi, il n’avait pas de soumis un tel, ou d’esclave un tel. Cependant, ayant interrogé subtilement sa chienne favorite, il avait décidé que suivant ce que son ami donnerait comme avis sur elle, le jour de leur mariage, il pourrait lui accorder le titre d’esclave. Elle disait ne pas y porter spécialement d’importance, mais il avait décelé en elle lors de la conversation, une lueur dans ses yeux, surtout lorsqu’ils avaient évoqué la visite du Châtelain et de sa chienne MDE, seulement alors soumise.
Le Majordome s'éclipsa aussitôt. Sangmo resta debout, gardant toutefois les mains dans le dos et la tête baissée. Le Noble resta un moment, sembla-t-il à l'ignorer. Mais en réalité Il ne la quittait pas du regard. Voilà déjà un point qu’il faut corriger, se disait-Il : Une chienne n’a pas à rester debout sauf si cela lui est exigé ! Cela dit, elle était vraiment magnifique, d’une beauté d’un corps féminin asiatique époustouflant et son ami avait de la chance d’épouser une telle créature qui passerait réellement son temps à vouloir le satisfaire en tout point ! Il observait sa son visage fin, les courbes de ses épaules, sa magnifique poitrine, la courbe de ses reins, ses lèvres pulpeuses, la beauté de ses jambes … Son noble membre ne tarda pas à se manifester. Il claqua des doigts. La soumise ne connaissant pas les codes du Château leva les yeux, interrogative et timide. La prestance, le charisme du Châtelain l’intimidait. Et après avoir lu Ses nombreux récits, elle avait un peu peur de ce que pouvaient être Ses pratiques, ne sachant où se trouvait la barrière entre fiction et réalité. Monsieur le Marquis se leva devant son manque de réaction et s’approcha d’elle, une cravache à la main. Il lui en donna un coup sec sur la fesse de gauche, puis un sur la droite.
- Ici, les chiennes ne se tiennent pas sur leurs deux pattes arrière. Tu devras évoluer à quatre pattes tant que tu demeureras en Ma demeure. Ensuite, lorsque Je claque des doigts, immédiatement, sans te poser de question, tu viens à moi, et tu te prosternes devant moi, attendant Mes ordres. Soit je t’en donnerai un à voix haute, soit je te laisserai là pour Mon bon plaisir, soit je claquerai de nouveau des doigts. Dans cette dernière hypothèse, tu viendras entre mes jambes, soit tu sortiras Mon noble sexe de Mon pantalon, soit il sera déjà sorti, et tu me suceras jusqu’à ce que Je décide que cela suffit !
Tandis qu’Il parlait, les coups tombaient avec la régularité d’un métronome, mais jamais au même endroit et avec diverses forces mais toutes mesurées mais soutenues. La position de la jeune femme lui permettait d’avoir un accès complet à toutes les parties de son corps. Et toutes subirent le plat de l’instrument. Le Châtelain voulait tester la soumise, les coups ne tombaient donc jamais avec la même force. Mais elle ne bougeait pas. On lisait des grimaces de surprises, parfois de douleur sur son visage, mais on n’apercevait pas le moindre frémissement. Et mise à part qu’elle avait ouvert la bouche pour expirer de plus en plus fortement, pas un gémissement ne franchit la barrière de ses lèvres. Cela Lui plaisait. Il pensait à la fête du mariage de son ami, et la chienne allait être fortement sollicitée. Et il allait falloir qu’elle apprenne à passer entre de nombreuses mains, chose qu’elle n’avait pas l’habitude de faire au Tibet. Wangdak lui ayant confié qu’il faisait peu de soirée D/s et avait du mal à prêter son trésor. Pourtant il avait demandé à Monsieur le Marquis de faire découvrir à la soumise ce côté de leur monde de Domination/soumission disons plus occidental, pour qu’elle apprécie d’autant plus le mode de vie de celui qui la soumettait et qui bientôt serait également son mari.
Le Maître retourna à Son bureau et claqua à nouveau des doigts. Sangmo se laissa tomber à quatre pattes et se dirigea vers Lui, et sans Lui toucher les pieds, se prosterna devant Lui tendant au maximum ses bras. Pendant un moment rien ne se passa. Sangmo n’avait pas l’habitude de rester longtemps dans cette position, Wangdak préférant la laisser attendre dans la position du lotus, les mains sur les genoux, paumes tournées vers le ciel. Et elle commençait à ressentir des douleurs dans les épaules, dans le haut du dos, et dans les bras. Elle commençait à se crisper et à se mettre à trembler. Un raclement de gorge du Châtelain, sec, la rappela à l’ordre et elle reprit tant bien que mal son immobilité. Mais cela ne dura pas très longtemps et elle se crispait de plus en plus. Il eut « pitié » d’elle, et claqua alors de nouveau des doigts. Elle eut du mal à reprendre une position de quadrupède tellement ses muscles étaient douloureux car peu habitués. Mais quand elle y réussit, elle se dirigea immédiatement vers Lui. Il s’était avancé sur le bord de Son fauteuil et avait déjà sorti Son noble sexe de son boxer, une belle verge bien tendue, bien épaisse et, au gland violacé, qui ne pouvait que faire envie ! Sangmo se dressa sur ses genoux et timidement, pris cette belle queue entre ses mains, la caressant doucement, avec respect et une certaine appréhension.
La réputation de Monsieur le Marquis d’Evans n’était plus à faire, et bien avant Son arrivée au Tibet, Il l’avait impressionnée. Ce qu’il se disait sur Ses méthodes d’éducation paraissait parfois effrayant mais tellement formateur, et même si elle était reconnaissante envers le Maître qui la soumettait, comme pour tout ce qu’il daignait lui faire vivre, elle éprouvait de l’appréhension envers les deux semaines qu’elle devait passer au Château avec un Grand Maître si célèbre comme Monsieur le Marquis. Celui-ci, en regardant sa petite bouche, pulpeuse, s’approcher de Son gland violacé, bandait encore plus. C’était un grand Dominant avec une grande maîtrise de Ses envies. Alors, malgré Son envie de baiser cette bouche, qu’Il devinait chaude, humide et accueillante, Il décida de la laisser faire pour le moment pour voir comment elle allait s’y prendre. Sangmo baisa délicatement le bout de Son gland épais, y passa sa langue pour y récupéré le liquide pré séminal qui s’en échappait puis doucement, millimètre par millimètre, elle enfonça Sa noble verge au plus profond de sa gorge et la garda ainsi, en coït buccal de longues secondes, puis elle entama de longs va-et-vient, tout en branlant d’une main la base de Sa queue, et de l’autre main malaxant Ses bourses, et massant le court sillon qui menait à Son anus. Elle alternait divinement aspiration et succion, lèvres légères et douces ou serrant plus fortement, osant frotter parfois le bout de ses dents sur la peau fine. La verge du noble ne cessait de gonfler. Visiblement la jeune tibétaine excellait dans l’art de la fellation !
Quand Il l’eut constaté sans que le doute soit permis, Il rassembla ses longs cheveux noirs qui étaient lâchés dans une main pour lui maintenir la tête, et Il prit possession de sa bouche, sauvagement, lui faisant bien comprendre que même si elle savait indéniablement donné du plaisir, c’était toujours Lui qui menait la danse ! Il se contint encore, continuant à la baiser ainsi longuement, lui imposant des gorges profondes, bien plus importantes et plus longtemps que celle que Sangmo lui avait procuré en début de fellation, lui ayant provoqué à deux reprises l’esquisse d’un mouvement de recul, mais le noble la maintenait bien trop fermement pour qu’elle puisse se retirer. Il nota d’ailleurs qu’il allait devoir la sanctionner pour cela. Il finit par se vider en longs jets épais et saccadé au fond de sa gorge. Elle eut du mal à avaler sans s’étrangler, et lorsque le Châtelain se retira enfin, elle se sentait épuisée, des douleurs dans les mâchoires, tant l’acte avait été long. Sangmo n’attendit pas cependant pour nettoyer le membre qui possédait encore une belle vigueur, mais que le Maître remit rapidement à l’abri de Son sous-vêtement.
- Bien, tu as une belle et bonne bouche de suceuse ! Elle va être très utile demain soir, je n’en doute pas ! Mais en attendant tu dois être punie. Deux fois, tu as essayé de te soustraire à Ma queue avide de s’enfoncer toujours plus loin ! Sache que les sanctions que j’inflige ont toujours un but éducatif. Deux fois tu as été rétive, alors ta sanction durera deux heures. Pour le moment, à genoux, tête baissée, mains sur la nuque, cuisses écartées. Exécutions ! …
(A suivre …)
Il me mena alors jusque dans ma cellule pour que je puisse prendre un repos dont j’avais besoin, et qui ne serait pas très long, vue l’heure tardive… Durant deux jours, tous les domestiques et tout le Cheptel du Château avaient travaillé d’arrache-pied pour que tout soit prêt pour l’arrivée de Wangdak et de Sangmo. Lui avait fait le voyage en classe affaire, sa chienne en classe économique. Le voyage du Tibet jusqu’à la France était long, et donc pas question, pour le Maître asiatique de négliger la sécurité de Sangmo, sa chose, en la laissant voyager en soute ! Il était convenu que Walter allait chercher Sangmo à l’aéroport, tandis que Monsieur le Marquis Lui-même s’occupait de Son vieil ami. Ce dernier ne voulait pas que sa chienne soit au courant de ses projets. Evidemment elle savait qu’ils allaient se marier, mais elle ne savait ni quand, ni où. Elle supposait seulement que ce serait dans leur pays ! De son côté le Maître Tibétain, qui avait apprécié d’avoir sous ses ordres quelques temps une chienne MDE, voulait d’une part faire un échange de bons procédés avec le Châtelain, et d’autre part que sa chienne puisse bénéficier de la chance d’avoir une éducation MDE au Château durant les deux semaines qui précédaient le mariage.
Alors que Wangdak se reposait de son long voyage, Monsieur le Marquis d’Evans s’était installé dans Son bureau et terminait tranquillement un dossier lorsqu’on frappa à la porte. Après avoir émis l’injonction d’entrer, Walter se présenta, accompagné de Sangmo. Le Maître tibétain n’avait pas voulu donner de titre à ses chiens et chiennes. Ainsi, il n’avait pas de soumis un tel, ou d’esclave un tel. Cependant, ayant interrogé subtilement sa chienne favorite, il avait décidé que suivant ce que son ami donnerait comme avis sur elle, le jour de leur mariage, il pourrait lui accorder le titre d’esclave. Elle disait ne pas y porter spécialement d’importance, mais il avait décelé en elle lors de la conversation, une lueur dans ses yeux, surtout lorsqu’ils avaient évoqué la visite du Châtelain et de sa chienne MDE, seulement alors soumise.
Le Majordome s'éclipsa aussitôt. Sangmo resta debout, gardant toutefois les mains dans le dos et la tête baissée. Le Noble resta un moment, sembla-t-il à l'ignorer. Mais en réalité Il ne la quittait pas du regard. Voilà déjà un point qu’il faut corriger, se disait-Il : Une chienne n’a pas à rester debout sauf si cela lui est exigé ! Cela dit, elle était vraiment magnifique, d’une beauté d’un corps féminin asiatique époustouflant et son ami avait de la chance d’épouser une telle créature qui passerait réellement son temps à vouloir le satisfaire en tout point ! Il observait sa son visage fin, les courbes de ses épaules, sa magnifique poitrine, la courbe de ses reins, ses lèvres pulpeuses, la beauté de ses jambes … Son noble membre ne tarda pas à se manifester. Il claqua des doigts. La soumise ne connaissant pas les codes du Château leva les yeux, interrogative et timide. La prestance, le charisme du Châtelain l’intimidait. Et après avoir lu Ses nombreux récits, elle avait un peu peur de ce que pouvaient être Ses pratiques, ne sachant où se trouvait la barrière entre fiction et réalité. Monsieur le Marquis se leva devant son manque de réaction et s’approcha d’elle, une cravache à la main. Il lui en donna un coup sec sur la fesse de gauche, puis un sur la droite.
- Ici, les chiennes ne se tiennent pas sur leurs deux pattes arrière. Tu devras évoluer à quatre pattes tant que tu demeureras en Ma demeure. Ensuite, lorsque Je claque des doigts, immédiatement, sans te poser de question, tu viens à moi, et tu te prosternes devant moi, attendant Mes ordres. Soit je t’en donnerai un à voix haute, soit je te laisserai là pour Mon bon plaisir, soit je claquerai de nouveau des doigts. Dans cette dernière hypothèse, tu viendras entre mes jambes, soit tu sortiras Mon noble sexe de Mon pantalon, soit il sera déjà sorti, et tu me suceras jusqu’à ce que Je décide que cela suffit !
Tandis qu’Il parlait, les coups tombaient avec la régularité d’un métronome, mais jamais au même endroit et avec diverses forces mais toutes mesurées mais soutenues. La position de la jeune femme lui permettait d’avoir un accès complet à toutes les parties de son corps. Et toutes subirent le plat de l’instrument. Le Châtelain voulait tester la soumise, les coups ne tombaient donc jamais avec la même force. Mais elle ne bougeait pas. On lisait des grimaces de surprises, parfois de douleur sur son visage, mais on n’apercevait pas le moindre frémissement. Et mise à part qu’elle avait ouvert la bouche pour expirer de plus en plus fortement, pas un gémissement ne franchit la barrière de ses lèvres. Cela Lui plaisait. Il pensait à la fête du mariage de son ami, et la chienne allait être fortement sollicitée. Et il allait falloir qu’elle apprenne à passer entre de nombreuses mains, chose qu’elle n’avait pas l’habitude de faire au Tibet. Wangdak lui ayant confié qu’il faisait peu de soirée D/s et avait du mal à prêter son trésor. Pourtant il avait demandé à Monsieur le Marquis de faire découvrir à la soumise ce côté de leur monde de Domination/soumission disons plus occidental, pour qu’elle apprécie d’autant plus le mode de vie de celui qui la soumettait et qui bientôt serait également son mari.
Le Maître retourna à Son bureau et claqua à nouveau des doigts. Sangmo se laissa tomber à quatre pattes et se dirigea vers Lui, et sans Lui toucher les pieds, se prosterna devant Lui tendant au maximum ses bras. Pendant un moment rien ne se passa. Sangmo n’avait pas l’habitude de rester longtemps dans cette position, Wangdak préférant la laisser attendre dans la position du lotus, les mains sur les genoux, paumes tournées vers le ciel. Et elle commençait à ressentir des douleurs dans les épaules, dans le haut du dos, et dans les bras. Elle commençait à se crisper et à se mettre à trembler. Un raclement de gorge du Châtelain, sec, la rappela à l’ordre et elle reprit tant bien que mal son immobilité. Mais cela ne dura pas très longtemps et elle se crispait de plus en plus. Il eut « pitié » d’elle, et claqua alors de nouveau des doigts. Elle eut du mal à reprendre une position de quadrupède tellement ses muscles étaient douloureux car peu habitués. Mais quand elle y réussit, elle se dirigea immédiatement vers Lui. Il s’était avancé sur le bord de Son fauteuil et avait déjà sorti Son noble sexe de son boxer, une belle verge bien tendue, bien épaisse et, au gland violacé, qui ne pouvait que faire envie ! Sangmo se dressa sur ses genoux et timidement, pris cette belle queue entre ses mains, la caressant doucement, avec respect et une certaine appréhension.
La réputation de Monsieur le Marquis d’Evans n’était plus à faire, et bien avant Son arrivée au Tibet, Il l’avait impressionnée. Ce qu’il se disait sur Ses méthodes d’éducation paraissait parfois effrayant mais tellement formateur, et même si elle était reconnaissante envers le Maître qui la soumettait, comme pour tout ce qu’il daignait lui faire vivre, elle éprouvait de l’appréhension envers les deux semaines qu’elle devait passer au Château avec un Grand Maître si célèbre comme Monsieur le Marquis. Celui-ci, en regardant sa petite bouche, pulpeuse, s’approcher de Son gland violacé, bandait encore plus. C’était un grand Dominant avec une grande maîtrise de Ses envies. Alors, malgré Son envie de baiser cette bouche, qu’Il devinait chaude, humide et accueillante, Il décida de la laisser faire pour le moment pour voir comment elle allait s’y prendre. Sangmo baisa délicatement le bout de Son gland épais, y passa sa langue pour y récupéré le liquide pré séminal qui s’en échappait puis doucement, millimètre par millimètre, elle enfonça Sa noble verge au plus profond de sa gorge et la garda ainsi, en coït buccal de longues secondes, puis elle entama de longs va-et-vient, tout en branlant d’une main la base de Sa queue, et de l’autre main malaxant Ses bourses, et massant le court sillon qui menait à Son anus. Elle alternait divinement aspiration et succion, lèvres légères et douces ou serrant plus fortement, osant frotter parfois le bout de ses dents sur la peau fine. La verge du noble ne cessait de gonfler. Visiblement la jeune tibétaine excellait dans l’art de la fellation !
Quand Il l’eut constaté sans que le doute soit permis, Il rassembla ses longs cheveux noirs qui étaient lâchés dans une main pour lui maintenir la tête, et Il prit possession de sa bouche, sauvagement, lui faisant bien comprendre que même si elle savait indéniablement donné du plaisir, c’était toujours Lui qui menait la danse ! Il se contint encore, continuant à la baiser ainsi longuement, lui imposant des gorges profondes, bien plus importantes et plus longtemps que celle que Sangmo lui avait procuré en début de fellation, lui ayant provoqué à deux reprises l’esquisse d’un mouvement de recul, mais le noble la maintenait bien trop fermement pour qu’elle puisse se retirer. Il nota d’ailleurs qu’il allait devoir la sanctionner pour cela. Il finit par se vider en longs jets épais et saccadé au fond de sa gorge. Elle eut du mal à avaler sans s’étrangler, et lorsque le Châtelain se retira enfin, elle se sentait épuisée, des douleurs dans les mâchoires, tant l’acte avait été long. Sangmo n’attendit pas cependant pour nettoyer le membre qui possédait encore une belle vigueur, mais que le Maître remit rapidement à l’abri de Son sous-vêtement.
- Bien, tu as une belle et bonne bouche de suceuse ! Elle va être très utile demain soir, je n’en doute pas ! Mais en attendant tu dois être punie. Deux fois, tu as essayé de te soustraire à Ma queue avide de s’enfoncer toujours plus loin ! Sache que les sanctions que j’inflige ont toujours un but éducatif. Deux fois tu as été rétive, alors ta sanction durera deux heures. Pour le moment, à genoux, tête baissée, mains sur la nuque, cuisses écartées. Exécutions ! …
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