Marion au Château – (suite de l'épisode N°938)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Marion au Château – (suite de l'épisode N°938) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Marion au Château – (suite de l'épisode N°938)
Marion au Château – (suite de l'épisode N°938) –
Je décidais de ne pas trop me poser de questions, et de ne pas traîner pour rejoindre le Majordome, afin de ne pas mériter de sanction, après une journée qui avait été assez longue, voulant à tout prix boucler mon travail avant le week-end pour satisfaire au mieux le Maître… Une nouvelle semaine passa. Et un soir, quand on me ramena dans mon Cachot, je trouvais une feuille posée sur ma couverture.

« Demain, tu quittes le Château. Walter te donnera une tenue pour paraître aux yeux du monde vanille. Il te conduira là où tu devras être à l’heure que j’ai exigée. Tu n’as rien à savoir d’autres pour le moment. »
Bien qu’étant Sa secrétaire particulière, je n’avais rien eu à traiter d’inhabituel. Pas de nouveau rendez-vous avait été posé, le Maître n’avait pas reparlé de son voyage. Pourtant je savais qu’Il voulait que je l’accompagne dans son mystérieux déplacement. Pourquoi se poser tant de questions ? Ce n’était pas mon rôle… Alors je me couchais et m’endormais aussi vite que possible, supposant que s’Il me faisait sortir du Château, c’était que j’allais certainement devoir Le servir d’une manière ou d’une autre, et je préférais être en forme… Le lendemain, Walter vint me réveiller, m’apportant ma gamelle dans mon Cachot directement, puis il m’amena dans une petite salle d’eau pour la douche froide matinale. Une fois propre et sèche, il me tendit une housse à vêtements, dans laquelle je trouvais un tailleur veste-jupe bleu roi. La jupe était fendue jusqu’à mi-cuisse des deux côtés, et la veste me faisait un décolleté profond sans pour autant être indécent, mais cela restait tout de même très sexy. Cependant il allait falloir que je fasse attention à ma façon de me tenir, car il n’y avait ni chemisier ni sous-vêtements. Et comme toute soumise, j’avais l’interdiction formelle de croiser pieds ou jambes...

- Maintenant, habille- toi et suis- moi ! Tu n’as pas le droit de poser la moindre question, en fait tu n’as pas le droit de parler à qui que ce soit, sauf lorsqu’on t’appellera par ton nom de soumise, et si cette personne t’y autorise. À partir de maintenant, déplace-toi debout, il ne faudrait pas abimer les vêtements que Monsieur le Marquis a choisi pour toi !

Je le suivais donc en marchant jusqu’à la voiture qui attendait devant le perron du Château. Là, avant de la déverrouiller, il me passa un bandeau sur les yeux.

- Pour le moment tu n’as pas besoin de savoir où nous allons. Tu ne seras pas sanctionnée si jamais tu devais t’endormir sur le trajet, n’aie pas de craintes à ce niveau-là.

Il me guida pour m’installer sur le siège passager avant de la voiture, puis il monta derrière le volant. Au bruit qu’elle faisait, je suivais notre trajet jusqu’à ce que nous atteignions la route départementale. Ensuite, il me fut impossible de savoir ni la direction que nous prenions, ni le temps que dura le trajet, et très vite je m’endormis, car je n’avais rien d’autre à faire. Quand le moteur se coupa, cela me réveilla instantanément. Walter ôta le bandeau qui me couvrait les yeux. Après quelques secondes pour que mes yeux s’habituent, je vis que nous étions dans un parking souterrain. Après un « suis-moi » laconique, Walter sortit de la voiture. J’en sortis également, et le suivit deux pas derrière lui, la tête légèrement baissée, mais pas assez pour ne pas voir où j’allais et ainsi éviter les obstacles. Rapidement, je compris que nous étions à l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry. Ce que je ne savais toujours pas, c’était ma destination car à l’évidence je devais monter dans un avion pour me trouver là. Mais n’y étant pas autorisée, je ne posais pas de questions. Je me retrouvais finalement en classe économique en destination de Paris. Je ne savais pas ce que je devrais y faire, où je devrais aller. Le Majordome ne m’avait plus adressé la parole depuis que nous étions sortis de la voiture. Il s’était juste adressé à une hôtesse, disant que j’étais attendue, et lui tendant visiblement mon billet d’avion… Elle, non plus ne me parla pas. Elle se contenta de m’adresser un signe pour que je la suive jusqu’à une place qu’elle m’indiqua, un siège au milieu d’une rangée de cinq, bientôt entourée de deux hommes assez imposants au costume parfait d’hommes d’affaires, qui me firent vite me sentir à l’étroit. J’essayais de me faire aussi petite que possible, mais c’était loin d’être gagné ! Soudain, la voix d’un des deux hommes retentit, froide pour ne pas dire glaciale.

- soumise Aphrodite MDE, je ne t’autorise pas à parler, ni même à gémir. Si je t’appelle par ton nom complet de chienne, c’est pour que tu saches que je sais qui tu es et à qui tu appartiens. Si tu regardes le téléphone qui se trouve dans le petit sac que le Majordome t’a donné, tu devrais y voir un message de Monsieur le Marquis. Vas- y, regarde !

J’ouvris alors avec empressement le sac, y découvris effectivement mon téléphone, que je ne retrouvais que lorsque je m’occupais de mes filles, et j’y lus le message suivant :
« Ma chienne, je veux que tu assumes ce que tu es et pour qui tu es. Surtout ne me déçois pas et fais-moi honneur en obéissant à tout ce qui te sera exigé. »
Je reposai doucement le téléphone dans mon sac que je rangeai sous mon siège. Je baissais la tête et mis mes mains dans le dos, faisant comprendre à l’homme que je me tenais à sa disposition.

- Assis-toi normalement, ne mets pas tes mains dans le dos. Tout l’avion n’est pas au courant qu’il y a une petite salope de chienne à disposition ! Sache tout de même que les quatre sièges qui t’entourent sont occupés par des Dominants, donc tu n’as rien à craindre.

Après que je me fus installée plus confortablement, les deux hommes qui m’entouraient firent mine de ne plus se préoccuper de moi. Mais je me doutais que cela n’allait pas durer. En effet, ils attendirent que l’avion ait décollé, puis une main se posa sur chacune de mes cuisses, profitant des fentes pour passer sous le tissu de ma jupe de tailleur. Les mains se joignirent, comme pour décider laquelle allaient faire quoi. J’écartais instinctivement les cuisses en signe de passivité et d’obéissance. Et l’une des mains commença à me titiller le clitoris, tandis que l’autre me caressait doucement mes lèvres intimes. Alors que les doigts se situant plus haut commençaient à accélérer leur mouvement de rotation sur mon petit bouton rose qui commençait à se gonfler de désirs, les autres doigts commencèrent à pénétrer dans ma chatte qui s’humidifiait de plus en plus. Ma respiration s’accélérait, ma chatte pulsait, mais je faisais tout pour rester autant que possible stoïque, et surtout ne laisser aucun son m’échapper. Les deux hommes décidèrent au même moment de retirer leurs mains, ils saisirent les couvertures de l’avion et se les installèrent pour couvrir entièrement leurs pantalons. Ils se saisirent de mes mains et les posèrent sous leurs couvertures, où je ne fus pas surprise de découvrir deux sexes bien tendus sortis de leur braguette. Sans un mot, je compris ce qu’ils attendaient de moi et je commençais à les masturber, tandis que leurs mains proches de moi se reposèrent sur mon sexe. Quatre mains s’activaient, trois visages ne laissaient voir aucune émotion spéciale, mais sous couvert trois sexes pulsaient, une chatte mouillait, et deux queues se tendaient à l’extrême. Après un bref coup d’œil alentours, l’un des hommes se pencha vers moi.

- Fais comme si tu avais fait tomber quelque chose que tu voulais ramasser, et vide-nous avec ta bouche, chienne !

Je m’exécutais en commençant par l’homme qui m’avait donné l’ordre. Et je pompais avec avidité tour à tour les deux verges dressées. Puis je m’attelais plus particulièrement à une des deux bites puis à l’autre quand enfin je récoltais très vite deux nectars épais et abondant les avalant rapidement tout au fond de la gorge avant de reprendre ma place, en ayant la surprise de trouver un plug qui n’attendait qu’une chose c’est que je m’empale dessus, ce que je fis sans la moindre hésitation. J’avais fortement envie de me caresser. J’avais été amenée très proche de l’orgasme, et bien sûr je n’avais pas été autorisée à le libérer. Et maintenant que je me retrouvais avec le cul rempli, mon excitation avait encore monté d’un cran. Le reste du court trajet jusqu’à l’aéroport de Roissy Charles de Gaulle se passa tranquillement, complètement ignorée par les deux hommes sauf lorsque je sentais le plug, que j’avais eu la surprise de découvrir, se mettre à vibrer. J’arrivai donc complètement à être terriblement excitée. Les deux hommes me suivirent jusqu’aux portiques de sécurité, me mettant régulièrement la main aux fesses, les caressant ou les pinçant… Je me demandais ce que j’étais censée faire maintenant que j’étais dans l’aéroport. Je n’avais reçu aucune instruction, et il n’y avait aucun nouveau message sur mon téléphone. Je décidais de rejoindre le point de rassemblement le plus proche, en scrutant les visages que je croisais au cas où j’en reconnaitrais un. Ce qui ne tarda pas à arriver. Je finis par croiser ce regard bleu intense qui me faisait trembler de désir, qui faisait ressortir en moi mes instincts animaux, qui réveillait mes plus profondes envies de soumission. Je baissais donc la tête et me dirigeais vers Lui, Le Maître Monsieur le Marquis d’Evans en personne...

(A suivre …)

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